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Saulce-sur-RhĂ´ne

Saulce-sur-Rhône est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Saulce-sur-RhĂ´ne
Saulce-sur-RhĂ´ne
La mairie.
Blason de Saulce-sur-RhĂ´ne
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement DrĂ´me
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Montélimar-Agglomération
Maire
Mandat
Stéphane VARGAS
2022-2026
Code postal 26270
Code commune 26337
DĂ©mographie
Population
municipale
1 838 hab. (2020 en stagnation par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 100 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 42′ 16″ nord, 4° 47′ 59″ est
Altitude Min. 76 m
Max. 161 m
Superficie 18,43 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Montélimar-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saulce-sur-RhĂ´ne
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Saulce-sur-RhĂ´ne
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Saulce-sur-RhĂ´ne
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Saulce-sur-RhĂ´ne
Liens
Site web www.saulce.com

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Saulce-sur-RhĂ´ne est situĂ©e Ă  km au sud de Loriol-sur-DrĂ´me (chef-lieu du canton) et Ă  18 km au nord de MontĂ©limar.

    Relief et géologie

    Sites particuliers :

    Hydrographie

    La commune se trouve sur la rive gauche du Rhône qui est doublé par le canal d'amenée[1].

    Elle est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

    • la Teysonne ;
    • Ruisseau de l'Olagnier ;
    • Ruisseau de VĂ©ronne.

    Voies de communication et transports

    La commune est traversée par la route Nationale 7.

    Elle est traversée par l'autoroute A7. Le péage le plus proche est à quelques kilomètres plus au nord : Sortie 16 Loriol-sur-Drôme.

    Urbanisme

    Typologie

    Saulce-sur-Rhône est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].

    La commune est en outre hors attraction des villes[5] - [6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (56,1 %), eaux continentales[Note 2] (13,7 %), forêts (12 %), cultures permanentes (10,5 %), zones urbanisées (4,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,3 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Quartiers, hameaux et lieux-dits

    Site GĂ©oportail (carte IGN)[1] :

    • Banse
    • Chardonnier
    • Château Freycinet
    • Château Gazavel
    • Château la Tour de Veyre
    • Clavelle
    • Clessat
    • Condamine Longue
    • Fouillas
    • la Bâtie
    • la Chaparde
    • la Dame
    • la MĂ©nagerie
    • la Motte
    • l'Apothicaire
    • la Puce
    • le Bosquet
    • le Colomb
    • le Colombier
    • le PavĂ©
    • les Blaches
    • les Chapelles
    • les Comtes
    • le Serre
    • les ĂŽles
    • les Reys de Saulce
    • les Rustes
    • Leydier
    • l'ĂŽle Borel
    • l'ĂŽle Tamissier
    • l'Olivette
    • Maison Astier
    • Maison Bardet
    • Maison Chastel
    • Maison Chastan
    • Maison Cholvy
    • Maison Courbier
    • Maison Defaysse
    • Maison Dubois
    • Maison Dufau
    • Maison Durand
    • Maison Faure
    • Maison Mourier
    • Maison Nury
    • Maison PĂ©lissier
    • Maison SĂ©rusclat
    • Maison Sestier
    • Meluret
    • PompeĂŻ
    • Saint-Pierre
    • Usine Berthenod

    Toponymie

    Attestations

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[8] :

    • 1771 : Sausse sur Mirmande (archives de la DrĂ´me, E 995).
    • 1891 : Saulce, commune du canton de Loriol.

    (non daté) : Saulce-sur-Rhône.

    Histoire

    Antiquité : les Gallo-romains

    Le territoire de la commune est traversé par la Via Agrippa. Une station est située au lieu-dit Bances (voir ce nom).

    Du Moyen Ă‚ge Ă  la RĂ©volution

    La terre fait partie de celle de Mirmande[8].

    La commune actuelle correspond approximativement à l'ancienne paroisse de Bances qui fut supprimée au XIVe siècle puis rétablie au XVIIe siècle sous le nom de paroisse des Îles de Bayes.
    Cette paroisse avait pour collateur l'évêque diocésain et pour décimateur l'abbé de Saou (en sa qualité de prieur de Saint-Didier de Mirmande)[8].

    XVIIe siècle : présence d'une relais de poste[9].

    Bances

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[10] :

    • 333 : Bantianis (ItinĂ©raire de Bordeaux Ă  JĂ©rusalem) ou Vancianis (variation du ms. de Paris).
    • Ve siècle : Batiana (Table de Peutinger).
    • Vers 700 : Untiana (Anonyme de Ravenne).
    • 1179 : mention de la paroisse : ecclesia Bancianis (cartulaire de Saint-Chaffre, 33).
    • 1549 : mention du prieurĂ© : prioratus Beate Marie de Bayno (rĂ´le de dĂ©cimes).
    • 1729 : mention du prieurĂ© : le priorĂ© de Notre-Dame de Bance (rĂ´le de dĂ©cimes).
    • 1891 : Bances, quartier de la commune de Saulce.

    Ancienne station romaine devenue plus tard le chef-lieu d'une paroisse du diocèse de Valence. Les dîmes appartenaient au prieur de Cliousclat (remplacé au XVe siècle par l'évêque de Valence).
    Supprimée dès le XIVe siècle, cette paroisse est remplacée, au siècle suivant, par un prieuré séculier dit de Notre-Dame de Bances ou de Bayes. Il était de la collation de l'évêque diocésain.
    Le , la circonscription paroissiale de Bances est érigée en succursale sous le nom de les Îles de Bayes[10].

    Le centre de population s'étant insensiblement déplacé, cette paroisse est devenue la paroisse puis, en 1860, la commune de Saulce[10].

    Château La Tour de Veyre

    Le toponyme serait issu de l'occitan veyre « voir ». Elle est en effet bâtie sur un bloc de poudingue d'où l'on peut « voir » la vallée du Rhône sur plus de trente kilomètres.

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[11] :

    • 1342 : bastida de Verre (inventaire des dauphins, 95).
    • 1359 : bastida de Verro (cartulaire de MontĂ©limar, 61).
    • 1360 : turris vocata de Verre et turris dal Verre (cartulaire de MontĂ©limar, 61).
    • 1695 : la Bâtie et Tour-du-Verre (archives de la DrĂ´me, C 936).
    • 1695 : la Bâtie-du-Verre (archives de la DrĂ´me, C 945).
    • 1739 : la Bâtie-de-Mirmande (archives de la DrĂ´me, E 2263).
    • 1766 : la Tour-du-Verre lez Mirmande (Devifz, notaire Ă  Lachamp).
    • 1891 : La Bâtie-Tour-de-Verre, château sur la commune de Saulce.

    En 2020, le site Géoportail donne l'appellation Château La Tour de Veyre[12].

    La seigneurie[11] :

    • Au point de vue fĂ©odal, la terre Ă©tait du fief des Ă©vĂŞques de Valence.
    • Possession des AdhĂ©mar (AdhĂ©mar de Monteil).
    • 1296 : elle passe aux Donzère (Guillaume de Donzère).
    • RecouvrĂ©e par les AdhĂ©mar.
    • 1489 : vendue aux Baile (Bayle, dont trois blasons sont incrustĂ©s dans les murs : deux dans la cour intĂ©rieure et un dans la cuisine ; ces blasons reprĂ©sentent un lĂ©vrier. Les armoiries de ces blasons ont Ă©tĂ© martelĂ©es Ă  la RĂ©volution).
    • Avant 1540 : passe (par mariage) aux Bannes, derniers seigneurs de la Bâtie-Tour-de-Verre (Paul-CĂ©sar de Banne (1732-1806), marquis de Puygiron, est le dernier seigneur de la Tour).

    De la RĂ©volution Ă  nos jours :

    • Charles-SĂ©bastien de Banne (1762-1836), fils du dernier seigneur, et sa mère Geneviève de Banne (1732-1812) restent propriĂ©taires.
    • 1812 : la Tour du Vère est vendue Ă  un alliĂ© de leur famille : le gĂ©nĂ©ral vicomte Joseph Marie de Pernety (1766-1856).
    • 1836 : Ernest de Soubeyran de Saint-Prix achète la Tour, ses dĂ©pendances et 123 hectares. Il s'y installe avec son Ă©pouse, AdĂ©laĂŻde Domet de Mont. Depuis, sept gĂ©nĂ©rations ont habitĂ© la Tour du Vère.
    • De nombreux artistes et des hommes politiques y ont sĂ©journĂ© ; Émile Loubet, prĂ©sident de la RĂ©publique, Ă©tant le plus connu.

    Évolution du bâtiment et du domaine :

    • Ă€ l'Ă©poque des AdhĂ©mar de Monteil, seule une partie du donjon existait. Il Ă©tait carrĂ©, accolĂ© des deux façades nord et est.
    • La famille Bayle ferma la cour intĂ©rieure au XVe siècle. On accĂ©dait Ă  cette dernière en calèche par une rampe d'accès qui se situait Ă  la place des marches actuelles menant Ă  la grande terrasse. Les Ă©curies se trouvaient Ă  la place du grand salon actuel.
    • La famille Banne a dĂ©corĂ© cette cour intĂ©rieure de fenĂŞtres et de portes d'Ă©poque Renaissance. Ils ont aussi apposĂ© au donjon une tour heptagonale qui contient un escalier Ă  vis montant au sommet du donjon et desservant les pièces. Une chapelle de style gothique fut construite dans la façade est.
    • Ernest de Saint-Prix apporta lui aussi de nombreux amĂ©nagements Ă  la Tour qui Ă©tait en partie ruinĂ©e. Il rĂ©nove les structures de la cour intĂ©rieure avec des portes, des escaliers et de nouvelles pièces. Il crĂ©e la façade sud. Il fait construire la grande terrasse ainsi que les escaliers qui remplacent la rampe carrossable. Il transforme les Ă©curies en salon : pour cela, il fait construire une voĂ»te et fait appel Ă  un peintre italien pour la dĂ©corer.
    Ernest de Saint-Prix dessine le parc et l'allée de platanes. Il embauche un ancien soldat du Génie de Napoléon à la Bérézina pour les terrassements et l'aménagement hydraulique.
    • Le fils d'Ernest, Camille de Saint-Prix poursuivit la restauration. Il embaucha un jardinier qui se rĂ©vĂ©lera si habile qu'il finira jardinier en chef des jardins du SĂ©nat (palais du Luxembourg) Ă  Paris.
    Camille était artiste-peintre, élève de Thomas Couture et ami de Gustave Courbet ; il eut l'idée de restaurer une vieille cheminée délabrée d'époque Renaissance qui se trouvait au château des Tourettes, distant de trois kilomètres, et plaça cette cheminée dans le salon.
    Au XIXe siècle, on cultivait la vigne mais après la destruction des pieds de vigne par le phylloxera, Camille construisit la magnanerie qui se trouve de l'autre cĂ´tĂ© de la grande cour, et planta 50 hectares de mĂ»riers pour l'Ă©levage du ver Ă  soie.

    De la RĂ©volution Ă  nos jours

    Le , la Compagnie du chemin de fer de Lyon à la Méditerranée (LM) ouvre à l'exploitation la section de Valence à Avignon qui traverse le territoire de la commune où elle met en service la gare de Saulce[13].

    Le , Saulce est distraite de la commune de Mirmande pour former une commune distincte du canton de Loriol.

    Le , la cour d'assises de la Drôme juge l'affaire Guillaume Bayon qui s'était déroulée à Saulce-sur-Rhône.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement Ă©tant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19.

    À la suite de l'élection municipale de 2020, le conseil municipal est composé de 4 adjoints et de 14 conseillers municipaux[14].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis 1860
    1860 1871 Joseph Rodet
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
    1871 1874 ?
    1874 1878 ?
    1878 1884 ?
    1884 1888 ?
    1888 1892 ?
    1892 1896 ?
    1896 1900 ?
    1900 1904 ?
    1904 1908 ?
    1908 1912 ?
    1912 1919 ?
    1919 1925 ?
    1925 1929 ?
    1929 1935 ?
    1935 1945 ?
    1945 1947 ?
    1947 1953 ?
    1953 1959 ?
    1959 1965 ?
    1965 1971 ?
    1971 1977 Gustave Joubert
    1977 1983 Eugène Royannez DVG
    1983 Henri Fauqué
    1989 Henri Fauqué
    1995 Henri Fauqué
    2001 Henri Fauqué
    2008 2014 Henri Fauqué DVG retraité
    2014 2020 Henri Fauqué maire sortant
    2020 (28 mai) 2022 (22 avril) Daniel Buonomo
    2022 (23 avril)
    (Ă©lection ?)
    En cours Stéphane Vargas[14]

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune a rejoint la communauté d'agglomération de Montélimar en 2010[15].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1861. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[17].

    En 2020, la commune comptait 1 838 habitants[Note 3], en stagnation par rapport Ă  2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 2911 2951 3141 2861 1671 1801 1981 1311 107
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 1261 1661 0321 0321 0501 0589571 0701 660
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
    1 1251 1991 2101 4431 6131 6211 6411 7681 844
    2020 - - - - - - - -
    1 838--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee Ă  partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Agriculture

    En 1992 : céréales, vergers, ovins[9].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château La Tour de Veyre (XIVe siècle remaniĂ©) : donjon, chapelle gothique, cour Renaissance[9] - [12] (voir plus haut : § Histoire).
    La tour du Vère : maison forte du XIIIe siècle avec enceinte circulaire, remaniée au XVIe siècle.
    • Château (de) Gazavel (XIVe siècle remaniĂ© au XVIe siècle et au XIXe siècle) : style Renaissance, quatre tours[9] - [12].
    • Lieu-dit La Motte[12] : maison forte du XVIe siècle remaniĂ©e au XIXe siècle.
    • Lieu-dit Meluret [12] : domaine du XIXe siècle.
    • Château (de) Freycinet[9] - [12].
    • Église Saint-Joseph de Saulce-sur-RhĂ´ne du XIXe siècle[9].

    HĂ©raldique, logotype et devise

    Saulce-sur-Rhône possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. https://www.geoportail.gouv.fr/
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 367 (Saulce).
    9. Michel de la Torre, DrĂ´me, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Saulce-sur-RhĂ´ne.
    10. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 18 (Bances).
    11. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 24 (Bâtie-Tour-de-Verre).
    12. GĂ©oportail (pour le toponyme)
    13. François et Maguy Palau, Le rail en France : Le Second Empire, t. 1 : 1852-1857, Paris, Palau éd., , 215 p. (ISBN 2-950-942-11-3, BNF 36712104), « 1.21. Avignon-Valence », p. 76-77.
    14. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
    15. « Intercommunalité », sur le site de la mairie (consulté le ).
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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