Championnat de France de gymnastique féminine des patronages
Le championnat de France de gymnastique féminine des patronages regroupe chaque année les associations sportives catholiques depuis la fin de la grande guerre. Ses palmarès ne sont actuellement identifiables qu'après la seconde guerre mondiale et l'apparition de la Fédération sportive de France. Antérieurement ces associations sont fédérées par le Rayon sportif féminin.
Sport | gymnastique |
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Création | 1921 |
Organisateur(s) |
FGSPF (1919-1940) FSF (1947-1968) FSCF depuis 1968 |
Périodicité | annuelle |
Statut des participants | amateur |
Plus titré(s) |
Associations : Hirondelles de Villefranche (15 titres), Relève d'Angers (14 titres). Individuelles : Hélène Caron (9 titres), Christiane Portia (8 titres). |
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Le Rayon sportif féminin (1919-1940)
Dès la fin de la Grande Guerre en 1919 une Fille de la charité, sœur Roussel, demande à la Fédération gymnastique et sportive des patronages de France (FGSPF) un moniteur de gymnastique pour les Enfants de Marie[1] du Raincy[2]. Celle-ci lui délègue Félix Mathey, huit fois champion fédéral d'athlétisme[3] et membre du CA Rosaire, qui présente à la fois les garanties techniques et morales nécessaires[J 1]. Il prend en charge dès l’année suivante une seconde société parisienne, la Tour d’Auvergne[4]. La gymnastique repose alors sur la gymnastique rythmique inspirée des écoles d'Irène Popard et Simon Siégel et des exercices athlétiques issus de la méthode de Georges Hébert : sauts, course et lancers. Seules les sections les plus riches pratiquent les barres parallèles dont l’usage est cependant vivement recommandé.
Une fête annuelle regroupe chaque année au Raincy les sociétés parisiennes sous l’autorité de sœur Bouvier[5] - [N 1] avant d'émigrer au parc de Saint-Maur puis en province. Chaque équipe chante a cappella l'hymne du Rayon avant de se produire aux exercices d'ensembles et après 1921 chaque rassemblement est précédé tôt le matin de la prière à Jeanne d'Arc.
La FGSPF ne se désintéresse pas de ce développement ; en 1926, son congrès fait état d'une Fédération d'éducation physique féminine et de son union régionale d'Île-de-France dont le docteur Mayet, vice-président fédéral, assure le suivi mais c'est bien l'écusson du Rayon sportif féminin (RSF) qui est présenté au concours de Lyon en 1929 par le cardinal Gerlier[6]. Cependant le mouvement n'est officiellement déclaré sous ce nom — qu'il utilise déjà depuis longtemps — qu'en 1931[J 2], le drapeau du RSF étant béni la même année par le chanoine Pasteau lors du concours d'Ivry[5]. Cinq ans plus tard lors du festival de 1936 qui accueille de nombreuses sociétés venues de province Henri Sellier, ministre de la santé publique, remercie les Filles de la Charité « au nom de la France ». En 1939, cinquante-trois comités départementaux recensés organisent chacun leur festival annuel de gymnastique pour les 650 associations affiliées[7].
Palmarès de 1921 à 1938
Année | Lieu de la compétition | Association | Année | Lieu de la compétition | Association | |
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1921 | Le Raincy | 1922 | Le Raincy | |||
1923 | 1924 | |||||
1925 | 1926 | |||||
1927 | 1928 | |||||
1929 | Lyon | 1930 | ||||
1931 | Ivry-sur-Seine | 1932 | ||||
1933 | 1934 | |||||
1935 | 1936 | Porte d'Ivry | ||||
1937 | 1938 | |||||
1939 | Le parc Saint-Maur | 1940 |
La Fédération sportive de France (1947-1968)
Le régime de Vichy imposant dès 1940 la fusion des fédérations féminines et masculines, le RSF se voit contraint de rejoindre la FGSPF et cette fusion imposée est confirmée et actée démocratiquement le sous le nom de Fédération sportive de France (FSF)[J 3]. Après cette date, les palmarès des championnats de France par équipe et individuels, organisés dans le même lieu, sont dument tenus à jour. La masse des licenciées et le nombre des gymnastes engagées impose plusieurs classements tant par équipes qu'individuellement. Le programme comporte alors : barres parallèles, saut de cheval, poutre, course de 60 mètres, lancer du poids et mouvements d'ensembles en musique[J 4]. En 1952 la tunique fédérale orange obligatoire depuis le passe au blanc[J 5]. En 1955 un second exercice collectif avec massues remplace le lancer du poids et, en 1958, les barres asymétriques se substituent aux barres parallèles[J 6]. En 1963, alors que la barboteuse bouffante resserrée à la ceinture cède la place au justaucorps blanc sans manches et ras du cou, le championnat de France ouvert jusqu'ici aux seules gymnastes "Aînées" (cadettes, juniors et seniors) voit apparaître un classement "Jeunesses" ouvert aux benjamines et minimes[J 6] et en 1965 un championnat par équipe "Promotion" alors que les épreuves d'athlétisme disparaissent définitivement du programme des championnats fédéraux[J 7]. En compétition individuelle, où le titre reste décerné sur la catégorie "Honneur", d'autres compétitions sont créées par catégorie d'âge.
Palmarès de 1947 à 1968
Sources : programme fédéral[8] :
Année | Lieu de la compétition | Association championne | Championne individuelle |
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1947 | Paris | Ginette Frost (Nantes) | |
1948 | Paris | NicolaĂŻte de Chaillot (Paris) | Christiane Richardot (Paris) |
1949 | Blois | Hirondelles (Villefranche-sur-SaĂ´ne) | Christiane Richardot (Paris) |
1950 | Besançon | Alouettes (Sarcelles) | Paulette Benic (Saint-Malo) |
1951 | Paris | Hirondelles (Villefranche-sur-SaĂ´ne) | Paulette Benic (Saint-Malo) |
1952 | Strasbourg | Hirondelles (Villefranche-sur-Saône) | Thérèse Boutet (Rennes) |
1953 | Dreux | Alouettes (Caluire) | Thérèse Boutet (Rennes) |
1954 | Saint-Servan | Alouettes (Caluire) | Paulette Benic (Saint-Malo) |
1955 | Auxerre | Hirondelles (Villefranche-sur-SaĂ´ne) | Paulette Benic (Saint-Malo) |
1956 | Château-Gontier | Hirondelles (Villefranche-sur-Saône) | Suzanne Lefort (Paris) |
1957 | Clermont-Ferrand | Hirondelles (Villefranche-sur-Saône) | Thérèse Boutet (Paris) |
1958 | Évian | Hirondelles (Villefranche-sur-Saône) | Christiane Portia (Argenteuil) |
1959 | Bergerac | Hirondelles (Villefranche-sur-SaĂ´ne) | Christiane Portia (Argenteuil) |
1960 | Voiron | Hirondelles (Villefranche-sur-SaĂ´ne) | Christiane Portia (Argenteuil) |
1961 | Angers | Alouettes (Caluire) | Christiane Portia (Argenteuil) |
1962 | Toul | Hirondelles (Villefranche-sur-SaĂ´ne) | Christiane Portia (Argenteuil) |
1963 | Royan | Alouettes (Caluire) | Christiane Portia (Argenteuil) |
1964 | Poissy | Gentianes (Chambéry) | Christiane Portia (Argenteuil) |
1965 | Autun | Alouettes (Caluire) | Christiane Portia (Argenteuil) |
1966 | Dunkerque | Chamois (Paris) | Marie-Thérèse Pillot (Montceau-les-Mines) |
1967 | Avranches | Chamois (Paris) | Marie-Thérèse Pillot (Montceau-les-Mines) |
1968 | Supprimé | titre non attribué | titre non attribué |
La Fédération sportive et culturelle de France (à partir de 1968)
Le programme des compétitions par équipe évolue grandement au cours des années 1960 pour aboutir à l'aube de la création de la Fédération sportive et culturelle de France (FSCF) à un contenu conforme à la gymnastique contemporaine auquel reste toujours associé une production collective imposée, spécifique à cette fédération. Ce programme est fixé définitivement pour toutes les catégories de compétition lors du congrès de 1970[J 8]. Chaque club présente alors à chaque épreuve les 14 mêmes gymnastes dont on retient à chaque fois les 12 meilleures notes. Ces compétitions qui se déroulent toujours en plein air sont parfois victimes des intempéries jusqu'en 1970. À la suite du championnat de Biarritz le cahier des charges impose aux organisateurs l'obligation de prévoir des emplacements couverts. En 1975, afin d'éviter le surmenage des gymnastes[N 2], les compétitions individuelles et par équipes se tiennent en deux lieux différents. Cependant la croissance des effectifs pose des problèmes d'organisation qui ne trouvent solution que dans la création, décidée en 1991, d'un "championnat Promotion II" organisé dans un lieu différent dès 1992 puis d'un "championnat Promotion III" en 1997[J 9].
Cette structuration perdure toujours en 2013 mais la composition des équipes est ramenée à 12 équipières dont 8 notes seulement sont prises en compte. En compétition individuelle une catégorie "Espoirs" — donnant lieu à un second titre de championne de France FSCF — est ouverte aux cadettes et minimes en 1994 alors que la catégorie "Honneur" est réservée aux juniors et seniors sans possibilité de surclassement. Ce championnat a conservé des particularités fortes. Le drapeau de la fédération est confié pour l'année qui suit à l'association championne : être champion c'est "avoir le drapeau". Il se termine le samedi par une soirée festive pour les 3 à 4 000 participantes, un défilé en ville le dimanche matin suivi d'un temps de réflexion[N 3] et un festival l'après-midi dont l'apothéose est la réalisation simultanée de la production collective (dite exercice d'ensemble) par les associations présentes.
Palmarès à partir de 1969
Sources : programme fédéral[8] :
Année | Lieu de la compétition | Association championne | Lieu de la compétition | Championne individuelle |
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1969 | Vittel | Hirondelles sportives (Montceau-les-Mines) | Idem | Marie-Thérèse Nallet (Montceau-les-Mines) |
1970 | Biarritz | Hirondelles sportives (Montceau-les-Mines) | Idem | Claudine Legay (Enghien) |
1971 | Lons-le-Saunier | Relève (Angers) | Idem | Anne Jehier (Angers) |
1972 | Le Mans | Relève (Angers) | Idem | Bozena Domasewska (Sucy-en Brie) |
1973 | Grenoble | Relève (Angers) | Idem | Claudine Legay (Enghien) |
1974 | La Ferté-Macé | Relève (Angers) | Idem | Claudine Moulineau (Angers) |
1975 | Pau | Relève (Angers) | Cholet | Frédérique Giraudeau (Enghien) |
1976 | Vannes | Jeune France (Cholet) | Poissy | Frédérique Giraudeau (Enghien) |
1977 | Saint-Brieuc | Relève (Angers) | Angers | Frédérique Giraudeau (Enghien) |
1978 | Saint-Chamond | Relève (Angers) | Pau | Claire Monteil (Angers) |
1979 | Poissy | Relève (Angers) | Chambéry | Hélène Morgat (Paris) |
1980 | Bourgoin-Jallieu | Relève (Angers) | Cholet | Agnès Brun (Chambéry) |
1981 | Annecy | Relève (Angers) | Brest | Agnès Brun (Chambéry) |
1982 | Pau | Relève (Angers) | Chambéry | Agnès Brun (Chambéry) |
1983 | Saint-Servan | Alouettes (Caluire) | Villefranche-sur-Saône | Hélène Morgat (Paris) |
1984 | Châlons-sur-Marne | Relève (Angers) | Audincourt | Hélène Morgat (Paris) |
1985 | Armentières | Relève (Angers) | Strasbourg | Élisabeth Tanghe (Dunkerque) |
1986 | Saint-Étienne | Relève (Angers) | Chambéry | Élisabeth Tanghe (Dunkerque) |
1987 | Annecy | Hirondelles (Villefranche-sur-Saône) | Sablé-sur-Sarthe | Christèle Danneville (Querqueville) |
1988 | Limoges | Hirondelles (Villefranche-sur-Saône) | Chartres | Christèle Danneville (Querqueville) |
1989 | Saint-Sébastien-sur-Loire | Cran (Tassin) | Chambéry | Corine Peyre (Dax) |
1990 | Poitiers | Gentianes (Chambéry) | Dax | Caroline Kine (Dunkerque) |
1991 | Lyon | Cran (Tassin) | Audincourt | Caroline Kine (Dunkerque) |
1992 | Châlons-sur-Marne | Hirondelles (Villefranche-sur-Saône) | Chartres | Laetitia Nézan (Dunkerque) |
1993 | Audincourt | Jeanne d'Arc (Estaires) | Feurs | Caroline Kine (Dunkerque) |
1994 | Chambéry | Jean-Bart (Dunkerque) | Châlons-sur-Marne | Patty Popieul (Dunkerque) |
1995 | Saint-SĂ©bastien-sur-Loire | ASC Bonne Garde (Nantes) | Arsac | Christine Lefebvre (Estaires) |
1996 | Épinal | Jean-Bart (Dunkerque) | Limoges | Magaly Hars (Dunkerque) |
1997 | Schiltigheim | Hirondelles (Villefranche-sur-SaĂ´ne) | Chartres | Marie-Christine Dehaene (Estaires) |
1998 | Poissy | Hirondelles (Villefranche-sur-Saône) | Chambéry | Magaly Hars (Dunkerque) Émilie Schutt (Dunkerque) |
1999 | Cholet | ASC Bonne Garde (Nantes) | Estaires | Fanny Perceval (Chambéry) |
2000 | Chambéry | Gentianes (Chambéry) | Pontarlier | Fanny Perceval (Chambéry) |
2001 | Beaucouzé | Gentianes (Chambéry) | Saint-Jean-de-Luz | Charlotte Catoire (Dunkerque) |
2002 | Poissy | Gentianes (Chambéry) | Estaires | Émilie Schutt (Dunkerque) |
2003 | Limoges | Jean-Bart (Dunkerque) | Dax | Laëtitia Willocq (Dunkerque) |
2004 | Schiltigheim | Jean-Bart (Dunkerque) | Saint-Marcellin | Claire Lebrun (Nantes) |
2005 | Saint-SĂ©bastien-sur-Loire | Jeanne d'Arc (Estaires) | Raon l'Etape | DĂ©borah Catoire (Dunkerque) |
2006 | Estaire | Jean-Bart (Dunkerque) | Couéron | Hélène Caron (Estaires) |
2007 | Chambéry | Jean-Bart (Dunkerque) | Saint-Laurent du Pont | Hélène Caron (Estaires) |
2008 | Bruz | Jeanne d'Arc (Estaires) | Baugé | Alexandra Calvi (Saint-Pierre d'Albigny) |
2009 | Saint-Sébastien-sur-Loire | Jeanne d'Arc (Estaires) | La Tour du Pin | Hélène Caron (Estaires) |
2010 | La Motte-Servolex | Jeanne d'Arc (Estaires) | Lanester | Hélène Caron (Estaires) |
2011 | Dax | Jeanne d'Arc (Estaires) | Cysoing | Hélène Caron (Estaires) |
2012 | Besançon | Jeanne d'Arc (Estaires) | Wasselone | Hélène Caron (Estaires) |
2013 | Roiffieux | Jeanne d'Arc (Estaires) | Bruz | Hélène Caron (Estaires) |
2014 | Arnas | Jeanne d'Arc (Estaires) | Flers | MĂ©lanie Maillard (Dunkerque) |
2015 | Saint-SĂ©bastien-sur-Loire | Jeanne d'Arc (Estaires) | Saint-Nazaire | Justine Manigaud (Limoges) |
2016 | Limoges | Jeanne d'Arc (Estaires) | Cysoing | Hélène Caron (Estaires) |
2017 | Angers | Jeanne d'Arc (Estaires) | La Motte-Servolex | Camille Veraghe (Estaires) |
2018 | Bourgoin-Jallieu | Jeanne d'Arc (Estaires) | Saint-Étienne | Hélène Caron (Estaires) |
2019 | Limoges | ASC Bonne Garde (Nantes) | Saint-Sébastien-sur-Loire | Éléa Relet (Saint-Sébastien-sur-Loire) |
2020 | Annulé[N 4] | Néant | Annulé[N 4] | Néant |
2021 | Annulé[N 4] | Néant | Annulé[N 4] | Néant |
2022 | Bruz | ASC Bonne Garde (Nantes) | Limoges | Awenna Aymard (Le Palais-sur-Vienne) |
La présidence de la Commission technique de gymnastique féminine
Se sont succédé à la présidence de la commission fédérale de gymnastique féminine (CFGF)[J 10] :
- Olga Batany (1946-1948) ;
- Gabriel Maucurier (1948-1953) ;
- Geneviève Lespagnol (1953-1956) ;
- Jeanne Mamie (1956-1976) ;
- Annick Louvard (1976-1996) ;
- À partir de 1996 la commission est gérée pour deux ans par un triumvirat : Annick Louvard, Monique Lafargue et Daniel Grünenwald ;
- Marie-Noëlle Cottalorda (1998-2016)[9].
La Fédération internationale catholique d'éducation physique et sportive
Après la Seconde Guerre mondiale, l'Union internationale des œuvres catholiques d’éducation physique (UIOCEP) prend le nom de Fédération internationale catholique d’éducation physique et sportive[10] (FICEP) le . Gabriel Maucurier assume la présidence de la commission technique et Marie-Thérèse Eyquem celle de la commission féminine[11]. Depuis 1960 à Maastricht[J 11] les meilleures gymnastes de la FSCF rencontrent leurs homologues des fédérations sportives catholiques européennes dans le cadre des Jeux de la FICEP et des rencontres bilatérales placées sous l'égide de celle-ci dans les périodes intermédiaires[12].
Notes et références
Notes
- Sœur Bouvier a laissé son nom à une rue du Ve arrondissement de Lyon.
- jusqu'à cette date les individuelles concourant pour le titre de championne de France devaient exécuter le vendredi soir les exercices imposés des Jeux olympiques, concourir en plein air le samedi avec leurs équipes et présenter leurs exercices libres le dimanche matin
- Ce rassemblement qui mêle chants, lectures et témoignages associés à un thème a remplacé depuis la fin du siècle dernier la messe des championnats. Pour exemple le championnat fédéral de Roiffieux en 2013 a pour axe de réflexion : Tout seul on va plus vite, ensembles on va plus loin
- en raison de la crise sanitaire provoquée par la Covid-19
Références
- Jean-Marie Jouaret 2012, p. 89,90
- Jean-Marie Jouaret 2012, p. 136
- Jean-Marie Jouaret 2012, p. 160
- Jean-Marie Jouaret, 1999, tome 1, p. 315
- Jean-Marie Jouaret, 1999, tome 1, p. 326
- Jean-Marie Jouaret, 1999, tome 1, p. 311
- Jean-Marie Jouaret, 1999, tome 1, p. 313
- Jean-Marie Jouaret, 1999, tome 1, p. 327
- Jean-Marie Jouaret, 1999, tome 1, p. 332
- Jean-Marie Jouaret, 1999, tome 1, p. 335
- Jean-Marie Jouaret, 1999, tome 1, p. 319
- Autres références :
- Hélène Roman-Galéazzi, « Les Enfants de Marie Immaculée », sur rives.revues.org, 2005.
- Fabien Groeninger 2004, p. 166.
- « Carnet : Décès Félix Mathey », sur gallica.bnf.fr, Les Jeunes, n°2111, (consulté le ), p. 3
- Fabien Groeninger 2004, p. 167.
- Fabien Groeninger 2004, p. 169.
- Yvon Tranvouez 1999, p. 229.
- Yvon Tranvouez 1999, p. 230.
- Fédération sportive et culturelle de France, programme fédéral de gymnastique féminine 2014, annexe.
- « Merci Marie Noelle », sur fscf.asso.fr (consulté le )
- Laurence Munoz et Jan Tolleneer 2011, p. 319.
- Robert Hervet 1948, p. 115.
- Laurence Munoz et Jan Tolleneer 2011, p. 329-336.
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Robert Hervet (préf. François Hébrard), La FSF de 1898 à 1948, Paris, , 173 p. (OCLC 66302325) .
- Fabien Groeninger, Sport, religion et nation, la fédération des patronages d'une guerre mondiale à l'autre, Paris, L'Harmattan, , 340 p. (ISBN 2-7475-6950-0, BNF 39244145) .
- Jean-Marie Jouaret, Petite histoire partielle et partiale de la Fédération sportive et culturelle de France (1948-1998), t. 1, Paris, FSCF (à compte d’auteur, imp. Déja-Glmc), , 646 p. (ISBN 2-9528387-0-4, BNF 41363915) .
- Jean-Marie Jouaret, La fédération des sections sportives des patronages catholiques de France (1898-1998), Paris, L'Harmattan, , 245 p. (ISBN 978-2-296-55969-1, BNF 42598758, lire en ligne) .
- Laurence Munoz et Jan Tolleneer, L’Église, le sport et l’Europe : La Fédération internationale catholique d’éducation physique (FICEP) à l’épreuve du temps (1911 – 2011), Paris, L’Harmattan, coll. « Espaces et Temps du sport », , 354 p. (ISBN 978-2-296-54931-9, BNF 42427985, lire en ligne) .
- Yvon Tranvouez, Sport, culture et religion, Brest, UBO, (ISBN 2-901737-39-0, BNF 37084091), p. 227-243 .