Trémentines
Trémentines est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Trémentines | |||||
La rue Pasteur à Trémentines. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Pays de la Loire | ||||
DĂ©partement | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Cholet | ||||
Intercommunalité | Agglomération du Choletais | ||||
Maire Mandat |
Jacqueline Delaunay 2020-2026 |
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Code postal | 49340 | ||||
Code commune | 49355 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Trémentinais | ||||
Population municipale |
3 085 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 89 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 47° 07âČ 24âł nord, 0° 47âČ 07âł ouest | ||||
Altitude | Min. 82 m Max. 180 m |
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Superficie | 34,83 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Trémentines (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Cholet (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Cholet-2 | ||||
LĂ©gislatives | CinquiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
GĂ©olocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | Site de Trémentines | ||||
Ses habitants sont appelés les Trémentinais et les Trémentinaises.
GĂ©ographie
Localisation
Commune angevine des Mauges, TrĂ©mentines se situe au nord de NuaillĂ©, sur les routes D 160E, Saint-Georges-des-Gardes / NuaillĂ©, D 160, Cholet, et D 65, Le May-sur-Ăvre / Vezins[1].
Communes limitrophes de Trémentines :
Les communes les plus proches sont : NuaillĂ© (3 km), Saint-Georges-des-Gardes (4 km), Vezins (5 km), La Tourlandry (7 km), Toutlemonde (8 km), Le May-sur-Ăvre (8 km), Chanteloup-les-Bois (8 km), MaziĂšres-en-Mauges (9 km), La JubaudiĂšre (9 km) et Cholet (10 km)[2].
Relief et paysage
La commune se trouve dans la vallĂ©e de l'Ăvre et sur les collines de l'Anjou. Elle est situĂ©e sur un double plateau, divisĂ© par la vallĂ©e de lâĂvre qui arrose la commune sur un parcours de 10 100 mĂštres et animait autrefois les moulins de Picosson et de la FĂŽrĂ©trie. LâĂvre est grossi des ruisseaux de lâĂperonniĂšre, de la GĂ©nilliĂšre, de Montbault, de la SingĂšre, de la BeillardiĂšre et des Ogeries.
GĂ©ologie et hydrologie
La commune s'étend sur un terrain granitique, eurite et syénite[3].
Transports routiers et autoroutiers
La Route impĂ©riale dâAngers au Sables dâOlonne traverse la commune ainsi que lâautoroute Angers-La Roche-sur-Yon (A87).
Transports ferroviaires
La ligne de chemin de fer Angers â Cholet traverse presque parallĂšlement la partie occidentale avec une gare de marchandises situĂ©e Ă 2 200 mĂštres de lâagglomĂ©ration, la station voyageurs ayant Ă©tĂ© fermĂ©e en 1999. La gare la plus proche est la celle de Cholet.
Transports péri-urbains
La ligne 12 du rĂ©seau Choletbus assure les arrĂȘts de TrĂ©mentines, Cholet et Angers[4]. La ligne 7 du rĂ©seau Anjoubus assure Ă©galement ces arrĂȘts.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[5]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Cholet », sur la commune de Cholet, mise en service en 1965[11] et qui se trouve Ă 10 km Ă vol d'oiseau[12] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 777,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[13]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, dans le dĂ©partement de la Loire-Atlantique, mise en service en 1945 et Ă 64 km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[15], Ă 12,5 °C pour 1981-2010[16], puis Ă 12,7 °C pour 1991-2020[17].
Urbanisme
Typologie
Trémentines est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [18] - [19] - [20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Trémentines, une unité urbaine monocommunale[21] de 3 085 habitants en 2020, constituant une ville isolée[22] - [23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cholet, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[24] - [25].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (96 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (97,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (56,9 %), prairies (27,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (11 %), zones urbanisĂ©es (3 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1 %), cultures permanentes (0,9 %)[26].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[27].
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Deux mĂ©galithes se tiennent encore sur le territoire de la commune, le menhir du PrĂ© de la Chapelle et la pierre Fiche ou la pierre qui tourne de la ferme du Parchambault oĂč se trouve Ă©galement un tumulus. De plus, ont Ă©tĂ© trouvĂ©s sur l'ensemble de la commune 19 haches polies et quatre silex taillĂ©s[3].
On retrouve la trace de deux voies romaines, une se dirigeant vers La Tourlandry, la seconde vers Vezins. En 1878, il est fait mention d'un tronçon dallé de larges dalles de granite[3], sans qu'il ait été prouvé qu'il s'agit d'une voie antique.
Moyen Ăge
L'église a probablement été fondée vers le XIe siÚcle par les seigneurs de Maulévrier. Au XIIe siÚcle, elle est la propriété de l'abbaye Saint-Florent-de-Saumur. Un prieuré y est créé au sud de l'église[3].
Ăpoque contemporaine
Durant le mois de dĂ©cembre 1793, les VendĂ©ens s'emparent de la cloche de la chapelle du chĂąteau de MincĂ© Ă ĂchemirĂ©. Elle est convoyĂ©e Ă TrĂ©mentines et y est utilisĂ©e en toute clandestinitĂ© dĂšs le mois de fĂ©vrier 1794. La cloche Barbe de MincĂ©, bien qu'inscrite aux Monuments historiques en 1982 par la commune qui se dĂ©clare propriĂ©taire, n'est vraiment rĂ©vĂ©lĂ©e au public de façon officielle qu'en 2021 lors de sa redĂ©couverte par Julien DaĂŻffi lors d'une Ă©tude historique portant sur ĂchemirĂ© et le MincĂ©[28]. La cloche fut si bien dissimulĂ©e que ni l'abbĂ© Cottereau (cĂ©lĂšbre Ă©rudit) ni Pierre Boisard (historien Ă©mĂ©rite) n'apprirent son existence. Elle n'est dâailleurs pas prĂ©sente sur l'inventaire de 1906 qui est complet Ă l'exception du contenu du tabernacle. Plusieurs habitants du Baugeois rĂ©clament son retour depuis 2021[29] - [30].
Politique et administration
Administration municipale
Intercommunalité
La commune est membre de l'agglomération du Choletais. La commune était précédemment membre de la communauté d'agglomération du Choletais[34].
Autres circonscriptions
Trémentines appartient au canton de Cholet-2.
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[36].
En 2020, la commune comptait 3 085 habitants[Note 7], en augmentation de 7,6 % par rapport Ă 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 35,7 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,2 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 25,6 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 25,6 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 1 511 hommes pour 1 537 femmes, soit un taux de 50,43 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,37 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Ătablissements scolaires : l'Ă©cole maternelle publique Le Petit Prince, l'Ă©cole maternelle privĂ©e, l'Ă©cole primaire publique Saint-ExupĂ©ry et lĂ©cole primaire privĂ©e SacrĂ©-CĆur.
Santé
Ătablissements de santĂ© : une pharmacie et une maison de retraite.
Sports
Installations sportives : deux terrains de football, oĂč se pratique du football, deux terrains de tennis, un boulodrome, une salle multi-sport, la salle Audignane oĂč se pratique du basket-ball, une salle d'arts martiaux (dojo), une salle multi-sports oĂč se pratique du tennis, du tennis de table et du basket-ball, une salle de gymnastique, oĂč se pratique la gymnastique et la zumba, un city-stade (terrain oĂč l'on peut jouer au football et au basket-ball) et une salle de danse.
Culture
RencArt : salon annuel de peinture et de sculpture, depuis [41].
Ăconomie
Sur 172 établissements présents sur la commune à fin 2010, 30 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 10 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 39 % de celui du commerce et des services et 14 % du secteur de l'administration et de la santé[42]. Fin 2015, sur les 174 établissements actifs, 20 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 12 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 44 % de celui du commerce et des services et 17 % du secteur de l'administration et de la santé[43].
Ce petit bourg prÚs de Cholet est le siÚge d'une industrie horlogÚre avec la présence de l'entreprise Bodet[44].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Ădifices religieux :
- Ăglise Saint-Euvert du XIXe siĂšcle.
- Chapelle et croix : grand calvaire Ă la sortie du bourg vers NuaillĂ© : une croix est placĂ©e sur le globe terrestre, lui-mĂȘme soutenu par 5 colonnes formĂ©es chacune de 4 rouleaux Ă battre le grain avec lâinscription : « Au Christ Roi Sauveur du Monde, mission de 1934 ».
Ădifices civils :
- Ancienne gare Ă la sortie du bourg vers Le May-sur-Ăvre fermĂ©e depuis 1999.
Personnalités liées à la commune
- FĂ©lix-Pierre Fruchaud (1811-1874), nĂ© dans la commune, archevĂȘque de Tours au XIXe siĂšcle.
- Alfred Jungbluth (1865-1914), sculpteur et dessinateur né dans la commune.
- Henri Fruchaud (1894-1960), chirurgien, commandeur de la Légion d'honneur, compagnon de la Libération, inhumé dans la commune.
Voir aussi
Bibliographie
- Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. 4 (S-Z), Angers, H. Siraudeau & Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376), p. 589-594.
- Alain Rigaudeau, TrĂ©mentines au 20e siĂšcle â Le temps des conflits, 2021
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- IGN et BRGM, Géoportail Trémentines (Maine-et-Loire), consulté le 18 novembre 2012.
- Lion1906, Distances orthodromiques Ă partir de TrĂ©mentines (49), consultĂ© le 18 novembre 2012 â Les distances affichĂ©es sont des distances orthodromiques (Ă vol d'oiseau).
- Port 1996, p. 589.
- Choletbus, Réseau de transport Choletbus, consulté le 2 septembre 2013.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Cholet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Trémentines et Cholet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Cholet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Trémentines et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Trémentines », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cloche », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Bauge-en-Anjou, votre magazine N°22 », sur calameo.com (consulté le )
- « Maine-et-Loire. Deux communes se disputent une cloche disparue pendant la Révolution de 1793 », sur angers.maville.com (consulté le )
- (Port 1996).
- Ouest-France, Maire, adjoints et délégués se sont répartis (sic) les tùches, article du 4 avril 2014.
- « Trémentines. Jacqueline Delaunay est premiÚre magistrate », sur Ouest-France, (consulté le ).
- Insee, Composition de l'EPCI du Choletais (244900700), consulté le 28 septembre 2013.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de TrĂ©mentines (49355) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de Maine-et-Loire (49) », (consultĂ© le ).
- « TrĂ©mentines. Quinze artistes exposent au salon RencâArt », sur ouest-france.fr, (consultĂ© le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Trémentines (49), consultées le 16 juin 2013.
- « Dossier complet - Commune de Trémentines (49358) », sur Insee, (consulté le ).
- HervĂ© Gallet, « Et si vous osiez porter une horloge de gare au poignet ? », Le Point,â (lire en ligne).