Trémont (Maine-et-Loire)
Trémont est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire, devenue le , une commune déléguée de la commune nouvelle de Lys-Haut-Layon[1].
Trémont | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Pays de la Loire | ||||
DĂ©partement | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Saumur | ||||
Commune | Lys-Haut-Layon | ||||
Statut | commune déléguée | ||||
Maire délégué Mandat |
Daniel Frappreau 2020-2026 |
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Code postal | 49310 | ||||
Code commune | 49356 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Trémontais | ||||
Population | 387 hab. (2013) | ||||
Densité | 48 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 47° 09âČ 32âł nord, 0° 26âČ 44âł ouest | ||||
Altitude | 74 m Min. 65 m Max. 116 m |
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Superficie | 8,1 km2 | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Cholet-2 | ||||
Historique | |||||
Fusion | 1er janvier 2016 | ||||
Commune(s) d'intégration | Lys-Haut-Layon | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
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Elle se situe dans le Vihiersois, Ă quelques kilomĂštres de la ville de Vihiers, dans l'appellation viticole du Coteaux-du-Layon (AOC).
GĂ©ographie
Localisation
Commune angevine du sud Layon, situĂ©e dans les Mauges, ce territoire rural de lâouest de la France se trouve Ă quelques kilomĂštres Ă l'est de Vihiers[2]. Son territoire est essentiellement rural. Pays de bocage, le Vihiersois se situe dans un triangle entre Angers, Cholet et Saumur.
Trémont (49) se trouve à 14 km de Doué-la-Fontaine, à 30 km de Saumur (RN 160) et à 36 km d'Angers[3].
Communes limitrophes
Les communes les plus proches sont La Fosse-de-Tigné (3 km), Cernusson (3 km), Tancoigné (4 km), Tigné (5 km), Montilliers (5 km), Les Cerqueux-sous-Passavant (6 km), Aubigné-sur-Layon (6 km), Vihiers (7 km), Passavant-sur-Layon (7 km) et Saint-Georges-sur-Layon (7 km)[3].
GĂ©ologie et relief
à quelques kilomÚtres au nord et à l'est du Vihiersois se trouve la vallée du Layon, qui marque la transition entre les Mauges et le Saumurois[4]. Le sud de l'Anjou comporte à l'est des terrains secondaires et tertiaires (Saumurois) et à l'ouest des terrains primaires (Mauges). Dans ces derniers, on trouve un pays de bocage sur des terrains de schistes et de granites[5].
Trémont se situe sur les unités paysagÚres du Couloir du Layon et du Plateau des Mauges[6].
L'altitude de la commune varie de 65 à 116 mÚtres[7], pour une altitude moyenne de 74 mÚtres. Son territoire s'étend sur plus de 8 km2 (810 hectares)[8]. Le bourg est situé sur des coteaux qui dominent les vallées du Livier et du Lucet.
Hydrographie
Plusieurs cours d'eau traversent la commune : le Livier, la Lande et le Lucet.
Climat
Son climat est tempéré, de type océanique. Le climat angevin est particuliÚrement doux, de par sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelées rares et les étés ensoleillés[9].
Urbanisme
Morphologie urbaine : le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.
En 2013, on trouvait 181 logements sur la commune de Trémont, dont 88 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 81 % des ménages en étaient propriétaires[10].
Toponymie
Formes anciennes du nom : Ecclesia de Tremunt en 1122, Prioratus de Tremonz en 1276, Tresmont en 1514, Tresmons en 1528, Tresmont en 1566 et jusqu'au XVIIIe siÚcle[11], Tremont en 1793, Tremont en 1801[8], pour devenir ensuite Trémont au XIXe siÚcle[12].
à noter que plusieurs communes portent le nom de « Trémont », dont Trémont (Orne).
Nom des habitants (gentilé) : Les Trémontais[13].
Histoire
Moyen Ăge
Du XIe au XIIIe siÚcle le fief dépend de la terre de Passavant, pour appartenir ensuite à la baronnie de Vézins, puis aux seigneurs de Loué[11].
Ancien RĂ©gime
à la veille de la Révolution française, une partie du Vihiersois dépend de la sénéchaussée d'Angers (La Salle-de-Vihiers, Vihiers, Coron) et une autre de la sénéchaussée de Saumur (Tigné, Cernusson, Les Cerqueux, Saint-Paul-du-Bois, La Plaine)[14].
Ăpoque contemporaine
à la réorganisation administrative qui suit la Révolution, Trémont est rattachée au canton de Nueil et au district de Vihiers, puis en 1800 au canton de Vihiers et à l'arrondissement de Saumur[8].
Comme dans le reste de la région, à la fin du XVIIIe siÚcle se déroule la guerre de Vendée, qui marquera de son empreinte la région.
En 2015 un projet de regroupement voit le jour au sein de la communautĂ© de communes du Vihiersois-Haut-Layon. Le 2 juillet, le conseil municipal de TrĂ©mont vote en faveur de la crĂ©ation d'une commune nouvelle au niveau de l'intercommunalitĂ©[15]. N'ayant pas obtenu la totale adhĂ©sion des communes de l'intercommunalitĂ©, les conseils municipaux des Cerqueux-sous-Passavant, La Fosse-de-TignĂ©, Nueil-sur-Layon, TignĂ©, TrĂ©mont et Vihiers valident Ă nouveau en septembre le projet d'une commune nouvelle baptisĂ©e Lys-Haut-Layon[16], dont la crĂ©ation est officialisĂ©e par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 5 octobre 2015[17], abrogĂ© et remplacĂ© par celui du 21 dĂ©cembre[1].
Politique et administration
Administration actuelle
Depuis le Trémont constitue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Lys-Haut-Layon et dispose d'un maire délégué[1].
Administration ancienne
La commune est créée à la Révolution, Tremont puis Trémont[8]. Le conseil municipal est composé de 11 élus[20].
Intercommunalité
Trémont est intégrée à la communauté de communes Vihiersois-Haut-Layon, qui regroupe douze communes, dont La Fosse-de-Tigné, Tancoigné, Cernusson et Montilliers[22]. Cette structure intercommunale est un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) qui a pour vocation de réunir les moyens de plusieurs communes, notamment dans le domaine du tourisme[23].
La communauté de communes est membre du pays de Loire en Layon, structure administrative d'aménagement du territoire.
Autres circonscriptions
Jusqu'en 2014, la commune fait partie du canton de Vihiers et de l'arrondissement de Saumur[24]. Le canton de Vihiers compte alors dix-sept communes. C'est l'un des quarante-et-un cantons que compte le département ; circonscriptions électorales servant à l'élection des conseillers généraux, membres du conseil général du département. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. Le canton de Vihiers disparait et la commune est rattachée au canton de Cholet-2, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[25].
La commune se trouve sur la quatriÚme circonscription de Maine-et-Loire, composée de six cantons dont Vihiers et Montreuil-Bellay.
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Ă partir du , les populations lĂ©gales des communes sont publiĂ©es annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose dĂ©sormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une pĂ©riode de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[27] - [Note 1].
En 2013, la commune comptait 387 habitants, en diminution de â1,02 % par rapport Ă 2008 (Maine-et-Loire : 3,2 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un ùge supérieur à 60 ans (20,7 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (52,4 % contre 48,4 % au niveau national et 48,6 % au niveau départemental).
Vie locale
Services publics prĂ©sents sur la commune : Mairie, Ă©cole maternelle et primaire. Les autres services publics sont prĂ©sents Ă Vihiers, ainsi que les structures sociales (ADMR du VihiersoisâŠ) et culturelles (Ă©cole de musique intercommunaleâŠ).
La plupart des structures de santé se situent également à Vihiers, tel l'hÎpital local[32] ou le centre de secours.
Le ramassage des déchets est géré par le syndicat mixte intercommunal pour le traitement des ordures ménagÚres et des déchets, le Smitom du Sud Saumurois, qui se trouve à Doué-la-Fontaine[33].
On trouve sur la commune un plan d'eau, l'aire de loisirs du Moulin d'eau, avec espace de pique-nique et pĂȘche autorisĂ©e, ainsi qu'un sentier de randonnĂ©e de 12 km, le sentier des Trois monts[34]. L'office du tourisme est situĂ© Ă Vihiers.
Ăconomie
Tissu Ă©conomique
Commune principalement agricole, en 2008, sur les 32 établissements présents sur la commune, 50 % relevaient du secteur de l'agriculture[35]. Deux ans plus tard, en 2010, sur 32 établissements présents sur la commune, 47 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur l'ensemble du département), 3 % du secteur de l'industrie, 19 % du secteur de la construction, 22 % de celui du commerce et des services et 9 % du secteur de l'administration et de la santé[36].
Sur 38 établissements présents sur la commune à fin 2014, 32 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 11 % sur le département), 3 % du secteur de l'industrie, 16 % du secteur de la construction, 42 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[10].
Outre les établissements agricoles, on trouve sur la commune plusieurs activités artisanales (briqueterie, traiteur, etc) ainsi que des structures de restauration.
Une zone dâactivitĂ©s est prĂ©sente sur les communes de Vihiers/Montilliers (Anjou Actiparc Vihiersois-Haut-Layon)[37].
Agriculture
La commune se situe dans la zone d'appellation viticole des Coteaux-du-layon (AOC).
Liste des appellations sur le territoire[38] :
- IGP Agneau du Poitou-Charentes, IGP BĆuf du Maine, AOC AOP Maine-Anjou, IGP Volailles de Cholet, IGP Volailles dâAncenis,
- IGP Brioche vendéenne,
- AOC AOP Anjou blanc, AOC AOP Anjou gamay, AOC AOP Anjou gamay nouveau ou primeur, AOC AOP Anjou mousseux blanc, AOC AOP Anjou mousseux rosé, AOC AOP Anjou rouge, AOC AOP Anjou Villages, AOC AOP Cabernet d'Anjou, AOC AOP Cabernet d'Anjou nouveau ou primeur, AOC AOP Coteaux du Layon, AOC AOP Coteaux du Layon Sélection de grains nobles, AOC AOP Crémant de Loire blanc, AOC AOP Crémant de Loire rosé, IGP Maine-et-Loire blanc, IGP Maine-et-Loire rosé, IGP Maine-et-Loire rouge, AOC AOP Rosé d'Anjou, AOC AOP Rosé d'Anjou nouveau ou primeur, AOC AOP Rosé de Loire, AOC AOP Saumur mousseux blanc, AOC AOP Saumur mousseux rosé.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Bien que l'on ne trouve pas sur la commune de Trémont (Maine-et-Loire) de bùtiments inscrits Monuments historiques, de nombreux figurent à l'Inventaire général[39] :
- Plusieurs fermes des XVIe, XVIIe et XVIIIe siÚcles, Inventaire général.
- Plusieurs maisons des XVIe, XVIIe et XVIIIe siÚcles, Inventaire général.
- Manoir, route de Cernusson, des XVe et XVIIe siÚcles, Inventaire général.
- Plusieurs moulins des XVIIIe et XIXe siÚcles, Inventaire général.
- Prieuré de Bénédictins Notre-Dame fondé au XIe siÚcle, annexe du prieuré de Montilliers au XIVe siÚcle, aujourd'hui détruit.
Le logis prioral devient presbytĂšre et l'Ă©glise devient Ă©glise paroissiale Notre-Dame-et-Saint Fiacre au XVIIe siĂšcle.
Autres lieux :
- Lavoir.
Pour approfondir
Bibliographie
- Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : S-Z, t. 4, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376), p. 594-597.
- Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire : N-Z, t. 3, Angers, LachÚse & Dolbeau, , 1re éd. (BNF 34106676), p. 624-625.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de nâafficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă 1999, que les populations correspondant Ă une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par lâInsee pour l'ensemble des communes.
Références
- PrĂ©fecture de Maine-et-Loire, « ArrĂȘtĂ© no DRCL-BCL-96 », sur maine-et-loire.gouv.fr, , p. 21-23 du recueil des actes administratifs de Maine-et-Loire no 97 du 21 dĂ©cembre 2015.
- IGN et BRGM, Géoportail Trémont (49), consulté le 11 juillet 2011.
- Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques Ă partir de TrĂ©mont (49) », sur Lion1906 (version du 21 octobre 2020 sur Internet Archive), consultĂ© le 8 juillet 2012 â Les distances affichĂ©es sont des distances orthodromiques (Ă vol d'oiseau).
- DĂ©partement de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Ăditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 146.
- Louis Poirier, « Essai sur la morphologie de l'Anjou mĂ©ridional (Mauges et Saumurois) », Annales de GĂ©ographie, t. 44, no 251,â , p. 474 (lire en ligne).
- Atlas des paysages de Maine-et-Loire (op. cit.) â DonnĂ©es consultables sur WikiAnjou.
- IGN, RĂ©pertoire GĂ©ographique des Communes (RGC 2010), consultĂ© le 2 fĂ©vrier 2012 â DonnĂ©es consultables sur WikiAnjou.
- Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales (EHESS), Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de TrĂ©mont, consultĂ©e le 13 septembre 2011 â Nom de la municipalitĂ© en 1793 (an II), selon le recensement rĂ©alisĂ© sur l'ensemble du territoire français de l'Ă©poque, et en 1801, selon les « ArrĂȘtĂ©s de rĂ©duction des justices de paix » (actes publiĂ©s au Bulletin des lois) constituant la premiĂšre nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
- Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Le climat de Maine-et-Loire », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du 28 janvier 2010 sur Internet Archive), consulté le 24 mai 2011.
- Insee, Statistiques locales du territoire de Trémont (49), consultées le 6 novembre 2016.
- CĂ©lestin Port 1878, p. 624-625 â selon ses travaux faits au XIXe siĂšcle sur les archives anciennes.
- Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 201.
- Gentilé : Trémontais, comme indiqué sur le site de l'OT Vihiersois-Haut-Layon, Fiche de Trémont consultée le 21 septembre 2011,
et, Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, édition révisée de 1996 par André Sarazin et Pascal Tellier, t. 4, p. 595. - Carte du Saumurois sous l'Ancien régime notamment réalisée à partir de l'ouvrage de Maïté Lafourcade, La FrontiÚre des origines à nos jours, Presses Universitaires de Bordeaux, 1998.
- Le Courrier de l'Ouest, « Mauges Communes nouvelles : 39 conseils municipaux ont voté oui jeudi soir », sur courrierdelouest.fr, .
- Le Courrier de l'Ouest, « Vihiers Elle s'appellera Lys Haut Layon », sur courrierdelouest.fr, .
- « ArrĂȘtĂ© no DRCL-NCL-2015-63 en date du 5 octobre 2015 portant crĂ©ation de la commune nouvelle de Lys-Haut-Layon », Recueil spĂ©cial des actes administratifs de la prĂ©fecture de Maine-et-Loire, no 74,â (lire en ligne [PDF]), p. 23.
- « Trémont », sur Mairie de Lys-Haut-Layon (consulté le ).
- « Lys-Haut-Layon. Médérick Thomas est le nouveau maire », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- Nombre de conseillers municipaux sur le Code général des collectivités territoriales.
- Préfecture de Maine-et-Loire, Liste des maires élus en 2014, document du 11 avril 2014.
- Insee, Composition de l'EPCI du Vihiersois Haut-Layon (244900981), consulté le 17 juillet 2013.
- Office du Tourisme Vihiersois-Haut-Layon, Trémont, consulté le 21 septembre 2011.
- Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Trémont (49), consultée le 22 février 2015.
- Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
- « Ăvolution et structure de la population Ă TrĂ©mont en 2007 », sur le site de l'Insee (consultĂ© le )
- « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Fédération HospitaliÚre de France, HÎpital local (Vihiers), consulté le 6 octobre 2011.
- Smitom Sud Saumurois, Son territoire, consulté le 29 septembre 2011.
- Office du tourisme du Vihiersois, Les randonnées, consulté le 8 septembre 2011.
- Insee, Statistiques 2008 du territoire, consultées le 8 septembre 2011.
- Insee, Statistiques locales du territoire de Trémont (49), consulté le 20 janvier 2013.
- Ville de Vihiers, Z.I. Anjou Actiparc, consulté le 15 septembre 2011.
- INAO, Fiche de TrĂ©mont (49) consultĂ©e le 8 septembre 2011 â AOC Appellation d'origine contrĂŽlĂ©e (FR), AOP Appellation d'origine protĂ©gĂ©e (CE), IGP Indication gĂ©ographique protĂ©gĂ©e (CE).
- MinistÚre de la Culture, Monuments historiques et Inventaire général du patrimoine culturel, Base Mérimée consultée le 7 septembre 2011.