Chambellay
Chambellay est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire en région Pays de la Loire.
Chambellay | |||||
L'église Saint-Aubin. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Segré | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Vallées du Haut-Anjou | ||||
Maire Mandat |
Jean Pagis 2020-2026 |
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Code postal | 49220 | ||||
Code commune | 49064 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cambolitains | ||||
Population municipale |
394 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 31 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 41′ 28″ nord, 0° 40′ 56″ ouest | ||||
Altitude | Min. 17 m Max. 76 m |
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Superficie | 12,86 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Angers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Tiercé | ||||
Législatives | Septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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La commune fait partie de la communauté de communes de la région du Lion-d'Angers ainsi que du syndicat mixte Pays du Haut-Anjou Segréen.
Géographie
Chambellay se situe à 10 km du Lion-d'Angers, à 15 km de Segré, à 16 km de Château-Gontier et à 30 km d'Angers.
La commune s'étend de part et d'autre de la Mayenne, sur une superficie de 1287 hectares. Elle est parcourue par quelques ruisseaux : celui du Grand Saulaie qui constitue la limite nord de la commune, celui du Maudeux qui passe au nord du bourg et celui de la Baconne sur la rive gauche de la Mayenne. Seuls le bois des Défais et le parc du château de Bois-Montbourcher constituent des zones boisées sur la commune. Outre la N 162, la commune est parcourue par deux axes principaux de communication, un nord/sud le CD 187 et un est/ouest le CD 78.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Segre », sur la commune de Segré-en-Anjou Bleu, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 714,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, dans le département d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1945 et à 88 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Chambellay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,7 %), prairies (37,6 %), zones agricoles hétérogènes (10,2 %), forêts (4,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,1 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
La ville s'appelait Cambriliacus Villa à la fin de l'Antiquité, Camberliacus au XIe siècle, Chambelleyum au XIIIe siècle
Histoire
Selon Célestin Port (référence indexée en bas de page, Dictionnaire de Maine-et-Loire, p. 623) au Moyen Âge, la châtellenie de Chambellay relevait, pour une partie, de la baronnie de Candé et pour partie du château d'Angers. La seigneurie de Chambellay appartenait à la famille de Montalais (du XIVe à la fin du XVIIe siècle), avant d'être cédée en 1696 à la famille de Racapé, puis de passer, jusqu'à la Révolution, par succession en 1734 aux d'Héliand d'Ampoigné et enfin par alliance en 1770 aux Juigné du Parvis.
Sous l'Ancien Régime, Chambellay faisait partie de la sénéchaussée d'Angers.
Pendant la Première Guerre mondiale, 33 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, deux habitants sont tués[21].
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté de communes de la région du Lion-d'Angers[24], elle-même membre du syndicat mixte Pays de l'Anjou bleu, Pays segréen.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].
En 2020, la commune comptait 394 habitants[Note 7], en augmentation de 7,07 % par rapport à 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,3 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 197 hommes pour 203 femmes, soit un taux de 50,75 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Sur 39 établissements présents sur la commune à fin 2010, 44 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 5 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 33 % de celui du commerce et des services et 10 % du secteur de l'administration et de la santé[31].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château du Bois-Montbourcher
- Église Saint-Aubin[32] (avec les toiles d'Adeline Neveux (1912-1987)
Architectes : Alfred Tessier et Prosper Lemesle (cambolitain de naissance). L'église remplace une église romane qui contenait de très belles peintures murales. La reconstruction est confiée en 1858 à Tessier. Les travaux sont menés jusqu'en 1861 sous la direction de Prosper Lemesle. En 1911, la flèche fait l'objet de consolidations. Quinze toiles marouflées murales d'Adeline Neveux y sont installées en 1941 et montrent des scènes de l'Ancien et du Nouveau Testament.
L'église est en croix latine ; elle possède un clocher-porche hors-œuvre en façade. Le clocher est en pierre à trois étages couronnés d'une flèche polygonale. La nef unique est composée de cinq travées voûtées d'ogives en brique, d'une travée de chœur et d'une abside à cinq pans. L'église est éclairée par des baies à deux lancettes excepté les pignons des bras du transept percés de roses. Des peintures de H. Fournier et de l'Angevin René Rabault viennent compléter le décor.
XVIIIe – XIXe siècle
- comte Louis-Gabriel-Auguste d'Andigné de Mayneuf (1763-1839), magistrat et homme politique: conseiller au Parlement de Bretagne (1788-1790), président du Conseil général de Maine-et-Loire (1807-1809, 1818-1819, 1822-1823, 1825-1827,1829-1831), maire de Chambellay (1808-1818), député de Maine-et-Loire (1815-1827), Premier président de la Cour royale d'Angers (1824-1830), chevalier de la Légion d'honneur.
- Toussaint Grille (1766-1850), collectionneur d'ouvrages et d'antiquités angevines : avant de devenir directeur de la bibliothèque municipale d'Angers (1805-1837), il avait été curé assermenté de Chambellay (1792-1793). Son neveu, François Grille (1782-1853), qui lui succéda comme bibliothécaire de la ville d'Angers, fréquentait le salon que Rosalie Barbot (1771-1863), la tante de Prosper Barbot (cf. infra), tenait cour Saint-Aubin à Angers.
- vicomte Emmanuel Dambray (1785-1868), conseiller d'État, homme politique : conseiller général de la Seine-Inférieure, pair de France (1815-1830), député de la Mayenne (1849-1851), il était le fils de Charles Dambray, chancelier de France de Louis XVIII, président de la Chambre des pairs (1814-1829), ministre de la Justice et garde des Sceaux (1814-1815, 1816-1818).
- Prosper Barbot (1798-1878), artiste-peintre paysagiste et orientaliste : compagnon de Camille Corot en Italie (1824-1828), récompensé d'une médaille d'or au Salon de 1827, peignant ensuite en Algérie (1842) et en Égypte (1844-1846).
- marquis Guy de Charnacé (1825-1909), écrivain et musicologue : il se marie en 1849 à Claire d'Agoult (1830-1912), fille de Marie d'Agoult (1805-1876), en littérature Daniel Stern, du salon littéraire de laquelle il était devenu un habitué après avoir rencontré Honoré de Balzac à Dresde dans le salon de la comtesse Hanska.
XXe – XXIe siècle
- Alfred Bour(1882-1973), avocat au Barreau de Paris puis administrateur de biens, homme politique, journaliste. En 1935, il a hérité avec son épouse, née Caroline Leroux (1884-1947) et nièce de Georges Le Chatelier (1857-1935) décédé sans enfant, de la propriété du Verger, sise aujourd'hui 8 route de Saint-Martin à Chambellay, voisine de celle des Soulez-Larivière auxquels Alfred Bour était par ailleurs lié par sa sœur Adèle, épouse d'Émile Soulez. Un de ses fils, Louis Bour (1909-1998), publia en 1977 un livre sur son père: Alfred Bour, une vie, une époque, où figurent de nombreux souvenirs de sa vie à Chambellay, dont le récit de ses dernières années en Anjou.
- Jean-Claude Brialy (1933-2007), il a réalisé son premier film, Églantine, l'histoire de la vente d'une maison de famille inspirée de la vente de la maison de ses grands-parents paternels sise à Chambellay, rue du Commerce. En 1979, il demeure à Chambellay pendant le tournage d'un autre de ses films "les Malheurs de Sophie" (tourné au château de la Lorie, situé à La Chapelle-sur-Oudon près de Segré). Deux livres : Le ruisseau des singes (2000) et J'ai oublié de vous dire (2004), y évoquent plus les moments de son enfance passés à Chambellay
Héraldique
Chambellay
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Voir aussi
Bibliographie
- Célestin Port, Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (BNF 33141105, lire en ligne)
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Segre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Chambellay et Segré-en-Anjou Bleu », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Segre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Chambellay et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Port 1965, p. 622.
- « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la Préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
- « Chambellay. Jean Pagis réélu pour un second mandat de maire », sur Ouest-France, (consulté le ).
- Insee, Composition de l'EPCI de la Région du Lion d'Angers (244900585), consulté le 14 décembre 2013.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chambellay (49064) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Chambellay (49), consultées le 16 décembre 2012.
- Notice no IA49009798, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- C’est aussi le blason des villes de Machecoul (Loire-Atlantique) et d’Haroué (Meurthe-et-Moselle).