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Robert Hossein

Abraham Hosseinoff, dit Robert Hossein, est un réalisateur, acteur, scénariste, dialoguiste et metteur en scène français, né le à Paris 12e (Seine) et mort le à Essey-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle).

Robert Hossein
Description de cette image, également commentée ci-après
Robert Hossein au festival de Cannes 2018.
Nom de naissance Abraham Hosseinhoff
Naissance
Paris 12e
Nationalité Drapeau de la France Française
Décès (à 93 ans)
Essey-les-Nancy
Profession Acteur
Réalisateur
Scénariste
Films notables Toi, le venin
Madame Sans-Gêne
Angélique Marquise des Anges
Prêtres interdits
Les Misérables

Biographie

Enfance

Robert Hossein naît le dans le 12e arrondissement de Paris (Seine). Son père, André Hossein (né Aminoullah Hosseinoff) (1905-1983) est un compositeur d'origine irano-azéri, de confession zoroastrienne[1] - [2] - [3], né russe en 1905 à Samarcande (ou à Achgabat[Note 1] - [4]). Minkowski, son grand-père maternel, juif, doit sa survie à sa générosité : au moment de la révolution russe, il réussit à s'échapper et à gagner Berlin avec sa femme et sa fille Anna grâce à la clémence des étudiants prorévolutionnaires nourris par ses soins pendant les années précédant la révolution[5]. Sa mère, Anna Mincovschi est une comédienne native de Soroca (Bessarabie[6] - [Note 2], ville en Moldavie aujourd'hui)[5].

La famille loge au dernier étage, rue de Vaugirard et vit très modestement. « Je suis né pauvre avec une cervelle de riche »[7]. Robert Hossein est placé en pension par ses parents, mais se retrouve fréquemment renvoyé lorsque ses parents sont dans l'incapacité de régler la pension. Il arrête[7] l’école après le certificat d’études primaires, regrettant par la suite de n'être qu'un « autodidacte ».

Au moment de la fin de la Seconde Guerre mondiale, il vivote dans le quartier Saint-Germain-des-Prés où il croise Jean-Paul Sartre, Jean Genet ou Boris Vian. Il cherche à se lancer dans le métier de comédien et, pour cela, suit très tôt des cours de théâtre, auprès notamment de René Simon et de Tania Balachova. Ses débuts sont modestes, en 1948, il commence à obtenir de petits rôles au cinéma, faisant de la figuration dans le film Le Diable boiteux de Sacha Guitry. Grâce à un rôle dans la pièce Les Voyous qu’il écrit et met en scène au théâtre du Vieux-Colombier, il obtient ainsi son premier succès d'estime à seulement 19 ans.

Carrière au théâtre

Il se dirige un temps vers la mise en scène et fait briller le théâtre du Grand-Guignol de ses derniers feux, en association avec Frédéric Dard, avec notamment Docteur Jekyll et Mister Hyde, La Chair de l'orchidée d'après James Hadley Chase, ou encore L'Homme traqué, d'après Francis Carco.

Il prend en charge en 1970 le théâtre populaire de Reims, expérimentant un théâtre traité comme un véritable spectacle cinématographique, usant de l'accroche « du théâtre comme vous n’en voyez qu’au cinéma. »[7].

Robert Hossein en 1975.

En 1973, Isabelle Adjani joue avec sa troupe La Maison de Bernarda Alba de Federico García Lorca, qui la consacre (elle entre à la Comédie-Française aussitôt après). Robert Hossein l’avait repérée dans un café proche du Conservatoire à Paris et réussi à convaincre les parents de la jeune comédienne à la laisser partir pour Reims.

Outre Isabelle Adjani, il fait jouer toute une génération montante de jeunes comédiens qui deviendront connus par la suite : Isabelle Huppert (Pour qui sonne le glas, d’après Ernest Hemingway), Anémone (La Prison, d’après Georges Simenon), Jacques Villeret (Les Fourberies de Scapin, de Molière) et Jacques Weber (Crime et châtiment et Les Bas-Fonds).

Ses pièces à Reims sont de plus en plus spectaculaires, nécessitant toujours plus de moyens et donc de financements, au point qu'en 1976 les autorités publiques locales décident de ne plus suivre. Robert Hossein quitte alors la scène rémoise et retourne dans la capitale où il crée sa propre compagnie.

À son retour à Paris, Robert Hossein se lance dans une série de ce qu'il nomme « les grands spectacles » au Palais des Sports et au Palais des Congrès. Ce sont des superproductions spectaculaires, avec un nombre important de comédiens et de figurants, une débauche de moyens dans la pyrotechnie, la sonorisation, la projection, afin d'immerger les spectateurs au cœur du spectacle.

La première de ses superproductions est en 1975 La Prodigieuse Aventure du cuirassé Potemkine coécrit avec les historiens Alain Decaux et Georges Soria. Avec André Castelot, ceux-ci accompagneront Robert Hossein dans ses plus grandes productions: Notre-Dame de Paris (1978), Danton et Robespierre (1978), Les Misérables (1980), Un homme nommé Jésus (1983), La Liberté ou la mort (1988), Je m’appelais Marie-Antoinette (1993) et 1940-1945: de Gaulle, celui qui a dit non (1999). La comédie musicale Les Misérables connaît un grand succès, puis est reprise dans le West End et ensuite à Broadway.

En 1987, il innove dans son spectacle L’Affaire du courrier de Lyon. Dans cette reconstitution d'un procès de cours d'assises, il fait participer les spectateurs à la pièce, certains ont la possibilité de prendre partie : cent d'entre eux, les premiers à avoir levé le doigt, sont invités à prendre place sur le plateau pour former un jury populaire ; le procès achevé, ils n'ont que dix secondes pour voter à l'aide d'un boitier électronique mis à leur disposition sur la culpabilité de l'accusé de la pièce. Le vote est affiché sur des écrans. Six ans plus tard dans le spectacle Je m’appelais Marie-Antoinette, c'est tout le public qui est invité lors de l'entracte à voter sur le sort de la reine déchue à l'issue de son procès. Il réitère le procédé dans L’Affaire Seznec, un procès impitoyable en 2010.

L'apogée de la démesure de ses grands spectacles est atteinte en 2004 avec Ben-Hur : 500 figurants, 13 millions d’euros de budget et la mythique course de chars du film homonyme reconstituée au Stade de France par sept chars tirés par vingt-huit chevaux.

Mais ses grands spectacles ont de moins en moins de succès. En 2000, il accepte la proposition de l’industriel François Pinault à diriger le théâtre Marigny dont l'homme d'affaires possède la concession. Robert Hossein renoue alors avec des pièces de facture classique, faisant notamment jouer Isabelle Adjani dans l'adaptation de La Dame aux camélias. Il quitte huit ans plus tard la direction du théâtre Marigny.

Il lance alors deux derniers grands spectacles marqués par sa foi religieuse : N’ayez pas peur ! Jean Paul II en 2007 au Palais des Sports, et Une femme nommée Marie, créé pour une représentation unique en , joué devant 25 000 spectateurs et 1 500 malades à Lourdes.

En 2015, avec Stéphane Bern et Ève Ruggieri, il prête sa voix à la narration du spectacle Le Fabuleux Noël du château de Maintenon, dans la scène (supprimée en 2019) retraçant la venue de Churchill au quartier général que l'amiral Darlan y avait installé.

Carrière au cinéma

Robert Hossein commence sa carrière cinématographique en 1948 dans Le Diable boiteux, de Sacha Guitry, où il tient un petit rôle de figuration. Sa carrière s'accélère avec le film de Jules Dassin, Du rififi chez les hommes. Ensuite, il affronte Jean Gabin, devient un des acteurs favoris de Roger Vadim, travaille avec Yves Allégret, Alexandre Astruc, Édouard Molinaro, Mauro Bolognini, Nadine Trintignant, Christian-Jaque, Claude Autant-Lara et Julien Duvivier.

En 1955, il réalise son premier film, Les salauds vont en enfer, adaptation de la pièce de théâtre[8] de son ami Frédéric Dard, dans lequel il est également acteur. Après Pardonnez nos offenses, qu'il réalise en 1956, et Toi le venin (avec Marina Vlady et la sœur de celle-ci, Odile Versois), il incarne en 1964 un héros romantique, Joffrey de Peyrac, dans Angélique, Marquise des anges, puis dans trois autres films de la série (il y en a cinq en tout mais Robert Hossein n’apparaît que dans quatre d'entre eux). Dans un registre plus intimiste, il est l'un des interprètes de La musica de Marguerite Duras, en 1967. En 1968, il retrouve Michèle Mercier, sa partenaire des Angélique, pour La Seconde Vérité de Christian-Jaque puis dans Une corde, un colt…, western français qu'il réalise et interprète.

De sa filmographie, on retient surtout — c'est l'avis de Robert Hossein — Le Vampire de Düsseldorf, film sobre et prégnant, qu'il réalise et interprète avec Marie-France Pisier, sa compagne d’alors.

Robert Hossein au Festival de Cannes 1992.

Il multiplie les apparitions comme acteur, notamment dans Le Casse, d'Henri Verneuil. En 1973, il joue le prêtre et amant de Claude Jade dans l'émouvant Prêtres interdits de Denys de La Patellière ; L'Aurore écrit : « remarquablement interprété par Robert Hossein dont c'est un des meilleurs rôles. » Il a joué avec Johnny Hallyday dans Point de chute, qu'il réalise.

En 1981, il fait un retour remarqué dans Les Uns et les Autres de Claude Lelouch[9]. Toujours au cinéma : l'année suivante, Hossein dirige une version monumentale du roman de Hugo, Les Misérables, où il n'apparaît pas, et en 1986 il se met en scène aux côtés de son épouse Candice Patou dans Le Caviar rouge, adaptation par son ami et complice des débuts, Frédéric Dard, de sa propre œuvre. Ensuite il a pour partenaire Emmanuelle Béart dans Les Enfants du désordre de Yannick Bellon (1989), et joue un ancien aviateur, pygmalion de la débutante Audrey Tautou dans Vénus Beauté (Institut), de Tonie Marshall, en 1999.

En 2009, il joue une scène aux côtés de Jean-Paul Belmondo dans le film Un homme et son chien réalisé par Francis Huster.

Il apparaît pour la dernière fois au cinéma en 2020, dans le film L’amour c’est mieux que la vie du réalisateur Claude Lelouch.

Famille

Robert Hossein épouse Marina Vlady, le , avec qui il a deux fils, Igor et Pierre. Un de ses fils est devenu bouddhiste et un autre semblait attiré par l’islam[5].

À 34 ans, il épouse le la future psychanalyste Caroline Eliacheff, fille de Françoise Giroud, alors âgée de 15 ans, qui avait quitté sa famille à 14 ans pour le suivre. Avec elle, il a un fils, Nicolas, né en 1963 et devenu Aaron Eliacheff, rabbin à Strasbourg où il donne des cours de religion[10] - [11] - [12].

En 1973, il partage la vie d'une jeune comédienne âgée de 22 ans, Michèle Watrin (qui incarnait la cousine de Claude Jade dans Prêtres interdits) avant que celle-ci ne trouve la mort l'année suivante, peu avant leur mariage prévu, dans un accident de voiture où Robert Hossein est blessé[13].

Sa dernière épouse et veuve est Candice Patou[14]. Leur union a été célébrée le à Reims. Ils ont eu un fils prénommé Julien.

Religion

Dans les années 1970, Robert Hossein se lie d'amitié avec l'aumônier du théâtre populaire de Reims dont il a la charge[5]. Un jour qu'il bénissait son fils Julien, il lui dit : « Puisque tu es ici, trempe-toi un peu ! »[5].

Fils d'une Juive russe et d'un Azéri converti au zoroastrisme, il se fait baptiser dans la religion catholique alors qu'il a près de 50 ans[15] après le baptême de son propre fils Julien[16].

En 2007, il présente une pièce intitulée N'ayez pas peur portant sur la vie de Jean-Paul II[17]. Il voue une dévotion toute particulière à sainte Thérèse de Lisieux[18]. En , il est reçu par le pape François, sur la place Saint-Pierre à Rome. Il confie alors à Radio Vatican sa motivation pour la défense d'un théâtre populaire « qui permette aux jeunes de trouver des perspectives de culture, de sens et de foi »[15].

Mort

Tombe de Robert Hossein au cimetière de Vittel (Vosges).

Robert Hossein meurt le , au lendemain de son 93e anniversaire, à la clinique d'Essey-lès-Nancy à la suite d'un problème respiratoire lié à la Covid 19[19] - [20] - [21] - [22].

Après des obsèques en l'église Saint-Rémy, il est inhumé le dans l'intimité familiale au cimetière de Vittel, dans les Vosges[23]. Une messe d'hommage est célébrée le en l'église Saint-Sulpice de Paris par l'archevêque Aupetit[24] - [25] et retransmise en direct par la chaîne de télévision KTO, sur son antenne et sur son site ktotv.com[26].

Filmographie

Réalisateur

Cinéma

Télévision

Théâtre

Auteur

Robert Hossein du temps où il était directeur du théâtre Marigny.
Robert Hossein devant son théâtre en 2007.

Comédien

Metteur en scène

Metteur en scène de grands spectacles

Participations à d'autres mises en scène

  • 2013 : De Gaulle, en grand, participation à la création du spectacle en mapping vidéo de Christophe Marlard[28], mémorial Charles-de-Gaulle
  • 2014 : De Gaulle, en grand, participation à la création de la saison 2 du spectacle de Christophe Marlard[28], mémorial Charles-de-Gaulle
  • 2014 : Napoléon, bicentenaire de la bataille de Reims, participation au spectacle en mapping vidéo de Christophe Marlard
  • 2015 : De Gaulle, en grand, collaboration à la création de la saison 3 du spectacle de Christophe Marlard[28], mémorial Charles-de-Gaulle

Distinctions

Décorations

Robert Hossein est promu commandeur de l'ordre national de la Légion d'honneur le au titre de « auteur dramatique, comédien, metteur en scène »[29]. Il avait été nommé chevalier le au titre de « metteur en scène; 41 ans d'activités théâtrales, cinématographiques et de services militaires »[30] et promu officier le au titre de « auteur dramatique et metteur en scène »[31].

Il est promu grand officier de l'ordre national du Mérite le au titre de « metteur en scène, réalisateur, scénariste, dialoguiste »[32]. Il avait été promu commandeur le au titre de « comédien, metteur en scène »[33].

Il est commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres[34].

À Monaco, Robert Hossein est promu commandeur de l'ordre du Mérite culturel le [35].

Hommages

Robert Hossein est titulaire du prix Orange du Festival de Cannes en 1963, du prix Dominique de la mise en scène pour La Liberté ou la mort et l'ensemble de son œuvre en 1988, d'un Molière d'honneur en 1995 et de la médaille de la Ville de Paris, échelon grand vermeil en 2000, du prix Grand Siècle décerné par le groupe Laurent-Perrier en 2000, en 2002 du titre de « Pape du spectacle » décerné par le château Pape Clément pour l'ensemble de sa carrière, de la médaille d'honneur de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD), du prix du « Poisson d'argent » au Vatican dans le cadre du Festival international du film catholique (es) pour son spectacle Une femme nommée Marie en 2012[34] - [36].

En 2014, Robert Hossein a été fait citoyen d'honneur[37] de Vittel et son nom a été donné à un square de la ville[37].

En 2020, Robert Hossein a reçu le prix du festival de cinéma en Ukraine[38].

Publications

Romans

Autres publications

Notes et références

Notes

  1. Malgré les déclarations de Robert Hossein, l'acte de mariage de son père donne comme lieu de naissance Ashgahd, rectifié, par jugement du tribunal de grande instance de la Seine, en Echghabad. Il s'agit probablement d'Achgabat qui se situe à proximité de la frontière avec l'Iran.
  2. Selon son acte de mariage no 1086, Paris.

Références

  1. « Mort de Robert Hossein, l’éternel repos d’un guerrier du théâtre et du cinéma », sur Le Figaro (consulté le )
  2. « Robert Hossein, deus ex machina du spectacle populaire », sur France 24,
  3. « Décès du comédien et metteur en scène Robert Hossein », sur Le Courrier picard, (consulté le ).
  4. « Hossein André », sur Les gens du cinéma (consulté le ).
  5. « ROBERT HOSSEIN et son fils le rabbin Aaron ELIACHEFF............. », sur www.dafina.net, (consulté le )
  6. Partie orientale de la Moldavie historique
  7. Brigitte Salino, « Robert Hossein, acteur et metteur en scène de la démesure, est mort », Le Monde, no 23635,‎ , p. 22 (lire en ligne).
  8. Les salauds vont en enfer est d'abord une pièce de théâtre créée à Paris en 1954 et d'ailleurs mise en scène par Robert Hossein. Pièce et film donneront naissance à un roman qui paraîtra aux éditions Fleuve noir en 1956.
  9. Dictionnaire du cinéma français, collection Références Larousse, 1987
  10. Interview par Marie-Laure Delorme, « "Ma mère, Françoise Giroud" », sur lejdd.fr, 8 janvier 2011, modifié le 19 juin 2017 (consulté le )
  11. « Françoise Giroud « la patronne c’était elle », par Sarah Cattan », sur Tribune Juive, (consulté le ).
  12. « Communautés du Bas-Rhin - Strasbourg », sur judaisme.sdv.fr (consulté le ).
  13. « Inter actualités de 19 heures du 2 août 1974 », sur Ina.fr, Institut national de l'audiovisuel (consulté le ).
  14. Brigitte Salino, « Robert Hossein, acteur et metteur en scène de la démesure, est mort », sur LeMonde.fr, (consulté le ).
  15. « Robert Hossein, un artiste à la recherche de l'amour de Dieu », sur archivioradiovaticana.va (consulté le ).
  16. « Mort de Robert Hossein, héraut du théâtre populaire et de la foi », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  17. « cyberpresse.ca ».
  18. « Ktotv ».
  19. « Le comédien et metteur en scène Robert Hossein est mort », sur BFMTV.com.
  20. « Décès du comédien et metteur en scène Robert Hossein à l'âge de 93 ans », sur La Dépêche du Midi.
  21. « Robert Hossein sera inhumé à Vittel dans l'intimité familiale », sur lefigaro.fr (consulté le ).
  22. « Mort du comédien et metteur en scène Robert Hossein », sur lepoint.fr, (consulté le ).
  23. « Robert Hossein : Le mystère de ses obsèques ! - France Dimanche », sur www.francedimanche.fr, (consulté le )
  24. « Brigitte Macron, Mélanie Page... les personnalités réunies pour un dernier adieu à Robert Hossein », sur FemmeActuelle.fr, (consulté le ).
  25. « Mort de Robert Hossein : l'émotion de sa veuve Candice et ses fils pour un nouvel hommage à Paris », sur purepeople.com, (consulté le ).
  26. « Mort de Robert Hossein : des obsèques intimes avant une messe commémorative « pour le public » », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
  27. « La collection d'affiches de l'Association de la Régie Théâtrale ».
  28. Penseur de prod, mapping vidéo, film publicitaire et institutionnel, « De Gaulle, en grand, saison 2 (2014) », sur penseurdeprod.fr (consulté le )
  29. Décret du 14 avril 2006 portant promotion.
  30. Décret du 31 décembre 1989 portant promotion et nomination.
  31. Décret du 13 juillet 2000 portant promotion et nomination.
  32. Décret du 29 mai 2019 portant élévation aux dignités de grand'croix et de grand officier.
  33. [https://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnTexteDeJorf?numjo=PREX9410898D Décret du Décret du 14 mai 1994 portant promotion et nomination portant promotion et nomination].
  34. Who's Who in France; édition 2015,p. 1146-1147.
  35. Ordonnance Souveraine no 800 du 18 novembre 2006 par le Prince Albert II.
  36. Robert Hossein primé au Vatican.
  37. Doris Henry et notre correspondante à Vittel, « Mort de Robert Hossein : la ville de Vittel salue «un grand homme» », sur leparisien.fr, (consulté le )
  38. « vittel. Robert Hossein reçoit un prix international », sur www.estrepublicain.fr (consulté le )

Liens externes

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