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Plumergat

Plumergat [plymɛʁgat] est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement du Morbihan en rĂ©gion Bretagne. Plumergat fait partie de la communautĂ© de communes Auray Quiberon Terre Atlantique.

Plumergat
Plumergat
L'Ă©glise Saint-Thuriau.
Blason de Plumergat
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Morbihan
Arrondissement Lorient
Intercommunalité Auray Quiberon Terre Atlantique
Maire
Mandat
Sandrine Cadoret
2020-2026
Code postal 56400
Code commune 56175
DĂ©mographie
Gentilé Plumergatois, Plumergatoise[1]
Population
municipale
4 190 hab. (2020 en augmentation de 6,21 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 100 hab./km2
Population
agglomération
43 981 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 44â€Č 32″ nord, 2° 55â€Č 00″ ouest
Altitude 50 m
Min. 17 m
Max. 88 m
Superficie 41,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Vannes
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Auray
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Plumergat
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Plumergat
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Plumergat
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Plumergat
Liens
Site web http://www.plumergat.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    Le bourg de Plumergat est situĂ© Ă  vol d'oiseau Ă  10 km au nord-est de Auray, Ă  10 km au nord-ouest de Vannes et Ă  35 km Ă  l'est de Lorient.

    GĂ©ographie physique

    Le bourg de MĂ©riadec, qui compte environ 700 habitants, est Ă  cheval sur les communes de Plumergat et Pluneret[2].

    • voir la lĂ©gende ci-aprĂšs
      Carte topographique de la commune de Plumergat.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 896 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Auray », sur la commune d'Auray, mise en service en 1994[9] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 964,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Vannes-SĂ©nĂ© », sur la commune de SĂ©nĂ©, mise en service en 1998 et Ă  19 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,3 °C pour 1981-2010[13] Ă  12,4 °C pour 1991-2020[14].

    HĂ©raldique

    Blason de Plumergat.
    Blason de Plumergat.

    Le blason :

    Le blason de Plumergat

    Chaque teinte, chaque figure a son histoire.

    Les trois couleurs dominantes sont une synthùse des armoiries des anciennes seigneuries de Plumergat avant le XVIIIe siùcle, à savoir : les gueules (rouge), l’argent et l’hermine.

    Les douze hermines reprĂ©sentent les Ă©glises et chapelles de la commune. Onze sont en noir pour les bĂątiments encore prĂ©sents ; une en blanc, tel un fantĂŽme, en souvenir des chapelles ayant existĂ© par le passĂ© (elles ont aujourd’hui disparu, sauf dans la mĂ©moire d'anciens).

    Les trois Ă©pis de seigle rappellent le caractĂšre lĂ©ger des terres de la commune, plus propres Ă  la culture de cette cĂ©rĂ©ale qu’à celle du blĂ©. Chaque Ă©pi reprĂ©sente l’un des aspects essentiels de cette plante dans les siĂšcles passĂ©s, Ă  savoir aliment des hommes et parfois des bĂȘtes, couverture naturelle des habitations et litiĂšre des animaux.

    Urbanisme

    Typologie

    Plumergat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vannes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (91 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (91,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (40,7 %), terres arables (36,3 %), prairies (14 %), zones urbanisĂ©es (5 %), forĂȘts (3,8 %), eaux continentales[Note 7] (0,2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Plomorcat en 1045, Ploimeagat en 1251, Ploimargat en 1265, Ploemergat en 1453, Ploimergat en 1516, Plumargat en 1558, Pleumergat en 1636[22].

    Plumergat, en breton Pluvergad, semble tenir son nom de Morgat provenant de Ergat, chef breton ayant fondé le village, sanctifié en Saint Ergat. Une autre étymologie proposée fait dériver de Ploe Maelcat (paroisse de saint Maelcat, du vieux breton mael « chef » et cat « combat)[23].

    Histoire

    Moyen-Âge

    Une stÚle funéraire portant une inscription gauloise a été réutilisée à l'époque carolingienne, le nom "RIMOETE" y étant rajouté[24].

    Note de Pierre Le Tallec, recteur de Plumergat placĂ©e en tĂȘte de l'annĂ©e 1684 : Hoc anno hyems fuit gravissima, ita ut arbores prce frigore perierint et aruerint. Cette annĂ©e, l'hiver a Ă©tĂ© trĂšs rigoureux, et les arbres ont Ă©tĂ© perdus par le froid[25],...

    Révolution française

    En 1799 des bandes royalistes, formées en bonne partie d'hommes de Pluméliau, Grand-Champ, Pluvigner, Plumergat, etc.. formÚrent un rassemblement de 5 à 6 000 hommes[26].

    Le XIXe siĂšcle

    Une Ă©pidĂ©mie de dysenterie fit 36 malades (dont 15 moururent) Ă  Plumergat en 1876. Le docteur Alfred Fouquet explique la propagation de la maladie par les conditions de vie dĂ©plorables des habitants de la rĂ©gion qui « ne prennent absolument aucun soin, soit de leur propretĂ©, soit de celle de leurs maisons. Ils jettent les selles des malades devant leur porte et parfois les vident dans la maison mĂȘme, au milieu des cochons et des poulets, au milieu desquels ils grouillent. (...) Ils se refusent d'ailleurs Ă  prendre aucun mĂ©dicament »[27].

    La Belle Époque

    En 1901 un projet d'érection en commune distincte du village de Mériadec, divisé entre les communes de Plumergat, Pluneret et Plougoumelen, à la suite d'une pétition signée par de nombreux habitants de ce village et des hameaux avoisinants en date du , est présenté au Conseil général du Morbihan ; les pétitionnaires font valoir « la distance qui les sépare de leurs chefs-lieux respectifs, l'abandon dans lequel ils sont laissés par les Conseils municipaux et la difficulté des communications, les chemins étant en si mauvais état qu'ils demeurent, le plus souvent, impraticables, surtout pendant la mauvaise saison » ; de plus, seule la partie de Mériadec appartenant à la commune de Plumergat dispose d'une section électorale distincte, ceux dépendant des communes de Pluneret et Plougoumelen sont distants pour certains de plus de 8 km de leurs chefs-lieux communaux. Mais les Conseils municipaux de ces trois communes, ainsi que le Conseil d'arrondissement ayant donné un avis défavorable, la demande est rejetée par le Conseil général[28].

    La PremiĂšre guerre mondiale

    Le monument aux morts de Plumergat porte les noms de 128 soldats morts pour la France pendant la PremiĂšre Guerre mondiale[29].

    Jean Thomazo, né en 1892 à Mériadec, soldat au 1er régiment de marche d'Afrique, est fusillé pour l'exemple le à Maurepas (Somme) pour « avoir essayé de quitter le champ de bataille aprÚs avoir détroussé des cadavres allemands[30]. »

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Plumergat porte les noms de sept personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[29].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1953 août 1975
    (décÚs)
    Joseph Corfmat pĂšre
    septembre 1975 juillet 1984 Joseph Corfmat fils
    juillet 1984 mars 2001 Louis JĂ©hanno Cadre hospitalier
    mars 2001 25 mai 2020 Michel Jalu[31] UMP → LR Cadre de la CPAM retraitĂ©
    Conseiller dĂ©partemental du canton d'Auray (2015 → )
    25 mai 2020 En cours Sandrine Cadoret[32] DVD Professeure de lycée professionnel, ancienne adjointe

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[34].

    En 2020, la commune comptait 4 190 habitants[Note 8], en augmentation de 6,21 % par rapport Ă  2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7591 4561 9372 0671 9162 0801 8382 0352 153
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 1372 1092 1451 9592 2042 2762 2702 5182 588
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 4762 4962 1891 9441 9971 9641 8801 8841 837
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 7341 7731 9612 2912 4492 5973 0553 1433 411
    2014 2019 2020 - - - - - -
    3 9454 1784 190------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Langue bretonne

    À la rentrĂ©e 2016, 25 Ă©lĂšves Ă©taient scolarisĂ©s dans la filiĂšre bilingue catholique (soit 6,8% des enfants de la commune inscrits dans le primaire)[37].

    Tourisme

    • La stĂšle gravĂ©e en langue gauloise est la seule connue en Bretagne et peut-ĂȘtre la plus ancienne de toutes les inscriptions connues en cette langue. selon certains spĂ©cialistes, elle aurait Ă©tĂ© gravĂ©e entre 200 et 399.
    • Son bourg dit « aux Trois Clochers », en rĂ©fĂ©rence aux trois Ă©difices religieux prĂ©sents dans le bourg et sĂ©parĂ©s seulement de quelques mĂštres.
    • Ses onze Ă©glises et chapelles.
    • L’église Saint-Thuriau qui a conservĂ© des arcades et des chapiteaux gravĂ©s de style roman.
    • La chapelle Notre-Dame de Gornevec entiĂšrement restaurĂ©e, ses vitraux et ses sabliĂšres sculptĂ©es.
    • La chapelle de la TrinitĂ© dont les sabliĂšres et les larmiers foisonnent de sculptures animaliĂšres.
    • Le circuit des Trois Clochers (km), prĂ©sent dans le « Carnet de balades au cƓur du pays d’Auray » en vente dans les offices de tourisme.

    Lieux et monuments

    La chapelle de la Trinité ( à gauche) et la chapelle Saint-Servais (à droite)

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. https://www.gentilix.com/nom/habitants/3548/comment-s-appellent-les-habitants-de-plumergat/
    2. sur le site France, le trésor des régions, Roger Brunet
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Auray - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Plumergat et Auray », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Auray - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Plumergat et Séné », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vannes », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    22. (br) Vallerie, Erwan, 1944-, DiazezoĂč studi istorel an anvioĂč-parrez = TraitĂ© de toponymie historique de la Bretagne, Ar Releg-Kerhuon, An Here, , 560 p. (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620, lire en ligne).
    23. Michel Priziac et Michel Mohrt, Bretagne des saints et des croyances, Kidour, , p. 149.
    24. Pierre-Roland Giot, L. Fleuriot, G. Bernier, B. Merdrignac et P. Guignon, "Les premiers bretons. La Bretagne du Ve siĂšcle Ă  l'an 1000", Ă©ditions Jos, 1988, (ISBN 2-85543-083-6).
    25. Inventaire du Morbihan 1881 T4 p13 Commune de Plumergat
    26. Émile Sageret, Le Morbihan et la chouannerie morbihannaise sous le Consulat., t. 1, 1910-1918 (lire en ligne).
    27. Docteur Alfred Fouquet, « Compte-rendu des épidémies, des épizooties et des travaux des conseils d'hygiÚne du Morbihan. », (consulté le ).
    28. Morbihan. Conseil gĂ©nĂ©ral, « Projet d'Ă©rection en commune de la section de MĂ©riadec », Rapports du PrĂ©fet et dĂ©libĂ©rations du Conseil gĂ©nĂ©ral / Conseil gĂ©nĂ©ral du Morbihan,‎ , pages 133 Ă  135 (lire en ligne, consultĂ© le ).
    29. Memorialgenweb.org - Plumergat : monument aux morts
    30. Anne Lessard, « 14-18. 51 fusillés bretons et toujours pas de réhabilitation », sur Le Telegramme, (consulté le ).
    31. « Municipales à Plumergat. Michel Jalu réélu maire de Plumergat », Ouest-France, 29 mars 2014.
    32. « Municipales à Plumergat. Sandrine Cadoret élue », Maville.com, 27 mai 2020.
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. http://www.opab-oplb.org/98-kelenn.htm

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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