AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Cholet

Cholet est une commune française, chef-lieu d'arrondissement, située dans le département de Maine-et-Loire en région Pays de la Loire. Elle est la deuxiÚme plus grande ville du Maine-et-Loire aprÚs Angers.

Cholet
Cholet
Jardin du Mail.
Blason de Cholet
HĂ©raldique
Cholet
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Maine-et-Loire
(sous-préfecture)
Arrondissement Cholet
(chef-lieu)
Intercommunalité Agglomération du Choletais
(siĂšge)
Maire
Mandat
Gilles Bourdouleix (LR)
2021-2026
Code postal 49300
Code commune 49099
DĂ©mographie
Gentilé Choletais
Population
municipale
54 357 hab. (2020 en augmentation de 0,94 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 621 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 03â€Č 36″ nord, 0° 52â€Č 42″ ouest
Altitude Min. 63 m
Max. 184 m
Superficie 87,47 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Cholet
(ville isolée)
Aire d'attraction Cholet
(commune-centre)
Élections
DĂ©partementales Cantons de Cholet-1 et de Cholet-2
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Cholet
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Cholet
GĂ©olocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Voir sur la carte topographique de Maine-et-Loire
Cholet
GĂ©olocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
Cholet
Liens
Site web cholet.fr

    Elle est la commune principale des Mauges, au sud-ouest de l'ancienne province d'Anjou, à proximité immédiate de la Loire-Atlantique (ancienne province de Bretagne), de la Vendée et des Deux-SÚvres (ancienne province du Poitou). L'architecture et l'héritage culturel locaux sont fortement influencés par cette situation géographique.

    Son maire est depuis 1995, l'ex-député Gilles Bourdouleix.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Cholet se situe Ă  l'extrĂ©mitĂ© sud-ouest du dĂ©partement de Maine-et-Loire[1], aux limites de trois dĂ©partements des Pays de la Loire (Maine-et-Loire, VendĂ©e, Loire-Atlantique) ainsi que d'un dĂ©partement de la rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine (Deux-SĂšvres). À vol d'oiseau, la commune se situe Ă  51,6 km au sud-ouest d'Angers[2], Ă  60,2 km au nord-est de La Roche-sur-Yon[3], Ă  53,4 km au sud-est de Nantes[4] et Ă  106,7 km au nord-ouest de Poitiers[5].

    La confusion, selon laquelle Cholet est située en Vendée, persiste dans la pensée populaire alors qu'elle en est éloignée géographiquement d'une dizaine de kilomÚtres[Note 1]. Cette situation est due à sa plus forte ressemblance physique avec la Vendée qu'avec le reste de l'Anjou[6] et de ses constructions en pierres de taille du bassin de la Loire mais aussi par le fait que Cholet est la principale ville conquise par l'armée catholique et royale durant la guerre de Vendée.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte topographique
    Play Pause Stop Précédent Suivant Select
    1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique

    Communes limitrophes

    Cholet est limitrophe de onze autres communes dont une en Deux-SÚvres et une autre en Vendée.

    Le , Le Puy-Saint-Bonnet, qui appartient au dĂ©partement des Deux-SĂšvres dans la rĂ©gion Poitou-Charentes, fusionne avec sa voisine Cholet[7]. Les limites de dĂ©partements et rĂ©gions sont donc modifiĂ©es Ă  cette occasion. Le Puy-Saint-Bonnet adopte le statut de commune associĂ©e et conserve pour elle-mĂȘme son ancien code INSEE issu des Deux-SĂšvres.

    GĂ©ologie et relief

    Au niveau continental, la ceinture de leucogranites de la virgation ibéro-armoricaine.
    Cholet fait partie, au niveau régional, de la ceinture de leucogranites de l'Ouest de la France et au niveau local, du complexe volcanique et plutonique de Cholet-Thouars.

    Au niveau rĂ©gional, le territoire de Cholet est situĂ© dans le domaine sud armoricain (plus prĂ©cisĂ©ment le domaine choletais[8]) marquĂ© par la phase orogĂ©nique bretonne de l'orogenĂšse varisque, au dĂ©but du CarbonifĂšre infĂ©rieur, ou Tournaisien, il y a environ 360 Ma[9]. La collision continentale au cours de l'orogenĂšse varisque proprement dite se traduit dans le Massif armoricain par un mĂ©tamorphisme gĂ©nĂ©ral de basse-moyenne pression, formant les gneiss et micaschistes, par des phases de cisaillement et par une anatexie gĂ©nĂ©rant migmatites et granites. Elle se traduit enfin, par la mise en place de nombreux leucogranites (Ă  deux micas muscovite et biotite) intrusifs Ă  travers les schistes cristallins, concomitamment aux cisaillements et Ă  ce mĂ©tamorphisme. Cholet fait ainsi partie d'une grande ceinture de leucogranites au sud du Massif armoricain. Cette ceinture correspond Ă  un immense batholite mis en place dans des roches mĂ©tamorphiques, seuls quelques plutons atteignant le PalĂ©ozoĂŻque Ă©pimĂ©tamorphique. Ce batholite est subdivisĂ© en plusieurs bandes (« rubans ») qui montrent une nette divergence vers l'Est[10] : un axe majeur (Pointe du Raz - Nantes - Parthenay - Millevaches) Ă  convexitĂ© nord-est (orientĂ© N 110-130 °E) associĂ© au cisaillement sud-armoricain (dĂ©crochement dextre selon une orientation cadomienne dont le rejet horizontal atteindrait 500 km[11]), duquel fait partie Cholet[12] ; au nord de cet axe, la bande Locronan-Lizio correspondant Ă  plusieurs rubans orientĂ©s N 60 Ă  100°E (chapelet d'apophyses Bignan, GuĂ©henno, Savenay, etc.) ; au sud de cet axe, une Ă©chine discontinue de moles syntectoniques (massifs de TrĂ©gunc, Pont-l'AbbĂ©, Port-Louis-Ploemeur, GlĂ©nan-Quiberon-Houat-Hoedic-GuĂ©rande-Le Croisic, Saint-BrĂ©vin, Noirmoutier-La Roche-sur-Yon) allongĂ©s en direction sud-armoricaine dont le parallĂ©lisme avec le cisaillement sud-armoricaine incite Ă  penser Ă  l'influence indirecte d'une contrainte linĂ©amentaire[13]. Ces granites intrusifs, datĂ©s de 320 millions d'annĂ©es, sont produits par fusion de mĂ©tasĂ©diments avec des taux de fusion faibles, probablement en relation avec des processus de relaxation thermique[14].

    Au niveau local, le territoire appartient plus prĂ©cisĂ©ment au complexe de Cholet-Thouars qui affleure au sein du bloc prĂ©cambrien des Mauges selon une bande d’environ 60 km sur 15 km, structure synclinale depuis Cholet jusqu’à Thouars. Ce complexe comprend une puissante unitĂ© Ă©ruptive essentiellement rhyolitique Ă  l’ouest (« Rhyolites du Choletais »), qui se prolonge vers l’est en un ensemble Ă  dominante microgranitique (« Microgranite de Thouars ») oĂč se « fondent » des pointements dioritiques Ă  gabbroĂŻques comagmatiques. Ces ensembles magmatiques datĂ©s de - 520 Ma correspondent Ă  un volcanisme bimodal Ă  composante crustale (volcanisme acide rhyolitique) et mantellique (volcanisme basique gabbroique) de distension intracontinentale, ce qui suggĂšre la formation d’un « Rift du Choletais » qui a avortĂ© et n’a pas Ă©voluĂ© vers une ocĂ©anisation[15].

    La superficie de la commune est de 8 747 hectares ; son altitude varie entre 63 et 184 mĂštres[16].

    On trouve plusieurs repĂšres de niveau d'altitude Ă  Cholet : celui de la gare indique 125,278 mĂštres ; le plus haut relevĂ© se trouve au rond-point de Paris, qui enregistre 130,990 mĂštres[PB 1].

    Hydrographie

    Cholet possĂšde plusieurs plans d'eau :

    • le lac de Ribou ;
    • l'Ă©tang du Bois-RĂ©gnier ;
    • l'Ă©tang de la GodiniĂšre qui s'Ă©tend sur 7 ha avec un volume d'eau de 110 000 m3 au nord-ouest de Cholet[17] ;
    • l'Ă©tang de Mocrat d'une surface de 6 865 m2[18] ;
    • l'Ă©tang des Noues.

    Sur des communes voisines on trouve deux autres plans d'eau qui alimentent Ă©galement Cholet : le lac du Verdon (sur les communes de MaulĂ©vrier, La Tessoualle et Saint-Pierre-des-Échaubrognes) ainsi que l'Ă©tang de PĂ©ronne[19] Ă  Chanteloup-les-Bois.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[20]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 746 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[24] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[25] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1965 permet de connaĂźtre en continu l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[26]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.

    Statistiques 1981-2010 et records CHOLET (49) - alt : 134 m 47° 04â€Č 42″ N, 0° 52â€Č 48″ O
    Records établis sur la période du 01-01-1965 au 04-01-2022
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,4 2,1 4 5,6 9,2 12 13,9 13,8 11,4 9,1 5,1 2,7 7,6
    Température moyenne (°C) 5,2 5,6 8,2 10,3 14 17,3 19,3 19,3 16,6 13 8,3 5,5 11,9
    Température maximale moyenne (°C) 8 9 12,3 15 18,8 22,6 24,8 24,9 21,7 16,8 11,4 8,3 16,2
    Record de froid (°C)
    date du record
    −14,6
    17.01.1987
    −12,9
    21.02.1986
    −10,2
    01.03.05
    −3,6
    12.04.1986
    −1
    03.05.1967
    3,5
    03.06.1975
    5,5
    05.07.1965
    4,7
    28.08.1986
    2,5
    24.09.1973
    −3,1
    30.10.1997
    −7
    30.11.1977
    −9,9
    29.12.1996
    −14,6
    1987
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    17,3
    01.01.22
    22,7
    27.02.19
    23,6
    31.03.21
    28,3
    30.04.05
    31,1
    26.05.17
    37,2
    27.06.19
    41,3
    18.07.22
    38,9
    07.08.20
    34,3
    14.09.20
    29,7
    02.10.11
    21,7
    01.11.15
    18,2
    07.12.00
    41,3
    2022
    Précipitations (mm) 84,6 62,8 59,3 58,7 65,1 41,7 52,5 41,4 63 83,8 81 83,6 777,5
    Source : « Fiche 49099003 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Cholet est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [27] - [28] - [29]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Cholet, une unitĂ© urbaine monocommunale[30] de 54 357 habitants en 2020, constituant une ville isolĂ©e[31] - [32].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cholet, dont elle est la commune-centre[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[33] - [34].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (67,5 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (75,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (30,6 %), prairies (19,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (17,1 %), zones urbanisĂ©es (16,1 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (11,3 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (2,3 %), forĂȘts (2 %), eaux continentales[Note 7] (0,8 %), mines, dĂ©charges et chantiers (0,1 %)[35].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[36].

    Logement

    En 2009, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 26 169 logements, alors qu'il Ă©tait de 24 130 logements en 1999[I 1].

    Parmi ces logements, 93,5 % étaient des résidences principales, 0,8 % des résidences secondaires et 5,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 59,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 39,6 % des appartements[I 2].

    La proportion des rĂ©sidences principales, propriĂ©tĂ©s de leurs occupants Ă©tait de 58,0 %, en lĂ©gĂšre hausse par rapport Ă  1999 (56,1 %). La part de logements HLM louĂ©s vides (logements sociaux) Ă©tait toujours infĂ©rieure au seuil lĂ©gal de 20 % et mĂȘme en baisse : 18,8 % contre 19,6 % en 1999[I 3].

    En 2009, moins de la moitié (47 %) des ménages ont emménagé dans leur résidence principale il y a dix ans ou plus[I 4].

    Sur le total des 24 446 rĂ©sidences principales, 9 240 (37,8 %) possĂšdent plus de cinq piĂšces et 1 286 (5,3 %) ne possĂšdent qu'une piĂšce unique. Le nombre moyen des piĂšces se situe Ă  4,1 en 2009 (4,8 pour les maisons, 3 pour les appartements)[I 5].

    La trÚs grande majorité des résidences (97,9 %) possÚdent une salle de bain disposant d'une baignoire ou d'une douche. Pour le chauffage, la plupart des résidences (59,6 %) possÚdent un chauffage central individuel, 17,1 % possÚdent un chauffage individuel tout électrique et 20,7 % un chauffage central collectif. Enfin 65,6 % des résidences possÚdent au moins un emplacement de stationnement[I 6].

    Projets d'aménagement

    La ville prĂ©voit plusieurs projets d'amĂ©nagements urbains dans une optique de renouvellement et de dĂ©veloppement urbain des zones d'habitat et des zones d'activitĂ©s. Les projets majeurs sont le Val de Moine, le Cormier et le CƓur de ville.

    Val de Moine

    Situé au sud-est de la ville entre le quartier des GuignardiÚres et l'autoroute A87, le val de Moine s'inscrit dans un paysage de bocage. Le développement de ce secteur s'intÚgre dans une approche durable et répond et des objectifs de mixité fonctionnelle (habitat, activités, commerces, services, équipements collectifs...) et sociale (diversité des typologies bùties : collectif, maison de ville, lots libres, logement social...). Ce quartier vise à répondre à une demande de logement qui s'exprime au sein de la commune. Le développement de ce quartier s'inscrit dans une approche environnementale et raisonnée de l'urbanisme prévoyant une mise en valeur des caractéristiques paysagÚres du site, une gestion de l'eau, de l'énergie et des déchets[37].

    Au terme de son urbanisation le quartier devrait accueillir 1 700 logements (dont 22 % de logements sociaux[38]) soit entre 3 400 et 4 500 habitants avec une densitĂ© de l'ordre de 20 Ă  25 logements par hectare. Ce qui en fait le principal secteur d'accueil de la population[37].

    Le quartier est équipé ou sera équipé[38] :

    • d'une crĂšche ;
    • d'une Ă©cole ;
    • d'un Ă©tablissement d'hĂ©bergement pour personnes ĂągĂ©es dĂ©pendantes ;
    • d'Ă©quipements de loisirs (Aires de jeux, jardins familiaux, aires de sport, espace pĂ©dagogique) ;
    • de services et commerces.

    Des aménagements dans le quartier du Carteron notamment autour du boulevard Pierre Lecoq sont prévus permettant la liaison avec le quartier du Val de Moine et le quartier de la BaumiÚre et ses équipements, dont l'école de la BruyÚre. Cet aménagement prévoit la construction d'équipements à vocation tertiaires[39].

    Le Cormier

    En 2020, la zone d’activitĂ© du Cormier est en cours d’amĂ©nagement de sa cinquiĂšme phase d’extension. Le fort accroissement de la demande industrielle mĂšne la zone d’activitĂ© du Cormier dans un accroissement constant. L’extension du Cormier 5 s’implante au sud-ouest du quartier le long de la dĂ©partementale D160.

    Les amĂ©nagements du quartier prĂ©voient la constitution d’un vaste corridor vert central autour des ruisseaux des Natteries et du Cormier qui traversent la zone ainsi que la conservation des haies existantes dans un objectif de prĂ©servation des milieux humides naturels de qualitĂ©. Le projet implique une maĂźtrise de la qualitĂ© urbaine, paysagĂšre et architecturale le long des espaces publics et notamment en façade de la RD 160[40]. Le Cormier 5 s'Ă©tend sur 69 hectares et les nouveaux lots constructibles varient de 5 000 m2 Ă  7 hectares[41].

    CƓur de ville

    Le projet « CƓur de Ville » engagĂ© depuis 2018 consiste Ă  la rĂ©alisation de projets d’amĂ©nagement permettant de renforcer l’attractivitĂ© et le dynamisme du centre-ville. Ce plan d’amĂ©nagement s’inscrit dans le programme national “Action CƓur de Ville” menĂ© dans 222 villes de France et prĂ©voyant une aide financiĂšre pour la redynamisation des centres-villes. Le projet est en partenariat avec l'État, la Caisse des dĂ©pĂŽts et consignations, Action Logement, l'Agence nationale de l'habitat, le DĂ©partement de Maine-et-Loire et la RĂ©gion des Pays de la Loire[42].

    Parmi les aménagements prévus, le déménagement de la ludothÚque et le nouvel aménagement de la place Travot sont déjà en place depuis mai 2019[43]. Les projets en cours sont[44] :

    • la rĂ©habilitation de l'ancienne clinique Saint-Luc (situĂ©e rue SalbĂ©rie) en pĂŽle mĂ©dical ;
    • un projet d’amĂ©nagements mixtes sur l'Îlot de la Boule d'Or situĂ©e entre le parvis Jean-Paul II et la rue de la Sardinerie, face Ă  l'Ă©glise Notre-Dame. La ville prĂ©voit un programme d’habitat Ă  destination des familles, avec une proposition de grands logements et de services ou activitĂ©s en rez-de-chaussĂ©e[45] ;
    • le dĂ©mĂ©nagement de l’office du tourisme sur le site de l’ancien cinĂ©ma Le Rex, Ă  l'angle des rues Travot et des Vieux-Greniers.

    En complĂ©ment de ces projets viennent s'insĂ©rer des projets de voiries, d’assainissements et de sĂ©curitĂ©[46].

    Le quartier de la gare

    Le quartier de la gare situĂ© dans l'environnement immĂ©diat des gares ferroviaire et routiĂšre, entre le pĂ©riphĂ©rique au nord, l'avenue Leclerc Ă  l'est, le boulevard de Strasbourg au sud est destinĂ© Ă  recevoir un important projet d’amĂ©nagement et de revalorisation dans les prochaines annĂ©es.

    La ville souhaite optimiser l'accueil de population par la mise en Ɠuvre d'une politique de densification de l'habitat. En complĂ©ment de cela, la ville prĂ©voit le dĂ©veloppement de l'activitĂ© commerciale et des services de proximitĂ©. Le plan de restructuration du quartier prĂ©voit notamment un traitement important des abords de la gare et des voies ferrĂ© par l’intĂ©gration d’espaces verts et un souhait de liaison simplifiĂ©e du quartier avec le centre-ville proche[47]. L’amĂ©nagement de ce quartier se traduit notamment par une maĂźtrise de l’intĂ©gration urbaine, l’objectif Ă©tant[47] :

    • de crĂ©er un lien physique et visuel Ă©troit entre le quartier Gare et le centre-ville ;
    • de confĂ©rer une identitĂ© forte au quartier ;
    • d’inscrire les opĂ©rations dans une approche environnementale de l'urbanisme en intĂ©grant une rĂ©flexion sur la gestion de l'eau, des dĂ©chets, des espaces verts, mais Ă©galement en matiĂšre de dĂ©placement et d'Ă©nergie ;
    • de veiller Ă  la qualitĂ© de traitement de l'espace public et la diversitĂ© des typologies bĂąties dans le respect de l'environnement existant et rĂ©pondant aux attentes de la population ;
    • d’assurer une rĂ©partition Ă©quilibrĂ©e des logements sociaux sur l'ensemble du secteur ;
    • de crĂ©er des zones de transitions entre les espaces destinĂ©s Ă  l’habitat et ceux destinĂ©s Ă  l’activitĂ© Ă©conomique (espaces verts, zone mixte privilĂ©giant les activitĂ©s tertiaires et non nuisantes, zones d'Ă©quipements , etc.).

    Ce projet d’amĂ©nagement s’intĂšgre dans une dĂ©marche environnementale avec comme objectifs de[47] :

    • favoriser les modes de dĂ©placements doux, organiser des espaces de stationnement dĂ©diĂ©s pour libĂ©rer les cƓurs d’ülots et rĂ©pondre aux besoins gĂ©nĂ©rĂ©s par la prĂ©sence de la gare SNCF ;
    • intĂ©grer des espaces privĂ©s de stationnement des vĂ©los, assurer un confort de vie en limitant les nuisances gĂ©nĂ©rĂ©es par la proximitĂ© avec la gare ;
    • apporter des solutions alternatives de gestion de l'eau (fossĂ©s, noues, rĂ©tention Ă  la parcelle) ;
    • assurer la permĂ©abilitĂ© des sols (parkings enherbĂ©s, toitures vĂ©gĂ©talisĂ©es, sols poreux , etc.) ;
    • crĂ©er un espace vert de proximitĂ© pour assurer l'animation de l'Ăźlot ;
    • encourager l’usage de clĂŽtures vĂ©gĂ©tales ;
    • proposer une gestion des dĂ©chets centralisĂ©es par Ăźlot ;
    • optimiser l'orientation de la parcelle et de la construction afin de favoriser les apports solaires passifs ;
    • privilĂ©gier la mitoyennetĂ© des bĂątiments pour limiter les dĂ©perditions thermiques.

    Le Puy-Saint-Bonnet

    La commune annexe au sud de la ville prévoit la construction de plusieurs quartiers résidentiels dans prolongement du tissu urbain dont la construction de 75 logements, dont 8 logements sociaux, sur 4,8 hectares à l'est de la commune. Le projet est mené en collaboration avec "SÚvre Loire Habitat", chargé de mener les études, d'aménager, viabiliser et commercialiser les lots[48].

    Parc des expositions de la Meilleraie

    La rĂ©habilitation du parc d’exposition de la Meilleraie comprend deux espaces distincts : « L’espace rouge » accueillant la salle de basket et « L'espace blanc » accueillant un hall polyvalent pouvant accueillir des concerts, spectacles, sĂ©minaires, salons, dĂźners de gala, etc.[49]

    Ce nouvel amĂ©nagement prĂ©voit un traitement esthĂ©tique et phonique des façades, le changement des couvertures pour assurer une meilleure isolation, un traitement acoustique des halles d’exposition, le remplacement des systĂšmes de chauffage, d’éclairage et de sonorisation[49].

    Le projet prĂ©voit d’ajouter deux terrains d’entrainement de basket et un espace VIP (espace jaune), la construction d'un nouveau hall polyvalent d'environ 2 500 m2 (espace blanc), la crĂ©ation de parvis, de zones de stationnement et la crĂ©ation d'une passerelle au-dessus de la Moine, destinĂ©e aux piĂ©tons et vĂ©los pour relier le centre-ville[49].

    Le dĂ©but du chantier est prĂ©vu au printemps 2023 et devrait se terminer en . Ainsi la surface passera de 3 900 m2 Ă  5 500 m2[49].

    Salle des fĂȘtes

    La nouvelle salle des fĂȘtes s’implante Ă  cĂŽtĂ© de l’ancienne et vient en bordure du parc de Moine permettant ainsi de libĂ©rer l'esplanade de la Grange. Le projet prĂ©voit la transformation des abords et des aires de stationnement. Le programme intĂšgre un important volet environnemental[50].

    Le nouveau bĂątiment disposera d’un espace de 2 473 m2, soit prĂšs de 1 000 m2 de plus que la salle actuelle. Elle sera Ă©quipĂ©e de[50] :

    • une salle principale pouvant accueillir 1 000 personnes Ă  table et comprenant une scĂšne. Cette salle aura aussi la possibilitĂ© de se compartimenter pour l’organisation d’évĂ©nements plus restreints. La salle disposera d’une vision panoramique sur le parc de Moine par une baie vitrĂ©e XXL donnant accĂšs Ă  une grande terrasse de 400 m2 ;
    • un foyer indĂ©pendant pouvant accueillir 150 personnes ;
    • des locaux techniques et administratifs.

    Le dĂ©but des travaux est prĂ©vus pour dĂ©but 2022 et devrait se terminer avant l’étĂ© 2023[50].

    Centre administratif intercommunal

    Ce projet s’intĂšgre dans la restructuration du complexe immobilier Mail II. L’objectif est de rassembler l'ensemble des services administratifs de la collectivitĂ© sur un mĂȘme secteur, par la crĂ©ation du Centre administratif intercommunal. Le programme prĂ©voit d’importants travaux de rĂ©novations sur les façades (pour amĂ©liorer les performances Ă©nergĂ©tiques et leur aspect), sur les amĂ©nagements intĂ©rieurs afin de simplifier les circulations et gagner en luminositĂ©. Le projet vise Ă  faciliter l’accĂšs aux services publics et s’inscrit dans une continuitĂ© d’amĂ©nagement avec la salle des fĂȘtes, les halles, la place du 8-Mai et le CƓur de ville[51].

    Place du 8-Mai

    La place du 8-Mai dispose d’une importante surface libre depuis la construction des nouvelles halles et la dĂ©construction des anciennes. Les futurs amĂ©nagements de la place visent Ă  valoriser le lieu destinĂ© Ă  l’accueil de diverses manifestations dont le marchĂ© de façon rĂ©guliĂšre. Le projet prĂ©voit notamment le dĂ©placement du pĂŽle d’échange Choletbus actuellement face Ă  l'hĂŽtel de ville et d’agglomĂ©ration sur le secteur de la place du 8-Mai ainsi que le rĂ©amĂ©nagement des voiries environnantes dans l’objectif de fluidifier le trafic et d’assurer la praticitĂ© et la sĂ©curitĂ© des usagers piĂ©tons, vĂ©los, voitures, bus[52].

    Transports routiers et autoroutiers

    Cholet est située au carrefour d'une autoroute et d'une voie rapide :

    Cholet dispose d'une rocade urbaine longue de 14 km et est reliĂ©e, par le rĂ©seau AlĂ©op (anciennement Anjoubus), Ă  Saumur (ligne no 6), Ă  Angers (ligne no 7) et Ă  Ancenis/Saint-Florent-le-Vieil (lignes no 8 et 8 b).

    Transports ferroviaires

    La gare de Cholet constitue le terminus des lignes TER Nantes - Cholet (via Clisson) et Angers - Cholet (via La PossonniĂšre). Cholet est Ă©galement desservie par des cars TER Pays de la Loire, circulant entre Nantes et Cholet ou jusqu'Ă  Poitiers.

    Transports aériens

    Cholet possÚde un aérodrome situé à km au nord du centre-ville.

    Transports urbains et péri-urbains

    En 2016 le réseau Choletbus permet, avec ses onze lignes urbaines et sept lignes péri-urbaines, une desserte de l'ensemble des communes de l'agglomération du Choletais.

    Toponymie

    L'Ă©tymologie du toponyme Cholet est discutĂ©e (grammatici certant). Au XIe siĂšcle, on trouve le nom de Cholet sous diffĂ©rentes formes latines[53], soit du type Cauletum, soit Calletum castrum. À partir de lĂ , deux Ă©tymologies sont proposĂ©es sans qu'il paraisse possible de trancher[53] :

    1. une traditionnelle, dérivant ce nom de caulis (chou) ; le nom commun cholet existe dans la région pour désigner une plantation de choux (on retrouve cette étymologie dans plusieurs noms de communes françaises : CauliÚres (Somme), Caullery (Nord), etc. ;
    2. une autre se rĂ©fĂšre prĂ©cisĂ©ment Ă  la forme Calletum castrum (ou calletum) qui vient du gaulois latinisĂ© calla (rocher) — dĂ©rivĂ© d'une racine prĂ©celtique *kal- que l'on retrouve dans le nom de Chalonnes — et Cholet signifie alors chĂąteau sur un socle rocheux.

    Une troisiĂšme proposition indique que Cholet vient du gaĂ©lique koilte, armoricain coelte, la forĂȘt. De coelte les Romains ont fait, en transposant le e final, Coletum (cartulaire de ChemillĂ© 1030-1080), puis Choletum (cartulaire de Saint-Serge 1052-1094 et cartulaire de ChemillĂ© 1082-1100) qui devient Choleth (1100-1120), Choleit (1125-1134) et enfin le Cholet d'aujourd'hui, que nous trouvons mĂȘme Ă©crit Ă  la façon moderne dans le cartulaire de ChemillĂ© aux deux annĂ©es 1052 et 1082[O 1].

    Histoire

    La Préhistoire et l'Antiquité

    De nombreuses découvertes permettent de prouver l'existence d'une présence préhistorique sur le territoire de la commune. Y ont été retrouvés, notamment, plusieurs polissoirs et trente-trois haches de pierre polie. De l'époque néolithique, il ne reste plus que trois menhirs à Cholet : un situé au lieu-dit la Garde, un second (la Pierre Plate) au lieu-dit la PochetiÚre et un troisiÚme (le Grand menhir de la Garde) déplacé au jardin du Mail à Cholet en 1885[B 1]. Quatre autres menhirs au lieu-dit Gué-au-Boin et un cinquiÚme à La Bréchoire ont été détruits ou sont disparus[O 2].

    Des Ă©poques celtique et gallo-romaine, il ne reste que peu de vestiges :

    • une nĂ©cropole, allant du nĂ©olithique Ă  l'antiquitĂ©, mise au jour dans le quartier Montruonde et regroupant des tombes Ă  inhumations et Ă  incinĂ©rations ;
    • une voie romaine reliant Poitiers Ă  Nantes par Segora, traversant le territoire, prĂšs de la gare ferroviaire[O 2] ;
    • les fouilles archĂ©ologiques ont mis au jour un habitat fortifiĂ© gaulois, au lieu-dit des Natteries. L'ensemble quadrangulaire datĂ© de La TĂšne couvre environ 128 m2. Les poteaux les plus importants mesurent entre 60 et 70 cm de diamĂštre[54].

    Le Moyen Âge

    Foulque Nerra, comte d'Anjou, réussit à mettre la main sur l'ensemble du territoire des Mauges, au début du XIe siÚcle. Une place forte y est construite et confiée à un fidÚle du comte d'Anjou : selon Célestin Port[55], la famille dite désormais de Cholet n'exerce pas encore la seigneurie mais possÚde la chùtellenie. En 1075, c'est Hamelin de Cholet qui détient la place, suivi de son fils Jean. Vers 1092, elle appartient à Rainauld, puis à son fils Mathieu. On trouve le fils de Mathieu, André, vers 1150, puis Raoul de Cholet, vers 1169[O 2] ; des parents des chùtelains sont également cités : Normand et Guillaume de Cholet, Hameline religieuse au Ronceray et Milecende de Cholet prieure de Seiches-sur-le-Loir.

    La famille de Cholet s'Ă©teint au dĂ©but du XIIIe siĂšcle en se fondant dans celle de La PossonniĂšre : en effet Guillaume de Cholet marie sa fille au seigneur de La PossonniĂšre, dont la famille rĂšgne tout le long du siĂšcle sur Cholet. Le chĂąteau est reconstruit. Mais au dĂ©but du XIVe siĂšcle, le fief est rĂ©cupĂ©rĂ© par le suzerain, le seigneur de ChemillĂ©. Par le mariage de Thomasse de ChemillĂ© — probablement une ChemillĂ©-Thouars, peut-ĂȘtre une sƓur ou du moins une proche parente de Thomas de ChemillĂ© qui fut le pĂšre de Jeanne (dame de ChemillĂ© et de Mortagne) et par elle le beau-pĂšre de BarthĂ©lemy (Jean) de La Haye-Passavant — avec Philippe de Montalais, sire de Chambellay, Cholet passe en 1340 dans la famille de Montalais puis, par le mariage de leur petite-fille Marie de Montalais (fille de Robin, sƓur d'Ambroise, tante d'Hugues et grand-tante de Mathurin de Montalais) avec Briant V de Montjean (mort vers 1400), dans la famille de Montjean[O 2] - [56].

    En 1343, le sel devient un monopole d'État, par une ordonnance du roi Philippe VI de Valois, qui institue la gabelle, la taxe sur le sel. L'Anjou fait partie des pays de grande gabelle et comprend seize tribunaux spĂ©ciaux ou greniers Ă  sel dont celui de Cholet.

    Jean II de Montjean (mort vers le milieu du XVe siÚcle, fils de Jean Ier et petit-fils de Briant V de Montjean et Marie de Montalais) décide d'aliéner les terres de Cholet à Jean d'Orléans (le grand-pÚre paternel de François Ier), qui les revend en 1463 à Antoinette de Maignelais (née vers 1434), liée à Charles VII puis maßtresse de François II, duc de Bretagne[O 2]. Elle meurt vers 1474/1475 ; elle est inhumée dans la chapelle des Cordeliers de Cholet. Son fils Artus de Villequier hérite mais doit vendre à Tanneguy du Chastel et à sa fille Jeanne du Chastel[57].

    Les Temps modernes

    Jeanne du Chastel, dame de Combourg par sa mÚre Jeanne Raguenel, étant mariée avec Louis de Montjean (fils aßné de Jean II et mort avant 1508), Cholet revient donc aux Montjean. Leur fils le maréchal René de Montjean épouse sans postérité Philippes de Montespedon (prénom alors épicÚne) ; veuve en 1539, elle se remarie en 1544 à Charles de La Roche-sur-Yon et lui laisse Cholet ; Philippes de Montespedon était de son propre chef dame de Beaupréau et de Chemillé.

    L'hĂ©ritier de Philippes de Montespedon, Guy III de ScĂ©peaux, vend la terre de Cholet dĂšs 1578 Ă  AndrĂ© de Beauvau-PimpĂ©an, fils de RenĂ©, fils de Louis, fils d'Antoine, fils lui-mĂȘme de Bertrand de Beauvau. AndrĂ© meurt tragiquement, exĂ©cutĂ© en 1579[Note 8]. AndrĂ© a Ă©tĂ© le mari de Philippa/Philippe de Naillac morte en 1603, fille de RenĂ© de Naillac, 1er Ă©cuyer de Charles IX. Veuve, elle se remarie en 1581 avec Claude III Barjot de Moussy[58]. LĂ©onor Ier Barjot (il serait mort aprĂšs 1643) — devenu prĂȘtre oratorien), fils de Claude III Barjot et de sa 1re femme, Anne d'Availloles/d'Avayolles — Ă©pouse en 1588 RenĂ©e-Gabrielle de Beauvau-PimpĂ©an, fille d'AndrĂ© et Philippe de Naillac et sƓur de Jean-Baptiste de Beauvau-PimpĂ©an, beau-frĂšre de Richelieu, d'oĂč la succession de Cholet Ă  leurs fils :

    René Ier Barjot de Moussy (fils de Léonor II et Léonore Voyer, mort en 1677), se marie en 1654 avec Charlotte de Maillé-Karman et ont un fils, René II Barjot de Moussy (1658-1729). La terre de Cholet devient baronnie avant 1618 et ensuite marquisat.

    Avant 1671, le marquisat de Cholet passe aux de Broon, cĂ©dĂ© par RenĂ© Ier Ă  une famille qui serait de sa parentĂ© car Jacques de Broon de Fourneaux, mort en 1622, aurait Ă©pousĂ© LĂ©onore/Philippe Barjot de Moussy (1589-1656) qui pourrait ĂȘtre une fille de LĂ©onor Ier et RenĂ©e-Gabrielle de Beauvau, donc une sƓur de Claude-Philippe et LĂ©onor II et une tante de RenĂ© Ier. Leur fils RenĂ©-François de Broon nĂ© en 1618 [Note 9], mort en 1701 sans postĂ©ritĂ©, rebĂątit le chĂąteau ; il acquiert aussi le comtĂ© de ChemillĂ© vers 1680 ; les armes des Broon[59] ont donnĂ© le blason de Cholet.

    Les de Broon de Fourneaux vendent le marquisat de Cholet et le comtĂ© de ChemillĂ© en 1702 Ă  François-Édouard Colbert (1674-1706)[60], fils d'Édouard-François Colbert et pĂšre de Louis-RenĂ©-Édouard Colbert (1699-1750) ; ce dernier est le pĂšre de François-Édouard-Henri-RenĂ© (1727-1748) et l'oncle d'Édouard-Victurnien-Charles-RenĂ© (1754-1839) et d'Édouard-Charles-Victurnien Colbert. Le , les crĂ©anciers des Colbert de MaulĂ©vrier obtiennent l'adjudication de Cholet et ChemillĂ©, pour 482 000 livres environ, au profit du marquis Louis Le Peultre de Marigny, qui cĂšde en 1763 au comte Gabriel François de RougĂ©, bienfaiteur de Cholet. Gabriel-François de RougĂ© est suivi de sa veuve Marie-Anne-Christine-JosĂ©phine de CroĂż d'HavrĂ© (1737-1788) et du frĂšre de celle-ci, le duc d'HavrĂ© Joseph-Anne-Auguste-Maximilien de CroĂż (1744-1839), dernier comte de ChemillĂ© et marquis de Cholet.

    Plusieurs seigneurs marquent ainsi l'histoire de la ville Ă  l'Ă©poque moderne : RenĂ© Barjot marquis de Cholet (1605-1665), RenĂ©-François de Broon (1668-1701), Louis-RenĂ©-Édouard Colbert de MaulĂ©vrier et Gabriel-François de RougĂ© (dit le marquis de Cholet) de 1763 Ă  1786, en l'honneur duquel on crĂ©e la place RougĂ© dans le centre de la ville.

    En 1858, on relĂšve seulement 126 plaques de rue Ă  Cholet. Selon une observation de Pierre Boureau, c'est en 1871 que le conseil municipal (maire : Zacharie Loiseau), dĂ©cide la numĂ©rotation des maisons. On relĂšve Ă  l'Ă©poque 1 500 maisons Ă  Cholet[PB 2]. C'est ensuite sous le court mandat de LĂ©on Pissot que sont gĂ©nĂ©ralisĂ© les plaques des rues et celles des numĂ©ros des maisons.

    L'industrie textile est à l'origine du développement de la cité, sous l'Ancien Régime. Dans la premiÚre ville industrielle du département, un siÚcle plus tard, aucune rue n'est encore venue honorer quelque figure ouvriÚre du tissage. Comme le relÚve Jean-Joseph Chevalier : « le monde du travail reste le trou noir de la mémoire choletaise »[JJC 1]. Se trouve-t-il rendu invisible par le tropisme de la tradition vendéenne ?

    La RĂ©volution et l'Empire

    Cholet subit de terribles destructions, Ă  l'Ă©poque des guerres de VendĂ©e, en particulier lors de la bataille de Cholet, le . La ville est dĂ©truite de 60 Ă  70 %[61] et a perdu 5 000 habitants, tuĂ©s ou disparus, sur une population de 8 400 Ă  8 500 avant le conflit[62]. En bordure de la voie inter-quartiers, prĂšs de l'aĂ©rodrome, un nouveau monument commĂ©more cet Ă©vĂ©nement en 1993 parmi six autres croix Ă©rigĂ©es antĂ©rieurement pour le jubilĂ© de 1850[63] - [64], dont quatre toujours prĂ©sentes sur la voie publique[65].

    Le mouchoir de Cholet

    Mouchoir rouge de Cholet.

    Une des spĂ©cialitĂ©s textiles de Cholet est son cĂ©lĂšbre mouchoir rouge qui lui vaut son appellation de Capitale du mouchoir[66] et dont ThĂ©odore Botrel s'est inspirĂ© pour composer une chanson intitulĂ©e Le mouchoir rouge de Cholet. L'histoire de ce mouchoir remonte aux guerres de VendĂ©e : en effet, le , la grande bataille de Cholet oppose, d'un cĂŽtĂ©, les VendĂ©ens, avec d'ElbĂ©e, Bonchamps, la Rochejaquelein, Stofflet, de l'autre Beaupuy, Travot, Marceau, KlĂ©ber et les Mayençais. Henri de la Rochejaquelein porte Ă  son chapeau, sur sa poitrine et Ă  son cĂŽtĂ©, trois mouchoirs blancs[Note 10] de Cholet, afin de mieux se faire reconnaĂźtre de ses hommes, mouchoirs qui le dĂ©signent tout aussi sĂ»rement aux balles rĂ©publicaines. Ayant utilisĂ© un de ces mouchoirs blancs pour panser une blessure, celui-ci devient rouge de son sang. C'est cet acte de bravoure que ThĂ©odore Botrel a voulu immortaliser[AD 1] en l'attribuant, sans doute pour la rime, au gĂ©nĂ©ral vendĂ©en Charette[67]. Un cĂ©notaphe est Ă©rigĂ©, au lieu-dit la Haie de Bureau, entre Cholet et NuaillĂ©, Ă  l'endroit oĂč Henri de la Rochejaquelein est blessĂ© mortellement le . Depuis, le mouchoir traditionnel de Cholet crĂ©Ă© par un industriel local, LĂ©on Maret[JJC 2], est rouge avec des bandes blanches. Il est l'ambassadeur de Cholet, tant intra-muros[Note 11] qu'Ă  l'extĂ©rieur de la ville, portĂ© en dĂ©placement par les membres de la Jeune-France[JJC 3].

    L'Ă©poque contemporaine

    Les filatures, les tissages et les blanchisseries marquent le paysage de la ville, au XIXe siÚcle[68]. Quelques grandes familles de marchands-fabricants font travailler des milliers de tisserands des alentours, dans leurs caves (voir l'habitat caractéristique des « maisons de tisserands »)[69].

    Centre-ville Cholet : jardin du mail et hĂŽtel de ville.

    DĂšs la fin du XIXe siĂšcle, la mĂ©canisation du tissage conduit le pays choletais Ă  une premiĂšre reconversion, dans le secteur de la chaussure, pour occuper ses tisserands chĂŽmeurs. L'industrie textile dĂ©clinant progressivement, depuis les annĂ©es 1950[Note 12], d'autres industries s'implantent — Michelin notamment — et une expansion urbaine transforme la sous-prĂ©fecture en une vĂ©ritable ville moyenne, centre commercial important — prĂ©sence par exemple d'un centre commercial en plein centre-ville, Les Arcades RougĂ©, ouvert en novembre 2009 et de magasins d'usine, sur le territoire de la commune voisine de La SĂ©guiniĂšre — aux industries diversifiĂ©es et siĂšge du deuxiĂšme bassin d'emploi de la rĂ©gion Pays de la Loire, aprĂšs l'agglomĂ©ration Nantes-Saint-Nazaire. La ville souffre, nĂ©anmoins, d'un manque d'emplois tertiaires. Elle est Ă©galement dĂ©favorisĂ©e par un certain enclavement dans le passĂ© mais cet Ă©tat de fait diminue Ă  la suite de l'ouverture de l'autoroute A87, mise en service en 2002, vers Angers et, en 2003, vers La Roche-sur-Yon.

    Le , la commune voisine du Puy-Saint-Bonnet[70] situĂ©e prĂ©cĂ©demment dans le dĂ©partement des Deux-SĂšvres, fusionne avec Cholet. Les limites des dĂ©partements sont donc modifiĂ©es Ă  cette occasion. Le Puy-Saint-Bonnet conserve le statut de commune associĂ©e et compte 1 760 habitants en 1999.

    En , le maire, Gilles Bourdouleix, lance l'idée d'un rattachement de Cholet et de son agglomération au département de la Vendée, à la suite de sa brouille avec le Conseil général de Maine-et-Loire ; sa proposition d'un référendum fait toutefois long feu. Il relance sa proposition en 2011, durant la campagne des élections sénatoriales, précisant que son projet de 2006 était « une blague »[71].

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Le , le Conseil d’État a annulĂ© les opĂ©rations Ă©lectorales des et et prononcĂ© l’inĂ©ligibilitĂ© d’Anne Hardy, cheffe de file de l'opposition, pour une durĂ©e d'un an. Un nouveau scrutin devra se tenir dans les trois mois, Ă  partir de la dĂ©cision du Conseil d'État. En attendant, la ville est dirigĂ©e par une dĂ©lĂ©gation spĂ©ciale, nommĂ©e par le prĂ©fet et composĂ©e de six personnes, pour remplir les fonctions du conseil municipal[72]. De nouvelles Ă©lections sont prĂ©vues les 19 et [73]. La liste conduite par Gilles Bourdouleix ayant obtenu la majoritĂ© absolue le avec 56,8 % des voix, celui-ci est rĂ©Ă©lu maire lors du conseil municipal du [74].

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement Ă©tant compris entre 50 000 et 59 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 45[75].

    Liste des maires

    Vue de la ville.
    Aménagement du centre ville, vue de nuit.

    Intercommunalité et découpage électoral

    Cholet fait partie de l'agglomération du Choletais.

    À partir des Ă©lections de mars 2015, Cholet est le chef-lieu de deux cantons[76] :

    Cholet fait partie de la cinquiĂšme circonscription de Maine-et-Loire.

    Accessibilité pour les personnes en situation de handicap

    DÚs 2003, bien avant la loi du 11 février 2005, la Ville de Cholet amorce une politique volontariste en matiÚre d'accessibilité avec la mise en place d'un groupe de travail pour la promotion de la personne handicapée (GTPPH)[77]. Plusieurs actions concrétisent le travail de ce groupe :

    • l'accessibilitĂ© des bus et arrĂȘts[OF 1] ;
    • l'Ă©dition d'un Guide d'accueil des personnes en situation de handicap[78] - [77] ;
    • l'organisation d'un forum vacances et loisirs adaptĂ©s tous les deux ans[79] ;
    • la ville dispose d'un centre commercial « L'Autre Faubourg », Ă©quipĂ© pour l'accessibilitĂ© des personnes handicapĂ©es[80], ainsi que de feux de signalisation et bus dotĂ©s d'un dispositif sonore permettant aux personnes non voyantes de se dĂ©placer ;
    • la ville de Cholet est laurĂ©ate du prix Coup de CƓur des collectivitĂ©s accessibles dĂ©cernĂ© en 2010 par Le Courrier des maires et la gazette SantĂ© Sociale[81] ;
    • jusqu'en 2015[82], l'institut municipal des langues propose un enseignement de la langue des signes[83] ;
    • plusieurs sites sont labellisĂ©s « Tourisme et Handicap »[84] ;
    • le Point info famille propose un relais d'accueil local de la Maison dĂ©partementale des personnes handicapĂ©es depuis le [85] ;
    • la mise en place d'un label handi-bienveillant Ă  destination des commerçants[86].

    Jumelages et liens de coopérations

    Au , Cholet n'est jumelĂ©e avec aucune commune, au sens des contrats de jumelages, mais dans ce mĂȘme cadre de la coopĂ©ration dĂ©centralisĂ©e, la commune a signĂ© plusieurs contrats de coopĂ©ration[87] :

    • en 1985, des Ă©changes culturels et scolaires avec Oldenbourg en Allemagne ;
    • en 1996, des Ă©changes culturels et scolaires avec DĂ©nia en Espagne ;
    • en 1999, des Ă©changes scolaires avec Solihull au Royaume-Uni ;
    • en 2010, un programme dĂ©veloppement local (2010-2012) avec BoussĂ© au Burkina-Faso ;
    • en 2010, une promotion (2010-2015) de l'offre culturelle et touristique du village d'Araya au Liban ;
    • en 2013, un appui institutionnel et une aide Ă  la gestion des services publics locaux avec DorohoĂŻ en Roumanie.

    Population et société

    DĂ©mographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Choletais[88].

    Voir aussi l'aire urbaine de Cholet et son unité urbaine.

    Évolution dĂ©mographique

    Une importante baisse de population est Ă  noter, entre 1793 et 1800, comme dans beaucoup de communes de la VendĂ©e militaire. Au 1er janvier 2012, la ville compte 56 115 habitants, dont 2 095 demeurant sur la commune associĂ©e du Puy-Saint-Bonnet[CM 1].


    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă  la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[89] - [Note 13].

    En 2020, la commune comptait 54 357 habitants[Note 14], en augmentation de 0,94 % par rapport Ă  2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Le maximum de la population est atteint en 1982 avec 55 524 habitants.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8 4444 7094 7464 8657 3458 8958 4138 41310 385
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    11 77512 73513 36013 55214 28815 91616 85516 89117 844
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    19 35220 42721 05819 54220 48221 71123 38526 08629 358
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    36 56541 76652 97655 52455 13254 20454 63254 42153 718
    2020 - - - - - - - -
    54 357--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[90] puis Insee Ă  partir de 2006[91].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  35,6 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 28,0 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 25,6 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 26 092 hommes pour 28 094 femmes, soit un taux de 51,85 % de femmes, lĂ©gĂšrement supĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,37 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[92]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,9
    90 ou +
    1,7
    8,0
    75-89 ans
    10,8
    16,1
    60-74 ans
    18,5
    19,4
    45-59 ans
    19,2
    18,2
    30-44 ans
    16,1
    18,7
    15-29 ans
    17,3
    18,8
    0-14 ans
    16,5
    Pyramide des ùges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[93]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2
    6,9
    75-89 ans
    9,5
    15,5
    60-74 ans
    16,3
    19,4
    45-59 ans
    18,8
    18,6
    30-44 ans
    17,7
    18,6
    15-29 ans
    17,5
    20,2
    0-14 ans
    18,2

    Enseignement

    L'enseignement Ă  Cholet couvre toute l'Ă©tendue de la formation — scolaire, professionnelle, sportive et artistique — depuis les sections des classes maternelles jusqu'aux Ă©tablissements d'Ă©tudes supĂ©rieures.

    Le systÚme d'enseignement français est fondé sur de grands principes, certains inspirés de la Révolution de 1789, de lois votées entre 1881 et 1889 et sous les IVe et Ve Républiques ainsi que de la Constitution du [94]. Les établissements d'enseignement de la ville de Cholet relÚvent de l'Académie de Nantes et se répartissent entre l'enseignement public et l'enseignement privé.

    Écoles maternelles

    La ville de Cholet administre seize écoles maternelles et quinze écoles élémentaires publiques. Elle dispose de huit écoles maternelles et huit écoles élémentaires privées[95].

    Liste des quinze Ă©coles maternelles publiques choletaises
    Nom de l'Ă©cole Adresse Zone desservie Nombre d'Ă©lĂšves RNE
    Anne Bronté[96] rue Charlemagne Calvaire-Jean Monnet-CholetiÚre 126 0492256L
    Buffon[97] 10 rue Lieutenant-colonel de Malleray Lorraine 89 0490119N
    Chambord[98] rue de Fontevrault TurbaudiĂšres-GirardiĂšre 95 0491885H
    Jules Verne[99] Avenue de Mocrat Pasteur-Bretagne 148[Note 15] 0491036K
    La Bourie-FresniĂšre[100] 3 rue Mourmelon Val de Moine 120 0491694A
    La BruyĂšre[101] 6 rue Jean de la BruyĂšre Val de Moine 134 0490775B
    La Chevallerie[102] Rue des templiers Le Puy-Saint-Bonnet 160[Note 15] 0491747H
    La Fontaine[103] 56 rue du ChĂȘne Lorraine 96 0490774A
    La GirardiĂšre[104] 63 rue de la GirardiĂšre TurbaudiĂšres-GirardiĂšres 110 0491627C
    Paradis[105] 43 rue du Paradis Centre-ville 59 0490116K
    Les RichardiĂšres[106] 8 rue Jean-Jacques Rousseau Calvaire-Jean Monnet-CholetiĂšre 101 0490988H
    Les TurbaudiĂšres[107] 3 rue des orfĂšvres Calvaire-Jean Monnet-CholetiĂšre 78 0491720D
    Saint-Exupéry[108] 26 rue Louis-Marie Grignion de Montfort Calvaire-Jean Monnet-CholetiÚre 95 0490117L
    Marie-Curie[109] 40 rue Marceau Centre-ville/Pasteur-Bretagne 200[Note 15] 0491847S
    MoliĂšre[110] 5 rue de Maupassant Tuilerie-Leclerc 106 0491957L
    Liste des huit écoles maternelles privées choletaises
    Nom de l'Ă©cole Adresse Zone desservie Nombre d'Ă©lĂšves RNE
    Jeanne d'Arc[111] 26 rue du Devau Centre-ville 265[Note 15] 0491093X
    Notre-Dame du ChĂȘne rond[112] 22 rue Nationale Le Puy St Bonnet Puy St Bonnet 91[Note 15] 0491702J
    Notre-Dame du Bretonnais[113] 2 rue Jean JaurĂšs Centre-ville 293[Note 15] 0491552W
    Sainte-Marie[114] 11 rue des Couteliers TurbaudiĂšres-GirardiĂšre 215[Note 15] 0491094Y
    Saint-Pierre Gelusseau[115] avenue du Lac Val de Moine 186[Note 15] 0491554Y
    Saint-Louis Le Breloquet[116] 2 bis rue du Breloquet Libération 208[Note 15] 0491558C
    Saint-Jean[117] 10 rue Marc Sangnier Centre-ville 342[Note 15] 0491556A
    Saint-Joseph[118] 45 rue Darmaillacq Centre-ville 127[Note 15] 0491559D

    Écoles primaires

    Liste des quinze écoles élémentaires publiques choletaises
    Nom de l'Ă©cole Adresse Zone desservie Nombre d'Ă©lĂšves RNE
    Buffon[119] 14 avenue du Lieutenant Colonel de Malleray Lorraine 114 0490385C
    Chambord[120] Rue de Chambord TurbaudiĂšres-GirardiĂšre 139 0491886J
    Ch. et Emily Bronté[121] 1 rue Charlemagne Calvaire-Jean Monnet-CholetiÚre 140 0492257M
    Jules Verne[99] Avenue de Mocrat Pasteur-Bretagne 148[Note 16] 0491036K
    La Bourie-FresniĂšre[122] 5 rue de Mourmelon Val de Moine 146 0491694A
    La BruyĂšre[123] 4 rue Jean de la BruyĂšre Val de Moine 213 0491910K
    La Chevallerie[124] Rue des Templiers Puy St Bonnet 160 0491747H
    La GirardiĂšre[104] 63 rue de la GirardiĂšre TurbaudiĂšres-GirardiĂšre 110 0491627C
    Les RichardiĂšres[125] 6 rue Jean Jacques Rousseau Calvaire-Jean Monnet-CholetiĂšre 181 0490987G
    Les TurbaudiĂšres[126] 1 rue des OrfĂšvres TurbaudiĂšres-GirardiĂšre 82 0491719C
    Marie Curie[127] 40 rue Marceau Centre-ville/Pasteur-Bretagne 200 0491847S
    MoliĂšre[128] Rue LĂ©on Maret Tuilerie-Leclerc 170 0490780G
    Paradis[129] 43 rue du Paradis Centre-ville 141 0490383A
    Saint-Exupéry[130] 26 rue Grignion de Montfort Libération 179 0491848T
    Turpault[131] 8 rue Montalembert Lorraine 245 0490621J
    Liste des huit écoles élémentaires privées choletaises
    Nom de l'Ă©cole Adresse Zone desservie Nombre d'Ă©lĂšves RNE
    Jeanne d'Arc[111] 26 rue du Devau Centre-ville 265[Note 16] 0491093X
    Notre-Dame du ChĂȘne rond[112] 22 rue Nationale Le Puy St Bonnet Puy St Bonnet 91[Note 16] 0491702J
    Notre-Dame du Bretonnais[113] 2 rue Jean JaurĂšs Centre-ville 293[Note 16] 0491552W
    Sainte-Marie[114] 11 rue des Couteliers TurbaudiĂšres-GirardiĂšre 215[Note 16] 0491094Y
    Saint-Pierre Gelusseau[115] avenue du Lac Val de Moine 186[Note 16] 0491554Y
    Saint-Louis Le Breloquet[116] 2 bis rue du Breloquet Libération 208[Note 16] 0491558C
    Saint-Jean[117] 10 rue Marc Sangnier Centre-ville 342[Note 16] 0491556A
    Saint-Joseph[118] 45 rue Darmaillacq Centre-ville 127[Note 16] 0491559D

    CollĂšges

    Le département gÚre huit collÚges[132] : le collÚge public Georges Clemenceau, le collÚge public Colbert, le collÚge privé Jeanne d'Arc (établissement fondé en 1852[SH 1]), le collÚge public Joachim-du-Bellay, le collÚge privé Notre-Dame-du-Bretonnais, le collÚge public République, le collÚge privé Saint-Joseph (fondé en 1843[O 3]) et le collÚge public TrémoliÚres.

    Liste des cinq collÚges publics d'enseignement général à Cholet
    Nom du collÚge Adresse du collÚge Nombre de classes Nombre d'élÚves Taux de réussite au diplÎme national du brevet[133] RNE
    Colbert[134] 63 rue du Devau 14 362[135] 80.49 % 0491025Y
    Georges Clémenceau[136] 110 rue Porte Baron 21 436[137] 77.88 % 0490022H
    Joachim du Bellay[138] 3 Square de Liré 19 386[139] 73.20 % 0491675E
    RĂ©publique[140] 6 place de la RĂ©publique 21 475[141] 91.51 % 0491026Z
    TrémoliÚres[142] 18 rue de Chenonceaux 24 520[143] 84.75 % 0491859E
    Liste des trois collÚges privés d'enseignement général à Cholet
    Nom du collÚge Adresse du collÚge Nombre de classes Nombre d'élÚves Taux de réussite au diplÎme national du brevet[133] RNE
    Jeanne d'Arc[144] 19 rue de l’Étoile 20 522[145] 96.88 % 0490829K
    Notre-Dame du Bretonnais[146] 93 rue Maindron 27 635[147] 95.04 % 0490862W
    Saint-Joseph[148] 45 rue Darmaillacq 27 560[149] 92.50 % 0490860U

    Lycées

    La rĂ©gion gĂšre cinq lycĂ©es[150] : le lycĂ©e prolyvalent Jeanne Delanoue, le lycĂ©e polyvalent Europe-Robert Schuman ouvert en 1971, le lycĂ©e Sainte-Marie (institution fondĂ©e en 1901 par le chanoine Bossard), le lycĂ©e technologique et professionnel La Providence et le lycĂ©e polyvalent Fernand Renaudeau. Ce lycĂ©e est rĂ©parti sur deux site : Renaudeau construit en 1967, sur l'emplacement d'une ancienne tuilerie, en remplacement du centre d'apprentissage, rĂ©alisĂ© par Patrice Simon, architecte en chef des bĂątiments civils et palais nationaux. La façade est ornĂ©e en 1967 par Geoffroy Dauvergne, sur une longueur de plus de 32 mĂštres, de plusieurs panneaux de mosaĂŻques en matĂ©riaux divers, pierres de diffĂ©rentes couleurs, terre cuite et galets[151] et le lycĂ©e de la mode, rue du Carteron.

    Liste des lycées publics à Cholet
    Nom

    du

    lycée

    Adresse

    du

    lycée

    Nombre

    d'Ă©lĂšves

    Formations RNE


    Lycée polyvalent
    Fernand Renaudeau[152]

    11 rue de la Tuilerie 1 582[153]
    • BaccalaurĂ©at gĂ©nĂ©ral
    • BaccalaurĂ©at technologique: STD2A,STI2D, MELEC
    • Certificat d'aptitudes professionnelles : assistant technique en milieux familial et collectif, Ă©bĂ©niste, Ă©lectricien systĂšmes d’aĂ©ronefs,menuiserie mobilier et agencement, monteur en installations sanitaires
    • Brevet de technicien supĂ©rieur : mĂ©tiers de la mode, de la chaussure, de la maroquinerie et du vĂȘtement
    • DiplĂŽme National des mĂ©tiers de l'art et du design : mode, textile, matĂ©riaux, graphisme, design, vĂȘtement, accessoires
    0490054T
    Lycée polyvalent Europe Robert Schuman[154] 39 avenue de l'Europe 971[155]
    • BaccalaurĂ©at gĂ©nĂ©ral
    • BaccalaurĂ©at technologique : STMG
    • BaccalaurĂ©at professionnel : mĂ©tiers de l’accueil, mĂ©tiers du commerce et de la vente, organisation du transport de marchandises, assistance Ă  la gestion des organisations et de leurs activitĂ©s
    • Brevet de technicien supĂ©rieur : MCO, CG, CI, GTLA
    0490018D
    Liste des lycées privés à Cholet
    Nom du lycée Adresse du lycée Nombre d'élÚves Formations RNE
    Sainte-Marie - USUPEC[156] - [157] 43 rue Saint-Bonaventure 1150
    • BaccalaurĂ©at gĂ©nĂ©ral
    • BaccalaurĂ©at technologique: STMG
    • Brevet de technicien supĂ©rieur : CG, NDRC, SIO, communication, FED
    • Licence : ressources humaines et relations sociales, CCA; commerce et marketing, informatique gĂ©nĂ©rale (dĂ©veloppeur)
    • Master : marketing vente
    • Classe prĂ©paratoire aux concours paramĂ©dicaux ;
    • Classe prĂ©paratoire au concours d'entrĂ©e dans les Instituts de formation en soins infirmiers (IFSI) ;
    • Certificat professionnel de vendeur, conseiller en magasin.
    0492406Z
    Lycée polyvalent Jeanne Delanoue[158] - [159] 11 boulevard Jeanne d'Arc 660
    • 4Ăšme et 3Ăšme d’orientation professionnelle
    • BaccalaurĂ©at technologique : ST2S, STD2A, STHR
    • BaccalaurĂ©at professionnel : ASSP, commercialisation et services en restauration, cuisine, laboratoire contrĂŽle qualitĂ©, SAPAT, Ă©tude et rĂ©alisation d'agencement, mĂ©tiers de la mode et du vĂȘtement
    • Certificat d'aptitude professionnelle : cuisine, mĂ©tiers de la mode et vĂȘtement flou, accompagnant Ă©ducatif petite enfance, commercialisation et service en hĂŽtel-cafĂ©-restaurant
    • Brevet de technicien supĂ©rieur : mĂ©tiers des services Ă  l'environnement, SP3S, Ă©conomie sociale familiale, management en hĂŽtellerie et restauration
    • DiplĂŽme d’État d’aide-soignant
    0490904S
    Lycée technologique et professionnel la Providence[160] - [161] 33 avenue Gustave Ferrié 562
    • 3Ăšme prĂ©pa mĂ©tiers
    • BaccalaurĂ©at professionnel : assistance Ă  la gestion des organisations et de leurs activitĂ©s, mĂ©tiers du commerce et de la vente, optique et lunetterie
    • Brevet de technicien supĂ©rieur : MCO, CG, SAM, Gestion de la PME, tourisme, NDRC, OL
    0490886X

    Par ailleurs Cholet dispose du groupement d'établissements (GRETA) dont la mission est orientée vers les actions de formation continue pour adultes.

    Le centre de formation d'apprentis, Maison familiale rurale de la Bonnauderie[Note 17], prépare aux métiers de l'hÎtellerie, restauration, alimentation, cuisine. Le centre de formation d'apprentis Eurespace, forme dans quatre grands secteurs d'activités : services, industrie, bùtiment et énergies.

    Le CFA-CFP La Providence, assure la préparation aux métiers du tertiaire. La Maison familiale rurale de Cholet, (rue Doumer de 1989 à 2005)[162] prépare au BEPA du service aux personnes.

    L'école supérieure du choletais (ESUPEC) fait partie de l'institution Sainte-Marie depuis 2018[163].

    Enseignement supérieur

    Le domaine universitaire, construit à partir de 1989[L 1], regroupe : le lycée de la Mode[164], une antenne de l'université et de l'Institut universitaire de technologie d'Angers-Cholet (IUT), le Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), l'institut national des techniques économiques et comptables (INTEC), l'institut Colbert (industries de la mode, chaussures et chapeaux) et le kiosque d'accompagnement des parcours (bilan de compétences, validation des acquis).

    La ville dispose de l'institut rĂ©gional sport et santĂ© (IRSS) (formation aux mĂ©tiers du sport, santĂ©, paramĂ©dical et social), d'un institut de formation en soins infirmiers (IFSI), d'une Ă©cole de prothĂ©sistes dentaires, de l'Ă©cole supĂ©rieure pour l'innovation et l'action vers les mĂ©tiers de l'entreprise (ESIAME) et d'une section choletaise de l'École supĂ©rieure des sciences commerciales d'Angers (ESSCA) en liaison avec la chambre de commerce et d'industrie du Choletais.

    Établissements d'enseignement spĂ©cialisĂ©

    • le conservatoire du Choletais ;
    • l'institut mĂ©dico-pĂ©dagogique (IMP) de La RiviĂšre Sauvageau ;
    • l'institut mĂ©dico-Ă©ducatif (IME) Bordage Fontaine ;
    • l'institut de rĂ©Ă©ducation de La Tremblaie ;
    • l'Ă©tablissement et service d'aide par le travail (ESAT).

    Manifestations culturelles et festivités

    Tout au long de l'année, la vie choletaise est jalonnée d'animations culturelles :

    • fin janvier, la Folle journĂ©e, festival de musique classique ;
    • fin mars, dĂ©but avril, le festival de cinĂ©ma Adaptations, crĂ©Ă© en 2013, met Ă  l'honneur les longs mĂ©trages tirĂ©s d’Ɠuvres littĂ©raires[165] ;
    • en avril, le festival francophone de thĂ©Ăątre amateur Les Arlequins[166], reconnu par Jean-Paul AlĂšgre comme « le premier festival de thĂ©Ăątre amateur de France »[167] ;
    • en avril, le carnaval[168]. Une quinzaine de chars — de 10 m de long, 5 m de large et 8 Ă  10 m de hauteur — accompagnĂ©s de groupes dansants, groupes d'animation et formations musicales, dĂ©filent dans les rues. Un premier dĂ©filĂ© a lieu le dimanche aprĂšs-midi et, le second, le samedi suivant, en nocturne — considĂ©rĂ© comme la plus belle parade nocturne de France[169] — avec les chars illuminĂ©s[168] ;
    • courant mai, les Z'allumĂ©s[170] ;
    • une biennale de danse contemporaine Effervescence, s'est dĂ©roulĂ©e du 1er au sur diffĂ©rents sites de Cholet et d'une commune voisine, Le May-sur-Èvre, la direction artistique Ă©tant confiĂ©e Ă  Yvann Alexandre[171] ;
    • fin juin, dĂ©but juillet : Estijazz, festival de jazz et musiques d'ailleurs, en plein air au parc de Moine, sur un week-end ;
    • dĂ©but juillet, depuis 2014 : Les graines d'artistes par l'association artistique et culturelle La grange aux arts (ateliers d'initiation dans diffĂ©rents domaines artistiques pour les 8-12 ans) ;
    • en juillet, les Enfantillages, festival jeune public en plein air au parc de Moine ;
    • l'ÉtĂ© cigale (concerts gratuits Ă  Ribou, le vendredi soir, pendant l'Ă©tĂ©), remplacĂ© en 2015, aprĂšs 23 ans d’existence, par Bars en scĂšne, animation musicale dans un cafĂ© ou un restaurant[172] ;
    • en septembre, le festival du court mĂ©trage choletais, Hotmilk film makers[173] ;
    • en septembre, la foire-exposition, au parc de la Meilleraie ;
    • en septembre, le meeting aĂ©rien international[174]. En septembre 2010, le meeting aĂ©rien marque le centenaire du brevet de pilote de Roland Garros, qui l'a obtenu sur l'aĂ©rodrome de Cholet le [175] ;
    • en dĂ©cembre, les animations de fin d'annĂ©e : spectacle de la crĂšche vivante, crĂ©Ă© en 1998 et prĂ©sentĂ© en plein air par une centaine de bĂ©nĂ©voles, marchĂ© de NoĂ«l installĂ© dans un dĂ©cor de village avec la maison du PĂšre NoĂ«l, motifs lumineux posĂ©s dans les rues par les services municipaux et les illumination des maisons rĂ©alisĂ©es par leurs habitants ;
    • le Festival Voisinages, spectacles variĂ©s en tout genre, qui se dĂ©roule dans le thĂ©Ăątre du Jardin de verre ;
    • d'octobre Ă  avril, saison de spectacles au thĂ©Ăątre Saint-Louis, trente-cinq spectacles professionnels en matiĂšre de thĂ©Ăątre, danse, musique, humour, concerts,etc.

    Santé

    Le centre hospitalier, 1 rue de Marengo, établissement public de santé, propose des consultations médicales spécialisées dans différents domaines : cardiologie, chirurgie, gynécologie, maternité, obstétrique, soins de suite et de réadaptation, psychiatrie, hÎpital, ophtalmologie, laboratoire d'analyses de biologie médicale. Le centre hospitalier de Cholet a été certifié pour la quatriÚme fois en janvier 2016 par la Haute autorité sanitaire (HAS). Le laboratoire d'analyses de biologie médicale a été accrédité COFRAC. Dans le domaine de l'enseignement social et paramédical, le centre propose des formations d'auxiliaire de puériculture, de brancardier, de secrétaire médical, d'infirmiÚre, de diététicien, d'imagerie médicale, de tabacologie, d'orthophoniste et de psychomotricien.

    La polyclinique du Parc, avenue des Sables, est un établissement d'hospitalisation privée en médecine, chirurgie, obstétrique et chimiothérapie ambulatoire. Elle dispose également d'une annexe, rue d'Arcole pour les soins de suite et réadaptation en séjour ou hÎpital de jour.

    Sports

    Cholet, ville la plus sportive de France en 1972, 2007 & 2014.

    Cholet est reconnue pour son dynamisme sportif[176] ; elle est la seule ville, dans la catĂ©gorie des villes de plus de 20 000 habitants, Ă  avoir obtenu trois fois le titre de ville la plus sportive de France — en 1972, en 2007 et en 2014[OF 2] — dont le trophĂ©e lui est remis le par Alain Lunzenfichter, ex-rĂ©dacteur en chef adjoint du journal l'Équipe[177]. Elle obtient Ă©galement, deux fois, en 2000 et 2011, le titre de Ville la plus sportive des Pays de la Loire, dans la catĂ©gorie des communes de plus de 10 000 habitants[OF 3]. MalgrĂ© ces diffĂ©rentes marques de reconnaissance, parmi les 1 043 voies publiques recensĂ©es sur le site de la ville de Cholet dĂ©but 2012[178], seulement dix sont dĂ©diĂ©es Ă  des sportifs : HĂ©lĂšne Boucher, Jean Bouin, Pierre de Coubertin, Roland Garros, Jules LadoumĂšgue, Suzanne Lenglen, Jules Rimet, Jean Robic, un jeune espoir du cyclisme local, Jacques Champion, dĂ©cĂ©dĂ© accidentellement et Georges Vallerey. On peut y ajouter Louis BlĂ©riot et Jean Mermoz qui, sans ĂȘtre reconnus comme sportifs, sont les auteurs d'exploits marquants dans le domaine aĂ©ronautique. Un complexe sportif comprenant une salle de tennis de table et un gymnase est dĂ©diĂ© Ă©galement Ă  Pierre de Coubertin. Une salle omnisports porte le nom d'Alain Mimoun depuis juin 2013. Une autre porte le nom de RenĂ© Demianney, prĂ©sident de la ligue de basketball des Pays de la Loire de 1991 Ă  1996[179]. Le skatepark de la ville porte le nom de Platoon en hommage a Alain MontignĂ©[180].

    En 2021, la ville de Cholet dispose d’un nombre Ă©tonnant d’équipements sportifs sur son territoire. Au total, elle gĂšre vingt-sept salles, quinze terrains de football, sept courts de tennis extĂ©rieurs, une piste de BMX, un skate parc, un terrain de tir Ă  l'arc, une base nautique, une patinoire et une piscine[181].

    Office municipal du sport

    L'Office municipal du sport (OMS), crĂ©Ă© en 1966 — Ă  l'initiative de cinq dirigeants d'associations locales — a pour objectif de fĂ©dĂ©rer tous les clubs sportifs de la ville et permettre d'assurer un lien entre les collectivitĂ©s, les clubs et les habitants. ConformĂ©ment aux dispositions de la loi du il est dĂ©clarĂ© Ă  la sous-prĂ©fecture de Cholet le par son premier prĂ©sident, François-Xavier Benoiton et enregistrĂ© sous le no 1429[182]. Les statuts sont publiĂ©s au journal officiel le [183]. Son siĂšge social est Ă  Cholet, 58 rue Saint-Bonaventure.

    L'OMS est administré par un bureau directeur comprenant :

    • le maire de la ville de Cholet, membre de droit ou son reprĂ©sentant ;
    • un Ă©lu de la ville de Cholet dĂ©signĂ© par le conseil municipal ;
    • dix reprĂ©sentants des associations de la commune qui ont, d'une façon ou d'une autre, partie liĂ©e Ă  la pratique sportive ;
    • huit personnes choisies en raison de leurs compĂ©tences et de leur expĂ©rience[184].

    Tous ces membres ne prĂȘtent leur concours qu'Ă  titre bĂ©nĂ©vole.

    L'OMS emploie deux personnes salariées qui se partagent la gestion du courrier, des documents internes (convocations, comptes rendus des réunions, archives), ainsi que l'accueil des visiteurs et la réception des appels téléphoniques.

    Des missions temporaires peuvent ĂȘtre crĂ©Ă©es pour un Ă©vĂšnement ou une situation spĂ©cifique.

    En collaboration avec les services municipaux concernés et les associations, l'OMS participe au projet sportif local (PSL), au tour de Cholet et à la préparation du dossier qui permet à la ville de Cholet d'obtenir trois fois (1972, 2007 et 2014) le challenge de la ville la plus sportive de France[185].

    En 2020, il regroupe 8 sections sportives des collÚges, cinq sections sportives des lycées, 95 associations représentant 67 disciplines plus deux organisations évÚnementielles : Cholet national à pétanque et une course pédestre, Les foulées choletaises[186].

    Installations existantes en 1966

    En 1966, lors de la création de l'OMS[187], il existe, à Cholet, seulement :

    • deux salles de sport (la salle municipale Georges Turpault rue des Bons Enfants et la salle de la JF rue Alphonse Darmaillacq) ;
    • trois terrains de football (le terrain de la JF prĂšs de l'aĂ©rodrome, le terrain de l'Étoile sportive Saint Pierre (ESSP) avenue Leclerc — devenu le stade Henri Jousse — et le terrain du Stade olympique choletais (SOC) rue de la Porte-Baron, plus connu sous le nom de stade Pierre-Blouen) ;
    • le vĂ©lodrome boulevard Victor-Hugo, remplacĂ© en 1967[L 2] par la salle Auguste-GrĂ©goire et un plateau d'Ă©volutions ;
    • l'aĂ©rodrome du Pontereau situĂ© sur le terrain de la PapiniĂšre, ancien champ de manƓuvres du 77e rĂ©giment d’infanterie ;
    • l'hippodrome, installĂ© depuis 1961 au bois de ClĂ©net aprĂšs avoir utilisĂ© divers sites sur Cholet, la prairie du Bois-Grolleau de 1852 Ă  1870, le Bois-RĂ©gnier de 1872 Ă  1878, la PapiniĂšre de 1879 Ă  1960[SH 2] ;
    • la piscine dĂ©couverte Manceau construite en 1965[L 3] avec un bassin olympique de 50 m sur six couloirs[Note 18].

    Installations spécifiques

    Outre les terrains et salles de sports collectifs classiques (badminton, basket-ball, football, gymnastique, handball, rugby, tennis, twirling, volley), Cholet possÚde des installations spécifiques :

    • GlissĂ©O, complexe de patinoires (une piste ludique et une piste de compĂ©tition, pour le patinage de vitesse (short track), le patinage artistique, la danse sur glace, et le hockey sur glace) et de piscines (bassin de compĂ©tition de 25 m, fosse de plongĂ©e, bassins ludiques, avec toboggan et pentagliss) ;
    • le parc de Ribou (aviron, canöé-kayak, centre d'initiation aux sports de plein air, escalade, Ă©quitation, mini-golf, planche Ă  voile, pĂȘche, tennis, tir Ă  l'arc, tir sportif, voile) ;
    • le mur d'escalade Laurent Bernard, salle Chambord, utilisĂ© par deux clubs : le Club alpin français et l'association escalade et sports de montagne ;
    • le Platoon Skatepark, piste de skateboard en plein air, situĂ©e au parc de Ribou. Étant devenu dangereux avec le temps, il est dĂ©moli en 2010 et remplacĂ©, en avril 2012, par un nouveau skate park, prĂšs de GlissĂ©o, pour la pratique de roller, trottinette, bmx et skateboard[CM 2] ;
    • Le complexe Auguste-GrĂ©goire avec une salle dont la premiĂšre pierre est posĂ©e le et inaugurĂ©e le ; il comprend neuf terrains de badminton, un espace pour la gymnastique rythmique, des amĂ©nagements pour les activitĂ©s sportives scolaires, des tribunes pouvant accueillir prĂšs de 500 spectateurs et un mur d'escalade de 13 mĂštres[OF 4].
    • le complexe Joachim-du-Bellay (boxe, escrime, gymnastique, haltĂ©rophilie, piste BMX, plateau extĂ©rieur d'Ă©volutions, salle multisports) ;
    • le complexe Pierre-de-Coubertin, inaugurĂ© le 19 octobre 2011, destinĂ© au tennis de table et Ă  la gymnastique[188] ;
    • l'aĂ©rodrome, qui accueille les activitĂ©s d'aĂ©romodĂ©lisme, ultra lĂ©ger motorisĂ© (ULM), vol moteur et vol planeur ;
    • la piste de BMX, inaugurĂ©e en 2012, porte le nom de Franck Chevreton, champion du monde de cette discipline et originaire de Cholet[189] ;
    • le PĂŽle cycliste Bernard Hinault qui rassemble cinq associations sportives de cyclisme est inaugurĂ© le 16 mars 2013 par le champion dont il porte le nom[OF 5] ;
    • diffĂ©rents sites destinĂ©s chacun Ă  une activitĂ© particuliĂšre : boulodrome, dojo municipal (arts martiaux), hippodrome, terrain de golf.

    Dans son édition 2011-2012[190], l'annuaire du sport, édité par l'OMS, recense 35 lieux d'activités sportives, sur le territoire de la ville de Cholet, plus un à La SéguiniÚre, commune riveraine (swin golf) et un au Puy-Saint-Bonnet, commune associée (salle et stade municipaux).

    Associations

    • Cholet est connue pour son club de basket-ball : Cholet Basket (CB), dont l'Ă©quipe premiĂšre Ă©volue en Pro A, championne de France en 2010, aprĂšs avoir battu l'Ă©quipe du Mans, lors de la finale, au palais omnisports de Paris Bercy, le , sur le score de 81 Ă  65 ;
    • le Stade olympique choletais, club de football crĂ©Ă© en 1913 sous le nom de Club olympique choletais[B 2] ;
    • le Hockey Club Choletais, club de hockey sur glace ;
    • l'Union Cholet Judo 49 (UCJ 49), club de judo et aĂŻkido ;
    • l'Association choletaise de patinage sur glace, association regroupant les clubs de danse sur glace, patinage artistique et patinage de vitesse ;
    • la Horde, Ă©quipe de football amĂ©ricain ;
    • le Camouflage Street Crew, club de skateboard, roller et autres sports de glisse[191] ;
    • le Rugby Olympique Choletais, club de rugby crĂ©Ă© en 1966 par le prĂ©sident-fondateur du club, M. Roland Geneste qui a achetĂ© Ă  l'Ă©poque une prairie pour y amĂ©nager le premier terrain de rugby de la ville ;
    • le Cholet VĂ©lo Sport, club de cyclotourisme, organisateur, tous les quatre ans, des brevets des randonneurs mondiaux de 200 km, 300 km, 400 km, 600 km, qualificatifs pour le marathon de la route : Paris - Brest - Paris ;
    • le Cholet Volley, club de volley qui Ă©volue en national 2, dans les annĂ©es 1990 ; en 2011, c'est un club formateur de jeunes et un des plus gros clubs, en termes de licenciĂ©s, de la ligue de volley des Pays de la Loire ;
    • les Enfants de Cholet club de gymnastique fondĂ© en 1902 sous le nom de SociĂ©tĂ© de gymnastique et de tir[B 3] ;
    • la Jeune-France de Cholet (JF), club omnisports, issu du patronage Notre-Dame-de-la-Garde de Cholet et affiliĂ© Ă  la FĂ©dĂ©ration sportive et culturelle de France (FSCF), est le plus important club choletais par le nombre d'adhĂ©rents. Sa section de basket est Ă  l'origine du club professionnel Cholet Basket[O 4].

    Organisations particuliĂšres

    • le Mondial Ă  pĂ©tanque regroupe 3 600 joueurs, en 2012, au parc de la Meilleraie[OF 6], avec les plus grands champions français et Philippe Quintais, douze fois champion du monde. De 1989 Ă  2008, cette rencontre est organisĂ©e par l'office du tourisme et, depuis 2009, l'association Cholet National PĂ©tanque en assure la charge ;
    • la course cycliste Cholet-Pays de la Loire, en mars ;
    • le tournoi de football Carisport se dĂ©roule, essentiellement, dans les communes voisines de Cholet ;
    • le tournoi international cadets de basket-ball, organisĂ© par la JF, Ă  PĂąques ;
    • l'open de beach-volley, en juin, sur la place Travot ;
    • le DĂ©fi choletais, dĂ©but juin, organisĂ© depuis 1995, par l'Office Municipal du Sport, rencontre inter-entreprises comportant trois Ă©preuves sous forme de relais sur le parc de Ribou : km de course Ă  pied, 800 m en canoĂ« et km en VTT.
    • ville Ă©tape du Tour de France 2018[192], du Tour de France 2008[193] et en 1998, annĂ©e oĂč l'arrivĂ©e d'Ă©tape est marquĂ©e par l'affaire Festina[194] ;
    • le Sport en famille, journĂ©e de dĂ©couverte et d'initiation gratuite aux activitĂ©s sportives, organisĂ©e par l'OMS, le dernier week-end de septembre, sur plusieurs sites (parc de Moine, stade municipal, GlissĂ©o, salle des fĂȘtes, parc de Ribou, Ă©tang des Noues) ;
    • depuis 1981[L 4], le premier dimanche de dĂ©cembre, le tour de Cholet (14 km) utilise la voie inter-quartiers qui ceinture la ville. Ce parcours, dans un esprit convivial, est rĂ©servĂ©, toute la matinĂ©e, aux piĂ©tons et Ă  tous les engins roulants non motorisĂ©s ;
    • du 23 au , les championnats de France de cyclisme sur route 2022[195] - [196].

    Vie sociale et sociétale

    Outre les manifestations sportives et culturelles, la vie choletaise est animée par différents organismes[Note 19] :

    • amicale des carnavaliers, amicales de classes, amicale des sapeurs-pompiers, groupe musical des Musiciens en folie, cercle des Descendants de NoĂ©, cercle des Amis rĂ©unis, la Maison du mail (club de loisirs pour prĂ©-retraitĂ©s et retraitĂ©s) ;
    • groupements patriotiques et mĂ©moriels : section locale de l'Union nationale des combattants, section locale de la FĂ©dĂ©ration nationale des anciens combattants en AlgĂ©rie, Maroc et Tunisie (FNACA), section locale des combattants d'AlgĂ©rie, Tunisie et Maroc, amicale des porte-drapeaux du Choletais, Souvenir français ;
    • centres socio-culturels (Horizon, K'lĂ©idoscope[Note 20], Pasteur, le Planty, le Verger) ;
    • chorales (Adagio, ArpĂšge, l'Aubade, Chauds les CƓurs, ChƓur d'hommes du Choletais, Cholet Gospel) ;
    • groupements professionnels (commerçants des halles, commerçants du quartier de la gare, commerçants des Roches, Vitrines de Cholet, maison des syndicats) ;
    • sociĂ©tĂ©s de service Ă  la personne (portage de repas Ă  domicile, nettoyage, jardinage).

    Des groupes informels pratiquent la marche, la randonnée, le cyclisme, le repas des voisins.

    MĂ©dias

    • TĂ©lĂ©vision locale du Choletais (anciennement Canal Cholet), la chaĂźne de tĂ©lĂ©vision locale choletaise, sur le rĂ©seau cĂąblĂ©, sur le canal 33 de la tĂ©lĂ©vision numĂ©rique terrestre (TNT) et sur internet ;
    • Le HIC, journal d'informations locales et de petites annonces, indĂ©pendant, trois Ă©ditions tirant Ă  prĂšs de 200 000 exemplaires dans la rĂ©gion Pays de la Loire ;
    • Le Courrier de l'Ouest, Ă©dition de Cholet, quotidien rĂ©gional ;
    • Ouest France, Ă©dition de Cholet, quotidien rĂ©gional ;
    • Synergences hebdo, hebdomadaire gratuit d'informations Ă©ditĂ© par l'AgglomĂ©ration du Choletais ;
    • Cholet Mag, revue mensuelle municipale d'informations Ă©ditĂ©e par la direction de la communication de la ville de Cholet.

    Culte catholique

    Cinq églises paroissiales et trois chapelles sont affectées au culte catholique[Note 21].

    Culte islamique

    Quatre lieux sont affectĂ©s au culte musulman dont la grande mosquĂ©e de Cholet, rue Jean XXIII[197] et la mosquĂ©e turque, avenue du ChĂȘne-Rond[198].

    Culte protestant

    • Le temple protestant rĂ©formĂ©, rue RenĂ©-Bazin.
    • L'Ă©glise protestante baptiste, rue du GĂ©nĂ©ral-Gallieni.
    • L'Ă©glise Ă©vangĂ©lique, boulevard HĂ©rault.

    Culte mormon

    La paroisse de l’Église de JĂ©sus-Christ des saints des derniers jours, qui existe depuis 27 ans Ă  Cholet, compte 200 membres en 2016 dont prĂšs de la moitiĂ© sont des pratiquants. Un nouveau lieu de culte est prĂ©vu rue de Saint-Christophe pour le deuxiĂšme semestre 2017[199].

    TĂ©moins de JĂ©hovah

    Économie

    Centre-ville de Cholet : zone commerciale Les Arcades Rougé.

    Cholet est, malgré sa taille moyenne, une ville avec quelques grosses industries.

    La ville voit naĂźtre de nombreuses « petites et moyennes entreprises » (PME), qui permettent Ă  l'agglomĂ©ration de connaĂźtre un dynamisme industriel et un des taux de chĂŽmage les plus bas de France. On note tout de mĂȘme un manque d'emplois tertiaires.

    Les premiĂšres grandes activitĂ©s industrielles sont tournĂ©es vers le textile. Cette activitĂ© façonne le paysage choletais et y laisse, aujourd'hui encore, des traces (maisons de tisserands) et des innovations (lycĂ©e de la mode, musĂ©e du textile, implantations d'entreprises de prĂȘt-Ă -porter comme Catimini). La ville devient un pĂŽle de compĂ©titivitĂ© Ă©conomique « enfant ».

    À ces activitĂ©s textiles s'ajoutent d'autres industries de renommĂ©e nationale, voire internationale :

    • Michelin, premier site de production d'Europe de pneumatiques ;
    • Dorel (anciennement Ampafrance), articles de puĂ©riculture ;
    • Nicoll, accessoires plastiques pour la construction ;
    • L'Abeille, filiale du groupe Laiterie de Saint-Denis-de-l'HĂŽtel, boissons (jus de fruits, sodas) ;
    • Thales, Ă©lectronique civile et militaire[O 5] , dont l'usine est installĂ©e Ă  Cholet, initialement sous le nom de SociĂ©tĂ© française radio-Ă©lectrique (SFR), depuis 1935[NS 1] au Bois Grolleau sur l'emplacement de l'usine textile des filatures Descamps[NS 2] ;
    • Charal, abattoir de Cholet et usine de transformation de viande ;
    • Jeanneau, filiale du groupe BĂ©nĂ©teau, et Nicols (au Puy-Saint-Bonnet), construction navale ;
    • Nadia, fabrication de panneaux et accessoires pour la circulation routiĂšre ;
    • Tim Composites, entreprise productrice de panneaux composites en aluminium, implantĂ©e Ă  Cholet depuis 1960[200].

    La Fondation AMIPI, présente depuis 1965, emploie des personnes avec handicap cognitif dans divers secteurs industriels[201].

    Dans une commune voisine, sont fabriquées les brioches Pasquier.

    Cholet est le siÚge de la chambre de commerce et d'industrie du Choletais. Depuis 2008, les chambres de commerce de Cholet, Saumur et Angers sont regroupées à Angers. Seuls restent les services de base, à Cholet (formation).

    Dans la 1re décennie du XXIe siÚcle, deux ensembles commerciaux d'envergure sont implantés : L'Autre Faubourg ouvert en périphérie de ville en 2010 et les Arcades Rougé ouvert en centre-ville en 2009[OF 7] dans le centre-ville, à la suite de la restructuration du quartier des Brosses ; dans ce dernier sont présents, notamment, un cinéma multiplex 10 salles, dont quatre en 3D, et un supermarché. Simultanément, la rénovation de la place Rougé accueille, en 2012, un hÎtel adossé à l'ancien théùtre municipal, dont le rez-de-chaussée est transformé en passage commercial culturel, joignant la place Travot et la place Rougé. Ces ensembles s'ajoutent à celui des nombreux magasins d'usines, installés dans la commune proche de La SéguiniÚre.

    Culture locale et patrimoine

    Quelques rues typiques

    Les premiĂšres plaques indiquant le nom des rues Ă  Cholet sont apparues en 1858[202].

    Outre les appellations classiques de rues se référant à des personnalités locales ou nationales, Cholet possÚde quelques rues caractéristiques soit par leurs dimensions soit par leurs dénominations ou leurs particularités[AD 2].

    La rue des Vieux-Greniers jadis permettait de relier le bourg Saint-Pierre au quartier du PrieurĂ© (Notre-Dame). À l’époque, elle est l’unique voie pour traverser Cholet, direction Nantes, quand on vient de Saumur ou d’Angers[203].

    La rue des Blanchisseurs[BG 1], avec Ă  son angle le passage des LavandiĂšres[BG 2], permet aux piĂ©tons de rejoindre la rue de la Dube[BG 3] ; Ă  son autre extrĂ©mitĂ©, elle dĂ©bouche rue de l'Ouest[BG 4] — qui a conservĂ© son lavoir public jusque dans les annĂ©es 1960 — avec, parallĂšlement, le passage de la Taumaserie[BG 2] qui relie la rue Marceau Ă  la rue Pasteur. Le quartier inclut plusieurs autres trĂšs Ă©troits passages transversaux (quelques-uns devenus privatifs) qui desservent toujours d'anciennes maisons de tisserands[204].

    La rue des Boucheries, disparue en 1976, bordait le cÎté nord de la place du cardinal Luçon et tirait son nom des boucheries installées à proximité à l'intérieur des halles.

    L'impasse des Grands-Jardins est une ruelle étroite, accessible uniquement aux piétons, entre la rue Saint-Pierre et la rue Saint-Bonaventure qui traverse un ensemble de terrains aménagés en jardins.

    La rue Huchepie entre le boulevard Gustave-Richard et la rue du Devau est partagée dans sa longueur entre une moitié en escalier et l'autre moitié en plan incliné[PB 3].

    La rue Saint-Jean-Paul-II[205] (anciennement rue du Commerce) — une des plus anciennes rues de Cholet — entre le jardin du mail et l'Ă©glise Notre-Dame est celle qui a gardĂ© le plus de traces architecturales du passĂ© : balcons de fer forgĂ©, portes et fenĂȘtres Ă  arcades, fenĂȘtres en Ɠil-de-bƓuf, maison surmontĂ©e d'un belvĂ©dĂšre, passage couvert vers le square des Charuelles.

    La rue des Marteaux tire son nom de l'instrument des chaudronniers qui y résonnait à longueur de journée[AJ 1].

    La rue de la TĂȘte-Noire, la plus Ă©troite de Cholet, mesure environ m de large et change trois fois de direction sur son parcours ; joignant la rue SalbĂ©rie Ă  la rue des Rouettes, elle dessert plusieurs allĂ©es — dont plusieurs ont Ă©tĂ© fermĂ©es par des portes privatives — donnant accĂšs Ă  des rangĂ©es de maisons de tisserands toutes agrĂ©mentĂ©es de leurs jardinets. Elle tient son nom de l'enseigne d'une auberge[Note 22] reprĂ©sentant « une tĂȘte de nĂšgre ornĂ©e d'un turban Ă  aigrette »[AJ 1] - [206].

    La rue de LĂ©chelle — un gĂ©nĂ©ral rĂ©publicain qui brilla par son incompĂ©tence — a supplantĂ© la rue Bourbon en 1833 mais les Choletais l'ont dĂ©formĂ©e en l'Ă©chelle en raison de la raideur de sa pente ou parce qu'elle montait jadis vers les « Échelles patibulaires », lieu d'exĂ©cution des condamnĂ©s[AD 3]. Cette voie prend finalement le nom de Jean JaurĂšs vers 1919-1920[207] - [208].

    La rue de la Casse, un nom issu du patois des Mauges et de Vendée[209].

    Édifices religieux

    L'Ă©glise du SacrĂ©-CƓur, boulevard Guy-Chouteau, de style romano-byzantin, est l'Ɠuvre de l'architecte choletais Maurice Laurentin[Note 23] - [AJ 2]. La premiĂšre pierre est posĂ©e en 1937 et l'Ă©difice bĂ©ni en 1941. Les matĂ©riaux qui servent Ă  la construction sont extraits de la rĂ©gion. Cette Ă©glise est due Ă  la gĂ©nĂ©rositĂ© de centaines de donateurs connus et inconnus. Le carillon de 39 cloches, classĂ© monument historique en 2003, ne date que de la construction du SacrĂ©-CƓur, achevĂ©e pendant la derniĂšre guerre mondiale mais s’est dĂ©gradĂ©, faute d’entretien et de carillonneur. Le 30 mars 2011 les cloches et le clavier du carillon sont descendus du campanile en vue de leur restauration. La formation d'un carillonneur est envisagĂ©e et la remise en service est prĂ©vue avec l'ajout de 10 cloches supplĂ©mentaires[OF 8]. Le carillon restaurĂ© en Hollande retentit Ă  nouveau le 17 septembre 2011 Ă  l'occasion des journĂ©es du patrimoine[OF 9].

    L'Ă©glise Notre-Dame, parvis Saint-Jean-Paul-II, est inscrite Ă  l'inventaire des Monuments Historiques[CM 3]. Au XIe siĂšcle ce n'est encore qu'un prieurĂ© fondĂ© par les moines de Saint-Michel-en-l'Herm. Pendant la RĂ©volution, elle sert d'Ă©curie et de prison[CM 3]. En , le duc d'AngoulĂȘme pose la premiĂšre pierre de l'actuelle Ă©glise Notre-Dame. De 1881 Ă  1900 s'achĂšvent la nef et les clochers dont les flĂšches s'Ă©lĂšvent Ă  65 mĂštres au-dessus de la place Travot[B 4]. À remarquer, la Vierge du XIVe siĂšcle, copie due au sculpteur Biron.

    L'Ă©glise Saint-Pierre, rue Saint-Pierre, existe dĂšs les VIe et VIIe siĂšcles dans ce qui est alors le bourg Saint-Pierre. Elle est vandalisĂ©e et dĂ©truite par les Normands au XVe siĂšcle[B 5]. AprĂšs l'an mil, les moines de Marmoutier construisent une Ă©glise de style roman qui est modifiĂ©e en gothique Ă  la fin du XVe siĂšcle. Reconstruite Ă  partir de 1752, elle garde une galerie couverte en bois jusqu'en 1850. Le curĂ© BougĂšre et l'architecte Tessier sont les constructeurs de l'Ă©glise actuelle, dont le clocher est terminĂ© en 1933. La statue de saint Pierre qui surplombe le clocher pĂšse 850 kilos[CM 3].

    L'Ă©glise Sainte-Bernadette est situĂ©e rue du MarĂ©chal-Lyautey. En 1961, l'abbĂ© Maurice Hallouin, vicaire Ă  Saint-Pierre-de-Cholet, est chargĂ© officiellement par Pierre Veuillot de prĂ©voir les plans du centre paroissial, de l'Ă©glise et du presbytĂšre. L'abbĂ© Hallouin, arrĂȘtĂ© par la maladie au printemps 1962 dĂ©cĂšde le . L'Ă©glise est consacrĂ©e le par Mazerat[210].

    L'église Saint-Louis-Marie-Grignon-de-Montfort, rue Jean-XXIII, sous l'impulsion de l'abbé André Bouin, est construite par des bénévoles, de 1957 à 1958, sur un terrain donné par le docteur Jules Moreau des Herbiers et suivant les plans établis par un architecte local Maurice Laurentin ; celui-ci suggÚre de la dédier à Saint Louis-Marie Grignion de Montfort mort en 1716 dans la commune voisine de Saint-Laurent-sur-SÚvre[211].

    La chapelle Saint-Louis, rue Tournerit, chapelle de l'ancien hĂŽpital dĂ©saffectĂ©e et restaurĂ©e, sert dĂ©sormais d'auditorium. Cette chapelle Ă©difiĂ©e entre 1873 et 1875 grĂące Ă  la gĂ©nĂ©rositĂ© de Mme Marie Piednoir est bĂ©nie le par Charles-Émile Freppel, Ă©vĂȘque d'Angers.

    Le couvent Saint-Francois-d'Assise, rue Pasteur, accueille depuis 2002, dans l'ancien carmel de Cholet fondĂ© en 1885 par MĂšre Marie de La Croix, une communautĂ© de franciscains relevant de la Custodie provinciale de Saint-Bonaventure de France. On peut admirer dans le chƓur de la chapelle du couvent, une Annonciation de l'artiste Maurice Denis datant de 1930.

    La chapelle du Bon-Pasteur, avenue du MarĂ©chal-Leclerc, Ă©difiĂ©e d'aprĂšs les plans de mĂšre Marie-Euphrasie Pelletier, est bĂ©nie en 1865 par FĂ©lix-Pierre Fruchaud, Ă©vĂȘque de Limoges, originaire de TrĂ©mentines, commune voisine de Cholet.

    La chapelle des SƓurs de la Retraite du SacrĂ©-CƓur, rue de Rambourg, datant de la fin du XIXe siĂšcle est dĂ©saffectĂ©e. Plusieurs autres Ă©difices religieux ont disparu : la chapelle de Nazareth (dĂ©molie), la chapelle des sƓurs de la Sagesse, rue du Devau, Ă©difiĂ©e vers 1880 (dĂ©molie au dĂ©but des annĂ©es 2000), le couvent des CordeliĂšres, fondĂ© en 1403, rĂ©Ă©difiĂ© en 1662 (dĂ©moli en 1912).

    • Église du SacrĂ©-CƓur.
      Église du SacrĂ©-CƓur.
    • Église Notre-Dame.
      Église Notre-Dame.
    • Église Saint-Pierre.
      Église Saint-Pierre.
    • Saint Pierre(statue au sommet de l'Ă©glise).
      Saint Pierre
      (statue au sommet de l'Ă©glise).
    • Coucher de soleil sur l'Ă©glise Saint-Pierre.
      Coucher de soleil sur l'Ă©glise Saint-Pierre.
    • Chapelle Saint-Louis.
      Chapelle Saint-Louis.
    • Chapelle du Bon-Pasteur.
      Chapelle du Bon-Pasteur.

    Édifices civils

    Le nouvel hĂŽtel de ville, d'architecture moderne, conçu par un architecte local, Francis PierrĂšs, est inaugurĂ© en 1976[L 5] ; il est reliĂ© par une galerie couverte Ă  la mĂ©diathĂšque qui porte le nom de LĂ©opold SĂ©dar Senghor. Avant la construction de cet ensemble, une rue dĂ©diĂ©e au gĂ©nĂ©ral Jean-Baptiste Moulin[212] forme la bordure sud de la place du Champ de foire oĂč se tient le marchĂ© aux bovins jusque dans les annĂ©es 1960[B 6].

    La tour dite du Grenier Ă  sel est inscrite au titre des monuments historiques en 1969[213].

    Le théùtre municipal, de style néo-classique, situé sur la place Travot est inauguré le [B 7]. Partiellement endommagé par un incendie le 23 avril 1949[SH 3], puis entiÚrement restauré, il est désaffecté en 2011 et l'intérieur est transformé en surface commerciale. Un nouveau théùtre intercommunal est construit en 2012 sur le site de l'espace Saint Louis.

    Le palais de justice est construit dans la seconde moitié du XIXe siÚcle sur une butte rocheuse dominant la Moine à l'emplacement de l'ancien chùteau[B 8].

    Une porte architecturale, anciennement située rue Saint Pierre orne l'entrée du jardin du mail.

    Le grand menhir de la Garde[Note 24], déplacé des terres de la Garde en 1885[B 1], orne désormais le jardin du mail, devant les remparts de l'ancien chùteau.

    La pierre Plate de la PochetiÚre est située dans le parc public dit parc du menhir[214].

    Le petit menhir du Champ de la Garde.

    Le chĂąteau de la Tremblaye.

    • L'hĂŽtel de ville,vu du jardin du mail.
      L'hĂŽtel de ville,
      vu du jardin du mail.
    • Tour dite du grenier Ă  sel.
      Tour dite du grenier Ă  sel.
    • Ancien thĂ©Ăątre municipal.
      Ancien théùtre municipal.
    • Palais de justice.
      Palais de justice.
    • Porte architecturaleĂ  l'entrĂ©e du jardin du mail.
      Porte architecturale
      à l'entrée du jardin du mail.
    • Menhirde la Garde.
      Menhir
      de la Garde.
    • Pierre plate de la PochetiĂšre.
      Pierre plate de la PochetiĂšre.
    • Petit menhir du Champ de la Garde.
      Petit menhir du Champ de la Garde.

    Quelques superbes hĂŽtels particuliers sont disparus du patrimoine choletais avant 1970 :

    • l'hĂŽtel Pellaumail, rue Nationale, Ă  l'angle de la rue Jean-JaurĂšs[215] ;
    • l'hĂŽtel Turpault, place CrĂ©ac'h-Ferrari[216].

    Monuments commémoratifs

    1. Le monument commémoratif de la bataille de Cholet du [Note 25] ;
    2. Le cénotaphe d'Henri de La Rochejaquelein, route de Nuaillé ;
    3. Le monument à la mémoire des mobilisés de la 2e Légion de Maine-et-Loire tombés au combat de Monnaie le 20 décembre 1870. Précédemment situé dans l'ancien cimetiÚre de Rambourg, il est inauguré à son nouvel emplacement, à l'angle du boulevard Faidherbe et de la rue Alphonse-Darmaillacq, le par Gilles Bourdouleix, député maire de Cholet ;
    4. Le monument aux morts de la guerre de 1870, place de la RĂ©publique, (statue en bronze Ɠuvre du sculpteur Antonin MerciĂ©) est inaugurĂ© le avec l'inscription gravĂ©e « Aux enfants de Cholet morts pour la patrie »[B 9] ;
    5. Le monument aux morts du 77e régiment d'infanterie, dans le cimetiÚre de Cholet ;
    6. Le monument commémoratif de la Résistance et de la déportation, place Créach' Ferrari, à l'emplacement d'un immeuble détruit, siÚge de la Kommandantur pendant l'Occupation[O 6].
    • 1
      1
    • 2
      2
    • 3
      3
    • 4
      4
    • 5
      5
    • 6
      6

    Le monument aux morts de la Grande Guerre, place du 77e rĂ©giment-d’Infanterie, rĂ©alisĂ© par Charles Maillard[217] est inaugurĂ© par le marĂ©chal Joffre le [Note 26]. Sur sa partie infĂ©rieure, une plaque est ajoutĂ©e portant les noms des victimes des conflits plus rĂ©cents : Seconde Guerre mondiale, guerre d'Indochine et guerre d'AlgĂ©rie[Note 27]. Un premier projet de monument qui n'a pas Ă©tĂ© retenu reprĂ©sente Clovis, Godefroy de Bouillon, le Grand CondĂ© et NapolĂ©on Ier entourant « la figure de l'immortel poilu que la victoire vient couronner de lauriers »[218].

    Théùtre, danse, musique

    Cholet est le siÚge résidentiel du théùtre régional des Pays de la Loire.

    Le Jardin de verre est une salle de concert[219] gĂ©rĂ©e par une structure associative crĂ©Ă©e dans les annĂ©es 1970 sous le nom d'Association du dĂ©veloppement artistique du Jardin de verre[220]. Elle a remplacĂ© une maison des jeunes et de la culture avant d'ĂȘtre transformĂ©e en salle de spectacle accueillant diverses prestations (concerts, piĂšces de thĂ©Ăątre, danse, art circassien, musique, chanson ou spectacles humoristiques)[221]. Cette salle dispose de 224 places en disposition thĂ©Ăątre, 220 places assises et 80 places en mezzanine en disposition cabaret et 320 place debout plus 80 places en mezzanine en disposition concert. Ces dispositions sont autorisĂ©es par la polyvalence de la salle qui possĂšde des siĂšges rĂ©tractables[222]. Cette structure propose des enseignements thĂ©Ăątraux pour les adolescents en partenariat avec les Ă©tablissements scolaires[223].

    Le thĂ©Ăątre Interlude, faisant partie de l'espace Jean-Guichard a Ă©tĂ© Ă©difiĂ© en remplacement de l'ancien thĂ©Ăątre municipal en attendant le rĂ©alisation du thĂ©Ăątre intercommunal Saint-Louis inaugurĂ© le . Cette salle peut accueillir des spectacles de thĂ©Ăątre, des concerts et des confĂ©rences et a une capacitĂ© de 587 places assises numĂ©rotĂ©es plus treize emplacements pour les personnes Ă  mobilitĂ© rĂ©duite (PMR)[224] - [SH 4]. Elle dispose d'une scĂšne de 14 m de large et d'un accĂšs direct pour le matĂ©riel[225].

    Le théùtre municipal, inauguré en 1886[226], détruit par un incendie le [227] et fermé en 2004, est transformé en surface commerciale culturelle, en 2012[SH 5].

    Espace Saint-Louis

    Théùtre Saint-Louis.

    L'espace Saint-Louis regroupe le théùtre Saint-Louis, le conservatoire du Choletais (musique, danse et art dramatique) et l'auditorium Jean-Sébastien Bach (chapelle Saint-Louis, salle de concert de 188 places)[CM 4].

    Le thĂ©Ăątre Saint-Louis est une salle de thĂ©Ăątre, ancien couvent devenu hĂŽpital[228] inaugurĂ©e en 2012. Cette salle peut accueillir plus de 851 personnes dont 167 en gradin[229], faisant d'elle le thĂ©Ăątre ayant la plus grande capacitĂ© du Choletais, oĂč beaucoup d'Ă©vĂ©nements s'y dĂ©roulent, sa scĂšne Ă©tant suffisamment importante pour accueillir un orchestre[230].

    Le conservatoire du Choletais est un Ă©tablissement de l’espace Saint-Louis Ă  rayonnement dĂ©partemental qui enseigne 35 disciplines instrumentales, 8 disciplines de culture musicale incluant le chant, la danse classique, la danse de caractĂšre, la danse jazz, l’art dramatique, la formation musicale, ainsi que toutes les pratiques d'ensemble et les musiques actuelles[231], et rassemble entre 1 250 et 1 300 Ă©lĂšves grĂące Ă  sa polyvalence permettant une grande diversitĂ© des activitĂ©s[232]. Le conservatoire de Cholet travaille en Ă©troite collaboration avec celui de Laval qui dispose d’une bibliothĂšque-discothĂšque oĂč se trouvent de nombreuses ressources bibliographiques (CD audio et partitions) concernant les disciplines enseignĂ©es[233]. Le conservatoire fait l’objet d’enseignements thĂ©Ăątraux pour les enfants de 8 Ă  14 ans (Ă©veil thĂ©Ăątral) et les adultes de 14 Ă  30 ans (thĂ©Ăątre)[234].

    Équipements et organismes culturels

    Plusieurs sites et organismes concourent Ă  la vie culturelle de Cholet parmi lesquels : la mĂ©diathĂšque Élie Chamard, la bibliothĂšque universitaire, l'Ă©cole d'arts du Choletais et la SociĂ©tĂ© des sciences, lettres et arts de Cholet (SLA).

    La ludothÚque municipale, « Les 3D », est classée parmi les plus grandes ludothÚques de France[235]. Elle accueille chaque année l'université d'été des ludothécaires de France et de pays voisins. Elle est partie prenante de la licence des métiers du jeu et du jouet, dispensée au campus du Choletais.

    Cinq centres sociaux et socioculturels (Verger, Planty, Pasteur, Convergence et Horizon) sont répartis sur les différents quartiers de la ville.

    La Jeune chambre Ă©conomique du Choletais est Ă©lue meilleure jeune chambre Ă©conomique des Pays de la Loire en 2007 et 2011[236].

    La ville de Cholet obtient quatre fleurs au palmarĂšs 2006 du concours des villes et villages fleuris.

    Clubs et associations

    Il existe Ă©galement Ă  Cholet de multiples clubs destinĂ©s Ă  l’apprentissage de la danse en dehors du conservatoire du choletais, comme la Fabrique chorĂ©graphique, la Jeune France ainsi que Danse et vie, offrant une palette Ă©tendue de styles et d’univers, particuliĂšrement dans la danse contemporaine et modern-jazz[237].

    Le Bar'ouf, café-concert est destiné particuliÚrement depuis plus de 7 ans aux représentations des technologies récentes (musique techno, danses de rues, ligue d'improvisation). Il dispose de 250 places.

    L'association La grange aux arts, dirigée par Alice David[238], existe depuis 2012 et propose des ateliers de théùtre et des interventions dans les établissements scolaires de la région. Elle crée des spectacles et des événements ponctuels, organise des expositions photographiques comme Expolaroid-Cholet ou des photos du partenariat entre le photographe BenBen[239] et le chorégraphe Yvann Alexandre.

    Musées

    Musée du textile.

    Musée d'art et d'histoire

    Dans le musĂ©e d'art et d'histoire[240], la galerie d'histoire est en grande partie consacrĂ©e aux guerres de VendĂ©e, avec en particulier la sĂ©rie des portraits en pied des gĂ©nĂ©raux contre-rĂ©volutionnaires dont l’installation Ă  Cholet[Note 28] est due Ă  l'intervention d'Anatole Manceau[241]. La galerie d'art comprend notamment des Ɠuvres du peintre Pierre Charles TrĂ©moliĂšres, natif de Cholet, ainsi qu'une collection d'art contemporain.

    Musée du textile

    Le musĂ©e du textile[242] est ouvert au public en 1995[L 6] dans l’ancienne blanchisserie de la RiviĂšre-Sauvageau. Il prĂ©sente les techniques de tissage et blanchiment des toiles. C'est le lieu de production du « mouchoir rouge de Cholet ». Il propose un parcours musĂ©ographique et une programmation d'expositions temporaires tournĂ©es vers les arts textiles contemporains et la mode enfantine[243].

    Parc du champ de bataille

    Le parc du Champ de bataille, avec table d'orientation mémorisant les événements de la bataille de Cholet en 1793, est édifié à l'occasion du bicentenaire de la révolte vendéenne de 1793[L 7].

    Espaces verts

    Cholet possĂšde de nombreux espaces verts : lac de Ribou, lac du Verdon, Ă©tang des Noues, Ă©tang de la GodiniĂšre, Ă©tang du Bois-RĂ©nier, Ă©tang de Mocrat, parc de Moine, jardin du Mail, parc Turpault, massif forestier des Bois-Lavau, parc du menhir. Chaque annĂ©e, depuis mars 1966, Ă  l'occasion de la FĂȘte de l'arbre, les Ă©lus et particuliers intĂ©ressĂ©s plantent des arbres dans diffĂ©rents lieux publics (parcs, rues, Ă©coles)[L 8].

    En 2019, Cholet — qui dĂ©tient dĂ©jĂ  quatre fleurs au label des Villes et villages fleuris — obtient le trophĂ©e Fleur d'or[244] - [245].

    • Le lac de Ribou.
      Le lac de Ribou.
    • Le lac du Verdon.
      Le lac du Verdon.
    • Jardin du Mail.
      Jardin du Mail.
    • Parc Turpault.
      Parc Turpault.
    • Parc Turpault.
      Parc Turpault.

    Personnalités liées à la commune

    La liste suivante recense quelques-unes des personnalités liées à Cholet soit par leur naissance soit par leur résidence ou une action marquante au sein de cette commune et qui ont une page dédiée sur wikipédia ; pour la liste complÚte voir :

    HĂ©raldique et logotype

    Cholet

    « D'azur à la croix d'argent frettée de gueules »
    (armes de la famille De Broon, anciens seigneurs)[251].

    Dans les années 1980, Cholet fait partie des premiÚres villes à se doter d'un logo dont l'entrelacement des traits s'inspire de la maille du textile. En 1990, ce logo unicolore est complété par un nouveau graphisme dont la partie supérieure représente, par un point rouge, la ville située entre la mer, symbolisée par des traits bleus et la campagne, symbolisée par des traits verts. Dans la partie inférieure apparaßt le nom de la ville et son slogan, l'entreprenante, décliné sous forme de signature.

    En 2012, un nouveau logo est crĂ©Ă©, plus moderne, plus accrocheur, Ă  l'image de ce qu'elle est devenue : la ville triple A (audacieuse, ambitieuse, attractive). Le nom de la ville se renforce d'un « c » tronquĂ© rappelant celui du copyright et les couleurs, rouge et blanc, reprennent celles du mouchoir historique de Cholet. Si le logo change, la signature reste la mĂȘme, parce que Cholet demeure particuliĂšrement entreprenante, grĂące Ă  son tissu Ă©conomique et associatif. Cette griffe traduit le caractĂšre unique de Cholet, et fait de la vie Ă  la choletaise une vĂ©ritable marque de fabrique[CM 5].

    • Logo de Cholet (1980).
      Logo de Cholet (1980).
    • Logo de Cholet (1990).
      Logo de Cholet (1990).
    • Nouveau logo (2012).
      Nouveau logo (2012).

    Notes et références

    Notes

    1. La mairie annexe du Puy-Saint-Bonnet (commune associée) est à km de la limite Maine-et-Loire/Vendée.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[22].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[23].
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. voir l'article Chùteau de Pimpéan
    9. On trouve aussi 1640 : y aurait-il deux générations ?
    10. À l'origine, le mouchoir typique de Cholet est blanc avec des rayures bleues.
    11. Un mouchoir de Cholet est remis aux visiteurs en signe de bienvenue.
    12. En 2012, le seul métier à tisser fonctionnant à Cholet est au musée du textile.
    13. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    14. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    15. Nombre d'élÚves avec l'école élémentaire.
    16. Nombre d'Ă©lĂšves avec l'Ă©cole maternelle.
    17. MFR et centre de formation d'apprentis
    18. Elle remplace la piscine de Bel-Air, route de Toutlemonde, devenue plus tard le bassin de sécurité incendie de l'usine Michelin
    19. Liste non exhaustive
    20. qui remplace en janvier 2012 le centre Convergence détruit par un incendie
    21. Voir le chapitre Édifices religieux
    22. Cette auberge située à l'entrée de la rue n'existe plus en 2015
    23. PÚre de Ménie Grégoire
    24. 30 tonnes en granit des Aubiers, mesurant 3,60 mĂštres de haut et 6,50 mĂštres de circonfĂ©rence
    25. Monument érigé à l'initiative du Souvenir vendéen et inauguré le en bordure du boulevard périphérique prÚs de l'aérodrome
    26. Nom et date gravés au dos du monument.
    27. Douze Choletais, morts pour la France pendant la guerre d'Algérie, ont leur nom inscrit sur ce monument : Claude AMIOT, Maurice AUGEREAU, Pierre BOUCARD, Jean-Paul BOUCHET, Henri CHARPENTIER, Jean-François CHOULET, Yves COQUELIN, Jean-Marie GUINEBERTEAU, Henri LE DAIN, Gérard LEBANSAIS, Michel LECOINDRE et Francis SICARD.
    28. Elles Ă©taient auparavant au chĂąteau de Versailles
    29. De son vrai nom, Marie Laurentin

    Ouvrages

    1. Pierre Boureau 2019, p. 94 Ă  97.
    2. Pierre Boureau 2019, p. 78.
    3. Pierre Boureau 2019, p. 98-99.
    • Autres ouvrages :

    Site de l'Insee

    1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catĂ©gorie.
    2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
    3. LOG T7 - RĂ©sidences principales selon le statut d'occupation.
    4. LOG T6 - Ancienneté d'emménagement dans la résidence principale en 2009.
    5. LOG T3 - RĂ©sidences principales selon le nombre de piĂšces.
    6. LOG T8M - Confort des résidences principales.

    Quotidien Ouest-France

    1. Ouest France, quotidien régional, édition de Cholet du .
    2. Ouest France, quotidien régional, édition de Cholet du
    3. Ouest France, quotidien régional, édition de Cholet du
    4. « Cholet. La salle Grégoire est opérationnelle ! », sur ouest-france.fr, Ouest France, (consulté le ).
    5. Ouest France, quotidien régional, édition de Cholet, du
    6. Ouest France, quotidien régional, édition de Cholet du .
    7. Ouest France, quotidien régional, édition de Cholet du 4 novembre 2009
    8. Ouest France, quotidien régional, édition de Cholet du 31 mars 2011
    9. Ouest France, quotidien régional, édition de Cholet du 18 septembre 2011

    Mensuel Cholet mag

    1. Direction de la communication de la ville de Cholet, « Recensement 2012 », Cholet mag, no 254,‎ , p. 12.
    2. Direction de la communication de la ville de Cholet, « Un skate park nouvelle gĂ©nĂ©ration pour Cholet », Cholet mag, no 256,‎ , p. 11.
    3. Direction de la communication de la ville de Cholet, « Programme de rĂ©habilitation des Ă©difices cultuels », Cholet mag, no 261,‎ , p. 8.
    4. Direction de la communication de la ville de Cholet, « ThĂ©Ăątre Saint-Louis, un Ă©quipement culturel exceptionnel », Cholet mag, no 261,‎ , p. 4.
    5. Direction de la communication de la ville de Cholet, « Une nouvelle identitĂ© visuelle pour Cholet », Cholet mag, no 254,‎ , p. 11.

    Hebdomadaire Synergences hebdo

    1. Agence pour la promotion du Choletais, « L'agenda#CollĂšge Jeanne d'Arc : journĂ©es du patrimoine », Synergences hebdo, l'hebdomadaire de la CommunautĂ© d'AgglomĂ©ration du Choletais, no 343,‎ , p. 11.
    2. Agence pour la promotion du Choletais, « L'hippodrome de 1852 Ă  aujourd'hui », Synergences hebdo, l'hebdomadaire de la CommunautĂ© d'AgglomĂ©ration du Choletais, no 337,‎ , p. 6.
    3. Agence pour la promotion du Choletais, « Dans un coin du musĂ©e 
 un plafond haut en couleurs », Synergences hebdo, l'hebdomadaire de la CommunautĂ© d'AgglomĂ©ration du Choletais, no 272,‎ , p. 3.
    4. Agence pour la promotion du Choletais, « Au fil de l'actualitĂ© », Synergences hebdo, l'hebdomadaire de la CommunautĂ© d'AgglomĂ©ration du Choletais, no 276,‎ , p. 12.
    5. Agence pour la promotion du Choletais, « Une nouvelle Ăšre culturelle », Synergences hebdo, l'hebdomadaire de la CommunautĂ© d'AgglomĂ©ration du Choletais, no 275,‎ , p. 1.

    Autres sources

    1. « Cholet », sur lion1906.com (consulté le ).
    2. « Orthodromie entre "Cholet" et "Angers" », sur lion1906.com (consulté le ).
    3. « Orthodromie entre "Cholet" et "Roche-sur-Yon" », sur lion1906.com (consulté le ).
    4. « Orthodromie entre "Cholet" et "Nantes" », sur lion1906.com (consulté le ).
    5. « Orthodromie entre "Cholet" et "Poitiers" », sur lion1906.com (consulté le ).
    6. Pierre Louis Augereau, « Maine-et-Loire. En vente aux enchĂšres Ă  Angers, cette carte de 1579 raconte l’Anjou d’autrefois », sur ouest-france.fr, Le Courrier de l'Ouest, (consultĂ© le )
    7. « Historique des communes », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Figure 9 : Les divers domaines constitutifs de la zone sud armoricaine, tirĂ© de Carine Cartier, « Structure de l’unitĂ© de Saint-Georges-sur-Loire et du domaine ligĂ©rien (Massif Armoricain). Implications gĂ©odynamiques pour la chaĂźne hercynienne », GĂ©ologie appliquĂ©e, UniversitĂ© d’OrlĂ©ans, 2002, p. 24.
    9. [PDF] Notice explicative de la feuille Cholet Ă  1/50 000 par J. Le MĂ©tour, avec la collaboration de J. P. Blouin, J. Chantraine, L. Clozier, H. Étienne, Ă©ditions du BRGM, 1989, 56 p.
    10. Sciences de la terre, Foundation scientifique de la géologie et de ses applications, , p. 18.
    11. C. Lorenz, Géologie des pays européens : France, Belgique, Luxembourg, Dunod, , p. 135.
    12. Ramon Capdevila, « Les granites varisques du Massif Armoricain », Bulletin de la SociĂ©tĂ© GĂ©ologique et MinĂ©ralogique de Bretagne, sĂ©rie D (7),‎ , p. 36 (lire en ligne [PDF]).
    13. Distribution des cinq associations plutoniques constituant les granitoĂŻdes varisques du Massif Armoricain
    14. Ramon Capdevila, « Les granites varisques du Massif Armoricain », Bulletin de la SociĂ©tĂ© GĂ©ologique et MinĂ©ralogique de Bretagne, sĂ©rie D (7),‎ , p. 48 (lire en ligne [PDF]).
    15. Denis ThiĂ©blemont, Catherine Guerrot, JoĂ«l Le MĂ©tour, Pierre JĂ©zĂ©quel, « Le complexe de Cholet-Thouars : un ensemble volcano-plutonique cambrien moyen au sein du bloc prĂ©cambrien des Mauges », GĂ©ologie de la France, nos 1-2,‎ , p. 7-17 (lire en ligne).
    16. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestiÚre, [lire en ligne].
    17. « L’étang de la GodiniĂšre », sur cholet.fr (consultĂ© le ).
    18. « La vallée de Bretagne et l'étang de Mocrat », sur cholet.fr (consulté le ).
    19. « L’étang de PĂ©ronne », sur cholet.fr (consultĂ© le ).
    20. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    21. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    22. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    23. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    24. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    25. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    26. « Fiche du Poste 49099003 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    27. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    29. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Unité urbaine 2020 de Cholet », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    31. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    32. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    33. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    34. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    35. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    36. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    37. Sous-préfecture de Cholet, Plan Local d'Urbanisme : Orientations d'aménagements, Cholet, , 88 p. (lire en ligne), p. 12
    38. « Val de Moine : le choix de la mixité Val de moine », sur cholet.fr (consulté le )
    39. Sous-préfecture de Cholet, Plan Local d'Urbanisme : Orientations d'aménagements, Cholet, , 88 p. (lire en ligne), p. 44
    40. Sous-préfecture de Cholet, Plan Local d'Urbanisme : Orientations d'aménagements, Cholet, , 88 p. (lire en ligne), p. 76
    41. « Le Cormier V, un parc d'activités stratégique Infos Economie », sur Cholet.fr (consulté le )
    42. Cholet : Direction de la Communication, « Cholet cƓur de ville », Cholet Mag n°328,‎ , p. 9 (lire en ligne)
    43. Cholet : Direction de la Communication, « Des axes stratĂ©giques », Cholet Mag n°328,‎ , p. 10 (lire en ligne)
    44. Cholet : Direction de la Communication, « Trois friches Ă  rĂ©inventer », Cholet Mag n°328,‎ , p. 11 (lire en ligne)
    45. « La Boule d'Or. Appel à projet pour investisseurs Urbanisme », sur Cholet.fr (consulté le )
    46. Cholet : Direction de la Communication, « SĂ©curitĂ© : la Ville en actions », Cholet Mag N° 328,‎ , p. 10 (lire en ligne)
    47. Sous-préfecture de Cholet, Plan Local d'Urbanisme : Orientations d'aménagements, Cholet, , 88 p. (lire en ligne), p. 50
    48. « Puy Saint Bonnet : 1Úre tranche de travaux du lotissement l'actualité », sur cholet.fr (consulté le )
    49. « La nouvelle Meilleraie : machine à évÚnements l'actualité », sur cholet.fr (consulté le )
    50. « La nouvelle salle des fĂȘtes se dessine l'actualitĂ© », sur cholet.fr (consultĂ© le )
    51. Cholet : Direction de la Communication, « Le Centre Administratif Intercommunal », Cholet Mag n°321,‎ , p. 10 (lire en ligne)
    52. Cholet : Direction de la Communication, « La place du 8-Mai », Cholet Mag n°321,‎ , p. 10 (lire en ligne)
    53. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, p. 64, [lire en ligne].
    54. Patrice Arcelin, « 01. De l'habitation rurale à la naissance de l'urbanisme en Gaule protohistorique, l'exemple du midi méditerranéen » [vidéo], sur le site de la Cité de l'architecture et du patrimoine, (consulté le ).
    55. « Cholet, p. 748-762 », sur Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. Ier, par Célestin Port, à Angers, 1874 ; mis en ligne par les Archives départementales de Maine-et-Loire
    56. « Montjean », sur man8rove.com (consulté le )
    57. « Jeanne du Chastel », sur geneanet.org (consulté le )
    58. « Famille Barjot de Moussy, p. 4-5 », sur Racines & Histoire, par Etienne Pattou, 2017 et 2021
    59. « Famille de Broons », sur infobretagne.com
    60. « Famille Colbert de Maulévrier, p. 7 et 13-14 », sur Racines & Histoire, par Etienne Pattou, 2010 et 2021
    61. Jacques Hussenet 2007, p. 273.
    62. Jacques Hussenet 2007, p. 271.
    63. « Nos Croix de pierre », Bulletin paroissial de Saint-Pierre, Cholet,‎ , p. 1-2 (archives diocĂ©saines d'Angers).
    64. Charles Coubard, « Les Croix des Rogations », Bulletin paroissial de Saint-Pierre, Cholet,‎ , p. 4-7 (archives diocĂ©saines d'Angers).
    65. Jean-Claude Michon, « Cholet. Sur le chemin des croix érigées en 1850 », sur ouest-france.fr, Courrier-de-l'Ouest, (consulté le )
    66. Pierre VeillĂ©, « Cholet. La ville capitale du mouchoir depuis
 60 ans », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consultĂ© le ).
    67. « Le mouchoir de Cholet », sur cholet.fr (consulté le ).
    68. Gabriel BoussonniÚre (recherche : Michel Lefort), « Cholet. Le mystÚre de la tour de huit étages du XIXe siÚcle enfin élucidé », sur ouest-france.fr, Le Courrier de l'Ouest, (consulté le )
    69. Nathalie Hamon, « Cholet. Ils recensent les maisons de tisserands de la ville », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consulté le )
    70. « Toutes les modifications de commune pour le département de Maine-et-Loire (49) de 1930 à 2012 », sur archive.wikiwix.com (consulté le ).
    71. « Cholet en VendĂ©e : le maire « s'interroge » », Cholet - ma ville, Ouest France,‎ (lire en ligne).
    72. Marion Auvray, Vincent Danet et Julia Maz-Loumides, « Élections municipales annulĂ©es Ă  Cholet : il va falloir revoter », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consultĂ© le )
    73. Julia Maz-Loumides et Pol Partouche, « Élections municipales Ă  Cholet. « On ira revoter Ă  la rentrĂ©e, et voilĂ  » », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consultĂ© le )
    74. « Élection municipale partielle : Gilles Bourdouleix rĂ©Ă©lu maire Ă  Cholet », sur lemonde.fr, Le Monde, (consultĂ© le )
    75. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    76. http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000028664392
    77. « Cholet lance un guide d'accueil des personnes en situation de handicap », sur le site france-handicap-info.com de l'association Handi-Presse Info, (consulté le ).
    78. « Guide d'accueil des personnes en situation de handicap », sur le site de la mairie, (consulté le ).
    79. « Escapade : forum Vacances et loisirs adaptés », sur cholet.fr, (consulté le ).
    80. « Accessibilité et environnement », sur autre-faubourg.com (consulté le ).
    81. « Prix " Coup de CƓur du Jury " : CatĂ©gorie Emploi + 40 000 habitants », sur le site prix-collectivites-accessibles.fr du Groupe Moniteur, (consultĂ© le ).
    82. « Cholet : L'institut des langues ferme, des professeurs prennent la relÚve », sur ouest-france.fr (consulté le ).
    83. Laurent Lejard, « Les Choletais apprennent la LSF ! », sur yanous.com, (consulté le ).
    84. E. Dal'Secco, « Anjou : Cholet, c'est de la dynamique ! », sur handicap.fr, (consulté le ).
    85. « Cholet. Un relais d’information sur le handicap », sur ouest-france.fr, (consultĂ© le ).
    86. « Label Handi-Bienveillant », sur cholet.fr (consulté le ).
    87. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministÚre des Affaires étrangÚres (consulté le ).
    88. « Cholet (49300) », sur habitants.fr (consulté le ).
    89. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    90. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    91. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    92. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Cholet (49099) », (consultĂ© le ).
    93. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de Maine-et-Loire (49) », (consultĂ© le ).
    94. « Les grands principes du systÚme éducatif », sur education.gouv.fr (consulté le )
    95. « Maine-et-Loire (49), Cholet, écoles », sur education.gouv.fr (consulté le ).
    96. « Annuaire : école maternelle Anne Bronté », sur education.gouv.fr (consulté le )
    97. « Annuaire : école maternelle Buffon », sur education.gouv.fr (consulté le )
    98. « Annuaire : école maternelle publique Chambord », sur education.gouv.fr (consulté le )
    99. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école primaire publique Jules Verne », sur education.gouv.fr (consulté le )
    100. « Annuaire : École maternelle La Bourie-FresniĂšre », sur education.gouv.fr (consultĂ© le )
    101. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école maternelle publique La BruyÚre », sur education.gouv.fr (consulté le )
    102. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école élémentaire publique La Chevallerie », sur education.gouv.fr (consulté le )
    103. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école maternelle publique La Fontaine », sur education.gouv.fr (consulté le )
    104. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école élémentaire publique La GirardiÚre », sur education.gouv.fr (consulté le )
    105. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école maternelle publique Paradis », sur education.gouv.fr (consulté le )
    106. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école maternelle publique Les RichardiÚres », sur education.gouv.fr (consulté le )
    107. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école maternelle publique Les TurbaudiÚres », sur education.gouv.fr (consulté le )
    108. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école maternelle publique Saint-Exupéry », sur education.gouv.fr (consulté le )
    109. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école élémentaire publique Marie-Curie », sur education.gouv.fr (consulté le )
    110. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école maternelle publique MoliÚre », sur education.gouv.fr (consulté le )
    111. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école primaire privée Jeanne d'Arc », sur education.gouv.fr (consulté le )
    112. « Annuaire : prĂ©sentation des Ă©coles, collĂšges, lycĂ©es, etc. : Ă©cole primaire privĂ©e Notre-Dame du ChĂȘne Rond », sur education.gouv.fr (consultĂ© le )
    113. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école primaire privée Notre-Dame du Bretonnais », sur education.gouv.fr (consulté le )
    114. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école primaire privée Sainte Marie », sur education.gouv.fr (consulté le )
    115. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école primaire privée Saint-Pierre Gelusseau », sur education.gouv.fr (consulté le )
    116. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école primaire privée St Louis Le Breloquet », sur education.gouv.fr (consulté le )
    117. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école primaire privée St-Jean », sur education.gouv.fr (consulté le )
    118. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école primaire privée St-Joseph », sur education.gouv.fr (consulté le )
    119. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école élémentaire publique Buffon », sur education.gouv.fr (consulté le )
    120. « Annuaire : École Ă©lĂ©mentaire Chambord », sur education.gouv.fr (consultĂ© le )
    121. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école élémentaire publique Ch. et Emily Bronté », sur education.gouv.fr (consulté le )
    122. « Annuaire : École Ă©lĂ©mentaire La Bourie-FresniĂšre », sur education.gouv.fr (consultĂ© le )
    123. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école élémentaire publique La BruyÚre », sur education.gouv.fr (consulté le )
    124. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école élémentaire publique La Chevallerie », sur education.gouv.fr (consulté le )
    125. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école élémentaire publique Les RichardiÚres », sur education.gouv.fr (consulté le )
    126. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école élémentaire publique Les TurbaudiÚres », sur education.gouv.fr (consulté le )
    127. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école élémentaire publique Marie Curie », sur education.gouv.fr (consulté le )
    128. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école élémentaire publique Marie Curie », sur education.gouv.fr (consulté le )
    129. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école élémentaire publique Paradis », sur education.gouv.fr (consulté le )
    130. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école élémentaire publique Saint-Exupéry », sur education.gouv.fr (consulté le )
    131. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : école élémentaire publique Turpaul », sur education.gouv.fr (consulté le )
    132. « Maine-et-Loire (49), Cholet, collĂšges », sur le site du ministĂšre de l'Éducation nationale (consultĂ© le ).
    133. « PalmarÚs des collÚges 2016 - taux de mentions au brevet », sur www.france-examen.com (consulté le )
    134. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : collÚge Colbert », sur education.gouv.fr (consulté le )
    135. « CollÚge Colbert, Cholet (49), toutes les infos », sur www.letudiant.fr (consulté le )
    136. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : collÚge Georges Clémenceau », sur education.gouv.fr (consulté le )
    137. « CollÚge Georges Clémenceau, Cholet (49), toutes les infos », sur www.letudiant.fr (consulté le )
    138. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : collÚge Joachim du Bellay », sur education.gouv.fr (consulté le )
    139. « CollÚge Joachim du Bellay, Cholet (49), toutes les infos », sur www.letudiant.fr (consulté le )
    140. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : collÚge République », sur education.gouv.fr (consulté le )
    141. « CollÚge République, Cholet (49), toutes les infos », sur www.letudiant.fr (consulté le )
    142. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : collÚge TrémoliÚres », sur education.gouv.fr (consulté le )
    143. « CollÚge TrémoliÚres, Cholet (49), toutes les infos », sur www.letudiant.fr (consulté le )
    144. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : collÚge Jeanne d'Arc », sur education.gouv.fr (consulté le )
    145. « CollÚge privé Jeanne d'Arc, Cholet (49), toutes les infos », sur www.letudiant.fr (consulté le )
    146. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : collÚge Notre-Dame du Bretonnais », sur education.gouv.fr (consulté le )
    147. « CollÚge privé Notre-Dame du Bretonnais, Cholet (49), toutes les infos », sur www.letudiant.fr (consulté le )
    148. « Annuaire : présentation des écoles, collÚges, lycées, etc. : collÚge Saint-Joseph », sur education.gouv.fr (consulté le )
    149. « CollÚge privé Saint-Joseph, Cholet (49), toutes les infos », sur www.letudiant.fr (consulté le )
    150. « Maine-et-Loire (49), Cholet, lycĂ©es », sur le site du ministĂšre de l'Éducation nationale (consultĂ© le ).
    151. Alain Valtat 1996, p. 438 Ă  443.
    152. « Lycée polyvalent Fernand Renaudeau », sur MinistÚre de l'Education Nationale de la Jeunesse et des Sports (consulté le )
    153. « Lycée Fernand Renaudeau-La Mode, Cholet (49), toutes les infos dont les spécialités », sur www.letudiant.fr (consulté le )
    154. Rectorat de Nantes, « ac-nantes.fr - Annuaire des établissements », sur www.ac-nantes.fr (consulté le )
    155. « Lycée polyvalent Europe Robert Schuman, Cholet (49), toutes les infos dont les spécialités », sur www.letudiant.fr (consulté le )
    156. « Annuaire : prĂ©sentation des Ă©coles, collĂšges, lycĂ©es, etc. », sur MinistĂšre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supĂ©rieur et de la Recherche (consultĂ© le )
    157. « Annuaire des établissements - Sainte Marie », sur http://annuaire-ec.ac-nantes.fr, académie de Nantes (consulté le ).
    158. « Lycée Jeanne Delanoue, Cholet (49), toutes les infos », sur www.letudiant.fr (consulté le )
    159. « Lycée Jeanne Delanoue », sur MinistÚre de l'Education Nationale de la Jeunesse et des Sports (consulté le )
    160. « Lycée technologique et professionnel la Providence », sur MinistÚre de l'Education Nationale de la Jeunesse et des Sports (consulté le )
    161. « Lycée technologique et professionnel la Providence, Cholet (49), toutes les infos », sur www.letudiant.fr (consulté le )
    162. « Lycée professionnel MFR », sur mfr-levallon.fr/.
    163. « Établissement Sainte Marie - ESUPEC | L'historique », sur www.saintemarie-cholet.eu (consultĂ© le )
    164. « Accueil : vie étudiante », sur univ-angers.fr (consulté le )
    165. « Adaptations : festival de cinéma », sur adaptations-festival.com (consulté le ).
    166. « le festival les Arlequins », sur cholet.fr (consulté le ).
    167. « Festival des Arlequins. Les Choletais Robert et Miquelon raflent l’or », sur ouest-france.fr, Ouest France, (consultĂ© le ).
    168. « Amicale des carnavaliers de Cholet », sur carnavalier-cholet.com (consulté le ).
    169. Emmanuelle Mary, « Carnaval : la plus belle parade nocturne, ce samedi, à Cholet », sur pleinevie.fr, (consulté le ).
    170. « Les allumés », sur archive.wikiwix.com (consulté le ).
    171. « Effervescences », sur archive.wikiwix.com (consulté le ).
    172. Christian MĂ©as, « Cholet : L’ÉtĂ© Cigale est mort, vive Bars en scĂšne », sur ouest-france.fr, Ouest France, (consultĂ© le ).
    173. « Hotmilk Film Makers : Festival du court-métrage Cholet », sur hotmilk-festival.com (consulté le ).
    174. http://adcmeeting.free.fr/meeting/meeting.html
    175. « Cholet se souvient de Roland Garros », sur aerobuzz.fr (consulté le ).
    176. Brice Tonini 2007, p. 62.
    177. Direction de la communication de la ville de Cholet, « Le trophĂ©e l'Equipe pour la plus sportive de France », Cholet mag, no 282,‎ , p. 7.
    178. Les rues de Cholet, www.annuaire-mairie.fr, consulté le
    179. « La ligue des Pays de la Loire : Les présidents successifs de la ligue des Pays de la Loire », sur paysdelaloirebasketball.org (consulté le )
    180. « Découvrez l'histoire de l'association Camouflage Street Club », sur Camouflage Street Crew (consulté le )
    181. Freddy Reigner, « Cholet. Le sport représente un parc immobilier « énorme » », sur ouest-france.fr, Le Courrier de l'Ouest, (consulté le )
    182. Archives de l’OMS, consultĂ©es le .
    183. Journal Officiel de la République française, , p. 6760.
    184. Statuts de l'Office municipal du sport de Cholet en date du .
    185. « Challenge L'Équipe : Cholet Ă©lue ville la plus sportive de France », (consultĂ© le ).
    186. Annuaire 2020-2021 de l'office municipal du sport de Cholet, consulté le .
    187. archives de l'Office municipal du sport consultées le
    188. Le Courrier de l'Ouest, quotidien régional, édition de Cholet du
    189. Le Courrier de l'Ouest, quotidien régional, édition de Cholet du
    190. « L'Office Municipal du Sport de Cholet », sur oms-cholet.com.
    191. « L’association Camouflage Street Crew », sur camouflagestreetcrew.com (consultĂ© le )
    192. « Tour de France 2018 : Cholet - Cholet : pour tout savoir sur l'étape 3 », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consulté le ).
    193. 4e Ă©tape du Tour de France 2008 et 5e Ă©tape du Tour de France 2008.
    194. C. L., « Descente de police sur le tour », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
    195. « Les Championnats de France de Cyclisme sur Route 2022 auront lieu Ă  Cholet (Maine et Loire – Pays de la Loire) », sur ffc.fr, FĂ©dĂ©ration française de cyclisme, (consultĂ© le ).
    196. « Championnats de France : un parcours taillĂ© pour les sprinteurs », sur lequipe.fr, L'Équipe, (consultĂ© le ).
    197. « Cholet. La grande mosquée à bras ouverts », sur Ouest France (consulté le ).
    198. « Une nouvelle mosquée turque en construction », sur Ouest France (consulté le ).
    199. « Cholet. L'église des mormons construite derriÚre SÚvre Loire Habitat », sur Ouest France (consulté le ).
    200. « Tim Composites, Qui Sommes-nous ? », sur timcomposites.fr (consulté le )
    201. Vincent Danet, « Cholet. Une nouvelle usine pour l’insertion des personnes Ă  handicap cognitif va ouvrir fin 2022 », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consultĂ© le )
    202. Jean-Maillard, « Cholet. En 1858, la ville comptait 126 plaques de rue », sur ouest-france.fr, Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
    203. Jean-Claude Michon, « Cholet. Histoire. La rue des Vieux-Greniers renvoie au temps de la gabelle », sur ouest-france.fr, Le Courrier de l'Ouest, (consulté le )
    204. Yves Boiteau, « Cholet. Le confinement a rĂ©veillĂ© les souvenirs d’enfance de Benoit », sur ouest-france.fr, Le Courrier de l'Ouest, (consultĂ© le )
    205. Alexandre Blaise, « Cholet.Deux avenues en l’honneur de Jacques Chirac et Simone Veil », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consultĂ© le ).
    206. Jean-Claude Michon, « Cholet. Petit retour historique sur la ruelle de la TĂȘte-Noire », sur ouest-france.fr, Courrier-de-l'Ouest, (consultĂ© le )
    207. « Inventaire des rues vendĂ©ennes : d’anciennes rues sorties des archives de Cholet (49) », sur vendeensetchouans.com, (consultĂ© le ).
    208. Jean Maillard, JaurÚs à Cholet, SLA Cholet - revue périodique - n°143, , 37 à 57.
    209. Jean-Claude Michon, « Cholet - La rue de la Casse était un endroit boueux », sur ouest-france.fr, Le Courrier de l'Ouest, (consulté le )
    210. « Ste Bernadette 50 ans d'histoire », sur choletcatho.net (consulté le ).
    211. http://www.choletcatho.net/stlouis_construction_eglise.pdf
    212. Bureau de recherches archĂ©ologiques du Choletais, « Le suicide du gĂ©nĂ©ral Moulin », La gazette de 93, no 12,‎ , p. 2.
    213. « Tour dite du Grenier a sel », notice no PA00109054, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    214. Direction de la communication de la ville de Cholet, « Parc du menhir », Cholet mag, no 289,‎ , p. 12, 13.
    215. « Cholet-Superbe hÎtel particulier rue nationale », sur ebay.fr, cartes postales anciennes (consulté le ).
    216. Jean-Claude Michon, « Cholet. L’autre dynastie des Turpault », sur ouest-france.fr, Le Courrier de l'Ouest, (consultĂ© le ).
    217. archives municipales de Cholet, « 14-18 : Cholet honore la mĂ©moire de ses soldats », Cholet Mag, n° 322,‎ , p. 24.
    218. « Cholet : Un étonnant projet de monument aux Morts », sur courrierdelouest.fr, Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
    219. « Jardin de verre : Espace du spectacle vivant », sur jardindeverre.fr (consulté le ).
    220. Sophie Delafontaine, « Jean Yves Boucher 40 ans d'histoire au Jardin de Verre », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consulté le ).
    221. « Le Jardin de Verre », sur ot-cholet.fr (consulté le ).
    222. « Jardin de verre : Fiche technique » [PDF], sur jardindeverre.fr (consulté le ).
    223. Suzanne Lebeau, « La culture est l'école de l'ùme : Pour une éducation créative », sur jardindeverre.fr (consulté le ).
    224. « Fiche technique et plans Interlude », sur trpl.fr (consulté le ).
    225. Lucas Larcher, « Cholet. Le 10 août 2008, le théùtre Interlude emménageait », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consulté le ).
    226. François Drémaux, « Le théùtre municipal de Cholet », sur journals.openedition.org, Annales de Bretagne et des pays de l'ouest, (consulté le ), p. 145-172.
    227. Marie-Anne Salvat, « Le théùtre municipal détruit par un incendie », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consulté le ).
    228. « L’hĂŽpital de Cholet, Maine-et-Loire », sur patrimoine-hospit.blogspot.com (consultĂ© le ).
    229. « Théùtre Saint Louis - plan de la salle Espaces culturels Culture », sur Cholet.fr (consulté le ).
    230. (en) « Synergences hebdo n°256 », sur Issuu (consulté le ).
    231. « Conservatoire - Espace Saint Louis », sur Cholet.fr (consulté le ).
    232. Charles Dubré-Beduneau, « Rémi CorbiÚre nouveau directeur du Conservatoire », sur ouest-france.fr, Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
    233. « BibliothÚque du CRD », sur www.labib.agglo-laval.fr (consulté le ).
    234. « Conservatoire - Le théùtre », sur cholet.fr (consulté le ).
    235. « La LudothÚque », sur cholet.fr (consulté le ).
    236. « Jeune chambre économique du choletais », sur jce-paysdelaloire.org (consulté le ).
    237. « Danse annuaire des associations-Cholet », sur cholet.fr (consulté le ).
    238. « La grange aux Arts : association artistique et culturelle - Pays de la Loire », sur grangeauxarts.fr (consulté le ).
    239. Le site du photographe BenBen.
    240. « Le musée d'art et d'histoire », sur cholet.fr (consulté le ).
    241. « A. Manceau, patron de presse et pétainiste », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
    242. « Association des Amis du Musée du Textile Choletais », sur museedutextile.com (consulté le ).
    243. « Une programmation d’expositions temporaires dynamiques », sur museedutextile.com (consultĂ© le )
    244. « Villes et Villages fleuris : une Fleur d’or pour Cholet », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consultĂ© le ).
    245. Direction de la communication de la ville de Cholet, « Fleur d'or », Cholet Mag, no 332,‎ , p. 7.
    246. « Qui était Gaston Barré ? », sur lyceegastonbarre.free.fr, (consulté le ), p. 2.
    247. « Fiche d’Élie Chamard », sur data.bnf.fr (consultĂ© le ).
    248. « Ces curĂ©s de Notre-Dame devenus Ă©vĂȘques ou cardinal », sur courrierdelouest.fr, Courrier de l'Ouest, (consultĂ© le ).
    249. « Cholet. Les souvenirs d'enfance de Gilles Servat », sur ouest-france.fr, Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
    250. Bastien Lejot, « Gilles Servat revient sur son enfance Ă  Cholet : « J’ai fait ma communion au SacrĂ©-CƓur ! » », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consultĂ© le ).
    251. « Cholet », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

    Bibliographie

    Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article : document utilisĂ© comme source pour la rĂ©daction de cet article.

    • Christophe Belser, Cholet il y a cent ans en cartes postales anciennes, Prahec, Patrimoines et mĂ©dias, , 139 p. (ISBN 978-2-916757-00-1, BNF 40953217) . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • Pierre Boureau, Balade insolite Ă  Cholet, Saint-Denis, Edilivre, , 122 p. (ISBN 978-2-414-35921-9, BNF 46616371) . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • Bureau de recherches archĂ©ologiques du Choletais, La gazette de 93, 1993-1994, dĂ©pĂŽt lĂ©gal : 1244-1392 . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • Élie Chamard, L’école Saint-Joseph, la vieille Ă©cole choletaise, Cholet, Ă  compte d'auteur, imp. FarrĂ© & Freulon, , dĂ©pĂŽt lĂ©gal : II-1946 no 50 . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • Emmanuel de Chambost, La RadioĂ©lectricitĂ© en France sous l'Occupation : La Compagnie gĂ©nĂ©rale de tĂ©lĂ©graphie sans fil, enfance du groupe Thales, Paris, L'Harmattan, , 250 p. (ISBN 978-2-336-00196-8, BNF 42803002, lire en ligne)
    • Jean-Joseph Chevalier, Historiens de l'Anjou : L'histoire de Cholet et de son industrie d'Auguste-Amaury Gellusseau (1862), Rennes, Presses universitaires de Rennes, , 210 p. (ISBN 978-2-7535-2081-3, BNF 42771154) . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • Jean-Joseph Chevalier, Le mouchoir rouge de Cholet : Histoire d'un tissu Ă  message(s), Brissac-QuincĂ©, Éditions du Petit PavĂ©, , 111 p. (ISBN 978-2-84712-364-7) . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • Jean-Joseph Chevalier, Bleus, Rouges, Blancs : Histoire du mouvement ouvrier choletais (1870-1914), Cholet, La Geste, coll. « TĂ©moignage », , 497 p. (ISBN 979-10-353-1011-0, EAN 9791035310110) . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • BenoĂźt Guiton, Cholet Ă  pied : Confins d'enfance, Paris, Éditions de l'Onde, (ISBN 978-2-37158-239-2) . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • Jacques Hussenet (dir.), DĂ©truisez la VendĂ©e ! : Regards croisĂ©s sur les victimes et destructions de la guerre de VendĂ©e, La Roche-sur-Yon, Centre vendĂ©en de recherches historiques, , 634 p. . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • Augustin Jeanneau, Cholet et les Choletais aprĂšs la belle Ă©poque, Cholet, Les Éditions du Choletais, , 250 p., dĂ©pĂŽt lĂ©gal : IV-1974 . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • Augustin Jeanneau et Adolphe Durand, Cholet Ă  travers les rues, Cholet, Les Éditions du Choletais, , 192 p., dĂ©pĂŽt lĂ©gal : octobre 1988 . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • LĂ©on Ligneau, La Jeune France Ă  Cholet, histoire d’un centenaire, MaulĂ©vrier, HĂ©rault, , 262 p. (ISBN 978-2-7407-0194-2, BNF 39055857) . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • Maurice Ligot, 1965-1995 : L'audace d'une ville Cholet, MaulĂ©vrier, HĂ©rault, , 120 p. (ISBN 2-7407-0095-4, BNF 35813904) . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • Scarlett Martin, 1939-1945 : le Choletais une rĂ©gion dans la guerre, Angers BeaucouzĂ©, AFMD 49, , 362 p. . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • LĂ©on Pissot, Histoire de Cholet (fac-similĂ© de l'Ă©dition de 1883), Cholet, Les Editions du choletais, , 218 p. . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • Jean et Chantal Maugeais, « Auguste Cambon maire de Cholet en 1793 », SociĂ©tĂ© des sciences, lettres et arts de Cholet et de sa rĂ©gion, Cholet, Pays et Terroirs,‎ (ISBN 978-2-7516-0338-9) . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • CĂ©lestin Port, Dictionnaire historique, gĂ©ographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e Ă©d. (BNF 33141105, lire en ligne)
    • Jean-Pierre Pujes, Un siĂšcle d'Ă©lectronique, Histoire du groupe Thales, AICPRAT, , 300 p. . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • Geoffrey Ratouis, Cholet de A Ă  Z, Saint-Cyr-sur-Loire, Éditions Alan Sutton, , 128 p. (ISBN 978-2-8138-0253-8, BNF 42317099) . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • Nadia Simony, Les gens de la radio : 50 ans d'histoire sociale Ă  la Thomson-CSF de Cholet, Paris, L'Harmattan, , 136 p. (ISBN 2-7384-5200-0, BNF 36168119) . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • Brice Tonini, La dynamique spatiale des pratiques sportives. Des patronages Ă  l’intercommunalitĂ©. L’exemple du basketball, du football et du rugby dans les Pays de la Loire, Institut de gĂ©ographie et d’amĂ©nagement rĂ©gional de l’universitĂ© de Nantes, universitĂ© de Nantes, (prĂ©sentation en ligne, lire en ligne [PDF]), 1re partie : L’organisation du sport, chap. 1er (« Trois entrĂ©es, trois systĂšmes : la complexitĂ© du sport »), p. 62
    • Alain Valtat, Catalogue raisonnĂ© de l'oeuvre du peintre G. Dauvergne, 1922-1977, Sceaux, LĂ«vaña, , 483 p. (BNF 35857851)

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.