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Tribehou

Tribehou (prononcĂ© tʁibu) est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Manche en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 515 habitants[Note 1].

Tribehou
Tribehou
Tribehou et son Ă©glise Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Manche
Arrondissement Saint-LĂŽ
Intercommunalité Communauté de communes de la Baie du Cotentin
Maire
Mandat
GĂ©rard Charrault
2020-2026
Code postal 50620
Code commune 50606
DĂ©mographie
Gentilé Triboudais
Population
municipale
515 hab. (2020 en diminution de 2,83 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 52 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 12â€Č 50″ nord, 1° 14â€Č 38″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 24 m
Superficie 9,97 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-LĂŽ
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Pont-HĂ©bert
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Tribehou
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Tribehou
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Tribehou
Liens
Site web www.tribehou.fr

    GĂ©ographie

    La commune est dans le périmÚtre du parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin.

    Elle se compose d'un bourg principal (Tribehou) et de plusieurs écarts : le Port, l'Isle, l'HÎtel Borel, l'HÎtel Fontain, Ferme de la Cour, la Mirrerie, la Ramée, l'HÎtel es Bas, le Bosq, la Mare, le Rivet, la Vincenterie, la Rue es Meulets, Saint Martin, la Petite Ramée, Ferme de la Motte, Gournay.

    Tribehou est occupée par plusieurs marais au nord, nord-ouest de son territoire : Grand Marais, marais de la Baritte, marais du Fresnay, le marais de Haut. Elle est bordée à l'ouest par le Lozon, à l'est par la Terrette et les marais du Hommet-d'Arthenay. Elle est traversée par la riviÚre du Moulin. Ces trois derniers cours d'eau alimentent la Taute, juste au nord de Tribehou.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 936 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Pont-HĂ©bert », sur la commune de Pont-HĂ©bert, mise en service en 1996[8] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 972,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10].

    Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et Ă  49 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,6 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  11,9 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Tribehou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-LĂŽ, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 63 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (95,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (71,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (15,2 %), terres arables (7,7 %), zones urbanisĂ©es (5,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes : Tribehou XIIe siÚcle ; Tribohou en 1184 ; Tripehou en 1212 ; Tribouhou en 1395[22].

    La prononciation est tʁibu[23].

    De l'anthroponyme germanique Trisboldus et du saxon ho, « ßle, presqu'ßle, promontoire »[22].

    Le gentilé est Triboudais.

    Microtoponymie

    Le hameau Gournay : Gournay est initialement un type toponymique issu du gaulois *Gornacon. Il est basé sur les éléments *gorn-, thÚme hydronymique mal éclairci et le suffixe gaulois -acon de localisation (du celtique commun *-āko-), latinisé en -acum ou -acus dans les textes. La commune est entourée par les eaux.

    Les hameaux en Y-Ăšre/-erie sont des habitats ultĂ©rieurs, rĂ©sultant du dĂ©veloppement dĂ©mographique de la Normandie. Ils dĂ©signaient la ferme de la famille Y, fondĂ©e sur les nouvelles terres obtenues par les grands dĂ©frichements des XIe – XIIIe siĂšcle. Les essarts prennent le nom des dĂ©fricheurs, suivi de la dĂ©sinence -erie ou -iĂšre[Note 9]. Les autres hameaux en HĂŽtel / Le / Maison... Y sont des constructions encore plus tardives, ils dĂ©signent la propriĂ©tĂ© de la famille Y.

    Histoire

    Dans la premiÚre moitié du XIIe siÚcle, la paroisse relevait de l'honneur du Hommet[24].

    Circonscriptions administratives avant la RĂ©volution

    • GĂ©nĂ©ralitĂ© : Caen.
    • Élection : Carentan et Saint-LĂŽ (1612/1636), puis Saint-LĂŽ (1713).
    • Sergenterie : Carentan.

    Politique et administration

    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1807 1819 Guillaume Louis Darthenay Conservateur Député du Calvados (1805-1814)
    avant 1988 1995 Louis Darthenay
    juin 1995[25] avril 2014 RĂ©mi Regnault SE Agriculteur et batelier
    avril 2014[26] 2020 Raymonde Dujardin SE Retraitée
    2020 En cours GĂ©rard Charrault
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[27].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[29].

    En 2020, la commune comptait 515 habitants[Note 10], en diminution de 2,83 % par rapport Ă  2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Tribehou a comptĂ© jusqu'Ă  1 179 habitants en 1806.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0411 1151 1791 1381 1181 1381 1401 1441 157
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1011 1021 0821 0041 0331 0201 0371 007944
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    975959903752706741706651644
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    668638587528499519508516497
    2014 2019 2020 - - - - - -
    530520515------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La laiterie coopérative de Tribehou.

    La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et CrÚme d'Isigny[32].

    Lieux et monuments

    La gabarre de Tribehou.
    • Une ancienne gabare (retrouvĂ©e au fond des marais) qui se trouve en face de l'Ă©cole sous un abri typique de la rĂ©gion des Marais du Cotentin et du Bessin. Cet abri est constituĂ© de murs en torchis et d'un toit en chaume et a Ă©tĂ© construit par les habitants de la commune.
    • Église Notre-Dame, avec son cimetiĂšre.
    • Le monument aux morts Ă©rigĂ© en 1926, situĂ© dans le cimetiĂšre. Il est surmontĂ© de la statue La Victoire en chantant, rĂ©alisĂ©e par Charles Édouard Richefeu.
    • Rives de la Taute entre ses confluents avec la Terrette et le Lozon.
    • Rue de l'Isle et rue de la Baritte : maisons typiques en terre argileuse.
    • La Hoguette.
    • Une ancienne forge de Tribehou a Ă©tĂ© rĂ©novĂ©e. Elle se trouve sur la place du bourg, en face de l'Ă©cole. Ouverte au public pour visite.
    • La motte de Tribehou. Elle est situĂ©e au fond d'un vallon, sur la route allant des Champs-de-Losque Ă  Tribehou, sur la droite et aujourd'hui en plein champ, mais on pouvait encore voir il y a quelques annĂ©es, Ă  trĂšs peu de distance de son emplacement, les ruines de l'Ă©glise et du presbytĂšre de la paroisse de Saint-Martin-des-Champs aujourd'hui disparue[33]. La motte, qui est en contrebas par rapport aux champs alentour, est assez vaste mais trĂšs aplanie. Elle occupe une grande partie de ce champ long et Ă©troit nommĂ© la butte, mais il est difficile de prĂ©ciser ses dimensions[34].

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Voir Histoire de la Normandie#Bilan de la période ducale.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Pont-Hébert - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Tribehou et Pont-Hébert », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Pont-Hébert - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Tribehou et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station mĂ©tĂ©orologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la pĂ©riode 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le )
    13. « Station mĂ©tĂ©orologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la pĂ©riode 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le )
    14. « Station mĂ©tĂ©orologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la pĂ©riode 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    22. Ernest NÚgre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1009 (ISBN 2600001336).
    23. RenĂ© Lepelley, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de communes de Normandie, CondĂ©-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2, BNF 36174448), p. 259.
    24. Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siĂšcle) : Étude historique et topographique », dans ArchĂ©ologie mĂ©diĂ©vale, t. 12, (lire en ligne sur PersĂ©e.), p. 188.
    25. « Les marais du Cotentin ont une histoire à raconter », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    26. « Raymonde Dujardin élue maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    27. « Tribehou (50620) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. AOP Beurre d'Isigny et CrĂšme d'Isigny
    33. Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siĂšcle) : Étude historique et topographique », dans ArchĂ©ologie mĂ©diĂ©vale, t. 12, (lire en ligne sur PersĂ©e.), p. 193.
    34. Delacampagne 1982, p. 198.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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