Accueil🇫🇷Chercher

Angola

L’Angola (en forme longue : la république d'Angola ; en portugais : República de Angola) est un État du Sud-Ouest de l'Afrique, limitrophe de la République démocratique du Congo au Nord et au Nord-Est, de la République du Congo au Nord-Ouest (par l'enclave du Cabinda), de la Zambie à l'est-sud-est et de la Namibie au sud.

République d'Angola

(pt) República de Angola

Devise en latin : Virtus Unita Fortior L'union fait la force »)
Hymne en portugais : Angola Avante (« En avant, Angola »)
Fête nationale
· Événement commémoré
Indépendance vis-à-vis du Portugal ()
Description de l'image Angola (orthographic projection).svg.
Description de l'image Angola carte.png.
Géographie
Plus grande ville Luanda
Superficie totale 1 246 700 km2
(classé 23e)
Superficie en eau négligeable
Fuseau horaire UTC + 1
Histoire
Entité précédente
Indépendance Drapeau du Portugal Portugal[2]
date [3]
Démographie
Gentilé Angolais
Population totale (2023) 35 981 281 hab.
(classé 41e)
Densité 29 hab./km2
Économie
PIB nominal (2014) 175,54 milliards de dollars américains
Monnaie Kwanza (AOA​)

Le territoire est colonisé par le Portugal en 1575 et gouverné alternativement, au cours de quatre siècles, comme colonie, province ultramarine et État de l'Empire colonial portugais. En 1961 éclate une guerre d'indépendance, qui oppose la puissance coloniale à plusieurs groupes armés anticolonialistes. Le pays obtient son indépendance en 1975, en tant que république communiste à parti unique sous l'égide du Mouvement populaire de libération de l'Angola (MPLA). Une guerre civile éclate immédiatement après, comme partie de la guerre froide, entre le gouvernement du MPLA et les autres groupes armés rivaux de la guerre d'indépendance, notamment l'Union nationale pour l'indépendance totale de l'Angola (UNITA). Bien que le multipartisme soit instauré en 1992 et que la guerre civile soit terminée en 2002, le MPLA reste toujours le parti dominant, malgré le changement de son idéologie du communisme au socialisme démocratique.

Le pays est un quadrilatère situé entre l’Afrique centrale francophone et l’Afrique australe anglophone. Il est le deuxième pays lusophone par son étendue et le deuxième par sa population. En tant qu'ancienne colonie portugaise, il est membre de la communauté des pays de langue portugaise.

Toponymie et anciens noms

Le nom Angola vient du portugais Angola, lui-même emprunt du mot kimbundu ngola, titre porté dès le XIVe siècle par le souverain du royaume Ndongo. Les colons portugais, alliés du Ngola dans la lutte contre des seigneurs locaux, nommèrent ce pays ainsi en son honneur[7].

Avant l'arrivée des Portugais en 1480, la contrée était appelée Ndongo. Elle avait porté auparavant le nom Ambonde, et ses habitants étaient appelés Ambonds (on trouve également les graphies Abondos ou Abundos)[7].

Histoire

La Côte d'Angole a été, avec la Côte de Guinée et le Mozambique, une des trois principales régions de départ du commerce triangulaire, qui emmenait des esclaves vers l'Amérique. Après des années de guérilla contre la métropole coloniale, l’Angola est devenu indépendant en 1975, comme État communiste appelé république populaire d'Angola. Le , jour de l'indépendance, Agostinho Neto devient le premier chef de l'État. À sa mort en 1979, José Eduardo dos Santos prend le pouvoir, même si une guerre civile limite de fait son contrôle sur le pays.

Cette guerre civile va durer vingt-cinq ans. Les forces de l'UNITA appuyée par l’Afrique du Sud (qui a tenu la Namibie jusqu'en 1989) et le Zaïre et du FNLA (Front national de libération de l'Angola) affrontent le MPLA d'Agostinho Neto, soutenu par Cuba. Cette guerre, attisée par le contexte de la guerre froide et par les rivalités autour des ressources minières du pays, fait environ 1 million de morts et laisse des millions de mines anti-personnels, qui tuent encore[8].

Après le cessez-le-feu de 1992, le MPLA remporte toutes les élections ; Dos Santos reste ainsi président de l'Angola sans discontinuer pendant 38 ans. Les identités sociales ethniques se maintiennent, mais, depuis la paix, un sentiment national s'est développé.

Des élections générales se tiennent le . Ces élections se déroulent dans le contexte de l'annonce par le président lui-même de sa renonciation au pouvoir. La victoire du MPLA lors de ces élections amène à la présidence son successeur désigné, João Lourenço, en septembre de la même année[9] - [10].

En , le président de la République João Lourenço est élu chef du parti MPLA, à la suite de la décision de José Eduardo dos Santos de prendre sa retraite[11].

Politique

Depuis l'indépendance, c'est le Mouvement populaire de libération de l'Angola (MPLA) qui est au pouvoir. Les années de guerre civile, jusqu'au cessez-le-feu de 1992, n'ont pas été favorables à une ouverture du régime, appuyé par Cuba et par l'URSS (Union des républiques socialistes soviétiques). Après la fin de cette guerre civile, mais aussi après l’effondrement du Bloc de l'Est (fin des années 1980 et début des années 1990) et celui, en 1991, du régime d’apartheid en Afrique du Sud (qui soutenait les opposants au MPLA[12]), une évolution vers un régime un peu plus démocratique s'est amorcée. Les premières élections générales démocratiques et pluripartites ont eu lieu en Angola les 29 et . José Eduardo dos Santos et le MPLA, de même qu'Isaías Samakuva, successeur de Jonas Savimbi à la tête de l’UNITA, ont renoncé à la lutte armée et se montrent désormais favorables à un processus démocratique. Aux élections de 2017, les deux principaux partis dans l'opposition, l’Union nationale pour l'indépendance totale de l'Angola (Unita) et la CASA-CE, ont obtenu respectivement 24,04 % et 8,56 % des voix exprimées. Le MPLA a récolté plus de 64 % des suffrages exprimés[10].

Pour autant, le maintien au pouvoir depuis 1975 de ce parti, la mainmise de son dirigeant sur le pays, son contrôle de la magistrature et de la presse, et les intimidations en direction des opposants limitent le fonctionnement démocratique[13]. Les équipes dirigeantes contrôlent également les ressources naturelles du pays, notamment le pétrole, et les principales entreprises. Cette mainmise était le fait de José Eduardo dos Santos et de sa famille, notamment de sa fille Isabel dos Santos et de son frère José Filomena dos Santos. José Eduardo dos Santos « a franchi une ligne rouge au milieu des années 2000 lorsqu’il a substitué son clan « biologique », sa famille directe, au clan politique au sein duquel s’étaient jusque-là répartis des postes-clés de l’État et de l’économie »[14].

Depuis l'avènement de João Lourenço, le pouvoir du clan familial dos Santos est remis en cause. Un effort anti-corruption doit être mené, mais des caciques du parti MPLA tiennent encore l'essentiel des manettes[15] - [14].

Géographie

L'Angola avait un score moyen de l'Indice d'intégrité du paysage forestier 2019 de 8.35, le classant 23e sur 172 pays[16].

La superficie de l'Angola est de 1 246 700 km2. Sa densité de population est de 20 hab./km2. Ses frontières terrestres mesurent 5 198 km (celle avec la république démocratique du Congo mesure 2 511 km ; avec la Namibie1 376 km ; avec la Zambie1 110 km ; avec la république du Congo201 km – cette dernière borde l'enclave de Cabinda, séparée du reste du pays par le couloir de Moanda, à l'embouchure du fleuve Congo, où la république démocratique du Congo possède un accès maritime). Le littoral de l'Angola s'étend sur 1 600 km.

Relief

Deux régions s’opposent sur le plan orographique. Un relief varié s’élève en gradins (revers de plateau) depuis la plaine côtière (200 km maximum de large) vers des plateaux et massifs intérieurs. Le point culminant, à 2 620 mètres, est le Môco[17]. L’ensemble le plus massif est le plateau angolais qui déborde à l’est les frontières de l’État. L'altitude moyenne y est de 1 000 m. À l’est se trouve le bassin de très grands fleuves tributaires de l’océan Indien. Le plateau est situé directement sur le bouclier granitique qui contient très peu de structure sédimentaire.

Climat

Situé entre le tropique du Capricorne et l’équateur, l'Angola est le pays africain le plus étendu au sud du Sahara après la République démocratique du Congo. L'Angola connaît de fortes variations de températures. Plus on avance vers le nord, plus les précipitations sont importantes. Au nord, le climat est tropical humide, avec une saison sèche qui s'étend de juin à septembre et au cours de laquelle le ciel est très voilé ; les Angolais parlent « d’hivernage ». Avec l'altitude, dans l'intérieur des terres, les températures sont différentes de celles de la côte, et sont différentes d'une région à une autre.

Plus on avance vers le tropique du Capricorne, plus le climat est désertique ; le désert de Namibie est l’un des plus anciens et des plus secs au monde. Ce n’est pas un désert de sable mais d’ergs. L’orographie, ici le plateau de climat tempéré, modifie ces données[18]. Le long de la côte passe le courant de Benguela. Depuis la côte Angola-Namibie, un brouillard se dessine au-dessus de la mer quand la plage elle-même est dégagée. La côte est ainsi très sèche. La présence du plateau suscite des précipitations au sud, dans la région de Huambo. Les plaines côtières sont relativement sèches et reçoivent annuellement environ 300 millimètres de précipitations. Le climat est particulièrement humide dans l’enclave équatoriale de Cabinda. Les plateaux reçoivent 1 000 à 1 800 millimètres par an[19].

Subdivisions

Carte des subdivisions numérotées de l'Angola.

L'Angola est divisé en dix-huit provinces.

Économie

La république d'Angola est un producteur de matières premières, notamment des hydrocarbures et des pierres précieuses.

Son PIB par habitant était de 3 514 dollars en 2016 selon le FMI[20]. En 2022, l'Angola est classé en 127e position pour l'indice mondial de l'innovation[21].

Les années de fortes croissances économiques se sont aussi accompagnées d'un élargissement de la fracture sociale : « Entre 2003 et 2008, lorsque le produit intérieur brut (PIB) a progressé de 17 % en moyenne, les inégalités dans la distribution du revenu se sont accentuées avec l’accumulation de très grandes fortunes appartenant à une petite élite politique et entrepreneuriale. Il y a donc eu croissance sans développement », selon Alves Rocha, directeur du Centre d’études et investigation scientifique de l’université catholique de Luanda[22].

L'Angola est à la huitième place au palmarès des producteurs OPEP pendant la décennie 2010, derrière l'Arabie saoudite et l'Irak, l'Iran et les Émirats, mais aussi le Koweït, le Nigeria et le Venezuela. Il est le deuxième producteur africain après le Nigeria. Le pétrole fournit à l'État angolais 70 % de ses revenus[23].

Le marché noir est important et, en 2018, pourrait représenter 90 % de l’activité économique du pays[23].

Comme le reste de l’Afrique australe, le pays est exposé depuis plusieurs années à des épisodes de sécheresse qui affectent la production agricole et menacent la sécurité alimentaire des populations. Les petits éleveurs sont en outre chassés de leurs terres par les grands propriétaires et se retrouvent dans une situation de grande pauvreté, exposés à la faim et aux maladies (en étant souvent contraints de se nourrir de plantes sauvages)[24].

Démographie

Centre de formation dans la province de Moxico[25].

Le dernier recensement du pays a eu lieu en (il n'y en avait pas eu depuis 1970). Les résultats définitifs ont été publiés en . Selon ces données, la population de l'Angola est de 25 789 024 habitants, dont 12 499 041 hommes et 13 289 983 femmes, soit 100 femmes pour 94 hommes. Avec 6 945 386 habitants, on compte 26,9 % de la population du pays résidant dans la province de Luanda[26].

En 2014, toujours selon les résultats du recensement de , la pyramide des âges comprend 47,2 % de 0-14 ans ; 50,3 % de 15-64 ans et 2,3 % de plus de 65 ans. 65 % de la population a moins de 24 ans[26].

Les groupes ethniques les plus importants sont les Ovimbundu (37 % de la population), les Ambundu (25 %) et les Bakongo (13 %). On compte également 2 % de métis, 258 920 Chinois (2012)[27], et environ 200 000 Portugais (2013)[28].

Éducation

Une minorité importante de la population adulte se constitue d'analphabètes[29].

Le recensement de annonce que 66 % des plus de 15 ans sait lire et écrire et que 48 % de la population de plus de 18 ans n'a aucun diplôme[26].

15 % des dépenses du gouvernement du pays de la période 1998-2007 étaient destinées à l'éducation[29]. Le pays est confronté au défi de l'enseignement supérieur[30].

Langues

La Constitution du a été révisée le , le , le (loi de , pluralisme), le en ainsi que le . Jusqu'à la dernière version, les constitutions ne contenaient pas de disposition à caractère linguistique. Le portugais était la langue officielle de facto, puisqu’il n’était proclamé dans aucun texte juridique. Dans les lois ordinaires, quelques-unes contiennent une ou quelques rares dispositions d'ordre linguistique, que ce soit au sujet du portugais ou des langues nationales[31].

Dès la proclamation de l’indépendance, les dirigeants politiques angolais ont privilégié la langue qui leur paraissait la seule immédiatement disponible et opérationnelle : la langue du colonisateur, le portugais. Ce n'est qu'en 2010 que la Constitution du a inclus des dispositions d'ordre linguistique. En effet, l'article 19 de la Constitution proclame pour la première fois que le portugais est la langue officielle de la république d'Angola.

Selon les données du recensement de , 71 % des Angolais utilisent le portugais comme première ou deuxième langue[26]. Le portugais d'Angola est proche du portugais du Portugal, mais présente des caractéristiques propres aussi bien dans le vocabulaire et la syntaxe que dans la prononciation.

Six langues bantoues ont le statut de langue nationale[32] : umbundu (23 %), kikongo (8 %), kimbundu (8 %), tchokwé (7 %), nganguela (3 %) et kwanyama (2 %)[26] - [32] - [2]. Au total, 38 langues bantoues sont parlées comme langue maternelle ou seconde langue par les Angolais[33] - [32]. Le lingala est aussi présent depuis les années 1970 avec les quelque 400 000 Angolais de l'ethnie kongo qui ont fui du nord-ouest de l'Angola à la suite de la répression coloniale, réponse à l'insurrection anti-coloniale de l'UPA, en 1961, et qui se sont installés en république démocratique du Congo (ancien Zaïre). Surtout dans la région de Kinshasa, ces Angolais ont très souvent abandonné leur langue d'origine, le kikongo, pour passer au lingala, et en retournant en Angola ils ont « importé » cette langue. Il y a déjà une génération d'enfants, et de jeunes de plus de 25 ans, qui sont nés lingalophones en Angola sans avoir jamais été au Zaïre ou au Congo[34].

Religions

La religion principale en Angola est le christianisme[35], dont près des trois-quarts de la population du pays sont adeptes[36]. On dénombre environ 1 000 églises ou organisations / institutions religieuses officiellement reconnues[36]. 41,1 %[37] à 60 %[38] de la population angolaise est constituée par les membres de l'Église catholique introduite par les Portugais dès le XVe siècle. Environ un quart appartient aux Églises protestantes fondées pendant la période coloniale, aux XIXe et XXe siècles, surtout à l'Église évangélique congrégationnelle, concentrée dans le Plateau Central et les villes côtières avoisinantes, à l'Église méthodiste dont le fief est une région allant de Luanda jusqu'à Malange, ainsi que l'Église baptiste au Nord-Ouest, mais aussi les Églises luthériennes et reformées[39] - [40]. À ces Églises chrétiennes « traditionnelles » s'ajoutent les adventistes, les néo-apostoliques mais à partir de l'indépendance, souvent sous influence brésilienne, surtout de nombreuses communautés pentecôtistes ou semblables (y compris les Témoins de Jéhovah), qui surgissent en général dans les grandes villes. Il y a encore deux Églises chrétiennes-syncrétiques, l'Église kimbanguiste dont le centre se trouve en république démocratique du Congo, et l'Église tocoïste que s'est formée en Angola, toutes les deux des créations datant du temps colonial. Une proportion faible de la population, certainement inférieure à 5 %, se dit croyante d'une religion « animiste », mais un certain nombre de chrétiens, plus spécialement en milieu rural, maintient des croyances et pratiques « traditionnelles ». La proportion des musulmans, tous sunnites, est inférieure à 1 %. Il s'agit principalement d'immigrés de l'Afrique de l'Ouest.

Culture

Fêtes et jours fériés
DateNom françaisNom localRemarques
Nouvel AnAno Novo
Jours des martyrs de la répression colonialeDia dos mártires da repressão colonial
Jour de LuandaDia de LuandaSeulement à Luanda
Début de la lutte arméeInício da luta armada
Jour de la Femme africaineDia da Mulher africana
Fête de la VictoireFesta da Vitória
Jour de la paix et de la réconciliation nationaleDia da Paz e da Reconciliação Nacional
Vendredi saintSexta-feira Santa
Fête du TravailDia do Trabalho
Fête de l'AfriqueDia de ÁfricaLe jour de la fondation en 1963 de l'Organisation de l'unité africaine
Fête des EnfantsDia das Crianças
Anniversaire du Président NetoAniversário do nascimento do Presidente NetoAgostinho Neto est le fondateur de la république d'Angola
Jour des MortsFesta de Finados
Fête de l'IndépendanceDia da IndependênciaFête nationale
NoëlNatal

Lorsqu'un jour férié tombe un dimanche, le lundi suivant est chômé.

Sport

L'équipe d'Angola de football se qualifie pour la première fois de son histoire pour les phases finales de la Coupe du monde en 2006 en Allemagne. Elle y sera éliminée dès le premier tour, après un match serré contre le Portugal (défaite 0-1) et deux matchs nuls contre le Mexique (0-0) et l'Iran (1-1).

Le lundi , l'Angola est désigné pour organiser la Coupe d'Afrique des nations de football en 2010.

Du 20 au , l'Angola a organisé la 41e édition du championnat du monde de rink hockey à Luanda et Namibe.

Du au , l'Angola organise la CAN 2016 de handball féminin à Luanda où l'équipe d'Angola, onze fois vainqueur de l'épreuve et organisateur, est l'un des pays favoris à la victoire finale.

Codes

L'Angola a pour codes :

Voir aussi

Bibliographie

  • (en) Jakkie Cilliers, Angola’s war economy, Pretoria, Christian Dietrich, .
  • (en) Michael Cromerford, The Peaceful Face of Angola : Biography of a Peace Process (1991 to 2002, Luanda,
  • (pt) Manuel Ennes Ferreira, A indústria em tempo de guerra : Angola 1975-1991, Lisbonne,
  • (pt) Fernando Florêncio, « No Reino da Toupeira », dans Vozes do Universo Rural: Reescrevendo o Estado em África, Lisbonne,
  • (en) Global Witness, A Crude Awakening: The Role of the Oil and Banking Industries in Angola’s Civil War and the Plunder of State Assets, Londres, .
  • (en) Global Witness, A rough trade: The Role of Companies and Governments in the Angolan Conflict, Londres, .
  • (en) Global Witness, Conflict Diamonds: Possibilities for the Identification, Certification and Control of Diamonds, Londres, .
  • (pt) Global Witness, Os Homens dos Presidentes, Londres, .
  • (en) Fernando Andresen Guimarães, The Origins of the Angolan Civil War: Foreign Intervention and Domestic Political Conflict, Basingstoke, Palgrave,
  • (de) Franz-Wilhelm Heimer, Der Entkolonisierungskonflikt in Angola, Munich,
  • (en) Franz-Wilhelm Heimer, Social Change in Angola, Munich,
  • (en) Tony Hodges, Angola from Afro-Stalinism to Petro-Diamond Capitalism, Bloomington, Indiana University Press, .
  • (en) Tony Hodges, The Anatomy of an Oil State, Bloomington, Indiana University Press, .
  • (en) Human Rights Watch, The Oil Diagnostic in Angola: An Update Complete Report, New York, .
  • (en) International Monetary Fund, IMF Staff Country Report No. 99/25: Angola: Statistical Annex, Washington, D.C., .
  • (en) International Monetary Fund, Mission Concluding Statements: Angola-2002 Article IV Consultation, Preliminary Conclusions of the IMF mission, Washington D.C.,
  • Yves Loiseau, Pierre-Guillaume Roux, Jonas Savimbi, Cologne, .
  • Jean-Michel Mabeko-Tali, Barbares et citoyens: L'identité nationale à l'épreuve des transitions africaines: Congo-Brazzaville, Angola, Paris, L'Harmattan,
  • (en) Assis Malaquias, Rebels and Robbers: Violence in Post-Colonial Angola, Uppsala, Nordiska Afrikainstitutet,
  • (pt) Médecins sans frontières, Angola uma população sacrificada, Bruxelles, .
  • (en) Christine Messiant, L'Angola post-colonial: Guerre et paix sans démocratisation, Paris, Karthala,
  • Christine Messiant, L'Angola post-colonial: Sociologie politique d'une oléocratie, Paris, Karthala,
  • (en) Didier Péclard, « L'Angola dans la paix: Autoritarisme et reconversions », Politique africaine, , p. 5-121.
  • (pt) Manuel Alves da Rocha, Economia e Sociedade em Angola, Luanda, Nzila, .
  • (en) Keith Somerville, Angola: Politics, Economics and Society, Londres, Pinter,
  • Inge Tvedten, « La scène angolaise. Limites et potentiel des ONG », Lusotopie, vol. 1, , p. 171-188.
  • (pt) Nuno Vidal et Justino Pinto de Andrade, O processo de transição para o multipartidarismo em Angola, Luanda, , 3e éd.
  • (pt) Nuno Vidal et Justino Pinto de Andrade, Sociedade civil e política em Angola: Enquadramento regional e internacional, Luanda,
  • (fr) Portugal et espaces lusophones, Perspective 2021 | 1, INHA (ISBN 978-2-917902-91-2, lire en ligne, consulté le ).
  • Institut national d'histoire de l'art, Portugal et espaces lusophones, Paris, (ISBN 978-2-917902-91-2, OCLC 1277128340, DOI 10.4000/perspective.22046, lire en ligne)

Filmographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

  1. Investidura do Presidente da República. Rádio Nacional de Angola. 15 September 2022.
  2. (en) « Info-Angola », sur www.info-angola.ao (consulté le ).
  3. (pt) « Constituição da República de Angola », sur governo.gov.ao, (consulté le ).
  4. Rapport sur le développement humain 2021/2022 : Temps incertains, vies bouleversées : façonner notre avenir dans un monde en mutation, New York, Programme des Nations unies pour le développement, , 337 p. (ISBN 978-92-1-126452-4, lire en ligne).
  5. (en) « Gini index », sur Banque mondiale (consulté le ).
  6. (en) Martin J. Wolf, John W. Emerson, Daniel C. Esty, Alex de Sherbinin, Zachary A. Wendling et al., 2022 Environmental Performance Index, New Haven, Connecticut, États-Unis, Yale Center for Environmental Law & Policy, , 192 p. (lire en ligne [PDF]).
  7. Arol Ketchiemen et Odile Tobner, Dictionnaire de l'origine des noms et surnoms des pays africains, Favre, , 315 p. (ISBN 978-2-8289-1407-3, lire en ligne), p. 49
  8. Amadou Koné, De la guerre d'indépendance à la guerre civile et internationale en Angola : 1961-1991, Paris, Connaissances et savoirs, 252 p. (ISBN 978-2-7539-0228-2 et 2753902283, OCLC 862806117, BNF 43769809, lire en ligne).
  9. « José Eduardo dos Santos confirme sa retraite après trente-sept ans de pouvoir en Angola », Le Monde, (lire en ligne).
  10. « Angola : le parti au pouvoir remporte les élections générales », Le Monde, (lire en ligne).
  11. Joan Tilouine, « En Angola, Joao Lourenço désormais seul maître à bord », Le Monde, (lire en ligne).
  12. « Nelson Mandela et Cuba: une amitié basée sur la lutte anti-apartheid », L'Express, (lire en ligne, consulté le ).
  13. « Angola: l'opposition presse le président de garantir la régularité des élections », Le Point, (lire en ligne).
  14. Joan Tilouine, « Luanda Leaks : la croisade sélective du président angolais Lourenço contre la corruption », Le Monde, (lire en ligne).
  15. Joan Tilouine, « En Angola, la chute de la « princesse » Isabel met à mal le clan dos Santos », Le Monde, (lire en ligne).
  16. (en) H. S. Grantham, A. Duncan, T. D. Evans, K. R. Jones, H. L. Beyer, R. Schuster, J. Walston, J. C. Ray, J. G. Robinson, M. Callow, T. Clements, H. M. Costa, A. DeGemmis, P. R. Elsen, J. Ervin, P. Franco, E. Goldman, S. Goetz, A. Hansen, E. Hofsvang, P. Jantz, S. Jupiter, A. Kang, P. Langhammer, W. F. Laurance, S. Lieberman, M. Linkie, Y. Malhi, S. Maxwell, M. Mendez, R. Mittermeier, N. J. Murray, H. Possingham, J. Radachowsky, S. Saatchi, C. Samper, J. Silverman, A. Shapiro, B. Strassburg, T. Stevens, E. Stokes, R. Taylor, T. Tear, R. Tizard, O. Venter, P. Visconti, S. Wang et J. E. M. Watson, « Anthropogenic modification of forests means only 40% of remaining forests have high ecosystem integrity - Supplementary material », Nature Communications, vol. 11, no 1, (ISSN 2041-1723, DOI 10.1038/s41467-020-19493-3).
  17. (en) Geographical dictionary, Merriam-Webster (ISBN 0-87779-546-0 et 978-0-87779-546-9, OCLC 36083670, lire en ligne).
  18. Gérard Sournia (dir.), Atlas de l'Afrique, Paris, Jaguar, .
  19. « Le climat de l'Angola: Quand y aller? », sur Guide Voyages, (consulté le ).
  20. Présentation de l’Angola, sur France diplomatie, consulté le .
  21. WIPO, « Indice mondial de l'innovation 2022 », sur Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (consulté le )
  22. « Angola, le MPLA attendu au tournant », .
  23. En Angola, le gouvernement déclare la guerre au marché noir, lemonde.fr, .
  24. « En Angola, des milliers de petits éleveurs menacés par la sécheresse », Le Monde, (lire en ligne).
  25. Bénéficiant du fonds de la campagne « Ta journée pour l'Afrique » de l'organisation humanitaire allemande Aktion Tagwerk.
  26. (pt) « Instituto Nacional de Estatística », sur www.ine.gov.ao (consulté le ).
  27. Tom Phillips, « Chinese 'gangsters' repatriated from Angola » (version archivée), telegraph.co.uk, .
  28. Rita Siza, « José Eduardo dos Santos diz que trabalhadores portugueses são bem-vindos em Angola » (version archivée), publico.pt, .
  29. (en) « Angola », sur www.unicef.org (consulté le ).
  30. Geo, no 403, , p. 116.
  31. « Angola », sur www.axl.cefan.ulaval.ca (consulté le ).
  32. http://poing.me/layar/Colombia/brochuranoCrop.pdf
  33. (en) « Languages of Angola », sur ethnologue.com.
  34. Angolan People + United States Committee for Refugees and Immigrants, World Refugee Survey 2008 - Angola « Copie archivée » (version du 10 mai 2011 sur Internet Archive), .
  35. (en) Angola
  36. (pt) Fátima Viegas : Panorama das Religiões em Angola Independente (1975 - 2008). Ministério da Cultura / Instituto Nacional para os Assuntos Religiosos, Luanda, 2008
  37. (en) « The World Factbook — Central Intelligence Agency », sur www.cia.gov (consulté le ).
  38. (en) Paul Joseph (dir.), The SAGE Encyclopedia of War: Social Science Perspectives, Thousand Oaks, SAGE Publications, , 2104 p. (ISBN 9781483359885), p. 69.
  39. (en) Lawrence W. Henderson, The Church in Angola: A river of many currents, Cleveland / Ohio, Pilgrim Press,
  40. (de) Benedict Schubert, Der Krieg und die Kirchen: Angola 1961 - 1991, Luzerne, Exodus, .
Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.