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Saint-LĂ©ger-sous-Cholet

Saint-Léger-sous-Cholet est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire en région Pays de la Loire.

Saint-LĂ©ger-sous-Cholet
Saint-LĂ©ger-sous-Cholet
La mairie, au lieu-dit le Landreau.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Maine-et-Loire
Arrondissement Cholet
Intercommunalité Agglomération du Choletais
Maire
Mandat
Jean-Paul OlivarĂšs
2020-2026
Code postal 49280
Code commune 49299
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Légeois
Population
municipale
3 062 hab. (2020 en augmentation de 14,9 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 315 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 05â€Č 38″ nord, 0° 54â€Č 30″ ouest
Altitude 138 m
Min. 93 m
Max. 132 m
Superficie 9,72 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Léger-sous-Cholet
(ville isolée)
Aire d'attraction Cholet
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de SĂšvremoine
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Saint-LĂ©ger-sous-Cholet
Liens
Site web Site de Saint-LĂ©ger-sous-Cholet

    GĂ©ographie

    Commune angevine des Mauges, Saint-Léger-sous-Cholet se situe au nord de la ville de Cholet, sur les routes D 63 Saint-Macaire-en-Mauges, D 752 Bégrolles-en-Mauges / Cholet, et D 15 Le May-sur-Èvre[1].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 801 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Cholet », sur la commune de Cholet, mise en service en 1965[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 777,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, dans le dĂ©partement de la Loire-Atlantique, mise en service en 1945 et Ă  55 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  12,5 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  12,7 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-LĂ©ger-sous-Cholet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Saint-LĂ©ger-sous-Cholet, une unitĂ© urbaine monocommunale[18] de 3 062 habitants en 2020, constituant une ville isolĂ©e[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cholet, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (85,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (88,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (63,4 %), prairies (18,2 %), zones urbanisĂ©es (11,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (3,2 %), forĂȘts (0,2 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[24].

    Toponymie et héraldique

    Toponymie

    Saint-LĂ©ger-des-Bois, Saint-LĂ©ger-du-May en 1863[25].

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-LĂ©ger-sous-Cholet Blason
    CoticĂ© de gueules et d’or, au personnage contournĂ© et stylisĂ© d’argent surmontĂ© d'une roue dentĂ©e de sable Ă  dextre, Ă  l'Ă©pi de blĂ© et la branche de chĂȘne posĂ©e en barre, soutenus des lettres St et L entrelacĂ©es, le tout d’argent; au franc-canton d'argent chargĂ© d'un sanglier de sable.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Histoire

    Avant la Révolution, le bourg et le nord du village (le Haut-Saint-Léger) dépendaient du May-sur-Èvre, le sud (le Bas-Saint-Léger) de Mortagne-sur-SÚvre.

    La commune est créée par décret de l'empereur Napoléon III le 14 décembre 1863, son territoire était alors une section de la commune du May[26].

    De 1899 à 1947, la commune est traversée par la ligne de chemin de fer du Petit Anjou (Cholet-Nantes, via Beaupréau et le Loroux-Bottereau) qui y avait une gare[27].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Louis Gouraud (+ 19 avril 1867[28]) premier maire de la commune
    Pierre Braud maire par intérim
    Pierre Braud
    Alexis Maurat forgeron
    Pierre Rousselot
    Joseph Merlet maire par intérim
    André Godineau maire par intérim
    Les données manquantes sont à compléter.
    1929 ? Charles Cesbron-Lavau DVG
    Les données manquantes sont à compléter.
    Alphonse Leray
    Jean Tignon
    Marie-Juliette Tanguy DVG
    En cours
    (au 26 mai 2020)
    Jean-Paul OlivarĂšs[29] - [30] DVG Enseignant
    Vice-président de l'Agglomération du Choletais
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté d'agglomération Agglomération du Choletais depuis disparition de la communauté d'agglomération du Choletais[31].

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1866. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[33].

    En 2020, la commune comptait 3 062 habitants[Note 7], en augmentation de 14,9 % par rapport Ă  2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    672682688694703646620628610
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    557544532505531573663653701
    1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020
    1 2361 8572 4702 6042 5032 4772 4922 7223 062
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee Ă  partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  34,6 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 24,6 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 25,6 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 1 492 hommes pour 1 482 femmes, soit un taux de 50,17 % d'hommes, lĂ©gĂšrement supĂ©rieur au taux dĂ©partemental (48,63 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,1
    90 ou +
    0,2
    4,9
    75-89 ans
    6,2
    19,1
    60-74 ans
    18,8
    19,1
    45-59 ans
    20,9
    20,8
    30-44 ans
    20,8
    11,7
    15-29 ans
    11,7
    24,3
    0-14 ans
    21,4
    Pyramide des ùges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2
    6,9
    75-89 ans
    9,5
    15,5
    60-74 ans
    16,3
    19,4
    45-59 ans
    18,8
    18,6
    30-44 ans
    17,7
    18,6
    15-29 ans
    17,5
    20,2
    0-14 ans
    18,2

    Économie

    Sur 148 établissements présents sur la commune à fin 2010, 12 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 16 % du secteur de l'industrie, 7 % du secteur de la construction, 51 % de celui du commerce et des services et 14 % du secteur de l'administration et de la santé[38]. Fin 2015, sur les 192 établissements actifs, 6 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 15 % du secteur de l'industrie, 12 % du secteur de la construction, 54 % de celui du commerce et des services et 14 % du secteur de l'administration et de la santé[39].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-LĂ©ger, datant du XIXe siĂšcle.
    • Le vieux bourg (maisons basses anciennes).
    • La tannerie (au vieux bourg).
    • L'ancienne cure, rĂ©novĂ©e avec des subventions de la Fondation du patrimoine, est aujourd'hui une propriĂ©tĂ© privĂ©e, visitable pendant les journĂ©es du patrimoine.
    • La mairie. C'est l'ancienne seigneurie du Landreau (manoir qui possĂšde deux tours accolĂ©es cĂŽtĂ© parc et un puits dans la cour intĂ©rieure) fermĂ©e de murets et possĂ©dant deux entrĂ©es encadrĂ©es de portails. La premiĂšre tour est ronde, coiffĂ©e d'un toit conique en ardoises. La seconde est hexagonale, en briques, avec crĂ©neaux. L'imposte de sa porte est composĂ©e de deux petits vitraux carrĂ©s. La fenĂȘtre du premier Ă©tage est en vitraux.
    • La mairie
    • ArriĂšre de la mairie.
      ArriĂšre de la mairie.
    • La tour hexagonale de la mairie.
      La tour hexagonale de la mairie.
    • DĂ©tail : porte de la tour hoctogonale.
      DĂ©tail : porte de la tour hoctogonale.
    • DĂ©tail : fenĂȘtre de la tour hoctogonale.
      DĂ©tail : fenĂȘtre de la tour hoctogonale.
    • Le puits de la cour intĂ©rieure.
      Le puits de la cour intérieure.
    • "Cabanon" du parc de la mairie.
      "Cabanon" du parc de la mairie.
    • "Cabanon" du parc de la mairie.
      "Cabanon" du parc de la mairie.
    • Porte d'entrĂ©e.
      Porte d'entrée.
    • Le manoir du Pontreau, logis fortifiĂ©, du XVe siĂšcle (propriĂ©tĂ© privĂ©e).
    • L'ancienne gare de la ligne de chemin de fer du Petit Anjou.
    • La fontaine du vieux bourg, aujourd'hui disparue.
    • Quatre croix, dont une mĂ©diĂ©vale. La quatriĂšme est sur une propriĂ©tĂ© privĂ©e.
    • L'Ă©tang.
    • Ancienne gare du Petit Anjou.
      Ancienne gare du Petit Anjou.
    • Église Saint-LĂ©ger.
      Église Saint-LĂ©ger.
    • Portail de l'ancienne cure.
      Portail de l'ancienne cure.
    • Vieille croix.
      Vieille croix.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • Croix de la RiviĂšre.
      Croix de la RiviĂšre.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. IGN et BRGM, Géoportail Saint-Léger-sous-Cholet (49), consulté le 24 juillet 2012.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Cholet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Léger-sous-Cholet et Cholet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Cholet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Léger-sous-Cholet et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Saint-Léger-sous-Cholet », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    25. « Histoire - Nom de la ville », sur saintlegersouscholet.fr (consulté le ).
    26. Municipalité de Saint-Léger-sous-Cholet et Les amis de Léo, « Saint-Léger-sous-Cholet, parcours découverte : La mairie actuelle » [JPG], sur saintlegersouscholet.fr, (consulté le ).
    27. « Histoire - Le Petit Anjou », sur saintlegersouscholet.fr (consulté le ).
    28. Archives dĂ©partementales de Maine-et-Loire, « REGISTRES PAROISSIAUX ET D'ÉTAT CIVIL », sur archives49.fr (consultĂ© le ).
    29. Ouest-France, Jean-Paul OlivarÚs, réélu maire, s'entoure de six adjoints, article du 1er avril 2014.
    30. « Saint-léger-sous-Cholet. Le nouveau conseil municipal est installé », sur Ouest-France, (consulté le ).
    31. Insee, Composition de l'EPCI du Choletais (244900700), consulté le 28 septembre 2013.
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-LĂ©ger-sous-Cholet (49299) », (consultĂ© le ).
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de Maine-et-Loire (49) », (consultĂ© le ).
    38. Insee, Statistiques locales du territoire de Saint-Léger-sous-Cholet (49), consultées le 19 mai 2013.
    39. « Dossier complet - Commune de Saint-Léger-sous-Cholet (49299) », sur Insee, (consulté le ).
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