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Serge Korber

Serge Korber est un rĂ©alisateur français, nĂ© le dans le 18e arrondissement de Paris et mort le dans le 13e arrondissement de la mĂȘme ville.

Serge Korber
Serge Korber en 2021.
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Biographie

Jeunesse

Né à Paris d'une modeste famille de confession juive, Serge Korber passe une partie de la guerre caché par une famille protestante du Chambon-sur-Lignon, ses parents étant réfugiés en zone libre à Montauban[1]. Ayant quitté l'école dÚs 14 ans aprÚs le certificat d'études pour devenir apprenti tapissier, il découvre, par ses amis au sein des Jeunesses communistes qu'il intÚgre un temps, la lecture et les grands poÚtes, notamment au travers des chanteurs poétiques et prolétariens de l'époque. Il découvre la littérature américaine en lisant Henry Miller, puis Ernest Hemingway, William Faulkner, John Steinbeck, William Saroyan ; suivra la littérature française.

CarriĂšre

Serge Korber entre Ă  l'Ă©cole Boulle, section tapissier, oĂč il apprend l'histoire de l'art. FrĂ©quentant les bars de la Contrescarpe dont le bistrot La Choppe, il y rencontre bon nombre des artistes dĂ©butant alors dans les nombreux cabarets du quartier (Ricet Barrier, Boby Lapointe, Daniel Laloux, Henri Serre, Jacques Florencie
). En 1955, avec l’un d’entre eux, Jean-Pierre Suc et quelques amis, il crĂ©e dans une ancienne bonneterie de la rue Descartes le cabaret Le Cheval d’Or oĂč s'invitent des artistes dĂ©butants : Raymond Devos, Pierre Perret, Anne Sylvestre, Pierre Richard, ou encore Boby Lapointe. Il y cĂŽtoie aussi François Truffaut, cinĂ©aste dĂ©butant, qui y engagera notamment Henri Serre pour Jules et Jim, Boby Lapointe pour Tirez sur le pianiste et bon nombre des artistes du lieu pour le film Tire-au-flanc 62 qu'il co-rĂ©alise avec Claude de Givray, ce qui l’introduit pleinement dans le milieu de la Nouvelle Vague.

ParallĂšlement Ă  ses activitĂ©s au Cheval d'Or, il frĂ©quente assidĂ»ment la cinĂ©mathĂšque : son rĂȘve est d'Ă©crire et rĂ©aliser des films. Il entre en contact avec Guy Debord, le rĂ©cent fondateur de l'Internationale situationniste qui, Ă  l’automne 1958 vient lui-mĂȘme d’ouvrir, avec la complicitĂ© de son Ă©pouse MichĂšle Bernstein et de leur ami chanteur Jacques Florencie, le cabaret La MĂ©thode situĂ© Ă©galement rue Descartes mais Ă  la carriĂšre plus Ă©phĂ©mĂšre que Le Cheval d'Or. Il participe mĂȘme Ă  l'enregistrement d'une confĂ©rence sur magnĂ©tophone destinĂ©e Ă  une manifestation du mouvement situationniste programmĂ©e avec le Stedelijk Museum d'Amsterdam[2], et Debord le prend alors comme premier assistant du court mĂ©trage Sur le passage de quelques personnes Ă  travers une assez courte unitĂ© de temps dont la premiĂšre partie du tournage s'effectue en [3]. Cependant, en aoĂ»t, au moment de dĂ©buter le montage, un diffĂ©rend Ă©clate entre les deux hommes et Korber se trouve Ă©cartĂ© par Debord qui le remplace et ne le fera pas figurer au gĂ©nĂ©rique[4].

En 1960, Jean-Michel Boris, directeur de l'Olympia lui propose de travailler avec lui. Il va collaborer aux derniers spectacles d'Édith Piaf et de JosĂ©phine Baker. En 1962, Claude de Givray et François Truffaut lui demandent d'ĂȘtre comĂ©dien dans le film Tire-au-flanc 62. Il est co-auteur et assistant de Claude de Givray sur son deuxiĂšme film La Grosse TĂȘte Ă©crit par Truffaut. La mĂȘme annĂ©e AgnĂšs Varda lui offre un rĂŽle dans ClĂ©o de 5 Ă  7 ; il est « Plumitif », le parolier des chansons mises en musique par Michel Legrand, qu'il mettra en scĂšne bien des annĂ©es plus tard pour ses concerts au ChĂątelet et au Palais des CongrĂšs. Toujours en 1962, il rencontre grĂące Ă  François Truffaut le producteur Pierre Braunberger qui va produire, de 1962 Ă  1964, ses huit premiers courts mĂ©trages[5] primĂ©s dans de nombreux festivals.

Braunberger refuse de lui produire son 9e court métrage et c'est Marin Karmitz qui débutant sa carriÚre de producteur le produit en empruntant l'argent à son pÚre. Ce film, Un jour à Paris avec Jean-Louis Trintignant, va lui porter chance ; il est vendu dans le monde entier et Marin Karmitz devient le grand producteur distributeur : MK2. La rencontre de Serge Korber et Jean-Louis Trintignant, devenu vedette aprÚs Et Dieu
 créa la femme, permet à Serge Korber de réaliser son premier long métrage, Le Dix-septiÚme Ciel, et d'entrer dans le club des grands metteurs en scÚne.

TrÚs remarqué, il se voit confier par le producteur Alain Poiré la réalisation de l'adaptation par Michel Audiard du roman de René Fallet, intitulée Un idiot à Paris. Satisfait de cette collaboration, Audiard lui offre par la suite le scénario de La Petite Vertu. Suivent deux films avec Louis de FunÚs et deux avec Annie Girardot, grandes stars de l'époque. Avec la derniÚre, Korber adapte un roman de Catherine Paysan, Les Feux de la Chandeleur, un drame dans lequel Girardot incarne en 1972 la mÚre de Claude Jade et de Bernard Le Coq, délaissée par son mari Jean Rochefort.

En 1975, Serge Korber bouscule la censure à la suite d'un pari avec François Truffaut et Claude Chabrol en réalisant une suite de films pornographiques. Il utilise le pseudonyme de John Thomas.

Il réalise quelques autres longs métrages puis se tourne dans les années 1980 vers la télévision. En 1996, il revient au cinéma avec l'adaptation de la bande dessinée de Binet, Les Bidochon. Depuis les années 2000, Serge Korber est essentiellement réalisateur et producteur de documentaires, notamment sur Maurice Béjart, Jean Gabin, Jean-Louis Trintignant ou Boris Vian.

Serge Korber est notamment connu pour avoir tenté de moderniser le personnage de Louis de FunÚs dans deux films qui connaßtront un succÚs relatif au regard de la popularité de l'acteur à cette époque : L'Homme orchestre et Sur un arbre perché en 1970.

Frédéric Bonnaud, directeur de la CinémathÚque française, écrit :

« Trop souvent privé de metteur en scÚne, Louis de FunÚs, à part Gérard Oury et Edouard Molinaro, trouve son troisiÚme en la personne de Serge Korber. Le premier, Gérard Oury, a conçu des comédies à grand spectacle de plus en plus audacieuses et délirantes. Le deuxiÚme, Edouard Molinaro, a mis la science de sa technique au service de la comédie Oscar et Hibernatus. Le troisiÚme, Serge Korber, le plus expérimental a accédé au profond désir de renouvellement du maßtre clown, en mettant au point deux prototypes qu'on gagnera à redécouvrir L'Homme orchestre et Sur un arbre perché. »

Vie privée

Tombe de Serge Korber au cimetiĂšre du PĂšre-Lachaise (division 40).

Serge Korber est marié, de 1962 jusqu'à sa mort, à Marie-Claire Korber[6] ; ils ont un fils, Thomas, qui est scénariste[7]. Sa femme Marie-Claire est la chef monteuse de presque tous ses films. Il vécut de nombreuses années à Brens, dans le Tarn, dans une maison dont il s'était séparé en 2019.

Mort

Serge Korber meurt à Paris[8] - [9] le , à l'ùge de 85 ans[10]. Coïncidence remarquable, le jour de sa mort, France 3 avait programmé l'un de ses films les plus connus, L'Homme orchestre, comme film du dimanche aprÚs-midi.

Ses obsĂšques se tiennent le au crĂ©matorium du PĂšre-Lachaise Ă  Paris[11], oĂč il est incinĂ©rĂ©. Ses cendres sont ensuite inhumĂ©es dans la 40e division du cimetiĂšre.

Pas de Censure au début et Justice à la fin

En 1975, François Truffaut, Serge Korber et Claude Chabrol Ă©voquent lors d’une rĂ©union amicale le poids de la censure. Ils font un pari, que Serge Korber qualifie avec le recul d’un peu stupide : rĂ©aliser un film pornographique. Le nom de Serge Korber est tirĂ© au hasard parmi les trois rĂ©alisateurs et il rĂ©alise L'Essayeuse, l’idĂ©e Ă©tant de faire reculer la censure[12]. Le film Ă©tait auto-produit, et les distributeurs, UGC et SND, trĂšs demandeurs. Parce que L’État introduit en 1975 le classement X pour les films pornographiques, L'Essayeuse a obtenu le 21 aoĂ»t 1975 un Visa de ContrĂŽle No 44432 par le CNC[13]. En cinq semaines de projections dans une dizaine de salles de cinĂ©ma (Date de sortie en salle: le 09 septembre 1975), prĂšs de 69 000 spectateurs se sont bousculĂ©s pour voir ce film.

45 associations de vertus se liguent et vont porter plainte contre le film auprĂšs de la justice afin que ce dernier soit retirer des cinĂ©mas. Le ComitĂ© de Liaison pour la dignitĂ© et de la Personne Humaine affirmeront mĂȘme : “Nous disons que ces producteurs de films devraient aller en prison et ĂȘtre empĂȘchĂ©s de nuire”. Le prĂ©sident des AFC (Associations familiales et catholiques) avait Ă©galement affirmĂ© Ă  l’époque : “Nous avons cherchĂ© un film faisant l’étalage de toutes les perversions sexuelles, bĂąti sur un scĂ©nario lamentable, bref, un film sans aucune qualitĂ© artistique, ou alibi intellectuel. L’Essayeuse correspondait parfaitement Ă  ce profil”[14]. Bien que le film ne soit pas plus obscĂšne et de mauvais goĂ»t que les autres films de ce genre, les plaignants ayant surtout voulu faire un exemple. Le 08 novembre 1976, la 17e Chambre Correctionnelle de Paris a demande la destruction du corps du dĂ©lit pour incitation Ă  la dĂ©bauche et Ă  la dĂ©pravation[15], le rĂ©alisateur aussi bien le producteur, les techniciens, les acteurs, que le scĂ©nariste sont d'abord condamnĂ©s[16] (pour atteinte Ă  la dignitĂ© humaine)[17] Ă  des amendes de 400 Ă  10 000 francs pour outrages aux bonnes mƓurs. La condamnation sera confirmĂ©e et amplifiĂ©e en appel le , les amendes allant alors de 3 000 Ă  18 000 francs, et la cour d'appel ordonnant, pour la premiĂšre fois en France depuis la guerre, « la saisie et la destruction du nĂ©gatif et de toutes les copies du film ayant servi Ă  commettre le dĂ©lit »[18].

Le film est interdit, sa copie brĂ»lĂ©e, et Serge Korber condamnĂ© Ă  une lourde amende. La mort de Jean Gabin le 15 novembre 1976 advient en mĂȘme temps que le jugement de la 17e Chambre Correctionnelle de Paris est rendu. Charlie Hebdo titre : « CinĂ©ma français deux morts : Jean Gabin - L'essayeuse ». MalgrĂ© les appels Ă  la rĂ©sistance ; les pornocrates marginaux ne se sont pas rĂ©voltĂ©s contre l'Ă©tat français.

Parce que la procédure pénale a pris 2 ans, Serge Korber a pu réaliser d'autres films porno dans les années 1975-1977, sous le pseudonyme de John Thomas, avec comme interprÚtes réguliers Alain Saury (son héros viril dans trois films), Richard Darbois, Bob Asklöf, Gabriel Pontello, Richard Allan, Emmanuel Pluton, Emmanuelle ParÚze, Sylvia Bourdon. Dans le film 3001 L'odyssée de l'extase il a utilisé images d'archive de L'Essayeuse: 2 scÚnes de viol d'Emmanuelle ParÚze par le gang. AuprÚs sa condamnation définitif le 10 juin 1977, Serge Korber payera une amende de 18 000 francs et aura dit adieu à la pornographie. Mais, avant sa mort, il affirme : « Je ne regrette rien, c'était trÚs amusant à faire, il n'y avait aucun vice ».

Les pornocrates demande la rehabilitation de "cet excellent film"[19] (22.06.2013) et "film martyr" de censure[14].

Filmographie

Longs métrages

RĂ©alisation (John Thomas)

  • 1975 : Hard Love, titres alternatifs : La Vie sentimentale de Walter Petit, DĂ©sir intense [n. 1]
  • 1975 : À bout de sexe, titres alternatifs : Un grand coup dans le pare-chocs, Jeunes filles perverses et Trio Ă©rotique pour la sortie allemande [n. 2]
  • 1975 : L'Essayeuse, titre alternatif : Love Play [n. 3]
  • 1975 : Dans la chaleur de Julie [n. 4]
  • 1976 : ExcĂšs, titre alternatif : Jeanne et Paul [n. 5]
  • 1976 : Hurlements de plaisir, titre alternatif : Les friandises musclĂ©es [n. 6]
  • 1977 : 3001 L'odyssĂ©e de l'extase, titres alternatifs : L’odyssĂ©e de l’extase, Odyssee EKsatse[n. 7]
  • 1977 : Cailles sur canapĂ©, titre alternatif : Le fourre-tout [n. 8].
  • 1977 : Pornotissimo[n. 9]

Courts-métrages

  • 1959 : Sur le passage de quelques personnes Ă  travers une assez courte unitĂ© de temps, assistant rĂ©alisateur du deuxiĂšme film de Guy Debord, non crĂ©ditĂ© au gĂ©nĂ©rique
  • 1962 : Un jour Ă  Paris
  • 1963 : Une chaumiĂšre et un cƓur
  • 1963 : La RentrĂ©e
  • 1963 : L’Épouse infernale
  • 1963 : Ève sans trĂȘve
  • 1963 : Delphica
  • 1964 : Altitude 8625
  • 1965 : La Dame Ă  la longue vue
  • 1965 : La Demoiselle de Saint-Florentin
  • 1966 : Studio 102

Télévision

  • 1966 : Pas de deux fĂŒr eine Nelke, court mĂ©trage pour la tĂ©lĂ©vision allemande
  • 1970 : Les EnquĂȘteurs associĂ©s, sĂ©rie tĂ©lĂ© de 5 Ă©pisodes
  • 1981 : Le Fils pĂšre, Ă©pisode de la sĂ©rie CinĂ©ma 16
  • 1983 : Un psy pour deux , Ă©pisode de la sĂ©rie CinĂ©ma 16
  • 1983 : Merci Sylvestre, sĂ©rie tĂ©lĂ© de 6 Ă©pisodes
  • 1986 : Maestro, ma non troppo
  • 1986 : Cinq Filles Ă  Paris, minisĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e
  • 1986 : Fred Connexion, tĂ©lĂ©film
  • 1986 : L'Homme au kĂ©pi noir, sĂ©rie tĂ©lĂ©
  • 1987 : Florence ou La vie de chĂąteau
  • 1987 : Le Jupon de Nemours, tĂ©lĂ©film
  • 1989 : Panique aux CaraĂŻbes (sĂ©rie)
  • 1991 : Marie Pervenche (2 Ă©pisodes)
  • 1992 : Le RĂ©veillon, c'est Ă  quel Ă©tage ?
  • 1993 : Le Galopin
  • 1994 : Au beau rivage
  • 1994 : L'Aigle et le Cheval
  • 1997 : Les Petites Bonnes

Documentaires

  • 2002 : Mademoiselle Bessy, la force d'un destin
  • 2004 : Paris romance
  • 2005 : BĂ©jart !... Vous avez dit BĂ©jart ?...
  • 2006 : Gabin intime, aristocrate et paysan
  • 2007 : Louis de FunĂšs intime
  • 2008 : Entre deux festivals, le cinĂ©ma est occupĂ©
  • 2009 : Michel Legrand
  • 2010 : Boris Vian, swing Ă  Saint-Germain des PrĂ©s
  • 2012 : Jean-Louis Trintignant, pourquoi que je vis
  • 2013 : Claude Lemesle, une vie en chansons
  • 2014 : Francis Blanche et Pierre Dac

Scénariste

Acteur

Distinctions

  • 1962 : grand prix du Festival d'Oberhausen pour Ève sans trĂšve
  • 1962 : grand prix du Festival de Sam pour Ève sans trĂšve
  • 1963 : grand prix du Festival de Manheim pour La Dame Ă  la longue vue
  • 1964 : grand prix du Festival de Cannes pour Altitude 8.625
  • 1972 : nommĂ© au prix du jury pour Les feux de la Chandeleur
  • 1972 : nommĂ© au prix de la mise en scĂšne pour Les feux de la Chandeleur
  • 1972 : nommĂ© au grand prix pour Les feux de la Chandeleur
  • 2013 : mĂ©daille d'or de la Ligue universelle du bien public[21].

Notes et références

Notes

  1. Selon CNC : 04/03/1975 N° de Visa 43631, date de sortie en salle: 17/08/1975 ; avec Richard Darbois, Anne Libert, Marcel Dalio
  2. Selon CNC : 18/08/1975 N° de Visa 44433, date de sortie en salle: 03/09/1975 ; avec Richard Darbois, Yves Collignon, Charlie Schreiner, Pierre Danny, Martine Grimaud
  3. Selon CNC : 21/08/1975 N° de Visa 44432, date de sortie en salle: 09/09/1975 ; avec Alain Saury, Isabelle Bourjac, Emmanuelle ParÚze, Liliane Lemieuvre, Pierre Danny
  4. Selon CNC : le réalisateur du film est Justin Lenoir, 18/08/1975 N° de Visa 44434, date de sortie en salle: 08/10/1975 ; avec Yves Collignon, Ellen Earl, Pierre Danny, Richard Darbois, Laure Cottereau
  5. Selon CNC : 16/06/1976 N° de Visa 45018, Date de sortie en salle: 14/04/1976 ; avec Bob Asklöf, Emmanuelle ParÚze, Pascale Duchùtel
  6. Selon CNC : 16/06/1976 N° de Visa 45017, Date de sortie en salle: 19/05/1976 ; avec Sylvia Bourdon, Bob Asklöf, Alain Saury
  7. Selon CNC : 28/03/1977 N° de Visa 46674, date de sortie en salle: 16/02/1977 ; avec Bob Asklöf, Charlie Schreiner, DaniÚle Dissoubray
  8. Selon CNC : 19/08/1977 N° de Visa 47478, date de sortie en salle: 13/07/1977 ; avec Richard Darbois, Karine Gambier, Ursula White
  9. Selon CNC : 31/01/1978 N° de Visa 47764, date de sortie en salle: 19/10/1977 ; avec Alain Saury, Bob Asklöf, Dominique Aveline, Miriam Benzerti , Karine Gambier, Barbara Moose

Références

  1. Pour tout ce paragraphe se rĂ©fĂ©rer Ă  l’émission Étonnez-moi, BenoĂźt de BenoĂźt Duteurtre du 6 mars 2021 sur France Musique.
  2. Guy Debord, ƒuvres, Quarto Gallimard, 2006, pp. 464-469.
  3. Jean-Marie ApostolidĂšs, Debord, le naufrageur, Flammarion, Paris, 2015, p. 201-202.
  4. Cf. le développement de cet incident in Guy Debord, Correspondance, volume 1, librairie ArthÚme Fayard, Paris, 1999, p. 248-249 et 251 à 257.
  5. « Serge Korber - IMDb », sur imdb.com (consulté le ).
  6. « Serge Korber : 50 ans de passion fidĂšle pour le cinĂ©ma », ladepeche.fr,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  7. AlloCine, « Thomas Korber », sur AlloCiné (consulté le ).
  8. « Fichier de l'INSEE des personnes décédées en France », sur matchid (consulté le ).
  9. « Acte de naissance », sur CinéArtistes (consulté le ) - Note. Mention de son décÚs dans le 13e arrondissement de Paris le 23 janvier 2022.
  10. « Mort de Serge Korber, réalisateur d'Un idiot à Paris et de L'Homme orchestre avec Louis de FunÚs », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  11. « Tarn. DécÚs du réalisateur Serge Korber », sur ladepeche.fr (consulté le ).
  12. « Les infortunes de la liberté », Positif, no 190, février 1977, p. 58
  13. Visas et Classification, « L ESSAYEUSE » (consulté le )
  14. « L’Essayeuse: film martyr », sur cinema-erotique.com (consultĂ© le )
  15. Marc Lemonier, Dictionnaire désolant du cinéma X: Histoire du cinéma, (lire en ligne), Autodafe
  16. « Serge Korber » (consulté le )
  17. Yves Jacquot, « L'Essayeuse », (consulté le )
  18. Histoire juridique des interdits cinématographiques en France, 1909-2001, Albert Montagne.
  19. un certain Monsieur Bier, « Le cinéma porno : un imaginaire sous surveillance » (consulté le )
  20. « Un jour, un tueur (1980) », sur unifrance.org (consulté le ).
  21. « REMISE DU 21 SEPTEMBRE 2013 », sur bien.public.over-blog.com, (consulté le )

Liens externes

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