Saint-Jean-Brévelay
Saint-Jean-Brévelay [sɛ̃ ʒɑ̃ bʁevlɛ] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.
Saint-Jean-Brévelay | |
L'église Saint-Jean-de-Beverley. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Bretagne |
Département | Morbihan |
Arrondissement | Pontivy |
Intercommunalité | Communauté de communes Centre Morbihan Communauté |
Maire Mandat |
Guénaël Robin 2020-2026 |
Code postal | 56660 |
Code commune | 56222 |
Démographie | |
Gentilé | Brevelais, Brevelaises |
Population municipale |
2 865 hab. (2020 ) |
Densité | 68 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 50′ 45″ nord, 2° 43′ 15″ ouest |
Altitude | Min. 42 m Max. 164 m |
Superficie | 41,83 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Vannes (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Moréac |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Géographie
Localisation
En centre Morbihan, Saint Jean Brévelay est située à vol d'oiseau à 21 km au nord de Vannes, à 31 km au sud-est de Pontivy et à 83 km au sud-ouest de Rennes. Administrativement, la commune de Saint Jean Brévelay est rattachée à la sous-préfecture de Pontivy. Par ses traditions la commune appartient à la Basse Bretagne, autrefois bretonnante avant le basculement linguistique du siècle dernier.
Géographie physique
La moitié sud de la commune appartient à la région naturelle des Landes de Lanvaux, un plateau boisé dont le cours de la Claie marque la limite nord. La plupart des hameaux de la commune portent des noms à consonnance bretonne.
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Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bignan », sur la commune de Bignan, mise en service en 1997[7] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 010,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Vannes-Séné », sur la commune de Séné, mise en service en 1998 et à 25 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,3 °C pour 1981-2010[11] à 12,4 °C pour 1991-2020[12].
Urbanisme
Typologie
Saint-Jean-Brévelay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [13] - [14] - [15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vannes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16] - [17].
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 3,4 % | 142 |
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques | 0,7 % | 28 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 43,3 % | 1807 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 11,4 % | 475 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 19,1 % | 796 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 4,7 % | 197 |
Forêts de feuillus | 3,2 % | 134 |
Forêts de conifères | 5,7 % | 236 |
Forêts mélangées | 8,4 % | 362 |
Forêt et végétation arbustive en mutation | 0,1 % | 4 |
Source : Corine Land Cover[18] |
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Sainct Jehan en 1427, en 1426, en 1477, en 1481 et en 1514 ; Sainct Jan en 1536[19].
Au Xe siècle, fuyant les pillards normands, les Bretons se réfugient temporairement en Angleterre. À leur retour en Bretagne, ils rapportent des reliques d'un évêque d'Exham et d'York, mort en 721 à Beverly où il avait fondé un monastère. Ils nomment leur paroisse du nom du Saint, « Jean de Beverley, John of Beverley » connu aussi sous le nom de « John d'York ».
Berveraly ne serait donc pas un mot breton mais un mot saxon brittonisé en Brévelay qui dériverait du vieil anglais « Beofor lēac - Beaver lodge », « Hutte de castor »[Note 7].
Histoire
Moyen-Âge
Selon un aveu de 1471, Saint-Jean-Brévelay était, au sein de la Vicomté de Rohan, une des 46 paroisses ou trèves de la seigneurie proprement dite de Rohan[20].
Le XIXe siècle
Selon Jules Simon, qui vécut une partie de sa jeunesse dans la commune vers 1818, « Saint-Jean [Brevelay] et ses environs étaient le centre de la Chouannerie. Je ne voyais que des chouans autour de moi ». Il décrit saint-Jean-Brévelay à cette époque : « Nous étions à Saint-Jean dans un isolement complet. D'abord aucune grande route ne traverse la commune et, ensuite, aucun bourgeois n'y résidait (...). Le maire était un paysan fort intelligent, qui savait le français, mais n'aimait pas le parler (...). En dehors de [quelques] notables, personne sans le village ne parlait le français »[21]. Dans son livre Premières années, publié en 1901, Jules Simon raconte la venue de sa tante Vincente qui créa la première école de filles à Saint-Jean-Brévelay :
« Vincente avait été bien élevée. Elle lisait couramment, écrivait tant bien que mal, avec une orthographe impossible. Elle savait les trois premières règles sur le bout des doigts, mais elle n'avait jamais pu mordre à la division. Elle tricotait, cousait et filait admirablement. Enfin elle possédait deux langues : le français d'abord, et le bas-breton, le breton de Vannes, qu'on parle à Lorient et à Saint-Jean. Elle demanda au maire[Note 8], lors de leur première entrevue, de la prendre comme fille de ferme. (...) Ce fut le maire (...) qui eut l'idée de la faire maîtresse d'école. Il n'y avait d'école ni à Saint-Jean, ni à Bignan, ni à Guéhenno, ni à Plumelec. (...) Je vous logerai dans une maison « que j'ai sur la place ». Il aurait pu dire « sur le cimetière » : mais c'est le plus bel endroit du bourg. La maison en question n'avait pas été habitée depuis quinze ans (...), n'avait qu'une pièce, qui recevait le jour par une lucarne. Elle était couverte en chaume (..). Le maire fit clouer quelques planches qui partagèrent la maison en deux pièces : un trou obscur que Vincente appela sa chambre et « la salle » où il y avait une lucarne et une cheminée, et qui devint la salle d'école. (...) La difficulté fut de trouver des élèves (...) Il fallut les exhortations réunies du recteur et celles de ma mère (...) pour amener six ou sept filles; il n'était pas question des garçons (...)[22] »
De nombreux habitants de Plumelec, Plaudren, Saint-Jean-Brévelay, etc.. participèrent à la manifestation légitimiste du à Sainte-Anne-d'Auray[23].
L'Entre-deux-guerres
En 1927 à Saint-Jean-Brévelay, l'école chrétienne de garçons avait 76 élèves, celle des filles 116 élèves alors que l'école laïque de garçons avait 13 élèves et celle des filles 9 élèves[24].
Héraldique
Blasonnement :
Écartelé : en 1 : de sable à la tête de crosse abbatiale d'or ; en 2 : de gueules à trois macles d'or ; en 3 : de vair ; en 4 : de sable au coq hardi d'argent. |
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].
En 2020, la commune comptait 2 865 habitants[Note 9], en augmentation de 3,54 % par rapport à 2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
Monuments naturels
- Le chêne du Pouldu.
Église Saint-Jean-de-Beverley
Édifice du XVe siècle au XIXe siècle. Dédiée à saint Jean de Beverley, un saint anglais du royaume médiéval de Northumbrie évêque de York qui fonda le monastère et la ville de Beverley dans le Yorkshire de l'Est, mort en 721 et canonisé en 1037. En forme de croix latine, avec des fenêtres en ogive, l'église Saint-Jean-de-Brévelay rassemble des parties construites à plusieurs époques :
- la porte romane date du XVe siècle,
- le transept et le chœur ont été remaniés au XVIIe siècle,
- la chapelle Saint-Joseph au sud été ajoutée au XVIIe siècle,
- la nef actuelle a été construite en 1825,
- le clocher porche a été terminé en 1879.
Un retable très coloré occupe le fond du chœur, avec :
- un grand tableau de la Pentecôte au centre
- entouré de deux statues, saint Pierre tenant les clefs du royaume, et saint Jean de Beverley en évêque avec un cochon.
La porte romane de l'église a été classée monument historique en 1929.
Chapelle Saint-Nicolas
Le portail remonte à 1490, mais la chapelle a subi des modifications, avec l'ajout d'une sacristie en 1886, et une restauration terminée en 1925.
Le retable en bois polychrome imitant un marbre vert et dédié à saint Nicolas date de 1777 :
- au centre, un tableau de saint Nicolas dans la résurrection des trois enfants jetés au saloir,
- sur les côtés, les statues de sainte Hélène et de saint Nicolas sont posées sur des socles devant des niches peintes en trompe-l'œil.
Chapelle du Moustoir, ou chapelle Saint-Marc
Du XVIIe siècle au XIXe siècle.
Restaurée en 1885 et enrichie d'une sacristie, elle possède un retable polychrome du XVIIe siècle dédié à saint Marc.
Chapelle Saint-Roch
Du XVIe siècle au XVIIe siècle.
L'austérité de sa façade (un mur aveugle, sans aucun ornement) contraste avec un intérieur plus élaboré comprenant notamment :
- une voûte lambrissée,
- une charpente ornée de têtes de crocodiles.
Chapelle Saint-Thuriau
XVIe siècle.
Cette petite chapelle rectangulaire possède des ornements Renaissance, une porte à pilastres et fronton ouvragé, des fenêtres sculptées, et la charpente a des entraits à tête de crocodiles comme à la chapelle Saint-Roch. Son mobilier inclut une statue de saint Uhec en bois polychrome du XVIe siècle.
Dolmens
- Dolmen de Roch-Koh-Coët ou allée couverte du Bignan : vestige d'une allée couverte dont l'allée a été ruinée, ce dolmen de 8 mètres de longueur, situé dans le bois de Goh-Menhir, comprend une table de 6 mètres de largeur supportée par trois gros blocs.
- Dolmen de Keruzan (Lann-Douar): situé au sud de la Claie, près des lieux-dits le Moustoir et Kéruzan, ce dolmen a été endommagé par la construction d'une route.
- Dolmens de Kerallant : détruits lors du remembrement des terres agricoles, ces deux dolmens ne nous sont connus que par des témoignages. L'un d'eux, un dolmen simple, avait sur une paroi la gravure d'une hache et sa chambre, de 2,5 x 1,6 m était couverte d'un dallage. L'autre, un dolmen à couloir, possédait une chambre circulaire. L'ensemble était sous un tumulus de 12 m sur 8.
- Dolmen de Roh-Koh-Koed (1).
- Dolmen de Roh-Koh-Koed (2).
Menhirs
- Stèle du Moustoir : stèle gravée d'une croix pattée pouvant provenir d'un menhir.
- Menhir de Goh-Menhir : c'est le plus haut des menhirs de Saint-Jean-Brévelay, avec 6 m de hauteur. Il a donné son nom au lieu-dit Goh-Menhir.
- Menhir de Kerdramel : ce menhir étrangement triangulaire mesure 5 m de hauteur et se trouve sous un arbre dans le lieu-dit Kerdramel ou Kerarmel.
- Menhir de Colého : situé au lieu-dit Colého sur la route Plaudren-Colpo, il mesure 5 m de hauteur et comporte de petites cavités.
- Menhir de Lann-Douar : il mesure 4,5 m de hauteur et est situé dans un champ.
- Menhir de Menguen-Lanvaux : situé à 200 m de l'allée couverte de Menguen-Lanvaux (située sur la commune de Plaudren), ce menhir dresse ses 4 m de hauteur dans un champ.
- Stèle du Moustoir.
- Menhir de Goh-Menhir.
- Menhir de Kerdramel ou Kerarmel.
- Menhir de Colého.
- Menhir de Lann-Douar.
Sports
Football
Deux clubs de football sont résidents à Saint-Jean-Brévelay, L'Espérance Football-Club de Saint-Jean-Brévelay dont l'équipe fanion évolue en PH et l'Amicale Sportive Brévelaise dont l'équipe fanion évolue en D2. Ces deux clubs se partagent le Stade municipal situé au complexe de la Métairie lors de leurs rencontres à domicile. Saint-Jean-Brévelay est l'une des rares communes de cette taille à toujours disposer de deux clubs de football. Les raisons sont historique et religieuse : à l'origine, l'Espérance est un patronage catholique et l'ASB est le club laïque.
Espérance de Saint-Jean-Brévelay
L'Espérance Football-Club de Saint-Jean-Brévelay, plus simplement appelée Espérance a été fondée en 1921 par l'abbé Gachet. Traditionnellement, elle joue avec un maillot vert et des bas verts tandis que la couleur de la culotte a varié entre le vert et le noir au cours de son histoire. Actuellement, la présidence est assurée par Jordan Pasco et l'entraîneur général est Laurent Peltier. Lors de la saison 2016-2017, l'équipe première évolue en D1, l'équipe B en D2 et l'équipe C en D3.
Amicale sportive brévelaise
Le club a été créé en 1975. Les joueurs de l'ASB évoluent avec un maillot tango, une culotte noire et des bas noirs. Au cours de la saison 2016-2017, l'équipe de l'ASB participe au championnat de D2. La présidente du club est Annie Conan et l'entraîneur Éli Kroupi est à la tête de l'équipe.
Personnalités liées à la commune
- Emmanuel de Rohan, seigneur du Pouldu, Grand-maître de l'Ordre de Malte ;
- Joseph de Boulainvilliers de Croÿ, qui lors de la chouannerie, déserta le Morbihan et passa en Ille-et-Vilaine en septembre avec 50 000 livres confiés par Joseph de Puisaye fut arrêté par les hommes de Pierre Guillemot. Ce dernier le fit juger par un conseil de guerre improvisé qui le condamna à mort[33] : Boulainvilliers fut fusillé par les Chouans de Guillemot le au village de Kerhervy à Saint-Jean-Brévelay ;
- Jules Simon ;
- Georges Cadoudal ;
- Pierre Gillet (1897-1966), agriculteur et homme politique.
Enseignement
Lycée professionnel horticole public Le Sullio
Le lycée horticole est un établissement public d'enseignement professionnel. Il prépare ses élèves au diplôme du baccalauréat professionnel en Production Horticole (mention "orientation agriculture biologique") et Aménagements Paysagers, ainsi qu'au CAP fleuriste et services à la personne et vente en espace rural (sapver). Il possède un internat.
Il dispose d'une exploitation horticole certifiée en agriculture Biologique depuis 2008[34].
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Disparu de Grande-Bretagne vers 1600-1700, le castor européen - Castor Fiber - a été réintroduit dans ce pays il y a quelques années.
- François Ozon, né le à Saint-Jean-Brévelay, décédé le à Saint-Jean-Brévelay, laboureur, maire depuis 1808.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Bignan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Jean-Brévelay et Bignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Bignan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Jean-Brévelay et Séné », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vannes », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Données statistiques sur les communes de Métropole communes; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
- « Étymologie et Histoire de saint-jean-brévelay », sur infobretagne.com (consulté le ).
- Théodore Derome, « De l'usement de Rohan ou du domaine congéable », Revue critique de législation et de jurisprudence, , p. 257-258 (lire en ligne, consulté le ).
- Jules Simon, " Les derniers mémoires des autres", 1897, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9681998m/f128.image.r=Plumelec?rk=1266100;4
- Jules Simon, Tante Vincente, "L'Enfant : organe des Sociétés protectrices de l'enfance", juillet 1903, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5705207t/f3.item.r=Plumelec
- Le 29 septembre 1889 à Sainte-Anne-d'Auray, "Le Drapeau blanc : journal légitimiste hebdomadaire", n° du 30 mars 1913, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k938536m/f3.image.r=Plumelec?rk=1051507;2
- "École et famille : bulletin mensuel de l'Union des associations catholiques des chefs de famille", juin 1927, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5773667s/f9.image.r=Plumelec?rk=901292;0
- « Charles Gillet ancien maire, n'est plus », Le Télégramme, (lire en ligne)
- « Décès de Rémi Adelis, maire de 1989 à 2008 », Ouest-France, (lire en ligne)
- « Élections cantonales 2011 », sur Ouest-France
- « Saint-Jean-Brévelay. Guénaël Robin est élu maire, pour un 3e mandat », sur Maville.com, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Roger Dupuy, Les Chouans, Coll. « La Vie Quotidienne », Hachette Littérature, Paris 1997, p.106-107.
- « Accueil - Lycée Horticole », sur Lycée Horticole (consulté le ).
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Saint-Jean-Brévelay sur le site de l'Institut géographique national