Sacré-Cœur de Jésus
Le Sacré-Cœur est une dévotion au cœur de Jésus-Christ, en tant que symbole de l'amour divin par lequel Dieu a pris la nature humaine et a donné sa vie pour les hommes[1]. Cette dévotion est particulièrement présente au sein de l'Église catholique mais aussi, quoiqu'à moindre échelle, dans l'Église anglicane et dans certaines Églises luthériennes. Elle met l'accent sur les concepts d'amour et d'adoration voués au Christ. La solennité du Sacré-Cœur a été instituée par le pape Clément XIII en 1765 et étendue à toute l'Église catholique par le pape Pie IX en 1856.
L'extension de cette dévotion dans l'Église catholique à partir du XVIIe siècle vient des révélations d'une visitandine de Paray-le-Monial, Marguerite-Marie Alacoque, qui a affirmé l'avoir reçue du Christ lui-même lors de différentes apparitions entre 1673 et 1675[2]. Plus tard, à partir du XIXe siècle, elle provient des révélations d'une autre religieuse catholique, la mère supérieure du couvent de la congrégation du Bon Pasteur de Porto, Marie du Divin Cœur Droste zu Vischering, qui a demandé au pape Léon XIII qu'il consacre le monde entier au Sacré-Cœur de Jésus.
La tradition catholique associe le Sacré-Cœur aux actes de réparation dédiés au Christ. Dans son Encyclique Miserentissimus Redemptor, Pie XI a indiqué : « L'esprit d'expiation ou de réparation a toujours tenu le premier et principal rôle dans le culte rendu au Sacré-Cœur de Jésus ».
Le Sacré-Cœur est souvent représenté, dans l'art chrétien, sous la forme d'un cœur enflammé brillant d'une lumière divine, saignant car ayant été percé par la lance du soldat romain Longinus, entouré d'une couronne d'épines et surmonté d'une petite croix. Parfois, le cœur est centré sur le corps du Christ, avec ses mains transpercées dirigées vers lui, comme s'il allait l'offrir à la personne qui se tient devant lui. Les blessures et la couronne d'épines font allusion aux conditions de la mort de Jésus-Christ, alors que le feu symbolise le pouvoir transformateur de l'amour.
Histoire
Origines
La tradition du Sacré-Cœur trouve son origine textuelle avec l'apôtre Jean qui a reposé sa tête sur le cœur de Jésus durant la Cène (Évangile selon Jean 13,23), et qui a vu son cœur transpercé lors de la Passion (Jn 19,34-37). Par la suite, de nombreux saints ont parlé du cœur du Christ, tels Catherine de Sienne, Gertrude de Helfta, François de Sales...
Du XIe au XVIe siècle
Pendant les dix premiers siècles du christianisme, rien n'indique qu'un culte ait été rendu au Sacré-Cœur de Jésus. Les premières indications de la dévotion au Sacré-Cœur se trouvent à partir du XIe siècle dans les monastères bénédictins et cisterciens.
Le renouveau de la vie religieuse et l'activité de Bernard de Clairvaux au XIIe siècle, ainsi que l'enthousiasme des croisés revenant de Terre sainte, ont donné naissance à une dévotion à l'égard de la Passion de Jésus-Christ et notamment par des pratiques en l'honneur des « Plaies sacrées ». Bernard disait que la pénétration de la lance dans le côté du Christ révélait la charité de son cœur pour les hommes. L'hymne la plus ancienne connue exprimant le Sacré-Cœur, Summi regis cor aveto, a été écrite par le bienheureux Arnulf de Louvain (mort en 1250) de Cologne en Allemagne. Un cycle de sept cantates fut composé par Dietrich Buxtehude, Membra Jesu nostri, déplorant chacune une des plaies du Christ.
Entre le XIIIe et le XVIe siècle, la dévotion se répand sans s'établir officiellement. Elle est pratiquée par des particuliers et par différentes congrégations religieuses, comme les Franciscains, les Dominicains et les Chartreux. Chez les Franciscains, la dévotion au Sacré-Cœur de Jésus a ses figures majeures : Bonaventure, notamment par sa Vitis Mystica (Vigne mystique), Jean de Fermo et le tertiaire Jean Eudes.
XVIIe siècle
Au XVIIe siècle, Jean Eudes (1601-1680) mit en place les éléments d'un culte dédié au Cœur Immaculé de la Vierge Marie, puis au Sacré-Cœur de Jésus, en les unissant ensemble à partir de 1634, approuvé par plusieurs évêques en 1672 et célébré au sein de sa Congrégation de Jésus et Marie[3].
L'Église catholique se trouva confortée dans l'instauration de ce culte à la suite des apparitions que Marguerite-Marie Alacoque (plus tard proclamée sainte) dit avoir reçues de Jésus à partir de 1673 à Paray-le-Monial : « Et il me fit voir qu’il fallait honorer (le Cœur de Dieu) sous la figure de ce Cœur de chair, dont il voulait que l’image soit exposée et portée sur soi et sur le cœur, pour y imprimer son amour et le remplir de tous les dons dont il était plein et pour y détruire tous les mouvements déréglés. Et que partout où cette sainte image serait exposée pour y être honorée, il répandrait ses grâces et bénédictions »[4]. Saint Claude La Colombière a aidé Marguerite-Marie Alacoque à répandre ce culte du Sacré-Cœur. L'image qu'elle propage, entouré de rayons d'or et de flammes de feu, comporte au centre le mot « caritas » c'est-à-dire charité (dans le sens catholique de "amour").
En 1689, Marguerite-Marie Alacoque affirme devoir délivrer quatre demandes particulières à l'intention du pouvoir temporel. Celles-ci auront des répercussions politiques et religieuses et ne seront pas toutes réalisées sous les régimes royaux, impériaux et républicains français. Deux d’entre elles restent à réaliser : la consécration personnelle et nationale au Sacré-Cœur de chaque nouveau chef de l’État en France, lors d’une messe publique, et l’apposition officielle du Sacré-Cœur sur le drapeau français.
XVIIIe siècle
Sœur Anne-Madeleine Rémusat (1696-1730) fut une propagatrice de la dévotion au Sacré-Cœur. Pour arrêter la peste à Marseille, Mgr de Belsunce, sous l'inspiration de cette religieuse, plaça la ville de Marseille et son diocèse sous la protection du Sacré-Cœur, lors d'une messe célébrée le [5].
Marie Leszczyńska, initiée à cette dévotion par la Visitation de Varsovie, obtient des évêques de France que la fête du Sacré-Cœur soit étendue à toute la France, ainsi que l'office, et propage ce culte à la cour et dans la famille royale[8]. Son fils, le dauphin, demanda un autel du Sacré-Cœur dans la chapelle du château de Versailles[9], ville d'une des premières confréries du Sacré-Cœur[10].
Guerre de Vendée
En France, durant la guerre de Vendée, les membres de l'Armée catholique et royale de Vendée, opposée aux troupes républicaines envoyées par la Convention nationale, arborent régulièrement le Sacré-Cœur pour montrer leur foi, face à l'absence de références catholiques de la Première République[11].
Pie IX
En 1856, le pape Pie IX étend la fête du Sacré-Cœur à Église catholique. Trois Encycliques confirment l'attachement de l'Église à cette dévotion : Annum Sacrum (Léon XIII - 1899), Miserentissimus Redemptor (Pie XI - 1928) et Haurietis Aquas (Pie XII - 1956). Le , il béatifie Marguerite-Marie Alacoque, puis il bénit le projet d'édification de la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre[12].
Consécrations au Sacré-Cœur
Dans sa bulle pontificale Auctorem Fidei, le pape Pie VI loua la dévotion au Sacré-Cœur. Finalement, le pape Léon XIII consacra, par son Encyclique Annum Sacrum (le ), chaque être humain au Sacré-Cœur. L'idée de cet acte, que Léon XIII surnomma le « grand acte » de son pontificat, lui avait été soumise par la bienheureuse Marie du Divin Cœur, comtesse Droste zu Vischering, une religieuse supérieure de la Congrégation du Bon Pasteur de Porto, en Portugal, qui prétendait l'avoir surnaturellement reçue du Christ lui-même. Depuis le milieu du XIXe siècle, des groupes, des congrégations et même des États se sont consacrés au Sacré-Cœur.
La France a été consacrée le par un groupe d'une cinquantaine de parlementaires lors d'un pèlerinage à Paray-le-Monial conduite par Gabriel de Belcastel. Le , sur pétition remis au président Gabriel García Moreno, l'Équateur fut le premier pays du monde ainsi consacré[13], accomplissant enfin ce que Dieu avait demandé à Marie-Madeleine un peu moins de deux mille ans auparavant, selon la vulgate chrétienne[11].
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
La basilique du Sacré-Cœur de Montmartre est dite Vœu national. Elle est déclarée d'utilité publique par une loi votée le 24 juillet 1873 par l'Assemblée nationale de 1871. Le , l'archevêque de Paris, le cardinal Guibert pose la première pierre de la basilique, honorant après deux cents ans jour pour jour, la quatrième demande rapportée par Marguerite-Marie Alacoque, le [14].
XXe siècle
Au début du XXe siècle, Saint Pie X afin de clore chaque messe quotidienne ajoute aux prières dites prières léonines, une louange au Sacré-Cœur, le Cor Jesu Sacratissimum, invoquée trois fois.
Le , le pape Pie XI officialise la composition d'une nouvelle messe et d'un nouvel office liturgique du Sacré-Cœur[15]. La fête du Sacré-Cœur est établie comme Solennité et dès lors célebrée le troisième dimanche après la Pentecôte[16] afin de « compenser à l'égard de l'amour incréé, l'indifférence, l'oubli, les offenses, les outrages qu'il subit »[17]. Dans ce nouvel office liturgique, le Saint-Siège fait pour la première fois explicitement mention du lien entre le message de Paray-le-Monial et la fête du Sacré-Cœur, corroborant ainsi la quatrième demande mentionnée par Marguerite-Marie Alacoque[18].
Depuis 1931, la continuation de la dévotion au Sacré-Cœur est la Miséricorde Divine[19].
Spiritualité
Les promesses
À la demande de ses supérieurs et à la suite des apparitions qu'elle a relatées[4], Marguerite-Marie Alacoque rédige de nombreuses lettres, 135 au total, pour transmettre les messages du Sacré-Cœur. L'ensemble de ces lettres connut un remaniement et un abrégé constituant dès lors une liste de douze « promesses ».
On ignore quand et par qui fut fixée cette forme. Ces promesses ne furent répandues que bien après la mort de la sainte de Paray, et ce n'est qu'à la fin du XIXe siècle qu'elles connurent une diffusion mondiale. En 1882, Kemper, un commerçant de Dayton aux États-Unis, entreprit de les diffuser partout ; il les fit traduire en plus de 238 langues et imprimer sur des images du Sacré-Cœur, qu'il répandit par millions à travers le monde[20].
En 1890, le cardinal Perraud déplore la circulation de ces promesses sous pareille forme : il préférerait une publication usant de mots et d'expressions employés dans les écrits de Marie-Marguerite[20]..
Aux promesses s’adressant à la dévotion personnelle, s'ajoutent trois lettres écrites les et au mois d’, lettres qui auront par la suite des répercussions importantes sur les politiques publiques[21] et par lesquelles Jésus par le truchement de sa servante demande un culte public du Sacré-Cœur[4].
Le est honorée la deuxième demande rapportée par Marguerite-Marie Alacoque par l’intermédiaire du cardinal Guibert. L’aqrchevêque de Paris pose la première pierre de la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre présentée comme vœu national par la loi du [14].
Galerie
- Église du Sacré-Cœur à Bagnoles-de-l’Orne.
- Église du Sacré-Cœur à Hamilton aux États-Unis.
- Basilique de Estrela à Lisbonne qui fut la première église consacrée au Sacré-Cœur.
- Le sanctuaire du Christ-Roi a Almada est un monument fameux dédié au Sacré-Cœur.
- Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre.
- Église du Sacré-Cœur de Jésus à Ermesinde au Portugal.
Le message spirituel
Dans le Directoire sur la piété populaire et la liturgie, publié le , la Congrégation pour le culte divin rappelle le sens du culte rendu au cœur de Jésus : « L'expression "Cœur de Jésus", entendue dans le sens contenu dans la divine Écriture, désigne le mystère même du Christ, c'est-à-dire la totalité de son être, ou le centre intime et essentiel de sa personne : Fils de Dieu, sagesse incréée ; Amour infini, principe du salut et de sanctification pour toute l'humanité. Le "Cœur du Christ" s'identifie au Christ lui-même, Verbe incarné et rédempteur (...) »[22].
Dans l'Encyclique Haurietis Aquas in Gaudio, Pie XII définit le mystère du cœur de Jésus comme le mystère de l'amour miséricordieux du Christ et de la Trinité tout entière, Père, Fils et Saint-Esprit, envers l'humanité[23].
Le mois de juin lui est consacré, mois pendant lequel a lieu la Fête du Sacré-Cœur qui est célébrée dans toute l'Église catholique depuis 1856. Cette solennité est célébrée 19 jours après le dimanche de Pentecôte, soit un vendredi.
Saints et saintes liés au culte du Sacré-Cœur de Jésus
- sainte Lutgarde de Tongres (1182-1246)
- sainte Mechtilde de Magdebourg (1207-1283)
- sainte Mechtilde de Hackeborn (1241-1298)
- sainte Gertrude de Helfta (1256-1301)
- bienheureux Jan Van Ruysbroeck (1293-1381)
- saint François de Sales (1567-1622)
- vénérable Kasper Drużbicki (pl) (1590-1662)
- saint Jean Eudes (1601-1680)
- saint Claude La Colombière (1641-1682)
- sainte Marguerite-Marie Alacoque (1647-1690)
- saint Louis-Marie Grignion de Montfort (1673-1716)
- vénérable Anne-Madeleine Rémusat (1696-1730)
- sainte Madeleine-Sophie Barat (1779-1865)
- saint Michel Garicoïts (1797-1863)
- bienheureuse Marie de Jésus Deluil-Martiny (1841-1884)
- bienheureuse Marie de Jésus Crucifié (1846-1878)
- saint Charles de Foucauld (1858-1916)
- bienheureuse Marie du Divin Cœur Droste zü Vischering (1863-1899)
- bienheureuse Alexandrina de Balazar ( - )
- sainte Faustine Kowalska (1905-1938)
Congrégations dévolues au culte du Sacré-Cœur de Jésus
Au XIXe siècle, un très grand nombre de congrégations en lien avec la spiritualité du Sacré-Cœur de Jésus ont été fondées. Cette liste n'est donc pas exhaustive.
- Ancelles du Sacré-Cœur, fondée en Espagne en 1877 par sainte Raphaelle Porras y Ayllon
- Bénédictines du Sacré-Cœur de Montmartre, congrégation fondée en France en 1898 par Adèle Garnier ainsi que la branche britannique Adoratrices du Sacré-Cœur de Montmartre
- Congrégation du Sacré-Cœur de Jésus, fondée en France en 1852 par le père Joseph-Marie Timon-David
- Frères du Sacré-Cœur, congrégation fondée en France en 1821 par le père André Coindre et le vénérable frère Polycarpe (Jean-Hippolyte Gondre)
- Missionnaires comboniens du Cœur de Jésus, congrégation fondée en Italie en 1867 par saint Daniel Comboni
- Missionnaires du Sacré-Cœur de Jésus, congrégation fondée en France en 1854 par l'Abbé Jules Chevalier
- Pères et religieuses des Sacrés-Cœurs de Picpus, congrégation fondée en France en 1800 par l'abbé Coudrin et la mère Henriette Aymer de la Chevalerie
- Petites Servantes du Sacré-Cœur de Jésus pour les Malades pauvres, congrégation fondée en Italie en 1975 par sainte Anna Michelotti
- Petites Sœurs du Sacré-Cœur, congrégation fondée en France en 1933 et dont la spiritualité s'inspire de Charles de Foucauld
- Prêtres du Sacré-Cœur de Jésus, congrégation fondée en France en 1832 par saint Michel Garicoïts et par la sainte carmélite, Sœur Marie de Jésus Crucifié
- Religieuses du Sacré-Cœur de Jésus, congrégation fondée en France en 1800 par sainte Madeleine-Sophie Barat
- Servantes du Sacré-Cœur, congrégation fondée en Italie en 1874 par sainte Catherine Volpicelli
- Société des Filles du Sacré Cœur, congrégation fondée en Belgique en 1873 par sainte Marie de Jésus Deluil-Martiny
- Société des prêtres du Sacré-cœur de Jésus, congrégation fondée en France en 1877 par le père Léon Dehon
- Sœurs de la Sainte-Famille du Sacré-Cœur, congrégation fondée en 1889
- Sœurs hospitalières du Sacré-Cœur de Jésus, congrégation fondée en Italie en 1881 par Benoît Menni, frère de Saint-Jean-de-Dieu
- Sœurs missionnaires du Sacré-Cœur, congrégation fondée en Italie en 1880 par sœur Françoise-Xavière Cabrini
- Union des Oblates du Cœur de Jésus, congrégation fondée en France en 1874 par sainte Louise-Thérèse de Montaignac de Chavance
- Ursulines du cœur de Jésus agonisant (ou Ursulines grises), congrégation fondée en Pologne en 1920 par sainte Ursule Ledóchowska
Représentations et lieux de culte dans la piété populaire
Le Sanctuaire du Christ Roi est un grand monument religieux en Almada, Portugal, dédié au Sacré-Cœur de Jésus où existe une chapelle avec des reliques de sainte Marguerite-Marie Alacoque, de saint Jean Eudes, de sainte Faustine Kowalska et de la bienheureuse Marie du Divin Cœur.
Allemagne
Belgique
- Basilique du Sacré-Cœur de Bruxelles ou basilique de Koekelberg
Canada
- Église du Sacré-Cœur de Jésus de Montréal (Montréal), Québec
- Sanctuaire du Sacré-Cœur de Montréal (Montréal), Québec
- Église du Sacré-Cœur de Gatineau (Hull), Québec
- Église du Sacré-Cœur de Longueuil (Longueuil), Québec
- Église du Sacré-Cœur de Chicoutimi (Chicoutimi), Québec
- Église du Sacré-Cœur de Stanstead (Stanstead), Québec
- Sanctuaire du Sacré-Cœur de Beauvoir, Sherbrooke, Québec
États-Unis
- Basilique du Sacré-Cœur (Basilica of the Sacred Heart), sise en l'université Notre-Dame, à South Bend, dans l'Indiana
- Basilique-cathédrale du Sacré-Cœur (Cathedral Basilica of the Sacred Heart), à Newark (New Jersey), dans le New Jersey
France
- Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre, à Paris
- Basilique du Sacré-Cœur de Marseille
- Basilique de Paray-le-Monial
- Basilique du Sacré-Cœur de Bourg-en-Bresse
- Basilique du Sacré-Cœur de Nancy
- Basilique du Sacré-Cœur de Lutterbach
- Église du sacré-Cœur à Castellane
- Église du Sacré-Cœur en Saint-Germain-du-Crioult
- Église du Sacré-Cœur en Menton
- Église du Sacré-Cœur de Cholet
- Eglise du Sacré-Cœur d'Agen
- Eglise du Sacré-Cœur de Sète
- Paroisse du Sacré-Cœur de Colombes
- Chapelle du Sacré-Cœur à Berné
- Sanctuaire diocésain Sacré-Cœur de Dijon
- Basilique du Sacré-Cœur de Grenoble
- Église du Sacré-Cœur d'Audincourt
- Église du Sacré-Cœur de Douarnenez
- Sanctuaire Notre-Dame de Pellevoisin
- Église du Sacré-Cœur d’Angoulême
- Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption d'Ajaccio
- Église du Sacré-Cœur-de-Jésus de Villeneuve-d'Ascq
Inde
- Basilique du Sacré-Cœur de Pondichéry
Portugal
- Basilique du Sacré-Cœur (de l'Étoile) à Lisbonne
- Église-Sanctuaire du Sacré-Cœur de Jésus à Ermesinde
- Sanctuaire du Christ Roi en Almada
Russie
- Église du Sacré-Cœur de Saint-Pétersbourg[25]
- Église du Sacré-Cœur de Samara.
Suisse
- Église du Sacré-Cœur de Genève
Thaïlande
- Cathédrale du Sacré-Cœur en Chiang Maï
Togo
- Eglise du Sacré-Cœur de Dzodzekondzi
Annexes
Bibliographie
- Christian Mange, « Bernard Bénézet et l’iconographie du Sacré-Cœur au XIXe siècle », Histoire de l'art, vol. Iconographie, no 20, , p. 79-87. (lire en ligne)
- Edouard Glotin, La Bible du Cœur de Jésus, Éd. Presses de la renaissance, 2007 (ISBN 978-2-7509-0306-0)
- Jean-Claude Prieto de Acha, Le Sacré Cœur de Jésus : Deux mille ans de miséricorde, Pierre Téqui Éditeur, 2019 (ISBN 9782740314548)
- Jean Ladame, Marguerite-Marie : la sainte de Paray, Éditions Résiac, 1994 (ISBN 2-85268-118-8)
- Jean Ladame, Les Faits mystiques de Paray, Éd Resiac, 1991 (ISBN 2-85268-215-X)
- Anne Sauvy, Le Miroir du cœur : quatre siècles d’images savantes et populaires, Paris, Cerf, 1989 (ISBN 2-204-03008-2)
- Barbara Hryszko, Identification d’un tableau d’Alexandre Ubeleski : l’un des premiers exemples d’iconographie du Sacré-Cœur, „Barok”, XXV/XXVI, (45/46), 2016, pp. 197-207.
Articles connexes
Liens externes
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- « Avec les papes et les saints, vivre le mois de juin auprès du Cœur de Jésus », Adélaïde Patrignani, Vatican News
Notes et références
- Cf décret Instantibus de la Sacrée Congrégation des Rites paru sous l'approbation de Clément XIII le 6 février, in A. Hamon, Histoire de la Dévotion au Sacré-Cœur, tome II, Paris, Beauchesne, 1925
- Jean Ladame, Marguerite-Marie, La sainte de Paray, Éditions Resiac, 1994 (ISBN 2-85268-118-8)
- Paul Milcent, Saint Jean Eudes : un artisan du renouveau chrétien au XVIIe siècle, Paris, Cerf, , 589 p. (ISBN 2-204-04486-5)
- Marguerite-Marie Alacoque, Sainte Marguerite-Marie Alacoque : Sa vie par elle-même, Paris-Fribourg, Saint-Paul, , 152 p. (ISBN 2-85049-153-5)
- Olivier Andurand, La Grande affaire. Les évêques de France face à l'Unigenitus, Rennes, Presses universitaires de Rennes, , 398 p. (ISBN 978-2-7535-5390-3), p. 175-194
- Francis Frémond, blessé de guerre
- Le drapeau Carillon Sacré-Cœur
- Barbara Hryszko, Identification d’un tableau d’Alexandre Ubeleski : l’un des premiers exemples d’iconographie du Sacré-Cœur, „Barok”, XXV/XXVI, (45/46), 2016, pp. 197-207.
- Sous la direction de Jean-Clément Martin, Dictionnaire de la Contre-Révolution, Bernard Hours, « Contre-révolution avant 1789 », éd. Perrin, 2011, p. 199.
- [lire en ligne] La confrérie de la dévotion au Sacré-Cœur de Jésus de Notre-Dame de Versailles.
- Alet Victor, La France et le Sacré-Cœur, Paris, Dumoulin et Cie,
- Jacques Benoist, Le Sacré-Cœur de Montmartre de 1870 à nos jours, Paris, Les Éditions Ouvrières, , 1174 p. (ISBN 978-2-7082-2978-5, lire en ligne)
- Miguel Rodriguez, « Du vœu royal au vœu national - Une histoire du XIXe siècle », Cahier du Centre de recherches historiques, (lire en ligne)
- Père Jacques Benoist, Le Sacré-Cœur de Montmartre, Un vœu national, Paris, Délégation à l'action artistique de la ville de Paris, , 261 p. (ISBN 2-905118-79-2)
- Édouard Glottin, La Bible du Cœur de Jésus, Ed. Presses de la Renaissance,
- «Dans le vocabulaire liturgique, la Solennité est le degré supérieur de célébration des fêtes », Dom Robert Le Gall, Dictionnaire de Liturgie, Éditions CLD
- Pie XI, Acta Apostolicae Sedis,
- Jean Ladame, Les faits mystiques de Paray-le-Monial, Résiac, 1970, rééd. 1991, p. 217-238
- Le Message du Cœur Sacré de Jésus
- Wenisch, Fr. Paul, Promises of Our Lord to Saint Margaret, 1920, red.16 mai 2008
- Dirigé par Raymond Darricau, Bernard Peyrous, Sainte Marguerite-Marie et le message de Paray-le-Monial, congrès de Paray-le-Monial, 1990, Desclée, , 550 p. (ISBN 978-2-7189-0607-2)
- Directoire sur la piété populaire et la liturgie, 9 avril 2002, no 166
- Pie XII, Encyclique Haurietis Aquas in Gaudio, 1956
- Site russe
- Site russe