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Bignan

Bignan [biÉČɑ̃] est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement du Morbihan en rĂ©gion Bretagne.

Bignan
Bignan
L'allée couverte de Kergonfalz.
Blason de Bignan
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Centre Morbihan Communauté
Maire
Mandat
Chantal Bihoës
2020-2026
Code postal 56500
Code commune 56017
DĂ©mographie
Gentilé Bignanais
Population
municipale
2 758 hab. (2020 en diminution de 0,93 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 60 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 52â€Č 48″ nord, 2° 46â€Č 23″ ouest
Altitude Min. 53 m
Max. 181 m
Superficie 45,84 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Moréac
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Bignan
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Bignan
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Bignan
Liens
Site web http://www.pays-st-jean.com/bignan/

    Le chùteau de Kerguéhennec, parfois surnommé le « Versailles breton », est l'un des lieux les plus visités sur la commune.

    GĂ©ographie

    La commune repose sur les Landes de Lanvaux.

    Bignan est située entre les cantons de Locminé et Saint-Jean-Brévelay.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 954 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 14,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1997 permet de connaĂźtre en continu l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[7]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.

    Statistiques 1981-2010 et records BIGNAN (56) - alt : 112 m 47° 53â€Č 00″ N, 2° 43â€Č 42″ O
    Statistiques établies sur la période 1997-2010 - Records établis sur la période du 01-04-1997 au 04-01-2022
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 3,2 3,1 4,2 5,4 8,8 11,1 12,6 12,6 10,3 8,7 5,5 3,1 7,4
    Température moyenne (°C) 6 6,5 8,2 10,2 13,6 16,4 17,9 18 15,8 12,6 8,8 6 11,7
    Température maximale moyenne (°C) 8,8 9,8 12,3 15 18,4 21,6 23,1 23,5 21,2 16,5 12,1 8,9 16
    Record de froid (°C)
    date du record
    −8
    07.01.09
    −8,5
    11.02.12
    −8,3
    01.03.05
    −3,9
    11.04.03
    −1,4
    02.05.21
    1,8
    01.06.06
    5,4
    29.07.15
    4,4
    31.08.03
    1,5
    29.09.07
    −4,5
    30.10.1997
    −5,9
    29.11.10
    −7
    29.12.05
    −8,5
    2012
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    17,5
    27.01.03
    21,6
    27.02.19
    23,2
    30.03.21
    27,8
    15.04.15
    30,1
    30.05.03
    34,2
    22.06.03
    35,9
    19.07.16
    38,2
    09.08.03
    31,5
    07.09.16
    28,5
    02.10.11
    20,1
    01.11.15
    15,7
    19.12.15
    38,2
    2003
    PrĂ©cipitations (mm) 118,6 74,6 82,5 81,2 67,3 48,5 56,2 58 58,6 121,8 120,3 123,2 1 010,8
    Source : « Fiche 56017003 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Bignan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [8] - [9] - [10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11] - [12].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Le tableau ci-dessous prĂ©sente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 3,5 % 160
    Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 0,2 % 11
    Extraction de matériaux 0,6 % 29
    Terres arables hors périmÚtres d'irrigation 44,2 % 2035
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 19,6 % 900
    SystĂšmes culturaux et parcellaires complexes 16,2 % 745
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 2,1 % 85
    ForĂȘts de feuillus 8,3 % 382
    ForĂȘts de conifĂšres 2,8 % 127
    ForĂȘts mĂ©langĂ©es 2,6 % 119
    Source : Corine Land Cover[13]

    Toponymie

    Les formes les plus anciennes de Bignan, qui soient connues, ne remontent pas au-delà du XVe siÚcle. On trouve, dans les archives des Rohan, Bingnen en 1421, Buignen en 1428[14] et Bignen en 1461. Cette paroisse relevait en effet autrefois du doyenné de Porhoët, fief des seigneurs de Rohan. La signification de ce toponyme est obscure. Plusieurs hypothÚses existent[15] :

    • un Beg (soit Beg-Hent- soit Beg-nein : bout du chemin ou de Naizin) mais la nasalisation du breton semble s’y opposer ;
    • une origine similaire ("petite BĂ©thanie")[16] aux Beignon et Bignac des pays Gallo et charentais ce qui lui donnerait une origine gallo-romaine ;
    • une origine bretonne via le terme Bedun signifiant bouleau qui se dit beg beu aujourd’hui, on trouve effectivement un lieu-dit, le BĂ©zo, qui pourrait le confirmer (bĂ©zo = bouleaux) ;
    • une idĂ©e de hauteur basĂ©e sur les radicaux celtiques benn(Benian) et penn = hauteur (rapprochement avec pign : pignein (monter). Le bourg est en effet situĂ© sur une hauteur.

    Histoire

    Bignan. Grande-Rue.

    Préhistoire

    On a trouvé à Bignan en 1906 des vestiges de l'époque acheuléenne et des vestiges d'habitats de l'ùge du fer[17].

    Moyen-Âge

    Selon un aveu de 1471, Bignan était, au sein de la Vicomté de Rohan, une des 46 paroisses ou trÚves de la seigneurie proprement dite de Rohan[18].

    Révolution française

    Bignan fut un centre trÚs actif de chouannerie à partir de 1794 par l'action de Pierre Guillemot, dit « le roi de Bignan », lieutenant de Georges Cadoudal[19] - [20].

    Le chùteau de Kerguéhennec, parfois surnommé le « Versailles breton », servit d'entrepÎt aux chouans pour soustraire les récoltes à la loi de réquisition des grains appliquée par l'administration républicaine[21] - [22].

    Le XIXe siĂšcle

    Le , aprĂšs avoir dĂ©jeunĂ© Ă  Colpo chez la princesse Baciocchi , le cortĂšge impĂ©rial (NapolĂ©on III et EugĂ©nie de Montijo) traverse Bignan, oĂč un arc de triomphe est ornĂ© des instruments et des produits de l'agriculture ; il porte l'inscription suivante : "Vivent l'Empereur et l'ImpĂ©ratrice longtemps ! Vive l'Empire toujours !"[23].

    En 1882, le comte de Lanjuinais, maire de Bignan, fut révoqué (mais réélu ensuite) en raison de son opposition aux lois Jules Ferry de 1881 et 1882 sur l'enseignement primaire[24].

    La Belle Époque

    L'abbĂ© JĂ©rĂŽme BulĂ©on[25], recteur de Bignan, estime en 1902 que dans sa paroisse une quarantaine de personnes comprennent le français ; il assure pour celles-ci une prĂ©dication spĂ©ciale en français dans une chapelle[26]. Le curĂ© de Bignan vit son traitement [27] suspendu en janvier 1903 pour avoir prĂȘchĂ© et enseignĂ© le catĂ©chisme en breton[28].

    La PremiĂšre Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Bignan porte les noms de 149 soldats morts pour la France pendant la PremiÚre Guerre mondiale : parmi eux trois au moins sont morts sur le front belge (Jean Dréano à Maissin et Albert Moisan à Rossignol, tous les deux dÚs le et Henri Le Quentrec à Poperinghe le ) ; 4 au moins (Joachim Cadoret, François Le Corvic, Allain Le Quentrec et Félix Le Turnier) sont morts alors qu'ils étaient en captivité en Allemagne; un au moins (Jacques Suillaud[29]) est un marin disparu en mer ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français[30].

    L'Entre-deux-guerres

    En 1927, l'école chrétienne de garçons de Bignan avait 72 élÚves, celle des filles 124 élÚves alors que l'école laïque de garçons avait 18 élÚves et celle des filles sept élÚves[31].

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Bignan porte les noms de 12 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale, plusieurs d'entre elles étant des résistants comme Ben Ghali, Henri Jegat, d'autres étant des victimes civiles comme Aimé Jegoux, d'autres des soldats[30].

    La guerre d'Algérie

    Trois soldats originaires de Bignan (Georges Le Barzic, A. Quilleré et H. Roger) sont morts pour la France pendant la guerre d'Algérie[30].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1881 1916 Paul-Henri Lanjuinais Monarchiste Officier de cavalerie
    Les données manquantes sont à compléter.
    vers 1933 Joseph Thiboult[Note 5]
    vers 1941 M. Le Guével
    1945 ? mars 1959 M. Kerdat
    mars 1959 21 mars 1971 Jean Thomas[Note 6] DVD-UNR Notaire
    21 mars 1971 28 janvier 1979
    (décÚs)
    Jean Daniel[Note 7] Retraité
    4 mars 1979[32] 22 mars 1981
    (démission)
    Henri Mahéas
    22 mars 1981[33] 16 mars 2008 Henri-Michel Kersuzan[Note 8] - [34] DVD-UMP Retraité civil
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de Saint-Jean-BrĂ©velay (1998 → 2011)
    16 mars 2008 27 mai 2020 Louis Morio[Note 9] SE Retraité de l'enseignement
    27 mai 2020 En cours Chantal BihoÚs[35] - [36] DVD[36] Aide-médico psychologique, ancienne adjointe
    3e vice-prĂ©sidente Centre Morbihan CommunautĂ© (2021 → )

    Économie

    Un parc Ă©olien de deux mĂąts est installĂ© sur le territoire de la commune depuis 2009. L'entreprise InnoVent qui en est propriĂ©taire l'utilise en 2015 comme support d'un prĂȘt participatif ouvert au public[37].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[39].

    En 2020, la commune comptait 2 758 habitants[Note 10], en diminution de 0,93 % par rapport Ă  2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 8912 8952 8622 5702 8223 0003 0063 0853 081
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 0633 0092 6282 5092 5612 7032 6992 7452 756
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 7872 7702 6432 3912 4732 5072 4082 2832 095
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    2 0612 0672 2272 4462 5672 5462 5312 5492 723
    2014 2019 2020 - - - - - -
    2 7842 7742 758------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee Ă  partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Langue bretonne

    En breton la ville se nomme Begnen. La commune a signé la charte Ya d'ar brezhoneg le .

    À la rentrĂ©e 2016, 49 Ă©lĂšves Ă©taient scolarisĂ©s dans la filiĂšre bilingue catholique, soit 22 % des enfants de la commune inscrits dans le primaire[42].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • AllĂ©e couverte de Kergonflaz.
      Allée couverte de Kergonflaz.
    • Domaine de KerguĂ©hennec.
      Domaine de Kerguéhennec.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Les armes de Bignan se blasonne ainsi :

    CoupĂ©, au un au chevron de gueules accompagnĂ© en chef de deux hures de sable et en pointe d’un lĂ©vrier du mĂȘme ; au deux d’azur Ă  trois bandes d’hermine.
    (à partir des armes de la famille de Janzé)
    Conc. J. Daniele

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Lettre du concernant le projet de lettres de rĂ©mission prĂ©sentĂ© par SĂ©bastien Legrand, prĂȘtre de Bignan, pour l'homicide du nommĂ© Marguerin qu'il avait surpris en train de le voler, Source : C 39

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. RĂ©Ă©lu en 1935.
    6. RĂ©Ă©lu en 1965.
    7. Jean Yves Georges Louis Daniel, né le 30 décembre 1918 à Lorient, décédé le 28 janvier 1979 à Bignan. Réélu en 1977.
    8. Henri Michel Kersuzan, né le 27 décembre 1936 à Saint-Jean-Brévelay, décédé le 6 novembre 2019 à Vannes. Réélu en 1983, 1989, 1995 et 2001.
    9. RĂ©Ă©lu en 2014.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Fiche du Poste 56017003 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    13. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    14. Aveu de Margarite de Kerdel - 30 septembre 1428 (parchemin)
    15. http://www.mairie-bignan.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=47&Itemid=101
    16. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France : Formations dialectales (suite) et françaises : étymologie de 35000 noms de lieux, t. 3, Librairie Droz, , 480 p. (lire en ligne), p. 1719.
    17. in Revue morbihannaise - Volume 15 - 1911 - p. 48 de Max Nicol, l'abbé Jerome Buléon et Paul Aveneau de la Granciére.
    18. ThĂ©odore Derome, « De l'usement de Rohan ou du domaine congĂ©able », Revue critique de lĂ©gislation et de jurisprudence,‎ , p. 257-258 (lire en ligne, consultĂ© le ).
    19. in Georges Cadoudal et les chouans, p. 156 de Patrick Huchet
    20. in 1788-1795: les Quévenois à l'heure de la Révolution française, p. 57 du Comité historique quévenois
    21. in Mémoires de la Société d'histoire et d'archéologie de Bretagne, 1911, Volumes 21 à 23, p. 210 de la Société d'histoire et d'archéologie de Bretagne.
    22. in La Chouannerie de 1815: les Cent-Jours dans l'Ouest, p. 210 de Roger Grand.
    23. Charles Floquet, Au cƓur de l'Arcoat. La Bretagne intĂ©rieure : La visite impĂ©riale, France-Empire, (ISBN 978-2-7048-0034-6), pages 307-324.
    24. Le Temps, (en ligne sur Gallica).
    25. JĂ©rĂŽme BulĂ©on (1854-1934), nĂ© Ă  Plumergat, ordonnĂ© prĂȘtre en 1878, orateur et historien, enseigna au petit sĂ©minaire de Sainte-Anne-d'Auray entre 1877 et 1899 avant d'ĂȘtre nommĂ© curĂ© de Bignan jusqu'en 1906. Il dirigea la Revue morbihannaise entre 1905 et 1914, Ă©crivant en breton et en français.
    26. Fanch Broudic, L'interdiction du breton en 1902 : la IIIe République contre les langues régionales, Spézet, Coop Breizh, , 182 p. (ISBN 2-909924-78-5).
    27. En vertu du Concordat de 1801, les prĂȘtres Ă©taient payĂ©s par l'État.
    28. « Une mesure inique », L'Ouest-Éclair,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    29. Jacques Suillaud, quartier-maßtre Boulanger-Coq, disparu lors du naufrage du cuirasséSuffren le .
    30. « Morbihan », sur MémorialGenWeb (consulté le ).
    31. École et famille : bulletin mensuel de l'Union des associations catholiques des chefs de famille, (en ligne sur Gallica).
    32. « M. Henri MahĂ©as nouveau maire de Bignan », Ouest-France,‎ .
    33. « M. Kersuzan, nouveau maire de Bignan », Ouest-France,‎ (lire en ligne AccĂšs payant).
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    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    42. opab-oplb.org.
    43. Édifice dĂ©saffectĂ©, la chapelle a accueilli en 2020 le festival « l’Art dans les chapelles » (cf. Gilles Renault, « En Bretagne, la «chapelle des ronces» envoyĂ©e dans les roses », sur LibĂ©ration.fr, (consultĂ© le )).
    44. Mairie de Brignan, À la dĂ©couverte des 42 calvaires de Brignan, p. 16 (en ligne sur mairie-bignan.fr).
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