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Livron-sur-DrĂ´me

Livron-sur-Drôme est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Livron-sur-DrĂ´me
Livron-sur-DrĂ´me
L'hĂ´tel de ville.
Blason de Livron-sur-DrĂ´me
Blason
Livron-sur-DrĂ´me
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Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement DrĂ´me
Arrondissement Die
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Drôme
Maire
Mandat
Francis Fayard
2020-2026
Code postal 26250
Code commune 26165
DĂ©mographie
Gentilé Livronnais, Livronnaises
Population
municipale
9 254 hab. (2020 en augmentation de 3,66 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 234 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 46â€?nbsp;25â€?nbsp;nord, 4° 50â€?nbsp;38â€?nbsp;est
Altitude Min. 88 m
Max. 255 m
Superficie 39,52 km2
Unité urbaine Livron-sur-Drome
(ville-centre)
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Loriol-sur-DrĂ´me
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Livron-sur-DrĂ´me
Liens
Site web http://www.livron-sur-drome.fr/

    GĂ©ographie

    Localisation

    Livron se trouve Ă  environ 20 kilomètres au sud de Valence (chef-lieu du dĂ©partement).

    Relief et géologie

    La commune s'étend sur une vaste plaine alluviale de laquelle émerge une série de trois collines calcaires.

    Sites particuliers :

    • Mont Roti (259 m)[1].

    Hydrographie

    La commune est située au confluent de la Drôme et du Rhône.

    Elle est aussi arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

    • Canal du Moulin
    • la Lauze
    • la VĂ©ore
    • le Petit RhĂ´ne
    • l'Ozon
    • Ruisseau d'Arcette

    Climat

    Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Livron-sur-Drôme est une commune urbaine (car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire) au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].

    Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Livron-sur-Drome, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 3 communes[6] et 16 335 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[7] - [8].

    La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,8 %), cultures permanentes (24,1 %), terres arables (8,6 %), zones urbanisées (8,5 %), forêts (7,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %), eaux continentales[Note 3] (1,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,6 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    Le village s'est d'abord développé sur le flanc ouest de la colline la plus proche du Rhône puis s'est étendu largement dans la plaine.

    Quartiers et lieux-dits, hameaux

    Site GĂ©oportail (carte IGN)[1] :

    • Baraca
    • Bau de Siaille
    • Beautard
    • Bec
    • Bellevue
    • Bois du Four (lieu-dit)
    • Boissonnier
    • Bompard
    • Boyron
    • BrĂ©zem
    • Bridenfer
    • Briffaut
    • Bruchet
    • Brunet
    • Campane
    • Cercol
    • Chamialoux
    • Champagnac
    • Champy
    • Château de Bompard
    • Château la Rolière
    • Chevalier
    • Cleyssac
    • Combier (ouest)
    • Combier (est)
    • Coulaudes
    • Courthiol
    • Courtille
    • Crozat
    • Daujol
    • Derbières
    • Dinetard
    • Domazane
    • Ferme Gourdon
    • Ferme Peyronni
    • Fiancey
    • Fontgrand
    • Gallet
    • Gary
    • Gensel
    • Gravette
    • Gresse
    • Grivelette
    • Haut Livron
    • Jeton
    • ĂŽle Tintebet (lieu-dit)
    • la Baraquette
    • la Bergerenderie
    • la Brune
    • la CarrĂ©e (nord)
    • la CarrĂ©e (sud)
    • la Carrière (lieu-dit)
    • la Croix
    • la Cure
    • la Fauchetière
    • la Francette
    • la Givardière
    • la Grande Grange
    • la Guerre
    • la Lauze
    • la Massette
    • Landon
    • la Picarde
    • la Pierre
    • la Rigaude
    • la Tour
    • Laville
    • le Cognet
    • le Jas
    • Lenay
    • le Pavillon (lieu-dit)
    • le Petit Cercol
    • l'Ermitage
    • les Bruyères
    • les Buis
    • les Caires
    • les Cigales
    • les Combiers
    • les Dauphinelles
    • les Davids (ouest)
    • les Davids (est)
    • les Églantines
    • le Serre
    • les Fonds
    • les Fontaines
    • le Signol
    • les Iris
    • les Julliens
    • les Lilas
    • les Massons
    • les Niodes
    • les Pelonnes
    • les Petits Robins
    • les Peupliers
    • les Ramières
    • les RenoncĂ©es
    • les Roberts
    • les Roussons
    • les Tourettes
    • les Tuileries
    • l'Évangile
    • les Veilles
    • Loche
    • Maison Alibert
    • Maison Balayen
    • Maison BĂ©rard
    • Maison Blanc
    • Maison Boucher (nord-ouest)
    • Maison Boucher (sud-est)
    • Maison Court
    • Maison Duglou
    • Maison Fourquet
    • Maison Gonnet
    • Maison Jaillon
    • Maison Lubeau
    • Maison MaĂ®tre
    • Maison Robert
    • Maison Roussillon
    • Maison Tinlan
    • Maison Verchère
    • Manute
    • Marnas
    • Martinet
    • Michon
    • Miraillet
    • Montgros
    • Ozon
    • Perrier
    • Peyrère
    • Pierre Blanche
    • Piquet
    • Pommet
    • Pommier
    • Ponsere
    • Puits Neuf
    • Reys
    • Rif de Vert
    • Rue de la Gare
    • Sacoulis
    • Saint-Antoine
    • Saint-Blaise
    • Sainte-Lauze
    • Saint-Genys
    • Saint-Pierre
    • Saunier
    • Sauvage
    • Savy
    • Souchon
    • Tour du Diable (lieu-dit)
    • Tournier
    • Vigneronde

    Voies de communication et transports

    La commune est principalement desservie par la Nationale 7.

    Le péage le plus proche de l'autoroute A7 est sur la commune de Loriol-sur-Drôme[12].

    La gare la plus proche est celle de Livron (TER Auvergne-Rhône-Alpes), à un peu plus d'un kilomètre du centre-ville.

    Les transports en commun sont assurés par les Cars Région Express.

    Risques sismiques

    La commune est située dans une zone de sismicité modérée, dernier séisme datant de 2019[13] - [14].

    Toponymie

    La commune est dénommée Liuron de Droma en provençal.

    Attestations

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :

    • 1113 : Livron (cartulaire de Saint-AndrĂ©-le-Bas, 281).
    • 1157 : castrum Liberonis (Gall. christ., XVI, 104).
    • 1189 : de Liurone (Hist. du Languedoc, V, 535).
    • 1233 : Livro (cartulaire de LĂ©oncel, 112).
    • 1291 : Liberonem (cartulaire de MontĂ©limar, 33).
    • XIVe siècle : mention de la paroisse : capella de Liberone (pouillĂ© de Valence).
    • XIVe siècle : mention de l'archiprĂŞtrĂ© de Livron : archypresbiteratus de Liberone (pouillĂ© de Valence).
    • 1512 : Lyvron (archives de la DrĂ´me, E 3568).
    • 1540 : mention de la paroisse : ecclesia Liberonis (rĂ´le de dĂ©cimes).
    • 1540 : mention de l'archiprĂŞtrĂ© de Livron : archipresbyteratus Liberonis (rĂ´le de dĂ©cimes).
    • 1650 : mention de l'Ă©glise Saint-Prix : esglise de Saint-Prisq de Livron (inventaire de Saint-Apollinaire, 807).
    • 1891 : Livron, commune du canton de Loriol.

    Histoire

    Du Moyen Ă‚ge Ă  la RĂ©volution

    La seigneurie : sur le plan féodal, l'évêque de Valence était le seigneur temporel de Livron. Ses droits furent confirmés en 1157 par les empereurs germaniques. Il confirma en 1429 les franchises municipales de la commune[15].

    Place importante lors des guerres de Religion[16]. Lors du siège du château et du bourg en 1574-1575, du haut des remparts, les vieilles fileuses protestantes insultaient, en paroles et en gestes, les troupes catholiques[17].

    DĂ©mographie :

    • 1688 : 240 familles[15] ;
    • 1789 : 507 chefs de famille[15].

    Avant 1790, Livron était une communauté de l'élection, subdélégation et bailliage de Valence. Elle formait une paroisse du diocèse de Valence dont l'église, dédiée à saint Prix, était desservie au XVe siècle par un collège de quatorze prêtres, non compris le curé, et dont les dîmes appartenaient à l'évêque de Valence. Ce prélat, dont les droits sur cette terre furent confirmés en 1157 par les empereurs germaniques, et qui confirma en 1429 les franchises municipales de la commune, était également seigneur temporel de Livron. Il venait d'en vendre une partie aux Cartier de la Sablière, quand la Révolution éclata[15].

    Division du diocèse de Valence, l'archiprêtré de Livron comprenait, avec la commune de son nom et celle d'Ambonil, une partie des cantons de Chabeuil, de Crest-Nord et de Valence (voir l'introduction)[15].

    De la RĂ©volution Ă  nos jours

    Pont sur la Drôme au XIXe siècle, par Alexandre Debelle (1805-1897).

    En 1790, la commune de Livron fait partie du canton de Loriol[15].

    La révolution de février 1848 est favorablement accueillie à Livron. Un arbre de la liberté est planté en célébration de la Deuxième République. Quatre ans plus tard, le régime, étant devenu réactionnaire, le préfet Ferlay demande leur arrachage (décret du ). La municipalité ne s'exécute pas immédiatement, ce qui lui vaut un rappel le [18].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement Ă©tant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29.

    À l'issue de l'élection municipale de 2020, le conseil municipal est composé de huit adjoints et de vingt conseillers municipaux[19].

    Liste des maires

    Sources :

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
    1790 1790 Jean Lacroix
    1790 1791 Jean-Joseph Seauve
    1791 1795 Jean-Louis Romieux
    1795 1795 Jean-Pierre Sabatier
    1795 1800 Besson de Mirmande Agent municipal
    1800 1808 Humbert Cartier de la Fauchetière
    1808 1815 Jean-Jacques de Sinard
    1815 1831 Jean-Antoine Agrel
    1832 1840 Joseph Bernard
    1841 1853 Jean-Antoine Agrel
    1853 1855 Joseph de Monicault
    1855 1857 Paul Bernard
    1857 1865 Jean Denis
    1865 1868 Thomas Morin-Latour
    1868 1871 Antoine Combier
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
    1871 1882 Antoine Combier maire sortant
    1871 1874 Antoine Combier
    1874 1878 Antoine Combier
    1878 1882 Antoine Combier
    1882
    (Ă©lection ?)
    1884 Auguste Mazade
    1884 1888 Auguste Mazade maire sortant
    1888 1892 Henri Sibourg pharmacien
    conseiller d'arrondissement du canton de Loriol-sur-DrĂ´me (1886-1901)
    1892 1893 Henri Sibourg maire sortant
    1893
    (Ă©lection ?)
    1896 Joseph Combier
    1896 1900 Joseph Combier maire sortant
    1900 1904 Joseph Combier maire sortant
    1904 1908 Joseph Combier maire sortant
    1908 1912 LĂ©on Aubin
    1912 1913 J.P. Boissonnat
    1913
    (Ă©lection ?)
    1919 Paul Trapier
    1919 1925 Gustave Lamotte
    1925 1929 Alfred Favot Radical conseiller d'arrondissement du canton de Loriol-sur-DrĂ´me (1925-1940)
    1929 1935 Alfred Favot maire sortant
    1935 1942 Alfred Favot maire sortant
    1942
    (Ă©lection ?)
    1945 Antoine Chabert
    1945 1947 ?
    1947 1953 Daniel Bouix
    1953 1959 Daniel Bouix maire sortant
    1959 1965 Daniel Bouix maire sortant
    1965 1971 Daniel Bouix maire sortant
    1971 1977 Lucien Ravit
    1977 1983 Lucien Ravit maire sortant
    1983 1989 Jean Despert
    1989 1989 Claude Bon
    1989
    (Ă©lection ?)
    1995 Dominique Querré PS conseiller général du canton de Loriol-sur-Drôme (1994-2001)
    1995 2001 Dominique Querré maire sortant
    2001 2008 Daniel Morcel-Paquien PS
    2008 2014 Daniel Jarjat PS
    2014 2020 Olivier Bernard UDI
    2020 En cours
    (au 17 avril 2021)
    Francis Fayard[22] DVC

    Intercommunalité

    Commune membre de la Communauté de communes du Val de Drôme.

    Politique environnementale

    La commune dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 15 000 équivalent-habitants[23].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

    En 2020, la commune comptait 9 254 habitants[Note 4], en augmentation de 3,66 % par rapport Ă  2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [�/span>modifier�/span>]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2342 2892 3522 6233 2753 4573 7304 0344 022
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 7994 0394 0584 2654 3864 2584 2614 0704 241
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    4 3204 3243 9053 8344 0994 1104 0024 2854 491
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    5 2885 6165 6746 8227 2947 7598 6088 7038 972
    2015 2020 - - - - - - -
    8 9109 254-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee Ă  partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Avec près de 10 000 habitants, Livron-sur-DrĂ´me est la 8e commune la plus peuplĂ©e du dĂ©partement de la DrĂ´me et la 1128e en France.

    L'aire urbaine de Livron-sur-DrĂ´me est centrĂ©e sur la ville du mĂŞme nom. D'après l'Insee, cette aire urbaine est composĂ©e de quatre communes du dĂ©partement de la DrĂ´me : Livron, Loriol, Saulce et Cliousclat. Ses 15 711 habitants font d'elle la 302e aire urbaine de France.

    Évolution démographique

    Le tableau ci-dessous détaille la répartition de la population dans l'aire urbaine (les pourcentages s'entendent en proportion du département) :

    DépartementCommunesCommunes (%)Superficie (km²)Superficie (%)Population (1999)Population (%)
    DrĂ´me41,196,261,515 7113,6

    Voici la liste des communes de l'aire urbaine de Livron-sur-DrĂ´me.

    Code INSEECommuneTypeDĂ©partementSuperficie
    (km²)
    Population
    (1999)
    Densité
    (hab./km²)
    26097CliousclatPĂ´le urbainDrĂ´me+0009,65+00 000641,+00066,42
    26165Livron-sur-DrĂ´mePĂ´le urbainDrĂ´me+0039,52+0 0007 759,+00196,33
    26166Loriol-sur-DrĂ´mePĂ´le urbainDrĂ´me+0028,66+0 0005 698,+00198,81
    26337Saulce-sur-RhĂ´nePĂ´le urbainDrĂ´me+0018,43+0 0001 613,+00087,52
    Total+0096,26+00015 711,+00163,21

    Enseignement

    Listes des Ă©coles publiques[28] :

    • Ă©cole maternelle Paul Éluard,
    • Ă©cole maternelle FrĂ©dĂ©ric Mistral,
    • Ă©cole Ă©lĂ©mentaire Alphonse Daudet,
    • Ă©cole Ă©lĂ©mentaire Marcel Pagnol,
    • Ă©cole primaire des Petits Robins,
    • Ă©cole primaire de Saint Genys.

    Liste des écoles privées :

    • Ă©cole primaire Anne Cartier,
    • collège Anne Cartier.

    Liste des Ă©tablissements de formation :

    • CFA Batipole,
    • CFA Lucien Ravit.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[29] :

    • mĂ©decins,
    • pharmacies,
    • hĂ´pitaux Ă  Livron-sur-DrĂ´me et Ă  La Voulte-sur-RhĂ´ne.

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂŞte : quatrième dimanche de juillet[16].

    Loisirs

    Sports

    Livron possède de nombreux clubs sportifs :

    • badminton : Bad'Team Livron ;
    • football : JS Livron (Jeunesse Sportive Livronnaise) ;
    • handball : Livron Handball (en , l'Ă©quipe première fĂ©minine a remportĂ© la coupe de France rĂ©gionale de handball) ;
    • judo-Jujitsu : Judo Club du canton de Loriol ;
    • karatĂ© ;
    • tennis : Tennis Club de Livron.

    Cultes

    Économie

    Le tissu Ă©conomique est essentiellement constituĂ© de TPE et de PME. 680 entreprises (tous statuts sociaux confondus) sont recensĂ©es en 2009 sur la commune dont 274 entreprises issues du commerce, des services et de l'industrie qui emploient 1 300 salariĂ©s, dont 242 sièges sociaux et 32 Ă©tablissements secondaires (Source aef).

    Agriculture

    En 1992 : vignes (vins AOC Côtes-du-Rhône), vergers (coopérative fruitière à forme commerciale), céréales[16] :

    • Foires : les mardi de janvier-fĂ©vrier, après Pâques et Ă  la PentecĂ´te, en juillet, aoĂ»t et octobre[16].
    • MarchĂ© : le mardi[16].

    et : le jeudi

    • LĂ©gumes, melons, tubercules.
    • Élevages de volailles, lapins, autruches[31].

    Commerce

    • Boulangerie [32] - [33].
    • Bars
    • Restaurants.

    Tourisme

    • HĂ´tels.
    • Syndicat d'initiative (en 1992)[16].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le château du Haut-Livron tel que l'on peut le voir depuis la rue.
    Le domaine de La Rolière vu depuis la route.
    autres
    • La Tour du Diable : tour d'angle de l'enceinte fortifiĂ©e du haut de la colline dĂ©truite en 1623.
    • Restes d'une enceinte urbaine du Haut Livron avec une tour ronde.
    • Ancienne Ă©glise (place de l'ancienne Ă©glise au Haut Livron): Après les troubles des guerres de religion. Ă€ partir de 1632 vient le temps de la reconquĂŞte catholique sur le village très protestant de Livron. Les catholiques rĂ©cupèrent d’abord le temple pour en faire leur Ă©glise. La vieille Ă©glise a Ă©tĂ© agrandie de 1860 Ă  1865 en Ă©tablissant des tribunes latĂ©rales supportĂ©es par des colonnes. AbandonnĂ©e en 1935 pour ĂŞtre remplacĂ©e par l’église du bas : elle est dĂ©molie en 1966. Le portail datant de 1775 a Ă©tĂ© conservĂ©.
    • Vieux village avec ruelles, belles façades, portes Renaissance.
    • Château du Haut-Livron (propriĂ©tĂ© privĂ©e) : bâti au bord des remparts, il est d'origine Renaissance mais a Ă©tĂ© remaniĂ© au XIXe siècle. La demeure a appartenu au XVIIIe siècle Ă  la famille d'Yze de Rozans qui l'a vendu en 1795 Ă  Jacques Vivant Cartier de la Sablière, dernier châtelain de Livron de 1781 Ă  1789. Sa fille, Adèle Cartier a Ă©pousĂ© en 1804 le comte de Sinard, maire de Livron de 1808 Ă  1815, et ont habitĂ© ensemble le château. On peut admirer de la rue la tour carrĂ©e et la tour ronde en poivrière, qui n'ont toutes deux jamais eu de rĂ´le dĂ©fensif. Le château est inscrit partiellement (les quatre pièces dĂ©corĂ©es de peintures murales au rez-de-chaussĂ©e) aux monuments historiques depuis le .
    • FenĂŞtre Ă  meneaux Renaissance au nord de l’ancienne Ă©glise. Ancienne maison des Odde De Bonniot et des Cartier.
    • La porte cloutĂ©e, derrière cette porte renaissance du dĂ©but du XVIe la demeure d’un ancien châtelain de Livron Odde De Bonniot. La porte est ornĂ©e de clous dĂ©coratifs. Au Moyen Ă‚ge, les portes cloutĂ©es sont des Ă©lĂ©ments dĂ©fensifs, en effet, elles rĂ©sistent plus longtemps Ă  une attaque et gène les Ă©ventuels coups de haches. Au-dessus de cette porte, il y a un fronton brisĂ© rajoutĂ© par la suite. Porche de la porte, il y a un four Ă  pain en Ă©tage qui dĂ©passe dans la rue. Si certaines maisons tĂ©moignent de la richesse d’une partie de la population, ce n’est pas le cas de l’ensemble des Livronnais.
    • Château de Fontgrand : maison forte du XVIe siècle dont l'appellation de château est due Ă  sa grosse tour ronde.
    • La Givardière : maison forte.
    • Maison consulaire, Ă©quivalent de la mairie actuelle, se trouve en contrebas du cimetière jusqu’Ă?la pĂ©riode rĂ©volutionnaire. Cette maison consulaire sera utilisĂ©e jusqu’en 1780 puis sera transfĂ©rĂ© Ă  la maison Clayssac.
    • Maison Clayssac, Ă©quivalent de la mairie actuelle de 1784 Ă  1931, se trouve dans la grande rue (rue Jean Boyer), elle est accolĂ©e au Beffroi.
    • La placette, enseigne du marĂ©chal-ferrant de 1762, entrĂ©e de son atelier montre que les rues Ă©taient commerçantes. Ă€ cette Ă©poque, une grande partie de la population ne savait pas lire, chaque artisan avait sur sa boutique un enseigne spĂ©cifique par rapport Ă  son activitĂ©.
    • Le BrĂ©zème : Au XVIIIe siècle, c’est l’industrie de la soie qui permet Ă  Livron de prospĂ©rer. Des filatures, des moulinages, des tissages et l’élevage de ver Ă  soie crĂ©ent de nombreux emplois. D’imposants bâtiments sont construits dans ce but dans la plaine. Ces usines se servent de la force motrice de l’eau et de l’utilisation d’un rĂ©seau de canaux qui sillonnent le secteur. En 1756, les frères Dessoudeys Ă©tablissent au BrĂ©zème, un important moulinage : 4 roues hydrauliques pour 12 moulins, l’entreprise emploie une centaine d’ouvriers. De nombreux moulins se construisent le long des canaux. En 1843, il y a Ă  Livron : 5 moulinages, 3 filatures, 4 taillanderies, 1 scierie Ă  marbre, 1 four Ă  puddler, 2 scieries Ă  bois, 2 tanneries, plusieurs tuileries et briqueteries. Aujourd’hui, ces industries, notamment filature et moulinage utilisant l’eau ont fermĂ© (concurrence soie asiatique, maladie et ouverture du canal de Suez).
    • Pont du XVIIIe siècle qui enjambe la DrĂ´me.
    En 1767, un pont en pierres est construit sous ordre du roi. Il y a un véritable développement du trafic routier et plus d’arrêt dans le village. Jusqu’en 1780, il y a moins de vingt maisons le long de la Grande Route, la présence du pont développe le pied de la colline avec des relais, des commerçants, artisans aubergistes, des maréchaux-ferrants et des charrons qui s’installent le long de la route. Cela fabrique le début de village de ce qu’on appelle « le Bas », le bourg ancien devient « le Haut ». Avec le pont en pierres de Livron-Loriol, Livron va se retrouver au cœur d’un carrefour de voies de circulation dans la fin des années 1800. Avant cela, les voyageurs devaient passer à gué ou par un système de bacs qui nécessitaient de longs temps d'attente et se rendaient généralement dans les commerces du vieux village ou devaient faire le tour par le pont sur le village de Crest. Grâce à ce pont, la population augmente et la ville, réorganisée, attire de nouvelles personnes pour y vivre en lien avec l'industrie du tissage, essentiellement venues d’Ardèche. Les commerces du vieux Livron sont peu à peu désertés et la ville commence son implantation dans la plaine avec de nouveaux commerces s'installant proches du pont. Livron est sur la grande route (RN7) reliant Paris à Marseille. Une route longeant la rivière Drôme jusqu’�Allex et Crest est établie, et une autre route jusqu’�l’Ardèche avec la construction des deux ponts de La Voulte en 1891/92. Pendant la Seconde Guerre mondiale, des résistants font sauter une arche du pont, coupant la retraite des Allemands. Le pont sera renommé : pont du Commando-Henri-Faure en mémoire de cette nuit du 16 au .
    • TĂ©lĂ©graphe Chappe / chapelle de la vierge Marie au sommet de la colline : l’apparition du tĂ©lĂ©graphe aĂ©rien change la vitesse de communication des informations. Cet appareil crĂ©Ă© par Claude Chappe en 1794 va ĂŞtre utilisĂ© pour couvrir le territoire Français. Des symboles codĂ©s sont faits en haut d’une tour et permettent de transmettre un message au dĂ©but des annĂ©es 1800. Une ligne tĂ©lĂ©graphique reliant Paris Ă  Toulon passe par Livron. Un poste de tĂ©lĂ©graphe « Chappe » y est construit. Cela permet de communiquer dans de brefs dĂ©lais des nouvelles sur de grandes distances alors que les dĂ©placements se font encore Ă  cheval. Malheureusement, ces messages ne peuvent pas ĂŞtre transmis la nuit ou par mauvais temps et nĂ©cessitent beaucoup d’opĂ©rateurs (2 tours tous les 15 km). En 1855, le tĂ©lĂ©graphe aĂ©rien est abandonnĂ© mais d’autres technologies bouleversent le paysage Livronnais. La tour de l’ancien tĂ©lĂ©graphe sera convertie en une chapelle dĂ©diĂ©e Ă  la vierge Marie dès 1946, les Livronnais voulaient remercier la vierge de les avoir protĂ©gĂ©s durant les combats de la guerre 1939-1945.
    Gare de Livron.
    • Gare de Livron : axe de communication moderne, le chemin de fer dĂ©veloppe l’attractivitĂ© de la ville. Le chemin de fer relie Lyon Ă  Marseille dans les annĂ©es 1850. C’est une rĂ©volution pour le transport des marchandises et des hommes. Les premiers trains fonctionnent grâce Ă  des locomotives Ă  vapeur. On met du charbon dans un four pour chauffer de l’eau qui entraĂ®ne des turbines et transforme cette Ă©nergie en mouvements.
    La ligne Lyon-Avignon passe par Livron en 1856, une autre reliant Drôme et Ardèche passe en 1861, enfin Livron relie par le train les villes de la vallée de la Drôme à partir de 1870. La gare de Livron s’adapte à ce tracé et s’établit loin du village dans la plaine.
    Un quartier, le quartier de la gare va alors se développer. Des bâtiments pour l’accueil des voyageurs sont créés (hôtel, relais). On peut noter l’évolution de la gare avec bâtiments postaux, buffet pour les voyageurs, zone d’attente séparant les différentes classes. Des axes de communications relient la gare au village et aux usines pour acheminer hommes et marchandises.
    • Gare du pont (habitation privĂ©e) : Ă  l'origine lorsque le chemin de fer s'Ă©tablit aux alentours de Livron et que la gare fut construite, elle Ă©tait très Ă©loignĂ©e du village qui se trouvait essentiellement sur les collines, les rares habitations en plaine se trouvaient (en dehors des hameaux) Ă  l'entrĂ©e Nord et Ă  l'entrĂ©e Sud du village, proche du pont. Une petite gare, la gare du pont permettait de relier les Livronnais et les voyageurs Ă  la gare de Livron, isolĂ©e dans la plaine Ă  plusieurs kilomètres du village.
    La gare du pont permettait la liaison avec la vallée de la Drôme. Ardouin-Dumazet écrit en 1890 : « La ville moderne de Livron, ou ville basse, s’ouvre sur le pont enjambant la Drôme, près d’une halte du chemin de fer de Die. C’est une grande et large rue, bordée de maisons cossues [...]. Sur le rocher à pic est la vieille ville [...] c’est un assez pénible séjour malgré la splendeur du panorama. Aussi les habitants descendent-ils un à un dans la ville basse où sont les moulinages de soie [...], où les canaux dérivés de la Drôme ont fait de la plaine caillouteuse une merveille de fraîcheur et de richesse agricole. Entre la ville et le chemin de fer, les champs sont superbes. La gare principale est assez loin de la ville, mais elle est importante ; là se détachent les lignes de Privas et de Briançon. C’est à ce nœud de voies ferrées que Livron, simple commune, doit d’avoir dépassé en population son chef-lieu de canton, la ville voisine de Loriol ».
    • Monument aux morts. Conflits commĂ©morĂ©s : Guerre 1914-1918[34].
    • Le lavoir est un bassin alimentĂ© en eau naturelle qui a pour but de rincer le linge après l'avoir lavĂ©. Il est le plus souvent public, gratuit ou payant selon les communes. Les lavandières s'y rende le plus souvent pour rincer le linge (et non pour le laver). Le passage au lavoir est en effet la dernière Ă©tape avant le sĂ©chage. Comme le lavage ne consommait que quelques seaux d'eau, il pouvait avoir lieu dans les habitations mais le rinçage nĂ©cessitait de grandes quantitĂ©s d'eau claire.
    • Bains/douches ou douches municipales, elles constituent un service public d’hygiène des villes pour les personnes qui n’ont pas l'eau courante (eau du robinet). Avant l’eau courante dans les maisons, Il fallait chercher l’eau au puits ou aux fontaines publiques. Les toilettes se trouvaient Ă  l’extĂ©rieur des maisons. En ce qui concerne l’hygiène, il fallait faire chauffer beaucoup d’eau pour remplir des baignoires de particuliers, les bains n’étaient pas si frĂ©quents qu’aujourd’hui. Dans la plupart des villes, des Ă©tablissements publics et payants de bains/douches sont alors proposĂ©s aux habitants Ă  la fin des annĂ©es 1800. Elles se gĂ©nĂ©ralisent dans les annĂ©es 1920-1930, sont modernisĂ©es dans les annĂ©es 1950 et vont fermer dans les annĂ©es 1980.
    • Proche des bains douches, une nouvelle Ă©cole apparaĂ®t dans les annĂ©es 1930 : groupe scolaire Marcel Pagnol (sĂ©paration en plusieurs cours : Ă©cole de garçons et Ă©cole de filles).
    • Moulins Ă©lectriques : Les moulins sont installĂ©s Ă  proximitĂ© des canaux de Livron. Le courant de l’eau fait tourner les roues du moulin. La roue transforme la force de l’eau en Ă©nergie motrice ou Ă©lectrique. Le dĂ©veloppement d’autres moyens de fabriquer l’énergie rendent les moulins peu Ă  peu inutiles.
    • La vie : sculpture monumentale de Jean-Paul Ravit reprĂ©sentant trois alpinistes s'entre-aidant pour gravir un obstacle.
    • Vue sur l'Ardèche des hauts Livron.
      Vue sur l'Ardèche des hauts Livron.
    • Des hauts Livron vers Crest et « les Trois Becs ».
      Des hauts Livron vers Crest et « les Trois Becs ».
    • Vue des anciens remparts.
      Vue des anciens remparts.

    Patrimoine naturel

    HĂ©raldique, logotype et devise

    Armoiries de Livron-sur-DrĂ´me

    Les armoiries de Livron-sur-DrĂ´me se blasonnent ainsi[35] :
    « D'argent au verrou de sable percé du champ. »

    Annexes

    Bibliographie

    • 1979 : Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, 1979[36].
    • 1991 : Lucien Delay, Livron sur DrĂ´me - Hier et aujourd'hui, les presses de l'imprimerie du Crestois, 1991.
    • 2004 : Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la DrĂ´me, Ă©ditions CrĂ©aphis, 2004, 192 pages.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    2. Table climatique.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l�a href="Insee.html" title="Insee">Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Livron-sur-Drome », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    12. Lieux et itinéraires.
    13. Didacticiel de la règlementation parasismique.
    14. Carte du risque sismique dans la DrĂ´me.
    15. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 197 (Livron).
    16. Michel de la Torre, DrĂ´me, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Livron-sur-DrĂ´me.
    17. Nicolas Mengus, Châteaux forts au Moyen Âge, Rennes, Éditions Ouest-France, , 283 p. (ISBN 978-2-7373-8461-5), p. 162.
    18. F. Monteiller « Enquêtes sur les arbres remarquables de la Drôme », Études drômoises, (no)69, décembre 1986, p. 45.
    19. « Vos élus », sur livron-sur-drome.fr (consulté le ).
    20. Les anciens maires de la commune.
    21. Les maires de Livron de 1790 Ă  2014.
    22. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
    23. Description de la station LIVRON chef-lieu.
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    28. Établissements d'enseignements
    29. Professionnels et établissements de santé.
    30. Paroisse Saint Paul du RhĂ´ne.
    31. Élevage d'autruches.
    32. La charte Bistrot de Pays Bistrot de Pays
    33. Fédération nationale des bistrots de pays.
    34. Monument aux morts.
    35. L'armorial des villes et villages de France
    36. Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, , 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3), Livron-sur-Drôme, page 685..
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