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Champdeniers

Champdeniers (en poitevin Chandna), précédemment nommée Champdeniers-Saint-Denis entre 1973 et 2018, est une commune française située dans le département des Deux-Sèvres, en région Nouvelle-Aquitaine.

Champdeniers
Champdeniers
Vue de Champdeniers depuis l'Égray.
Blason de Champdeniers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Parthenay
Intercommunalité Communauté de communes Val de Gâtine
(siège)
Maire
Mandat
Alain Capelle
2020-2026
Code postal 79220
Code commune 79066
Démographie
Gentilé Campidénariens, Campidénariennes
Population
municipale
1 753 hab. (2020 en augmentation de 7,41 % par rapport à 2014)
Densité 80 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 29′ 06″ nord, 0° 24′ 14″ ouest
Altitude Min. 67 m
Max. 171 m
Superficie 21,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Niort
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Autize-Égray
Législatives Première circonscription
Localisation
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Champdeniers
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Champdeniers

    On appelle ses habitants les Campidénariens.

    Géographie

    Champdeniers est une petite ville située dans une cuvette. Elle est baignée par l'Égray.

    La commune se situe au croisement des routes départementales 745 et 748 reliant du nord au sud Bressuire à Niort et de l'est à l'ouest Fontenay-le-Comte à Saint-Maixent-l'École.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 947 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Surin », sur la commune de Surin, mise en service en 1950[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 912,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Niort », sur la commune de Niort, mise en service en 1958 et à 18 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Champdeniers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Niort, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,5 %), prairies (29,5 %), zones agricoles hétérogènes (17 %), zones urbanisées (6,6 %), forêts (3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %), cultures permanentes (1,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Champdeniers est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Égray. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2010 et 2011[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Champdeniers.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[23]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[24]. 74,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2009 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[20].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Champdeniers est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[26].

    Histoire

    En 1469, le roi Louis XI, qui priait toujours à Notre Dame patronne du royaume de France, séjourna à Champdeniers, avant d'effectuer, à Puyraveau et à Coulonges-sur-Réaux (actuellement Puyravault et Coulonges-sur-l'Autize), une réconciliation avec son frère Charles de Guyenne qui avait provoqué une révolte féodale organisée par Charles le Téméraire en 1465, la ligue du Bien public.

    Notes historiques sur Champdeniers au XVIIIe siècle : Foires, faits divers...

    Au 1er janvier 1973, la commune de Saint-Denis fusionne avec Champdeniers qui prend le nom de Champdeniers-Saint-Denis. À la même date, la commune de Champeaux entre en fusion-association avec Champdeniers[27].

    Le 1er janvier 2017, la commune associée de Champeaux a été fusionnée en fusion simple dans celle de Champdeniers-Saint-Denis[28].

    La commune reprend le nom de Champdeniers en [29].

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    Tranché au premier de gueules à deux écharnoirs d'argent ; au deuxième d'hermine plain ; à la bande ondée d'azur sur le tout.

    Administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 2014[30] Alain Champeil DVD
    2014 En cours Jean-François Ferron

    Démographie

    En 1973, les communes de Champeaux et de Saint-Denis fusionnent en fusion-association avec Champdeniers qui prend le nom de Champdeniers-Saint-Denis. Le 1er janvier 2017, la commune associée de Champeaux est supprimée et fusionne en fusion simple dans la commune de Champdeniers-Saint-Denis. La commune de Champdeniers-Saint-Denis reprend son nom de Champdeniers en

    Avant la fusion des communes de 1973

    Évolution démographique de Champeaux
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    188205266308282280298268290
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    303295304298314339317349306
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    328317313315320298280254210
    1962 1968 - - - - - - -
    206187-------
    À partir de 1962 : population sans doubles comptes.
    (Source : Ldh/EHESS/Cassini[31].)
    Évolution démographique de Saint-Denis
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    234214212225222258266274261
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    249236238249258254283283274
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    253250263239216215200209178
    1962 1968 - - - - - - -
    193241-------
    À partir de 1962 : population sans doubles comptes.
    (Source : Ldh/EHESS/Cassini[32].)
    Évolution démographique de Champdeniers
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9911 1931 1121 2741 3801 4321 4241 4121 437
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4061 3771 3721 3471 3261 3621 3801 4261 405
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4061 4121 3421 1741 2171 1861 1901 1381 112
    1962 1968 - - - - - - -
    1 1901 174-------
    À partir de 1962 : population sans doubles comptes.
    (Source : Ldh/EHESS/Cassini[33].)

    Après la fusion des communes

    À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Champdeniers-Saint-Denis, cela correspond à 2004, 2009, 2014[34], etc. Les autres dates de « recensements » (2006, etc.) sont des estimations légales.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019
    1 5801 5181 4561 4911 5321 5691 6641 6321 734
    2020 - - - - - - - -
    1 753--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)

    Économie

    Le village de Champdeniers abrite deux maisons de retraite et une laiterie. La commune compte un supermarché d'une surface de vente de 2500 m2.

    Équipements et services

    La commune est dotée d'un espace de loisir dédié aux sports de glisse urbaine (« skate park »), inauguré à la fin des années 1990. L'espace consacré à la glisse urbaine a été conçu en s'inspirant des plans réalisés par James Hoban pour la Maison-Blanche (Washington, D.C.). L'un des modules du skate park présente ainsi la forme de deux "W", afin de rendre hommage au nom original de la série ("The West Wing").

    La commune accueille un Centre d'Incendie et de Secours, regroupant une trentaine de sapeurs-pompiers volontaires. Ceux-ci disposent de quatre véhicules d'intervention[37].

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Vincent de Champeaux.
    • L'église Notre-Dame[38], classée au titre des monuments historique en 1962[39]. Le , la foudre tombe sur le clocher de l’église et le brise ; la voûte de l’église en est fortement ébranlée[40].
      • ses chapiteaux historiés et sa crypte sont des manifestations de la facture romane primitive de l'édifice ;
      • sa tour polygonale qui lui a été adjointe au XVIe siècle est d'une influence voisine probablement limousine ;
      • sa dalle funéraire sous le portail et la Vierge en bois du XVIIe siècle.
    • Le château de Nuchèze.
    • La rivière souterraine avec ses grottes et son parcours sur km sous le bourg, que l'on peut visiter du printemps à la fin de l’été[41].
    • Église Notre-Dame - chevet.
      Église Notre-Dame - chevet.
    • Plan de l'église.
      Plan de l'église.
    • Portail.
      Portail.
    • Nef romane.
      Nef romane.
    • Nef romane : chapiteaux.
      Nef romane : chapiteaux.
    • Crypte.
      Crypte.
    • Chapiteau de la crypte.
      Chapiteau de la crypte.
    • Chapiteau de la nef.
      Chapiteau de la nef.
    • Chapiteau de la nef.
      Chapiteau de la nef.


    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Surin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Champdeniers et Surin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Surin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Champdeniers et Niort », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Niort », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Champdeniers », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    23. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    27. Code officiel géographique - Fiche de la commune de Champdeniers-Saint-Denis sur le site de l'Insee, consulté le 28 novembre 2010.
    28. « Arrêté préfectoral du 29 décembre 2016, fusion des communes deChampdeniers-Saint-Denis et Champeaux (Recueil des actes administratifs Mensuel n° 79-2017-003, Décembre 2016, Partie 3) », Préfecture des Deux-Sèvres (consulté en ), p. 3–5.
    29. Décret no 2018-956 du 5 novembre 2018 portant changement du nom de communes, publié au JORF du .
    30. Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Champeaux », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Denis », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Champdeniers-Saint-Denis », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    34. « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le ).
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. « Site internet des Sapeurs-Pompiers de Champdeniers : La caserne », sur www.pompiers-champdeniers.fr (consulté le ).
    38. Communauté de communes de Parthenay : église Notre-Dame de Champdeniers-Saint-Denis
    39. « Eglise Notre-Dame de Champdeniers », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    40. Mémorial de l’Ouest, avril 1836
    41. Comité départemental de spéléologie des Deux-Sèvres (CDS 79), « Rivière souterraine de Champdeniers », sur cds79-speleo.fr, (consulté le )

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Léo Desaivre, Documents d'histoire locale. Champdeniers, Saint-Maixent, 1872 (lire en ligne)
    • Léo Desaivre, « Champdeniers », dans Paysages et monuments du Poitou, tome VI, Deux-Sèvres, Imprimerie typographique des librairies-imprimeries réunies, Paris, 1892, p. 1-11 (lire en ligne)
    • Michel Dillange - Vendée romane, Bas-Poitou roman - p. 152–156 - Éditions Zodiaque (collection "la nuit des temps" no 44) - La Pierre-qui-Vire - 1976
    • Michel Dillange - Brem-sur-Mer. Église Saint-Nicolas - p. 25–29, dans Congrès archéologique de France. 151e session. Vendée. 1993 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1996
    • Léo Desaivre, Histoire de Champdeniers, 1893, réédité en 1984.

    Articles connexes

    Liens externes

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