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La Tessoualle

La Tessoualle est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

La Tessoualle
La Tessoualle
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Cholet
Intercommunalité Agglomération du Choletais
Maire
Mandat
Dominique Landreau
2020-2026
Code postal 49280
Code commune 49343
Démographie
Gentilé Tessouallais
Population
municipale
3 195 hab. (2020 en augmentation de 3,16 % par rapport à 2014)
Densité 151 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 00′ 20″ nord, 0° 50′ 58″ ouest
Altitude 144 m
Min. 72 m
Max. 164 m
Superficie 21,21 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine La Tessoualle
(ville isolée)
Aire d'attraction Cholet
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cholet-2
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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La Tessoualle
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La Tessoualle
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La Tessoualle

    Géographie

    Localisation

    Commune angevine des Mauges, La Tessoualle se situe au sud de la ville de Cholet, en limite du département des Deux-Sèvres, sur les routes D 157, Maulévrier, et D 258, Cholet[1].

    La Tessoualle, c'est avant tout un espace de terres agricoles (1 607 hectares exploités pour 2 100 hectares de superficie totale). Cet espace est délimité au nord par le lac de Ribou, à l’est par celui du Verdon (réserves d’eau potable du Choletais), à l’ouest par l’autoroute A87, et au sud par la 2 × 2 voies RN 24, Nantes-Poitiers.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap.
    Carte topographique.

    Transports

    Transport en commun : ligne desservie par les bus de la société Cholet Bus, avec deux arrêts sur la commune, celui de Zwiefalten et celui de Calvaire.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 860 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cholet », sur la commune de Cholet, mise en service en 1965[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 777,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « La Roche-sur-Yon », sur la commune de Roche-sur-Yon, dans le département de la Vendée, mise en service en 1984 et à 57 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    La Tessoualle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Tessoualle, une unité urbaine monocommunale[18] de 3 195 habitants en 2020, constituant une ville isolée[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cholet, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (34,8 %), terres arables (34 %), zones agricoles hétérogènes (17 %), eaux continentales[Note 7] (7,2 %), zones urbanisées (7 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Toponymie et héraldique

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées Sanctae Mariae Tassoeliae en 1123[25], S. Mariae de Taissolia en 1158[25].

    Ses habitants sont appelés Tessouallais.

    Héraldique

    Blason à dessiner Blason
    D'argent à l'usine d'azur chargée d'une chaussure contournée de tenné posée en bande, soutenue de deux épis de blé d'or, les tiges passées en sautoir en pointe; au chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or[26].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Histoire

    Moyen Âge

    Les premières mentions du nom de la Tessoualle remontent au XIe siècle. La paroisse Notre-Dame de La Tessoualle dépendait alors de l'abbaye de La Trinité de Mauléon. Une bulle du pape Callixte II, datée de , cite les nombreuses églises qui dépendent de cette abbaye et notamment ecclesiam Sanctae Mariae Tassoeliae[25]. Une autre bulle du pape Adrien IV le confirme en eccl. S. Mariae de Taissolia[27]. La paroisse est alors dans le diocèse de Poitiers.

    Elle passera dans le diocèse de Maillezais à sa création le , puis dans le diocèse de La Rochelle le , et enfin dans le diocèse d'Angers en 1802.

    Lors de la Révolution, la commune passe du Poitou à l'Anjou.

    Temps modernes

    En 1587 La Tessoualle, comme les communes voisines, subira de nombreux dégâts causés par les bandes rivales durant les guerres de religion, lors des multiples sièges de Mauléon. En 1591 les Tessouallais réclameront à Henri IV une indemnisation sous forme d'exemption d'impôts lors de débats organisés à Saint-Amand-sur-Sèvre. L'appellation « La Tessoualle » qui y apparaît date au moins de cette époque[28].

    Les registres paroissiaux de La Tessoualle débutent en 1693[29].

    En La Tessoualle obtient son bureau pour la marque des toiles et mouchoirs comme Cholet et Vihiers[30].

    Époque contemporaine

    Le cahier des doléances de La Tessoualle a été rédigé le . Pierre Levron est alors le syndic de la municipalité. Dès , les Tessouallais participent à l'insurrection vendéenne. Pierre Bibard est le premier capitaine de la paroisse et il y a laissé un souvenir durable.

    L'église fut incendiée le par les colonnes infernales de Boucret et Caffin.

    Le , la conférence des chefs royalistes consent à La Tessoualle la pacification du secteur avec les délégués du général Lamarque. 36 officiers vendéens ont été conviés à La Tessoualle, « un petit bourg distant de deux lieues de Cholet[31] Â» et jugée suffisamment sûre. Le rassemblement a été organisé à La Pallerie, dans le bourg de La Tessoualle. Les débats furent houleux, mais la paix est finalement acceptée (22 voix pour, 12 contre). Le traité sera signé le à Cholet et définitivement ratifié par Charles Sapinaud, général en chef de l'armée vendéenne, le .

    Concernant la Première Guerre mondiale, 43 noms sont gravés sur le monument aux morts de la commune mais l'association locale « La Tessoualle histoires Histoire Â» a recensé 66 Tessouallais morts durant la Grande Guerre. Plus de 400 jeunes Tessouallais ont participé au conflit et onze d'entre eux ont reçu la Légion d'honneur. Un livre leur a été consacré en [32].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs[33]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1896 1908 François Mainguet
    1908 1919 Henri Merceau
    1919 1949 Léon Augereau
    1949 1955 Marius Coudrain
    1955 mars 1977 Léon Augereau
    mars 1977 juin 1995 Paul Barbaud
    juin 1995 mars 2001 Chantal Fonteneau
    mars 2001 mars 2008 Marie-Odile Malinge DVD
    mars 2008 mai 2020 Marc Gental[34] DVD Retraité
    Vice-président de l'Agglomération du Choletais
    mai 2020 En cours
    (au 29 mai 2020)
    Dominique Landreau[35]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune est membre de l'Agglomération du Choletais. La commune était précédemment membre de la communauté d'agglomération du Choletais[36].

    Jumelages

    La Tessoualle est jumelée depuis 1973 avec Zwiefalten une commune allemande de l'arrondissement de Reutlingen, dans le land de Bade-Wurtemberg. Les premiers échanges entre les deux communes remontent à 1965.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].

    En 2020, la commune comptait 3 195 habitants[Note 8], en augmentation de 3,16 % par rapport à 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7231 6871 0861 1941 4151 4881 4801 5541 511
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6081 7121 6201 4951 5291 4841 4531 4241 377
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2811 2271 2171 0511 1111 1371 1441 2121 352
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 5171 6482 0522 6772 7812 9413 0233 0323 092
    2017 2020 - - - - - - -
    3 1983 195-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,4 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 616 hommes pour 1 582 femmes, soit un taux de 50,53 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,63 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,9
    90 ou +
    2,7
    6,5
    75-89 ans
    9,8
    19,7
    60-74 ans
    19,4
    21,3
    45-59 ans
    20,4
    16,7
    30-44 ans
    17,0
    15,0
    15-29 ans
    14,0
    20,0
    0-14 ans
    16,6
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2
    6,9
    75-89 ans
    9,5
    15,5
    60-74 ans
    16,3
    19,4
    45-59 ans
    18,8
    18,6
    30-44 ans
    17,7
    18,6
    15-29 ans
    17,5
    20,2
    0-14 ans
    18,2

    Enseignement

    La commune de La Tessoualle compte deux écoles dont une est privée et l'autre est publique.

    Économie

    Sur 193 établissements présents sur la commune à fin 2010, 18 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 8 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 52 % de celui du commerce et des services et 11 % du secteur de l'administration et de la santé[43]. Fin 2015, sur les 225 établissements actifs, 11 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 9 % du secteur de l'industrie, 11 % du secteur de la construction, 60 % de celui du commerce et des services et 9 % du secteur de l'administration et de la santé[44].

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame (1820) : dédiée à Notre-Dame, l'église fut incendiée par les colonnes infernales en 1794 pendant les guerres de Vendée. Elle est reconstruite au XIXe siècle dans le style baroque. Les vitraux de l'église ont été réalisés en 1864 dans le style du XVIIe siècle. L'église possède trois cloches datant de 1876 et elle abritait un autel à baldaquin en stuc, enlevé en 1968. Le tableau Présentation de la Vierge de Bazin est exposé dans l’église.
    • Stèle Pierre Bibard (1913) : ce monument, érigé en 1913 par souscription publique à la mémoire de Pierre Bibard, né à La Tessoualle en 1770, porte l'inscription « Souviens-toi que je t'ai pardonné pour l'amour de notre Seigneur. Â» Cette inscription fait référence au pardon de l'homme de la commune à son geôlier, alors que capitaine de paroisse et fait prisonnier, il souffrait de ses maltraitances. Il devint par la suite tisserand.
    • Le lac du Verdon : le lac du Verdon est situé à km au sud-est de Cholet. Ce plan d'eau, reparti sur trois communes (Maulévrier, La Tessoualle, et Saint-Pierre-des-Echaubrognes), est l'entière propriété de la communauté d'agglomération du Choletais depuis début 2003.
    • Le barrage du Verdon : construit selon le type mixte c'est-à-dire qu'il est composé de six voûtes en béton armé, cinq contreforts, deux murs de soutènement et deux ailes en terre avec un noyau d'argile.
      La longueur totale de l'édifice est de 825 m, sa hauteur atteint 27 m au départ des fondations. L'édifice est solidement ancré sur un socle de granit. La mise en eau du barrage d'une capacité de 14,6 millions de m3 a été effectué en 1979
    • Le lavoir de la Mercerie (1899) : il est actuellement le dernier existant à la Tessoualle. Il a été construit par adjudication en . Il est alimenté en eau par un puits se situant en amont sur le bord droit du chemin longeant le lotissement de Parcé.

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre Bibard (La Tessoualle 1770 - Saint-Laurent-sur-Sèvre 1841), capitaine de paroisse. C'est le premier Tessouallais à avoir obtenu la Légion d'honneur. Une stèle à sa mémoire, financée par une souscription publique, a été érigée en 1913. Une pièce de théâtre lui a été consacrée. Une rue de La Tessoualle porte son nom dans le quartier de l'Angevinière[45].
    • Dom André Mocquereau (La Tessoualle le [46] - Solesmes 1930) bénédictin auprès de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes, qui fut à l’origine de la restauration du chant grégorien authentique, est également né à La Tessoualle. Son père était médecin et il grandit sous influence de ses parents effectivement cultivés. Donc, d'abord, le jeune André devint un musicien talentueux jouant le violoncelle[46]. Devenu moine en 1875, il succéda à Dom Pothier comme directeur du chÅ“ur et de l'école de plain-chant auprès de l'abbaye où il fut ordonné prêtre le [46]. Dom Mocquereau ira plus loin en entreprenant, en 1889, l'édition de fac-similés de manuscrits dans la série Paléographie musicale. Ce travail énorme se solda par une collection de plus de 600 manuscrits de toutes sortes et de livres de chant. C'est ainsi que la base de la méthode Mocquereau a formé des centaines de milliers de grégorianistes. Dom Mocquereau fut membre et président de la commission pontificales chargée de publier l'Édition Vaticane du chant grégorien de l'Église romaine. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages. Dom Mocquereau vaut à La Tessoualle son unique citation dans l'Encyclopédie Larousse. Une rue de La Tessoualle porte son nom dans le quartier de l'Angevinière[47].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. 4 (S-Z), Angers, H. Siraudeau & Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376), p. 480-483.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. IGN et BRGM, Géoportail La Tessoualle (49), consulté le 13 novembre 2012.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Cholet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre La Tessoualle et Cholet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Cholet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre La Tessoualle et La Roche-sur-Yon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de La Roche-sur-Yon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de La Roche-sur-Yon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de La Roche-sur-Yon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de La Tessoualle », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Revue du Poitou, Archives historiques du Poitou, tome XX, 1889.
    26. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=18466
    27. Archives historiques du Poitou, page 26 du tome XX.
    28. Archives historiques du Poitou, 1899, tome XX, p. 413 et suivantes.
    29. Registres paroissiaux de La Tessoualle.
    30. « La Tessoualle, en Poitou Â». Pascal Dollé. Cholet et l’industrie toilière au début du XVIIe siècle. In Annales de Bretagne. Tome 107. Pages 71 à 85.
    31. Histoire de la Vendée militaire. Jacques Crétineau-Joly. Page 660.
    32. La Tessoualle histoires Histoire, Les Tessouallais dans la Grande Guerre, La Tessoualle, .
    33. Les 23 maires de La Tessoualle, de 1800 à 2014.
    34. Ouest-France, Le nouveau conseil municipal est installé, article du 30 mars 2014.
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