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Armorial des chevaliers de l'Empire

Cet article présente et décrit les armoiries des chevaliers sous le Premier Empire.

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Les armoiries inventoriées sur cette page respectent le système héraldique napoléonien. Lorsque ce n'est pas le cas, veuillez vous référer à l'armorial des autres personnalités nobles et notables du Premier Empire.

Les Chevaliers légionnaires

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

A

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
Jean Labbadie-Coulac[1] - [2] (), maréchal de camp d'infanterie (en Pologne), lieutenant-colonel (), général de brigade (à titre provisoire le , confirmé le ), affecté à l'armée des Pyrénées occidentales (1793), commandant des vallées des Hautes-Pyrénées (), admis en retraite comme chef de brigade (), chevalier de l'Empire (lettres patentes du ).

D'azur à une cuirasse d’or frangée de gueules, chargée d’une épée haute en pal d'argent, accompagnée en chef de deux molettes du même (alias d'argent) ; à la bordure de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires[1].

Jean-Marie Aberjoux (, Saint-Amour, Saint-Amour), lieutenant-colonel, légionnaire (), chevalier de l'Empire (lettres patentes du ).

D'azur à la bande de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires, accompagnée en chef d'un bouclier et en pointe d'un lion tenant de la patte dextre une épée, le tout d'or[1].

Pierre Auguste Adet (, Nevers, Paris), préparateur de Lavoisier, docteur-régent de la faculté de médecine de Paris, ambassadeur aux États-Unis (1795), tribun (), fondateur de la Société d'encouragement pour l'industrie nationale (1801), préfet de la Nièvre (1803-1809), conseiller-maître à la Cour des comptes (1813-1834), chevalier de l'Empire (1808), légionnaire puis officier de la Légion d'honneur (1814).

Tiercé en pal : au premier d'azur à trois roses d'argent ; au deuxième de gueules à l'insigne des chevaliers légionnaires ; au troisième d'argent à trois molettes de sable[1].

Pierre-Gabriel Ailliet (, Auxonne, Dijon), chef de bataillon du 30e régiment de ligne (1806), légionnaire (14 juin 1804), chevalier de l'Empire (lettres patentes du 16 décembre 1810)[3].

D'or au chevron d'azur accompagné en chef de deux étoiles du même et en pointe d'une grenade de sable enflammée de gueules ; à la bordure de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires.

Guillaume François d'Aigremont (, Paris, Paris), colonel du 13e régiment de cuirassiers (1809), général de brigade (1812), légionnaire (14 juin 1804) puis officier de la Légion d'honneur (8 juillet 1809), chevalier de l'Empire (lettres patentes du 13 février 1811).

D'or au pal de gueules, chargé du signe des membres légionnaires, accosté à dextre d'un rocher de six coupeaux de sable, surmonté d'une étoile d'azur, et à senestre d'une cuirasse d'azur, traversée en pal par un sabre de gueules[4].

Jean-Baptiste Amira, chef de bataillon, légionnaire, chevalier de l'Empire (lettres patentes du 17 août 1810).

D'azur à une gerbe d'or accompagnée de deux épées hautes d'argent montées d'or et posées en chevron adextré d'un tiers de gueules chargé de l'insigne des chevaliers légionnaires[5].

Jean-Baptiste Arnaud (, Puimoisson, Puimoisson), avocat au parlement d'Aix, juge de paix puis de district, procureur général près la Cour criminelle d'Aix-en-Provence, président du collège électoral des Basses-Alpes, légionnaire, chevalier de l'Empire ().

D'azur, à un chevron d'argent, acc. en chef de deux étoiles, et en pointe d'une tour, le tout du même, à la champagne de gueules chargée de l'insigne des chevaliers légionnaires[6].

Antoine-Vincent Arnault (, à Goderville), chargé de l'organisation administrative des îles Ioniennes (1797), ministre de l'Instruction publique par intérim (Cent-Jours), membre de l'Institut de France, 2 fois membre de l'Académie française (Fauteuil 16 (1813-1816) et 13 (1829-1834)), conseiller, secrétaire général du conseil de l'Université, exilé de 1815 à 1819, beau-frère du comte Regnauld de Saint-Jean-d'Angély, Chevalier de l'Empire (),

D'or, à la gerbe de blé de sinople, au comble d'azur chargé de deux étoiles en fasce d'argent; chevron de gueules du tiers de l'écu, chargé du signe des chevaliers légionnaires, brochant sur le tout.[7]

Domitien Joseph Asselin de Williencourt (, à Habarcq, à Paris), général de brigade à titre provisoire (1814), maréchal de camp (1831), Officier de la Légion d'honneur (1832), Chevalier de Saint-Louis (1814), Chevalier de l'Empire (),

D'or, à un écusson d'azur chargé de trois molettes d'argent, 2 et 1, à la bordure de gueules, chargée de la croix de la Légion d'honneur. (Confirmation du titre de chevalier, par décret du , avec pour règlement d'armoiries : D'azur, à trois croix pattées d'argent, à la bordure de gueules chargée de huit étoiles d'or).[8] - [6] - [9]

Bruno-Philibert Audier-Massillon ( - Aix-en-Provence - Aix-en-Provence), Lieutenant général de la sénéchaussée d'Aix, député du tiers état aux États généraux (), juge au tribunal de cassation (11 germinal an VIII), conseiller à la cour royale d'Aix (jusqu'en 1820), Chevalier de l'Empire (), Chevalier de la Légion d'honneur (12 prairial an XII)

Tiercé en fasce : au I d'azur à un soleil d'or ; au II de gueules au signe des chevaliers légionnaires ; au III d'argent à une mer d'azur chargée d'un alcyon d'or dans son nid de même et lampassé de pourpre.[10]

Nicolas Grégoire Aulmont de Verrières - Paris - Paris), général de brigade (à titre provisoire le , redevient chef de brigade le , de nouveau général de brigade à titre provisoire le , confirmé le ), Chevalier de l'Empire (), Baron de l'Empire (, lettres patentes du ), Commandant de la Légion d'honneur (), Chevalier de l’Ordre royal et militaire de Saint-Louis (),
  • Armes des Aulmont de Verrières sous l'Ancien Régime : De sable, à un mont ou rocher isolé d'or, au chef d'azur, soutenu d'une divise d'argent, et chargé d'un soleil d'or.[6]
  • Armes de chevalier de l'Empire : Tiercé en fasce : d'azur à l'étoile d'or ; de gueules au signe des chevaliers légionnaires ; et d'argent au rocher de six coupeaux de sable.[4]
  • Armes de baron de l'Empire : D'argent à un rocher de six coupeaux de sable mouvant de la pointe, au comble d'azur chargé d'une étoile d'or ; au franc-quartier des Barons militaires.[4] - [8] - [9]
Pierre d'Autancourt ( - Montigny-sous-Marle- Nevers), Volontaire en 1792 au bataillon de Vervins, général de brigade, Commandeur de la Légion d'honneur, Chevalier (1808) puis Baron de l'Empire (1810),

Armes de Chevalier de l’Empire : Tiercé en fasce : de sable à une tour d'argent crénelée de trois pièces, ouverte et maçonnée de gueules; de gueules au signe des chevaliers légionnaires ; et d'azur au cheval galopant d'or.[11]

Ambroise-Philibert-Léon Auvity[12] (, à Paris), Chirurgien en chef adjoint de l’Hôpital des Enfants-Trouvés et des Orphelins, puis Chirurgien-major de la Garde municipale de Paris, chirurgien du Roi de Rome, Officier de la Légion d'honneur, Chevalier de l'Empire (Lettres patentes du ),

D'azur, à deux palmes en sautoir d'argent surmontées au deuxième point en chef d'une étoile d'or, flanquées et accompagnées de trois têtes d'enfants nouveau-nés de carnation, les deux en flancs affrontées, celle de la pointe posée en fasce ; champagne cousue de gueules du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[13]

Jacques Aversenc (1772-1854), capitaine de grenadiers, légionnaire, chevalier de l'Empire ().

D'azur à un chevron de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires ; au chef à dextre d'une épée haute en pal d'argent à senestre d'une branche d'aubépine d'or et en pointe d'une tête d'Isis d'argent posée de profil[6].

Joseph-Marie Avogadro-Casanova (1730-...), légionnaire et chevalier de l'Empire ().

Burelé d'or et de gueules, senestré d'un tiers de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires[3].

Jean François d'Avrange du Kermont ( - Saint-Avold (aujourd'hui dans le département de la Moselle) ✝ ), commandant ordonnateur de l'hôtel impérial des Invalides, chevalier de l'Empire (), chevalier de la Légion d'honneur (4 germinal an XII ()),

D'azur, au chevron d'or, brisé par la pointe, accompagné de trois besants du même, à la champagne de gueules, chargée du signe de la Légion d'honneur.[6] - [4]

B

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
Jean-Pierre Bachasson de Montalivet ( - Neunkirch-lès-Sarreguemines - château de Lagrange-Montalivet), Conseiller au parlement de Grenoble (1785), maire de Valence (1795), Préfet de la Manche (1801-1804), préfet de Seine-et-Oise (1804-1806), Conseiller d'État (), directeur général des Ponts et Chaussées (), ministre de l'Intérieur (-), Intendant général de la couronne (), Pair de France ( (Cent-Jours), comte-pair le , lettres patentes du ), Chevalier de l'Empire (lettres patentes de ), 1er Comte de Montalivet et de l'Empire (lettres patentes du ), Chevalier de la Légion d'honneur par décret impérial,
Jean Louis Charles Bagnol dit, Bagniol (, à Auneau, à Rennes), Général de brigade (à titre provisoire, 1813), maréchal de camp (à titre provisoire, (), maréchal de camp honoraire (), Chevalier de l'Empire (décret du , lettres patentes du ), Lettres patentes royales de chevalier héréditaire (), Légionnaire () puis Officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (),

D'azur, à la bande de gueules, chargée du signe des Chevaliers-Légionnaires, acc. en chef d'un lion d'or, soutenu d'une pile de trois boulets d'argent, 1 et 2, et armé d'une épée du même, et en pointe d'un lion d'argent soutenu par trois boulets d'or, 1 et 2, et armé d'une épée du même.[8] - [9]

François Martin Trophime Barbé ( - Marseille), major du 20e chasseur à cheval, chevalier de l'Empire (1811), chevalier de la Légion d'honneur,

D'azur à une fasce de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires;accompagné à dextre d'un cheval galopant et, à senestre, d'un dauphin et en pointe à dextre d'une épée en pal et à senestre d'une ancre, le tout d'or.[10]

Jacques Bardenet ( - Vesoul - Vesoul), Chef de brigade (lors de la prise de Bois-le-Duc, le , confirmé en 1795), Général de brigade (nommé sur champ de bataille de la Trebbia ()), Député de la Haute-Saône au Corps législatif (6 germinal an X () - 1806), Chevalier Bardenet et de l'Empire (), Légionnaire 4 frimaire an XII, puis, Officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (),

D'argent, à un dextrochère au naturel, tenant un cimeterre haut en pal d'azur ; à la champagne de gueules, chargée du signe des Chevaliers-Légionnaires.[6] - [8] - [9]

Joseph Marie de Barral (Grenoble, - Grenoble, ), député de l'Isère au corps législatif (1800-1814), premier président à la Cour d'appel de Grenoble, Chevalier Barral et de l'Empire (à la suite du décret le nommant membre de la Légion d'honneur en date du 25 prairial an XII, lettres patentes signées à Bayonne à ), Légionnaire (25 prairial an XII),

Tiercé [ajouté en fasce] d'or, de gueules et d'argent, l'or chargé de trois cloches d'azur posées en fasce ; le gueules chargé de la croix de la Légion d'honneur en date ; l'argent chargé de trois bandes de gueules[15].

Louis Alexandre Amélie Bauduy ( - Port-au-Prince (Saint-Domingue) ✝ ), maréchal de camp (honoraire (1814), confirmé en avec effet rétroactif à ), Légionnaire (1803) puis Officier de la Légion d'honneur (1804), Chevalier de Saint-Louis (1814), Chevalier de l'Empire (Lettres patentes du ), fait baron le ,

Parti d'azur à un cheval galopant d'argent, accompagné en chef de trois étoiles et en pointe d'un croissant du même ; au II, d'or à un sabre d'azur posé en pal, suremonté de deux tête de maures de sables, tortillées d'argent ; à la champagne de gueules chargée de l'insigne des chevaliers légionnaires de l'Empire.[8]

François Berge ( - Collioure - Paris), chef de bataillon, sous-directeur d'artillerie à la Guadeloupe (6 brumaire an XII), major (), colonel (), général de brigade (), lieutenant-général (3 octobre 1823), Chevalier de l'Empire (Lettres patentes du ), baron de l'Empire (1814), officier (25 prairial an XII), puis, commandant (), puis grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (), Chevalier de 4e classe de l'ordre de Saint-Ferdinand d'Espagne (),
  • Armes de Chevalier de l'Empire : Tiercé en fasce : en I, d'argent à une épée haute de gueules accompagnée de deux autruches d'azur, celle à dextre contournée ; en II, de gueules l'insigne des chevaliers légionnaires ; en III, d'or à une pyramide ombré de sable et maçonnée d'argent.[8] - [9]
  • Armes par lettres patentes de 1816 : Tiercé en fasce : en I, d'argent à une épée haute de gueules accompagnée de deux autruches d'azur, celle à dextre contournée ; en II, de gueules à une étoile d'argent ; en III, d'or à une pyramide ombré de sable et maçonnée d'argent.
Pierre Marie-Auguste Berruyer ( - Paris - Paris), Chef d'escadron au 1er dragons (), major du 11e dragons (fin 1805), colonel du 3e dragons (1809), colonel au 2e chevau-légers (), Général de brigade et commandant d'armes à Soissons (), Chevalier de l'Empire (),

D'azur à la bande de gueules chargée de l'insigne des chevaliers légionnaires, accompagnée en chef d'un casque d'or taré de profil et pointe d'un éperon, molette vers le chef, d'argent, soutenu d'un lévrier passant, du même.[9]

Pierre Augustin Berthemy(1778-1855), [chef d'escadron], aide de camp de Joachim Murat, maréchal de camp au service du roi de Naples (), Chevalier Berthemy et de l'Empire (à la suite du décret du , lettres patentes signées à Compiègne le ), Légionnaire (), puis, Officier (), puis, Commandant de la Légion d'honneur (), Commandeur de l'Ordre royal des Deux-Siciles,

D'or à l'épée en pal la pointe basse de sable accompagnée de trois têtes de cheval du même, allumées et lampassées de gueules: fascé de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers brochant sur le tout[15] - [16].

Joseph Constant Amédée Conrad Berthois - Piré - Paris), capitaine de première classe au corps impérial du génie, chevalier Berthois et de l'Empire (à la suite du décret du le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes du , Paris), légionnaire (), puis, officier de la Légion d'honneur (),

Parti, au premier d'argent au lion rampant de gueules, au deuxième d'azur au croissant d'or surmonté d'une étoile du même : sur le tout de gueules occupant le tiers de l'écu et chargé du signe des chevaliers légionnaires.[15]

Bertrand de Greville, Procureur général près la cour criminelle de l'Indre,

Tiercé en bande : au 1, d'or, à une étoile rayonnante d'azur ; au 2 de gueules à l'insigne des chevaliers légionnaires ; au 3, d'azur, à un créquier d'or.[5]

'''Julien Bessières''' ( - Gramat - Paris, ancien 9e arrondissement de Paris), commissaire impérial

des îles Ioniennes à Corfou (1807-1810), chevalier Bessières et de l'Empire (titre de chevalier de l'Empire, accordé à la suite du décret du le nommant membre de la Légion d'honneur (lettres patentes du (Les Tuileries)), Légionnaire (), puis, Officier (), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (), pair de France ().

Échiqueté d'azur et d'argent, à la fasce de sable, fuselé d'or ; bordure du tiers de l'écu de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires, posé au deuxième point en chef.[15]

Olivier de Bizien (, Roscoff, Quimper), lieutenant-colonel au 5e de ligne, légionnaire () puis officier de la Légion d'honneur (), chevalier de l'Empire (lettres patentes du ).
  • Armes de chevalier de l'Empire : d'azur à la fasce d'or accompagnée en chef d'une étoile d'argent et en pointe d'un croissant du même adextré d'un tiers de gueules en pal chargé du signe des chevaliers légionnaires[17] ;
  • Armes des Bizien, seigneurs de Kervilly, sous l'Ancien Régime : d'azur à la croix d'argent[18].
Pierre-François-Jean Bogne de Faye ( - Clamecy (Nièvre) ✝ - Clamecy), Secrétaire de la commission des échanges à Londres pour les prisonniers de guerre français (1798), Auditeur de 1re classe puis maître des requêtes au Conseil d'État, Secrétaire de légation de France, chargé d'affaires, puis ministre plénipotentiaire à Munich, Adjudant-commandant dans la Garde nationale de Paris, Député de la Nièvre à la Chambre des députés (), Chevalier de l'Empire (lettres patentes du ), Légionnaire (décret impérial du ), puis, Officier (décret impérial du ), puis, Commandant de la Légion d'honneur (), Commandeur de l'Ordre de la Couronne de fer,

D’or, à un chevron de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires, accompagné en chef de deux étoiles d'azur et en pointe d'un lion rampant de même.[11]

André Barthélémy Boissonnet ( - Annonay - Sézanne), Colonel-major du Génie de la Garde Impériale (1812), Chef d'état-major des troupes du Génie à l'armée de Mein (1813), Maréchal de camp honoraire (1824), Maire de Sézanne, Officier de la Légion d'honneur (1804), Chevalier de l'Empire (), Baron de l'Empire (, avec une dotation en Westphalie, titre confirmé en 1865), Chevalier de Saint-Louis (1814),
  • Armes de chevalier de l'Empire : Tiercé en fasce : au I, parti d'argent, à une armure antique de sable et de sinople, à un rouleau déployé d'argent, sur lequel est dessiné un pentagone « au naturel » ; au II de gueules à l'insigne des chevaliers légionnaires ; au III, d'azur, à trois étoiles d'argent posées en fasce, acc. en chef d'un croissant du même.[5]
  • Armes de baron de l'Empire : Écartelé : au 1, d'argent, à une armure de sable ; au 2, d'or plein ; au 3, de sinople, à un rouleau déployé d'argent, sur lequel est dessiné un polygone de sable (en forme de deux triangles vidés, entrelacés en forme d'étoile à six rais) ; au 4, d'azur, à trois étoiles d'argent, accompagnés en chef d'un croissant du même ; au canton des Barons militaires brochant.
Henri-Antoine Bon de Lignim ( - Rochecorbon), chef de bataillon d'artillerie, Colonel-major d'artillerie de la Garde Impériale, Colonel d'un régiment de la garde royale avec rang de maréchal de camp (), chevalier Bon de Lignim et de l'Empire (lettres patentes du ), puis, baron Bon de Lignim et de l'Empire (lettres patentes du ), Légionnaire (), puis, Officier (), puis, Commandant de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (),
  • Armes du chevalier Bon de Lignim et de l'Empire : D'argent, à trois têtes de léopards de sable 1 et 2 accompagnées en pointe d'une tour donjonnée d'azur, ouverte du champ, maçonnée de sable ; à la bordure de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires.[3]
  • Armes du baron Bon de Lignim et de l'Empire : D'argent, à la tour crénelée de sable de trois pièces, ouverte du champ, surmontée de trois têtes de léopards de sable, 1 et 2 ; au franc-quartier des Barons militaires.[3] - [9]
Charles Auguste Bonnet de Viller (de Démouville), chef d'escadron au 10e régiment de hussards, Chevalier de la Légion d'honneur le 14 mars 1806, Chevalier de l'Empire par lettres patentes du 18 août 1810, Chevalier de l'Ordre Royal de la Légion d'honneur le 17 avril 1821.
  • Armes de Chevalier de l'Empire: "d'azur à la bande de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers légionnaires, accompagnée en chef d'un lion armé d'un sabre d'argent et en pointe d'une tête de cheval du même bridée de gueules. Pour livrée les couleurs de l'écu."
  • Armes famille Bonnet sous l'Ancien Régime: "d'argent à la fasce de gueules chargée de trois besans du champ, accompagnée de trois bonnets à l'antique d'azur."
François Bony ( - Crécey-sur-Tille), général de brigade, Colonel de la Garde nationale de Selongey, maire de Selongey, Conseiller général de la Côte-d'Or, Légionnaire (décret impérial du 26 prairial an XII ()) puis Officier (décret impérial du ), puis Commandeur de la Légion d’honneur (1820), Chevalier de Saint-Louis (), Chevalier de l'Ordre de la Réunion (1810), Chevalier de l’Empire (décret impérial et lettres patentes du ),

Parti : au 1er, d’azur à une épée d’argent, montée d’or ; au 2e, de sable à un chevron d’or, accompagné en chef de deux étoiles et en pointe d’une grenade, aussi d’or, ; enté en pointe de l’écu d’un tiers de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires.[11]

Edme Étienne Borne Desfourneaux ( - Vézelay (Yonne) ✝ - Paris), colonel (), général de brigade (), général en chef ( - ), général de division (), Député du département de l'Yonne au Corps législatif (), Représentant à la Chambre des Cent-Jours (Joigny (département de l'Yonne), ), Chevalier de l'Empire (), Baron de l'Empire (), Comte (1823), Commandeur (25 prairial an XII : ), puis, Grand cordon de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'Ordre de la Couronne de fer, Chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis (),
François-Antoine Boubert (, Saint-Omer, Saint-Omer), président de la Cour criminelle de Douai, légionnaire (), chevalier de l'Empire (lettres patentes du ).

De contre-hermine à la bande de gueules chargée d'une croix de l'insigne des chevaliers légionnaires[11].

Pierre Boucher ( - Courbevoie - Paris), Capitaine adjudant-major aux chasseurs à pied de la Garde impériale, Colonel-major du 4e régiment de voltigeurs de la Garde impériale, Chevalier Boucher et de l'Empire (décret du , lettres patentes (Lille)), Baron Boucher et de l'Empire (, lettres patentes du 11 novembre suivant), Légionnaire (25 prairial an XII), puis, Officier de la Légion d'honneur (),

D'or au chevron de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers, accompagné en chef de trois étoiles en fasce d'azur et en pointe d'un arbre de sinople terrassé du même, adextré d'un lévrier contrerampant de sable et sénestré d'un coq perché sur une épée, le tout aussi de sable.[15]

Louis Jacques François Boulnois ( - Sarcus (Oise) ✝ - Paris), chef d'escadron de hussards en 1800, major au 9e Chasseurs (), général de brigade (), lieutenant général (à la Restauration : ), Chevalier de la Légion d'honneur (à la création de l'Ordre), Chevalier de l'Empire (Lettre patente du ), Baron d'Empire (décret Impérial du , titre confirmé le ),

Parti : au 1, d'azur, au lion rampant d'argent ; au 2, de sinople, à trois mésanges d'or, 2 et 1 ; à la champagne de l'écu de gueules chargée de l'insigne des chevaliers légionnaires de l'Empire.[6]

Edme Joachim Bourdois de La Motte ( - Joigny - Paris), Médecin en chef des épidémies pour le département de la Seine (1805), Inspecteur général de l’Université de France (1809), puis conseiller en 1811, Premier médecin du roi de Rome (1811), Médecin du collège des princes à Meudon, Médecin en chef des trois premières légions de la garde nationale de Paris, Médecin du prince de Bénévent, Médecin du département des affaires étrangères (sous la Restauration), Médecin consultant des rois Louis XVIII et Charles X, Membre puis président de l’Académie de médecine, Chevalier de l'Empire (décret impérial et lettres patentes du ), Baron de l'Empire, Donataire (rente de 4 000 francs) en Illyrie, le , Chevalier de la Légion d'honneur (décret impérial du ),

Parti, au 1, d'azur au portique ouvert à deux colonnes d'or, sommé d'une grue avec sa vigilance du même ; au 2, d'argent à trois barres d'azur ; champagne de gueules du tiers de l'écu chargée du signe des chevaliers légionnaires.[13] - [11]

Claude-Laurent Bourgeois de Jessaint ( - Jessaint - Beaulieu (Trannes), Maire de Bar-sur-Aube ( - 18 fructidor an V ()), Préfet de la Marne (, confirmé dans ses fonctions par Louis XVIII le , il surmonte six changements de régime, et reste à son poste jusqu'à sa démission le , il obtient sa retraite de préfet le ), Chevalier de l'Empire (), Baron de l'Empire (, lettres patentes du ), Vicomte ()[19], Légionnaire (25 prairial an XII : ), puis Officier (), Commandeur (), Grand officier de la Légion d'honneur (), Pair de France (),
  • Armes des Bourgeois de Jessaint sous l'Ancien Régime : Coupé : au 1, d'azur, à la bande d'argent, accompagné en chef d'une étoile d'or et en pointe d'une anille du même ; au 2, d'or, au lion de gueules.[6]
  • Armes de Chevalier de l'Empire : Tiercé en fasce : au I, d'azur, à la bande d'argent, accompagné en chef d'une anille d'or et en pointe d'une étoile du même ; au II, d'or, au lion de gueules ; au III, de gueules à l'insigne des Chevaliers légionnaires.[9]
Pierre Bousquet (, Estaing), chirurgien-major au 25e de ligne, chevalier de l'Empire ().

De sable, à l'épée haute en pal d'or accolée d'un serpent d'argent ; la fasce de gueules du tiers de l'écu chargée du signe des chevaliers légionnaires, brochant sur le tout[13].

Jean-Guillaume Boysset (né le à Laroquebrou (Cantal), médecin ordinaire de la Grande Armée, Chevalier de l'Empire (),

De sable, à l'épée haute en pal d'argent montée d'or, tortillée d'un serpent de sinople et accostée de deux étoiles d'or; bordure cousue de gueules du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers légionnaires, posé au deuxième point en chef.[13]

Louis Bro (, Paris, Armentières), capitaine au 7e de hussards (1807), chef d'escadron (), major (), adjudant-commandant, avec rang de colonel (), maréchal de camp (), lieutenant-général (1843), chevalier de l'Empire (lettres patentes du )[16], officier (1814) puis grand-officier de la Légion d'honneur (), grand-officier de l'ordre de Léopold de Belgique.

Lettres patentes du 30 octobre 1810 : d'or à un chevron de gueules chargé de l'insigne des chevaliers légionnaires et accompagné en pointe d'un broc d'azur.

Armes parlantes (Le « broc » pour « Bro »).

Lettres patentes du 13 août 1811 : tiercé en bande : au I, d'or à la sabretache de sable chargée du chiffre 7 du champ et accolée du couleuvre d'azur ; au II, de gueules à l'insigne des chevaliers légionnaires de l'Empire ; au III, d'azur coupé d'une mer de sinople chargé d'un cheval nageant d'argent, allumé et lampassé de gueules, bridé de sable et accompagné à dextre de trois palmiers terrassés d'or[20] - [16].

Jean Louis Victor Broussonet (né à Montpellier), médecin en chef de l'hôpital de Montpellier et professeur de clinique à la faculté de médecine de cette ville, Chevalier de l'Empire (),

Parti, au 1, d'azur à la bande componée d'or et de gueules, chargée de deux étoiles d'or sur le gueules et accompagnée en chef d'une étoile du même; au 2, de sable à l'épée haute en pal d'or, tortillée d'un serpent d'argent; bordure cousue de gueules du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers légionnaires, posé au deuxième point en chef.[13]

Louis Bruyère ( - Lyon - Paris), Ingénieur des ponts et chaussées, Légionnaire 1809, Maître des requêtes au Conseil d'État (), Chevalier de l'Empire (), Officier , inspecteur général des Ponts et Chaussées 1816,

De sinople à la barre cousue du tiers de l'écu de gueules au signe des chevaliers légionnaires, accompagné en chef d'une équerre d'or, et en pointe d'un lévrier assis contourné d'argent.[3]

C

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
Pierre de Cabrol de Mouté ( - Nîmes - Montpellier), aide de camp du général Charles Étienne Gudin de La Sablonnière, Chevalier de Cabrol de Mouté et de l'Empire (, lettres patentes du ), Légionnaire (25 prairial an XII),

Coupé d'or et de sinople : l'or à la cuirasse de sable ; le sinople à la barrière soutenue d'argent : bordure du tiers de l'écu de gueules au signe des chevaliers légionnaires posé au premier point en chef[15].

René Hippolyte Jean Cadet de Fontenay, colonel du 6e régiment d'artillerie à cheval, Chevalier de l'Empire (lettres patentes du , chevalier de la Légion d'honneur,

D'argent à un chevron de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires accompagné en chef de deux têtes de cheval de sable, bridées de gueules, soutenues l'une et l'autre d'un obus éclatant de sable enflammé de gueules et en pointe d'une épée haute en pal de gueules.

Charles Ambroise de Caffarelli du Falga ( - Falga - Falga), chanoine avant la Révolution, Préfet de l'Ardèche (1800-1801), préfet du Calvados (1801-1810), préfet de l'Aube (1810-1814), chevalier de Caffarelli et de l'Empire (1808), baron de Caffrelli et de l'Empire (1809)
  • Armes de la Famille Caffarelli : Parti: au 1, d'azur, au lion d'or ; au 2, coupé : a. taillé d'or sur gueules ; b. tranché d'or sur gueules. Au chef de l'écu d'or, brochant sur le parti et chargé d'une aigle de sable, couronnée d'or.[6]
  • Armes de Chevalier de l'Empire :
    • Parti : au 1, taillé d'argent et de gueules ; au 2, d'argent, au lion de sable lampassé de gueules, à la bordure de gueules, chargée de l'insigne des Chevaliers légionnaires.[6]
Ou,
    • Parti : au 1, d'argent, au lion de sable ; au 2, coupé d'un taillé d'argent sur gueules, sur un tranché d'argent sur gueules ; à la champagne du même, chargée de l'insigne des Chevaliers légionnaires.[6]
Charles-Ambroise Caffarelli (1758-1826), préfet de l'Ardèche (1800-1801), préfet du Calvados (1801-1810), préfet de l'Aube (1810–1814), chevalier de l'Empire (à la suite du décret du 25 prairial an XII le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes signées à Burgos le )), baron (décret du , lettres patentes signées à Paris le )), Légionnaire (décret du 25 prairial an XII),

Parti, le premier d'argent au lion grimpant de sable lampassé de gueules ; le deuxième coupé ; le premier du coupé : taillé d'argent et de gueules, le deuxième tranché d'argent et de gueules ; le tout soutenu d'une champagne de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers.[15] - [6]

Alias (selon Rietstap)
Parti: au 1, taillé d'argent et de gueules; au 2, d'argent, au lion de sable lampassé de gueules, à la bordure de gueules, chargée du signe des légionnaires.[6]
Louis Caillemer ( - Carentan - Saint-Lô), Chef d'escadron (), Major en second (), Adjudant-commandant (), Adjudant-général (), Chevalier de l'Empire avec majorat héréditaire en Westphalie (lettres patentes du ), Légionnaire (), puis, Officier de la Légion d'honneur (),

D'azur au cheval galopant d'argent surmonté d'un globe du même ; sommé à senestre d'un fer de lance d'argent, soutenu d'une champagne de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires.[21]

Jean-Jacques Camus (né à Artigues (Var) le ), chef de bataillon au 28e de ligne, fut créé chevalier de l'Empire (lettres patentes du ), chevalier de la Légion d'honneur,

D'azur à un chevron de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires, accompagné en chef de deux lévriers affrontés contre-rampants d'argent, colletés d'or, et en pointe d'une grenade allumée d'argent.[10]

Hippolyte Cartier (né à Arles en 1770), chef de bataillon au 7e léger, plus tard colonel, chevalier de l'Empire (avec majorat, le , avec une dotation de 2 000 francs, le ),

De gueules chapées d'argent, les gueules chargées du signe des chevaliers légionnaires, l'argent de deux grenades de sable, rangées en fasce, enflammées de gueules, surmontées d'un comble d'azur à l'épée posée en fasce d'or, la pointe à dextre.[10]

Célestin-Joseph Castille (de Douai), officier d'artillerie, officier d'ordonnance de Napoléon Ier

adjudant-commandant (1804), inspecteur général du train d'artillerie, chevalier de l'Empire (),

Parti, au 1 d'argent à deux bananiers de sinople, terrassés du même; au 2 d'azur à une tour d'argent ajourée de quatre embrasures de sable, et accompagnée en pointe et à dextre d'une pile de boulets aussi d'argent, et à senestre d'un mortier du même, à la champagne de gueules soutenant la partition, chargée d'une étoile d'argent (ou du signe des chevaliers légionnaires).

Georges-Antoine Chabot de l'Allier (, à Montluçon, à Paris), Tribun après le 18 brumaire, inspecteur des Écoles de droit de Poitiers et de Toulouse, député au Corps législatif, inspecteur général des études sous la Restauration. Chevalier de l'Empire.

Tiercé en fasce, au 1, de sable au soleil rayonnant d'or surmontant une tour naissante crénelée de quatre pièces du même; au 2, de gueules, chargé du signe des chevaliers légionnaires ; au 3, d'azur à trois chabots nageant en fasce d'argent 2 et 1.[7]

Armes parlantes (Les Chabots).

Antoine Didier Jean-Baptiste Challan ( - Meulan - Paris), procureur-syndic du roi au bailliage de Meulan, procureur-syndic du département de Seine-et-Oise (1790), Président du tribunal criminel de Seine-et-Oise, Député de Seine-et-Oise au Conseil des Cinq-Cents (27 germinal an VI), Membre du Tribunat (4 nivôse an VIII), Député de Seine-et-Oise au Corps législatif (), Député de Seine-et-Oise à la Chambre (1814-1816), Chevalier de l'Empire (), Récipiendaire de lettres de noblesse (), Légionnaire (26 frimaire an XII), puis, Officier de l'ordre royal de la Légion d'honneur (),

Tiercé en fasce : au 1, d'azur, à un drapeau d'or, en barre; au 2, de gueules à l'insigne des chevaliers légionnaires ; au 3, de sable, à un livre fermé d'argent, la tranche en bas, et un compas d'or, ouvert en chevron et brochant sur le livre.[5]

Jean-François Champagne[22] (1751 - Semur-en-Auxois1813), élève du Lycée Louis-le-Grand, diplômé d'une maîtrise ès arts (1774), professeur de seconde au Lycée Louis-le-Grand (1778), Proviseur du Lycée impérial, membre de l'Institut de France, secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences morales et politiques (an VIII-an IX), Chevalier de la Légion d'honneur (1804), Chevalier de l'Empire (),

D'or, à la plume et à la palme au naturel, croisées en sautoir, chargées d'un rouleau formé de manuscrits antiques de sable, surmontées d'un œil au naturel. Bordure de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers légionnaires, posé en chef au deuxième point.[7]

Joseph-Nicolas de Champeaux ( - La Chaume (Côte-d'Or) - Montigny (Seine-et-Oise)), Député du clergé du bailliage de Montfort-l'Amaury aux États-Généraux (), Député à l'Assemblée constituante de 1789, Conseiller et inspecteur général de l'Université impériale (Premier Empire et Cent-Jours) et royale de France (Première Restauration), Chevalier de l'Empire (), Chevalier de la Légion d'honneur,

D'or, à la bande de sable chargée de trois besants du champ et accompagnée de deux croix patées de gueules. (Armes anciennes de la famille) Le tout sénestré d'un pal de gueules du tiers de l'écu chargé du signe des chevaliers légionnaires.[7]

Hyacinthe Adrien Joseph Chapuis ( - Carpentras (Vaucluse) ✝ - Paris), Administrateur à Carpentras, Député de Vaucluse (au Conseil des Cinq-Cents (28 vendémiaire an IV), au Corps législatif (6 germinal an XI, confirmé le ), à la Chambre des Cent-Jours ()), secrétaire général de la préfecture des Bouches-du-Rhône (5 frimaire an X), Chevalier de l'Empire (), Chevalier de la Légion d'honneur (4 frimaire an XII),

D'azur à un chevron de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires, accompagné en chef de deux étoiles d'or et en pointe d'une foi d'argent.[10]

Louis Claude du Chastel ( - Saumur (Maine-et-Loire) ✝ - Charonne (Paris XXe depuis 1859), Colonel, maréchal de camp, chevalier de Lamartinière et de l'Empire, grand officier de la Légion d'honneur, Chevalier de Saint-Louis,
  • Armes des Chastel de La Martinière : D'argent à deux tours d'azur, accompagnées en chef d'un étoile de sable et en pointe d'un léopard de gueules.
  • Armes de Chevalier de l'Empire : D'argent à un chevron de gueules chargé de l'insigne des Chevaliers Légionnaires ; accompagné en chef de deux mollettes de sinople et en pointe d'un dextrochère au naturel rebrassé de sinople tenant une épée haute de gueules.
Didier Auguste Chifoliau, médecin principal des armées, Chevalier de l'Empire (),

D'azur, au pal d'or chargé d'un bâton de sable accolé d'un serpent du même ; champagne de gueules du tiers de l'écu chargée du signe des chevaliers légionnaires.[13]

Charles Cochon de Lapparent ( - Champdeniers - Poitiers), préfet de la Vienne (1800-1805) puis préfet des Deux-Nèthes (1805-1809), sénateur (), Chevalier Cochon de Lapparent et de l'Empire (lettres patentes du , Saint-Cloud[15]), Comte Cochon de l'Apparent et de l'Empire (lettres patentes du , Ebersdorf), Légionnaire (25 prairial an XII), puis, Officier de la Légion d'honneur (),

D'or, au chevron de gueules du tiers de l'écu, chargé du signe des chevaliers accompagné de trois têtes de sanglier de sable.[15]

 Armes parlantes (sangliercochon).
Hercule Corbineau ( - Marchiennes - Châlons-sur-Marne), chef d'escadron (), Major-colonel des chasseurs à cheval de la Garde impériale (), chevalier Corbineau et de l'Empire (lettres patentes du ), baron Corbineau et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Paris)), Légionnaire (14 brumaire an XIII), puis, Officier de la Légion d'honneur (),
  • Armes de chevalier de l'Empire : D'azur, à la fasce de gueules au signe des chevaliers, accompagnée en chef d'un dextrochère armé d'une massue le tout d'or et en pointe d'un serpent se mordant la queue en cercle d'argent, traversé en sautoir de deux épées hautes d'or.[15] - [23] - [24]
  • Armes de baron de l'Empire : D'azur, à la fasce de gueules au signe des chevaliers, accompagnée en chef d'un dextrochère armé d'une massue le tout d'or et en pointe d'un serpent se mordant la queue en cercle d'argent, traversé en sautoir de deux épées hautes d'or ; au franc quartier des barons tirés de notre armée.[15] - [23] - [24]
Alexandre Henri Simon Cornu de La Fontaine (né le à Paris), payeur général des dépenses diverses, chevalier de l'Empire (lettres patentes du ), chevalier de la Légion d'honneur,

Tiercé en fasce : au 1, d'azur, à un œil d'argent, rayonnant du même ; au 2, de gueules à l'insigne des chevaliers légionnaires ; au 3, de sable, à cinq besants, 3 et 2, les trois premiers d'argent et les deux autres d'or.[5]

Armes parlantes (« Cornu » est proche de « cornet »).

François Benoît Cornut de La Fontaine de Coincy[25] ( - Saint-Denis - Paris), notable, chevalier de l'Empire (lettres patentes du ) (Ou du 24 août 1811 [26]?), caissier général du trésor royal, chevalier de l'ordre royal de la Légion d'honneur,

D'azur à trois cornets d'or 2 et 1, à la bordure de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires.[20]

Armes parlantes (« Cornut » est proche de « cornet »).

Bon-Baudoin de Crépy ( - Longwy - Bataille de Lützen), capitaine aux chasseurs à pied de la Garde impériale, chevalier de l'Empire (lettres patentes du ), donataire (1 000 francs sur le Mont-de-Milan, ),

Tiercé en bande : au I de sinople à une épée haute en pal d'or ; au 2 de gueules au signe des chevaliers légionnaires ; au 3 d'azur au lévrier assis d'or colleté de gueules.[20]

Pierre Crouzet (17531811), ancien professeur de l’université de Paris, Directeur des études au Prytanée militaire, correspondant de l'Institut de France, Chevalier de l'Empire (), chevalier de la Légion d'honneur,

Tiercé en fasce, de sinople, de gueules et d'or ; le sinople, à la fleur de pensée au naturel ; le gueules; au signe des chevaliers légionnaires ; l'or, à la palme de sinople et à la palme de sable, croisées en sautoir.[7]

Georges Jean Léopold Nicolas Frédéric Dagobert Cuvier ( - Montbéliard - Paris), naturaliste, professeur au Collège de France, membre et secrétaire de première classe de l'Institut de France, conseiller de l'Université, puis inspecteur général, maître des requêtes au Conseil d'État, pair de France, Chevalier de l'Empire (), Baron sous la Restauration,
  • Armes sous le Premier Empire : D'azur, au chevron d'or, accompagné de trois têtes de pigeon arrachées d'argent, 2 en chef, 1 en pointe. Fasce de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires, brochant sur le tout.[7]
  • Armes sous la Restauration : D'azur, au chevron d'or, accompagné de trois têtes de pigeon arrachées d'argent, 2 en chef, 1 en pointe.[7]

D

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
Bon-Joseph Dacier (, à Valognes, à Paris), Membre de l'Institut de France, secrétaire perpétuel de la classe d'histoire et de littérature ancienne, administrateur de la Bibliothèque impériale, Chevalier de l'Empire (, puis Baron (),

D'azur, à la barre cousue de gueules du tiers de l'écu, chargé du signe des chevaliers posé au 3e point en chef, accompagnée en chef à dextre d'un Y ou pairle d'or et en pointe de trois delta, 1, 2, d'argent.[7] - [5]

Nicolas Dalayrac (, à Muret, à Paris), Compositeur, membre de la Légion d’honneur à la suite du décret du 28 messidor an XII, Chevalier de l'Empire par lettres patentes du signées à Ebersberg.
Jean Baptiste Damelincourt ou d'Hamelincourt chirurgien-major au 33e de ligne, Chevalier de l'Empire (),

D'azur, au coq hardi d'or, surmonté de deux étoiles en fasce d'argent; champagne cousue de gueules du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[13]

François-Isidore Darquier ( - Beaumont-de-Lomagne - Vitoria-Gasteiz), lieutenant-colonel aux grenadiers à pied de la Garde impériale, colonel-major (), Chevalier Darquier et de l'Empire (lettres patentes du ), Baron Darquier et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Saint-Cloud)), Légionnaire (25 prairial an XII), puis, Officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre de la Couronne de Fer (1810),
  • Armes de chevalier de l'Empire : D'argent, à la bande de gueules au signe des chevaliers, accompagnée en chef d'un casque grillé de sable, taré de profil, accosté de deux étoiles d'azur, et en pointe d'un lion léopardé de gueules, regardant, passant sur une terrasse de sinople et tenant de sa patte levée cinq piques de sable, posées sur son épaule.[6]
  • Armes de baron de l'Empire : Coupé, au premier parti à dextre d'argent au casque taré de fasce de sable, surmonté de deux étoiles d'azur ; à sénestre des barons tirés de l'armée ; au deuxième d'azur au lion léopardé la tête contournée d'or, portant un faisceau de lance d'argent, posées en barre.[15]
Guillaume Louis Darthenay (Tribehou (Normandie), Meslay (Calvados), ), député du Calvados au Corps législatif, membre du collège électoral du Calvados, chevalier Darthenay et de l'Empire (à la suite du décret du le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes du signées à Compiègne), baron Darthenay et de l'Empire (décret du , lettres patentes du signées à Lille), membre de la Légion d'honneur (décret du ),

Coupé au premier d'or au dextrochère brassardé de sable, mouvant du canton senestre en chef tenant une flèche du même posée en bande ; au deuxième de pourpre au comble d'argent : bordure de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers posé en pointe.[15]

Jacques Louis David ( - Paris - Bruxelles), peintre, Membre, puis président de la Convention nationale, membre de l'Institut de France, premier peintre de l'Empereur, exilé en 1815, Chevalier de l'Empire (1808),

D'or à la palette de peintre de sable chargée de deux bras de carnation mouvant à dextre d'un manteau de gueules, la main dextre apaumée, la sénestre tenant trois sabres de fer poli ; le tout soutenu d'une champagne de gueules au signe des chevalier.[15] - [7]

Armes parlantes (Ces armes rappellent le fameux tableau Le Serment des Horaces, peint par David[7].).
Louis-Victor Decaux ( - Douai - Saint-Germain-en-Laye), chef de bataillon (), chef de division du ministère de la Guerre (1807), colonel (), général de brigade (1811), lieutenant-général (), Chevalier de Blacquetot et de l'Empire (lettres patentes du avec dotation de 500 francs sur le Monte Napoleone le ), Baron de Blacquetot et de l'Empire (décret du 29 décembre avec dotation de 4 000 francs, lettres patentes du ), Vicomte (, lettres patentes du ), Légionnaire (25 prairial an XII), puis, Officier (), puis, Commandeur (), puis, Grand officier (), puis, Grand-croix de la Légion d'honneur (), Chevalier (), puis, Commandeur (), puis, Grand-croix de Saint-Louis (), Grand-croix de l'Ordre de Charles III, Grand-croix de l'Ordre de Saint-Ferdinand d'Espagne, Grand-croix de l'Ordre d'Isabelle-la-Catholique, Commandeur de l'Ordre impérial de Léopold, Commandeur de l'Ordre royal des Guelfes, Commandeur de l’Ordre de Saint-Henri de Saxe, Chevalier de 1re classe de l'Ordre de Sainte-Anne de Russie, Pair de France (),
  • Armes du chevalier de Blacquetot et de l'Empire : Parti de gueules et de sable, le gueules au chevron d'or accompagné en chef de deux étoiles et en pointe d'une rose, le tout d'argent; le sable chargé de deux alérions, posés en fasce d'argent; à la champagne de gueules brochante chargée au signe des chevaliers légionnaires.[24]
  • Armes du baron de Blacquetot et de l'Empire : Parti de gueules et de sable, le gueules au chevron d'or accompagné en chef de deux étoiles et en pointe d'une rose, le tout d'argent; le sable chargé de deux alérions, posés en fasce d'argent; au franc-quartier des barons militaires.[24]
Gaspard Gilbert Delamalle[27] (1752 - Paris1834), Bâtonnier des avocats de Paris, conseiller titulaire de l'Université, Auditeur au Conseil d'État, préfet des Pyrénées-Orientales (1813), commandeur de la Légion d'honneur, Chevalier de l'Empire (), Donataire, Conseiller d'État au Conseil du Roi (), conseiller au conseil royal de l'Instruction publique (), conseiller titulaire de l'Université impériale (), anobli par lettres en 1821, vicomte (1830)

Parti, au 1, de sable à deux palmes d'or nouées d'une branche d'olivier du même; au 2, d'azur, au soleil d'or, cantonné à dextre en pointe, dissipant un nuage de sable cantonné en chef à sénestre. Champagne de gueules du tiers de l'écu chargé du signe des chevaliers légionnaires, brochant sur le parti[7] - [6].

Jean-Baptiste Joseph Delambre ( - Amiens - Paris), astronome, mathématicien, géodésien, associé géomètre de l'Académie des sciences (1792), puis secrétaire pour les sciences mathématiques (1800), inspecteur général des études (1802), chaire d'astronomie du Collège de France (1807), membre du conseil de l'Université (1808-1815), directeur de l'observatoire de Paris (1804-1822), Chevalier de l'Empire (), Baron de l'Empire (), Légionnaire, puis Officier de la Légion d'honneur (1821),
  • Armes de Chevalier de l'Empire : De sable, à la fasce cousue de gueules chargée de l'insigne des Chevaliers légionnaires, semé en chef d'étoiles d'argent parmi lesquelles deux plus grandes, l'une à dextre au premier point, l'autre à sénestre vers l'angle inférieur; en pointe, un globe terrestre d'or et d'argent ceint d'un méridien de sable.[7]
Dominique Vivant Denon ( - Givry (Saône-et-Loire) - quai Voltaire, Paris), graveur, écrivain, diplomate et administrateur français, collectionneur et réorganisateur du musée du Louvre, secrétaire d’ambassade à Saint-Pétersbourg, puis en Suède, puis en Suisse (1775), secrétaire d'ambassade (1782) puis chargé d'affaires à Naples, membre de l'Académie royale de peinture et de sculpture (1787), membre de l'Institut d'Égypte (), Membre de l'Institut de France (Académie des beaux-arts, ), Gentilhomme ordinaire de la Chambre du Roi (1768), Directeur général de la Monnaie et des musées impériaux, baron Denon et de l'Empire (1813),
  • Armes des Denon sous l'Ancien Régime : Coupé : au 1, d'argent, à un balancier de sable ; au 2, d'or, à un cerf passant de gueules et un chef d'azur, chargé de trois étoiles d'argent.[6]
  • Armes de Chevalier de l'Empire : Tiercé en fasce d'argent, de gueules et d'or ; l'argent au balancier monétaire de sable ; le gueules à l'insigne des Chevaliers légionnaires ; l'or, au cerf passant de gueules, en chef, d'azur, chargé de trois étoiles d'argent, qui sont les armes anciennes.[7]
Pierre Dereix[28] (, à Aigre (Charente) - , à Saint-Malo), engagé dans la Compagnie des Volontaires du Canton d'Aigre (), dont il est élu capitaine, chef de bataillon au 22e régiment d'infanterie de ligne (), Lieutenant-colonel au 225e de Ligne (), fait [colonel] sur le champ de bataille, à Goldberg (), commandant provisoire de Brest (), Chevalier de la Légion d'honneur (), chevalier de Saint-Louis (), Chevalier de l'Empire (1810, avec dotation, confirmé en 1818),

Tiercé en bande, au I d'azur à une grenade d'argent enflammée d'or ; au II de gueules à l'insigne des chevaliers légionnaires ; au III de sable au dextrochère d'argent tenant une épée du même.

Jean Deval de Guymont ( - Pontaumur (Puy-de-Dôme) ✝ - Riom), Juge au tribunal du district de Riom (1790), Commissaire et accusateur public près le tribunal criminel de Riom (an II), Député du Puy-de-Dôme au Corps législatif (9 thermidor an XI () - 1809), Procureur général près la Cour de justice criminelle du Puy-de-Dôme (1809 - 1811), Président de chambre à la Cour impériale de Riom ( - 1833), Baron de Saunade, Chevalier de l'Empire (), Chevalier de la Légion d'honneur (an XII),
  • Armes de la famille de Val ou Deval, barons de Saunade, seigneurs de Combrailles, de Vedières, de Viailles, de Guymont et autres lieux : Parti : au I, d'argent à la branche de fougère de sinople ; au II, d'azur à trois besants d'or. Couronne : de baron. Support : deux sauvages. Devise :Pro regis et patria[29]. ;
  • Armes de Chevalier de l'Empire : D'or à la bande de gueules chargée de l'insigne des chevaliers légionnaires, accompagnée en chef d'une grue de sable et en pointe d'un mont du même sommé et chargé d'un gui du même.[5]

Armes parlantes. (« Rébus » : gui et mont⇔Guymont)

Jacques François Laurent Devisme (, à Laon, à Laon), député du Tiers-états aux États généraux de 1789, Président du Corps législatif (an X), Membre de la chambre des représentants (Cent-Jours), Légionnaire (5 frimaire an XII), Chevalier de l'Empire (),

Parti, le premier d'azur au chevron de gueules accompagné en chef de deux étoiles et en pointe d'un croissant montant le tout d'or ; le deuxième d'azur à la fasce d'or sommée d'une pyramide de gueules maçonnée de sable, accostée de deux étoiles d'or et accompagnée en pointe d'un mouton passant d'argent, tenant une bannière de même sur le pennon de laquelle est une croix de sable ; champagne de gueules au signe des chevaliers.[15]

François-Gabriel Dornier[30] ( - Rueil-Malmaison - Maisons-Alfort), major au 19e régiment de chasseurs à cheval (1810), colonel au 29e régiment de chasseurs à cheval (1813), chevalier de l'Empire (1810), chevalier de Saint-Louis (1825), baron (25 mars 1830),

D'argent à l'épée en pal la pointe basse accompagnée de trois molettes le tout de sable ; fasce de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers.[31] - [32]

Étienne Thérèse Amarante Duboys Fresney[33] ( - Rennes), colonel du génie, chevalier de l'Empire (1810), chevalier de Saint-Louis (1817),

D'or à la muraille crénelée de 4 pièces d'azur, accompagnée en chef d'un casque de sable, taré de face, et en pointe d'une épée haute entre 2 bombes aussi de sable et une bordure de gueules chargée en pointe d'une croix de légionnaire d'argent.[33]

Dupin, colonel, Chevalier de l'Empire,

D'azur, à un coq hardi d'or, accompagné d'une étoile d'argent, posée au canton dextre du chef, soutenu d'une champagne de gueules chargée de l'insigne des chevaliers légionnaires.[5]

Jacques-Romain Dupré[34] (, à Loriol-sur-Drôme), lieutenant au 2e régiment d'infanterie légère, retraité capitaine, chevalier de la Légion d'honneur (26 prairial an XII), chevalier de l'Empire,

Tiercé en fasce ; au I, d'azur au lion rampant, adextré d'une tour, senestré d'une épée d'or ; au II, de gueules au signe des chevaliers légionnaires ; au III, d'or au coq de sable, crété, barbé de gueules, soutenu d'un pré de sinople.[35]

E

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
Gaspard Eberlé ( - Schelestadt - Nice), Général de brigade, chevalier de l'Empire (Lettres patentes du ),

D'azur à un chevron de gueules chargé de l'insigne des chevaliers légionnaires, soutenu d'une main d'argent tenant un sabre haut d'or, au chef d'or chargé de deux étoiles d'azur.[8]

Jean-Georges Edighoffen (Colmar, - Colmar, ), général de brigade en retraite, chevalier de l'Empire (à la suite du décret du 4 nivôse an XIV le nommant commandant de la Légion d'honneur, lettres patentes signées le à Rambouillet), officier (25 prairial an XII), puis, commandant de la Légion d'honneur (4 nivôse an XIV),

De sable à l'épée en bande d'or cotoyée de deux cotices du même, bordure de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers posé au deuxième point en chef.[15]

F

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
Giovanni Fabbroni - Florence - Pise[36]), député de l'Arno au Corps législatif, Chevalier Fabbroni et de l'Empire (à la suite du décret du le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes de , Compiègne), légionnaire (),

Parti au premier d'azur à la bande d'argent chargée de trois marteaux du champ, sénestrée au chef d'un globe d'argent chargé d'un sautoir de gueules ; au deuxième d'azur à la fasce d'or, accompagnée de trois roues du même : champagne de gueules du tiers de l'écu, au signe des chevaliers.[15]

Marie-Félix Faulcon de La Parisière, député, Président du Corps Législatif (chevalier de l'Empire par lettres patentes du ).

D'argent au faucon longé et perché de sable, becqué et membré de gueules, allumé du champ, soutenu de deux palmes en sautoir de sinople, à la champagne du tiers de l'écu de gueules au signe des chevaliers.

Alexandre de Fauris de Saint-Vincens ( - Aix-en-Provence - Aix-en-Provence), Président à mortier au parlement de Provence (charge de son père, - 1789), Maire d'Aix-en-Provence ( - ), Député des Bouches-du-Rhône au Corps législatif (), Président de chambre à la cour impériale puis royale d'Aix ( (confirmé le ) - 1819), Député des Bouches-du-Rhône à la Chambre des députés (1814), Chevalier de l'Empire (), Officier de la Légion d'honneur,
  • Armes des Fauris de Saint-Vincens : Écartelé : aux I et IV, d'argent à la guivre (ou couleuvre) de sinople ; aux II et III, d'azur à la colombe d'argent.[10] - [37] - [38] - [39] ;
  • Armes de Chevalier de l'Empire : Parti d'argent à la guivre (ou couleuvre) de sinople, et d'azur à la colombe d'argent ; à la champagne de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires brochant sur le parti.[10]
Pierre-François-Placide Fouque (de Moustiers-Sainte-Marie), chef de bataillon, aide de camp, chevalier de l'Empire (avec majorat le ),

D'azur, au renard passant d'argent ; à la champagne de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires.[10]

Henri de Fulque[40] (originaire de Valensole), général de brigade (1790), comte d'Oraison, Chevalier d'Oraison et de l'Empire (),
  • Armes de la famille Fulque d'Oraison : De gueules, à un faucon essorant d'argent sur une colonne de même ; au chef cousu d'azur chargé de trois étoiles d'or.[10] - [41] - [42]
  • Armes du Chevalier d'Oraison et de l'Empire : D'azur, à la tour d'argent maçonnée de sable, surmontée d'une colombe essorante contournée d'argent et de trois étoiles d'or rangées en pal; le tout senestré d'un tiers de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires.[10]

G

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
Antoine-Laurent-Marie Garavaque ( - Marseille), major au 10e dragons, colonel au 14e hussards (1813), puis au 8e Cuirs (1815), chevalier de l'Empire (),

Coupé : au I de sinople à la colombe essorante d'argent, tenant dans son bec un rameau d'olivier d'or ; au II d'azur au lion assis d'or;à la bordure de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires[10].

Antoine-Nicolas Gayant[43] (né le ), Inspecteur divisionnaire des Ponts et Chaussées, chargé de l'exécution du canal de Saint-Quentin (1810), Chevalier de l'Empire (),

D'argent au monument de sable ouvert d'une arche du champ; figurant l'entrée d'un canal souterrain (canal de Saint-Quentin), à la rivière d'azur passant sous l'arche, soutenant un navire d'or. Le tout soutenu d'une champagne de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers.[7]

Étienne Geoffroy Saint-Hilaire (1772 - Étampes1844), zoologiste et naturaliste français, Membre de l'Institut d'Égypte, organisateur du Muséum de Paris, Chevalier Geoffroy Saint-Hilaire et de l'Empire (à la suite du décret du 26 frimaire an XII le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes du , Paris), Légionnaire (26 frimaire an XII), puis, Officier de la Légion d'honneur ().

Tiercé en bande d'or, de gueules et d'argent ; l'or à la pyramide de sable, le gueules au signe des chevaliers ; l'argent au crocodile d'azur.[7] - [15]

Louis-Anne-Marie Gouré, dit de Villemonté ( - Tonnerre (Yonne) - Lützen (Saxe)), général de brigade, Légionnaire (décret impérial du 25 prairial an XII), puis, Officier de la Légion d’honneur (décret impérial du 15 Germinal an XIII : ), Chevalier de l’Ordre de Maximilien Joseph de Bavière (décret impérial du ), Chevalier de l'Empire,

D’or à l’épée de gueules en bande, accompagnée en chef et en pointe d’une tête de cheval de sable, allumée et lampassée de gueules, à la bordure de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[11]

Balthazard Grandjean (26 janvier 17603 décembre 1824), général de brigade (1803), Commandant de la Légion d'honneur (1804), Chevalier des Grands-Chenets et de l'Empire (1810),

D'azur, à deux étoiles d'or, posées en bande, à la bordure de gueules, chargée du signe des légionnaires.[6]

André Ernest Modeste Grétry (17411813), compositeur liégeois, Chevalier légionnaire,

D'argent à un pal de gueules, chargé de l'insigne des Chevaliers légionnaires, addextré d'une lyre cousue d'or et cordée de sable, et sénestré d'un fer de moline de sable.

* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives.

Louis-Bernard Guyton de Morveau, puis Guyton-Morveau (, à Dijon (Côte-d'Or) ✝ , à Paris), chimiste français, Procureur général syndic du département de la Côte-d'Or (1790), député à l'Assemblée législative (1791) puis à la Convention nationale, membre du Comité de salut public (), directeur par intérim de l'École polytechnique (3 mars 1798), correspondant à l'Académie des sciences, membre de l'Institut national des sciences et des arts (), Chevalier de l'Empire (), Baron de l'Empire (),

D'azur au chevron d'or accompagné en chef de deux heaumes d'argent et en pointe d'un vase fumigatoire du même. Champagne cousue de gueules du tiers de l'écu chargée du signe des chevaliers légionnaires.[7]

H

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
Alexandre d'Haubersart ( - Douai - Douai), premier président de la cour d'appel de Douai, député au Corps législatif, sénateur ( : dernier promu), chevalier Dhaubersart et de l'Empire (à la suite du décret du 25 prairial an XII le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes du , (Paris)), baron d'Haubersart et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Gand), institution de majorat, attaché au titre de baron, accordée par lettres patentes du , à Paris), comte d'Haubersart et de l'Empire (lettres patentes du (Saint-Cloud), légionnaire (25 prairial an XII), puis, officier de la Légion d'honneur ().
Selon ses lettres patentes
D'azur, au chevron de gueules chargé du signe des chevaliers accompagné en chef d'une étoile d'or et en pointe d'une balance d'argent.[15]
On trouve aussi
D'azur au chevron de gueules, chargé du signe des chevaliers légionnaires, et accompagné au chef de deux étoiles d'or, et, en pointe d'une balance d'argent.[24]
Jean-Antoine Houdon (, Versailles, Paris), sculpteur français, membre de l'Institut de France, Chevalier de l'Empire (),

D'azur au chevron cousu de gueules du tiers de l'écu, chargé du signe des chevaliers légionnaires, accompagné en chef, à dextre d'un croissant, à sénestre d'un arc et d'une flèche, le tout d'argent; et en pointe d'un vieillard assis dans un fauteuil, le tout aussi d'argent. (Ces armes rappellent la statue de Voltaire assis dans un fauteuil, un des chefs-d'œuvre de Houdon)[7].

Charles Angélique François Huchet de La Bédoyère ( - Paris - Paris), capitaine aide de camp, Chevalier Huchet de La Bédoyère et de l'Empire (à la suite du décret du le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes du , Fontainebleau), légionnaire (), puis, officier de la Légion d'honneur (), chevalier de l'Ordre de la Couronne de fer (),

D'azur à la fasce d'or chargée d'une étoile du champ, et accompagnée de trois croissants aussi d'or, deux en chef, un en pointe le tout soutenu d'une champagne de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers.[15]

Étienne Hulot[44] de Mazerny (15 février 1774, à Mazerny, à Nancy), colonel (1808), général de brigade (1812), Commandeur de la Légion d’honneur (), Chevalier de l'Empire (), Baron de l'Empire (),

Armes de Chevalier de l'Empire : D'argent au dextrochère au naturel armé d'azur mouvant du flanc senestre de l'écu, tenant une épée de sable, accompagné de trois chouettes (hulottes) de sable posées de front ; à la bordure de gueules chargée au point du chef de l'insigne des chevaliers légionnaires de l'Empire.

François Alexandre Hurel[45] - [46] (1774- Acon1847 - Paris), soldat de l'An II, capitaine, colonel (sous la Restauration), Chevalier de l'Empire, baron (sous la Restauration),

Tiercé en fasce : au I, d'azur au vol ouvert d'argent chargé d'une épée haute posée en pal et adextré d'une étoile aussi d'argent ; au II, de gueules à l'insigne des chevaliers légionnaires ; au III, d'or à la pyramide de sable soutenue de sinople et senestrée d'un palmier terrassé du même.[5]

J

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
Claude François Jannot de Moncey[47] (né en 1752), Chevalier de l'Empire,

D'azur, à une main d'or, ailée d'argent, tenant une épée du même en pal ; à la champagne de gueules chargée de l'insigne des Chevaliers légionnaires.

Pierre Amédée Jaubert ( - Aix-en-Provence - Paris), orientaliste, traducteur français, membre de la Commission des sciences et des arts, chargé d'affaires à Constantinople, professeur de persan au Collège de France (1838), professeur de turc à l'École des langues orientales (président en 1838), chevalier de l'Empire (lettres patentes du mois de ), membre de Académie des inscriptions et belles-lettres (1830), pair de France et conseiller d'État (1841),

De sinople au chevron d'or accompagné en chef d'un croissant du même, les pointes à dextre; à la fasce de gueules, brochante et chargée du signe des chevaliers légionnaires.[10]

Jacques Casimir Jouan ( - Saint-Christophe-du-Foc - Tréauville), Volontaire en 1791 au 2e bataillon du département de la Manche, Général de brigade puis Maréchal de camp, Commandeur de la Légion d’honneur, Chevalier de l'Empire,

D’or au cheval arrêté de sable, surmonté d’une gerbe de blé de sinople, à la champagne de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires.[11] - [9]

Joseph Paul Maurice de Julien de Montaulieu (né le à Valréas), capitaine de cavalerie, chevalier de la Légion d'honneur, chevalier de l'Empire (), Chevalier de Saint-Louis,
  • Armes primitives : D'azur, au chevron d'or ; au chef de gueules chargé d'une bande d'argent à une étoile d'or.[10]
  • Armes de chevalier de l'Empire : D'azur, au chevron, surmonté d'un comble de gueules à la bande d'argent chargée d'une étoile d'azur; à la bordure de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires.[10]
Jules-Joseph de Julien de Montaulieu (né le à Valréas), enseigne de vaisseau, chevalier de la Légion d'honneur, chevalier de l'Empire ()
  • Armes primitives : D'azur, au chevron d'or ; au chef de gueules chargé d'une bande d'argent à une étoile d'or.[10]
  • Armes de chevalier de l'Empire : Coupé : au I, de gueules à la bande d'argent chargée d'une étoile du champ ; au II, d'azur au chevron d'or, accompagné en cœur d'une ancre d'argent ; à la bordure de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires.[10]

K

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
Jean-Jacques Kessel (17721847), chef de bataillon aux 4e voltigeurs de la Garde impériale, chevalier de l'Empire (décret impérial du et lettres patentes du ), Légionnaire par décret impérial du 25 prairial an XII (), puis, Officier de la Légion d'honneur le

D'or au lion couché de sable, soutenu de sinople, adextré en chef d'une étoile d'azur ; champagne du tiers de l'écu de gueules au signe des chevaliers légionnaires.[15]

George Frédéric Kitz (né le , à Sohrau -Haute-Silésie, Pologne), chirurgien-major au 1er régiment de la Vistule, domicilié dans le département des Ardennes, il fit une demande de naturalisation le [48], Chevalier de l'Empire (),

Tiercé en pal, d'azur, de gueules et d'argent; l'azur, à la massue d'or accolée d'un serpent d'argent; le gueules, au signe des chevaliers légionnaires; l'argent, à une jambe vêtue d'azur, le pied chaussé d'un soulier à talon rehaussé, de sable, mouvant du flanc senestre, et soutenu de sinople.[13]

L

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
Laurent Lafaurie de Montbadon - Bordeaux - Bordeaux), maire de Bordeaux (1805-1809), gouverneur du palais impérial de cette ville, sénateur (), Chevalier Lafaurie Monbadon et de l'Empire (à la suite du décret du le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes du , Burgos), Comte Lafaurie Monbadon et de l'Empire (lettres patentes du , Paris, institution de majorat attaché au titre de comte (décret du , lettres patentes du , signées à Amsterdam), Légionnaire (), puis, officier (), puis, commandeur (), puis, grand officier de la Légion d'honneur (),

Tiercé en fasce d'or, de gueules & d'azur, l'or aux trois étoiles de sinople posées en fasce ; le gueules au signe des chevaliers ; l'azur au léopard grimpant d'or.[15]

Louis Joseph Lahure ( - Mons (Pays-Bas autrichiens) † – Château de Wavrechain-sous-Faulx), général de brigade (nommé provisoirement le , confirmé le ), député du département de Jemmapes au Corps législatif ( (6 germinal an X)), lieutenant-général (), lieutenant-général titulaire en Belgique (), chevalier de l'Empire (lettres patentes de l'Empereur du ), puis baron de l'Empire (, avec une dotation qu'il ne toucha jamais, lettres patentes de l'Empereur du ), Officier (4 frimaire an XII, puis Commandant (25 prairial an XII), puis Grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier (), puis Commandeur de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis, Grand officier de l'Ordre de Léopold (),
  • Armes de Chevalier de l'Empire : Parti : Au I, d'azur au sabre au pal d'or surmonté d'une hure de sanglier du même, allumée, lampassée et défendue de gueules ; au II, d'or à la tour crénelée de sable ; le tout soutenu d'une champagne de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires.[49]

Armes parlantes. Hure⇔Lahure

  • Armes de Baron de l'Empire : Parti : Au I, d'azur au sabre au pal d'or surmonté d'une hure de sanglier du même, allumée, lampassée et défendue de gueules ; au II, d'or à la tour crénelée de trois pièces de sable ; au franc-quartier brochant des barons militaires.[6] - [49] - [11]

Armes parlantes. Hure⇔Lahure

Charles Pierre Marys de Lamer ([50] - Toulon - Passage de la Bérézina), Général de brigade (), Chef d'état-major de l'armée des Pyrénées-Orientales, Général de division (3 nivôse an II : 1796), Commandant provisoire de l'armée des Pyrénées-Orientales (16 septembre - ), Député des Pyrénées-Orientales au Corps législatif (), chevalier de la Légion d'honneur (4 germinal an XII), Chevalier de Saint-Louis, Chevalier de l'Empire (lettres patentes du ),
  • Armes des Marys de Lamer : D'azur, à un épi d'or, et une oie passante d'argent, brochant sur l'épi, le tout soutenu d'une terrasse de sinople.[6]
  • Armes de Charles Pierre de Lamer : D'argent, à un lion d'azur.
  • Armes de Chevalier de l'Empire : D'azur, coupé d'une mer d'azur; à la bordure de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[10]

Armes parlantes. (Lamer⇔la mer).

Lanefranque, médecin en chef de l'hôpital de Bicêtre, médecin attaché à la maison de l'Empereur, Chevalier de l'Empire (, titre confirmé en 1866, en faveur de son petit-fils, imprimeur à Bordeaux),

De gueules, à trois chevrons d'or, accompagnés en chef de deux têtes de serpent du même. Champagne aussi de gueules, du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers non légionnaires, qui est un annelet d'argent.[13]

Gaspard Louis Langeron (, à Landau (Royaume de Bavière) ✝ ), général de brigade, Officier de l'Ordre impérial de la Légion d'honneur (décret impérial du ), puis, Commandeur de l'Ordre royal de la Légion d'honneur (sous la Restauration), Chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis (ordonnance royale du 30 octobre 1814), Chevalier de l’Empire (décret impérial du et lettres patentes du ),

D’azur à trois étoiles d’argent ; à la bordure de gueules chargée d’une croix de la Légion d’honneur d’argent.[11]

Claude-Michel Larché ( - Dijon - Dijon), Avocat (17 novembre 1768), Membre provisoire du tribunal de Dijon, Président du tribunal de Louhans (), Juge au tribunal civil de Saône-et-Loire (), Président du tribunal d'appel de Dijon (16 prairial an VIII : 5 juin 1800), Président du collège électoral de la Côte-d'Or (an XII), Député de la Côte-d'Or au Corps législatif (29 thermidor an XII : ), Premier président de la Cour Impériale de Dijon ( - 1815), Chevalier de l'Empire (lettres patentes du ), Baron de l'Empire (lettres patentes du ), Chevalier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII),
Ignace Laugier ( - Turin - Turin), Maire de Turin, Député du département du Pô au Corps législatif (3e jour complémentaire de l'an XIII - 1806, Président du conseil général du département du Pô, Chevalier de l'Empire (lettres patentes du ), Chevalier de la Légion d'honneur, Trésorier de la 16e cohorte de la Légion d'honneur,
  • Armes des Laugier : D'argent, au lion de gueules. Devise: NON FORTIOR ALTER[6].
  • Armes de Chevalier de l'Empire : D'argent, au lion rampant de gueules, chargé d'un faisceau de trois flèches d'or, la pointe en haut nouées d'un ruban d'azur, à la bordure de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires.[10]
Nicolas Joseph Leboeuf - Wassy, province de Champagne - Orléans), président de la cour de justice criminelle du Loiret, Chevalier des Auvergnes et de l'Empire (à la suite du décret du 25 prairial an XII le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes du , signées à Schœnbrunn),

D'azur à deux chevrons supperposés d'or accompagnés de trois cornettes du même : bordure de gueules au signe des chevaliers posé au second point en chef.[15] - [3]

Jean-Baptiste-Jacques-Alexandre Le Boursier (Mortain (auj. dans la Manche), Mortain le ), capitaine aux chasseurs à pied de la Garde impériale, Chevalier Le Boursier et de l'Empire (décret du , lettres patentes signées le à Lille), Légionnaire (25 prairial an XII), puis, Officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre de la Réunion (),

D'azur, au chevron cousu de gueules du tiers de l'écu, au signe des chevaliers accompagné en chef de deux croissants d'or, surmonté de trois étoiles en fasce d'argent, et en pointe d'un lion d'or, armé d'une épée haute d'argent[15] - [3].

Jacques-François Le Boys des Guays (Montargis (Orléanais), Bléneau (Yonne), ), procureur général près la cour criminelle du département de l'Yonne, chevalier Le Boys des Guays et de l'Empire (à la suite du décret du 17 messidor an XII le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes signées à Schœnbrunn à ), Légionnaire (25 prairial an XII)

De sable, à l'agneau pascal d'argent tenant une croisette d'argent au pennon du même chargée d'une croix surmontée de trois étoiles en fasce, le tout de sable ; bordure de gueules au tiers de l'écu au signe des chevaliers posé au second point en chef[15] - [3].

Louis Lebrun - Roncey, province de Normandie[51]), chef d'escadron au 9e dragons, chevalier Lebrun et de l'Empire (à la suite du décret du 25 prairial an XII le nommant membre de la Légion d'honneur et du décret du lui accordant une dotation, lettres patentes du , Paris), légionnaire (25 prairial an XII), puis officier de la Légion d'honneur ()

D'or à la fasce de gueules, du tiers de l'écu au signe des chevaliers ; accompagnée en chef de deux fers à cheval de sinople, cloutés du champ, traversés d'un sabre de dragon en fasce de sable, et en pointe d'un cheval libre de sable, soutenu de sinople.[15]

Louis Lefèvre-Gineau (, à Authe, à Paris), Professeur et directeur au Collège de France, membre de l'Institut de France, inspecteur général de l'Université, député au Corps législatif, Chevalier d'Ainelle et de l'Empire (1808),

Tiercé en fasce, d'azur à deux rencontres de loup d'argent, de gueules au signe des chevaliers, et de sinople à une tête de loup d'argent en rencontre.[7]

Adrien-Marie Legendre (1752, à Toulouse, à Auteuil, mathématicien et géomètre français, membre de l'Institut de France, conseiller de l'Université impériale, professeur à l'École polytechnique, Chevalier de la Légion d'honneur, Chevalier de l'Empire (),

Parti, au l, d'azur, chargé à dextre d'une tour crénelée de cinq pièces, soutenue d'un rocher issant d'une mer, le tout d'argent, la tour sommée d'un fanal allumé de gueules; au 2, de sable, au globe terrestre d'or surmonté d'une main tenant un compas du même, dans l'action de mesurer. Champagne de gueules du tiers de l'écu, au signe des chevaliers légionnaires[7].

Philippe Legras, avocat au Conseil d'État, Chevalier de l'Empire (), Chevalier de la Légion d'honneur,

D'or à la fasce de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires, accompagné en chef d'un foi parée d'azur.[5]

François Antoine Lejéas ( - Paris - Bruxelles), vicaire général métropolitain de Paris, évêque de Liège (1809-1815), Chevalier Lejéas et de l'Empire avec transmission à l'un de ses neveux (lettres patentes de ), Baron Lejéas et de l'Empire (lettres patentes du ), chevalier de la Légion d'honneur,
Charles-Philippe Leopold (10 janvier 1773 - Karlstadt † 6 décembre 1843- Paris), chef d’escadron au 17e régiment de dragons, fait chevalier de l’Empire par lettre patente du 29 août 1810[53] légataire d’une rente de 2000 francs en Westphalie. Chevalier de la Légion d’honneur en 1807.

Armes concédé par la grande chancellerie des Seaux.

Tiercé en fasce : d’azur au lévrier courant d’argent ; de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires de l’Empire d'argent et d’or à un dragon à cheval de sable et soutenu d'une terrasse de sinople.

Joachim Hippolyte Lepic (29 mars 1768Montpellier27 mars 1835Paris), maréchal de camp au 17e régiment de dragons, nommé chevalier de l’Empire le 18 février 1808, légataire de deux mille francs de rente annuelle sur la Westphalie. Promu officier de la Légion d’honneur le 15 juillet 1810 15 et chevalier de l'Ordre de la Couronne de Fer le 28 novembre 1813, l’Empereur le fait baron Lepic et de l'Empire par décret impérial du 2 avril 1814. Il est nommé chevalier de Saint-Louis le 17 mars 1815 par le roi Louis XVIII.

Conservation des mêmes armes après avoir été fait Baron Lepic et de l'Empire.

Coupé, au 1, parti à dextre d'azur à la tour d'argent au sommet d'une colline d'or, accosté au coin dextre d'un soleil d'or, à senestre d'or au bras dextre de sinople portant un cor d'argent, surmonté d'un pic de sable accosté au tronc de sinople ; à la champagne de l'écu de gueules chargée de l'insigne des chevaliers légionnaires de l'Empire.

Pierre Thomas Le Roy de Boisaumarié ( - Longny-au-Perche - Pau), Officier d'état-major dans le 3e bataillon de volontaires de l'Orne, Capitaine (1799), rapporteur du conseil de guerre de la 1re division militaire (Paris, 1802), Membre du Tribunat (6 germinal an X), puis secrétaire de cette assemblée, Député de l'Orne au Corps législatif (1807), Préfet du Var ( - 1814), Préfet du Loiret (30 mars 1815 : Cent-Jours), Préfet d'Ille-et-Vilaine en 1830, Préfet des Basses-Pyrénées (1832), Chevalier de Boisaumarié et de l'Empire (10 septembre 1808, puis, 1er Baron de Boisaumarié et de l'Empire, Chevalier (25 prairial an XII), puis, Commandeur de la Légion d'honneur,

D'azur au chevron de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires, accompagné à dextre d'une tour d'or maçonnée de sable et à senestre d'une balance d'argent, en pointe d'un livre ouvert d'argent.

Pierre Lévêque ( - Nantes), Membre de l'Institut de France, professeur au Collège de France, examinateur pour les écoles de navigation, Chevalier de l'Empire (),

Parti : le 1, d'argent, à l'ancre d'azur; le 2, coupé, au 1, de sinople, à la sphère d'or; au 2, d'azur, au chevron d'argent accompagné en chef à dextre d'un croissant d'argent, à senestre d'une étoile du même et en pointe d'un soleil d'or. Champagne de gueules du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers légionnaires, brochant sur le parti.[7]

Pierre-Charles Levesque (1736 - Paris1812), Historien et traducteur, membre de l'Institut de France, (1801), Chevalier de Saint-Cyr et de l'Empire (),

D'argent, à la bande de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires, accompagnée en chef d'une branche d'olivier de sinople et en pointe d'un rouleau de sable, dans la forme d'un manuscrit antique.[7]

Louis Lézurier de La Martel (, à Rouen, au Val-de-la-Haye), Financier, Maire de Rouen par décret impérial du , membre de l’Académie de Rouen (), député de la Seine-Inférieure au corps législatif, maintenu, en 1814, à la Chambre des députés, Chevalier de l’Empire (10 septembre 1808), Baron de l'Empire (), officier de la Légion d'honneur (5 juillet 1804, et trésorier de la 14e cohorte, dont le siège était à Rouen),
  • Armes de Chevalier de l'Empire : Parti : au I, d'azur au chevron d'or accompagné, en chef à dextre d'une pomme de pin renversée, en chef à senestre d'un trèfle, et en pointe d'un épi, le tout d'or ; au II, de sable, à une clef d'or posée en fasce, surmontée d'une étoile du même ; le parti soutenu d'une champagne de gueules chargé de l'insigne des chevaliers légionnaires.[5]
Pierre-Paul-Marie Liger de Verdigny ( - Châtillon-sur-Loing - Paris), vice-président du tribunal révolutionnaire qui jugea Fouquier-Tinville, Conseiller et membre de la cour impériale de cassation, Chevalier de l'Empire (décret impérial et lettres patentes signés en 1808), Chevalier de la Légion d'honneur (décret du 17 messidor an XII ()),

Parti d'or à une tête de licorne de sable et d’hermines à une masse d'azur ; à la champagne de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires.

Denis-Eloi Ludot (, Arcis-sur-Aube, Arcis-sur-Aube), général de brigade, Légionnaire (décret du Premier Consul en date du 26 prairial an XII ()), puis, Officier de l'Ordre impérial de la Légion d'honneur (décret impérial du ), puis, Commandeur de l'Ordre royal de la Légion d'honneur (ordonnance royale du ), Chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis (ordonnance royale du ), Chevalier (lettres patentes du 11 juin 1810), puis Baron de l’Empire (décret impérial du ),

Coupé : au I, d’or au casque taré à profil de sable ; au II, de sinople à la tête de cheval d’argent ; à la bordure de gueules chargée du signe des Chevaliers Légionnaires.[11]

M

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
François-Louis Magallon de la Morlière ( - L'Isle-Adam1825 - Passy), général de division, Gouverneur de l'Île Bonaparte ( - ), Chevalier de l'Empire (lettres patentes du 14 février 1810), Commandeur des ordres du roi, de la Légion d'honneur, du Lion Belgique, Chevalier de Saint-Louis,

Tiercé en fasce : d'azur à deux chevrons versés alaisés et entrelacés d'or ; de gueules au signe des chevaliers ; et fascé d'or et de sable de six pièces.

Louis Malles (de Port-Saint-Louis-du-Rhône), capitaine de vaisseau (1793, en retraite), chevalier de l'Empire (26 avril 1810), officier de la Légion d'honneur,

Parti : au I réparti de pourpre et de sinople, au comble d'azur chargé d'un cœur d'argent; au II d'azur au chevron d'argent accompagné de trois quintefeuilles du même, le parti soutenu d'une champagne de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[10]

Jean Philibert Maret ( - Dijon - Dijon), ingénieur des ponts et chaussées, Grand-voyer de Dijon, Commissaire du Directoire exécutif près l’administration centrale de la Côte-d'Or (6 brumaire an VIII), Préfet du Loiret (11 ventôse an VIII () - 11 germinal an XIV ()), Conseiller d'État (, Membre du Conseil d'État à vie en 1812), Directeur général des subsistances, Chevalier Maret et de l'Empire (lettres patentes du ), Comte Maret et de l'Empire (lettres patentes du ), Officier de la Légion d'honneur,

Tiercé en pal d'or, de gueules, à l'insigne des Chevaliers légionnaires et d'argent.

Charles Martin (de Carnoules), chef de bataillon (en retraite), chevalier de l'Empire (, chevalier héréditaire confirmé le 21 juillet 1818), chevalier de la Légion d'honneur,

D'azur au chevron de gueules accompagné en chef, à dextre d'une forteresse d'or et à senestre d'un sabre de même et en pointe, d'un chien en arrêt aussi d'argent.[10]

Bernard-Charles-Élisabeth Martin des Pallières (1767 - Bayeux † 1848), membre du Corps législatif, consul de France à Anvers, chevalier de l'Empire ()

Tiercé en face : au un, d'azur à deux pals d'or chargés d'un lierre montant de sinople, au deux, de gueules au signe des chevaliers légionnaires, au trois, d'argent à trois merlettes de sable.[10]

Louis François Meifred (1748 - Castellane1816), conseiller à la Cour d'appel d'Aix-en-Provence (1811), et chevalier de Suriane et de l'Empire (lettres patentes du ),

Tiercé en fasce : au I d'azur à trois étoiles d'argent ; au II de gueules plein ; au III de gueules au signe des chevaliers légionnaires.[10]

Alexis des Michels de Champorcin, maréchal de camp, chevalier de l'Empire (1809),

Parti, d'or à la croix de Lorraine de gueules et d'azur à l'épée en barre d'or, la pointe haute; à la champagne de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires brochant sur le parti.[10]

François-Pierre-Benigne Michon (né le à Nancy), capitaine d'artillerie, chevalier de l'Empire (lettres patentes du ),

Tiercé en fasce : au 1, d'argent chargé à dextre d'un vaisseau démâté de sable soutenu d'une mer d'azur, et à senestre de maison démolie de sable, maçonnée et terrassée du mesme; au 2, de gueules, au signe des Chevaliers-Légionnaires; au 3, d'azur, au faucon perché d'argent.

Théodore François Millet (, Sourdeval, Sourdeval), général de brigade, Légionnaire (1805), puis, Officier de la Légion d'honneur le , Chevalier de Saint-Louis le , Chevalier de l'Empire puis 1er baron Millet et de l'Empire,

Armes de Chevalier de l'Empire : D'azur à la bande cousue de gueules, chargée en cœur de l'insigne des chevaliers légionnaires ; accompagnée en pointe d'un lion léopardé d'or et en chef de trois grenades d'argent posées en orle[54].

Joseph Mingrat (, Le Grand-Lemps, Grenoble), chef d'escadron, officier d'état major, premier aide de camp du général Dallemagne, chef d'état major de la 2e division de l'Armée de Hollande (1809), chevalier de l'Empire (lettres patentes du ), Légionnaire (1807), Chevalier de Saint-Louis,

D'azur, au dextrochère d'argent armé d'une épée d'or accompagnée en chef à dextre d'un casque de même, et à sénestre d'un cor de chasse d'argent virolé d'or; fasce de gueules au signe des chevaliers légionnaires brochant sur l'épée. Livrées: bleu, rouge et blanc.

Louis-Jacques-René de Monchy (), chevau-léger de la garde ordinaire du roi, Chevalier de l'Empire (lettres patentes du , confirmé en 1814), chevalier de Saint-Louis (1790),

Tiercé en fasce ; au I d'hermine plain ; au II du gueules à l'insigne des chevaliers légionnaires ; au III, d'azur à la balance d'or.

Louis Monge[55] (, à Beaune (Côte-d'Or) ✝ 6 octobre 1827, astronome, examinateur des aspirants de marine, Chevalier de l'Empire (),

D'azur, semé d'étoiles d'argent, à la bande cousue de gueules du tiers de l'écu chargée du signe des chevaliers légionnaires brochant sur le tout.[7]

Antoine François Morandini ( - Moïta1831), chef de bataillon aux Tirailleurs corses, général de brigade puis de division, Chevalier d'Eccataye et de l'Empire (lettres patentes du ), Baron de l'Empire,

De sinople au chapé d'argent, chargé d'un lion contourné de gueules, sénestré d'un dextrochère au naturel, mouvant du flancde l'écu et tenant une épée haute de gueules, au tiers en pal de gueules, chargé du signe des chevaliers légionnaires.

Louis Victor Moreau[56] (, à Chantilly, à Paris), quincaillier et membre du Conseil d'Escompte de la Banque de France (IIe Siège, le ), puis Régent de la Banque de France (XIVe, Siège du à sa mort), Chevalier de l'Empire (lettres patentes du ), anobli par ordonnance royale du et lettres patentes du ,
  • Armes sous le Premier Empire : D'azur au chevron cousu de gueules, chargé du signe des chevaliers légionnaires qui est de gueules chargé de l'étoile d'argent, et accompagné en chef d'une foi issant d'une nuée, le tout d'argent ; et en pointe, d'une branche de chêne au naturel, fruitée d'or.
  • Armes sous la Restauration : D'azur au chevron cousu de gueules, surmonté d'une foi de carnation et accompagné en pointe, d'une branche de chêne au naturel, fruitée d'or.
Antoine-Auguste-Cécile Mossy (né le - Marseille), imprimeur en lettres[57], adjoint au maire de Marseille, fut créé chevalier d'Empire (2 avril 1812), chevalier de la Légion d'honneur,

D'azur à la fasce de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires, accompagnées en chef de trois étoiles et en pointe d'un lion passant, le tout d'or.[10]

François Louis René Mouchard de Chaban ( - Paris[58] - Hambourg), Sous-préfet de Vendôme(5 floréal an VIII), Préfet de Rhin-et-Moselle (16 floréal an XI), Préfet de la Dyle (Chef-lieu : Bruxelles) (12 pluviôse an XIII), Membre de la junte extraordinaire de Toscane (), Conseiller d'État (), Intendant de l'intérieur et des finances dans les départements anséatiques (), Intendant général des finances dans la 32e division militaire (Hambourg) (), Chevalier de l'Empire (), Comte de l'Empire (décret impérial du et lettres patentes du ), Légionnaire (25 prairial an XII), puis, Officier de la Légion d'honneur (),
Joseph Mourret (né le - Tarascon), lieutenant au 2e régiment de chevau-légers, chevalier de l'Empire (), chevalier de la Légion d'honneur,

D'or à deux lances de sable au penon coupé de gueules et d'argent, posés en sautoir surmontées au deuxième point du chef d'un casque antique de sable et soutenu d'une molette d'éperon d'azur; à la fasce de gueules brochant, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[10]

N

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
François-Joseph-Michel Noël ( - Saint-Germain-en-Laye - Paris), successivement diplomate, membre du Tribunat, préfet du Haut-Rhin (1801), inspecteur général de l'Université, puis conseiller, vice-recteur de la Faculté des lettres de Paris, Chevalier de l'Empire (),

Parti d'azur et d'argent ; l'azur chargé d'un lys de jardin terrassé d'argent; l'argent chargé de trois arbres arrachés de sinople, 1,2. Champagne de gueules du tiers de l'écu, brochant sur le parti et chargé du signe des chevaliers légionnaires.[7]

O

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
Marc Antoine Marie Obert ( - Étaples - Saint-Germain-en-Laye), Général de brigade (1813), Lieutenant général (1821), Grand officier de l'Ordre royal de la Légion d'honneur (1823), Commandeur de Saint-Louis (1823), Chevalier de l'Empire (Lettres patentes du ), Baron sans qualification (), Vicomte (1816),

D'argent à une épée et un drapeau replié sur sa hanche posés en sautoir, le tout d'azur, soutenu d'une grenade allumé de gueules ; à la bordure de gueules chargée au point du chef de l'insigne des chevaliers légionnaires.[8]

P

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
François Marie Sébastien Pageot ( - Cap Français (Saint-Domingue) ✝ - Paris), * Général de brigade (à titre provisoire le , confirmé le ), Lieutenant général (), Légionnaire (), puis, Officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (), Chevalier de l'Empire (lettres patentes du ),

D'or à un barre d'azur chargée de deux étoiles d'argent, traversée en cœur par une épée haute de gueules, débouchante en chef ; à la bordure de gueules chargée au point du chef de l'insigne des chevaliers légionnaires.[8]

Boniface Paradis ( - Auxerre - Auxerre), Député de l'Yonne au Conseil des Anciens (23 vendémiaire an IV, secrétaire, puis président du Conseil ( - )), Président de la cour impériale de justice criminelle de l'Yonne (1808), Substitut du procureur général à la cour impériale de Paris (1811-1815, destitué en 1816), Chevalier de Joncreux et de l'Empire (), Chevalier de la Légion d'honneur (décret impérial du 25 prairial an XII : ),

D’or au pommier de sinople, terrassé du même, fruité du champ, accolé d’un serpent d’azur et soutenu d’une champagne de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[11]

Jean-Baptiste-Hyacinthe Pascalis (né le - Barcelonnette), commissaire ordonnateur des guerres, chevalier de l'Empire (lettres patentes du ), chevalier de la Légion d'honneur,

D'azur au chevron de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires et accompagné en pointe d'une brebis d'or.[10]

Paullet, chirurgien-major au 95e régiment d'infanterie de ligne, puis à la Garde impériale, chirurgien en chef adjoint de l'Empereur et de l'hôpital de la Garde, Chevalier de la Légion d'honneur, Chevalier de l'Empire (),

D'azur, à la bande cousue de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires, accompagnée en chef de trois têtes d'Hippocrate d'or, 2 et 1, et en pointe d'une croix de Lorraine d'argent.[13]

Guillaume Alexandre Thomas Pégot, général de brigade, Commandeur de l'Ordre des Deux-Siciles (19 mai 1808), Chevalier de Saint-Louis (), Commandeur de la Légion d’honneur (), Chevalier de l'Empire,

D'azur au rocher à trois coupeaux, sommé d'un pégot d'or, soutenu d'une champagne de gueules, au signe des chevaliers légionnaires. L'écu est sommé d'une toque de velours noir, retroussée de sinople, à un porte-aigrette d'argent, surmonté d'une aigrette blanche.[35]

Philippe-Jean Pelletan ( - Paris), Chirurgien en chef des armées et de l'Hôtel-Dieu, professeur à l'École de médecine, premier chirurgien de l'Empereur, Chevalier de l'Empire (),

De sable, au palmier d'argent fruité de sinople ; champagne de gueules du tiers de l'écu, au signe des chevaliers légionnaires.[7] - [13]

Pierre-Nicolas Perrée-Duhamel (17521833), homme politique français, membre du Tribunat (4 nivôse an VIII), régent au sein du Conseil général de la Banque de France (octobre 1800), conseiller-maître de la Cour des Comptes (1807), Chevalier de l'Empire (1808),

D'argent à l'ancre bouclée d'azur ; à la fasce brochante de gueules chargée de l'insigne des Chevaliers légionnaires.[60]

Jean-Mathieu Perret (né le - Lyon), membre du collège électoral du Rhône, maire de la commune de Rivoire, chevalier de la Menue et de l'Empire (lettres patentes du , créé chevalier par lettres royales enregistrées le 21 décembre 1816),

D'azur à la fasce d'or accompagnée de trois étoiles d'argent ; sur le tout de gueules occupant le tiers de l'écu, et chargé du signe des chevaliers légionnaires.[6]

Claude-Auguste Petit (1748-1819), député au Corps législatif, membre du collège électoral du département de la Seine, Chevalier Petit et de l'Empire (à la suite du décret du le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes signées à Rambouillet le ), 1er Baron de Beauverger et de l'Empire (décret du , lettres patentes signées à Compiègne le ), Légionnaire (Légion d'honneur) (décret du

D'argent à cinq arbres de sinople en sautoir, fruités chacun de trois pommes de gueules une et deux, à la bordure de gueules au signe des chevaliers posé au premier point en chef[15].

 Armes parlantes (Pommierverger ⇒ Beauverger).
Jean-Antoine-Dominique Pichot (né le - Mormoiron), commissaire des guerres, chevalier de la Légion d'honneur, chevalier de l'Empire (lettres patentes du ),

Parti, au I d'azur à une gerbe d'or; au II d'argent à un arbre arraché de sinople; le parti soutenu d'une champagne de gueules au signe des chevaliers légionnaires.[10]

Jules Pictet de Sergy, dit Diodati ( - Genève - Genève), Président du tribunal criminel du Léman, Député du département du Léman au Corps législatif (4 nivôse an VIII - 1805, - 1814), Membre du conseil représentatif de Genève (1814), Membre correspondant de l'Institut de France, Chevalier de l'Empire, Chevalier de la Légion d'honneur,
  • Armes de la famille Pictet : De sinople, à un mur non-crénelé d'argent, maçonné de sable, acc. en chef d'un lion naissant d'or, mouvant du mur.[6]
  • Armes de Chevalier de l'Empire : De sinople, au lion naissant d'argent, à la bordure componée de gueules et d'argent, le tout soutenu d'une muraille d'azur ; champagne de gueules du tiers de l'écu chargée du signe des chevaliers légionnaires.[7]
Charles-Antoine Pierre (), major au 84e de ligne, colonel, chevalier de l'Empire (24 août 1810), chevalier de la Légion d'honneur,

D'argent au rocher de sable sommé d'une colombe posée d'azur, au comble du même chargé d'une épée en fasce d'argent pointant à dextre et soutenue de trois coquilles en fasce d'or, à la champagne de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires.[10]

Charles-Antoine Pierre (), major au 84e de ligne, colonel, chevalier de l'Empire (24 août 1810), chevalier de la Légion d'honneur,

D'argent au rocher de sable sommé d'une colombe posée d'azur, au comble du même chargé d'une épée en fasce d'argent pointant à dextre et soutenue de trois coquilles en fasce d'or, à la champagne de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires.[10]

Louis Antoine Pille (né le - Soissons), Général de division, chevalier de l'Empire (18 mars 1809), chevalier de Saint-Louis (19 juillet 1814), Commandeur de la Légion d'honneur (1er novembre 1814).

D'or, au chevron d'azur chargé de trois étoiles d'argent, une et deux, accompagné en chef de deux têtes de cheval affrontées de sable et en pointe d'un lion rampant de même, bordure de gueules au signe des chevaliers.
Livrées : les couleurs de l'écu.

Antoine Portal ( - Gaillac, à Paris) - Médecin, anatomiste, professeur au Collège de France, membre de l'Institut de France, président de l'Académie de médecine, premier médecin des rois Louis XVIII et Charles X, président de l'École de médecine (1817), Chevalier de l'Empire (1808), Baron (1824),
  • Armes sous le Premier Empire : De pourpre, à la couleuvre vivrée posée en fasce d'or accompagnée en chef d'un caducée en pal d'argent, et en pointe d'une tour crénelée de trois pièces aussi d'argent, ouverte et maçonnée de sable ; le tout adextré d'un pal de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers légionnaires[13] - [7].
  • Armes sous la Restauration : De pourpre, à la couleuvre vivrée posée en fasce d'or accompagnée en chef d'un caducée en pal d'argent, et en pointe d'une tour crénelée de trois pièces aussi d'argent, ouverte et maçonnée de sable[13] - [7].
Poussielgue, chirurgien principal des armées, Chevalier de l'Empire (),

De sable au chevron d'or, accompagné de deux étoiles d'argent en chef, et en pointe d'un serpent tortillant du même; champagne cousue de gueules du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[13]

Joseph de Puniet de Monfort, ( - Château de Ventais près de Montcuq - - Paris). Général de Brigade. Chevalier de l'Empire (). Légionnaire par décret du 29 pluviôse an XIII, « Grand Officier » le 18 avril 1834. Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis le 8 juillet 1814.

D'or, à la fasce de gueules chargée du signe des chevaliers accompagnée en chef d'un poignet fermé de sable et en pointe d'un lion rampant de même, lampassé et villené de gueules[61].

Q

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
Nicolas-Marie Quinette ( - Paris - Bruxelles), Chevalier de l'Empire puis Baron de Rochemont et de l'Empire (1810), député de l'Aisne à l’Assemblée Législative à la Convention (1792), président du Conseil des Cinq-Cents (1796), ministre de l’Intérieur (1799), préfet de la Somme (1800), conseiller d’État, Pair de France (4 juin 1814, Cent-Jours),

D'azur à une branche de chêne d'or supporté à dextre et à senestre par une chaine brisée d'argent et posée sur une terrasse de sinople ; à la champagne de gueules chargée de l'insigne des chevaliers légionnaires.[5]

R

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
Antoine Raulet (né le - Marseille), chef d'escadron, quartier-maître du 1er régiment de chevau-légers lanciers polonais de la Garde impériale, chevalier de l'Empire (), chevalier de la Légion d'honneur,

Tranché d'azur et d'or, l'azur chargé en chef d'un dextrochère armé tenant un guidon et en pointe d'un casque de profil, le tout d'argent, l'or chargé d'une tête de cheval en chef et d'un lion léopardé en pointe, le tout de sable, à un écu de geules en abîme chargé du signe des chevaliers légionnaires.[10]

Paul Charles Réant (né le - Paris), capitaine, quartier-maître-trésorier des grenadiers à pied et des vélites de la Garde impériale, chevalier de l'Empire (lettres patentes du 19 janvier 1811),

Tiercé en barre : d'or à trois nains accroupis de carnation, coiffés de chapeaux de sable, chargés d'un bouton d'argent, 2.1 ; de gueules au signe des chevaliers légionnaires ; et d'argent au cheval galopant et contourné de sable.[8] - [62]

Jean-Baptiste Regnault (, à Paris, à Paris), peintre académique et néoclassique, membre de l'Institut de France, professeur à l'École des beaux-arts. Chevalier de l'Empire (15 janvier 1809), Baron (),

D'azur au centaure contourné d'argent, montrant à tirer de l'arc à un jeune homme du même, tous deux armés d'arcs et de flèches d'or, soutenus d'une terrasse de sinople et accostés en chef à dextre d'une étoile à six rais d'argent chargée d'un V d'or, et en pointe à sénestre d'un soleil rayonnant cantonné d'or. Champagne de gueules du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers légionnaires. (Ces armes rappellent l'Éducation d'Achille, un des tableaux les plus remarquables de Regnault)[7]

Charles-Frédéric Reinhard (, à Schorndorf, à Paris), diplomate et homme politique français d’origine allemande, Commandeur de la Légion d'honneur (9 vendemiaire an XII), Chevalier de l'Empire (), Baron de l'Empire (31 décembre 1809), Comte en 1815, pair de France (),

Armes de Chevalier de l'Empire : Parti, au 1, d'or à la verge de sable tortillée d'un serpent de sinople, au 2, d'argent au guerrier casqué, cuirassé et armé d'azur, soutenu d'une terrasse de sinople et adextré d'un tertre du même chargé d'un R de sable ; au comble d'azur chargé d'un faucon essoré d'argent s'abattant sur un héron du même. Bordure de gueules du tiers de l'écu, chargée au 2e point en chef du signe des chevaliers légionnaires.[7]

Marie-Antoine de Reiset ( à Colmar à Rouen), général de brigade, Grand officier de la Légion d'honneur (), Commandeur de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis (), Chevalier de l'Empire (décret impérial du ), Baron de l'Empire (lettres patentes du et décret impérial du ), Vicomte (lettres patentes du ),

Armes de Chevalier de l'Empire : Parti au 1 : de sinople, au coq d'argent, crêté, barbé et membré de gueules, surmonté de trois croissants, les pointes à dextres, d'or ; au 2 : d'argent, à trois chevrons d'azur, l'un sur l'autre, accompagnés de trois dragons ailés de gueules ; le tout soutenu d'une champagne de gueules du tiers de l'écu au signe des chevaliers de l'Empire.[63]

Antoine Rémy ( - Thilleux (Haute-Marne) ✝ - Chaumont), Chef d'escadron aux grenadiers à cheval de la garde impériale (an VIII), Lieutenant-colonel (1807), Chevalier de l'Empire (), Baron de l'Empire (), Chevalier de la Légion d'honneur (1804), Chevalier de l'Ordre de la couronne de fer, Chevalier de Saint-Louis,
  • Armes de Chevalier de l'Empire : D'azur, à la bande cousue de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires, accompagnée en chef d'un casque d'or, taré de face, et accosté d'une molette aussi d'or, et, en pointe, d'une grenade d'or.
Renoult, chirurgien major de la gendarmerie d'élite, Chevalier de l'Empire (),

D'azur, au palmier d'or accompagné à senestre d'un serpent ondoyé d'argent rampant au pied de l'arbre, et en chef d'un triangle flamboyant d'or chargé d'un Jéhovah hébraïque de sable; champagne cousue de gueules du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[13]

Athanase Clément de Ris,

Parti d'azur et de gueules, l'azur au chevron d'or accompagné en chef de deux étoiles d'argent, et en pointe d'une colombe d'argent tenant au bec une branche d'olivier de sinople ; le gueules au casque de dragon d'or surmonté d'un signet de sable, le tout soutenu d'une champagne de gueules au signe des chevaliers.[15]

Gilbert Louis Robinet du Teil d'Ozanne[64] (), sous-gouverneur des pages de la Grande Écurie (1777), lieutenant-colonel (1780), inspecteur aux revues sous le Consulat, Maréchal de camp (), commandant du Prytanée militaire de Saint-Cyr sous le premier Empire, Lieutenant général (sous la Restauration), Chevalier du Teil et de l'Empire (29 mars 1809), Chevalier (1806), puis officier de la Légion d'honneur (sous la Restauration),

Tiercé en bande, d'argent, de gueules et d'or; l'argent à la tour crénelée d'azur, ouverte et maçonnée de sable; le gueules, au signe des chevaliers légionnaires; l'or, au pistolet en pal, la crosse en bas, de sable, damasquiné d'argent, accompagné de trois étoiles 1, 2, de gueules.[7]

Charles François Robinet[65] née le 25 novembre 1734 à Rennes (Ille-et-Vilaine) et décédé le 27 septembre 1810. Avocat et commissaire des États de Bretagne, Président du tribunal de district, Président de la cour criminelle d'Ille-et-Vilaine

D'azur au chevron d'or; à la bordure de gueules chargée du signe des chevalier légionnaire.

François Roger (17 avril 1776 à Langres, à Paris), Poète comique, conseiller de l'Université impériale, député au Corps législatif, Chevalier de l'Empire (),

Coupé : au 1, parti de sable et d'azur ; le sable, chargé de deux palmes en sautoir nouées d'une branche d'olivier d'argent ; l'azur, au masque scénique d'or, le 2, échiqueté d'azur et d'or. À la fasce de gueules, brochant sur le coupé, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[7]

Louis Jacques Rousseau ( - Château-du-Loir - Paris), Président du tribunal de district du Château-du-Loir (1789), Président de l'administration départementale de la Sarthe, Député de la Sarthe à l'Assemblée législative (), Juge (28 vendémiaire an IV), Conseiller à la cour de cassation (Restauration), Député du 4e arrondissement électoral de la Sarthe (Saint-Calais, le 13 novembre 1822, réélu le - 1827), Chevalier de l'Empire (), Chevalier de la Légion d'honneur,

Tiercé en fasce : au I, d'or chargé d'une chouette entre deux maillets, le tout de sable ; au II, de gueules à l'insigne des chevaliers légionnaires ; au III, d'azur à la balance d'argent.[5]

Paul Rouvier (25 novembre 1765 - Tavernes - Paris), colonel-commandant d'armes attaché à la 1re division militaire, officier de la Légion d'honneur, chevalier de l'Empire (),

Parti : au I d'or à douze étoiles d'azur rangées en fasce trois, trois, trois, trois ; au II d'azur à un bastion d'argent surmonté d'un coq d'or ; le parti soutenu d'une champagne de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires.[10]

S

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
Antoine Joseph Secrétan (17731837), colonel-major du 8e puis du 1er régiment de voltigeurs de la Garde impériale, Chevalier Secrétan et de l'Empire, puis Baron Secrétan et de l'Empire, puis Baron Secrétan,

D'azur, à un chevron de gueules chargé de l'insigne des chevaliers légionnaires de l'Empire, soutenu d'une pointe rebattue d'or chargée d'un sauvage au naturel appuyé sur sa massue, posé sur un mont de sinople ; le chevron surmonté d'une étoile rayonnant d'argent, adextré d'un lévrier contourné et rampant d'argent ; senestré d'une épée haute d'argent garnie d'or.

Antoine-Isaac Silvestre de Sacy (, à Paris), Philologue, linguiste et orientaliste français, membre de l'Institut de France, professeur au collège de France, député du département de la Seine (1808 et 1814), recteur de l'Université de Paris (1815), pair de France (après 1830), Chevalier de l'Empire () puis Baron de l'Empire (12 avril 1813, titre confirmé sous la Restauration),

Armes de Chevalier de l'Empire : D'azur, au chevron brisé d'argent, accompagné de trois étoiles du même ; champagne cousue de gueules du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[7]

Marc-Antoine Sirugue ( - Vitteaux - Rouen), colonel de la 14e légion de la gendarmerie impériale du département de l'Aube, député de la Côte-d'Or au Corps législatif, chevalier Sirugue et de l'Empire (décret du (« à la suite du décret du 25 prairial an XII le nommant membre de la Légion d'honneur »), lettres patentes du (Madrid)), baron Sirugue et de l'Empire (1814), « Légionnaire » (25 prairial an XII), puis, Officier de la Légion d'honneur[66],

D'azur, à la bande cousue de gueules au signe des chevaliers, occupant le tiers de l'écu et accompagnée en chef à sénestre d'un sabre d'argent à la poignée d'or accostée de deux étoiles d'argent, et en pointe à dextre d'une tête de cheval d'or ; et pour livrées : bleu, rouge, jaune et blanc.[15]

Smette, capitaine, Chevalier de l'Empire,

De gueules, à un Hercule de carnation terrassant un lion d'or, soutenu du même et surmonté d'une divise d'azur chargé de trois étoiles d'or ; à la champagne de gueules chargée de l'insigne des chevaliers légionnaires.[5]

Étienne Henri Soulages, adjudant-commandant, Chevalier de l'Empire,

D'azur, au chevron de gueules, accomp. en chef de 2 rocs d'échiquier d'or, et en pointe d'un lion d'argent armé d'une épée haute ; à la champagne de gueules chargée de l'insigne des chevaliers légionnaires.

Jean-Joseph Sue (17601830), médecin en chef de la Garde impériale, chirurgien et professeur d'anatomie, membre de l'Académie de médecine, Chevalier de l'Empire (),

D'argent, à la plante de pervenche au naturel terrassée de sinople, tortillée d'un serpent de sable lampassé de gueules, et senestrée en chef d'une étoile d'azur; champagne de gueules du tiers de l'écu, au signe des chevaliers légionnaires.[13]

T

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
François Marie Cyprien Teullé (, Caumont (Tarn-et-Garonne), Caumont (Tarn-et-Garonne)), colonel du 12e de ligne, représentant à la Chambre des Cent-Jours, chevalier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), Officier de la Légion d'honneur après Wagram, commandeur de la Légion d'honneur à la Bataille de la Moskowa, chevalier de l'Empire (), baron de l'Empire,

D'azur, au chevron accompagné en chef de deux épées et en pointe d'un lion, le tout d'argent à la bordure de gueules chargée au point du chef d'insigne des chevaliers légionnaires.

Jean-François Teyssère (originaire de Belgentier), colonel de voltigeurs, chevalier de l'Empire (28 novembre 1813), officier de la Légion d'honneur,

D'or, à la bande de gueules, chargée du signe des chevaliers légionnaires, accompagnée en chef d'un cor de chasse d'azur embrassant une grenade de même, enflammée de gueules, et en pointe d'un lion de…, tenant une branche de laurier de sinople.[10]

Pierre-Paul-Pascal Thanaron (originaire de Carcès), capitaine de frégate, chevalier de l'Empire (lettres patentes du 2 novembre 1810, renouvelées le ), chevalier de la Légion d'honneur,

Tiercé en fasce : d'azur à trois étoiles d'or, 1 et 2 ; de gueules au signe des chevaliers légionnaires; et d'or à trois cœurs d'azur, 2 et 1.[10]

Jean-Joseph Thomas (originaire des Moustiers-Sainte-Marie), président de la Cour de justice criminelle des Basses-Alpes, conseiller à la Cour d'appel d'Aix-en-Provence, chevalier de l'Empire (lettres patentes du ), chevalier de la Légion d'honneur,

Tiercé en bande, d'azur à une étoile d'argent ; de gueules au signe des chevaliers légionnaires; et d'hermine au badelaire d'or en pal et la pointe en haut.[10]

Achille Tourteau de Septeuil (, Paris, Septeuil), aide de camp du maréchal Berthier, légionnaire (16 octobre 1809), puis officier (3 janvier 1814) et enfin commandeur de la Légion d'honneur (18 mai 1840), médaillé de Sainte-Hélène (15 août 1857), chevalier de l'Empire (3 décembre 1809), comte de Septeuil (4 août 1827).

Parti au premier coupé de sable et d'argent : le sable à deux lions passants d'or, l'argent à deux épées en sautoir d'azur, au deuxième d'azur à la tour crénelée de trois pièces d'or, sommée de deux colombes affrontées d'argent et surmontées de deux molettes en fasce d'or : le tout soutenu d'une champagne du tiers de l'écu de gueules au signe des chevaliers légionnaires.

Joseph César Tripoul ( - Puget-sur-Argens - Puget-sur-Argens), Chef d'escadron, officier d'état major (1807), Aide de camp du général Gazan, commandant la 2e division, Colonel (1809), Chevalier de Reiran et de l'Empire (), Officier de la Légion d'honneur,

Coupé : au I d'or à quatre épées de sable, croisées en sautoir, deux et deux; au II d'argent à trois pins de sinople, terrassés de même; à la bordure d'azur chargée de dix coquilles d'or, et à la fasce de gueules brochant chargée du signe des chevaliers légionnaires.[10]

V

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
Pierre Joseph Vallée ( - Saint-Mihiel (Meuse) ✝ - Paris), Accusateur public près le tribunal de la Meuse (1794), Député de la Meuse au Conseil des Cinq-Cents (22 germinal an V : ), Juge au tribunal de cassation (11 germinal an VIII : ), Conseiller à la cour de cassation (Restauration française), Député de la Meuse à la Chambre ( - 1821), Chevalier de l'Empire (), Chevalier de la Légion d'honneur (12 prairial an XII : ),

D'argent, à la bande de gueules, du tiers l'écu (chargée du signe des Chevaliers-Légionnaires), acc. en chef de trois étoiles d'azur rangées en demi-orle, et en pointe d'un rocher de sable mouvant de la pointe. Toque.[6]

Louis-Nicolas Vauquelin ( - Saint-André-d'Hébertot - Saint-André-d'Hébertot), chimiste, membre de l'Institut de France, professeur au Collège de France, député (1824), Chevalier Vauquelin et de l'Empire (),

Tiercé en fasce : au I, d'azur à deux creusets d'or ; au II, de gueules à l'insigne des chevaliers légionnaires ; au III, de sinople à un creuset d'or.[7] - [5]

Vergez, médecin en chef des pages des maisons impériales d'Ecouen, de Saint-Denis, Chevalier de l'Empire (),

Parti d'argent et d'or, coupé d'azur; l'argent, à la jambe de carnation coupée au-dessus du genou; l'or, au serpent se mordant la queue en cercle, de sinople ; l'azur, au canon sur son affût contourné d'argent, flanqué de deux piles de boulets du même, celle à dextre de trois, celle à senestre de six, le tout soutenu de sinople; fascé de gueules du tiers de l'écu, brochant sur le tout, chargée du signe des chevaliers légionnaires.[13]

Claude Joseph François Veyron-Lacroix ( - Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs3 janvier 1839 - Grenoble), ancien colonel, sous-inspecteur aux revues, ancien membre du conseil général de l'Isère, conseiller de préfecture, Chevalier de l'Empire, Chevalier de la Légion d'honneur et Chevalier de Saint-Louis,

Parti : au 1 d'azur à la croix alésée d'argent, soutenue d'une molette d'or, au 2 de sable au dextrochère armé d'or, mouvant de senestre, et tenant une épée haute d'argent, à la bordure de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires.[20]

Pierre Vignon ( - Neuilly (Seine) - Paris), Juge consulaire (sous l'Ancien Régime), Député du tiers état aux États généraux (), Président du tribunal de commerce de Paris (sous le Premier Empire), Président de la commission chargée de la rédaction d'un projet de Code de commerce (1803), Adjoint au maire du Xe arrondissement de Paris (18 ventôse an VIII), Chevalier de l'Empire (lettres patentes du ), Légionnaire (14 juillet 1804), puis, Officier de la Légion d'honneur (1808),

D'azur, à la fasce de gueules chargée du signe des chevaliers légionnaires, accompagnée en chef d'un vaisseau d'or et en pointe d'une balance de même.[6] - [20]

Étienne Vincent-Marniola - Lyon), préfet du Pô, chevalier Vincent-Marniola et de l'Empire (titre de chevalier de l'Empire, accordé à la suite du décret du le nommant membre de la Légion d'honneur, lettres patentes du (Erfurt)),

D'argent, à la bande de gueules, au signe des chevaliers, accompagnée à sénestre de deux grappes de raisin au naturel surmonté d'un soleil plein d'azur et adextré d'une tour crénelée et ouverte d'azur, maçonnée de sable.[15]

Ennius-Quirinus ou Ennio Quirino Visconti (, à Rome7 février 1818, à Paris), archéologue d'origine italienne, Premier conservateur des antiques et tableaux du Musée du Louvre (1803), camériers d'honneur du Pape (1771), Chevalier de l'Empire le , Marquis sous la Restauration française (retour d'un titre ancien), Chevalier de la Légion d'honneur, Chevalier de l'Ordre de la Réunion,

Tiercé en bande, d'argent, de gueules et de sable. L'argent, à la guivre de sinople engoulant un enfant de gueules. Le gueules, au signe des chevaliers légionnaires. Le sable, au sphynx ailé d'argent tenant une roue d'or.[7]

Z

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
Joseph Zangiacomi (Nancy, - Paris, ), juge puis conseiller à la Cour de cassation, bhevalier Zangiacomi et de l'Empire (à la suite du décret le nommant membre de la Légion d'honneur en date du 25 prairial an XII, lettres patentes signées à Bayonne le ), baron Zangiacomi et de l'Empire (décret du , lettres patentes signées à Fontainebleau le ), légionnaire (25 prairial an XII), puis, officier (1833), puis, commandeur, puis, grand officier de la Légion d'honneur (1843),

D'argent, à mouchetures d'hermines, à la champagne de gueules chargée de l'étoile de la Légion d'honneur en date, surmonté d'une branche d'olivier de sinople.[15]

Ange Zondadari-Chigi (né le à Sienne), adjoint au maire de Sienne, chevalier de l'Empire (lettres patentes du 15 septembre 1811 (Compiègne) : titre de chevalier accordé à la suite du décret du le nommant membre de la Légion d'honneur), chambellan de S.A.I. et R. le grand-duc de Toscane, à Sienne[67].

Parti, au premier d'azur à l'arbre à deux branches feuillées d'or formant le pairle ; au deuxième de gueules au rocher à six coupeaux d'or, surmonté d'une étoile du même ; le tout soutenu d'une champagne du tiers de l'écu de gueules chargé du signe des chevaliers légionnaires.[15]

Les Chevaliers non légionnaires

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
Jean Albisson (), avocat et jurisconsulte, chevalier de l'Empire ()

D'argent au chevron échiqueté de trois tires d'or et d'azur, senestré d'un tiers de gueules au signe des chevaliers non légionnaires.

Charles-Louis Cadet de Gassicourt (), pharmacien ordinaire de l'empereur, membre du conseil de salubrité de Paris, etc., chevalier de l'Empire ()

D'argent, au palmier terrassé de sinople, fruité d'or, adextré et senestré d'un rejeton aussi de sinople, celui de senestre plus élevé; champagne de gueules du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers non légionnaires, qui est un annelet d'argent.[13]

Gorse[68], Chirurgien-major du 2e Régiment de dragons de la Garde impériale, puis du 1er Régiment de cuirassiers, Chevalier de la Légion d'honneur (14 avril 1807), ancien chirurgien en chef en Hollande,

Tiercé en fasce : au I, de pourpre au caducé d'or ; au II, de gueules à l'insigne des chevaliers non-légionnaires ; au III, de sinople au dragon ailé et passant d'or.[5]

Antoine Alexandre Julienne de Bélair ( - Paris - Saint-Mandé), Colonel du 8e régiment d'infanterie légère (), Colonel du 24e régiment d'infanterie légère (8 décembre 1810), Général de brigade (), Chevalier de l'Empire, Baron de l'Empire (lettres patentes du 11 novembre 1813[8]), Grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (),
    • Armes de Chevalier de l'Empire : Tiercé en fasce : au I, de sable à une tulipe (ou julienne des dames) fleurie d'argent, tigée de sinople, versée à dextre ; au II, de gueules à l'insigne des chevaliers non-légionnaires ; au III, d'azur à une tour d'argent ouverte de sable sur un rocher au naturel.[9]

Armes parlantes. (Julienne⇔julienne des dames).

Antoine Vareliaud (17761840), Chirurgien des armées, médecin attaché à l'Impératrice Marie-Louise, chirurgien de l'Empereur, Chevalier de l'Empire (16 juillet 1810),

Tiercé en pal, de sinople, d'or et de gueules; le sinople à trois chevrons d'argent ; l'or plein ; le gueules au signe des chevaliers non légionnaires, qui est un annelet d'argent.[13]

Chevaliers de l'ordre de la Réunion

Armoiries Nom du chevalier et blasonnement
Dominique Azuni (, Sassari, Cagliari), juriste et magistrat sarde, sénateur de Savoie, juge au tribunal de commerce et maritime de Nice (1782), président du tribunal d'appel de Gênes (1807-1814), député de Gênes au Corps législatif (), vice-intendant de Nice, sénateur d'Italie, juge et magistrat suprême du consulat de Cagliari (1815), président de la bibliothèque de l'université royale de cette ville (1815), chevalier de l'Empire (), légionnaire (1813), chevalier de l'ordre de la Réunion (1813).

Coupé, au un, d'argent au phénix essorant de sable ; au deux, d'azur au sautoir d'or accompagné d'une étoile à huit rais du même, posée au deuxième point en chef. Bordure d'azur du tiers de l'écu, chargée, au deuxième point en chef, du signe des chevaliers de l'ordre impérial de la Réunion, qui est une étoile à douze rayons d'or[69].

Jean-François Barailon ( - Chambon-sur-Voueize - Chambon-sur-Voueize), docteur en médecine (avant 1789), juge de paix (1790), député du département de la Creuse à la Convention nationale (), député de la Creuse au conseil des Cinq-Cents (an IV, an VII), président du Corps législatif (du 7 au ), substitut du procureur impérial à Chambon (1806), puis procureur impérial au même tribunal, président du collège électoral de la Creuse (Cent-Jours), chevalier de l'Ordre de la Réunion (),

Parti, au 1, de gueules chargé en abîme d'un E d'argent surmonté d'un filet alaisé mis en fasce du même, et accompagné de six palmes au naturel (sinople) posées en orle; au 2, d'azur à la verge de sable, accolée d'un serpent d'or (bâton d'Esculape); champagne d'azur du tiers de l'écu, brochant sur le parti et chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion, qui est une étoile à douze rayons d'or.[69] - [13]

Vincent Barel de Saint-Alban, membre du collège électoral du , chevalier de l'ordre de la Réunion ().

Parti : au premier d'argent, à la tour de gueules ouverte, ajourée et maçonnée de sable, adextrée d'une étoile à six rais et senestrée d'un fer de lance du même, soutenue d'une fasce ondée et abaissée d'azur ; au second d'azur, chargé en pointe d'un chevalier armé à l'antique, monté sur un cheval passant, soutenu d'une terrasse, le tout au naturel, le chevalier tenant de la dextre et appuyée en barre sur l'épaule une bannière de gueules bâtonnée de sable, et en chef un globe d'or cerclé et croiseté d'argent ; à la champagne d'azur au signe des chevaliers de l'ordre impérial de la Réunion[69].

Willem Philip Barnaart (17811851) bourgmestre de la ville de (nl) Haarlem, (département du Zuyderzée), chevalier de l'Ordre de la Réunion (),
  • Tiercé en fasce, au 1, échiqueté d'argent et de sinople; au 2, d'azur chargé du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion; au 3, de gueules au lion rampant contourné d'or.[69]
  • Armes modernes () : Écartelé, aux 1 et 4 échiqueté de sinople et d'argent de quatre tires ; aux 2 et 3 de gueules au lion contourné d'or. Cimiers et supports : deux lions. Lambrequins : d'or et de gueules[69].
Lazare-Nicolas Boudin de Vesvres (5 décembre 1759 - Avallon (Yonne) ✝ 25 février 1828 - Paris), inspecteur puis inspecteur général de messagerie, administrateur général des postes et messagerie, inspecteur général et membre du conseil d’administration des postes aux chevaux, commissaire général pour le service des postes, près du quartier général impérial et de l’État-major général (lors des campagnes de Prusse et de Pologne (1806), de Moscou et de Dresde), membre du collège électoral du département de l'Yonne, président du canton d'Avallon, Chevalier de l’Empire (lettres patentes du 16 juin 1813), Chevalier de la Légion d'honneur (ordonnance du 19 août 1814), chevalier de l'Ordre de la Réunion (décret impérial signé en 1812 et lettres patentes du 16 juin 1813),

De gueules au guerrier à cheval galopant, contourné et perçant d'une lance un dragon, le tout d'argent, soutenu d'une terrasse du même; champagne d'azur du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion, qui est une étoile à douze rais d'or.[69] - [11]

Claude Sébastien Bourguignon-Dumolard ( - Vif (Isère) - Paris), secrétaire général du comité de sûreté générale (9 Thermidor an II), chef de division au ministère de l'Intérieur, secrétaire général à celui de la Justice, commissaire du Directoire près le Tribunal civil de Paris puis près la Cour de cassation, Ministre de la police générale, juge au tribunal criminel de Paris et membre au conseil d'administration des droits réunis, substitut du procureur général impérial de la Haute Cour, conseiller à la cour impériale de Paris, chevalier de l'Ordre de la Réunion (),

De sable au rocher d'or, mouvant d'une mer agitée de sinople, ondée d'argent ; bordure d'azur du tiers de l'écu, chargée au deuxième point en chef du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion, qui est une étoile à douze rais d'or.[69]

Noël Barthélemy Boutet de Monvel (4 septembre 1768 - Marseille1847 - Orléans)[70] - [71] - [72], commis au ministère de la Justice (1789, sur la recommandation de son père), chef-adjoint du bureau particulier de Cambacérès (1799), avant d’en faire son secrétaire particulier de Cambacérès, Secrétaire des commandements de S.A.S Monseigneur le Prince Archichancelier de l'Empire, plus particulièrement chargé des affaires administratives et politiques, chevalier de l'Ordre de la Réunion (),

Parti, de gueules et d'azur ; le gueules, à 3 croissants d'argent; l'azur, à 3 chevrons alaisés (étais) d'or, posés 2, 1 ; champagne d'azur du tiers de l'écu, brochant sur le parti, chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion, qui est une étoile à douze rais d'or.[69]

Gilbert Bruys de Charly ( - Mazille (Saône-et-Loire) ✝ - Mazille), Avocat au Parlement de Bourgogne, Conseiller général du canton de Mazille (), Président du conseil général de Saône-et-Loire (1803-1810), Député de Saône-et-Loire au Corps législatif ( - 1814), Chevalier Bruys de Charly et de l'Empire (lettres patentes du , confirmé par Louis XVIII en 1815), Officier de la Légion d'honneur (1814), Chevalier de l'Ordre de la Réunion (1813),

D'argent au chevron d'azur chargé au sommet du signe distinctif des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion, qui est une étoile à douze rais d'or.[69]

Pierre de Bye (, La Haye, La Haye), magistrat néerlandais, juge à la Cour impériale d'Utrecht (1804-1806), avocat-fiscal (1806-1811), conseiller près la Cour de cassation (1811-1813), conseiller d'État (1827-1836), chevalier de l'Empire (1813), chevalier de l'ordre de la Réunion (1813).

D'or à la fasce contre-bretessée de sable ; au chevron d'azur chargé du signe des chevaliers de l'ordre impérial de la Réunion, brochant sur le tout[69].

Bernard de Carrié-Cancé d'Entraygues, sous-préfet de l'arrondissement d'Espalion (Aveyron), et membre du collège électoral de ce département, chevalier de l'Ordre de la Réunion (),

Parti, le 1, coupé d'azur et d'or, l'azur au croissant d'argent, entre deux étoiles du même, l'or au lion passant de sable; le 2, d'azur à deux branches, l'une de chêne à dextre, l'autre d'olivier à sénestre, passées en sautoir, d'argent; bordure d'azur du tiers de l'écu chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion, posé en deuxième point en chef.[69]

Amico de Castellalfieri, chambellan de la princesse Pauline, chevalier de l'Ordre de la Réunion (13 mai 1813),

Parti, au 1, d'argent à 3 corbeaux de sable, 2 et 1, au comble d'azur chargé d'un annelet d'argent, sommé d'une foi du même ; au 2, coupé: le 1, écartelé aux 1 et 4, losangé d'azur et d'or ; aux 2 et 3, de gueules plein ; le second, recoupé d'azur et d'argent. Champagne d'azur du tiers de l'écu, brochant sur le parti, chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion, qui est une étoile à douze rais d'or.[69]

René Ferdinand Chaubry[73] (18 octobre 1834), ingénieur en chef et inspecteur divisionnaire des ponts et chaussées au Havre de 1783 à 1785, mit en place en 1777 le pont en bois qui permit à la route de Nantes à Paris de franchir l'Huisne, Président du Conseil des Princes établi en 1794 au Mans, surveilla les travaux du port de Dieppe, chevalier de l'Ordre de la Réunion (),

D'argent à la fasce d'azur chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion, accompagnée de trois pommes de pin de sable, 2 en chef, 1 en pointe.[69]

Jean-Baptiste-Marie-Victor Chebrou de Lespinats ( - Niort - Château de Queray, Saint-Gelais), Chevalier (Lettres d'anoblissement de mai 1736), Officier à la suite dans un régiment de dragons, lieutenant de la Garde constitutionnelle du Roi Louis XVI, inspecteur local des haras des Deux-Sèvres (1801), premier chef du dépôt de Saint-Maixent (1806), membre du collège électoral du département des Deux-Sèvres[69], Inspecteur général des Haras (1825-1830), Chevalier de l'Empire (Lettres patentes du ), Chevalier de l'Ordre Impérial de la Réunion[69] (), Chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis (1814),

Parti, au 1, de pourpre au cerf grimpant d'argent ; au 2, d'azur au lion d'argent lampassé d'or, tenant de la dextre un sabre du même ; le tout soutenu d'une champagne d'azur du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]

Jacques Pierre Aimable Chrestien de Fumechon ( - Thibouville (Eure) ✝ - Rouen), Conseiller au Parlement de Rouen (avant la Révolution française), Juge de paix (sous la Révolution, le Directoire et le Consulat), Conseiller à Cour de Rouen (1811), Président de chambre (Restauration française), Député du 2e arrondissement de l'Eure (Pont-Audemer) ( - 1827), Président honoraire de chambre (Monarchie de Juillet), Chevalier Chrestien de Fumechon et de l'Empire (), Chevalier (Premier Empire), puis, Officier de la Légion d'honneur (Monarchie de Juillet), Chevalier de l'Ordre de la Réunion (),
  • Armes sous l'Ancien Régime : D'azur, au griffon rampant d'argent tenant entre fes pattes une molette d'or.[74]
  • Armes sous le Premier Empire : Parti, au 1, d'azur au griffon grimpant d'argent, tenant entre ses deux pattes de devant une molette d'éperon d'or; au 2, de gueules à deux dextrochères d'or, tenant chacun un sabre haut du même, mouvant l'un du flanc dextre, l'autre du flanc sénestre, et accompagnés de 3 besants d'argent, 2, 1, au comble d'or; le tout soutenu d'une terrasse du même et contre-soutenu d'une champagne d'azur chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]
Civalieri de Mazio, membre de la députation d'Alexandrie chevalier de l'Ordre de la Réunion (22 mars 1814),

Parti, au 1, écartelé : les 1 et 4, d'or à trois pals de gueules; les 2 et 3, d'azur à la colombe d'argent, au comble d'or chargé d'un vol ouvert de sable; au 2, d'azur à la croix fleuronnée et vidée d'argent; champagne d'azur, brochant sur le parti, chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]

Charles-Louis Clément ( - Besançon - Paris), Inspecteur des douanes (1788), Capitaine dans l'Armée du Rhin (1793), Expéditionnaire, chef de bureau, puis chef de division au ministère de l'Intérieur (1794-1810), Député du Doubs au Corps législatif ( - 1814), Député du Doubs à la Chambre (1814-1815, - 1824, , réélu le , le , le , le , le , le , le , Représentant à la Chambre des Cent-Jours ( - 1815), Conseiller général du département du Doubs (Monarchie de Juillet), Chevalier de l'Empire (), Chevalier (1814), puis, Officier de la Légion d'honneur (Monarchie de Juillet), Chevalier de l'Ordre de la Réunion (),

Parti, d'azur et d'or ; l'azur à la montagne d'argent sommée d'une colombe du même, tenant en son bec une branche d'olivier de sinople ; l'or, au croissant d'azur sommé d'une branche à cinq feuilles de sinople ; champagne d'azur, brochant sur le parti, chargé du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]

Eustache Étienne Marie Pierre Marc Antoine Courtin (1769 - Saint-Pierre-sur-Dives - Garches), Avocat au barreau de Paris (1802), Substitut du procureur général près de la cour criminelle du département de la Seine (1803), avocat général à la cour impériale de Paris (1811), Procureur impérial près le tribunal civil (1811-1815), Préfet de police de Paris (2 juillet 1815 - (Cent-Jours), Procureur près le tribunal de première instance ( - ), Avocat (1818), Chevalier de l'Empire (), Chevalier de la Légion d'honneur (1819), Chevalier de l'Ordre de la Réunion (),

D'or mantelé d'hermines, au chevron d'azur brochant sur le tout, chargé du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion, surmonté au deuxième point en chef d'une étoile d'azur, accompagné à dextre d'un coq d'or crêté et barbé de gueules, à sénestre d'un chien passant de sable colleté d'argent, et en pointe d'une colonne d'azur accolée d'un serpent de sinople et soutenue d'une épée en fasce, la pointe à sénestre, d'azur.[69]

Claude Deschamps (1765 - Vertus1843 - Bordeaux), Ingénieur des Ponts et chaussées (1787), Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées (1803), Inspecteur divisionnaire des Ponts et Chaussées (1810), Chevalier de l'Empire (), Chevalier de la Légion d'honneur, Chevalier de l'Ordre de la Réunion (),

Parti d'or et d'azur; l'or au pin de sinople terrassé du même, le fût chargé d'une équerre de sable et surchargé d'un compas ouvert d'argent; l'azur, à l'ancre d'or accompagnée de trois étoiles d'argent, 2 en chef, 1 en pointe; champagne d'azur, brochant sur le parti, chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69] - [5]

Dibletz, capitaine de frégate, chevalier de l'Ordre de la Réunion (),

De gueules à trois besants d'argent ; champagne d'azur au signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]

Abraham van Doorn van der Boede ( - Essequibo (Guyana) ✝ - Flessingue, royaume des Pays-Bas), Docteur en droit à Utrecht, Conseiller d'État, Bourgmestre de Flessingue (jusqu'en 1795), Membre du comité de la Marine (1796-1797), Préfet de la province de Zélande (royaume de Hollande, 1807), Conseiller d'État en service extraordinaire (1810), Député des Bouches-de-l'Escaut Corps législatif ( - 1814), Chevalier de l'Empire (), Chevalier de l'Ordre de la Réunion (),

D'or, à trois branches de corail au naturel, soutenues de sinople ; champagne d'azur du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]

Farjon, conseiller en la cour impériale de Montpellier, chevalier de l'Ordre de la Réunion (),

Tranché de sable et d'argent ; à la fasce d'azur, brochant sur le tout, chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]

Christian Anton Joseph Pierre Jean, comte Gabaléon de Salmour ( - Turin - Rome), ministre plénipotentiaire du roi de Saxe près du Directoire, député du département du Pô au Corps législatif (1813-1814), gouverneur de la Savoie (jusqu'au ), chevalier de l'Empire (), Grand-cordon des Ordres de Pologne, chevalier de l'Ordre de la Réunion ()[69].
  • Armes du Comte Gabaléon de Salmour : D'azur, au lion d'or armé et lampassé de gueules, au chef chargé d'un coq de gueules adextré d'une rose du même et sénestré d'un chardon au naturel.[75]
  • Armes de Chevalier de l'Empire : Tiercé en fasce, savoir : le 1, parti d'argent et d'azur : l'argent chargé d'un coq de gueules adextré d'une rose et sénestré d'un chardon au naturel ; l'azur, au lion d'or armé et lampassé de gueules ; le 2, d'or chargé à dextre d'un vol ouvert de sable, à sénestre d'une tête de bœuf en rencontre aussi de sable, traversée en bande d'une épée d'argent, la pointe en bas (Łubieński) ; le 3, d'azur chargé du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]
Genêt, membre du collège électoral du département des Deux-Sèvres, chevalier de l'Ordre de la Réunion (),

D'argent au chevron d'azur chargé du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion, accompagnée en chef de deux étoiles de gueules et en pointe d'un genêt de sinople, mouvant de la pointe[69].

Pierre-Simon Girard ( - Caen - Paris,) ingénieur et physicien français, membre de la Commission des sciences et des arts, Directeur du canal de la Somme, inspecteur divisionnaire des Ponts et chaussées (Cent-Jours), directeur de la Société des eaux de Paris, membre de l’Académie des sciences (1815) et de la Société philomathique de Paris, chevalier de l'Ordre de la Réunion ().

D'argent à la fasce d'azur chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion, accompagnée en chef du signe du verseau d'azur, et en pointe de la lionne égyptienne posée comme le sphynx, de sable.[69]

Claude (II) Hardouin[76] (, à Joigny - ), fils de Claude Hardouin († ), sieur de la Reynerie, avocat en parlement, et de Louise Lequeux ; conseiller en la cour impériale de Paris, chevalier de l'Ordre de la Réunion (),

De gueules, au cygne d'argent soutenu d'une rivière du même, et surmonté d'un croissant flanqué de deux étoiles aussi d'argent, une à dextre, l'autre à sénestre; champagne d'azur chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]

Paulus van der Heim[77] (, Bruxelles - , La Haye), secrétaire de l'Amirauté de Rotterdam (1772-1795), directeur général hollandais des Indes orientales (nl) et hollandais du Commerce (1806), Ministre hollandais des Indes orientales et hollandais du Commerce (1806-1807), Ministre hollandais de la Marine et des colonies (1808-1811), Ministre hollandais par intérim des affaires étrangères (1810), préfet maritime de l'Arrondissement de Hollande (1811), Président des États généraux du Royaume-Uni des Pays-Bas (1814-1815), Président de la Première Chambre des États généraux (1815-1823), mécène et administrateur de la Société batave pou l'Expérimentation philosophique (1786-1795), jonkheer (), Commandeur (1807) puis Grand-croix (1808) de l'Ordre de l'Union, Grand-croix de l'Ordre de la Réunion (1812), Chevalier de l'Ordre du Lion néerlandais,

D'or, à trois loups ravissants de gueules, 2, l; bordure d'azur du tiers de l'écu chargée, au deuxième point en chef, du signe distinctif des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion[69].

Adrien Van Helden, Général de brigade, Chevalier de l'Empire et de l'Ordre de la Réunion (),

Parti de sinople et d'or ; le sinople, à trois têtes de lion d'or arrachées de gueules; l'or, à quatre fasces ondées de gueules; champagne d'azur, brochant sur le parti, chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]

François Jacques Jean Henry Hoin[78] - [11] (7 juin 1786 - Dijon1813 - Anvers, inhumé dans le cimetière « Les Péjoces », Dijon), Docteur en médecine, chirurgien-aide-major des grenadiers de la Garde Impériale, Chevalier de l'Empire et chevalier de l'Ordre de la Réunion (lettres patentes du ),

D'or, au pal d'azur chargé du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion, adextré d'une verge de sable accolée d'un serpent de sinople, et senestré d'un sabre en pal de sable, surmonté d'une grenade de gueules.[69] - [13]

Hue de la Blanche, premier secrétaire d'ambassade près de la cour de Vienne (Autriche), chevalier de l'Ordre de la Réunion (). De gueules, parti d'un trait de sable, chargé au 1, d'un cœur d'or accompagné de trois molettes du même, deux en chef, une en pointe; au 2, de trois écussons d'or, 2, 1 ; bordure d'azur, du tiers de l'écu, chargée au deuxième point en chef du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion[69].
Jean-Joseph-Joachim Janod (22 mars 1761 - Clairvaux (Jura) - Paris), Avocat à Besançon (1786), Député du Jura au Conseil des Cinq-Cents (23 germinal an V, réélu le 25 germinal an VII), Juge au tribunal de première instance du département de la Seine (1804), Député du Jura au Corps législatif (4 nivôse an VIII, confirmé le ), Député du Jura à la Chambre (1814-1815), Vice-président du tribunal de première instance de la Seine (1814), Chevalier de l'Empire (), Officier de la Légion d'honneur (17 mars 1815), Chevalier de l'Ordre de la Réunion (),

Tiercé en fasce : au 1, d'hermines plein ; au 2, d'azur chargé du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion ; au 3, d'or à la branche d'olivier en bande de sinople chargée d'une épée en bande de gueules.[69]

Benjamin François Ladouespe Dufougerais ( - Bordeaux - Paris), Directeur général adjoint de la caisse d'amortissement (Premier Empire), Membre du conseil du ministre des manufactures et du commerce, Député de la Vendée au Corps législatif (1814), Député de la Vendée à la Chambre des députés ( - 1818), Chevalier de l'Empire (), Baron Dufougerais (), Chevalier de l'Ordre de la Réunion (),
  • Armes des La Douëpe du Fougerais sous l'Ancien Régime : De gueules, à quatre clous d'argent, appointés en sautoir.[6] ;
  • Armes de Chevalier de l'Empire : D'azur, au croissant d'argent, surmonté d'une étoile du même, et soutenu de cinq besants, 3 et 2 d'or, à l'orle du même ; bordure d'azur du tiers de l'écu chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion, au deuxième point en chef.[69]
Jean-Olivier Lavollée[79] (né en 1776), expéditionnaire au bureau du ministre Lambrechts, secrétaire particulier de Cambacérès (1799), Secrétaire des commandements de S.A.S Monseigneur le Prince Archichancelier de l'Empire, plus particulièrement chargé des affaires maçonniques et privées (relatives à la fortune de Cambacérès), chevalier de l'Empire et de l'Ordre de la Réunion (),

D'or, au sautoir échiqueté d'argent et de sable, accompagné en chef et en flancs d'une quintefeuille de gueules, et en pointe d'un lévrier passant de sable; le tout soutenu d'une champagne d'azur du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]

Charles Leclère, membre du collège électoral du département de la Corrèze, chevalier de l'Empire et de l'Ordre de la Réunion de l'Ordre de la Réunion (),

D'azur, au soleil rayonnant d'argent, surmonté d'une croix tréflée du même, soutenu d'un triangle d'or, contre-soutenu d'une champagne d'azur chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]

Lefebvre, administrateur des hospices civils et militaires de Blois, receveur du département de Loir-et-Cher, chevalier de l'Empire et de l'Ordre de la Réunion de l'Ordre de la Réunion (),

D'azur, au pélican dans son aire, entouré de huit petits, d'or; soutenu d'une champagne d'azur du tiers de l'écu, au signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]

Antoine Joseph Lemarchant de Gomicourt (Albert (Somme) - Paris), Député de la Somme au Conseil des Cinq-Cents (), Maire d'Albert (1800), Député de la Somme au Corps législatif (), Député de la Somme à la Chambre introuvable (, réélu les et ), chevalier Lemarchant de Gomicourt et de l'Empire (lettres patentes du ), anobli par lettres de noblesse (première Restauration), Chevalier de l'Ordre de la Réunion (), Chevalier (), puis, Officier de l'Ordre royal de la Légion d'honneur (11 novembre 1814),

De sable, au vaisseau à trois mâts d'argent, soutenu d'une mer de sinople; bordure d'azur du tiers de l'écu, chargée au deuxième point en chef du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]

Alexis Louis Marie de Lespinay ( - Chantonnay - Poitiers), fut un homme politique français du XIXe siècle, Capitaine au Régiment du Roi-Infanterie, Député de la Vendée au Corps législatif (), Conseiller général (Restauration), Député de la Vendée à la Chambre, Chevalier du Pally et de l'Empire (), Marquis de Lespinay, baron des Essarts, de Sainte-Cécile, Chantonnay, Puybelliard, Sigournais, etc., Chevalier de Saint-Louis, Chevalier de l'Ordre de la Réunion (), Officier de la Légion d'honneur (Restauration),
  • Armes des L'Espinay ou Lespinay : D'argent, à trois buissons d'épines de sinople. Devise: SEQUAMUR QUO FATA VOCANT[6] - [80] - [81]. ;

Armes parlantes.

(espinay⇔épines.).
  • Armes de Chevalier de l'Empire : D'argent, à trois buissons d'épines de sinople, 2, 1 ; bordure d'azur du tiers de l'écu, chargée au deuxième point en chef du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]
Lorin docteur en médecine, chevalier de l'Empire et de l'Ordre de la Réunion (),

D'azur, au rocher à six coupeaux d'or mouvant de la pointe, sommé de quatre lauriers de sinople fruités de sable, à l'orle d'or; bordure d'azur du tiers de l'écu, chargée au premier point en chef du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69] - [13]

Claude Étienne Martin d'André[82] - [83] ( - Marseille - Paris, inhumé au cimetière du Père-Lachaise), armateur (sous l'Ancien Régime), négociant pour la Maison Martin fils d'André et Cie, Président du Tribunal de Commerce de Paris, Censeur de la Banque de France (IIIe siège : - ), membre du conseil du ministre des manufactures et du commerce, Chevalier de l'Empire (), confirmé Chevalier Martin d'André (confirmé par lettres patentes du 10 août 1816, à nouveau confirmé par ordonnance royale du et lettres patentes du ), Chevalier de l'Ordre de la Réunion (), chevalier de l'ordre royal de la Légion d'honneur,
  • Sous le Premier Empire : D'argent, au lion de gueules tenant de la dextre une balance du même, le tout soutenu d'une champagne d'azur au signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]
  • Sous la Restauration : Coupé : au I, d'argent au lion rampant de gueules, tenant de la patte dextre une balance de même ; au II, d'azur au chevron d'or.
Joseph-Jérôme Milliet[84] sous-préfet de l'arrondissement de Thonon, département du Léman, chevalier de l'Empire et de l'Ordre de la Réunion (),

De sinople, au chevron cousu d'azur chargé du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion, accompagné de trois tiges de millet d'or.[69]

Molini, grand-prévôt, président de la Cour prévôtale des douanes d'Alexandrie, chevalier de l'Empire et de l'Ordre de la Réunion (),

D'azur, à la roue de moulin d'or, à l'orle du même ; bordure d'azur du tiers de l'écu chargée au deuxième point en chef du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]

Molinier de Montplanqua[27], avocat à la Cour de cassation, adjoint au maire du IXe arrondissement de Paris, maire du douzième arrondissement de la ville de Paris (1812-1815), membre du collège électoral du département de la Seine, Président de la Société philanthropique (1844), Doyen des avocats au Conseil du roi[85], chevalier de l'Empire et de l'Ordre de la Réunion (), Chevalier de la Légion d'honneur (),

De gueules, à la fasce cousue d'azur, chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion, accompagnée en chef de deux besants d'argent, et en pointe d'une foi en fasce parée d'un nuage d'or.[69]

François-Marie Monnier du Gazon[11] (, à Plombières-lès-Dijon - 29 septembre 1863, château de la Vieille-Ferté, La Ferté-Loupière), Directeur de la Police en Lituanie (1810), Chef de division à la Secrétairerie d’État, Conseiller général de l’Yonne, Maire de La Ferté-Loupière, Chevalier de l’Empire (lettres patentes et décret impérial du ), Baron de l’Empire (décret impérial du , confirmé par lettres patentes du ou 1845), chevalier de l'Ordre Impérial de la Réunion (), Chevalier (décret impérial du ) puis Officier de la Légion d'honneur (ordonnance du , pour prendre rang à dater du ), Chevalier de l’Ordre de Malte, Commandeur de l'Ordre de Saint-Stanislas, Commandeur de l'Ordre de Charles III, Commandeur de l'Ordre du Dannebrog, etc.

Parti : au 1, d'azur à la bande d'or chargée d'une croix tréflée de sable, accompagnée de deux tourtereaux d'or; au 2, aussi d'azur à trois merlettes d'argent surmontées chacune d'une étoile d'or, au comble cousu de gueules brochant sur les deux étoiles placées en chef; le tout soutenu d'une champagne d'azur du tiers de l'écu, au signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69] - [11]

Jean-Baptiste-Antoine Nourrisson ( - Lyon - Besançon), Commissaire du gouvernement près le tribunal de Gray, Substitut du procureur impérial près la Cour impériale de Besançon (1811), Procureur impérial près la Cour criminelle du département du Doubs, membre du collège électoral de la Haute-Saône, député de la Haute-Saône (au Corps législatif (6 germinal an X - 1806), à la Chambre des représentants (Cent-Jours), à la Chambre des députés (Restauration) ( - 1824), Chevalier de l'Empire (), Chevalier de l'Ordre de la Réunion (),

De gueules, au pélican d'or et sa piété du même, soutenu d'un tertre de sinople ; bordure d'azur du tiers de l'écu, chargée au deuxième point en chef du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]

Pardessus, notaire à Blois, membre du collège électoral du département de Loir-et-Cher, adjoint au maire de Vineuil-lès-Blois, chevalier de l'Ordre de la Réunion (),

Tiercé en fasce, au 1, de gueules, à la foi rebrassée d'argent; au 2, d'azur, au signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion; au 3, parti de sinople à la gerbe d'or et d'or au caducée en barre de sinople.[69]

Victor-Modeste Paroletti ([86] - Turin - Turin), juriste piémontais, secrétaire du gouvernement provisoire de la République piémontaise à Turin (1799), membre de la Consulta du Piémont (1800), député du département du Pô au Corps législatif ( - fin 1811, 1813-1814), Chevalier de l'Empire (), Chevalier de l'Ordre de la Réunion (), Chevalier de la Légion d'honneur, Chevalier de l'Ordre de Saint-Maurice et Saint-Lazare,

Parti: au 1, d'argent, au palmier de sinople terrassé de sable, surmonté d'un comble d'azur, chargé de deux étoiles à six rais d'or; au 2, de gueules, à une église d'or soutenue du même; champagne d'azur, brochant sur le parti, chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]

François Ruphy de Menthon de Lornay (né le - Annecy), membre de l'Assemblée des Allobroges, membre de l'administration du district d'Annecy, maire d'Annecy (1801), député du département du Mont-Blanc au Corps législatif ( - 1813), sous-préfet d'Annecy (), chevalier de l'Empire (), baron (par Louis XVIII en 1814, Chevalier de l'Ordre de la Réunion (),

De gueules, au lion d'argent armé et lampassé de sable, à la bande cousue d'azur chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion, brochant sur le tout.[69]

Jacques Alexis Thuriot de la Rozière ( - Sézanne - Liège), avocat, député de la Marne à l’Assemblée législative, montagnard à la Convention nationale (président de l’assemblée du 27 juin au ), membre de Comité de salut public (10 juillet - 20 septembre), commissaire auprès des tribunaux de la Marne, membre de la Commission des émigrés, en substitut du procureur général de la Cour de Cassation (1805), chevalier de l'Empire (), chevalier de l'Ordre de la Réunion (),

D'argent, à la croix d'azur chargée en abîme d'une étoile à douze rais d'or, signe distinctif des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion, cantonnée à dextre en chef d'un œil ouvert au naturel, à sénestre d'une balance de sable; en pointe, à dextre d'un coq aussi de sable, crêté et barbé de gueules, et à sénestre d'une quintefeuille de gueules.[69]

Jean-Joseph de Verneilh-Puyraseau ( - Nexon - Limoges), avocat (1789), député de la Dordogne à l'Assemblée législative (1791), président du tribunal civil de Nontron, puis juge de paix de Bussière-Badel, haut-juré de la Dordogne à la cour de Vendôme (1797), et président du tribunal criminel de la Dordogne (1799), Préfet de la Corrèze (11 ventôse an VIII), Préfet du Mont-Blanc (8 floréal an X), Président du collège électoral de Nontron en 1809, député de la Dordogne au Corps législatif (1810-1814, 1814-1815, Cent-Jours, 1817-1824, 1827-1830), chevalier de l'Empire et de l'Ordre de la Réunion (), baron et chevalier de la Légion d'honneur sous la Restauration,

D'argent, au croissant de gueules sommé de trois palmes de sinople, réunies par la tige, au comble de gueules chargé de trois étoiles d'argent; champagne d'azur du tiers de l'écu, chargée du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]

Pieter Hieronymus van Westrenen van Themaat ( - Utrecht - Utrecht), ambassadeur de la République batave à la cour de Suède ( - ), ministre plénipotentiaire à Lisbonne ( - 11 mars 1807), député au Corps législatif du royaume de Hollande, député du département d'Utrecht au Wetgevend Lichaam ( - ), membre de l'administration provinciale d'Utrecht, député du département du Zuyderzée au Corps législatif ( - 1814), Heer van Themaat (Haarzuilens) en Houdringen, chevalier de l'Empire (), Chambellan de la reine Hortense, Chevalier de l'Ordre de l'Union, Chevalier de l'Ordre de la Réunion (), Chevalier de la Légion d'honneur,

D'argent, au loup passant de sable, lampassé de gueules, allumé du champ, surmonté de trois fers de lance de sable, rangés en fasce ; bordure d'azur du tiers de l'écu, chargée au deuxième point en chef du signe des chevaliers de l'Ordre impérial de la Réunion.[69]

Notes et références

[1] - [16] - [7] - [4] - [23] - [24] - [8] - [5] - [9] - [35] - [11] - [15] - [20]

  1. ARMORIAL DU PREMIER EMPIRE, Par Philippe LAMARQUE, Index armorum : Michel POPOFF, Iconographie : Gregor JAKUBOWSKI – BARTHEL de WEYDENTHAL, Éditions du Gui, page 141
  2. Cote S.H.A.T. : 8 Yd 156.
  3. Vicomte Albert Révérend (1844-1911), Armorial du Premier Empire : titres, majorats et armoiries concédés par Napoléon Ier, vol. 3, Paris, (4 vol. in 2) Au bureau de L'Annuaire de la noblesse, (lire en ligne).
  4. Tout sur l'héraldique : dessin de blasons et d'armoiries sur toutsurlheraldique.blogspot.com
  5. Héraldique napoléonienne et symbolisme maçonnique, de Jacques Declercq, d'après L’héraldique napoléonienne, de Philippe Lamarque Ed. du Guy.
  6. Johannes Baptist Rietstap, Armorial général : contenant la description des armoiries des familles nobles et patriciennes de l'Europe : précédé d'un dictionnaire des termes du blason, G.B. van Goor, , 1171 p. (lire en ligne), et ses Compléments sur www.euraldic.com
  7. Alcide Georgel, Armorial de l'Empire français : L'Institut, L'Université, Les Écoles publiques, (lire en ligne).
  8. Source: Armorial du Premier Empire, Vicomte Albert Révérend, Comte E. Villeroy
  9. La noblesse d'Empire sur http://thierry.pouliquen.free.fr
  10. Nobiliaire de Provence : Armorial général de la Provence, du Comtat Venaissin, de la Principauté d'Orange…, de René Borricand, Éditions Borricand, Aix-en-Provence, 3 vol. : 1974-1976, (ISBN 2853970027) (ISBN 9782853970020) (ISBN 2-85397-002-7) (ASIN B0000E7KFZ).
  11. Source : lesapn.forumactif.fr, Les Amis du Patrimoine Napoléonien
  12. Source : Amis et passionnées du Père-Lachaise, www.appl-lachaise.net
  13. http://www.euraldic.com/txt_bs1869_medec.html Armorial de l'Empire français par M. Alcide Georgel - 1869. Médecins et chirurgiens. Un texte téléchargé depuis le site de la Bibliothèque Nationale de France.
  14. Nicolas Roret, Nouveau manuel complet du blason ou code héraldique, archéologique et historique : avec un armorial de l'Empire, une généalogie de la dynastie impériale des Bonaparte jusqu'à nos jours, etc..., Encyclopédie Roret, , 340 p. (lire en ligne).
  15. PLEADE (C.H.A.N. : Centre historique des Archives nationales (France)).
  16. Philippe Lamarque, La Armoirieshéraldique du cheval, Editions Cheminements, , 292 p. (ISBN 978-2-84478-076-8, présentation en ligne).
  17. Nobiliaire et armorial de Bretagne, Pol Potier de Courcy, Dictionnaire Chaix d'Est-Ange, tome IV, 1905, p. 316-317.
  18. Nobiliaire et armorial de Bretagne, Pol Potier de Courcy.
  19. Source : www.crdp-reims.fr
  20. www.genheral.com
  21. Émile Le Chanteur de Pontaumont, Histoire de la ville de Carentan et de ses notables d'après les monuments paléographiques, Dumoulin et E. Gouin, , 451 p. (lire en ligne).
  22. Source : Une révolution à l'œuvre : le faubourg Saint-Marcel (1789-1794) ; Par Haim Burstin ; Publié par Éditions Champ Vallon, 2005 ; (ISBN 2876733706), (ISBN 9782876733701).
  23. Source : www.lillempire.fr : Lille et le Nord, du Consulat au Second Empire
  24. passepoil.fr Héraldique napoléonienne, Département du Nord
  25. « (no 3348) Ordonnance du Roi qui permet au Sgr François-Benoît Cornut de la Fontaine, caissier général du trésor royal, chevalier de l'ordre royal de la Légion d'honneur, né à Saint-Denis, département de la Seine, le , d'ajouter à son nom celui de de Coincy ;
    À la charge par l'impétrant, à l'expiration du délai fixé par les articles 6 et 8 de la loi du , de se pourvoir, s'il y a lieu, devant le tribunal de première instance compétent, pour faire faire les changemens convenables sur les registres de l'état civil du lieu de sa naissance. (Paris, ). »

    Source : Bulletin des lois de la République française, vol. 5, Imprimerie nationale, (lire en ligne).
  26. Armorial du premier empire: titres, majorats et armoiries concédés par Napoléon Ier, Volume 1
  27. Dictionnaire des girouettes, ou, Nos contemporains peints d'après eux-mêmes: ou Nos contemporains peints d'après eux-mêmes ; ouvrage dans lequel sont rapportés les discours, proclamations, chansons, extraits d'ouvrages écrits sous les gouvernemens qui ont eu lieu en France depuis vingt-cinq ans… ; Par Alexis Eymery, Yudin ; Collection (Library of Congress) ; Publié par A. Eymery, 1815
  28. Existence rocambolesque de Pierre DEREIX (1769 - 1854) sur Histoires du Pays d'Aigre.
  29. Ludovic de Magny, Le nobiliaire universel : ou, Recueil général des généalogies historiques et véridiques des maisons nobles de l'Europe, t. 8, Bibliothèque héraldique, (ISBN 978-0-543-98618-4, lire en ligne).
  30. Fiche de François-Gabriel Dornier sur roglo.eu
  31. « FRAN_IR_057698 - Salle des inventaires virtuelle », sur siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le ).
  32. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Dornier_Fran%C3%A7ois-Gabriel_1772-1844.png
  33. Fiche de Étienne Duboys Fresney sur roglo.eu
  34. « Cote LH/860/21 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  35. Armorial du Souvenir
  36. Mort à Florence, selon le Dictionnaire des parlementaires.
  37. (de) Fauris sur genobco.free.fr
  38. Histoire de la noblesse du Comtat-Venaissin, de Pithon-Curt.
  39. Histoire héroïque et universelle de la noblesse de Provence, par Artefeuil.
  40. Père de François Eustache de Fulque.
  41. Henri Gourdon de Genouillac, Nobiliaire des Bouches-du-Rhône
  42. Artefeuil, Louis Ventre, Histoire héroïque et universelle de la noblesse de Provence, Impr. de la veuve Girard, 1776
  43. Source : fr.structurae.de
  44. Source : Generals Who Served in the French Army during the Period 1789 - 1814.
  45. De CORNEILLE à MADONNA: l'Eure, berceau de célébrités.
  46. Il revient à Paris pour s'y marier en 1818 avec Gabrielle Louise Bathilde Augustine de Montgaillard, fille de la comédienne Marie Louise Contat (1770-1846) et du Comte Jean Gabriel Maurice Rocques de Montgaillard (1761-1825). Il est rendu à la vie civile en 1841, et demeure alors 4 rue Favart Paris 2e (proche de l'Opéra comique), où il décédera.
  47. Frère du Maréchal-Duc de Conegliano
  48. Source : chan.archivesnationales.culture.gouv.fr
  49. Source : Briographie de Louis Joseph Lahure sur www.biographie.net.
  50. le 28 février selon le site de Pierre Morel.
  51. « Cote LH/1523/15 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  52. Jean-Marie Hippolyte Aymar d'Arlot, comte de Saint-Saud, Armorial des prélats français du XIXe siècle, H. Daragon, , 415 p. (lire en ligne).
  53. Vicomte Albert Révérend, Armorial du premier empire; titres, majorats et armoiries concédés par Napoléon Ier, Paris, Au bureau de « l'annuaire de la noblesse », (lire en ligne).
  54. COMMUNAUTÉ DE COMMUNES DU CANTON DE SOURDEVAL - ACTUALITÉS
  55. Frère du Baron de l'Empire Gaspard Monge.
  56. Louis épouse, le , à Paris, Françoise Bourjot (, à Paris, à Paris), fille de Jacques Bourjot, marchand-mercier, et de Françoise Dupont. Ils ont deux filles. Il épouse, en secondes noces, le , Jeanne Josèphe Modeste veuve d'Alexandre Gabriel POTHERAT de THOU.
  57. Source : www.archivesnationales.culture.gouv.fr
  58. Né à La Rochelle selon Fastes de la Légion-d'honneur: biographie de tous les décorés accompagnée de l'histoire législative et réglementaire de l'ordre.
  59. Mémoires de la Société archéologique de Touraine, Par la Société archéologique de Touraine, Publié en 1866
  60. Christian Lebrument, Généalogie des Perrée, Section généalogique de l'association artistique de la Banque de France
  61. « Titre de chevalier, accordé à Joseph Puniet Monfort, à la suite du décret du 29 pluviose an XIII le nommant membre de la Légion d'honneur. Paris (28 janvier 1809). », sur chan.archivesnationales.culture.gouv.fr, Centre historique des archives nationales (consulté le ).
  62. Source : Philippe Lamarque, L'héraldique napoléonienne, Éditions du Gui, Saint-Jorioz, 1999, édition originale no 457. Planche 97 au t. Ier et blasonnement au t. II, p. 357.
  63. de REISET sur www.genea-bdf.org
  64. Albert Révérend, Armorial du premier empire : titres, majorats et armoiries concédés par Napoléon Ier, Paris : Au bureau de "L'Annuaire de la noblesse,", .
  65. Almanach impérial, Testu, (lire en ligne).
  66. Jean-Louis-Auguste Loiseleur-Deslongchamps, Herbier général de l'amateur, contenant la description, l'histoire, les propriétés et la culture des végétaux utiles et agréables : Dédié au roi, par Mordant de Launay, continué, vol. 8, Audot, Libraire, (lire en ligne).
  67. Sources :
  68. Source : Armorial des Chevaliers de l'Ordre Impérial de la Réunion créés par Napoléon Ier en 1813 et 1814 - par M. Alcide Georgel - 1869. Texte téléchargé depuis le site de la Bibliothèque Nationale de France.
  69. Source : Correspondance de la famille Duméril-Mertzdorff-Froissart
  70. Source : www.cambaceres.fr
  71. Source : avenio.ville-lehavre.fr
  72. Stéphano Louis Marye de Merval, Catalogue et armorial des présidents, conseillers, gens du roi et greffiers du parlement de Rouen dressés sur les documents authentiques, Impr. de A. Hérissey, (lire en ligne).
  73. Casimir Gabaléon de Salmour dans l'Armorial des Chevaliers de l'Annonciade
  74. Marié avec Anne Godot, dont :
    • Claude, Receveur particulier des Finances à Montargis en 1822,
    • Victoire Louise, décédée après 1822,
    • Louis Eugène, Conseiller à la Cour Royale en 1822,
    • Edme Alphonse Hardouin, Sous-Chef du Trésor Royal en 1822,
    • Julie Edmée, décédée après 1822.
  75. Source :www.parlement.com.
  76. Voir Claude Hoin. François Jacques Jean Henry Hoin était marié à Pierrette-Julie Gautier. Il était également auteur d'un Exposé sur la congélation
  77. Jean-Olivier Lavollée (né en 1776), fils d’un notaire de l’Oise, après être licencié en droit, entra au ministère de la Justice en qualité d’expéditionnaire au bureau du ministre Lambrechts. Cambacérès, lorsqu’il arriva au ministère en 1799, remarqua sa belle écriture et sa facilité de rédaction : il en fit son secrétaire particulier. Secrétaire des commandements de S.A.S Monseigneur le Prince Archichancelier de l'Empire, plus particulièrement chargé des affaires maçonniques et privées (relatives à la fortune de Cambacérès). Il épousa la nièce de Cambacérès, Rose Duvidal de Montferrier, veuve Basterrèche (régent de la Banque de France), qui était une des femmes les plus riches de Paris. à la Restauration, il accompagna Cambacérès en exil à Bruxelles, en laissant femme et enfants à Paris et devient l’un de ses héritiers. Chevalier de l'Empire, chevalier de l'Ordre de la Réunion (). Sources : Correspondance de la famille Duméril-Mertzdorff-Froissart et www.cambaceres.fr
  78. Société archéologique de Touraine, Mémoires de la Société archéologique de Touraine, vol. 18, La Société, (lire en ligne).
  79. Jean Marie Hippolyte d’Arlot, comte de Saint-Saud, Armorial des prélats français du XIXe siècle, Éditions H. Daragon, , 415 p., page 366.
  80. Romuald Szramkiewicz et Banque de France, Les régents et censeurs de la Banque de France nommés sous le Consulat et l'Empire, vol. 22, Éditions Droz, , 422 p. (lire en ligne).
  81. Claude Étienne Martin prit le nom de Martin fils d'André puis Martin d'André pour se distinguer d'un autre Martin, Censeur de la Banque de France ainsi que de Étienne Martin (maire de Marseille) :
    « (no 3644) ORDONNANCE DU ROI : qui permet au Sgr Claude-Étienne Martin, fils d'André, écuyer, censeur de la Banque de France, membre du conseil général de commerce, chevalier de l'ordre royal de la Légion d'honneur, ancien président du Tribunal de Commerce de Paris, né à Marseille, département des Bouches-du-Rhône, le , d'ajouter à son nom celui d'André, et de s'appeler à l'avenir Martin d'André ; »
    « À la charge par l'impétrant, à l'expiration du délai fixé par les articles 6 et 8 de la loi du , de se pourvoir, s'il y a lieu, devant le tribunal de première instance compétent, pour faire faire les changemens convenables sur les registres de l'état civil du lieu de sa naissance. (Paris, .) »

    Source : Bulletin des lois du Royaume de France : Contenant les Lois et Ordonnances rendues pendant le premier semestre de l'année 1818., t. 6, Imprimerie royale, (lire en ligne).
  82. André Palluel-Guillard, L'aigle et la croix : Genève et la Savoie, 1798-1815, Éditions Cabedita, , 662 p. (ISBN 978-2-88295-260-8), p. 611, Notice.
  83. Source : Almanach royal ; Publié par Testu et cie, 1830.
  84. On trouve également comme année de naissance 1765.

Voir aussi

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