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Championnats du monde de judo 2011

La 31e Ă©dition des Championnats du monde de judo, 14es depuis l'unification des compĂ©titions masculine et fĂ©minine, se dĂ©roule Ă  Paris en France du 23 au . OrganisĂ©e annuellement depuis 2009, la compĂ©tition est organisĂ©e pour la cinquiĂšme fois sur le sol parisien. DĂ©jĂ  hĂŽte des Ă©ditions masculines en 1961 et 1979, de l'Ă©dition fĂ©minine 1982, et de l'Ă©dition unifiĂ©e en 1997, la capitale française accueille pour la cinquiĂšme fois un Ă©vĂ©nement planĂ©taire organisĂ© par la FĂ©dĂ©ration internationale de judo (IJF). Ce chiffre est portĂ© Ă  sept si on prend en compte les Ă©ditions 1994 et 2006 des Championnats du monde par Ă©quipes. Comme lors de l'annĂ©e 1997, l'ensemble des compĂ©titions se dĂ©roule au Palais omnisports de Paris-Bercy. Ce rendez-vous se veut ĂȘtre une rĂ©pĂ©tition gĂ©nĂ©rale Ă  moins d'un an des Jeux olympiques de 2012 prĂ©vus Ă  Londres[3].

Championnats du monde de judo 2011
Logotype officiel de la compétition
Généralités
Sport Judo
Organisateur(s) Fédération internationale de judo
Fédération française de judo
Édition 31e
Lieu(x) Paris, Drapeau de la France France
Date 23 -
Nations 131
Participants 865
Épreuves 16
Site(s) Palais omnisports de Paris-Bercy
PalmarĂšs
Meilleure nation Drapeau du Japon Japon[1] - [2]

Navigation

Les Ă©preuves individuelles sont marquĂ©es par une nouvelle domination japonaise qui termine en tĂȘte du tableau des mĂ©dailles Ă©tabli sur la base des quatorze catĂ©gories de poids ayant donnĂ© lieu Ă  une Ă©preuve. La domination nippone est toutefois moins nette que lors de l'Ă©dition 2010 organisĂ©e sur le sol japonais, puisque de 23 mĂ©dailles dont 10 en or, le bilan de l'Ă©dition 2011 se stabilise Ă  15 mĂ©dailles dont 5 en or Ă  l'issue des cinq jours de compĂ©tition individuelles. Cette conclusion est ternie par les contre-performances observĂ©es dans les catĂ©gories lourdes (poids mi-lourds et poids lourds) oĂč aucun Japonais n'est sacrĂ©. Le pays dĂ©montre en revanche sa suprĂ©matie sur les poids lĂ©gers (super-lĂ©gers, mi-lĂ©gers et lĂ©gers) en enlevant cinq des six Ă©preuves comme l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente. À domicile, le bilan français est conforme aux objectifs fixĂ©s par les instances nationales, Ă  savoir terminer deuxiĂšme nation au tableau des mĂ©dailles des Ă©preuves individuelles et remporter cinq Ă  six mĂ©dailles, dont trois en or[3]. Elle Ă©gale par ailleurs le nombre de titres, quatre, remportĂ©s au mĂȘme endroit en 1997 quand elle avait failli bousculer pour la premiĂšre fois de l'histoire l'hĂ©gĂ©monie japonaise dans la compĂ©tition planĂ©taire. Au sein du groupe français, la performance du poids lourd Teddy Riner, premier judoka de l'histoire Ă  remporter une cinquiĂšme mĂ©daille d'or individuelle[4], est la plus remarquĂ©e. En outre, la France s'adjuge les deux titres par Ă©quipes, ce qui place la dĂ©lĂ©gation Ă  la premiĂšre place des mĂ©dailles si on combine rĂ©sultats individuels et par Ă©quipes.

En vertu de son doublĂ© polĂ©mique chez les femmes en plus de 78 kg avec Tong Wen, faisant son retour Ă  la compĂ©tition aprĂšs avoir Ă©tĂ© blanchie malgrĂ© une pratique dopante avĂ©rĂ©e en 2009, la Chine grimpe pour la premiĂšre fois de son histoire sur la troisiĂšme marche du tableau des mĂ©dailles[5], classement au sein duquel le BrĂ©sil (5 mĂ©dailles), la Russie (4 mĂ©dailles), la CorĂ©e du Sud et les Pays-Bas (3 mĂ©dailles) confirment leur statut de places fortes dans la hiĂ©rarchie du judo mondial, globalement sujet Ă  un statu quo malgrĂ© un nombre toujours Ă©levĂ© de dĂ©lĂ©gations rĂ©compensĂ©es (vingt-trois). En revanche, l'Ă©quipe fĂ©minine cubaine et l'Ă©quipe de Mongolie, habituĂ©es Ă  bien figurer, sont en retrait avec un bilan vierge de podium.

Six judokas parviennent Ă  conserver leur titre acquis l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente : le Français Riner en plus de 100 kg, sa compatriote Lucie DĂ©cosse en moins de 70 kg, la Japonaise Haruna Asami en moins de 48 kg, l'Ouzbek Rishod Sobirov en moins de 60 kg, le Sud-CorĂ©en Kim Jae-bum en moins de 81 kg et le Grec IlĂ­as IliĂĄdis en moins de 90 kg.

Organisation

DĂšs 2003, Ă  l'occasion du CongrĂšs de l'IJF tenu Ă  Osaka dans le cadre des Championnats du monde, Michel Vial, prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration française de judo (FFJ) Ă©voque une candidature de la France Ă  l'organisation des mondiaux 2011[6]. À l'Ă©poque, le pays est candidat Ă  l'accueil des Jeux olympiques d'Ă©tĂ© de 2012 et un tel Ă©vĂ©nement, Ă  une annĂ©e du rendez-vous olympique, intĂ©ressait la FFJ[6]. RĂ©unie en congrĂšs dans le cadre des Championnats du monde 2007, l'IJF dĂ©signe Ă  une trĂšs large majoritĂ© Paris pour accueillir le rendez-vous annuel le Ă  Rio de Janeiro, aux dĂ©pens de Hambourg en Allemagne qui se porte Ă©galement candidat pour l'Ă©dition 2010[7] - [8] - [9]. Le projet français recueille en effet deux tiers des suffrages en sa faveur parmi les 180 dĂ©lĂ©guĂ©s sondĂ©s.

La candidature allemande est portĂ©e lors du CongrĂšs de l'IJF par le prĂ©sident de l'Association hambourgeoise de judo Rainer Ganschow et le dĂ©lĂ©guĂ© aux sports du land de Hambourg Ernst Andreas[8] - [10]. Elle souhaite accueillir la compĂ©tition dans la Color Line Arena, utilisĂ©e quelques mois auparavant lors des Championnats du monde de handball[11], et prĂ©sente un budget total estimĂ© Ă  1 million d'euros, 500 000 euros Ă©tant d'emblĂ©e garantis par le dossier[10]. Parmi les arguments avancĂ©s figurent l'expĂ©rience de la ville en matiĂšre d'organisation de compĂ©tition de judo puisqu'elle accueille chaque annĂ©e — jusqu'en 2009 — une Ă©tape de la Coupe du monde dans la Sporthalle Hamburg. Soupçonnant des conflits d'intĂ©rĂȘt, la ville allemande, finalement dĂ©faite, souligne une dĂ©cision « injuste », s'insurgeant notamment d'avoir eu un temps de paroles rĂ©duit Ă  6 minutes et 30 secondes au lieu de 10 minutes, ce qui empĂȘche le champion olympique Udo Quellmalz, parrain de la candidature, de s'exprimer auprĂšs de l'assistance[10].

Si le programme ne compte pas les épreuves toutes catégories, disputées lors d'un championnat distinct depuis 2008, les épreuves par équipes, tenues séparément depuis 1994, font elles leur apparition. Décidée un an auparavant lors des Mondiaux de Tokyo, cette insertion vise à promouvoir l'épreuve auprÚs des instances olympiques et les convaincre de l'intégrer au programme des futurs Jeux olympiques[12].

Le budget de l'organisation de la compétition est estimée à 6 millions d'euros par Jean-René Girardot, le secrétaire général de la Fédération française de judo, qui est chargé de chapeauter la préparation de l'événement[13].

Site et billetterie

Les six jours de compĂ©tition se dĂ©roulent au Palais omnisports de Paris-Bercy, traditionnel thĂ©Ăątre du Tournoi de Paris, estampillĂ© Grand Chelem par la FĂ©dĂ©ration internationale, mais Ă©galement dĂ©jĂ  hĂŽte de l'Ă©vĂ©nement en 1997. Dans sa configuration judo, la salle peut accueillir environ 12 000 spectateurs.

La recette de billetterie a permis Ă  l'organisation d'engranger 1 million d'euros sur les six jours de compĂ©tition. Au total, 40 700 entrĂ©es payantes sont enregistrĂ©es, auxquelles s'ajoutent 23 000 invitations et 9 000 places rĂ©servĂ©es aux dĂ©lĂ©gations[14]. Le prix d'une place Ă  l'unitĂ© pour assister Ă  une journĂ©e de compĂ©tition s'Ă©tablit entre 22 et 42 euros[15].

Couverture médiatique

Ces championnats du monde sont diffusĂ©s dans 133 pays via un signal international produit par le groupe audiovisuel français Canal+[16]. Ce signal est vendu auprĂšs de 33 chaĂźnes Ă©trangĂšres[16].

En France, la compétition est traditionnellement diffusée sur les chaßnes à péage du groupe audiovisuel Canal+, à l'instar des Championnats d'Europe ou du Tournoi de Paris. Début 2011, le président de la Fédération française de judo s'émeut, dans une lettre ouverte adressée à ses licenciés, du manque de considération des médias français pour la retransmission de la compétition[17]. Dans ce document, il affirme n'avoir reçu aucune réponse à l'appel d'offres lancé plusieurs mois auparavant[18], en particulier de la part du groupe public France Télévisions, particuliÚrement sollicité[17]. TF1, M6 et Direct 8 n'ont également pas donné suite à cet appel[17] - [19]. La « non-popularité » du judo est la raison invoquée par son directeur des sports, Daniel Bilalian, selon Jean-Luc Rougé. Le sujet aurait été évoqué en conseil des ministres par le président de la République Nicolas Sarkozy[17]. Pour des raisons économiques, Eurosport ne se porte également pas candidat[20].

Finalement, faute de rĂ©ponse Ă  l'appel d'offre, la fĂ©dĂ©ration conclut un accord avec son partenaire historique Canal+ en , lors de l'Ă©dition annuelle du Sportel se tenant Ă  Monaco, une convention internationale rĂ©unissant les acteurs du sport et des mĂ©dias[21]. Ce compromis intervient sans le moindre versement de droits de diffusion, Ă  charge pour Canal+ de prendre en main les frais et moyens de production[21] - [22], ce qui avait freinĂ© l'intĂ©rĂȘt d'Eurosport[20]. Cet accord implique la gestion du signal international ainsi que ceux Ă©mis pour les quatre tatamis qui sont intĂ©gralement couverts avec des moyens inĂ©dits via l'usage d'une vingtaine de camĂ©ras au total[23].

Quelques semaines avant le début des compétitions, le groupe privé s'entend finalement avec France Télévisions pour une cession d'images diffusées quotidiennement, en troisiÚme partie de soirée, aprÚs minuit, afin de proposer un résumé de la journée écoulée[24], les seules images gratuites de la compétition disponibles sur le territoire français. Ce programme est diffusé sur France 4 tandis que les combats sont diffusés en direct la journée sur Canal+ Sport, filiale du groupe Canal+[24].

Des audiences exceptionnelles pour les chaĂźnes françaises concernĂ©es sont observĂ©es. Diffuseur exclusif des Ă©preuves en direct, Canal+ Sport enregistre en moyenne 350 000 tĂ©lĂ©spectateurs chaque aprĂšs-midi, avec un pic d'audience remarquĂ© de 900 000 abonnĂ©s devant leur Ă©cran lors de la finale masculine des plus de 100 kg[16], Ă©preuve la plus attendue par le public français en raison de l'entrĂ©e en lice du champion du monde Teddy Riner. Lors de la finale de ce dernier, dimanche , la chaĂźne payante se place au deuxiĂšme rang des programmes les plus regardĂ©s par les Français[16]. Sur le service public, 170 000 tĂ©lĂ©spectateurs sont enregistrĂ©s en moyenne chaque nuit, pour une part d'audience moyenne de 2,3 %[25].

Programme

Compétitions

  • Mardi :
    • moins de 48 kg femmes
    • moins de 60 kg hommes
    • moins de 66 kg hommes
  • Mercredi :
    • moins de 52 kg femmes
    • moins de 57 kg femmes
    • moins de 73 kg hommes
  • Jeudi :
    • moins de 63 kg femmes
    • moins de 81 kg hommes
  • Vendredi :
    • moins de 70 kg femmes
    • moins de 78 kg femmes
    • moins de 90 kg hommes
  • Samedi :
    • plus de 78 kg femmes
    • moins de 100 kg hommes
    • plus de 100 kg hommes
  • Dimanche :
    • par Ă©quipes femmes
    • par Ă©quipes hommes

Délégations

865 sportifs sont inscrits auprÚs de la Fédération internationale de judo pour participer aux compétitions individuelles. Ces 511 hommes et 354 femmes représentent 131 délégations[26].

Podiums

Femmes

Épreuves Or Argent Bronze
Moins de 48 kg
Poids super-légers
Drapeau du Japon Haruna Asami (JPN) Drapeau du Japon Tomoko Fukumi (JPN) Drapeau de la Hongrie Éva Csernoviczki (HUN)
Drapeau du Brésil Sarah Menezes (BRA)
Moins de 52 kg
Poids mi-légers
Drapeau du Japon Misato Nakamura (JPN) Drapeau du Japon Yuka Nishida (JPN) Drapeau de l'Espagne Ana Carrascosa (ESP)
Drapeau de la Roumanie Andreea ChiĆŁu (ROU)
Moins de 57 kg
Poids légers
Drapeau du Japon Aiko Sato (JPN) Drapeau du Brésil Rafaela Silva (BRA) Drapeau de la Roumanie Corina Căprioru (ROU)
Drapeau du Japon Kaori Matsumoto (JPN)
Moins de 63 kg
Poids mi-moyens
Drapeau de la France GĂ©vrise Emane (FRA) Drapeau du Japon Yoshie Ueno (JPN) Drapeau des Pays-Bas Anicka van Emden (NED)
Drapeau de la SlovĂ©nie UrĆĄka Ćœolnir (SVN)
Moins de 70 kg
Poids moyens
Drapeau de la France Lucie DĂ©cosse (FRA) Drapeau des Pays-Bas Edith Bosch (NED) Drapeau du Japon Yoriko Kunihara (JPN)
Drapeau de la Hongrie Anett MĂ©szĂĄros (HUN)
Moins de 78 kg
Poids mi-lourds
Drapeau de la France Audrey Tcheuméo (FRA) Drapeau du Japon Akari Ogata (JPN) Drapeau du Brésil Mayra Aguiar (BRA)
Drapeau des États-Unis Kayla Harrison (USA)
Plus de 78 kg
Poids lourds
Drapeau de la Chine Tong Wen (CHN) Drapeau de la Chine Qin Qian (CHN) Drapeau de la Russie Ielena Ivachtchenko (RUS)
Drapeau du Japon Mika Sugimoto (JPN)

Hommes

Épreuves Or Argent Bronze
Moins de 60 kg
Poids super-légers
Drapeau de l'Ouzbékistan Rishod Sobirov (UZB) Drapeau du Japon Hiroaki Hiraoka (JPN) Drapeau de l'Azerbaïdjan Ilgar Mushkiyev (AZE)
Drapeau de l'Ukraine Georgii Zantaraia (UKR)
Moins de 66 kg
Poids mi-légers
Drapeau du Japon Masashi Ebinuma (JPN) Drapeau du Brésil Leandro Cunha (BRA) Drapeau de la Corée du Sud Cho Jun-ho (KOR)
Drapeau de la Russie Musa Mogushkov (RUS)
Moins de 73 kg
Poids légers
Drapeau du Japon Riki Nakaya (JPN) Drapeau des Pays-Bas Dex Elmont (NED) Drapeau de l'OuzbĂ©kistan Navruz Jurakobilov (en) (UZB)
Drapeau de la France Ugo Legrand (FRA)
Moins de 81 kg
Poids mi-moyens
Drapeau de la CorĂ©e du Sud Kim Jae-bum (KOR) Drapeau du MontĂ©nĂ©gro Srđan Mrvaljević (en) (MNE) Drapeau du BrĂ©sil Leandro Guilheiro (BRA)
Drapeau de la Moldavie Sergiu Toma (MDA)
Moins de 90 kg
Poids moyens
Drapeau de la GrĂšce IlĂ­as IliĂĄdis (GRE) Drapeau du Japon Daiki Nishiyama (en) (JPN) Drapeau du Japon Takashi Ono (JPN)
Drapeau de Cuba Asley GonzĂĄlez (CUB)
Moins de 100 kg
Poids mi-lourds
Drapeau de la Russie Tagir Khaybulaev (RUS) Drapeau du Kazakhstan Maxim Rakov (en) (KAZ) Drapeau de la TchĂ©quie LukĂĄĆĄ KrpĂĄlek (CZE)
Drapeau de la GĂ©orgie Irakli Tsirekidze (GEO)
Plus de 100 kg
Poids lourds
Drapeau de la France Teddy Riner (FRA) Drapeau de l'Allemagne Andreas Tölzer (GER) Drapeau de la Russie Alexander Mikhaylin (RUS)
Drapeau de la CorĂ©e du Sud Kim Sung-min (en) (KOR)

Par Ă©quipes

Tableau des médailles

Organe suprĂȘme du judo mondial, la FĂ©dĂ©ration internationale de judo n'a publiĂ© jusqu'Ă  prĂ©sent aucun tableau des mĂ©dailles combinant Ă©preuves individuelles et par Ă©quipes[28] - [29].

Individuel

Ci-dessous, le tableau des médailles à l'issue des 14 épreuves individuelles. La Fédération internationale de judo utilise les places de 5e et de 7e afin de départager les délégations à égalité.

Rang Nation Or Argent Bronze Total
1Drapeau du Japon Japon56415
2Drapeau de la France France4015
3Drapeau de la RĂ©publique populaire de Chine Chine1102
4Drapeau de la Russie Russie1034
5Drapeau de la Corée du Sud Corée du Sud1023
6Drapeau de l'Ouzbékistan Ouzbékistan1012
7Drapeau de la GrĂšce GrĂšce1001
8Drapeau du Brésil Brésil0235
9Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas0213
10Drapeau de l'Allemagne Allemagne0101
11Drapeau du Kazakhstan Kazakhstan0101
12Drapeau du Monténégro Monténégro0101
13Drapeau de la Hongrie Hongrie0022
14Drapeau de la Roumanie Roumanie0022
15Drapeau de Cuba Cuba0011
16Drapeau de la Slovénie Slovénie0011
17Drapeau de l'AzerbaĂŻdjan AzerbaĂŻdjan0011
18Drapeau des États-Unis États-Unis0011
19Drapeau de l'Espagne Espagne0011
19Drapeau de l'Ukraine Ukraine0011
21Drapeau de la GĂ©orgie GĂ©orgie0011
22Drapeau de la Moldavie Moldavie0011
22Drapeau de la Tchéquie République tchÚque0011
Total14142856

Par Ă©quipes

Ci-dessous, le tableau des médailles à l'issue des 2 épreuves par équipes. La Fédération internationale de judo utilise les places de 5e et de 7e afin de départager les délégations à égalité.

Rang Nation Or Argent Bronze Total
1Drapeau de la France France2002
2Drapeau du Japon Japon0112
3Drapeau du Brésil Brésil0101
4Drapeau de la Corée du Sud Corée du Sud0011
5Drapeau de l'Allemagne Allemagne0011
5Drapeau de Cuba Cuba0011
Total2248

Notes et références

  1. Officiellement, les Ă©preuves individuelles et par Ă©quipes ne donnent pas lieu Ă  un tableau combinĂ© des mĂ©dailles oĂč la France, en vertu de ses deux victoires par Ă©quipes, occuperait la premiĂšre place avec six mĂ©dailles d'or contre cinq pour le Japon. Toutefois, le pays hĂŽte est prĂ©sentĂ© comme tel de façon officieuse par plusieurs mĂ©dias et la FĂ©dĂ©ration internationale elle-mĂȘme.
  2. O.B., « Le moral au beau fixe Â», dans L'Équipe, 29 aoĂ»t 2011, n°20 866, p. 11.
  3. Ollivier Bienfait, « L'appel de Londres Â», dans L'Équipe, 23 aoĂ»t 2011, n°20 860, p. 6.
  4. Nicolas Sbarra, Riner, or catégorie, eurosport.fr, 27 août 2011.
  5. P.-H.L., « Les filles font briller l’équipe de France Â», dans L'HumanitĂ©, 29 aoĂ»t 2011, p. 13.
  6. Anouk Corge, « Les mondiaux individuels 2007 Ă  Rio de Janeiro Â», dans L'Équipe, 8 septembre 2003.
  7. Ollivier Bienfait, « Les Mondiaux 2011 Ă  Paris Â», dans L'Équipe, 12 septembre 2007, p. 12.
  8. « Keine Judo-WM in Hamburg Â», dans Die Welt, 12 septembre 2007, p. 33.
  9. Dans SĂŒddeutsche Zeitung, p. 33, 12 septembre 2007.
  10. Manfred SchĂ€ffer, « Hamburg scheitert in Rio de Janeiro mit der WM-Bewerbung fĂŒr 2010 und 2011 - Das Mikrofon wurde einfach abgestellt Â», dans Hamburger Abendblatt, 12 septembre 2007, p. 27.
  11. « HJT siegt, heute WM-Vergabe Â», dans Hamburger Abendblatt, 10 septembre 2007.
  12. (en) Nicolas Messner, « Official Participation Record Broken Â», sur intjudo.eu, 8 septembre 2010. ConsultĂ© le 25 avril 2011.
  13. Georges Santos, « Un maĂźtre en la matiĂšre Â», sur bienpublic.com, 9 fĂ©vrier 2011. ConsultĂ© le 25 avril 2011.
  14. Dans L'Équipe, 29 aoĂ»t 2011, n°20 866, p. 11.
  15. Billetterie, sur ffjudo.com. Consulté le 31 août 2011.
  16. Vincent Rousselet-Blanc, « Audience : le judo français au top. Canal+Sport en profite Â», sur enpleinelucarne.net, 29 aoĂ»t 2011. ConsultĂ© le 31 aoĂ»t 2011.
  17. Yannick Vely et Elisabeth Chavelet, « Nicolas Sarkozy, le judo avant les cantonales Â», sur parismatch.com, 30 mars 2011. ConsultĂ© le 25 avril 2011.
  18. E.M., « Le judo en panne de tĂ©lĂ© Â», dans L'Équipe, 6 octobre 2010, p. 6.
  19. « Lettre de Jean-Luc RougĂ© adressĂ©e aux licenciĂ©s de la FĂ©dĂ©ration française de judo Â», sur judo-font-romeu.net. ConsultĂ© le 25 avril 2011.
  20. Vincent Rousselet-Blanc, « Interview : Tout sur la rentrĂ©e d’Eurosport avec Arnaud Simon Â», sur enpleinelucarne.net, 26 aoĂ»t 2011. ConsultĂ© le 31 aoĂ»t 2011.
  21. E.M., « Le judo reste sur Canal+ Â», dans L'Équipe, 12 octobre 2010, p. 7.
  22. Vincent Rousselet-Blanc, « Championnats du monde de judo 2011 : les droits TV cĂ©dĂ©s gratuitement Ă  Canal+ ! Â», sur enpleinelucarne.net, 5 aoĂ»t 2011. ConsultĂ© le 23 aoĂ»t 2011.
  23. (en) Fabrice Marinoni, « Canal+ to produce World Judo Championships Â», sur svgeurope.org, 9 aoĂ»t 2011. ConsultĂ© le 23 aoĂ»t 2011.
  24. « Accord entre Canal et France TĂ©lĂ© sur le mondial de judo Â», dans L'Équipe, 4 aoĂ»t 2011, p. 6.
  25. Vincent Rousselet-Blanc, « Audience : le judo, ça marche aussi sur France 4 Â», sur enpleinelucarne.net, 29 aoĂ»t 2011. ConsultĂ© le 31 aoĂ»t 2011.
  26. (en)[PDF] Délégations et répartitions des participants par catégories, Fédération internationale de judo. Consulté le 28 août 2011.
  27. (en) Manoela Penna, « IJF Congress: One million dollars for development and creation of Small Countries Worlds Â», sur intjudo.eu, 24 aoĂ»t 2009. ConsultĂ© le 28 aoĂ»t 2011.
  28. Tableau des médailles officiel des épreuves individuelles, Fédération internationale de judo. Consulté le 28 août 2011.
  29. Tableau des médailles officiels des épreuves par équipes, Fédération internationale de judo. Consulté le 28 août 2011.

Liens externes

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