Loriol-sur-DrĂ´me
Loriol-sur-Drôme est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Loriol-sur-DrĂ´me | |||||
Panorama de la ville depuis la rue des Remparts. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
DĂ©partement | DrĂ´me | ||||
Arrondissement | Die | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Val de Drôme | ||||
Maire Mandat |
Claude Aurias 2020-2026 |
||||
Code postal | 26270 | ||||
Code commune | 26166 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Loriolais, Loriolaises | ||||
Population municipale |
6 629 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 231 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 44° 45′ 09″ nord, 4° 49′ 24″ est | ||||
Altitude | Min. 81 m Max. 365 m |
||||
Superficie | 28,66 km2 | ||||
Unité urbaine | Livron-sur-Drome (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Valence (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Loriol-sur-DrĂ´me (bureau centralisateur) |
||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : DrĂ´me
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
| |||||
Liens | |||||
Site web | http://www.loriol.com/ | ||||
GĂ©ographie
Localisation
La commune de Loriol est située dans la vallée du Rhône, entre Valence et Montélimar.
Le Pouzin (Ardèche) Livron-sur-Drôme |
Livron-sur-DrĂ´me | Livron-sur-DrĂ´me | ||
Le Pouzin (Ardèche) | N | Grane | ||
O Loriol-sur-DrĂ´me E | ||||
S | ||||
Baix (Ardèche) | Saulce-sur-Rhône Cliousclat |
Cliousclat |
Relief et géologie
Sites particuliers :
Urbanisme
Typologie
Loriol-sur-Drôme est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].
Elle appartient à l'unité urbaine de Livron-sur-Drome, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[5] et 16 335 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6] - [7].
La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8] - [9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43,3 %), cultures permanentes (23,5 %), forêts (11,8 %), zones urbanisées (9,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,2 %), eaux continentales[Note 3] (2,6 %), terres arables (0,1 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Quartiers, hameaux et lieux-dits
Site GĂ©oportail (carte IGN)[1] :
- Beylieu
- Biguet
- Blanquinque
- Bois de Lagier
- Bon Rencontre
- Botte
- Bouchillon
- Bras
- Bras de Zil (aire de repos)
- Chaliat
- Champgrand
- Château de la Gardette
- Château de Vaucourte
- Couronne
- Deloche
- Ferme Barnier
- Ferme de la Gardette
- Ferme de la Gardette
- Flandin
- Fontenille
- Foussat
- Fraysse
- Gamaillet
- Ginoux
- Grange Vieille
- Jean Prat
- la Bourliette
- la Fierre
- la Jardinière
- la Maladière
- la NĂ©gociade
- la Poule
- la Serre
- la Villarde
- le Bac
- le Colombier
- le Marquis
- le Mas
- le Mas de Fontenille
- le Paradis
- le Petit Signol
- le Peyrou
- le PoĂŞte
- l'Ermite
- les Archipuits
- les Bartarelles
- les Blaches
- les Chabannes
- les Clots
- les Combes
- les Crozes
- les Daumes
- les Dauphins
- les Freydières
- les Grands Sablons
- les Hauches
- les Loriots
- les Meilles (nord)
- les Meilles (sud)
- les Pavillons
- les Petites Meilles
- les Roches
- les Sablons
- les Ventis
- les Vergnes
- le Tournol
- le Verger
- l'Haye
- Maison Achard
- Maison Barbier (nord)
- Maison Barbier (sud)
- Maison Blain
- Maison Bourbon
- Maison Broc
- Maison Brun
- Maison Brunel
- Maison Brunier
- Maison Carle
- Maison Chastel
- Maison Clutier
- Maison Coulon
- Maison Courty (est)
- Maison Courty (ouest)
- Maison Cros
- Maison Daronne
- Maison Dèfres
- Maison Delaitre
- Maison Duc
- Maison Dufau
- Maison Faisant
- Maison Fereyre
- Maison Ferrier
- Maison Ferrotin
- Maison Fuzier
- Maison Girard
- Maison Laffond
- Maison Lespets
- Maison Martin
- Maison Meyre
- Maison Molière
- Maison Mourier
- Maison Nicolas
- Maison PĂ©lerin
- Maison Pitt
- Maison Planchon
- Maison Planet
- Maison Pommier
- Maison Reynaud (est)
- Maison Reynaud (ouest)
- Maison Rober
- Maison Rolland
- Maison Sagnol
- Maison Seauve
- Maison Soulier
- Maison Trouiller
- Maison Vaneille (est)
- Maison Vaneille (ouest)
- Maison Vey
- Maison Vignon
- Marnas
- Massebœuf
- Merlier
- Mourier
- Mussel
- Pampelonne
- Pommier
- Pont de Carrosse
- Pont du Commandant Henri Haure
- Puypetit
- Ribes
- Riboulin
- Saint-Brancas
- Saint-Fons
- Saint-Martin
- Saint-Pierre
- Signol
- Terre Glaise
- Vaucourte
- Veyras
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la route nationale N 7 et les routes départementales D 104, D 104n, D 204 et D 248[1].
L'autoroute A7 traverse la commune qui dispose d'une sortie 16 Loriol-sur-DrĂ´me.
Toponymie
La commune se nomme L'Auriòu de Droma en provençal.
Attestations
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[11] :
- 1157 : castrum Aureoli (Gall. christ., XVI, 104).
- 1184 : Auriol (cartulaire de Saint-Chaffre, 37).
- 1238 : castrum Aurioli (Gall. christ., XVI, 114).
- XIVe siècle : mention de la paroisse : capella Aureoli (pouillé de Valence).
- 1397 : castrum Aurroli (Ordonnances des rois de France, VIII, 136).
- 1442 : Auriolum (choix de documents, 276).
- 1449 : Lauriollum (inventaire de Vernaison).
- 1450 : in gado Auriolorum (inventaire de Saint-Apollinaire [Valence], 440).
- 1513 : Ouriolium (archives de la DrĂ´me, E 2257).
- 1516 : Horiol sur la Rivière de Drome (Bibl. nat., mss. français n° 2088).
- 1540 : mention de la paroisse : cura Aurioly (rôle de décimes).
- 1575 : Lhoriol (Mém. des frères Gay).
- 1587 : L'Oriol (correspondance de Lesdiguières, III, 57).
- 1589 : Lauriol (correspondance de Lesdiguières, III, 57).
- 1891 : Loriol, chef-lieu de canton de l'arrondissement de Valence.
En 1936, la commune devient Loriol-sur-DrĂ´me.
Histoire
Antiquité : les Gallo-romains
Présence romaine[14].
L'empereur Aurélien aurait construit un camp qui se transformera en forteresse à l'époque médiévale.
Du Moyen Ă‚ge Ă la RĂ©volution
La seigneurie : au point de vue féodal, Loriol était du domaine temporel des évêques de Valence à qui la possession de cette terre fut confirmée par l'empereur Frédéric 1er en 1157[11].
Les guerres de Religion dévastent le château. Il ne reste pratiquement rien des remparts de la ville. Les protestants y soutinrent avec succès un siège de sept mois contre le roi Henri III[14].
1688 (démographie) : 260 familles[11].
1789 (démographie) : 520 chefs de familles[11].
Avant 1790, Loriol était une communauté de l'élection, subdélégation et bailliage de Valence.
Elle formait une paroisse du diocèse de Valence dont l'église, dédiée à saint Romain, était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoit, filiation de Cluny, sécularisé dès le XIVe siècle et supprimé vers la fin du XVIe siècle, dont les dîmes appartenaient à l'évêque diocésain[11].
De la RĂ©volution Ă nos jours
En 1790, Loriol devient le chef-lieu d'un canton de l'arrondissement de Valence, comprenant, avec la commune de ce nom, celles de Cliousclat, de Livron et de Mirmande, et plus tard, par le fait d'Ă©rection nouvelle, celle de Saulce[11].
: la commune est le théâtre du Combat de Loriol entre les troupes royalistes du duc d'Angoulême et les bonapartistes commandés par le général César Alexandre Debelle. Les royalistes remportent la victoire.
- Affrontement des troupes royales et des gardes nationaux lors du retour de Napoléon Ier de l'île d'Elbe[14].
Le camp d'internement
En , un camp d'internement ouvre à Loriol. On y emprisonne les étrangers dits « indésirables ». Ce sont 120 à 200 Allemands et Autrichiens ayant fui le régime nazi, mais que la Troisième République considère comme potentiellement dangereux car sujets ennemis. Ceux qui sont envoyés à Loriol sont âgés, inaptes au travail.
Le 1940[15], le camp reçoit les derniers occupants du camp d'Arandon (38). En , l'avancée foudroyante de la Wehrmacht provoque son évacuation vers le camp du Cheylard[16]. Ils sont logés dans l'ancienne usine chimique Serre, rachetée par Rhône-Poulenc en 1918 et fermée en 1930, sans aucune hygiène[17]. En août, le camp rouvre mais cette fois avec 103 « prestataires », des étrangers effectuant des travaux forcés[17]. Ils sont employés à des coupes de bois ou des travaux agricoles[18]. Parmi ces internés de force se trouvent des intellectuels anti-nazis tels que Max Ernst[19].
En , une rafle parmi les communistes du département envoie 28 des leurs au camp de Loriol[20].
Grâce aux démarches de Jean Sauvageon, la ville de Loriol a édifié le une stèle à l'emplacement du camp[21].
Les bombardements
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, Loriol fut lourdement touchée par le bombardement des Alliés en août 1944.
Histoire récente
: une voiture fauche les sapeurs-pompiers de Loriol en intervention sur l'autoroute A7, faisant 4 morts et 1 disparu[22] (le corps d'un des pompiers, tombé dans la Drôme, a été retrouvé 11 ans plus tard[23]). Le conducteur de la voiture, âgé de 81 ans au moment des faits, et qui roulait à plus de 150 km/h sur une section limitée à 90 km/h en raison de travaux, a été condamné en 2005 à cinq ans de prison, dont deux ans ferme[24].
- MĂ©morial des Pompiers.
- Plaque du mémorial.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement Ă©tant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29.
À l'issue de l'élection municipale de 2020, le conseil municipal est composé du maire, de 8 adjoints et de 20 conseillers municipaux.
Liste des maires
Politique environnementale
La commune dispose d'une station de traitement des eaux et d'une déchetterie[1].
Villes et villages fleuris
En 2014, la commune obtient le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris[26].
Jumelages
La commune de Loriol a également parrainé, sous l'égide de Renaud Vignal (ancien élu municipal et ancien ambassadeur de France en Roumanie) la commune de Avramesti (Roumanie), toutefois, ce parrainage n'est plus en activité à ce jour.
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].
En 2020, la commune comptait 6 629 habitants[Note 4], en augmentation de 5,14 % par rapport Ă 2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Manifestations culturelles et festivités
- FĂŞte des bouviers : le premier dimanche suivant la mi-carĂŞme[14].
Loisirs
- PĂŞche et chasse[14].
Sports
Loriol possède de nombreux clubs sportifs :
- Gymnastique : Groupe omnisports Loriolais (G.O.L.),
- Handball : HandBall Club Loriol (H.B.C.L),
- Judo-JuJitsu : Judo Club du Canton de Loriol,
- Rugby :Lovali XV,
- Tennis,
- Triathlon : Triathlon Club Val de DrĂ´me (TCVD),
- Twirling-Bâton : Danse Twirl Club Loriol.
Économie
Agriculture
En 1992 : céréales, fruits (coopérative fruitière), vignes (cave coopérative), ovins, porcins[14].
- Foires : premier vendredi de mars, troisième vendredi de mai, deuxième vendredi de septembre, troisième vendredi de décembre[14].
Entreprises
- Barrage hydroélectrique de Loriol[1].
- Base Logistique ITM LAI (Intermarché Logistique Alimentaire Internationale).
- Plates-formes Logistique et Transports.
- Lafarge.
Tourisme
- Syndicat d'initiative (en 1992)[14].
- Office de Tourisme (place de l'Église).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Restes de deux enceintes.
- Église catholique Saint-Joseph.
- Temple protestant : construit en 1805 à l'emplacement de l'ancien temple, détruit après la révocation de l'édit de Nantes (1685). C'est un bâtiment simple à double abside. Sa façade est ornée d'un fronton reposant sur deux colonnes à chapiteaux ornés.
- Fontaine aménagée en lavoir en 1825.
- La Gardette, maison forte remaniée au XVIe siècle.
- L'Ă©glise Saint-Joseph.
- Le temple protestant.
- Une ruelle.
- Passage couvert avec une habitation.
- Ancienne borne avec plaque indicatrice en fonte, vestige de la Route nationale 7.
- Peinture en trompe-l'œil à l'entrée du bourg.
Patrimoine culturel
- Musée de l'Insolite[14], propriété du peintre Max Manent. Ce musée regroupe une collection d'objets étonnants : pipes anciennes, instruments de musique rares, épinglettes, art africain, affiches anciennes, objets humoristiques, etc..
- Une publicité peinte pour le nougat Canard Sauvage qui fut l'une des grandes entreprises de Loriol jusqu'en 1978.
- Un trompe-l'œil représentant la place de l'église.
- Théâtre : Indice 2 Compagnie & Ecole, 207 avenue de la République. https://indice2.fr/ Création de spectacles professionnels et amateurs, enseignement, formation, ateliers à partir de 8 ans. Directrice artistique Lydia Héritier.
- Photographie : Egrégore Photographie. Collectif de photographes. Organisation d'expositions, stages.
- Maison des Associations « Allain Rouyer » (place Hannibal).
- Maison pour Tous (12, avenue de la RĂ©publique).
- Association Brok'n Zik, puces vide-grenier le troisième dimanche du mois, dans le but d'offrir une scène à des groupes musicaux régionaux.
Personnalités liées à la commune
- Jean-Hugues Chancel (né en 1766 à Loriol ; mort en 1834) : colonel de la Révolution et du Premier Empire, défenseur d'Huningue en 1814.
- Jacques-Romain Dupré (né en 1771 à Loriol ; mort en 1852) : soldat puis officier de la Révolution et de l'Empire
- Amable Guy Blancard (né en 1774 à Loriol ; mort en 1853) : général d'Empire, baron d'Empire.
- Louis François d'Arbalestier (né en 1789 à Loriol ; mort en 1872 à Loriol) : maire de Loriol, député de la Drôme.
- Gustave Charles Bonaventure Chancel (né en 1822 à Loriol ; mort en 1890) : chimiste et recteur d'académie.
- Étienne Martin (né en 1913 à Loriol ; mort en 1995) : sculpteur.
- Renaud Vignal (1943-2007) : ancien ambassadeur de France[33]. Ancien adjoint au maire de Loriol (1983-1995)[34].
- Jacques Ladègaillerie (né en 1944) : escrimeur (médaillé de bronze aux JO), ancien maire de Loriol et conseiller général de Loriol, conseiller départemental du canton de Loriol-sur-Drôme.
- Jean-Louis Boissier (né en 1945 à Loriol) : universitaire et plasticien français.
- Guillaume Gille (né en 1976) : handballeur, ancien international (équipe de France). Il a commencé sa carrière au club du HBC Loriol.
- Bertrand Gille (né en 1978), handballeur, international de l'équipe de France, débute au club de Loriol.
HĂ©raldique, logotype et devise
Blasonnement :
D’azur au loriot d'or. |
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Livron-sur-Drome », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 198 (Loriol).
- « Définitions : loriot - Dictionnaire de français Larousse », sur larousse.fr (consulté le ).
- Le Trésor du Félibrige, F. Mistral, t1 p184, éditions CPM 1979
- Michel de la Torre, DrĂ´me, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Loriol-sur-DrĂ´me.
- « La feuille Charbinoise, Le camp d'internement d'Arandon en 1939/45 », sur www.lafeuillecharbinoise.com (consulté le ).
- Jean Sauvageon, Les camps d'internement : un maillon manquant de l'histoire drômoise, Études drômoises, (no)105, décembre 1998, p. 22.
- Sauvageon, op. cit., p. 23.
- Sauvageon, op. cit., p. 25.
- Sauvageon, op. cit., p. 26.
- Sauvageon, op. cit., p. 31-32.
- « Drôme : le camp d'internement de Loriol retrouve enfin la mémoire », sur France Bleu, (consulté le ).
- Pompiers de Loriol : l'émotion et la colère après le terrible drame
- http://www.leparisien.fr/faits-divers/drome-onze-ans-apres-le-drame-de-loriol-le-corps-d-un-pompier-retrouve-21-06-2013-2917625.php
- Drame de Loriol : libération contestée
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Église Protestante Évangélique Loriol Livron ».
- « Assemblée chrétienne de Loriol ».
- https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2007/03/27/renaud-vignal_888459_3382.html Le Monde.
- https://www.whoswho.fr/decede/biographie-renaud-vignal_286.