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Saint-Laurent-sur-Sèvre

Saint-Laurent-sur-Sèvre est une commune française située dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire.

Saint-Laurent-sur-Sèvre
Saint-Laurent-sur-Sèvre
Basilique Saint-Louis-Marie Grignon-de-Montfort.
Blason de Saint-Laurent-sur-Sèvre
Blason
Saint-Laurent-sur-Sèvre
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement La Roche-sur-Yon
Intercommunalité Communauté de communes du Pays-de-Mortagne
Maire
Mandat
Éric Couderc
2020-2026
Code postal 85290
Code commune 85238
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Laurentais
Population
municipale
3 724 hab. (2020 en augmentation de 3,19 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 240 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 57′ 34″ nord, 0° 53′ 30″ ouest
Altitude 149 m
Min. 98 m
Max. 199 m
Superficie 15,49 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Laurent-sur-Sèvre
(ville isolée)
Aire d'attraction Cholet
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mortagne-sur-Sèvre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site officiel

    GĂ©ographie

    Le territoire municipal de Saint-Laurent-sur-Sèvre s'Ă©tend sur 1 549 hectares. L'altitude moyenne de la commune est de 149 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 98 et 199 mètres[1] - [2].

    La commune est située dans la Vendée à la limite des Deux-Sèvres et du département de Maine-et-Loire dans un triangle formé des 3 villes de Cholet, Les Herbiers et Bressuire, elle est traversée par la Sèvre nantaise.

    Voies de communication et transports

    Saint-Laurent-sur-Sèvre est desservie en autocars par le réseau Tréma (ligne 103).

    Généralités

    Au cĹ“ur du bocage vendĂ©en, Ă  10 km du Puy-du-Fou, Saint-Laurent-sur-Sèvre doit son nom de « ville sainte de la VendĂ©e » Ă  Louis-Marie Grignion de Montfort. Quelque 25 000 visiteurs par an, comme Jean-Paul II en 1996, viennent se recueillir sur son tombeau dans la basilique. On compte aussi Ă  Saint-Laurent 2 500 Ă©lèves dont 1 300 internes au sein de l'ensemble scolaire Saint-Gabriel - Saint Michel. Il y a 6 communes diffĂ©rentes Ă  proximitĂ©.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Laurent-sur-Sèvre
    Mortagne-sur-Sèvre
    Chanverrie Saint-Laurent-sur-Sèvre Mauléon
    Saint-MalĂ´-du-Bois Treize-Vents

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Laurent-sur-Sèvre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Saint-Laurent-sur-Sèvre, une unitĂ© urbaine monocommunale[6] de 3 617 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cholet, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (31,7 %), zones agricoles hétérogènes (24 %), terres arables (23,7 %), zones urbanisées (14 %), forêts (5,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Histoire

    Une grande partie du territoire de la paroisse de Saint-Laurent constituait jadis une seigneurie portant ce nom. Le siège primitif de cette seigneurie devait se situer dans un manoir à l'emplacement du presbytère actuel. Sous l'Ancien Régime, le domaine comprenait divers droits seigneuriaux, un grand bois, un moulin, un étang, des maisons dans le bourg et cinq métairies : le Bois Chabot Grolleau, le Gast, la Péardière, la Boisvinière, la Petite Yvoie. La seigneurie était possédée à l'origine par un fidèle vassal du baron de Mortagne, lui-même vassal du vicomte de Thouars et enfin du comte de Poitou. Au XIe siècle, il s'agissait de la famille Chabot (grosse tête). Au XIVe siècle, le baron de Mortagne posséda le domaine de Saint-Laurent en direct et jusqu'à la Révolution, laissant progressivement se dégrader le manoir. Au XVIIIe siècle, le baron vendit des métairies et même le manoir de Saint Laurent qui devint le presbytère après des travaux.

    D'autres fiefs existaient sur la paroisse : on retiendra la Grande Vergnaie, la Barbinière, la Maltière et la Barre. Une partie du territoire constituant la Grande Vergnaie se trouvait sur les marches Anjou-Poitou. Pour la partie poitevine, le possesseur devait rendre hommage au baron de Mortagne. Si la Barbinière prit de l'importance aux XVIIIe et XIXe siècles, il ne s'agissait pourtant pas à l'origine d'une importante seigneurie. Toutefois, les familles d'Espinasseau et Sapinaud de Bois-Huguet choisirent de s'y installer dans un château. Progressivement, à la faveur de mutations foncières, ils se constituèrent une propriété autour du vieux logis. En 1893, le marquis Albert-Charles-François d'Aviau de Piolant y construisit un château dans le style néo-gothique en vogue à cette époque.

    Après la création du diocèse de La Rochelle en 1648, Saint-Laurent-sur-Sèvre devient le siège d'un des deux doyennés dans l'archidiaconé de Fontenay-le-Comte.

    Depuis le , le contour du territoire municipal n’a pas évolué. En effet, par ordonnance de ce jour de Louis-Philippe datée du palais des Tuileries[alpha 1], la commune est agrandie d’une exclave de Treize-Vents.

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D'azur à la croix d'or mouvant d'une plaine ondée de sable, cantonnée au premier d'une fleur de lys d'or, au deuxième d'un gril du même la poignée vers le chef, au troisième d'un sautoir aussi d'or chargé de cinq losanges de gueules posées à plomb, au quatrième de trois étoiles d'or, au double cœur vidé, couronné et croiseté de gueules, brochant en abîme.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1971 avril 1988[13] - [14]
    (décès)
    Joseph Raymond RĂ©Ă©lu en 1977[15] et 1983
    juin 1988[16] mars 1989 Monique Lepagnol
    mars 1989 mars 2001 Jean-Claude Bénaiteau SE Retraité de l'enseignement
    RĂ©Ă©lu en 1995
    mars 2001 juin 2020[17] Guy-Marie Maudet DVD Professeur d'Ă©ducation physique
    RĂ©Ă©lu en 2008[18] et 2014
    juin 2020[19] En cours Éric Couderc DVD Responsable propositions Thales
    7e vice-président du Pays de Mortagne[20] (2020 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].

    En 2020, la commune comptait 3 724 habitants[Note 3], en augmentation de 3,19 % par rapport Ă  2014 (VendĂ©e : +4,62 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    5458841 0581 0661 3091 3982 0632 3152 460
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    2 5622 6492 7462 8612 8412 8933 0972 9062 810
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    2 6142 6582 8262 9582 8223 2513 3143 3202 336
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    2 5452 8353 2083 2473 3073 4113 3973 5353 617
    2020 - - - - - - - -
    3 724--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee Ă  partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,1 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 734 hommes pour 1 886 femmes, soit un taux de 52,10 % de femmes, lĂ©gèrement supĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,16 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[25]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,0
    90 ou +
    6,8
    7,7
    75-89 ans
    12,4
    16,1
    60-74 ans
    15,6
    18,3
    45-59 ans
    16,1
    18,7
    30-44 ans
    17,8
    17,9
    15-29 ans
    13,3
    20,2
    0-14 ans
    18,0
    Pyramide des âges du département de la Vendée en 2018 en pourcentage[26]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2,1
    8,4
    75-89 ans
    11
    19,5
    60-74 ans
    20,4
    20
    45-59 ans
    19,4
    18
    30-44 ans
    17,1
    14,9
    15-29 ans
    13,2
    18,5
    0-14 ans
    16,8

    Éducation

    Institution Saint-Gabriel

    L'institution privĂ©e catholique collège-lycĂ©e Saint-Gabriel a Ă©tĂ© fondĂ©e en 1838 par les frères du mĂŞme nom. Avec 930 internes, pour un total de 2 200 Ă©lèves, cet Ă©tablissement est l'un des plus grands internats de France. Les Ă©lèves viennent de tout le pays, quelquefois de l'Ă©tranger. L'institution s'Ă©tend sur près de 19 ha et permet aux Ă©lèves de pratiquer de nombreuses activitĂ©s sportives : rugby, golf, etc. Depuis , les bâtiments accueillent l'ensemble des niveaux allant de la 6e au BTS.

    Quelques-uns de ses anciens élèves sont devenus célèbres : Jamy Gourmaud (présentateur de l'émission C'est pas sorcier) ou encore Bruno Retailleau (sénateur de la Vendée).

    Institution Saint-Michel

    L'institution Saint-Michel a été liée il y a peu avec Saint-Gabriel pour une meilleure complémentarité. Il faut savoir qu'à l'origine Saint-Gabriel était destiné aux garçons et Saint-Michel aux filles, la mixité étant assez récente (2000). Saint-Michel a aussi un passé prestigieux. Ce collège-lycée privé catholique a longtemps dispensé un enseignement rigoureux. Ce fut l'un des meilleurs internats pour filles de France d'où sont sorties les célèbres sœurs Favreau. Jusqu'en , l'établissement accueillait les élèves de 6e, 5e ainsi que la filière professionnelle coiffure et esthétique.

    Unité fonctionnelle scolaire de l'institut Saint-Gabriel

    Œuvre de l'architecte choletais Francis Pierrès[27], inaugurée le , elle a pour fonction la restauration collective des élèves de l'institut Saint-Gabriel et compte des salles de permanence, un foyer, etc.

    Officiellement labellisĂ© « patrimoine du XXe siècle Â» par dĂ©cision du prĂ©fet de rĂ©gion des Pays de Loire en date du [28] au nom du gouvernement français ; la plaque apposĂ©e sur le monument est dĂ©voilĂ©e en .

    Elle dĂ©veloppe sur deux niveaux quelque 2 000 m2 pour chacun, avec une ossature en bĂ©ton Ă  nu, d'inspiration « brutaliste Â», de vastes baies vitrĂ©es donnant sur la vallĂ©e de la Sèvre nantaise et un « jeu de mikado de poutrelles bĂ©ton Â», en dĂ©bord des façades.

    Lieux et monuments

    Ouvrages d'art

    Édifices religieux

    Saint-Laurent possède une basilique (Basilica of St. Louis de Montfort (en))[29] abritant le tombeau de saint Louis Marie Grignon de Montfort, fondateur d'écoles charitables. En 1996, Jean-Paul II y vint en pèlerinage, honorer l'apôtre de Marie. Les maisons mères des filles de la Sagesse, des pères missionnaires montfortains et des frères de Saint-Gabriel se sont établies près de l'endroit où repose leur fondateur. C'est la famille Montfortaine. Cette spécificité a donné à ce village cinq églises, chapelles et oratoires.

    Personnalités liées à la commune

    Annexes

    Manifestations culturelles et festivités

    En 2013 dans le cadre du Festival de Poupet, Saint-Laurent-sur-Sèvre a accueilli le concert d'Elton John et de David Guetta au château de La Barbinière. En 2014, c'est Stromae qui est programmé dans le parc du château par le festival. Pour la 30e édition en 2016, le festival vendéen revient au château pour deux soirées, le concert de Les Insus ? puis celui de Indochine deux jours plus tard.

    Articles connexes

    • Liste des communes de la VendĂ©e
    • Frère M. Guillaume (Pierre Perrocheau), Distillerie Saint-Gabriel, 1887-1904, Maison Pailloncy, 1905-1922, 82 pages, Imprimerie Verrier, Les Herbiers, 1982.

    Lien externe

    Notes et références

    Notes

    1. L’ordonnance du précise :
      « Ordonnance du roi. Louis-Philippe, roi des Français, à tous présents et à venir, salut.
      Sur le rapport de notre ministre secrétaire d’État au département de l’Intérieur ;
      Le comité de l’Intérieur de notre Conseil d’État entendu,
      Nous avons ordonné et ordonnons ce qui suit :
      Article 19. — L’enclave désignée sur le plan ci-annexé par la lettre A est distraite de la commune de Treize-Vents, arrondissement de Bourbon-Vendée, département de la Vendée, est réunie à la commune de Saint-Laurent-sur-Sèvre, même arrondissement, où elle sera exclusivement imposée à l’avenir. En conséquence la limite entre les communes de Saint-Laurent-sur-Sèvre et la commune de Saint-Hilaire-de-Mortagne et La Chapelle-Largeault, département des Deux-Sèvres, est fixée dans la direction audit plan par la ligne brisée teinte en vert BCDE. »
    • Autres notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Commune 16458 », Géofla, version 2.2, base de données de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
    2. « Saint-Laurent-sur-Sèvre », Répertoire géographique des communes, fichier de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Saint-Laurent-sur-Sèvre », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cholet », sur insee.fr (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Avis d'obsèques du paru dans Ouest-France.
    14. « L'au revoir des Saint-Laurentais à M. Joseph Raymond, maire », Ouest-France,‎ .
    15. « St-Laurent-sur-Sèvre : M. Joseph Raymond, réélu maire », Ouest-France,‎ .
    16. « Mme Monique Lepagnol élue maire de Saint-Laurent », Ouest-France,‎ .
    17. « Saint-Laurent-sur-Sèvre. Le maire, Guy-Marie Maudet ne se représente pas : Après trente et un an d’engagement municipal, dont dix-neuf à la tête de la commune, Guy-Marie Maudet, 66 ans, passe le relais avec le sentiment du devoir accompli. », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
    18. [PDF] Site officiel de la préfecture de la Vendée - Liste des maires
    19. « Saint-Laurent-sur-Sèvre. Un premier mandat de maire pour Éric Couderc : Mardi, la nouvelle équipe municipale composée de vingt-sept membres, a élu Eric Couderc en qualité de maire. Il est secondé par six adjoints. », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
    20. Le Bureau, sur paysdemortagne.fr
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Laurent-sur-Sèvre (85238) », (consulté le ).
    26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
    27. Architecte notamment de la mairie de Cholet dite « la machine Ă  Ă©crire Â» et de la Caisse primaire d'Assurance maladie. Il est mort le 28 dĂ©cembre 2013 Ă  86 ans. Il est Ă©galement l'auteur d'une maison Ă  BeauprĂ©au, qui a Ă©tĂ© labellisĂ©e « Patrimoine XXe siècle Â».
    28. « Label patrimoine XXe siècle », sur Ministère de la culture, .
    29. Arnold Suhardi SMM, « La construction - Basilique Saint Louis-Marie Grignion de Montfort », sur www.basiliquemontfort.com (consulté le )
    30. Fabien Leduc, « Cholet. Le déménagement de L’Abeille ravive les souvenirs d’une époque dorée », sur ouest-france.fr, Courrier-de-l'Ouest, (consulté le )
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