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La Ferté-Loupière

La Ferté-Loupière est une commune française, appartenant au territoire de Puisaye, située dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté.

La Ferté-Loupière
La Ferté-Loupière
La mairie.
Blason de La Ferté-Loupière
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Auxerre
Intercommunalité Communauté de communes de l'Aillantais
Maire
Mandat
Séverine Carron
2022-2026
Code postal 89110
Code commune 89163
Démographie
Gentilé La-Fertois
Population
municipale
524 hab. (2020 en augmentation de 6,29 % par rapport à 2014)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 53′ 47″ nord, 3° 14′ 10″ est
Altitude Min. 132 m
Max. 233 m
Superficie 30,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charny
Législatives Première circonscription
Localisation
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La Ferté-Loupière
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La Ferté-Loupière
Liens
Site web la-ferte-loupiere.fr

    Ses habitants sont appelés les La-Fertois.

    Géographie

    Localisation

    La Ferté-Loupière est située à 27 km d'Auxerre, à 126 km de Paris et à 150 km de Dijon.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est traversée par le Vrin et par le ru de Bellefontaine[1].

    Urbanisme

    Typologie

    La Ferté-Loupière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5] - [6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,1 %), forêts (23,5 %), zones agricoles hétérogènes (8,7 %), prairies (1,8 %), zones urbanisées (0,8 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    De nombreuses villes qui étaient des places de guerre, des places fortes, ont gardé ce nom de Ferté qu’on leur donna au Moyen Âge (du latin feritatem ou firmitatem qui signifiait lieu fortifié.

    Quant au mot Loupière, il semble s’apparenter à lupus, le loup, et s’expliquer par l’abondance en ces lieux, dans les temps anciens, de ces bêtes sauvages.

    Histoire

    L'église vers 1910.

    Situé à la porte septentrionale de la Puisaye, à 17 km de Joigny, le village de La Ferté-Loupière est implanté au creux de la vallée du Vrin, adossé aux plateaux boisés. Le village fut fortifié dès le Haut Moyen Âge et le cours d’eau a été dévié pour assurer une protection naturelle au pied des murs d’enceinte.

    Le Vrin contourne toujours le village et le traverse même en certains endroits. Les vestiges des fortifications qui subsistent au pied de la colline rappellent la prospérité passée du bourg. Pierre de Courtenay-Bléneau (1429-1504 ; seigneur depuis 1460/1461, voir ci-dessous) y fit d’ailleurs élever un château, à la fin du XVe siècle, dont le donjon est le seul vestige qui nous soit parvenu : coiffé d’un toit en poivrière, il conserve une fenêtre au linteau en accolade, des latrines en encorbellement et des meurtrières.

    Le château de La Vieille Ferté est bâti sur les hauteurs, au lieu-dit qui doit son nom à la forteresse primitive du XIIe siècle. Sa façade classique rappelle le château de Bontin, tout proche. Des Courtenay, vus ci-dessous, la Vieille-Ferté passa par mariage à la famille de Quinquet (d'origine écossaise ; voir plus loin), qui garda la Vieille-Ferté jusque dans la 2e moitié du XVIIIe siècle[9], avant de la céder à Alexandre de Gislain de la Brosse, qui avait épousé mademoiselle de la Prée de Bontin[10]. Cette nouvelle famille passa le temps de la Révolution à La Vieille-Ferté, avant de vendre le domaine en 1822 au baron François-Marie de Monnier du Gazon (1781-1863), maire de la Ferté-Loupière de 1825 à 1830, conseiller général de l'Yonne[11], beau-père du comte Louis-Gaston-Charles de Tryon-Montalembert (fils de Louis-Joseph[12]) qui, à son tour, fut maire de La Ferté-Loupière (voir ci-dessous > liste des maires).

    Le village conserve une disposition urbaine héritée de l'époque médiévale. Protégé par sa muraille, il est centré sur la place principale où se font face l'église et la halle, concrétisant le rapport étroit entretenu au Moyen Âge entre le pouvoir spirituel et le pouvoir économique. Construits avec les matières premières locales, les bâtiments reflètent la diversité des matériaux bourguignons : pierre calcaire, briques moulurées ou formant des motifs géométriques pour agrémenter des façades, pans de bois et torchis pour les bâtiments plus modestes, crépis ocrés jaunes ou rouges, tuiles bourguignonnes.

    Seigneurie de La Nouvelle-Ferté (La Ferté-Loupière)

    La Vieille-Ferté et la Nouvelle-Ferté-Loupière[13] - [14] étaient une possession des comtes de Blois-Champagne, suivis par leurs descendants les comtes de Sancerre (Etienne de Sancerre, † vers 1191, était le troisième fils du comte Thibaut IV). Un échange vers 1264/1265/1266 fit passer La Ferté aux Courtenay-Champignelles[15], contre un domaine détenu depuis 1250 environ par cette famille capétienne : Charenton (voir des précisions à cet article ; tant les Sancerre que les Courtenay-Champignelles descendaient en lignée féminine des Charenton en Berry, les Courtenay descendant aussi des Montfaucon en Berry).

    Guillaume de Courtenay (1228-1280 ; fils de Robert), et ses propres fils (Jean Ier ; 1265-1318) et petit-fils (Philippe ; 1292-1346), furent donc les premiers Courtenay-Champignelles à jouir de La Ferté-Loupière. Philippe fut d'ailleurs la souche de la 1re branche de Courtenay-La Ferté-Loupière, suivi par son fils Jean Ier (1346-1412) et son petit-fils Jean II de La Ferté-Loupière (1388-1438).

    La veuve de Jean Ier, sa petite-cousine Anne de Thianges (fille d'Erard II de Thianges-Vallery et d'Alix de Courtenay — fille de Jean II de Courtenay-Champignelles et cousine germaine dudit Jean Ier de La Ferté-Loupière), légua à son propre cousin germain, Jean Ier de Courtenay-Champignelles-Bléneau (1379-1460), seigneur de Bléneau, dont le fils cadet Pierre de Courtenay (1429-1504) fonda la 2e branche de Courtenay-La Ferté-Loupière, avec son fils Hector (1475-1549) et son petit-fils René de Courtenay (1510-1562) (→ dans la fratrie d'Hector, Jean reçut Chevillon, Charles puis Louis eurent Bontin, et Edmée de Courtenay, dame de la Vieille-Ferté, épousa Guillaume de Quinquet en 1510 : voir ci-dessus).

    La sœur héritière de René, Jeanne de Courtenay (1514-ap.1597), dame de Villeneuve-la-Cornue, épousa en 1° noces en 1544 Guillaume de Saint-Phalle de Cudot († 1563/1564) seigneur de Neuilly, alors qu'une de leurs sœurs cadettes, Barbe de Courtenay, mariait le frère de Guillaume, Philippe de St-Phalle, sgr. de Thou en Puisaye. Jeanne et Guillaume eurent Claude de St-Phalle, père d'Edme (x Antoinette de Chamigny, petite-fille de François Ier de Chamigny de Briare, gouverneur de Gien et Montargis), lui-même père de Georges de St-Phalle (né en 1624-† vers ou ap. 1687)[16].

    Vers (ou après) 1687, Jules-Louis Bolé de Chamlay (1650-† 1719 sans postérité), maréchal général des Logis, possédait les anciens biens des St-Phalle à La Ferté et environs (son père Alexandre-Simon Bolé, † 1673, avait acquis Chamlay, Volves et Villemer en 1663 ; Jules-Louis acheta Neuilly, Aillant, Arblay, Charmeaux et La Ferté-Loupière entre 1680 et 1709, et obtint un fief alsacien des Rathsamhausen, Baldenheim, en 1689)[17]. Le maréchal général des Logis laissa La Ferté à sa cousine au 3° degré Julie Isnard, elle-même cousine de François-Charles Tourmente, qui finalement hérita et légua en 1724/1728 au duc Louis-Nicolas de Neufville de Villeroy (1663-1734), pair de France, lieutenant-général, comte de Joigny. Le fils de ce dernier, le duc Louis-François-Anne, vendit le 11 mai 1760 à Claude-Mathieu Radix de Chevillon, payeur des Rentes de l'Hôtel-de-Ville, qui céda en 1784 La Ferté et Chevillon pour 300 000 livres au marquis Etienne-Philippe-Pardoux de Villaines (1740-1802 ou -1794 ? ; d'où l'hôtel de Villaines à La Châtre ; issu d'une famille berrichonne : cf. Vilaine à Charly)[18] - [19] - [20] : émigré en 1792, les domaines de ce dernier sont décrétés biens nationaux et vendus ; les bois de La Ferté sont récupérés par les Villaines en 1815 et mis en vente : Casimir Perier acheta alors les bois des Morisois avant de les revendre en 1830.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    19 mai 1860 Louis Gaston Tryon de Montalembert
    Aimeric Charles Raoul Tryon de Montalembert
    2001 2014 Jean Ravisé[21] Président de la société d'horticulture de l'Yonne
    2014 en cours Irène Eulriet Brocardi DVD
    puis Agir, la droite constructive[22]
    Sociologue
    Conseillère départementale

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

    En 2020, la commune comptait 524 habitants[Note 2], en augmentation de 6,29 % par rapport à 2014 (Yonne : −2,24 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1601 1961 1531 1371 3081 3291 2871 3521 348
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4411 4061 4281 3911 3681 2701 2991 3251 220
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1901 1341 082932937906838809777
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    735638602630540561572574497
    2017 2020 - - - - - - -
    532524-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Le développement du village

    Jardin du Prieuré. Ce jardin de curé est privé mais son propriétaire en laisse l'accès libre aux visiteurs.

    Située à proximité de la première sortie bourguignonne de l'autoroute A6 en provenance de Paris, La Ferté-Loupière bénéficie d'un important apport de population urbaine désireuse de retrouver le rythme de vie d'un village de province. La municipalité gère ce développement en évitant la banlieurisation du bourg et en limitant la pression foncière.

    Déjà forte de son festival Art et culture qui se tient au printemps, de ses expositions de prestige de l'été, de sa boutique de dépôt-vente ouverte toute l'année réunissant des œuvres d'artistes et des livres d'auteurs de la région, la Ferté-Loupière ambitionne de devenir un village d'artistes qui soit à la fois un lieu de production, d'exposition et de vente d'œuvres d'art.

    Culture locale et patrimoine

    la Danse Macabre, fresque.
    La rivière le Vrin et l'église.

    L’église Saint-Germain

    L’église Saint-Germain de La-Ferté-Loupière dépendait du prieuré des chanoines des Augustins du Mont-aux-Malades-de-Rouen. Elle est construite à l’est du village, en bordure des anciens fossés qui le protégeaient.

    L’église abrite une des rares Danses Macabres existant en France. Elle est précédée d'un Dit des trois morts et des trois vifs. Cette représentation murale montre trois jeunes gentilshommes interpellés dans un cimetière par trois morts qui leur rappellent la brièveté de la vie et l'importance du salut de leur âme.

    Patrimoine environnemental

    La commune inclut deux ZNIEFF :

    • ZNIEFF des étangs, prairies et forêts du Gâtinais sud oriental[27] - [28]. L'habitat particulièrement visé par cette ZNIEFF est fait d'eaux douces stagnantes ; les autres habitats inclus dans la zone sont des eaux courantes, des prairies humides et mégaphorbiaies, et des bois ;
    • ZNIEFF de l'étang du Martroi, une zone de 25 ha le long de la D 145 vers Charny (dans l'Ouest de la commune), qui inclut et entoure l'étang du Martroi, et qui s'étend également sur Chevillon. Les eaux douces stagnantes sont là aussi l'habitat particulièrement visé par cette ZNIEFF[29].

    Personnalités liées à la commune

    Prix et concours

    • 2006 : Le jardin du Prieuré obtient le Premier prix Parcs et Jardins[30].

    Les légendes

    La légende veut que la Ferté-Loupière, peu après que les tours furent bâties, fut attaqué par une meute de loups. Chassés de leur village, les La-Fertois s'abritèrent dans les collines environnantes, puis, après avoir repris des forces, chassèrent les bêtes féroces de leur village.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • P. Megnein, La danse macabre de La Ferté-Loupière, 1938

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 04/2020
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. « Famille de Quinquet », sur Terres et seigneurs en Donziais, Familles donziaises.
    10. « Alexandre de Gislain », sur Geneanet Pierfit.
    11. « François Monnier, baron de l'Empire, par Jean-Pierre Bibet », sur Les Amis du Patrimoine napoléonien.
    12. « Louis-Gaston-Charles de Tryon-Montalembert », sur Geneanet, Généalogie de Jean-Paul Dagorn.
    13. « Notice historique sur les châtellenies de La Ferté-Loupière, p. 67-100, par Félicien Thierry », sur Annuaire historique du département de l'Yonne, chez Perriquet et Rouillé, à Auxerre, 1858.
    14. « Histoire de La Ferté-Loupière, d'après « Histoire des communes de l’Yonne », par Maurice Pignard-Peguet, 1913 », sur Mon village, La Ferté-Loupière.
    15. « Maison de Courtenay, p. 7, 8, 11, et 15 notamment, par Etienne Pattou, 2005 », sur Racines & Histoire.
    16. « Georges de St-Phalle », sur Geneanet Pierfit.
    17. « Fortune et train de vie, mort et succession de Jules-Louis Bolé de Chamlay », sur Chamlay, le stratège secret de Louis XIV, par Jean-Philippe Cénat, aux Editions Belin, 2011 ; mis en ligne par Google.
    18. « Étienne-Philippe Pardoux, marquis de Villaines », sur Bibliothèques de Châteauroux : Dossiers > Portraits.
    19. « Etienne-Philippe de Villaines », sur Rodovid.
    20. « La maison de Villaines, p. 791-798, cette dernière page notamment », sur Dictionnaire de la Noblesse, t. XII, par François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois, chez Antoine Boudet, à Paris, 1778.
    21. Conseil général de l’Yonne, Ma Commune, consulté le 24 décembre 2013.
    22. http://www.auxerretv.com/content/index.php?post/2019/01/20/Lancement-d-Agir-dans-l-Yonne-La-Droite-constructive
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    27. ZNIEFF 260014900 - Étangs, prairies et forêts du Gâtinais sud oriental sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
    28. La ZNIEFF des étangs, prairies et forêts du Gâtinais sud oriental rassemble plusieurs sites de mêmes caractéristiques, et nombre de ces sites s'étendent sur des parties de plusieurs communes. Les communes concernées par cette ZNIEFF sont : Aillant-sur-Tholon, Béon, Charny, Chassy, Chevillon, Cudot, Dracy, La Ferté-Loupière, Grandchamp, Merry-la-Vallée, Les Ormes, Parly, Perreux, Précy-sur-Vrin, Prunoy, Saint-Aubin-Château-Neuf, Saint-Denis-sur-Ouanne, Saint-Martin-sur-Ocre, Saint-Romain-le-Preux, Senan, Sépeaux, Sommecaise, Toucy, Villefranche, Villiers-Saint-Benoît, Villiers-sur-Tholon et Volgré.
    29. ZNIEFF 260014906 - Étang du Martroi sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
    30. Ancien jardin du petit prieuré (28 ares), restauré par le maire Jean Ravisé.
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