Bignan
Bignan [biÉČÉÌ] est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement du Morbihan en rĂ©gion Bretagne.
Bignan | |
L'allée couverte de Kergonfalz. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Bretagne |
DĂ©partement | Morbihan |
Arrondissement | Pontivy |
Intercommunalité | Centre Morbihan Communauté |
Maire Mandat |
Chantal Bihoës 2020-2026 |
Code postal | 56500 |
Code commune | 56017 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Bignanais |
Population municipale |
2 758 hab. (2020 ) |
Densité | 60 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 47° 52âČ 48âł nord, 2° 46âČ 23âł ouest |
Altitude | Min. 53 m Max. 181 m |
Superficie | 45,84 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Ălections | |
Départementales | Canton de Moréac |
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.pays-st-jean.com/bignan/ |
Le chùteau de Kerguéhennec, parfois surnommé le « Versailles breton », est l'un des lieux les plus visités sur la commune.
GĂ©ographie
La commune repose sur les Landes de Lanvaux.
Bignan est située entre les cantons de Locminé et Saint-Jean-Brévelay.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1997 permet de connaĂźtre en continu l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[7]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 3,2 | 3,1 | 4,2 | 5,4 | 8,8 | 11,1 | 12,6 | 12,6 | 10,3 | 8,7 | 5,5 | 3,1 | 7,4 |
Température moyenne (°C) | 6 | 6,5 | 8,2 | 10,2 | 13,6 | 16,4 | 17,9 | 18 | 15,8 | 12,6 | 8,8 | 6 | 11,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,8 | 9,8 | 12,3 | 15 | 18,4 | 21,6 | 23,1 | 23,5 | 21,2 | 16,5 | 12,1 | 8,9 | 16 |
Record de froid (°C) date du record |
â8 07.01.09 |
â8,5 11.02.12 |
â8,3 01.03.05 |
â3,9 11.04.03 |
â1,4 02.05.21 |
1,8 01.06.06 |
5,4 29.07.15 |
4,4 31.08.03 |
1,5 29.09.07 |
â4,5 30.10.1997 |
â5,9 29.11.10 |
â7 29.12.05 |
â8,5 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
17,5 27.01.03 |
21,6 27.02.19 |
23,2 30.03.21 |
27,8 15.04.15 |
30,1 30.05.03 |
34,2 22.06.03 |
35,9 19.07.16 |
38,2 09.08.03 |
31,5 07.09.16 |
28,5 02.10.11 |
20,1 01.11.15 |
15,7 19.12.15 |
38,2 2003 |
Précipitations (mm) | 118,6 | 74,6 | 82,5 | 81,2 | 67,3 | 48,5 | 56,2 | 58 | 58,6 | 121,8 | 120,3 | 123,2 | 1 010,8 |
Urbanisme
Typologie
Bignan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [8] - [9] - [10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11] - [12].
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous prĂ©sente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type dâoccupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 3,5 % | 160 |
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques | 0,2 % | 11 |
Extraction de matériaux | 0,6 % | 29 |
Terres arables hors périmÚtres d'irrigation | 44,2 % | 2035 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 19,6 % | 900 |
SystĂšmes culturaux et parcellaires complexes | 16,2 % | 745 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 2,1 % | 85 |
ForĂȘts de feuillus | 8,3 % | 382 |
ForĂȘts de conifĂšres | 2,8 % | 127 |
ForĂȘts mĂ©langĂ©es | 2,6 % | 119 |
Source : Corine Land Cover[13] |
Toponymie
Les formes les plus anciennes de Bignan, qui soient connues, ne remontent pas au-delà du XVe siÚcle. On trouve, dans les archives des Rohan, Bingnen en 1421, Buignen en 1428[14] et Bignen en 1461. Cette paroisse relevait en effet autrefois du doyenné de Porhoët, fief des seigneurs de Rohan. La signification de ce toponyme est obscure. Plusieurs hypothÚses existent[15] :
- un Beg (soit Beg-Hent- soit Beg-nein : bout du chemin ou de Naizin) mais la nasalisation du breton semble sây opposer ;
- une origine similaire ("petite BĂ©thanie")[16] aux Beignon et Bignac des pays Gallo et charentais ce qui lui donnerait une origine gallo-romaine ;
- une origine bretonne via le terme Bedun signifiant bouleau qui se dit beg beu aujourdâhui, on trouve effectivement un lieu-dit, le BĂ©zo, qui pourrait le confirmer (bĂ©zo = bouleaux) ;
- une idée de hauteur basée sur les radicaux celtiques benn(Benian) et penn = hauteur (rapprochement avec pign : pignein (monter). Le bourg est en effet situé sur une hauteur.
Histoire
Préhistoire
On a trouvé à Bignan en 1906 des vestiges de l'époque acheuléenne et des vestiges d'habitats de l'ùge du fer[17].
Moyen-Ăge
Selon un aveu de 1471, Bignan était, au sein de la Vicomté de Rohan, une des 46 paroisses ou trÚves de la seigneurie proprement dite de Rohan[18].
Révolution française
Bignan fut un centre trÚs actif de chouannerie à partir de 1794 par l'action de Pierre Guillemot, dit « le roi de Bignan », lieutenant de Georges Cadoudal[19] - [20].
Le chùteau de Kerguéhennec, parfois surnommé le « Versailles breton », servit d'entrepÎt aux chouans pour soustraire les récoltes à la loi de réquisition des grains appliquée par l'administration républicaine[21] - [22].
Le XIXe siĂšcle
Le , aprĂšs avoir dĂ©jeunĂ© Ă Colpo chez la princesse Baciocchi , le cortĂšge impĂ©rial (NapolĂ©on III et EugĂ©nie de Montijo) traverse Bignan, oĂč un arc de triomphe est ornĂ© des instruments et des produits de l'agriculture ; il porte l'inscription suivante : "Vivent l'Empereur et l'ImpĂ©ratrice longtemps ! Vive l'Empire toujours !"[23].
En 1882, le comte de Lanjuinais, maire de Bignan, fut révoqué (mais réélu ensuite) en raison de son opposition aux lois Jules Ferry de 1881 et 1882 sur l'enseignement primaire[24].
La Belle Ăpoque
L'abbĂ© JĂ©rĂŽme BulĂ©on[25], recteur de Bignan, estime en 1902 que dans sa paroisse une quarantaine de personnes comprennent le français ; il assure pour celles-ci une prĂ©dication spĂ©ciale en français dans une chapelle[26]. Le curĂ© de Bignan vit son traitement [27] suspendu en janvier 1903 pour avoir prĂȘchĂ© et enseignĂ© le catĂ©chisme en breton[28].
La PremiĂšre Guerre mondiale
Le monument aux morts de Bignan porte les noms de 149 soldats morts pour la France pendant la PremiÚre Guerre mondiale : parmi eux trois au moins sont morts sur le front belge (Jean Dréano à Maissin et Albert Moisan à Rossignol, tous les deux dÚs le et Henri Le Quentrec à Poperinghe le ) ; 4 au moins (Joachim Cadoret, François Le Corvic, Allain Le Quentrec et Félix Le Turnier) sont morts alors qu'ils étaient en captivité en Allemagne; un au moins (Jacques Suillaud[29]) est un marin disparu en mer ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français[30].
L'Entre-deux-guerres
En 1927, l'école chrétienne de garçons de Bignan avait 72 élÚves, celle des filles 124 élÚves alors que l'école laïque de garçons avait 18 élÚves et celle des filles sept élÚves[31].
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Bignan porte les noms de 12 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale, plusieurs d'entre elles étant des résistants comme Ben Ghali, Henri Jegat, d'autres étant des victimes civiles comme Aimé Jegoux, d'autres des soldats[30].
La guerre d'Algérie
Trois soldats originaires de Bignan (Georges Le Barzic, A. Quilleré et H. Roger) sont morts pour la France pendant la guerre d'Algérie[30].
Politique et administration
Ăconomie
Un parc Ă©olien de deux mĂąts est installĂ© sur le territoire de la commune depuis 2009. L'entreprise InnoVent qui en est propriĂ©taire l'utilise en 2015 comme support d'un prĂȘt participatif ouvert au public[37].
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[39].
En 2020, la commune comptait 2 758 habitants[Note 10], en diminution de 0,93 % par rapport Ă 2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Langue bretonne
En breton la ville se nomme Begnen. La commune a signé la charte Ya d'ar brezhoneg le .
à la rentrée 2016, 49 élÚves étaient scolarisés dans la filiÚre bilingue catholique, soit 22 % des enfants de la commune inscrits dans le primaire[42].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- ChĂąteau de Beaulieu (XIXe siĂšcle).
- Allée couverte et dolmen de Kergonfalz.
- Fontaine Saint-Ăloi.
- Croix du bourg de Bignan (XVIe siĂšcle).
- Croix de Treuliec (XVIIe siĂšcle).
- Chapelle Sainte-Noyale[43] et fontaine Sainte-Nolwenn.
- Ferme de Pierre Guillemot Ă Kerdel.
- Chùteau de Kerguéhennec : Centre d'art contemporain installé dans le chùteau du XVIIIe siÚcle et son parc et arboretum.
- Ăglise Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
- Bignan compte 42 calvaires dont la taille et la forme varient de la simple croix à l'édifice monumental. L'un d'eux porte la mention « La pierre s'usera, la croix demeurera, les gars de Bignan ne plieront pas[44] ».
- Allée couverte de Kergonflaz.
- Domaine de Kerguéhennec.
Personnalités liées à la commune
- Pierre Guillemot (1759-1805), chef chouan, dit le Roi de Bignan.
HĂ©raldique
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Les armes de Bignan se blasonne ainsi : |
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Voir aussi
Bibliographie
- Lettre du concernant le projet de lettres de rĂ©mission prĂ©sentĂ© par SĂ©bastien Legrand, prĂȘtre de Bignan, pour l'homicide du nommĂ© Marguerin qu'il avait surpris en train de le voler, Source : C 39
Article connexe
Liens externes
- Site de la mairie.
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- RĂ©Ă©lu en 1935.
- RĂ©Ă©lu en 1965.
- Jean Yves Georges Louis Daniel, né le 30 décembre 1918 à Lorient, décédé le 28 janvier 1979 à Bignan. Réélu en 1977.
- Henri Michel Kersuzan, né le 27 décembre 1936 à Saint-Jean-Brévelay, décédé le 6 novembre 2019 à Vannes. Réélu en 1983, 1989, 1995 et 2001.
- RĂ©Ă©lu en 2014.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 56017003 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
- Aveu de Margarite de Kerdel - 30 septembre 1428 (parchemin)
- http://www.mairie-bignan.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=47&Itemid=101
- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France : Formations dialectales (suite) et françaises : étymologie de 35000 noms de lieux, t. 3, Librairie Droz, , 480 p. (lire en ligne), p. 1719.
- in Revue morbihannaise - Volume 15 - 1911 - p. 48 de Max Nicol, l'abbé Jerome Buléon et Paul Aveneau de la Granciére.
- ThĂ©odore Derome, « De l'usement de Rohan ou du domaine congĂ©able », Revue critique de lĂ©gislation et de jurisprudence,â , p. 257-258 (lire en ligne, consultĂ© le ).
- in Georges Cadoudal et les chouans, p. 156 de Patrick Huchet
- in 1788-1795: les Quévenois à l'heure de la Révolution française, p. 57 du Comité historique quévenois
- in Mémoires de la Société d'histoire et d'archéologie de Bretagne, 1911, Volumes 21 à 23, p. 210 de la Société d'histoire et d'archéologie de Bretagne.
- in La Chouannerie de 1815: les Cent-Jours dans l'Ouest, p. 210 de Roger Grand.
- Charles Floquet, Au cĆur de l'Arcoat. La Bretagne intĂ©rieure : La visite impĂ©riale, France-Empire, (ISBN 978-2-7048-0034-6), pages 307-324.
- Le Temps, (en ligne sur Gallica).
- JĂ©rĂŽme BulĂ©on (1854-1934), nĂ© Ă Plumergat, ordonnĂ© prĂȘtre en 1878, orateur et historien, enseigna au petit sĂ©minaire de Sainte-Anne-d'Auray entre 1877 et 1899 avant d'ĂȘtre nommĂ© curĂ© de Bignan jusqu'en 1906. Il dirigea la Revue morbihannaise entre 1905 et 1914, Ă©crivant en breton et en français.
- Fanch Broudic, L'interdiction du breton en 1902 : la IIIe République contre les langues régionales, Spézet, Coop Breizh, , 182 p. (ISBN 2-909924-78-5).
- En vertu du Concordat de 1801, les prĂȘtres Ă©taient payĂ©s par l'Ătat.
- « Une mesure inique », L'Ouest-Ăclair,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Jacques Suillaud, quartier-maßtre Boulanger-Coq, disparu lors du naufrage du cuirasséSuffren le .
- « Morbihan », sur MémorialGenWeb (consulté le ).
- Ăcole et famille : bulletin mensuel de l'Union des associations catholiques des chefs de famille, (en ligne sur Gallica).
- « M. Henri MahĂ©as nouveau maire de Bignan », Ouest-France,â .
- « M. Kersuzan, nouveau maire de Bignan », Ouest-France,â (lire en ligne ).
- « Henri-Michel Kersuzan, ancien maire, est dĂ©cĂ©dĂ© », Ouest-France,â (lire en ligne)
- « Municipales Ă Bignan. Chantal BihoĂšs, ex-adjointe est Ă©lue maire », Ouest-France,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Extrait de la fiche de Mme Chantal BIHOES, sur lesbiographies.com
- Eric Nedjar, « Ăolien Ă Bignan : un placement qui rapporte », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consultĂ© le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- opab-oplb.org.
- Ădifice dĂ©saffectĂ©, la chapelle a accueilli en 2020 le festival « lâArt dans les chapelles » (cf. Gilles Renault, « En Bretagne, la «chapelle des ronces» envoyĂ©e dans les roses », sur LibĂ©ration.fr, (consultĂ© le )).
- Mairie de Brignan, à la découverte des 42 calvaires de Brignan, p. 16 (en ligne sur mairie-bignan.fr).