Nexon (Haute-Vienne)
Nexon (Neiçon [nejˈsu] en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.
Nexon | |||||
Ville de Nexon. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Haute-Vienne | ||||
Arrondissement | Limoges | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Pays de Nexon Monts de Chalus (siège) |
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Maire Mandat |
Fabrice Gerville-Reache 2020-2026 |
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Code postal | 87800 | ||||
Code commune | 87106 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Nexonnais | ||||
Population municipale |
2 511 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 62 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 40′ 45″ nord, 1° 11′ 17″ est | ||||
Altitude | Min. 295 m Max. 446 m |
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Superficie | 40,79 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Limoges (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Yrieix-la-Perche | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | http://www.nexon.fr | ||||
C'est l'une des six villes-portes du parc naturel régional Périgord-Limousin.
Géographie
La commune de Nexon a une superficie de 40,8 km2. La plus grande ville la plus proche est Limoges, située à 18 km au nord-est.
Le territoire communal est traversé par la rivière l'Aixette et par le ruisseau le Crassat qui y prend sa source.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1970 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,5 | 0,7 | 2,8 | 4,7 | 8,2 | 11,4 | 13,2 | 12,8 | 9,8 | 7,6 | 3,2 | 1,4 | 6,4 |
Température moyenne (°C) | 4,1 | 5 | 7,9 | 10,2 | 14,1 | 17,5 | 19,6 | 19,3 | 15,9 | 12,5 | 7,3 | 4,9 | 11,6 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,7 | 9,4 | 12,9 | 15,7 | 19,9 | 23,5 | 26,1 | 25,9 | 22 | 17,4 | 11,3 | 8,4 | 16,7 |
Record de froid (°C) date du record |
−22 16.01.85 |
−14,5 10.02.86 |
−12 01.03.05 |
−6,4 08.04.21 |
−2,5 06.05.19 |
2,3 07.06.20 |
3 04.07.90 |
2 20.08.72 |
0,4 18.09.01 |
−5 26.10.03 |
−10 23.11.88 |
−12 29.12.96 |
−22 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
17,9 01.01.22 |
23,5 27.02.19 |
26 19.03.05 |
30 30.04.05 |
33 15.05.92 |
37,9 30.06.15 |
39,4 16.07.15 |
39 05.08.03 |
34 03.09.05 |
29 04.10.86 |
24 02.11.81 |
19 07.12.86 |
39,4 2015 |
Précipitations (mm) | 97 | 78,9 | 76,6 | 94,3 | 94,2 | 70,4 | 63,5 | 66,3 | 83,3 | 92,7 | 104,3 | 104,5 | 1 026 |
Urbanisme
Typologie
Nexon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [8] - [9] - [10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11] - [12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (40,5 %), zones agricoles hétérogènes (36,1 %), forêts (11,6 %), terres arables (6,7 %), zones urbanisées (5,1 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Nexon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[16]. 34,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6] - [17].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[14].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Nexon est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[18].
Toponymie
De Aneisso en 1031 - 1059[19].
Peut-être du bas latin annexio « adjonction » au sens de « rattachement d'un territoire » ou « annexe d'une église », qui rappelle ici l'appartenance et le rattachement de cette terre, puis plus tard de sa cure, au domaine de Lastours[20] ou plutôt du nom d'homme gaulois Anectius, suivi du suffixe gaulois -onem[21], en effet les toponymes formés à partir d'un nom de personne gaulois suivi de ce suffixe sont courants en France.
Histoire
Saint patron : On a coutume de lui attribuer pour patron Saint Ferréol, toutefois, c'est bien Jean-Baptiste, à qui fut dédié le patronage de Nexon, dans son église paroissiale de la Décollation-de-Saint-Jean-Baptiste.
Nexon est située au bord de la grande voie antique qui reliait, au long du premier millénaire, Bourges à Bordeaux. L'histoire de Nexon est rattachée à celle des Lastours, premiers barons du Limousin et seigneurs de Nexon, Hautefort et Pompadour, puis par le mariage d'Agnès de Lastours à Guy de Nexon au XIIIe siècle[22] et par la vente de cette co-seigneurie, avec ses droits de justice, vassaux, hommages, colombier… par Galliot de Lastours à Léonard de Gay en 1532.
En 1569, cinq jours avant la bataille de La Roche-l'Abeille, Wolfgang de Bavière, duc des Deux-Ponts qui apportait des renforts en mercenaires aux protestants, atteint de fièvres, vient mourir à Nexon, « dans les bras de Louis de Nassau, prince d'Orange », ses entrailles déposées dans un tombeau retrouvé au XIXe siècle dans le jardin de la demeure ancestrale de Jean-Joseph de Verneilh-Puyraseau, co-seigneurs de Nexon[23] depuis l'an 1600. Sa tombe fut érigée sur l'actuelle place de l'Église.
C'est en 1633 que Léonard de Gay achève de construire le château qui restera, pendant 350 ans, celui de la famille de Gay de Nexon jusqu'en 1983, où la mairie en fait l'acquisition du baron Ferréol de Nexon, dernier propriétaire en titre[24].
Histoire contemporaine
La ville de Nexon est entrée dans l'Histoire de la Seconde Guerre mondiale car elle fut le siège d'un centre de regroupement pour les juifs étrangers arrêtés dans la région par la police et la gendarmerie françaises sur ordre du gouvernement de Vichy. C'est de là que les victimes furent envoyées au camp de Drancy et de là vers les camps d'extermination (Auschwitz, Treblinka en particulier).
Le 12 novembre 1938, le gouvernement Édouard Daladier publie un décret prévoyant la création de centres spéciaux pour l'internement des « étrangers indésirables ».
Le centre de séjour surveillé de Nexon fut achevé dans le courant de 1940 et accueillit des prisonniers politiques en novembre 1940 après avoir « hébergé » des réfugiés espagnols.
Il comprenait treize baraques permettant d'abriter 1 200 internés ; quatre constructions supplémentaires porteront la capacité d'accueil à 1 600 personnes. Il était entouré d'un réseau de barbelés et surveillé par quatre miradors, complétés par des chevaux de frise.
Compte tenu du transfert fréquent d'internés vers d'autres camps français ou allemands et de la main-d'œuvre que l'occupant y puisait, l'effectif varia de 150 à 700 détenus, en majorité communistes et syndicalistes.
Le 29 août 1942, 450 Juifs dont 68 enfants de la région de Limoges sont arrêtés et rassemblés à Nexon. Ils seront livrés aux nazis et déportés à Auschwitz. Des israélites âgés évacués du camp du Récébédou trouvèrent « refuge » à Nexon.
À la suite de sa dissolution en novembre 1943, les internés du camp de Gurs sont également transférés à Nexon.
L'attaque du camp par les FFI le 11 juin 1944 provoqua une coupure d'électricité qui est mise à profit par 54 détenus pour s'évader. Les autres internés sont acheminés à Limoges au camp du Grand Séminaire. Nexon redevient alors un camp d'internement administratif qui est définitivement fermé en 1945.
Les conditions de vie au C.S.S. (centre de séjour surveillé) de Nexon étaient dures et bon nombre d'internés souffrirent d'un manque d'hygiène et de malnutrition[25].
Politique et administration
Liste des maires
Politique environnementale
Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[28]. Nexon a obtenu en 2007 le Prix Val'hor de la diversité végétale[29].
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Nexonnais[30].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].
En 2020, la commune comptait 2 511 habitants[Note 7], en diminution de 2,07 % par rapport à 2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
L'économie de Nexon a été en premier lieu liée à la guerre, par l'élevage de chevaux destinés aux combats militaires, pratiqué par la famille de Nexon sur ses terres. C'est dans les haras de Nexon qu'ont été élaborés les croisements qui ont donné naissance à la race anglo-arabe[35]. Au XIXe siècle, l'élevage équin du baron de Nexon à partir des années 1840 est considéré comme le plus important du Limousin[36].
Aujourd'hui, les haras du Château sont le siège du centre équestre de Nexon, doté depuis 2007 d'un manège couvert et de tous les équipements nécessaires à la tenue de concours hippiques.
Activités industrielles
- Siège de l'usine SOFRANCE (groupe Safran), spécialisée dans l'expertise de filtrages (aéronautique) qui emploie 165 salariés.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château de Nexon
- L'église fortifiée de la Décollation-de-Saint-Jean-Baptiste de Nexon : L'abside et le chœur ont été inscrits au titre des monuments historique en 1926[37].
- La gare de Nexon
Équipements culturels
- Centre Social / Point Information Jeunesse
- Le Sirque - pôle national des arts du cirque, équipé d’un chapiteau permanent installé dans le parc du château de Nexon[38].
- 2011, « les 10 ans du chapiteau » (été 2001 - été 2002) lancé par le ministère de la Culture et de la Communication, une opération de renforcement de la politique publique en faveur du secteur : attribution du label national pour le Sirque, Pôle National des Arts du Cirque de Nexon en Limousin (PNC), au cœur d’un réseau de dix établissements culturels en France.
- La médiathèque Markoff, construite grâce au legs, est gérée par la communauté de communes.
Personnalités liées à la commune
- Wolfgang de Bavière (1526-1569), duc des Deux-Ponts, mort à Nexon, fils de Louis II de Bavière et Élisabeth de Hesse (1503-1563).
- Maurice de Nexon (1884-1967), jockey.
- Robert de Nexon (1892-1967), éleveur de chevaux, ancien président de la Fédération française de bridge, ancien président de la Maison Chanel.
- Henri Charrett (1901-1972), acteur né à Nexon
- Annie Fratellini (1932-1997), artiste de cirque.
- Pierre Etaix (1928-2016), réalisateur.
Héraldique
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Les armoiries de Nexon[39] se blasonnent ainsi : |
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Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 87106001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Nexon », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
- Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin - 1862 - Page 41
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 496b.
- driout.club.fr
- Mes souvenirs de 75 ans, Baron Jean-Joseph de Verneilh-Puyraseau, Limoges, Bardou, 1836; p. 3-7.
- Bulletin archéologique du Limousin, 1846 ; p. 555.
- Le camp fantôme, Tessa Racine, documentaire, 52 min, France 3 Limousin, 2005, DVD et Blu-ray (ASIN B000NN9X0I).
- « Les maires de la commune » (consulté le ).
- Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
- Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
- Palmarès 2007 Villes et villages fleuris.
- « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Race anglo-arabe
- Nicole de BLOMAC, La gloire et le jeu. Des hommes et des chevaux 1766-1866, Paris, Librairie Arthème Fayard, 1991
- « Eglise de la Décollation de Saint-Jean-Baptiste », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- cirquenexon.com
- « Les armoiries de la commune », sur blason-des-villes.e-monsite.com (consulté le ).