Accueil🇫🇷Chercher

Charles Maillard (1876-1973)

Charles Maillard, né le à Cholet (Maine-et-Loire) et mort le à Corné (Maine-et-Loire), est un sculpteur et céramiste français.

Charles Maillard
Portrait de Charles Maillard en 1932.
signature de Charles Maillard (1876-1973)
Signature

Biographie

Buste de Gustave Fouillaron, Cholet, Chambre de commerce et d'industrie.

Charles Pierre Maillard[1] - [2] est le fils d'Émile Maillard, boulanger[N 1] et de Clémence Célina Aubry[3]. Il a un frère, le docteur Émile Henri Maillard (1874-1962), médecin dès 1905, administrateur lui aussi (comme leur père) à compter de 1944 de l'hôpital de Cholet où il a une rue à son nom[4] - [5]. Élève au collège Colbert à Cholet, il entre au lycée David-d'Angers[6], étudie à l'école régionale des beaux-arts d'Angers — où il reçoit l'enseignement de Brunelair — puis s'installe à Paris où il fréquente l'Académie Julian et rejoint l'École nationale supérieure des beaux-arts où il est élève dans les ateliers de Louis-Ernest Barrias et de Jules Coutan[7]. Il concourt plusieurs fois sans succès au prix de Rome[7] - [8].

À partir de 1901, après ses études, Charles Maillard expose régulièrement au Salon des artistes français. Il reçoit plusieurs médailles et mentions honorables[9]. Il établit son atelier à Paris, où il demeure 199, rue de Vaugirard[10]. Deux lettres datées des et — présentant sa candidature au poste vacant de directeur de l'école des beaux-arts d'Angers — mentionnent qu'il a passé la fin des hostilités en Maine-et-Loire, à la Haie-Longue près de Saint-Aubin-de-Luigné.

Charles Maillard épouse son modèle, Marthe Ovillé, le dans le 16e arrondissement de Paris. Le couple n'a pas eu d'enfant. Il meurt le à Corné[11] et son épouse le à Dinard[12].

Ĺ’uvres

Sculpteur

Parmi ses principales réalisations sculptées se trouvent :

  • le monument Ă©rigĂ© sur le caveau d'Adrien Delhumeau dans le transept droit de la chapelle Saint-Louis Ă  Cholet (1903-1904)[N 2] - [EC 1] ;
  • le Monument aux morts en hommage aux anciens Ă©lèves[N 3] - [EC 2] - [6] dans la cour du collège Colbert de Cholet (1921)[13] - [14] ;
  • Le Poilu saluant une tombe Ă  BaugĂ© (1921)[15] - [N 4] ;
  • le Monument Ă  Maurice Berteaux[16], ministre de la guerre, inaugurĂ© en 1922 Ă  Chatou[8] - [N 5] ;
  • L'Aspirant blessĂ©[6], monument aux morts des anciens Ă©lèves et professeurs, Ă  l'entrĂ©e du lycĂ©e David d'Angers[17], Ă  Angers[18], inaugurĂ© par le ministre de l'IntĂ©rieur (1923)[8] ;
  • La Victoire remettant une couronne de lauriers, monument aux morts rĂ©alisĂ© en deux exemplaires[19] : l'un Ă  CondĂ©-sur-Huisne, inaugurĂ© le et l'autre Ă  Feneu[20] ;
  • le Monument de gloire et de reconnaissance 1914-1918 Ă  Châteaudun, inaugurĂ© le [21] ;
  • le Monument aux morts de la grande guerre[22], place du 77e rĂ©giment d’infanterie Ă  Cholet[23] - [EC 3], inaugurĂ© par le marĂ©chal Joffre[8] le [N 6]. Un premier projet de monument qui n'a pas Ă©tĂ© retenu reprĂ©sente Clovis, Godefroy de Bouillon, le Grand CondĂ© et NapolĂ©on entourant « la figure de l'immortel poilu que la victoire vient couronner de lauriers »[24].
Les guetteurs (détail du monument aux morts de Cholet).

Jean Maillard indique que « le monument commémoratif de la guerre 1914-1918 sera construit devant la gare par le sculpteur Charles Maillard, à qui Gustave Fouillaron demandera de le représenter en buste »[25] ;

  • bronze Ă  la cire perdue d'un lion assis sur un rocher Ă  cĂ´tĂ© d'une lionne, qui s'approche d'un serpent (1925)[26] ;
  • les buste des auteurs anciens, bibliothèque du palais Guanabara, Rio de Janeiro[8] ;
  • le Monument Ă  François-Joseph Talma[27], inaugurĂ© le , statue en bronze Ă  Poix-du-Nord[8]. Cette statue de François-Joseph Talma, rĂ©alisĂ©e par Charles Maillard en 1931, a disparu pendant la guerre 39/45 et n'a jamais Ă©tĂ© retrouvĂ©e ; elle remplaçait la statue d’origine exĂ©cutĂ©e par LĂ©on Fagel en 1904. La troisième statue en ce lieu est de 1986[28] ;
  • le MĂ©morial du cardinal Luçon[29], en marbre blanc, dans la première nef latĂ©rale droite en l'Ă©glise Notre-Dame de Cholet (1931)[8] - [30] ;
  • le Buste de Gustave Fouillaron, bronze, Ă  la Chambre de commerce et d'industrie de Cholet[31] - [25] ;
  • le Monument aux morts de l’église Saint-MĂ©dard de Thouars[32] ;
  • le Buste du sĂ©nateur Georges Portmann (1941)[33] ;
  • Lièvre aux Ă©coutes, bronze[2] ;
  • Garçon au violon, bronze[34] ;
  • TrophĂ©e de lièvre, bronze[35] ;
  • L'Enfant au chat[11].

À l'inventaire du musée d'Art et d'Histoire de Cholet se trouvent une médaille commémorative et plusieurs projets signés de Charles Maillard[36] :

  • un Monument au cardinal Luçon, esquisse en plâtre de 90 cm de haut, projet en 1915 pour un monument reprĂ©sentant le cardinal sur les ruines de la cathĂ©drale de Reims[N 7] et deux autres plâtres, un pour le portrait en mĂ©daillon du cardinal et l'autre pour la maquette du mĂ©morial (1931) ;
  • les modèles en plâtre des portraits en mĂ©daillon en marbre de quatre curĂ©s de Notre-Dame de Cholet[N 8] : Mgr Eugène Grellier de 1888 Ă  1893, le chanoine Jean-Baptiste Dubillot de 1893 Ă  1928, le chanoine Paul Gallard de 1928 Ă  1940 et le chanoine Pierre Douillard de 1941 Ă  1947 ;
  • la MĂ©daille commĂ©morative du centenaire de la caisse d'Ă©pargne de Cholet, bronze (1935), avec une Angevine portant une coiffe Ă  l'avers et les Armes de la ville de Cholet au revers.

Sont dites de lui les esquisses des statues extérieures de l'église du Sacré-Cœur de Cholet[N 9] - [37]. On le cite comme artiste sculpteur[38] ayant modelé les hauts-reliefs[39], notamment :

  • la Vierge, d'une hauteur de 4 mètres, qui surplombe deux portes de la façade latĂ©rale du cĂ´tĂ© ouest. Elle est dite, de la part de Charles Maillard « avoir fait l'objet d'une stylisation spĂ©ciale qui marque le souci très net d'une très intĂ©ressante accentuation de sa formule coutumière »[EC 4] - [40]. En 1938, on relève aussi de l'architecte Maurice Laurentin lui-mĂŞme : « le visage inclinĂ© et souriant. Haute mystique, si bien traduite par le sculpteur Maillard »[41] ;
  • les six statues de la façade principale du cĂ´tĂ© nord[42] : Saint Maurille, Saint Maurice, Saint Louis, Jeanne d'Arc[43], NoĂ«l Pinot[EC 4] et Louis-Marie Grignion de Montfort.
  • Statues des entrĂ©es de la façade nord, par l'artiste sculpteur parisien, Charles Maillard.
  • Saint Maurille.
    Saint Maurille.
  • Saint Maurice.
    Saint Maurice.
  • Saint Louis.
    Saint Louis.
  • Jeanne d'Arc.
    Jeanne d'Arc.
  • NoĂ«l Pinot.
    Noël Pinot.
  • Grignon de Montfort.
    Grignon de Montfort.

CĂ©ramiste

Également connu comme céramiste[3] — entre autres pour la manufacture nationale de Sèvres (contrat du )[8] — la thématique bretonne apparaît dans son travail à partir de 1926[7]. Il collabore avec la manufacture Henriot durant l'entre-deux-guerres proposant l'édition de nombreux groupes, souvent à finalité utilitaire[7] :

  • des cĂ©ramiques, L'ÉlĂ©gante Ă  l'ombrelle en 1927, Femme au panier de fruits, Buste cire de Notre-Dame de Lourdes ;
  • des utilitaires Henriot Quimper, pichet au Sonneur musicien breton, pot Ă  eau CrĂŞpière au tablier bleu, serre-livre en faĂŻence de Quimper, coquetier Bretonne[44].

Distinctions

Charles Pierre Maillard est :

RĂ©compenses

Charles Maillard a reçu plusieurs récompenses :

  • mĂ©daille d'or de l'Exposition des beaux-arts de Rouen en 1909[8] ;
  • Prix Lemaire[8] ;
  • Prix Zanjel[8] ;
  • Prix du Nord en 1931[8] ;
  • laurĂ©at de l'École des beaux-arts de Paris de 1894 Ă  1906[8].

Hommages

Dès 1896, Charles Maillard est cité, à l'occasion d'une grande cavalcade : « qui a obtenu le plus vif succès grâce aux organisateurs qualifiés, le Dr Pissot, Charles Arnault, le sculpteur François Biron, Charles Maillard élève de l'école des Beaux-Arts en sculpture, les peintres-décorateurs Jouitteau et Roussel »[EC 5].

Le , il est cité sur plusieurs journaux de la presse parisienne et le journal belge Le Soir, dans un article titré : Une scène bien touchante, dînant à la terrasse d'un petit restaurant d'artistes, faubourg Saint-Honoré, en compagnie de Denys Puech et plusieurs autres sculpteurs.

En 1912, à propos du monument en hommage à Adrien Delhumeau, principal donateur pour l'hôpital de Cholet, Jules Charrier, président de la SLA de Cholet écrit : « Cette composition de magistrale allure est l'oeuvre de l'éminent sculpteur notre compatriote, M. Charles Maillard »[47].

Dans un article de L'Ouest-Éclair de Cholet du , Henry Coutant visitant pour la première fois l'atelier de la rue Vaugirard à Paris, déjà à l'époque, lui pose cette question toute aussi prégnante plus d'un demi siècle plus-tard : « Comment se fait-il que vous ne m'ayez pas fourni plus souvent l'occasion de parler de vous et de voir vos œuvres ? ». Plus loin on relève : « Quatre fois il fut admis en loge, pour le prix de Rome mais à chaque épreuve sa nature indépendante l'entraîna au-delà des limites imposées par les exigences scolastiques du jury et sa personnalité déborda du cadre officiel du sujet ». Avec le regard d'un expert, il en fait l'éloge au travers de tout l'article, citant plusieurs de ses sculptures, aujourd'hui, tombées dans l'oubli : « Chacune de ces œuvres porte la marque d'une formation classique qui les maintient dans la grandeur et la noblesse d'une réalisation que très heureusement d'ailleurs l'artiste sait assouplir pour la plier à sa conception particulière. Ainsi se trouvent-elles toutes garanties aussi bien contre la monotonie d'une technique uniforme, que contre les excès d'une facture trop outrancière »[43].

En 2018, Philippe Michel Coutry le décrit comme un « sculpteur figuratif très soucieux du détail et de l'individualisation des expressions et des visages »[48].

Notes et références

Notes

  1. Conseiller municipal, administrateur et vice-président de la commission des hospices de Cholet pendant trente ans.
  2. Soubassement et stèle en marbre blanc de Carrare, sujet en bronze doré représentant une jeune fille qui offre palme et gerbe de fleurs au donateur testamentaire des hospices.
  3. Talent mis bénévolement au service de ses anciens camarades selon Élie Chamard.
  4. Signature gravée sur le monument : Ch.Maillard sculpteur (1921).
  5. La statue en bronze ayant disparu durant l'occupation 1939-194 ; le monument est remanié en 1948, en conservant sa base, avec l'apport d'un simple buste en marbre, de l'ancien ministre (sculpté par René Philéas Carillon) - Sur la version contemporaine un socle plus réduit a été remanié : le bas relief en bronze représentant les funérailles de Maurice Berteaux est maintenant positionné en bas à l'avant du monument.
  6. Nom et date gravés au dos du monument.
  7. Don en 1964 de la paroisse Notre-Dame à la Société des sciences, lettres et arts, dépôt au musée d'art et d'histoire de Cholet depuis 1988.
  8. Commande initiale du conseil paroissial de Notre-Dame en 1931, pour orner la grande salle du cercle catholique, rue de Roussel Ă  Cholet.
  9. Suivant l'article (SLA-1938) par l'architecte Maurice Laurentin « Le sculpteur Maillard en a établi des esquisses dont la réalisation est vivement souhaitée et pour laquelle on peut faire confiance au praticien Dupré »

Références

  • Autres rĂ©fĂ©rences :
  1. « Extrait d'acte de naissance », sur culture.gouv (consulté le ).
  2. Société des artistes français 1907, p. 284.
  3. (en) « Charles Maillard », extrait de la notice dans le dictionnaire Bénézit Accès payant, sur Oxford Art Online, (ISBN 9780199773787).
  4. Augustin Jeanneau et Adolphe Durand 1988, p. 83.
  5. Jean-Claude Michon, « Cholet. Un nom, une rue : Émile Maillard, un médecin engagé », sur ouest-france.fr, Le Courrier de l'Ouest, (consulté le )
  6. Jean-Claude Michon, « Cholet. Charles Maillard, un sculpteur injustement oublié », sur ouest-france.fr, Le Courrier de l'Ouest, (consulté le )
  7. « Bretagne ancienne : Charles Maillard (1876-1973) », sur bretagneancienne.com (consulté le ).
  8. « Archives Nationales "Léonore" », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
  9. Emmanuel Bénézit 1924, p. 173.
  10. « Lettre manuscrite de Charles Maillard », sur culture.gouv.fr, (consulté le ).
  11. Pierre Kjellberg 1994, p. 448.
  12. « Archives départementales d'Eure-et-Loir », sur archives28.fr, (consulté le ).
  13. l'Intérêt public, « Inauguration du monument aux anciens élèves du collège Colbert de Cholet », l'Intérêt public,‎ (archives municipales de Cholet).
  14. « monument aux morts en hommage aux anciens élèves du collège Colbert de Cholet », sur monumentsmorts.univ-lille.fr (consulté le )
  15. « Le poilu saluant une tombe », sur monumentsmorts.univ-lille.fr, 1921 (consulté le ).
  16. « Réf. Mérimée IA00027758 : Monument commémoratif de Maurice Berteaux », sur culture.gouv.fr (consulté le )
  17. « Histoire du Lycée David d'Angers », sur anciens-lycee-david-angers.com (consulté le )
  18. « Lycée d'Angers - Monument aux morts. L'Aspirant blessé, par Ch. Maillard », sur archives-angers.fr (consulté le )
  19. « Monument aux morts de Condé-sur-Huisne », sur monumentsauxmorts.fr, (consulté le ).
  20. « Monument aux morts de Feneu », sur quercus49.over-blog.fr (consulté le ).
  21. « Monument aux morts 1914-18 à Châteaudun », sur monumentsmorts.univ-lille.fr, (consulté le ).
  22. « Le monument aux morts de Cholet », sur monumentsmorts.univ-lille.fr (consulté le ).
  23. archives municipales de Cholet, « 14-18 : Cholet honore la mémoire de ses soldats », Cholet Mag, n° 322,‎ , p. 24
  24. « Cholet : Un étonnant projet de monument aux Morts », sur courrierdelouest.fr, Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  25. Jean Maillard 2008, p. 10.
  26. « Sculpture en bronze par Charles Maillard », sur anticstore.com (consulté le ).
  27. « Poix-du-Nord », sur patrimoine-avesnois.fr (consulté le )
  28. « Poix du Nord, village de l'Avesnois », sur villesetvillagesdelavesnois.org (consulté le ).
  29. « le monument à la gloire du cardinal Luçon en l'église Notre-Dame de Cholet », sur geneanet.org (consulté le )
  30. Courrier de l'Ouest, « Le fabuleux destin du cardinal Luçon », Le Courrier de l'Ouest,‎ (archives municipales de Cholet).
  31. Chambre de commerce et d'industrie de Cholet, Depuis 100 ans au coeur de l'action, l'action au coeur, Cholet, Les actes du centenaire de la CCI, , page 264.
  32. « Aux enfants de la paroisse de Saint-Médard morts pour la France 1914-1918 » (consulté le )
  33. « Le buste de Mr de Potrmann secrétaire général à l'Information », sur geneanet.org, 1941, (consulté le ).
  34. (en) « Charles Maillard (Français, 1876-1973) : Œuvres d'art », sur artnet.com (consulté le )
  35. « D'après Charles Maillard (1876-1973) : Trophée de lièvre, statuette en bronze à patine brune », sur beaussant-lefevre.com (consulté le )
  36. Catalogue-inventaire du musée d'art et d'histoire de Cholet consulté le .
  37. Maxime Pionneau, « Son grand-père, c'était le sculpteur Fernand Dupré », sur ouest-france.fr, Ouest France, (consulté le )
  38. « Architecture et style », sur sacre-coeur-cholet.org (consulté le ).
  39. « Les artisans de la construction », sur sacré-coeur-cholet.org (consulté le )
  40. « La vie choletaise de Paris », sur geneanet.org, 1940, (consulté le ).
  41. Maurice Laurentin, « L'église du Sacré-Coeur de Cholet », Bulletin SLA n°38, R.Freulon,‎ , p. 141
  42. « Statues du Sacré-Cœur Cholet : La façade principale de 1942 », sur geneanet.org (consulté le ).
  43. L'Ouest-Éclair de Cholet, .
  44. Philippe Théallet et Bernard Jules Verlingue 2007, p. 102 à 113.
  45. « Archives nationales site de Fontainebleau », sur culture.gouv.fr (consulté le )
  46. « Officier d'Académie », sur culture.gouv.fr (consulté le )
  47. Jules Charrier 1912, p. 25-31.
  48. Guillaume Raineau, « Le plâtre fragmenté superbement restauré », sur geneanet.org, Courrier de l'Ouest, (consulté le ).

Annexes

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Archives dĂ©partementales de Maine-et-Loire (collectif) et Élisabeth Verry (dir.), MĂ©moires de pierre : les monuments aux morts de la Première guerre mondiale en Maine-et-Loire, Angers, Archives dĂ©partementales de Maine-et-Loire, , 343 p. (ISBN 978-2-86049-039-9, BNF 45621351) . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Emmanuel BĂ©nĂ©zit, Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs de tous les temps et de tous les pays, t. 3, Paris, Ă©ditions GrĂĽnd, , 1160 p. (lire en ligne) . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Augustin Jeanneau et Adolphe Durand, Cholet Ă  travers les rues, Cholet, Pierre Rabjeau, , 192 p. . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Élie Chamard, 20 siècles d'histoire de Cholet, Cholet, FarrĂ© et fils, 1970, rĂ©Ă©dition 1981, 365 p. . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Jules Charrier, « L'hĂ´pital de Cholet », SociĂ©tĂ© des sciences, lettres et arts de Cholet et de sa rĂ©gion, Cholet, Imprimerie R.Freulon,‎ . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Mustapha Kashi, Sylvie Meunier et Claudie PĂ©an, L'Avesnois : en long et en travers : Poix du Nord, village de l'Avesnois, Bruxelles, CrĂ©dit Communal de Belgique, coll. « Albums de CroĂż, Tome IX » (lire en ligne).
  • (en) Pierre Kjellberg, Bronzes of the 19th Century : Dictionary of Sculptors, Atglen, Schiffer Pub., , 684 p. (ISBN 978-0-88740-629-4, OCLC 715871643).
  • Maurice Laurentin, L'Ă©glise du SacrĂ©-Coeur de Cholet Histoire, Cholet, SociĂ©tĂ© des sciences lettres et beaux-arts de Cholet, , 217 p. . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Jean Maillard, La double vie de Gustave Fouillaron : mercier Ă  Cholet, constructeur automobile Ă  Levallois-Perret, Bailly, Pixel Press Studio, coll. « MĂ©moires automobiles », , 97 p. (ISBN 978-2-917038-08-6, BNF 41364809) . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • SociĂ©tĂ© des artistes français, Salon de 1907 : Explication des ouvrages de peinture et dessins, sculpture, architecture et gravure, des artistes vivants, Paris, imprimerie Paul Dupont, , 660 p. (lire en ligne).
  • Philippe ThĂ©allet et Bernard Jules Verlingue (photogr. Gilles Kervella), EncyclopĂ©die des cĂ©ramiques de Quimper : faĂŻences, grès, terres vernissĂ©es, t. 5 : Les artistes au XXe siècle, Le Ă  Y, Le Mans, Ă©ditions de la Reinette, , 479 p. (ISBN 978-2-913566-49-1, BNF 41285645) . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.