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Palais omnisports de Paris-Bercy

Le palais omnisports de Paris-Bercy (en abrégé POPB)[alpha 1], souvent désigné (par ellipse) Paris-Bercy ou tout simplement Bercy, et actuellement parrainé sous le nom Accor Arena[2], est une salle polyvalente et modulable située boulevard de Bercy, dans le quartier de Bercy, dans le 12e arrondissement de Paris. Il est depuis son inauguration en 1984 le théâtre de nombreuses manifestations sportives, certaines régulières (comme le Masters de Paris-Bercy en tennis et le Grand Chelem de Paris en judo), de concerts des plus grands artistes nationaux et internationaux, et accueillera les compétitions de basket-ball et de gymnastique artistique des Jeux olympiques d'été de 2024.

Paris-Bercy
Accor Arena
Généralités
Noms précédents
Palais omnisports de Paris-Bercy (POPB) (1984-2014)
Bercy Arena (2015)
AccorHotels Arena (2016-2020)
Accor Arena (depuis 2021)
Surnom
POPB, Paris-Bercy, Bercy
Adresse
Construction et ouverture
Construction
-1984
Ouverture
Architecte
ANPAR – Michel Andrault, Pierre Parat et Aydin Guvan (construction)
DVVD Architectes Ingénieurs Designers (rénovation)
Ingénieur
RĂ©novation
2013-2015
Utilisation
Propriétaire
Administration
Société d'économie mixte SAE Palais omnisports de Paris-Bercy
Équipement
Surface
55 000 m2
Capacité
CapacitĂ© maximale : 20 300
Lower Ball : 8 000
Concert : 20 300
AthlĂ©tisme : 10 910
Sports de balle : 15 603
Boxe : 16 394
Hockey sur glace : 13 877[1]
Affluence record
20 300 (Concert de Ed Sheeran le 2 avril 2023 et Concert de Mika le 22 dĂ©cembre 2019)
Localisation
Coordonnées
48° 50′ 19″ N, 2° 22′ 43″ E
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Localisation sur la carte d’Île-de-France
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Localisation sur la carte du 12e arrondissement de Paris
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Encadré par le ministère de l'Économie et des Finances au nord-ouest et par le parc de Bercy au sud-est, il se trouve sur la rive droite de la Seine, à la hauteur du pont de Bercy ; la bibliothèque François-Mitterrand située rive gauche lui fait face.

Présentation

Vaste de 55 000 m2, le palais omnisports de Paris-Bercy peut accueillir de 3 500 Ă  16 394 places assises, 18 476 spectateurs assis/debout et jusqu'Ă  20 300 assis/debout en version 360° avec la scène au centre de la salle. Dans un espace modulable adaptĂ© Ă  presque tous les sports, y compris nautiques, comme Ă  tous les types de spectacles, le palais omnisports de Paris-Bercy comprend Ă©galement une patinoire, la patinoire Sonja-Henie.

La salle principale fait aussi office de salle de concert, accueillant des chanteurs et des musiciens de tous les styles ; de nombreux artistes en font une date de tournée dans la capitale française. Pour la configuration « concert », la salle peut être adaptée avec une scène en bout de salle ou une scène dite « américaine », c'est-à-dire centrale, le nombre de places variant alors avec l'ouverture de la fosse centrale.

La salle est exploitée par la Société anonyme d’exploitation du Palais omnisports de Paris-Bercy (SAE POPB), qui gère également le Bataclan. Cette société d'économie mixte est détenue à 52 % par la Mairie de Paris et à 48 % par le groupe américain Anschutz Entertainment Group[3]. Le groupe Accor paye uniquement pour apporter son nom au lieu[4].

Architecture

L'extérieur du POPB est de forme pyramidale et a la particularité d'avoir ses parois recouvertes de pelouse en pente.

La salle principale offre une visibilitĂ© parfaite en tous points car il n'y a aucun poteau porteur dans les gradins. Ce sont quatre fĂ»ts porteurs, en retrait des gradins, qui supportent une charpente mĂ©tallique Ă  gĂ©omĂ©trie irrĂ©gulière, imaginĂ©e par Jean ProuvĂ©, situĂ©e Ă  24 mètres de l'aire de jeu. Cette charpente mĂ©tallique de 6 400 m2 offre trois particularitĂ©s techniques importantes : un rĂ©seau de monorails sur lequel circulent quatre convoyeurs Ă  pont roulant de cinq tonnes chacun permettant toutes les manipulations et les transformations de la salle dans les dĂ©lais les plus courts.

Grâce à ce dispositif original, imaginé et réalisé pour la première fois au monde, ce palais permet une série d'applications techniques sans limite pour la sonorisation, les éclairages et les effets spéciaux, tant pour le sport que pour les spectacles[5].

Accor Arena lors d'un concert

Historique

Le site du Palais omnisports est celui d’un terrain dépendant du fief de la Râpée où un commissaire général aux troupes fit construire au cours du XVIIe siècle au bord de la rue de Bercy un hôtel derrière lequel le terrain qui s'étendait jusqu'au chemin en bord de Seine n’était pas aménagé en jardin. Il comprenait un étang et était parcouru par le ruisseau de Montreuil de la rue de Bercy à son embouchure. L’hôtel avait disparu à la fin du XVIIIe siècle et des entrepôts de vins se sont établis à cet emplacement près de la barrière d’octroi de la Râpée, à l’extérieur de la ville de Paris pour échapper aux taxations, sur le territoire de la commune de Bercy de 1790 à 1859, année de son annexion par la ville de Paris. Au cours de la première moitié du XIXe siècle, le ruisseau de Montreuil était enserré dans un canal entre les entrepôts jusqu'à la couverture de l’ensemble de ce petit cours d’eau vers 1850[6].

  • Site du palais omnisports sur plans anciens
  • Site du palais omnisports sur plan de 1740
    Site du palais omnisports sur plan de 1740
  • Site du palais omnisports sur plan de 1838
    Site du palais omnisports sur plan de 1838

Les entrepôts actifs, jusque dans les années 1960, ont ensuite périclité.

Palais omnisports. Vue extérieure depuis les quais de Seine.

Dans les années 1970, la ville de Paris projette la construction du quartier de Paris-Bercy. Le palais omnisports fait partie de l'important projet d'aménagement urbain de ce secteur de Paris, qui devait bénéficier par ailleurs d'un accès excellent (proximité de la gare de Lyon, du RER, du métro, de la voie express rive droite et du boulevard périphérique).

En , la ville de Paris lance une consultation auprès de seize équipes d'architectes pour la réalisation du palais des sports de la ville de Paris, au sein du futur parc de Bercy.

Le , les candidats remettent leurs projets, et le la ville désigne l'équipe « Andrault-Parat, Prouvé, Guvan » lauréate du concours, et lui en confie l'exécution. Le projet est alors présenté par Le Parisien comme « le futur Vél' d'Hiv' de Paris »[7]. Le travail d'étude commença à la fin du mois d', le chantier pour les fondations s'ouvrit en , et la construction débute le , pour se terminer deux ans et demi plus tard, en [5].

Il est inauguré le par Jacques Chirac, alors maire de Paris.

Cet équipement est l'un des premiers pour le développement de l'est parisien (bien avant la bibliothèque François-Mitterrand, le parc de Bercy, et le ministère des Finances). Il marque l'entrée nord-ouest du parc de Bercy.

Des travaux de rĂ©novation sont entamĂ©s en pour une durĂ©e prĂ©visionnelle de dix-huit mois, entrecoupĂ©e par une rĂ©ouverture provisoire pour la tenue du tournoi de tennis de Paris-Bercy et d'une sĂ©rie de concerts. La fin des travaux a lieu en . Du au , l'extĂ©rieur est totalement rĂ©amĂ©nagĂ©. Les travaux reprennent ensuite du Ă  , oĂą l'intĂ©rieur est agrandi. La salle de concert passe de 17 000 Ă  20 300 places[8].

En , le groupe Accor, qui a sponsorisĂ© les travaux, obtient de la mairie de Paris de remplacer le nom du POPB par « AccorHotels Arena », dans le cadre d'un contrat de parrainage d'une durĂ©e de dix ans, plus une option de cinq ans renouvelable une fois[9] pour un montant annuel de 4,15 millions d'euros dont un million ira dans les caisses de la ville de Paris et le reste dans celles de la sociĂ©tĂ© exploitant le palais omnisports[10]. Après une dĂ©libĂ©ration du Conseil de Paris votĂ©e le [11], l'enceinte modifie son nom dĂ©but 2020 pour se rebaptiser Accor Arena (officiellement « Accor Arena POPB »), en conformitĂ© avec le rĂ©cent changement de nom du sponsor de l'enceinte[12].

Le , la place située devant la salle de concert est officiellement renommée esplanade Johnny-Hallyday[13].

Événements

Sports

Le palais omnisports de Paris-Bercy est inauguré le par une épreuve cycliste « mythique » : les Six Jours de Paris. Le football est la deuxième discipline sportive à profiter de la salle avec l'organisation les et de la première édition du tournoi intérieur de football du Paris Saint-Germain. Au mois de , toute une génération d'adolescents vibre pour une nouvelle discipline du sport cycliste qui fait son entrée dans l'enceinte du POPB. Il s'agit du « bicross », sport créé aux États-Unis dans les années 1970, aujourd'hui connu sous le sigle « BMX », pour bicycle moto-cross[alpha 2]. Les stars américaines de la discipline sont présentes ainsi que les meilleurs français. Le Bicross Indoor International de Paris-Bercy, organisé par les éditions Larivière, connaît un succès sans précédent jusqu'à sa dernière édition en . Il faut ensuite attendre le mois d' pour revoir une épreuve de BMX dans l'enceinte de Bercy, avec les Championnats du Monde UCI.

Le palais omnisports est le siège de manifestations sportives régulières ou exceptionnelles dans de nombreuses disciplines différentes dont certaines inhabituelles dans un contexte « indoor » (« salle couverte »). On peut retenir entre autres :

Jeux olympiques et paralympiques de 2024

Pendant les Jeux olympiques de Paris, la salle accueillera les épreuves de basket-ball. Pendant les Jeux paralympiques, elle accueillera le tournoi de basket en fauteuil. Durant cette période la salle portera le nom de Paris Arena.

Concerts

Le premier concert à Bercy fut donné par le groupe de heavy metal allemand Scorpions avec Mama's Boys en première partie le . Julien Clerc fut le premier chanteur français à investir la scène du palais omnisports, l'année suivante. Jeanne Mas fut la première chanteuse française à s'y produire en pour quatre soirs.

Des Ă©missions spĂ©ciales de La Fureur, prĂ©sentĂ©es par Arthur en direct sur TF1 y ont Ă©tĂ© tournĂ©es dans les annĂ©es 1990 et, le , Alessandra Sublet fĂŞte les « 30 ans de Bercy » en direct sur TF1.

One-(wo)man-shows

Records

Dire Straits, lors de sa dernière tournée mondiale On Every Street Tour, joua dix soirs à Bercy (trois en et sept consécutifs en ).

On peut notamment citer le groupe The Cure (le ) qui a interprété 42 chansons pendant plus de 3 h 30 min de concert.

Jacques Higelin demeure l'artiste qui a affiché le plus longtemps à Bercy : du au , soit un mois.

Michel Sardou, entre 1989 et 2012, chante à Bercy 91 fois. Pour sa première série de concerts en 1989, il y créa un tableau final avec Robert Hossein de plus de douze minutes avec la chanson Un jour la liberté commémorant le bicentenaire de la Révolution. En 1998, il fait installer pour la première fois une scène centrale.

Le record masculin est détenu par Johnny Hallyday, de 1987 à 2016, il chante à Bercy 95 fois[14] - [15], auquel s'ajoutent les huit concerts donnés du 5 au et du 24 au avec Les Vieilles Canailles (Eddy Mitchell et Jacques Dutronc).

Le record féminin est détenu par Dorothée, qui entre 1990 et 1996 y chanta 56 fois, dont douze fois en 1990 (du 6 au ), douze fois en 1992 (du au ), six fois en 1993 (du 2 au ), dix fois en 1994 (du 15 au ) et seize fois en 1996 (du 4 au ). Elle s'y est à nouveau produite le pour une représentation unique. Elle totalise donc 57 représentations à ce jour. Elle détient aussi le record de la manifestation musicale y rassemblant le chiffre de spectateurs le plus intimiste de la salle : 5 201 billets édités (invitations comprises) le . En , invitée pour une soirée spéciale présenté par Alessandra Sublet : les Trente ans de Bercy, elle propose pour l'occasion un titre en play-back Tremblement de Terre Remix 2015.

Jeanne Mas est la première artiste française féminine à y présenter un spectacle, c'était à l'automne 1989 avec quatre concerts.

Mylène Farmer a donné ses premiers concerts à Bercy un peu plus tard, les 7 et . En 2006, elle s'y produit du au , treize fois consécutives (le record est détenu par Dorothée en 1996 avec seize représentations). Le spectacle de Farmer étant intransportable du fait du gigantisme de la mise en scène, cela vaut à Bercy d'être le seul lieu où elle se produit lors de sa résidence Avant que l'ombre… À Bercy.
En 2013, elle se produit dix fois Ă  Bercy entre le 7 et le .
Elle totalise donc Ă  ce jour 33 reprĂ©sentations Ă  Bercy.

NTM fut le premier groupe de rap Ă  remplir une salle de 17 000 places en France, Ă  l'occasion de cinq concerts les 18, 19, 20, 22 et .

Koffi Olomidé fut, le , le premier chanteur africain à s'y produire et à la remplir, ouvrant ainsi le chemin aux Alpha Blondy, Papa Wemba ou encore Youssou N'Dour.

Kassav' est le premier groupe français Ă  jouer deux soirs de suite Ă  Bercy : 32 000 personnes viennent assister aux deux concerts.

Indochine est le groupe français qui a le plus joué à Bercy (en 2003, 2004, 2007, 2010, deux fois en 2006 et six fois en 2018 en remplissant toujours la salle). Il en est donc à 12 représentations à Bercy depuis 2003.

Le groupe britannique Muse a rempli six fois l'Arena en 2016 dans la nouvelle configuration de la scène en centrale rassemblant 24 000 personnes à chaque dates. Muse à rassemblé 121 800 personnes au total des 6 dates.

Autres événements

D'autres types de spectacles et de manifestations culturelles sont également organisés à Paris-Bercy : opéras, danse, spectacles sur glace, spectacles équestres, festivals d'arts martiaux, La Nuit du zapping, meetings politiques, conférences, etc.

Communication

Critiques Ă  la suite du changement de nom

Le changement de nom du « palais omnisports de Bercy » en « AccorHotels Arena » est très critiqué par certains groupes de conservation des services publics en arguant que ce type de pratiques relève d'une marchandisation du patrimoine sportif et culturel[16].

Retrait d'une campagne d'affichage

En , l'AccorHotels Arena a décidé de communiquer en collaboration avec son agence publicitaire l'agence W pour faire connaître le nouveau nom, le groupe hôtelier lance une campagne d'affichage dans le métro parisien. Elle intègre des mentions telles que « Le seul lieu où on peut peloter des stars sans se soucier des conséquences » jugées sexistes par certains internautes[17] et par Christophe Najdovski[18]. Une campagne de pétition dénonce l'utilisation d'un « lexique de l'agression sexuelle et de la soumission forcée » et dénonce une violence banalisée et le renforcement d'un climat de misogynie[19]. Devant la polémique, les affiches sont retirées du métro parisien à la demande de la mairie de Paris[19] - [20].

Identité visuelle

  • Ancien logo (annĂ©es 1990?)
    Ancien logo (années 1990?)
  • Ancien logo (2000)
    Ancien logo (2000)
  • Ancien logo (2005 - 2014) crĂ©Ă© par Étienne Robial
    Ancien logo (2005 - 2014) créé par Étienne Robial[21]
  • Ancien logo (2015)
    Ancien logo (2015)
  • Ancien logo (2015 - 2020)
    Ancien logo (2015 - 2020)
  • Logo actuel
    Logo actuel

Projet Arena II

Dans le cadre du projet parisien des Jeux olympiques d'Ă©tĂ© de 2024, il est prĂ©vu de construire une Arena II d'une capacitĂ© de 7 000 Ă  8 000 places Ă  cĂ´tĂ© de la salle actuelle pour accueillir la lutte et une partie de la compĂ©tition de basket-ball[22]. En , la mairie de Paris annonce que ce projet, contestĂ© Ă  cause de la rĂ©duction prĂ©vue des espaces verts, sera finalement construit porte de la Chapelle[23].

Phantom

InaugurĂ© le , Phantom est l'endroit sous l'Accor Arena d'une capacitĂ© de 3 400 places, crĂ©Ă© par Paris Society (appartenant au groupe Accor), dĂ©diĂ© Ă  de la programmation musicale nocturne (ayant lieu entre 23 h et 6 h) mais pas uniquement[24]. Phantom est le rĂ©sultat de la rĂ©habilitation de la salle Marcel-Cerdan, une annexe de l'ancien palais omnisports, qui servait de salle de stockage[25]. L'objectif de Phantom est aussi d'ĂŞtre un endroit dĂ©diĂ© aux aftershows des Ă©vĂ©nements qui ont eu lieu dans la salle principale de l'Accor Arena[26].

Notes et références

Notes

  1. Nom qui est aussi celui de la société d'économie mixte qui gère le lieu.
  2. La lettre « X », image d'une croix de saint André, remplace le « C » initial de « cross », mot anglais pour « croix ».

Références

  1. « La Ligne Bleue N°41 », sur hockeyfrance.com,
  2. « Changement de nom pour l'AccorHotels Arena », sur France Bleu, (consulté le ).
  3. Denis Cosnard, « Le torchon brûle entre les actionnaires de l’Accor Arena de Paris », sur lemonde.fr, (consulté le )
  4. Boris Manenti, « Concert et plus si affinité », L'Obs, no 3031,‎ , p. 88-90 (ISSN 0029-4713)
  5. « Palais omnisports de Paris Bercy : présentation », sur evene.fr.
  6. Lucien Lambeau, Histoire des communes annexées à Paris, Ernest Leroux, , 577 p. (lire en ligne).
  7. « Dans le rétro. Février 1984 : la naissance de Paris Bercy », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  8. « L'AccorHotels Arena inauguré ce mercredi », sur lesechos.fr, .
  9. « Paris : le palais omnisports de Bercy sera rebaptisé Accorhotels Arena », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  10. Alain Mattei, « AccorHotels va payer 4,15 millions d'euros par an pour le naming de Bercy », sur eurosport.fr, (consulté le ).
  11. Délibération au Conseil de Paris.
  12. « Ne l’appelez plus Accor Hôtels Arena », sur SportBusiness.Club, (consulté le ).
  13. « Hommage à Johnny Hallyday : une esplanade à son nom et une sculpture inaugurées à Bercy », sur Franceinfo, (consulté le ).
  14. http://www.hallyday.com/Son/Tournee/tournee.html / consulté le 9 août 2021.
  15. « Détail des tournées », sur hallyday.com.
  16. « Le POPB renommé AccorHotels Arena : stop au naming, c'est une menace pour notre mémoire », sur nouvelobs.com.
  17. « Le flop de la semaine : la campagne de l'Accor Hotels Arena », sur strategies.fr (consulté le ).
  18. « Photos. Cette publicité de AccorHotels Arena à Paris est accusée de sexisme », sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
  19. « Les publicités "sexistes" de Paris-Bercy retirées du métro », sur metronews.fr, .
  20. « Accor Hotels Arena : La campagne sexiste pour le nouveau Bercy va être retirée », sur ozap.com, .
  21. « Etienne Robial », sur on-off-productions.com (consulté le ).
  22. « JO 2024 : une nouvelle arena à Paris-Bercy, avec ou sans les Jeux », sur sportsetsocietes.org, .
  23. « JO 2024 : l'Arena 2 sera construite porte de la Chapelle et non à Bercy », sur lemonde.fr, .
  24. Martine Robert, « Phantom, la nouvelle salle qui fait son apparition à l'Accor Arena de Bercy », sur lesechos.fr, (consulté le )
  25. Marie Amelie Marchal, « Paris : ouverture d'une nouvelle boîte de nuit sous l'Accor Arena », sur actu.fr, (consulté le )
  26. Smaël Bouaici, « Phantom, le nouveau phare de la nuit parisienne », sur telerama.fr, (consulté le )

Annexes

Articles connexes

Liens externes

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