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Trémentines

Trémentines est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Trémentines
Trémentines
La rue Pasteur à Trémentines.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Maine-et-Loire
Arrondissement Cholet
Intercommunalité Agglomération du Choletais
Maire
Mandat
Jacqueline Delaunay
2020-2026
Code postal 49340
Code commune 49355
DĂ©mographie
Gentilé Trémentinais
Population
municipale
3 085 hab. (2020 en augmentation de 7,6 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 89 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 07â€Č 24″ nord, 0° 47â€Č 07″ ouest
Altitude Min. 82 m
Max. 180 m
Superficie 34,83 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Trémentines
(ville isolée)
Aire d'attraction Cholet
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Cholet-2
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Trémentines
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Trémentines
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Trémentines
Liens
Site web Site de Trémentines

    Ses habitants sont appelés les Trémentinais et les Trémentinaises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Commune angevine des Mauges, Trémentines se situe au nord de Nuaillé, sur les routes D 160E, Saint-Georges-des-Gardes / Nuaillé, D 160, Cholet, et D 65, Le May-sur-Èvre / Vezins[1].

    Le calvaire des rouleaux de Trémentines.
    La chapelle à Plaud de Trémentines.

    Communes limitrophes de Trémentines :

    Les communes les plus proches sont : NuaillĂ© (km), Saint-Georges-des-Gardes (km), Vezins (km), La Tourlandry (km), Toutlemonde (km), Le May-sur-Èvre (km), Chanteloup-les-Bois (km), MaziĂšres-en-Mauges (km), La JubaudiĂšre (km) et Cholet (10 km)[2].

    Relief et paysage

    La commune se trouve dans la vallĂ©e de l'Èvre et sur les collines de l'Anjou. Elle est situĂ©e sur un double plateau, divisĂ© par la vallĂ©e de l’Èvre qui arrose la commune sur un parcours de 10 100 mĂštres et animait autrefois les moulins de Picosson et de la FĂŽrĂ©trie. L’Èvre est grossi des ruisseaux de l’ÉperonniĂšre, de la GĂ©nilliĂšre, de Montbault, de la SingĂšre, de la BeillardiĂšre et des Ogeries.

    GĂ©ologie et hydrologie

    La commune s'étend sur un terrain granitique, eurite et syénite[3].

    Transports routiers et autoroutiers

    La Route impĂ©riale d’Angers au Sables d’Olonne traverse la commune ainsi que l’autoroute Angers-La Roche-sur-Yon (A87).

    Transports ferroviaires

    La ligne de chemin de fer Angers – Cholet traverse presque parallĂšlement la partie occidentale avec une gare de marchandises situĂ©e Ă  2 200 mĂštres de l’agglomĂ©ration, la station voyageurs ayant Ă©tĂ© fermĂ©e en 1999. La gare la plus proche est la celle de Cholet.

    Transports péri-urbains

    La ligne 12 du rĂ©seau Choletbus assure les arrĂȘts de TrĂ©mentines, Cholet et Angers[4]. La ligne 7 du rĂ©seau Anjoubus assure Ă©galement ces arrĂȘts.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[5]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 777 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Cholet », sur la commune de Cholet, mise en service en 1965[11] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[12] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 777,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[13]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, dans le dĂ©partement de la Loire-Atlantique, mise en service en 1945 et Ă  64 km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[15], Ă  12,5 °C pour 1981-2010[16], puis Ă  12,7 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    TrĂ©mentines est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [18] - [19] - [20]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de TrĂ©mentines, une unitĂ© urbaine monocommunale[21] de 3 085 habitants en 2020, constituant une ville isolĂ©e[22] - [23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cholet, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[24] - [25].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (96 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (97,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (56,9 %), prairies (27,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (11 %), zones urbanisĂ©es (3 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1 %), cultures permanentes (0,9 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[27].

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    Deux mĂ©galithes se tiennent encore sur le territoire de la commune, le menhir du PrĂ© de la Chapelle et la pierre Fiche ou la pierre qui tourne de la ferme du Parchambault oĂč se trouve Ă©galement un tumulus. De plus, ont Ă©tĂ© trouvĂ©s sur l'ensemble de la commune 19 haches polies et quatre silex taillĂ©s[3].

    On retrouve la trace de deux voies romaines, une se dirigeant vers La Tourlandry, la seconde vers Vezins. En 1878, il est fait mention d'un tronçon dallé de larges dalles de granite[3], sans qu'il ait été prouvé qu'il s'agit d'une voie antique.

    Moyen Âge

    L'église a probablement été fondée vers le XIe siÚcle par les seigneurs de Maulévrier. Au XIIe siÚcle, elle est la propriété de l'abbaye Saint-Florent-de-Saumur. Un prieuré y est créé au sud de l'église[3].

    Époque contemporaine

    Durant le mois de dĂ©cembre 1793, les VendĂ©ens s'emparent de la cloche de la chapelle du chĂąteau de MincĂ© Ă  ÉchemirĂ©. Elle est convoyĂ©e Ă  TrĂ©mentines et y est utilisĂ©e en toute clandestinitĂ© dĂšs le mois de fĂ©vrier 1794. La cloche Barbe de MincĂ©, bien qu'inscrite aux Monuments historiques en 1982 par la commune qui se dĂ©clare propriĂ©taire, n'est vraiment rĂ©vĂ©lĂ©e au public de façon officielle qu'en 2021 lors de sa redĂ©couverte par Julien DaĂŻffi lors d'une Ă©tude historique portant sur ÉchemirĂ© et le MincĂ©[28]. La cloche fut si bien dissimulĂ©e que ni l'abbĂ© Cottereau (cĂ©lĂšbre Ă©rudit) ni Pierre Boisard (historien Ă©mĂ©rite) n'apprirent son existence. Elle n'est d’ailleurs pas prĂ©sente sur l'inventaire de 1906 qui est complet Ă  l'exception du contenu du tabernacle. Plusieurs habitants du Baugeois rĂ©clament son retour depuis 2021[29] - [30].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs[31]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1788 1789 Tristand Richard Notaire royal du comté de Maulévier
    1790 oct. 1790 Jean-André Rousseau curé de la paroisse
    1790 1791 Luc Leroy maĂźtre menuisier
    nov. 1791 1791 Jean Siraudeau
    an IV (I L 341) Tristan Vinet
    mess. an VIII brum. an XIII Gabriel-Louis-Romain Rigalleau Notaire à Trémentines
    Commissaire exécutif
    2 flor. an XIII Mathurin-François Benoist-Vinet
    fĂ©v. 1813 Joseph DĂ©nĂ©chau PĂšre (ou grand-pĂšre) de Mgr Henri DĂ©nĂ©chau, Ă©vĂȘque de Tulle, premier Ă©vĂȘque français Ă  conduire un pĂšlerinage Ă  JĂ©rusalem
    août 1815 Jacques-René Simon
    avril 1823 1830 Ch.-L.-Benj. de Grignon Marquis de Pouzauges
    Retraité (capitaine de grenadiers)
    nov. 1830 Joseph Dénéchau
    juin 1834 EugÚne-Désiré Benoist
    oct. 1836 Michel Cassin
    sept. 1846 Henri-Benjamin Cassin
    janv. 1889 1912 Georges Cassin
    janv. 1911 1919 Jacques Tharau
    1919 1925 Jules Lallemand
    1925 1929 Gustave Mauxion
    1929 1935 Joseph Thomas
    1935 1965 Hubert Cassin
    1965 1995 Dr Jacques Chalopin MĂ©decin
    juin 1995 mars 2008 GĂ©rard Brillouet DVD Instituteur
    mars 2008 mai 2020 Marc Grémillon[32] DVD ContrÎleur des postes
    Vice-président de l'Agglomération du Choletais
    mai 2020 En cours
    (au 26 mai 2020)
    Jacqueline Delaunay[33]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune est membre de l'agglomération du Choletais. La commune était précédemment membre de la communauté d'agglomération du Choletais[34].

    Autres circonscriptions

    Trémentines appartient au canton de Cholet-2.

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[36].

    En 2020, la commune comptait 3 085 habitants[Note 7], en augmentation de 7,6 % par rapport Ă  2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2531 6301 4911 8022 0052 0382 0332 0552 162
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 2872 3582 4112 3372 2472 1572 0051 9661 919
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8531 8721 8321 5911 6191 5451 5401 5991 693
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 7972 0372 3412 8053 0342 8172 7942 7962 956
    2020 - - - - - - - -
    3 085--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee Ă  partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  35,7 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 25,6 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 25,6 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 1 511 hommes pour 1 537 femmes, soit un taux de 50,43 % de femmes, lĂ©gĂšrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,37 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    2,1
    6,1
    75-89 ans
    9,5
    15,8
    60-74 ans
    16,9
    18,4
    45-59 ans
    17,2
    21,5
    30-44 ans
    20,4
    15,5
    15-29 ans
    13,3
    22,0
    0-14 ans
    20,5
    Pyramide des ùges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2
    6,9
    75-89 ans
    9,5
    15,5
    60-74 ans
    16,3
    19,4
    45-59 ans
    18,8
    18,6
    30-44 ans
    17,7
    18,6
    15-29 ans
    17,5
    20,2
    0-14 ans
    18,2

    Enseignement

    Établissements scolaires : l'Ă©cole maternelle publique Le Petit Prince, l'Ă©cole maternelle privĂ©e, l'Ă©cole primaire publique Saint-ExupĂ©ry et lĂ©cole primaire privĂ©e SacrĂ©-CƓur.

    Santé

    Établissements de santĂ© : une pharmacie et une maison de retraite.

    Sports

    Installations sportives : deux terrains de football, oĂč se pratique du football, deux terrains de tennis, un boulodrome, une salle multi-sport, la salle Audignane oĂč se pratique du basket-ball, une salle d'arts martiaux (dojo), une salle multi-sports oĂč se pratique du tennis, du tennis de table et du basket-ball, une salle de gymnastique, oĂč se pratique la gymnastique et la zumba, un city-stade (terrain oĂč l'on peut jouer au football et au basket-ball) et une salle de danse.

    Culture

    RencArt : salon annuel de peinture et de sculpture, depuis [41].

    Économie

    Sur 172 établissements présents sur la commune à fin 2010, 30 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 10 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 39 % de celui du commerce et des services et 14 % du secteur de l'administration et de la santé[42]. Fin 2015, sur les 174 établissements actifs, 20 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 12 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 44 % de celui du commerce et des services et 17 % du secteur de l'administration et de la santé[43].

    Ce petit bourg prÚs de Cholet est le siÚge d'une industrie horlogÚre avec la présence de l'entreprise Bodet[44].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Édifices religieux :

    Édifices civils :

    Ancienne gare de Trémentines.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • CĂ©lestin Port (rĂ©visĂ© par AndrĂ© Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, gĂ©ographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. 4 (S-Z), Angers, H. Siraudeau & Cie, , 2e Ă©d. (1re Ă©d. 1878) (BNF 35857376), p. 589-594.
    • Alain Rigaudeau, TrĂ©mentines au 20e siĂšcle – Le temps des conflits, 2021

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[8].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. IGN et BRGM, Géoportail Trémentines (Maine-et-Loire), consulté le 18 novembre 2012.
    2. Lion1906, Distances orthodromiques Ă  partir de TrĂ©mentines (49), consultĂ© le 18 novembre 2012 — Les distances affichĂ©es sont des distances orthodromiques (Ă  vol d'oiseau).
    3. Port 1996, p. 589.
    4. Choletbus, Réseau de transport Choletbus, consulté le 2 septembre 2013.
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Cholet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Trémentines et Cholet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Cholet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Trémentines et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Unité urbaine 2020 de Trémentines », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    22. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    23. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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