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Gaël Perdriau

Gaël Perdriau, né le à Cholet (Maine-et-Loire), est un homme politique français.

Gaël Perdriau
Illustration.
Gaël Perdriau en 2013.
Fonctions
Président de Saint-Étienne Métropole
En fonction depuis le
(9 ans, 2 mois et 9 jours)
Élection
RĂ©Ă©lection
Prédécesseur Maurice Vincent
Maire de Saint-Étienne
En fonction depuis le
(9 ans, 2 mois et 29 jours)
Élection 4 avril 2014
RĂ©Ă©lection 3 juillet 2020
Coalition UMP/LR-UDI-MoDem
(depuis 2014)
Prédécesseur Maurice Vincent
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Cholet (France)
Nationalité Française
Parti politique UDF-PR (1996-1997)
DL (1997-2002)
UMP/LR (2002-2022)
Diplômé de ESC Saint-Etienne
Profession Cadre au sein d'ERDF

Gaël Perdriau
Maires de Saint-Étienne

Membre des Républicains jusqu’en 2022, parti dont il a été vice-président, il est maire de Saint-Étienne (Loire) et président de Saint-Étienne Métropole depuis son élection en 2014. Il se met en retrait en décembre 2022.

Réélu pour un second mandat en 2020, il est sérieusement mis en cause en septembre 2022 par une enquête de Médiapart révélant du chantage sexuel à l'encontre de son premier adjoint, Gilles Artigues [1].

Gaël Perdriau est mis en examen par la justice dans cette affaire en avril 2023. Dans le cadre d'une seconde affaire, il est poursuivi en justice par Laurent Wauquiez pour avoir diffusé des rumeurs de viols d'enfants [2].

Carrière politique

Parcours au sein de l'UMP et de LR

Membre du Parti républicain depuis 1996, il adhère à l'Union pour un mouvement populaire (UMP) dès sa création, en 2002.

Gaël Perdriau est nommé en 2012 chargé de mission au sein de la fédération UMP de la Loire.

Il soutient Bruno Le Maire pour la primaire présidentielle des Républicains de 2016. En , il est nommé directeur de campagne régional pour l'Auvergne-Rhône-Alpes[3]. Le , dans le cadre de l'affaire Fillon et après le départ de Bruno Le Maire de l'équipe de campagne de François Fillon, il renonce à son tour à soutenir le candidat Les Républicains à la présidentielle[4].

Laurent Wauquiez ayant donné Saint-Étienne pour un exemple de « quartier perdu de la République », Gaël Perdriau lui retire son soutien pour les élections à la tête des Républicains[5].

Il est nommé vice-président des Républicains le [6]. Le 7 décembre 2021, il est démis de sa fonction par le président du parti, Christian Jacob, pour avoir dénoncé à nouveau la « droitisation » de son parti, et notamment le positionnement de la candidate Valérie Pécresse « qui envisage de gouverner avec Eric Ciotti », après l’élection présidentielle de 2022[7] - [8]. Il souhaite également une rupture avec le sarkozysme[9].

Il est exclu de LR le 11 octobre 2022[10].

Maire de Saint-Étienne

Gaël Perdriau se présente aux élections municipales en 1995 à Saint-Étienne sur la liste du maire sortant Michel Thiollière. Il est élu[11], puis réélu en 2001. Il est ainsi en fonction de 1995 à 2008.

Président du conseil de quartier de Tarentaize-Beaubrun, il contribue à la rénovation urbaine de ces quartiers en grande difficulté aidés par l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU).

Gaël Perdriau occupe la 3e place sur la liste du maire sortant Michel Thiollière aux élections municipales de 2008. Michel Thiollière est battu dans une triangulaire par le socialiste Maurice Vincent. Gaël Perdriau devient conseiller municipal d'opposition, se présente aux élections cantonales de Saint-Étienne-Sud-Ouest-1 en 2011, et échoue au 2d tour[12]. Il préside dès lors le groupe d’opposition municipale « Union pour l’avenir des Stéphanois »[13] qui regroupe les représentants de l’Union des démocrates et indépendants (UDI), de l’UMP et de la société civile[14].

Le , la Commission nationale d’investiture (CNI) de l’UMP, coprésidée par Jean-François Copé et François Fillon, accorde à l’unanimité l’investiture à Gaël Perdriau[15] pour être la tête de liste sur la ville de Saint-Étienne aux élections municipales de 2014. Il forme alors une alliance avec le centriste Gilles Artigues, dont le maintien au second tour en 2008 avait contribué à la défaite de Michel Thiollière. La liste que conduit Gaël Perdriau l’emporte au second tour de ces élections avec 47,7 % des voix, contre la liste du maire sortant, Maurice Vincent, qui recueille 40,5 % des voix, et celle du Front national (11,8 %)[16]. Gaël Perdriau est élu maire par le conseil municipal le et président de la communauté d'agglomération Saint-Étienne Métropole le [17].

Après son élection, Gaël Perdriau critique la gestion du maire précédent, notamment concernant l’Opéra-théâtre de la ville, et accuse la direction de l'établissement d'avoir fait courir des risques aux personnels et spectateurs du théâtre municipal[18]. Depuis, la justice a donné tort à la ville et a obligé à la réintégration des membres de l'Opéra théâtre comme, entre autres, son chef d'orchestre en poste depuis 10 ans et son directeur[19] - [20].

Fin , le journal Le Progrès publie une enquête intitulée « La grande valse des cadres »[21]. Depuis son élection à la mairie et sa prise de fonction à la présidence de la Métropole, Gaël Perdriau a vu 45 cadres des deux collectivités présenter leur démission, soit plus de sept départs par an. Le dernier départ en date est celui de Caroline Tisserand, directrice de la Cité du Design, partie avant la fin de sa période d'essai. Selon Le Progrès, c'est le cabinet du maire qui centraliserait le pouvoir au détriment des différents services.

En , la Commission nationale de l'informatique et des libertés adresse un avertissement à la municipalité de Saint-Etienne, dont les politiques sécuritaires sont « susceptibles de violer les textes relatifs à la protection des données à caractère personnel ». Gaël Perdriau avait fait installer une cinquantaine de micros sur la voie publique, un projet expérimenté sur les habitants du quartier populaire de Tarentaize-Beaubrun-Couriot. Parce qu’il est capable d’enregistrer les voix et les conversations des personnes se situant autour de lui, « le dispositif envisagé a nécessairement pour effet d’intervenir dans le champ d’autres droits fondamentaux des citoyens, et plus particulièrement dans celui de l’exercice de leurs libertés d’expression, de réunion, de manifestation, d’association et d’aller et venir », souligne la commission[22].

Il est rĂ©Ă©lu maire de Saint-Étienne Ă  la suite des municipales de avec 58,91 % des voix[23].

FranceInfo affirme dans un article paru en septembre 2022 que Gaël Perdriau a favorisé une entreprise dirigée par des proches, en dehors de la procédure d’appel d’offres, dans le cadre de la politique culturelle de la ville[24].

Mise en cause pour chantage politique et calomnie

En aoĂ»t 2022, il est mis en cause dans une enquĂŞte de Mediapart dans une affaire de chantage visant son premier adjoint, Gilles Artigues. Perdriau, qui voyait Artigues comme un rival potentiel, aurait cherchĂ© Ă  le neutraliser en obtenant un moyen de pression sur lui[25]. Des proches de GaĂ«l Perdriau auraient piĂ©gĂ© Gilles Artigues en le filmant Ă  son insu avec un « escort boy » recrutĂ© par leurs soins lors d’une soirĂ©e intime en 2014, Ă  Paris, dans le but de faire pression sur lui sur le plan Ă©lectoral[25]. Selon Mediapart, c'est un Ă©lu municipal de la majoritĂ©, Samy KĂ©fi-JĂ©rĂ´me, devenu ensuite conseiller rĂ©gional dĂ©lĂ©guĂ©[26] et vice-prĂ©sident de la rĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes, qui a placĂ© une camĂ©ra dans la chambre d'hĂ´tel de Gilles Artigues. Gilles Rossary-Lenglet, Ă  l'Ă©poque compagnon de Samy KĂ©fi-JĂ©rĂ´me, dĂ©clare avoir conçu et organisĂ© cette opĂ©ration et touchĂ© avec lui 50 000 â‚¬ de la part de la municipalitĂ©, via des subventions versĂ©es Ă  des associations stĂ©phanoises qui l'auraient ensuite rĂ©munĂ©rĂ©[25].

Le 29 août 2022, le premier adjoint à la mairie porte plainte contre Gaël Perdriau pour « chantage aggravé, guet-apens en bande organisée, détournement de fonds publics et non-dénonciation de faits délictueux », ce qui conduit le parquet de Lyon à ouvrir un information judiciaire[27] - [28]. Gaël Perdriau dément dans un premier temps toute implication[29]. Il affirme même maladroitement (avant de se dédire) ne pas avoir connaissance de l'existence d'une vidéo à caractère homosexuel, alors que ce détail n'était a priori connu que de la victime et des maitres chanteurs. Mediapart publie le des enregistrements qui établiraient l'implication directe du maire dans le chantage, appuyé par son directeur de cabinet Pierre Gautierri[30] - [31] - [32]. Plusieurs élus du parti des Républicains demandent l'exclusion de Gaël Perdriau[33], qui est auditionné en garde à vue le 13 septembre[34]. Il est rapidement relâché par les magistrats instructeurs qui déclarent poursuivre leur enquête. Cependant, l'émotion parmi les Stéphanois est telle qu'une centaine de personnes manifestant le 14 septembre devant l'hôtel de ville en forcent l'entrée pour demander une rencontre avec l'édile[35]. Le 20 septembre, acculé par sa majorité, il décide de limoger son directeur de cabinet[36]. Samy Kéfi-Jérôme démissionne de ses mandats de conseiller municipal et métropolitain [37] après l'annonce de la diffusion par Mediapart d'un nouvel enregistrement accablant[38]. Gaël Perdriau refuse pour sa part de démissionner[39].

Le volet financier de l'affaire pourrait faire également l'objet de poursuites. Un élu d'opposition, Pierrick Courbon, dépose une plainte contre X pour escroqueries au jugement, les subventions qui auraient servi à rémunérer l'organisateur du guet-apens ayant fait l'objet d'une mise au vote en conseil municipal[40] - [41]. À la suite de ces révélations, deux autres figures politiques locales indiquent avoir fait l'objet de pressions et de chantage de la part de Gaël Perdriau et de son entourage[42].

Le 18 novembre 2022, après avoir fait part de ses remarques sur un article à paraître dans Mediapart, portant sur sur les pratiques politiques de Gaël Perdriau[43], et dont les informations étaient issues d'enregistrements sonores de conversations de travail tenues dans son bureau, Gaël Perdriau obtient du tribunal judiciaire de Paris une ordonnance interdisant par avance à Mediapart de publier de nouvelles informations issues de ces enregistrements[44] - [45] - [43], mais cette ordonnance fait l'objet d'une rétractation 12 jours plus tard[46], et Mediapart publie les informations révélant que Gaël Perdriau a lancé une rumeur calomnieuse accusant le président de région Laurent Wauquiez de pédocriminalité[47]. Gaël Perdriau reconnait que ses accusations sont « sans fondement », et Laurent Wauquiez porte plainte pour diffamation[48].

Il se met en retrait de ses fonctions à la métropole en décembre 2022[49].

Le 4 avril 2023, les protagonistes de l'affaire, le maire Gaël Perdriau, son ancien directeur de cabinet, son ancien conseiller municipal à la culture et l'ancien compagnon de ce dernier, sont convoqués par la police judiciaire pour une audition dans le cadre d'une garde à vue[50] - [51] - [52]. Le surlendemain, ils sont tous mis en examen pour différents chefs d'accusation et placés sous contrôle judiciaire. Le maire Gaël Perdriau est mis en examen pour chantage et placé sous le statut de témoin assisté pour détournement de fonds publics par un dépositaire de l’autorité publique[53] - [54].

Le 26 avril 2023, Mediapart révèle qu'une nouvelle vidéo a été découverte sur un vieux disque dur d'ordinateur, vidéo datant du 18 septembre 2016, en relation avec la première vidéo qui avait été découverte en 2022[55].

Le 6 juin 2023, Mediapart publie un nouvel article : Gaël Perdriau doit payer une caution de 60 000 euros afin de ne pas être placé en détention provisoire[56].

DĂ©tail des fonctions et mandats

  • Ă€ la mairie de Saint-Étienne :
  • prĂ©sident de l’association d’insertion par l’emploi « Tremplin 42 » de 1997 Ă  2003 ;
  • prĂ©sident du conseil de quartier de Beaubrun-Tarentaize de 1997 Ă  2008 ;
  • Ă€ la communautĂ© d'agglomĂ©ration de Saint-Étienne, puis communautĂ© urbaine de Saint-Étienne puis Saint-Étienne MĂ©tropole :
    • conseiller communautaire de 2008 Ă  2017 puis conseiller mĂ©tropolitain depuis 2018,
    • prĂ©sident depuis 2014 avec rĂ©Ă©lection en 2020 ;
  • membre du conseil d'administration de MĂ©tropole Habitat Saint-Étienne depuis 2008 ;
  • prĂ©sident de l’association citoyenne « Saint-Étienne 2014 » de 2008 Ă  2013[57] ;
  • prĂ©sident du Cerema du au (il quitte ce poste, Ă  la suite des restrictions budgĂ©taires devant affecter l’établissement en 2018[58]) ;
  • vice-prĂ©sident du parti Les RĂ©publicains d'octobre 2019 Ă  dĂ©cembre 2021.

Notes et références

Notes

    Références

    1. « Chantage à la vidéo intime à Saint-Etienne : le maire Gaël Perdriau est mis en examen, on vous résume l'affaire dans laquelle l'élu est impliqué », sur France TV Info,
    2. Samuel Azemard, « Gaël Perdriau, le maire de Saint-Étienne a lancé une fausse rumeur criminelle sur Laurent Wauquiez », sur Le JDD,
    3. « Équipe politique autour de Bruno Le Maire »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), brunolemaire.fr, consulté le 19 septembre 2016.
    4. « Gaël Perdriau : "François Fillon doit se retirer au nom d’une éthique" », lemonde.fr, 1er mars 2017.
    5. « Wauquiez voit le "grand remplacement" à Saint-Etienne : polémique en 3 actes », L'Obs,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    6. « L'équipe Jacob nommée, LR en ordre de marche », sur Libération.fr, (consulté le )
    7. Marion Mourgue, « Après le congrès, Jacob fait le tri dans les instances des Républicains, Peltier et Perdriau démis de leurs fonctions », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
    8. « Gaël Perdriau, écarté de la vice-présidence du parti LR, dénonce à nouveau la « droitisation » de sa famille politique », sur lemonde.fr, (consulté le ).
    9. « A ce rythme, LR sera bientôt le parti le plus anti-sarkozyste de France », sur Libération,
    10. Le Point magazine, « Gaël Perdriau définitivement exclu des Républicains », sur Le Point,
    11. « Municipales 2014: Perdriau a conquis Saint-Etienne », sur www.20minutes.fr (consulté le )
    12. Le Monde - Résultats des élections cantonales de 2011 « https://www.lemonde.fr/elections/cantonales/loire/saint-etienne-sud-ouest-1,38.html »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
    13. « Gaël Perdriau préside le groupe Union pour l’avenir des Stéphanois », sur www.leprogres.fr, (consulté le )
    14. « Groupe d’opposition : changement d’appellation pour montrer sa diversité », sur www.leprogres.fr, (consulté le )
    15. La Gazette de la Loire, le 16/05/2013 - UMP : La commission nationale d’investiture choisit Gaël Perdriau à Saint-Étienne « http://www.lagazettedelaloire.fr/fil-info/UMP-La-commission-nationale-d-investiture-choisit-Gael-Perdriau-a-Saint-Etienne-100711 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
    16. « Municipales : nette victoire de la droite dans la reconquête de Saint-Etienne », sur lesechos.fr,
    17. « Saint-Étienne Métropole : Gaël Perdriau élu président et ses 15 vice-présidents »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Mathieu Ozanam, L'Essor, 25 avril 2014
    18. Catherine Coroller, « Saint-Etienne, ennuis à l’Opéra », sur Libération, (consulté le )
    19. « La justice réintégre le directeur de l'Opéra Théâtre de Saint-Etienne », sur France Info, (consulté le )
    20. « Le licenciement du directeur de l'Opéra de Saint-Etienne annulé par la justice », sur Radio France - France Musique, (consulté le )
    21. La grande valse des cadres
    22. « Des micros dans la rue : la CNIL tire les oreilles (intelligentes) de Saint-Etienne », Télérama,‎ (lire en ligne)
    23. Dolores Mazzola, « Municipales 2020. Saint-Etienne : Gaël Perdriau est réélu », sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes,
    24. « INFO FRANCEINFO. Saint-Étienne : le maire Gaël Perdriau soupçonné de favoritisme », sur Franceinfo,
    25. Antton Rouget, « Sexe, chantage et vidéo : l’odieux complot », sur Mediapart (consulté le ).
    26. « Samy Kefy-Jérôme élu à la Région Auvergne-Rhône-Alpes président de la commission numérique », sur LE [Lyon-Entreprises] (consulté le ).
    27. « Chantage à la vidéo intime : une plainte déposée contre le maire de Saint-Etienne », Le Progrès,‎ (lire en ligne).
    28. « Le maire de Saint-Etienne visé par une plainte pour « chantage aggravé » déposée par son ancien premier adjoint », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    29. « Loire. Chantage à la vidéo intime: le maire de Saint-Étienne promet des explications », sur www.leprogres.fr (consulté le ).
    30. Antton Rouget, « Sextape de Saint-Étienne : des enregistrements du maire prouvent un chantage mafieux », sur mediapart.fr, .
    31. J.-H.A., « Chantage à la vidéo : de nouveaux enregistrements prouveraient l'implication de Gaël Perdriau », Le Progrès, .
    32. « Chantage à Saint-Etienne : « Mediapart » publie des enregistrements du maire Gaël Perdriau et de son directeur de cabinet », sur Le Monde, .
    33. « Chantage à la « sextape » à Saint-Etienne : le maire Gaël Perdriau visé par une procédure d’exclusion par Les Républicains », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    34. Pauline Graulle, Ilyes Ramdani, Antton Rouget, Ellen Salvi, « Chantage à la sextape : Gaël Perdriau en garde à vue et lâché par les siens », sur Mediapart (consulté le ).
    35. « Mis en cause dans l’affaire du chantage à la « sextape », le maire de Saint-Etienne Gaël Perdriau refuse de démissionner », Le Monde,‎ (lire en ligne).
    36. Le Monde, « Chantage à Saint-Etienne : Gaël Perdriau démet de ses fonctions Pierre Gauttieri, son directeur de cabinet », Le Monde,‎ (lire en ligne).
    37. "Depuis 2016, Samy Kéfi-Jérôme était conseiller délégué à la stratégie digitale à la région Auvergne-Rhône-Alpes. Il a également présidé le Modem Loire. Ancien directeur de l’école Soleysel à Saint-Etienne, il est adjoint à l’éducation depuis la première élection de Gaël Perdriau en 2014 et siège également au conseil de Saint-Etienne Métropole", https://www.leprogres.fr/faits-divers-justice/2022/08/27/affaire-de-la-video-intime-la-region-suspend-la-delegation-de-samy-kefi-jerome.
    38. Antton Rouget, « Chantage à Saint-Étienne : les secrets d’une démission », sur Mediapart (consulté le )
    39. « A Saint-Etienne, le maire, Gaël Perdriau, s’accroche à son fauteuil », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
    40. Mediapart, « Chantage à la sextape à la mairie de Saint Etienne: Notre émission spéciale », sur YouTube, .
    41. Julie Tadduni, « Révélations de Mediapart : Pierrick Courbon dépose plainte », sur IF Saint Etienne, .
    42. Loan Nguyen, « Reportage. À Saint-Étienne, au-delà de l'affaire de la sextape, la dénonciation d'un « système Perdriau » », sur L'Humanité,
    43. « Affaire de chantage politique à Saint-Etienne : « Mediapart » fustige une « censure préalable » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
    44. Edwy Plenel, « Un magistrat ordonne la censure préalable d’une enquête de Mediapart », sur Mediapart (consulté le )
    45. « « Mediapart » dénonce une « censure préalable » avant la publication d’une nouvelle enquête sur le maire de Saint-Etienne », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
    46. « « Mediapart » finalement autorisé à publier une enquête sur Gaël Perdriau, le maire de Saint-Etienne », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
    47. Antton Rouget, « À Saint-Étienne, le maire et le poison de la calomnie », sur Mediapart (consulté le )
    48. Véronique Narboux, « Après les révélations de Mediapart, Laurent Wauquiez porte plainte pour diffamation contre Gaël Perdriau », France Bleu Saint-Étienne Loire,
    49. LIBERATION et AFP, « Chantage à la sextape : Gaël Perdriau se met en «retrait total» de la métropole de Saint-Etienne », sur Libération (consulté le )
    50. Antton Rouget, « Chantage à la sextape : le maire de Saint-Étienne placé en garde à vue », Mediapart,‎ (lire en ligne Accès payant)
    51. « Affaire de chantage politique : le maire de Saint-Etienne, Gaël Perdriau, de nouveau en garde à vue », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès payant)
    52. « Chantage à la vidéo intime : les gardes à vue du maire de Saint-Étienne et de trois autres personnes prolongées », sur Franceinfo, (consulté le )
    53. LeHuffPost avec AFP, « Chantage à la sextape : le maire de Saint-Etienne Gaël Perdriau mis en examen », sur HuffPost,
    54. « Affaire de chantage politique : le maire de Saint-Etienne, Gaël Perdriau, mis en examen », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
    55. « Saint-Étienne. Affaire de la vidéo intime : une nouvelle vidéo compromettante retrouvée », sur www.leprogres.fr (consulté le )
    56. « Chantage à Saint-Étienne : ce que doit payer Gaël Perdriau pour éviter la prison », sur Le Point, (consulté le )
    57. « M. Estrosi a raison, la lutte contre la délinquance est l'affaire de tous », sur lemonde.fr,
    58. Lucie Romano, « Gaël Perdriau quitte la présidence du Cerema pour s’opposer aux baisses de crédits et réductions d’effectifs - Collectivités territoriales », Le Moniteur,‎ (lire en ligne, consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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