Jeune-France de Cholet
La Jeune-France de Cholet (JF) est un club sportif multi-activités basé à Cholet (Maine-et-Loire), issu du patronage Notre-Dame-de-la-Garde de Cholet. La gymnastique masculine et le football ont longtemps constitué l'essentiel de son activité sportive, toujours associée à la batterie-fanfare.
Jeune France de Cholet | |
logo de la Jeune France de Cholet | |
Sigle | JF |
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Sport(s) représenté(s) | Multisports |
Création | 1903 |
Président | Jean-Luc Chauvigné |
Siège | 47, rue Alphonse Darmaillacq 49300 CHOLET |
Licenciés | 3 400 (2011) |
Site internet | http://www.jfcholet.com |
Le basket-ball qui se développe à la fin des années 1930 puis la gymnastique féminine contribuent à sa renommée. La Jeune-France renonce cependant à poursuivre l'expérience du haut-niveau dans la première spécialité au profit d'une diversification de ses activités plus conforme à la demande sociale.
Historique
Afin de répondre aux besoins d'encadrement d'un nombre croissant d’enfants et de jeunes livrés à eux-mêmes, les curés des paroisses Saint-Pierre et Notre-Dame entreprennent dès 1854 de développer avec l’aide d’entrepreneurs choletais le patronage paroissial Notre Dame de la Garde de Cholet[1]. Cinquante ans plus tard, la montée de l’anticléricalisme incite ses dirigeants à se conformer à la nouvelle loi de 1901. Le , la Jeune-France de Cholet bénéficie de la reconnaissance d'utilité publique (RUP) par décision du Conseil d’État[2]. Après avoir fêté son centenaire du 6 au [3], cette association élabore dès l’année suivante un vaste projet pour ses 2 000 membres et, à la suite des études préalables de faisabilité, s’adjoint en 2008 un centre d’accueil et de formation pour cadres sportifs et bénévoles[4]. Après plus d’un siècle d’existence, la Jeune-France est entrée dans le XXIe siècle en ayant toujours su s'adapter aux circonstances ou aux obligations légales et réglementaires.
Les débuts: la gymnastique, la musique et le football (1903-1920)
Le , les statuts de la société de gymnastique La Jeune-France paraissent au Journal officiel. En fait, cette société fonctionne depuis [5], fondée par les abbés Alain, Goineau et Mainguy[6] avec un bureau provisoire — présidé par Francis Bouet âgé de 19 ans — qui lui a donné pour but « La formation, l’éducation, le développement, l’épanouissement des jeunes et des adultes, notamment par la pratique des sports, l’organisation des loisirs, l’exercice d’activité de plein air et de vacances, éducatives, culturelles, sociales, professionnelles, économiques, philanthropiques ». Le le bureau provisoire se réunit pour se constituer officiellement en association selon la loi de 1901 et élit Raymond Pellaumail comme président[L 2]. Le la Jeune-France organise un concours à Cholet[7] et participe à celui de Rome à l'appel du pape Pie X où elle se classe 5e[L 3]. En 1907, M. Duplenne, professeur d’anglais au collège Colbert, propose à la Jeune France la création d’une section de football[L 4].
À la suite de la défaite de 1870 beaucoup d’associations constituées dans le cadre des patronages portent des noms aux connotations guerrières : Sentinelle, Fraternelle, Patriotes, Sans-peur[8]. Comme à la Jeune-France, leurs premières activités sont la gymnastique, le football, la musique et la préparation militaire. Entre 1905 et 1913, les effectifs passent de 45 à 280[L 5] pour retomber à 161 à la fin de la Première Guerre mondiale.
L'entre deux guerres (1920-1935)
Les activités redémarrent néanmoins et en 1922 des travaux sont entrepris rue de l'Abattoir[N 1] pour loger les nouvelles sections de tennis et de basket-ball[L 6]. En , lors de sa fête annuelle, la Jeune-France est la première association locale à utiliser le petit mouchoir de Cholet comme article de lien et de reconnaissance de son appartenance à la cité choletaise[9]. En 1925 la Jeune-France organise le concours fédéral de gymnastique de la Fédération gymnastique et sportive des patronages de France (FGSPF). Les activités culturelles connaissent un véritable essor mais la Jeune-France n'étant pas habilitée, elle déclare en préfecture l'association Notre-Dame-de-la-Garde le pour couvrir ces activités[L 7].
La gymnastique et la musique participent au concours international de Paris en 1928[L 7] puis à celui d’Alger en 1930[L 8] et au concours international de Nice en 1932. Entre-temps la salle de théâtre a été transformée pour accueillir le cinéma[L 9]. En 1934, le conseil d’administration s’ouvre aux représentants des sections[3] car la gymnastique et la musique ne sont déjà plus seules. La section football créée en 1907 est devenue une des plus importantes sections sportives de la Jeune-France au nombre de licenciés. Reconnue comme une excellente formation au football, la Jeune-France est le plus important club du Choletais, en 2015, au nombre de licenciés toutes disciplines confondues.
La première salle, le basket et le gymnase (1935-1960)
Le , la construction d’une salle de sport sur un terrain appartenant au patronage est décidée[L 10] et réalisée, dès 1935, entièrement en béton avec le toit vouté en arc de cercle. Le moniteur se doit alors de terminer ses entraînements par la prière en commun avec les gymnastes. Pendant l’Occupation, les locaux de la Jeune-France et de l’école voisine sont réquisitionnés par l’armée allemande[10]. Les entraînements se déroulent alors dans des entrepôts de la rue Hoche, mis à disposition par un industriel du textile.
En 1943, le directeur envisage de faire pratiquer, sans succès, le hockey sur gazon par les jeunes filles[L 11] et l'année 1952 marque la première cohabitation avec l’Envol de Cholet[L 12], association féminine de gymnastique du Rayon sportif féminin (RSF) créée en 1950[L 13]. À partir de 1953, la gymnastique doit partager sa salle avec le basket qui joue dans les cours de la Jeune France depuis 1926. Par mesure de sécurité la fosse garnie de sable qui sert de réception pour les exercices de barre fixe doit être recouverte d’un plancher en dehors des séances de gymnastique et, en 1954, il devient nécessaire de creuser une seconde fosse avec des bordures moins dangereuses.
En , le président Francis Bouet — vice-président de la FSF, membre du comité central depuis le — est fait chevalier de la Légion d'honneur[11].
En 1955 le cinquantenaire de l’association fait l’objet de douze jours de festivités[L 14].
Depuis 1957, le développement du basket rend la cohabitation si délicate qu’il faut envisager une autre salle pour la gymnastique. Le cinéma paroissial, situé à 50 m de l'association, ayant cessé son activité, il est utilisé à cette fin, avec l’aval de la société immobilière de la paroisse, à condition que les gymnastes démontent eux-mêmes les sièges et déménagent douze tonnes de parquet qui y sont entreposées[L 15]. La fosse d’orchestre est garnie de copeaux de bois pour y installer la barre fixe. Le sol de cette salle, construite en 1888 pour le théâtre, est en pente et a été utilisé longtemps en l’état. Les tapis d’exercices sont alors en coco et chaque fois que le temps le permet, les répétitions des mouvements d’ensemble et de la série spéciale, qui nécessitent un espace plus important, ont lieu à l’aérodrome ou au vélodrome devenu depuis la salle Auguste Grégoire. La technique gymnique se faisant de plus en plus exigeante, il devient vite indispensable de rétablir l’horizontalité du sol. Murets et charpentes sont réalisés par des entreprises mais les gymnastes posent eux-mêmes les 280 m2 de parquet. Le hall d’entrée est transformé en vestiaire puis équipé de lavabos et sanitaires, la plupart des travaux étant effectués par les gymnastes. L’ancienne tribune du cinéma longtemps conservée comme local de rangement est démontée vers 1980 pour faire plus de place aux agrès de gymnastique auxquels se sont ajoutés ceux des féminines.
En 1958, les sections de la Jeune-France participent aux championnats fédéraux masculins et féminins de gymnastique et de musique qui sont organisés simultanément à Paris pour marquer le soixantenaire de la Fédération sportive de France (FSF), future Fédération sportive et culturelle de France (FSCF). Si les industriels du textile contribuent encore à l’équilibre budgétaire, les premières subventions municipales commencent aussi à apparaître. La période qui suit est vite marquée par le désengagement progressif du clergé et des industriels avec une montée en puissance des laïcs et du bénévolat.
L'évolution des activités et des infrastructures (1960-1980)
À partir de 1960 les investissements immobiliers reprennent avec l'achat d'un terrain de camping à Saint-Jean-de-Monts puis la création d'un foyer culturel et d’une salle de danse[L 16]. Le débute la construction d'une nouvelle salle omnisports avec une tribune de 890 places assises, sur le site de la rue Darmaillacq[L 17] ; outre les équipements sportifs spécifiques (basket-ball, handball, volley-ball, tennis) une scène mobile sur vérins[L 18] est prévue pour accueillir manifestations et concerts. Cette période voit aussi apparaître des actions de formation à l’encadrement pour les jeunes, les activités de loisirs pour enfants pendant les vacances scolaires et l’embauche des premiers salariés de l’association.
En 1963, la Jeune-France commence à participer à la mi-carême de Cholet[L 19]avec un char intitulé Moulin-Rouge[12]. Cette activité a perduré jusqu'en 1989, « les membres des sections n'étant plus intéressés pour continuer la construction des et les filles de la gymnastique étaient plus intéressées par la compétition gymnique »[L 20].
En 1972, la Jeune France achète la patinoire qu’elle recède à la ville de Cholet pour le franc symbolique en 1988[L 21]. Pendant ce temps, la prise en charge des activités sportives par les collectivités territoriales et le désengagement des industriels renforcent les liens avec la municipalité[L 22]. Des signes de mutation apparaissent aussi : les membres sont de moins en moins acteurs et de plus en plus consommateurs et, avec le sport loisir ou de détente, on découvre une demande de sport sans compétition.
Les filles sont maintenant totalement intégrées à la Jeune-France. Sous la houlette de jeunes cadres techniques particulièrement compétents et dynamiques, elles investissent l’élite fédérale où, en compagnie de La Relève d’Angers et des Gentianes bleues de Chambéry, elles détrônent les équipes tenantes des titres fédéraux : Montceau-les-Mines, Nuits-Saint-Georges et Argenteuil. Championnes fédérales aînées en 1975, 1976 et 1983, elles fournissent à l’équipe fédérale une partie de ses titulaires :
- en 1972 Jocelyne Gréau et Marie-Odile Langlois[N 2] sont sélectionnées en équipe fédérale pour la rencontre internationale organisée par la Fédération internationale catholique d'éducation physique et sportive (FICEP) à Bréda (Pays-Bas)[13] ;
- en 1984 Béatrice Albert accède au titre de championne fédérale de la FSCF[L 23].
En 1975, une partie des basketteurs, en désaccord avec les orientations définies par le comité-directeur, quitte la Jeune-France pour fonder Cholet Basket (CB) nouveau club professionnel de Cholet[L 24].
La diversification (1980-2010)
Ces nouveaux indicateurs exigent d’importantes réorganisations internes ; de nouvelles activités apparaissent auxquelles il faut faire de la place. En 1992 les terrains du camping sont revendus et en 1996 la Jeune-France achète des locaux industriels mitoyens pour aménager des salles de fitness, danse et musculation. En 2000 l’ancienneté des locaux et les demandes des sportifs exigeant de lourds travaux de mise aux normes de sécurité, elle rachète à l’Association Notre-Dame le terrain de la rue Darmaillacq pour céder à la ville les salles de sports sises sur ce terrain.
Tout n’est cependant pas si rose et l'on enregistre des dégâts collatéraux. En 1989, la section de gymnastique masculine doit suspendre son activité, le moniteur ayant quitté Cholet pour raisons professionnelles. Une relance a lieu en 1993 à l'initiative de deux anciens responsables de la section ; cinq autres anciens moniteurs les rejoignent pour remonter un numéro humoristique de boxe française. Cette production est présentée pour les quatre-vingt-dix ans de la Jeune France. En une commission de sécurité interdit l’usage du gymnase au motif de la vétusté de la charpente qui a plus de cent ans ; cette décision entraîne l'arrêt de l'activité de gymnastique masculine.
Au cours de la première décennie du XXIe siècle, l’association se développe en faisant appel à des éducateurs sportifs professionnels, nécessitant l’harmonisation de l’activité des bénévoles et des salariés avec des programmes de formation et la clarification du rôle du conseil d’administration et des sections. C’est la période d’une nécessaire prise de conscience pour gérer et développer une véritable entreprise associative, dans le respect de l’objet statutaire d’origine et avec des moyens humains de statuts différents.
Depuis 1982, la Jeune France organise chaque année un tournoi de basketball, Cholet Mondial Basket-ball[14], réunissant des équipes cadets du monde entier[15].
Le centre d'accueil et de formation
Créé par la Jeune-France et ouvert en , le centre d'accueil et de formation s'inscrit dans une nouvelle dynamique de développement et de diversification de l'association. Il regroupe l'hébergement, la restauration, la mise à disposition de salles et d'infrastructures sportives. D'une surface de 2 000 m2 avec quatre salles de formation, une salle polyvalente, un espace restauration et une structure d'hébergement de 46 lits, il a pour vocation d'organiser et d'accueillir des stages de formations destinés à des encadrants sportifs ou des bénévoles en partenariat avec des organismes de formation ou des fédérations sportives[16].
Les présidents
# | Nom | PĂ©riode |
---|---|---|
1 | Francis Bouet | 1903-1905 |
2 | Raymond Pellaumail | 1905-1926 |
3 | Anatole Richard | 1928-1934 |
4 | Francis Bouet | 1934-1960 |
5 | Xavier Richard | 1961-1965 |
6 | Roger Couraud | 1965-1975 |
7 | Robert BĂ©rard | 1975-1979 |
8 | Pierre Garreau | 1979-1980 |
9 | Eugène Rongère | 1980-1988 |
10 | Suzanne Lentier | 1988-1989 |
11 | Charles Cailleau | 1990-1995 |
12 | Daniel Le Charlès | 1995-2002 |
13 | Jean Marc Billaud | 2002-2010 |
14 | Michel Bastat | 2010-2017 |
15 | Jean-Luc Chauvigné | depuis 2017[17] |
Les directeurs/directrices
Jusqu'au milieu des années 1960, la direction de l'association est assumée par un abbé désigné par la paroisse. Ensuite le désengagement progressif du clergé et l'accroissement important des activités nécessite l'embauche de directeurs laïcs salariés. L'abbé Marcel Mary après avoir été directeur de 1961 à 1966 reste présent en qualité d'aumônier jusqu'en 1977.
# | Nom | PĂ©riode |
---|---|---|
1 | Abbé Alain | 1903-1910 |
2 | Abbé Beaumond | 1910-1923 |
3 | Abbé Seng | 1923-1928 |
4 | Abbé Plotin | 1928-1934 |
5 | Abbé Chupin | 1934-1937 |
6 | Abbé Audureau | 1937-1943 |
7 | Abbé René Mahé | 1943-1951 |
8 | Abbé Alexandre Perraud | 1951-1957 |
9 | Abbé Gustave Ernault de Moulins | 1957-1961 |
10 | Abbé Raymond Massaloux | 1961-1961 |
11 | Abbé Marcel Mary | 1961-1966 |
12 | LĂ©on Ligneau | 1966-1993 |
13 | Christian Fillaudeau | 1994-2015[18] |
14 | Françoise Cholet | depuis 2016[19] |
Notes et références
Notes
- Ancien nom de la rue Alphonse Darmaillacq
- qui a dû déclarer forfait pour cause de maternité
Références
- LĂ©on Ligneau 2003, p. couverture.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 24.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 25.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 170.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 26.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 29.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 31.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 119.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 32.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 33.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 38
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 165.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 44.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 49.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 114.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 55.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 58.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 61.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 56.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 211.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 70.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 71.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 85.
- LĂ©on Ligneau 2003, p. 132.
- Autres références
- Élie Chamard 1946, p. 8.
- Ministère de l’Intérieur, « Liste des associations reconnues d’utilité publique », sur interieur.gouv.fr (consulté le ), ligne 502
- « Actualités de la Jeune France », sur jfcholet.com (consulté le )
- Ouest France, quotidien régional, édition de Cholet du 17 avril 2008
- Élie Chamard 1946, p. 24.
- Freddy Reigner, « Cholet. Il y a 120 ans naissait la Jeune France, le plus grand club omnisports des Pays de la Loire », sur ouest-france.fr, Ouest-France, 29mai 2023 (consulté le )
- L.Lamoureux, « La fête-concours de Cholet : », sur gallica.bnf.fr, Les Jeunes, n°27, (consulté le ), p. 1
- Jean-Marie Jouaret 2012, p. 37.
- Jean-Joseph Chevalier 2013, p. 44-45.
- Scarlett Martin 2010, p. 42.
- Robert Hervet 1948, p. 166.
- Christian Percereau 2016, p. 108.
- Jean-Marie Jouaret, 1999, tome 1, p. 320.
- Agence pour la promotion du Choletais, « Des évènements sportifs et culturels toute l'année », Synergences hebdo, l'hebdomadaire de la Communauté d'Agglomération du Choletais, no 360,‎ , p. 7
- « Palmarès du Tournoi Cholet Mondial BasketBall », sur jfcholetmondialbasketball.com (consulté le ).
- « Centre d'accueil pour tous », sur jf-accueil-formation.fr (consulté le ).
- « La Jeune France joue collectif », sur courrierdelouest.fr, Courrier de l'Ouest, (consulté le )
- « À la Jeune France, il a vu évoluer le monde associatif », sur ouest-france.fr, (consulté le )
- « Après 20 ans à la tête de la Jeune France, Christian Fillaudeau s'en va », sur courrierdelouest.fr, (consulté le )
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Élie Chamard, L’école Saint-Joseph, la vieille école choletaise, Cholet, Farré et Freulon, , 32 p. (BNF 31924889) Dépôt légal : II-1946, n°50 .
- Jean-Joseph Chevalier, Le mouchoir rouge de Cholet : Histoire d'un tissu à message(s), Brissac-Quincé, Éditions du Petit Pavé, , 111 p. (ISBN 978-2-84712-364-7, BNF 43569771) .
- Robert Hervet (préf. François Hébrard), La FSF de 1898 à 1948, Paris, , 173 p. (OCLC 66302325) .
- Jean-Marie Jouaret (préf. Gérard Cholvy), Petite histoire partielle et partiale de la Fédération sportive et culturelle de France (1948-1998), t. 1, Paris, FSCF (à compte d’auteur, imp. Déja-Glmc), , 646 p. (ISBN 2-9528387-0-4, BNF 41363915) .
- Jean-Marie Jouaret (préf. Jean Vintzel), La fédération des sections sportives des patronages catholiques de France (1898-1998), Paris, L’Harmattan, , 245 p. (ISBN 978-2-296-55969-1, BNF 42598758, lire en ligne) .
- Léon Ligneau, La Jeune France à Cholet, histoire d’un centenaire, Maulévrier, Hérault, , 262 p. (ISBN 2-740701-94-2, BNF 39055857) .
- Scarlett Martin, 1939-1945: le Choletais une région dans la guerre, Angers Beaucouzé, AFMD 49, , 362 p. Dépôt légal : Angers. Novembre 2010 .
- Christian Percereau, La grande aventure des carnavaliers de Cholet : 1865-2016, Cholet, Les Éditions d'ici, , 288 p. (ISBN 978-2-918231-70-7) dépôt légal : n° 512 .
Liens externes
- « Historique de la Jeune France de Cholet », sur jfcholet.com (consulté le )