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Lys-Haut-Layon

Lys-Haut-Layon [lis o lɛjɔ̃] est une commune nouvelle française situĂ©e dans le dĂ©partement de Maine-et-Loire, en rĂ©gion Pays de la Loire, crĂ©Ă©e le [1]. Elle est issue de la fusion de plusieurs communes de l'ancienne communautĂ© de communes du Vihiersois-Haut-Layon.

Lys-Haut-Layon
Lys-Haut-Layon
Le chĂąteau du Coudray-Montbault Ă  Vihiers.
Image illustrative de l’article Lys-Haut-Layon
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Maine-et-Loire
Arrondissement Cholet
Intercommunalité Agglomération du Choletais
Maire
Mandat
Médérick Thomas
2020-2026
Code postal 49310, 49540, 49560
Code commune 49373
DĂ©mographie
Population
municipale
7 748 hab. (2020)
DensitĂ© 43 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 08â€Č 46″ nord, 0° 31â€Č 56″ ouest
Altitude Min. 52 m
Max. 211 m
Superficie 178,84 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Lys-Haut-Layon
(ville isolée)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Cholet-2
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Lys-Haut-Layon
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Lys-Haut-Layon
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Lys-Haut-Layon
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Lys-Haut-Layon

    GĂ©ographie

    Localisation

    Le chef-lieu de la commune nouvelle, Vihiers, se situe au sud du département de Maine-et-Loire[2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 702 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Beaulieu-S-Lay », sur la commune de Beaulieu-sur-Layon, mise en service en 1988[9] et qui se trouve Ă  19 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 609,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, dans le dĂ©partement de la Vienne, mise en service en 1921 et Ă  90 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,5 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  11,7 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  12,2 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Lys-Haut-Layon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Lys-Haut-Layon, une unitĂ© urbaine monocommunale[19] de 7 748 habitants en 2020, constituant une ville isolĂ©e[20] - [21]. La commune est en outre hors attraction des villes[22] - [23].

    Toponymie

    La nouvelle commune porte les noms du Layon, riviĂšre tributaire de la Loire, et de son affluent de rive gauche, le Lys.

    Histoire

    La commune nouvelle de Lys-Haut-Layon naĂźt le de la fusion de sept des douze communes de la communautĂ© de communes du Vihiersois-Haut-Layon : Les Cerqueux-sous-Passavant, La Fosse-de-TignĂ©, Nueil-sur-Layon, TancoignĂ©, TignĂ©, TrĂ©mont et Vihiers, auxquelles s'ajoutent les anciennes communes associĂ©es de Vihiers, Saint-Hilaire-du-Bois et Le Voide. Cette commune nouvelle, dont la crĂ©ation est officialisĂ©e par l'arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du [1], a la particularitĂ© d’accorder aux deux communes associĂ©es composant l'ancienne commune de Vihiers le statut de commune dĂ©lĂ©guĂ©e, Ă  rang Ă©gal avec les autres communes fondatrices.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Philippe Algoët[24] DVD Médecin généraliste
    Vice-président de l'Agglomération du Choletais
    En cours
    (au 29 mai 2020)
    Médérick Thomas[25] DVD

    Jusqu'aux élections municipales de 2020, le conseil municipal de la nouvelle commune était constitué de l'ensemble des conseillers municipaux des anciennes communes[1].

    Communes déléguées

    Note: les communes déléguées de Saint-Hilaire-du-Bois et Le Voide (bien qu'ayant continué à exister depuis 1974 en tant que communes associées avec Vihiers) n'ont pas de population légale définie, et leur superficie n'est plus estimée. Ci-dessus, leur population et leur superficie sont comptées dans celles de Vihiers.

    Intercommunalité

    La commune de Lys-Haut-Layon, dans le cadre de la loi NOTRe (nouvelle organisation territoriale de la République) et du schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), a intégrée l'Agglomération du Choletais le [26].

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

    En 2020, la commune comptait 7 748 habitants[Note 6], en diminution de 1,29 % par rapport Ă  2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    2014 2015 2020
    7 8497 8587 748
    (Sources : Insee Ă  partir de 2014[27].)

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  32,4 %, soit un taux infĂ©rieur Ă  la moyenne dĂ©partementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans (31,2 %) est supĂ©rieur au taux dĂ©partemental (25,6 %).

    En 2018, la commune comptait 3 936 hommes pour 3 894 femmes, soit un taux de 50,27 % d'hommes, supĂ©rieur au taux dĂ©partemental (48,63 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit :

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[I 1]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,9
    90 ou +
    2,2
    9,5
    75-89 ans
    12,8
    18,0
    60-74 ans
    19,0
    20,9
    45-59 ans
    19,1
    17,1
    30-44 ans
    16,0
    14,5
    15-29 ans
    13,0
    19,2
    0-14 ans
    17,9
    Pyramide des ùges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2
    6,9
    75-89 ans
    9,5
    15,5
    60-74 ans
    16,3
    19,4
    45-59 ans
    18,8
    18,6
    30-44 ans
    17,7
    18,6
    15-29 ans
    17,5
    20,2
    0-14 ans
    18,2

    Enseignement

    Présence sur la commune de plusieurs établissements scolaires. Enseignement primaire (écoles maternelles et élémentaires) : école privée Notre-Dame aux Cerqueux-sous-Passavant, école Jean-de-la-Fontaine à Nueil-sur-Layon, école privée Saint-Joseph à Nueil-sur-Layon, école privée Notre-Dame à Saint-Hilaire-du-Bois, école maternelle du regroupement pédagogique intercommunal (RPI) de Tigné, La Fosse-de-Tigné et Tancoigné, école privée Saint-Joseph à Tigné, école Camille-Claudel à Vihiers, école privée Saint-Jean à Vihiers, école privée Saint-Joseph au Voide[29]. Enseignement secondaire (collÚges) : collÚge public de La Vallée-du-Lys à Vihiers et collÚge privé Saint-Jean à Vihiers[30].

    Santé

    Un pÎle santé est présent à Vihiers. Il compte plusieurs professionnels de la santé, dont six médecins généralistes, trois infirmiÚres, une sage-femme, quatre masseurs-kinésithérapeutes, etc[31].

    Un hÎpital local se situe également à Vihiers, permettant des soins de proximité par exemple aprÚs une intervention chirurgicale ou encore lors de traitement de pathologies chroniques et de cancers. Un établissement d'hébergement pour personnes ùgées dépendantes (EHPAD) et une unité de soins de longue durée (USLD) complÚtent le dispositif[32].

    Vie sociale

    Plusieurs services sont disponibles Ă  Lys-Haut-Layon comme des animations du centre socioculturel (Le Coin de la Rue)[33], des portages de repas Ă  domicile[34], une aide Ă  domicile en milieu rural (ADMR)[35] et un accueil des personnes en situation de handicap[36].

    Des activités de loisirs sont présentes sur la commune grùce à des installations comme le cinéma, les trois bibliothÚques, une zone Anjou Actiparc, et pour le sport, la piscine, des salles de sports et des terrains[37] - [38].

    Économie

    Présence de plusieurs commerces et d'un marché hebdomadaire.

    La commune compte une unité de méthanisation dont la biomasse est fournie par un groupe de 47 agriculteurs. En fonctionnement depuis 2017, la cogénération biogaz produit de l'électricité et alimente un réseau de chaleur desservant un collÚge et des bùtiments municipaux[39].

    Plusieurs parcs éoliens sont installés,d'autres en projet à Nueil sur Layon. Le plus ancien parc éolien a été installé à Tigné en 2017.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune compte quatre monuments historiques, un monument classé à Vihiers (chùteau du Coudray-Montbault[40]) et trois monuments inscrits à Tigné (chapelle Sainte-Anne de Tigné[41], chùteau du Grand-Riou[42], manoir de la Roche-Coutant[43]).

    Le chĂąteau Maupassant situĂ© sur la commune fait partie du patrimoine de Vihiers[44]. Il accueille chaque annĂ©e le feu d'artifice lors de la fĂȘte nationale. Il accueille aussi, de temps en temps, des concerts musicaux, des expositions, des piĂšces de thĂ©Ăątre et le marchĂ© Saint-Nicolas au mois de dĂ©cembre[45].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sites

    1. « ArrĂȘtĂ© no DRCL-NCL-2015-96 en date du 18 dĂ©cembre 2015 CrĂ©ation de la commune nouvelle de Lys-Haut-Layon », Recueil spĂ©cial des actes administratifs de la prĂ©fecture de Maine-et-Loire, no 97, pages 23-24-25,‎ (lire en ligne [PDF]).
    2. Fiche de Vihiers sur Lion 1906, site de Lionnel Delvarre, mis Ă  jour le 6 juin 2010 [lire en ligne].
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Beaulieu-S-Lay - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Lys-Haut-Layon et Beaulieu-sur-Layon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Beaulieu-S-Lay - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Lys-Haut-Layon et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Lys-Haut-Layon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    24. « Philippe Algoët élu maire de la commune nouvelle », Ouest-France, 11 janvier 2016.
    25. « Lys-Haut-Layon. Médérick Thomas est le nouveau maire », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
    26. « Recueil spécial des actes administratifs de la préfecture, n° 86 » [PDF], sur maine-et-loire.gouv.fr, préfecture de Maine-et-Loire, (consulté le ), p. 29-41.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de Maine-et-Loire (49) », (consultĂ© le ).
    29. « Écoles par commune », sur Mairie de Lys-Haut-Layon (consultĂ© le ).
    30. « Les collÚges », sur Mairie de Lys-Haut-Layon (consulté le ).
    31. « Maison de santé », sur Mairie de Lys-Haut-Layon (consulté le ).
    32. « HÎpital local », sur Mairie de Lys-Haut-Layon (consulté le ).
    33. « LE COIN DE LA RUE - Centre Socioculturel du Vihiersois Haut Layon », sur www.csc-lecoindelarue.fr (consulté le ).
    34. Emmanuel Dutac, « Lys Haut Layon - Portage de repas », sur www.lyshautlayon.fr (consulté le ).
    35. Emmanuel Dutac, « Lys Haut Layon - ADMR », sur www.lyshautlayon.fr (consulté le ).
    36. Emmanuel Dutac, « Lys Haut Layon - Accueil des personnes en situation de handicap », sur www.lyshautlayon.fr (consulté le ).
    37. Emmanuel Dutac, « Grands projets de la commune », sur Mairie de Lys-Haut-Layon (lyshautlayon.fr) (consulté le ).
    38. Emmanuel Dutac, « Lys Haut Layon - Équipements sportifs », sur Mairie de Lys-Haut-Layon (lyshautlayon.fr) (consultĂ© le ).
    39. Frédéric Ville, « Unité de méthanisation : alliance réussie entre agriculteurs et collectivités », sur lagazettedescommunes.com, (consulté le ).
    40. « Chateau du Coudray-Montbault », notice no PA00109406, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    41. « Chapelle Sainte-Anne », notice no PA00109376, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    42. « Chateau du Grand-Riou », notice no PA00109377, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    43. « Manoir de la Roche-Coutant », notice no PA00109378, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    44. « CHÂTEAU DE MAUPASSANT, LYS-HAUT-LAYON », sur Agence dĂ©partementale du tourisme de l'Anjou (consultĂ© le ).
    45. « Calendrier 2020 », sur Vihiers Patrimoine (consulté le ).
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