Saint-LĂ©ger-sous-Cholet
Saint-Léger-sous-Cholet est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire en région Pays de la Loire.
Saint-LĂ©ger-sous-Cholet | |||||
La mairie, au lieu-dit le Landreau. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Pays de la Loire | ||||
DĂ©partement | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Cholet | ||||
Intercommunalité | Agglomération du Choletais | ||||
Maire Mandat |
Jean-Paul OlivarĂšs 2020-2026 |
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Code postal | 49280 | ||||
Code commune | 49299 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Saint-Légeois | ||||
Population municipale |
3 062 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 315 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 47° 05âČ 38âł nord, 0° 54âČ 30âł ouest | ||||
Altitude | 138 m Min. 93 m Max. 132 m |
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Superficie | 9,72 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Saint-Léger-sous-Cholet (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Cholet (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de SĂšvremoine | ||||
LĂ©gislatives | CinquiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
GĂ©olocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | Site de Saint-LĂ©ger-sous-Cholet | ||||
GĂ©ographie
Commune angevine des Mauges, Saint-LĂ©ger-sous-Cholet se situe au nord de la ville de Cholet, sur les routes D 63 Saint-Macaire-en-Mauges, D 752 BĂ©grolles-en-Mauges / Cholet, et D 15 Le May-sur-Ăvre[1].
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Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Cholet », sur la commune de Cholet, mise en service en 1965[8] et qui se trouve Ă 4 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 777,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, dans le dĂ©partement de la Loire-Atlantique, mise en service en 1945 et Ă 55 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă 12,5 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 12,7 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Saint-Léger-sous-Cholet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Léger-sous-Cholet, une unité urbaine monocommunale[18] de 3 062 habitants en 2020, constituant une ville isolée[19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cholet, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (85,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (88,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (63,4 %), prairies (18,2 %), zones urbanisĂ©es (11,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (3,2 %), forĂȘts (0,2 %)[23].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[24].
Toponymie et héraldique
Toponymie
Saint-LĂ©ger-des-Bois, Saint-LĂ©ger-du-May en 1863[25].
HĂ©raldique
Blason | CoticĂ© de gueules et dâor, au personnage contournĂ© et stylisĂ© dâargent surmontĂ© d'une roue dentĂ©e de sable Ă dextre, Ă l'Ă©pi de blĂ© et la branche de chĂȘne posĂ©e en barre, soutenus des lettres St et L entrelacĂ©es, le tout dâargent; au franc-canton d'argent chargĂ© d'un sanglier de sable. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Histoire
Avant la RĂ©volution, le bourg et le nord du village (le Haut-Saint-LĂ©ger) dĂ©pendaient du May-sur-Ăvre, le sud (le Bas-Saint-LĂ©ger) de Mortagne-sur-SĂšvre.
La commune est créée par décret de l'empereur Napoléon III le 14 décembre 1863, son territoire était alors une section de la commune du May[26].
De 1899 à 1947, la commune est traversée par la ligne de chemin de fer du Petit Anjou (Cholet-Nantes, via Beaupréau et le Loroux-Bottereau) qui y avait une gare[27].
Politique et administration
Administration municipale
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté d'agglomération Agglomération du Choletais depuis disparition de la communauté d'agglomération du Choletais[31].
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1866. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[33].
En 2020, la commune comptait 3 062 habitants[Note 7], en augmentation de 14,9 % par rapport Ă 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 34,6 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,2 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 24,6 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 25,6 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 1 492 hommes pour 1 482 femmes, soit un taux de 50,17 % d'hommes, légÚrement supérieur au taux départemental (48,63 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Ăconomie
Sur 148 établissements présents sur la commune à fin 2010, 12 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 16 % du secteur de l'industrie, 7 % du secteur de la construction, 51 % de celui du commerce et des services et 14 % du secteur de l'administration et de la santé[38]. Fin 2015, sur les 192 établissements actifs, 6 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 15 % du secteur de l'industrie, 12 % du secteur de la construction, 54 % de celui du commerce et des services et 14 % du secteur de l'administration et de la santé[39].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'Ă©glise Saint-LĂ©ger, datant du XIXe siĂšcle.
- Le vieux bourg (maisons basses anciennes).
- La tannerie (au vieux bourg).
- L'ancienne cure, rénovée avec des subventions de la Fondation du patrimoine, est aujourd'hui une propriété privée, visitable pendant les journées du patrimoine.
- La mairie. C'est l'ancienne seigneurie du Landreau (manoir qui possĂšde deux tours accolĂ©es cĂŽtĂ© parc et un puits dans la cour intĂ©rieure) fermĂ©e de murets et possĂ©dant deux entrĂ©es encadrĂ©es de portails. La premiĂšre tour est ronde, coiffĂ©e d'un toit conique en ardoises. La seconde est hexagonale, en briques, avec crĂ©neaux. L'imposte de sa porte est composĂ©e de deux petits vitraux carrĂ©s. La fenĂȘtre du premier Ă©tage est en vitraux.
- ArriĂšre de la mairie.
- La tour hexagonale de la mairie.
- DĂ©tail : porte de la tour hoctogonale.
- DĂ©tail : fenĂȘtre de la tour hoctogonale.
- Le puits de la cour intérieure.
- "Cabanon" du parc de la mairie.
- "Cabanon" du parc de la mairie.
- Porte d'entrée.
- Le manoir du Pontreau, logis fortifié, du XVe siÚcle (propriété privée).
- L'ancienne gare de la ligne de chemin de fer du Petit Anjou.
- La fontaine du vieux bourg, aujourd'hui disparue.
- Quatre croix, dont une médiévale. La quatriÚme est sur une propriété privée.
- L'Ă©tang.
- Ancienne gare du Petit Anjou.
- Ăglise Saint-LĂ©ger.
- Portail de l'ancienne cure.
- Vieille croix.
- Monument aux morts.
- Croix de la RiviĂšre.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- IGN et BRGM, Géoportail Saint-Léger-sous-Cholet (49), consulté le 24 juillet 2012.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Cholet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Léger-sous-Cholet et Cholet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Cholet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Léger-sous-Cholet et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Léger-sous-Cholet », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Histoire - Nom de la ville », sur saintlegersouscholet.fr (consulté le ).
- Municipalité de Saint-Léger-sous-Cholet et Les amis de Léo, « Saint-Léger-sous-Cholet, parcours découverte : La mairie actuelle » [JPG], sur saintlegersouscholet.fr, (consulté le ).
- « Histoire - Le Petit Anjou », sur saintlegersouscholet.fr (consulté le ).
- Archives dĂ©partementales de Maine-et-Loire, « REGISTRES PAROISSIAUX ET D'ĂTAT CIVIL », sur archives49.fr (consultĂ© le ).
- Ouest-France, Jean-Paul OlivarÚs, réélu maire, s'entoure de six adjoints, article du 1er avril 2014.
- « Saint-léger-sous-Cholet. Le nouveau conseil municipal est installé », sur Ouest-France, (consulté le ).
- Insee, Composition de l'EPCI du Choletais (244900700), consulté le 28 septembre 2013.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-LĂ©ger-sous-Cholet (49299) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de Maine-et-Loire (49) », (consultĂ© le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Saint-Léger-sous-Cholet (49), consultées le 19 mai 2013.
- « Dossier complet - Commune de Saint-Léger-sous-Cholet (49299) », sur Insee, (consulté le ).