Championnats du monde de judo 2011
La 31e Ă©dition des Championnats du monde de judo, 14es depuis l'unification des compĂ©titions masculine et fĂ©minine, se dĂ©roule Ă Paris en France du 23 au . OrganisĂ©e annuellement depuis 2009, la compĂ©tition est organisĂ©e pour la cinquiĂšme fois sur le sol parisien. DĂ©jĂ hĂŽte des Ă©ditions masculines en 1961 et 1979, de l'Ă©dition fĂ©minine 1982, et de l'Ă©dition unifiĂ©e en 1997, la capitale française accueille pour la cinquiĂšme fois un Ă©vĂ©nement planĂ©taire organisĂ© par la FĂ©dĂ©ration internationale de judo (IJF). Ce chiffre est portĂ© Ă sept si on prend en compte les Ă©ditions 1994 et 2006 des Championnats du monde par Ă©quipes. Comme lors de l'annĂ©e 1997, l'ensemble des compĂ©titions se dĂ©roule au Palais omnisports de Paris-Bercy. Ce rendez-vous se veut ĂȘtre une rĂ©pĂ©tition gĂ©nĂ©rale Ă moins d'un an des Jeux olympiques de 2012 prĂ©vus Ă Londres[3].
Sport | Judo |
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Organisateur(s) |
Fédération internationale de judo Fédération française de judo |
Ădition | 31e |
Lieu(x) | Paris, France |
Date | 23 - |
Nations | 131 |
Participants | 865 |
Ăpreuves | 16 |
Site(s) | Palais omnisports de Paris-Bercy |
Les Ă©preuves individuelles sont marquĂ©es par une nouvelle domination japonaise qui termine en tĂȘte du tableau des mĂ©dailles Ă©tabli sur la base des quatorze catĂ©gories de poids ayant donnĂ© lieu Ă une Ă©preuve. La domination nippone est toutefois moins nette que lors de l'Ă©dition 2010 organisĂ©e sur le sol japonais, puisque de 23 mĂ©dailles dont 10 en or, le bilan de l'Ă©dition 2011 se stabilise Ă 15 mĂ©dailles dont 5 en or Ă l'issue des cinq jours de compĂ©tition individuelles. Cette conclusion est ternie par les contre-performances observĂ©es dans les catĂ©gories lourdes (poids mi-lourds et poids lourds) oĂč aucun Japonais n'est sacrĂ©. Le pays dĂ©montre en revanche sa suprĂ©matie sur les poids lĂ©gers (super-lĂ©gers, mi-lĂ©gers et lĂ©gers) en enlevant cinq des six Ă©preuves comme l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente. Ă domicile, le bilan français est conforme aux objectifs fixĂ©s par les instances nationales, Ă savoir terminer deuxiĂšme nation au tableau des mĂ©dailles des Ă©preuves individuelles et remporter cinq Ă six mĂ©dailles, dont trois en or[3]. Elle Ă©gale par ailleurs le nombre de titres, quatre, remportĂ©s au mĂȘme endroit en 1997 quand elle avait failli bousculer pour la premiĂšre fois de l'histoire l'hĂ©gĂ©monie japonaise dans la compĂ©tition planĂ©taire. Au sein du groupe français, la performance du poids lourd Teddy Riner, premier judoka de l'histoire Ă remporter une cinquiĂšme mĂ©daille d'or individuelle[4], est la plus remarquĂ©e. En outre, la France s'adjuge les deux titres par Ă©quipes, ce qui place la dĂ©lĂ©gation Ă la premiĂšre place des mĂ©dailles si on combine rĂ©sultats individuels et par Ă©quipes.
En vertu de son doublé polémique chez les femmes en plus de 78 kg avec Tong Wen, faisant son retour à la compétition aprÚs avoir été blanchie malgré une pratique dopante avérée en 2009, la Chine grimpe pour la premiÚre fois de son histoire sur la troisiÚme marche du tableau des médailles[5], classement au sein duquel le Brésil (5 médailles), la Russie (4 médailles), la Corée du Sud et les Pays-Bas (3 médailles) confirment leur statut de places fortes dans la hiérarchie du judo mondial, globalement sujet à un statu quo malgré un nombre toujours élevé de délégations récompensées (vingt-trois). En revanche, l'équipe féminine cubaine et l'équipe de Mongolie, habituées à bien figurer, sont en retrait avec un bilan vierge de podium.
Six judokas parviennent Ă conserver leur titre acquis l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente : le Français Riner en plus de 100 kg, sa compatriote Lucie DĂ©cosse en moins de 70 kg, la Japonaise Haruna Asami en moins de 48 kg, l'Ouzbek Rishod Sobirov en moins de 60 kg, le Sud-CorĂ©en Kim Jae-bum en moins de 81 kg et le Grec IlĂas IliĂĄdis en moins de 90 kg.
Organisation
DÚs 2003, à l'occasion du CongrÚs de l'IJF tenu à Osaka dans le cadre des Championnats du monde, Michel Vial, président de la Fédération française de judo (FFJ) évoque une candidature de la France à l'organisation des mondiaux 2011[6]. à l'époque, le pays est candidat à l'accueil des Jeux olympiques d'été de 2012 et un tel événement, à une année du rendez-vous olympique, intéressait la FFJ[6]. Réunie en congrÚs dans le cadre des Championnats du monde 2007, l'IJF désigne à une trÚs large majorité Paris pour accueillir le rendez-vous annuel le à Rio de Janeiro, aux dépens de Hambourg en Allemagne qui se porte également candidat pour l'édition 2010[7] - [8] - [9]. Le projet français recueille en effet deux tiers des suffrages en sa faveur parmi les 180 délégués sondés.
La candidature allemande est portĂ©e lors du CongrĂšs de l'IJF par le prĂ©sident de l'Association hambourgeoise de judo Rainer Ganschow et le dĂ©lĂ©guĂ© aux sports du land de Hambourg Ernst Andreas[8] - [10]. Elle souhaite accueillir la compĂ©tition dans la Color Line Arena, utilisĂ©e quelques mois auparavant lors des Championnats du monde de handball[11], et prĂ©sente un budget total estimĂ© Ă 1 million d'euros, 500 000 euros Ă©tant d'emblĂ©e garantis par le dossier[10]. Parmi les arguments avancĂ©s figurent l'expĂ©rience de la ville en matiĂšre d'organisation de compĂ©tition de judo puisqu'elle accueille chaque annĂ©e â jusqu'en 2009 â une Ă©tape de la Coupe du monde dans la Sporthalle Hamburg. Soupçonnant des conflits d'intĂ©rĂȘt, la ville allemande, finalement dĂ©faite, souligne une dĂ©cision « injuste », s'insurgeant notamment d'avoir eu un temps de paroles rĂ©duit Ă 6 minutes et 30 secondes au lieu de 10 minutes, ce qui empĂȘche le champion olympique Udo Quellmalz, parrain de la candidature, de s'exprimer auprĂšs de l'assistance[10].
Si le programme ne compte pas les épreuves toutes catégories, disputées lors d'un championnat distinct depuis 2008, les épreuves par équipes, tenues séparément depuis 1994, font elles leur apparition. Décidée un an auparavant lors des Mondiaux de Tokyo, cette insertion vise à promouvoir l'épreuve auprÚs des instances olympiques et les convaincre de l'intégrer au programme des futurs Jeux olympiques[12].
Le budget de l'organisation de la compétition est estimée à 6 millions d'euros par Jean-René Girardot, le secrétaire général de la Fédération française de judo, qui est chargé de chapeauter la préparation de l'événement[13].
Site et billetterie
Les six jours de compétition se déroulent au Palais omnisports de Paris-Bercy, traditionnel théùtre du Tournoi de Paris, estampillé Grand Chelem par la Fédération internationale, mais également déjà hÎte de l'événement en 1997. Dans sa configuration judo, la salle peut accueillir environ 12 000 spectateurs.
La recette de billetterie a permis à l'organisation d'engranger 1 million d'euros sur les six jours de compétition. Au total, 40 700 entrées payantes sont enregistrées, auxquelles s'ajoutent 23 000 invitations et 9 000 places réservées aux délégations[14]. Le prix d'une place à l'unité pour assister à une journée de compétition s'établit entre 22 et 42 euros[15].
Couverture médiatique
Ces championnats du monde sont diffusés dans 133 pays via un signal international produit par le groupe audiovisuel français Canal+[16]. Ce signal est vendu auprÚs de 33 chaßnes étrangÚres[16].
En France, la compétition est traditionnellement diffusée sur les chaßnes à péage du groupe audiovisuel Canal+, à l'instar des Championnats d'Europe ou du Tournoi de Paris. Début 2011, le président de la Fédération française de judo s'émeut, dans une lettre ouverte adressée à ses licenciés, du manque de considération des médias français pour la retransmission de la compétition[17]. Dans ce document, il affirme n'avoir reçu aucune réponse à l'appel d'offres lancé plusieurs mois auparavant[18], en particulier de la part du groupe public France Télévisions, particuliÚrement sollicité[17]. TF1, M6 et Direct 8 n'ont également pas donné suite à cet appel[17] - [19]. La « non-popularité » du judo est la raison invoquée par son directeur des sports, Daniel Bilalian, selon Jean-Luc Rougé. Le sujet aurait été évoqué en conseil des ministres par le président de la République Nicolas Sarkozy[17]. Pour des raisons économiques, Eurosport ne se porte également pas candidat[20].
Finalement, faute de rĂ©ponse Ă l'appel d'offre, la fĂ©dĂ©ration conclut un accord avec son partenaire historique Canal+ en , lors de l'Ă©dition annuelle du Sportel se tenant Ă Monaco, une convention internationale rĂ©unissant les acteurs du sport et des mĂ©dias[21]. Ce compromis intervient sans le moindre versement de droits de diffusion, Ă charge pour Canal+ de prendre en main les frais et moyens de production[21] - [22], ce qui avait freinĂ© l'intĂ©rĂȘt d'Eurosport[20]. Cet accord implique la gestion du signal international ainsi que ceux Ă©mis pour les quatre tatamis qui sont intĂ©gralement couverts avec des moyens inĂ©dits via l'usage d'une vingtaine de camĂ©ras au total[23].
Quelques semaines avant le début des compétitions, le groupe privé s'entend finalement avec France Télévisions pour une cession d'images diffusées quotidiennement, en troisiÚme partie de soirée, aprÚs minuit, afin de proposer un résumé de la journée écoulée[24], les seules images gratuites de la compétition disponibles sur le territoire français. Ce programme est diffusé sur France 4 tandis que les combats sont diffusés en direct la journée sur Canal+ Sport, filiale du groupe Canal+[24].
Des audiences exceptionnelles pour les chaßnes françaises concernées sont observées. Diffuseur exclusif des épreuves en direct, Canal+ Sport enregistre en moyenne 350 000 téléspectateurs chaque aprÚs-midi, avec un pic d'audience remarqué de 900 000 abonnés devant leur écran lors de la finale masculine des plus de 100 kg[16], épreuve la plus attendue par le public français en raison de l'entrée en lice du champion du monde Teddy Riner. Lors de la finale de ce dernier, dimanche , la chaßne payante se place au deuxiÚme rang des programmes les plus regardés par les Français[16]. Sur le service public, 170 000 téléspectateurs sont enregistrés en moyenne chaque nuit, pour une part d'audience moyenne de 2,3 %[25].
Programme
Compétitions
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Délégations
865 sportifs sont inscrits auprÚs de la Fédération internationale de judo pour participer aux compétitions individuelles. Ces 511 hommes et 354 femmes représentent 131 délégations[26].
Liste des délégations par ordre alphabétique : total (hommes + femmes) | |||
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A. Deux représentants originaires du Kosovo, non reconnu par l'Organisation des Nations unies, participent aux compétitions sous la banniÚre de la Fédération internationale de judo[27]. |
Podiums
Femmes
Ăpreuves | Or | Argent | Bronze |
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Moins de 48 kg Poids super-légers |
Haruna Asami (JPN) | Tomoko Fukumi (JPN) | Ăva Csernoviczki (HUN) Sarah Menezes (BRA) |
Moins de 52 kg Poids mi-légers |
Misato Nakamura (JPN) | Yuka Nishida (JPN) | Ana Carrascosa (ESP) Andreea ChiĆŁu (ROU) |
Moins de 57 kg Poids légers |
Aiko Sato (JPN) | Rafaela Silva (BRA) | Corina CÄprioru (ROU) Kaori Matsumoto (JPN) |
Moins de 63 kg Poids mi-moyens |
GĂ©vrise Emane (FRA) | Yoshie Ueno (JPN) | Anicka van Emden (NED) UrĆĄka Ćœolnir (SVN) |
Moins de 70 kg Poids moyens |
Lucie DĂ©cosse (FRA) | Edith Bosch (NED) | Yoriko Kunihara (JPN) Anett MĂ©szĂĄros (HUN) |
Moins de 78 kg Poids mi-lourds |
Audrey Tcheuméo (FRA) | Akari Ogata (JPN) | Mayra Aguiar (BRA) Kayla Harrison (USA) |
Plus de 78 kg Poids lourds |
Tong Wen (CHN) | Qin Qian (CHN) | Ielena Ivachtchenko (RUS) Mika Sugimoto (JPN) |
Hommes
Ăpreuves | Or | Argent | Bronze |
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Moins de 60 kg Poids super-légers |
Rishod Sobirov (UZB) | Hiroaki Hiraoka (JPN) | Ilgar Mushkiyev (AZE) Georgii Zantaraia (UKR) |
Moins de 66 kg Poids mi-légers |
Masashi Ebinuma (JPN) | Leandro Cunha (BRA) | Cho Jun-ho (KOR) Musa Mogushkov (RUS) |
Moins de 73 kg Poids légers |
Riki Nakaya (JPN) | Dex Elmont (NED) | Navruz Jurakobilov (en) (UZB) Ugo Legrand (FRA) |
Moins de 81 kg Poids mi-moyens |
Kim Jae-bum (KOR) | SrÄan MrvaljeviÄ (en) (MNE) | Leandro Guilheiro (BRA) Sergiu Toma (MDA) |
Moins de 90 kg Poids moyens |
IlĂas IliĂĄdis (GRE) | Daiki Nishiyama (en) (JPN) | Takashi Ono (JPN) Asley GonzĂĄlez (CUB) |
Moins de 100 kg Poids mi-lourds |
Tagir Khaybulaev (RUS) | Maxim Rakov (en) (KAZ) | LukĂĄĆĄ KrpĂĄlek (CZE) Irakli Tsirekidze (GEO) |
Plus de 100 kg Poids lourds |
Teddy Riner (FRA) | Andreas Tölzer (GER) | Alexander Mikhaylin (RUS) Kim Sung-min (en) (KOR) |
Par Ă©quipes
Tableau des médailles
Organe suprĂȘme du judo mondial, la FĂ©dĂ©ration internationale de judo n'a publiĂ© jusqu'Ă prĂ©sent aucun tableau des mĂ©dailles combinant Ă©preuves individuelles et par Ă©quipes[28] - [29].
Individuel
Ci-dessous, le tableau des médailles à l'issue des 14 épreuves individuelles. La Fédération internationale de judo utilise les places de 5e et de 7e afin de départager les délégations à égalité.
Rang | Nation | Or | Argent | Bronze | Total |
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1 | Japon | 5 | 6 | 4 | 15 |
2 | France | 4 | 0 | 1 | 5 |
3 | Chine | 1 | 1 | 0 | 2 |
4 | Russie | 1 | 0 | 3 | 4 |
5 | Corée du Sud | 1 | 0 | 2 | 3 |
6 | Ouzbékistan | 1 | 0 | 1 | 2 |
7 | GrĂšce | 1 | 0 | 0 | 1 |
8 | Brésil | 0 | 2 | 3 | 5 |
9 | Pays-Bas | 0 | 2 | 1 | 3 |
10 | Allemagne | 0 | 1 | 0 | 1 |
11 | Kazakhstan | 0 | 1 | 0 | 1 |
12 | Monténégro | 0 | 1 | 0 | 1 |
13 | Hongrie | 0 | 0 | 2 | 2 |
14 | Roumanie | 0 | 0 | 2 | 2 |
15 | Cuba | 0 | 0 | 1 | 1 |
16 | Slovénie | 0 | 0 | 1 | 1 |
17 | AzerbaĂŻdjan | 0 | 0 | 1 | 1 |
18 | Ătats-Unis | 0 | 0 | 1 | 1 |
19 | Espagne | 0 | 0 | 1 | 1 |
19 | Ukraine | 0 | 0 | 1 | 1 |
21 | GĂ©orgie | 0 | 0 | 1 | 1 |
22 | Moldavie | 0 | 0 | 1 | 1 |
22 | RĂ©publique tchĂšque | 0 | 0 | 1 | 1 |
Total | 14 | 14 | 28 | 56 |
Par Ă©quipes
Ci-dessous, le tableau des médailles à l'issue des 2 épreuves par équipes. La Fédération internationale de judo utilise les places de 5e et de 7e afin de départager les délégations à égalité.
Notes et références
- Officiellement, les Ă©preuves individuelles et par Ă©quipes ne donnent pas lieu Ă un tableau combinĂ© des mĂ©dailles oĂč la France, en vertu de ses deux victoires par Ă©quipes, occuperait la premiĂšre place avec six mĂ©dailles d'or contre cinq pour le Japon. Toutefois, le pays hĂŽte est prĂ©sentĂ© comme tel de façon officieuse par plusieurs mĂ©dias et la FĂ©dĂ©ration internationale elle-mĂȘme.
- O.B., « Le moral au beau fixe », dans L'Ăquipe, 29 aoĂ»t 2011, n°20 866, p. 11.
- Ollivier Bienfait, « L'appel de Londres », dans L'Ăquipe, 23 aoĂ»t 2011, n°20 860, p. 6.
- Nicolas Sbarra, Riner, or catégorie, eurosport.fr, 27 août 2011.
- P.-H.L., « Les filles font briller lâĂ©quipe de France », dans L'HumanitĂ©, 29 aoĂ»t 2011, p. 13.
- Anouk Corge, « Les mondiaux individuels 2007 Ă Rio de Janeiro », dans L'Ăquipe, 8 septembre 2003.
- Ollivier Bienfait, « Les Mondiaux 2011 Ă Paris », dans L'Ăquipe, 12 septembre 2007, p. 12.
- « Keine Judo-WM in Hamburg », dans Die Welt, 12 septembre 2007, p. 33.
- Dans SĂŒddeutsche Zeitung, p. 33, 12 septembre 2007.
- Manfred SchĂ€ffer, « Hamburg scheitert in Rio de Janeiro mit der WM-Bewerbung fĂŒr 2010 und 2011 - Das Mikrofon wurde einfach abgestellt », dans Hamburger Abendblatt, 12 septembre 2007, p. 27.
- « HJT siegt, heute WM-Vergabe », dans Hamburger Abendblatt, 10 septembre 2007.
- (en) Nicolas Messner, « Official Participation Record Broken », sur intjudo.eu, 8 septembre 2010. Consulté le 25 avril 2011.
- Georges Santos, « Un maßtre en la matiÚre », sur bienpublic.com, 9 février 2011. Consulté le 25 avril 2011.
- Dans L'Ăquipe, 29 aoĂ»t 2011, n°20 866, p. 11.
- Billetterie, sur ffjudo.com. Consulté le 31 août 2011.
- Vincent Rousselet-Blanc, « Audience : le judo français au top. Canal+Sport en profite », sur enpleinelucarne.net, 29 août 2011. Consulté le 31 août 2011.
- Yannick Vely et Elisabeth Chavelet, « Nicolas Sarkozy, le judo avant les cantonales », sur parismatch.com, 30 mars 2011. Consulté le 25 avril 2011.
- E.M., « Le judo en panne de tĂ©lĂ© », dans L'Ăquipe, 6 octobre 2010, p. 6.
- « Lettre de Jean-Luc Rougé adressée aux licenciés de la Fédération française de judo », sur judo-font-romeu.net. Consulté le 25 avril 2011.
- Vincent Rousselet-Blanc, « Interview : Tout sur la rentrĂ©e dâEurosport avec Arnaud Simon », sur enpleinelucarne.net, 26 aoĂ»t 2011. ConsultĂ© le 31 aoĂ»t 2011.
- E.M., « Le judo reste sur Canal+ », dans L'Ăquipe, 12 octobre 2010, p. 7.
- Vincent Rousselet-Blanc, « Championnats du monde de judo 2011 : les droits TV cédés gratuitement à Canal+ ! », sur enpleinelucarne.net, 5 août 2011. Consulté le 23 août 2011.
- (en) Fabrice Marinoni, « Canal+ to produce World Judo Championships », sur svgeurope.org, 9 août 2011. Consulté le 23 août 2011.
- « Accord entre Canal et France TĂ©lĂ© sur le mondial de judo », dans L'Ăquipe, 4 aoĂ»t 2011, p. 6.
- Vincent Rousselet-Blanc, « Audience : le judo, ça marche aussi sur France 4 », sur enpleinelucarne.net, 29 août 2011. Consulté le 31 août 2011.
- (en)[PDF] Délégations et répartitions des participants par catégories, Fédération internationale de judo. Consulté le 28 août 2011.
- (en) Manoela Penna, « IJF Congress: One million dollars for development and creation of Small Countries Worlds », sur intjudo.eu, 24 août 2009. Consulté le 28 août 2011.
- Tableau des médailles officiel des épreuves individuelles, Fédération internationale de judo. Consulté le 28 août 2011.
- Tableau des médailles officiels des épreuves par équipes, Fédération internationale de judo. Consulté le 28 août 2011.