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Saint-Hilaire-les-Places

Saint-Hilaire-les-Places (Sent Alari las Plaças en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Hilaire-les-Places
Saint-Hilaire-les-Places
L'église Saint-Hilaire.
Blason de Saint-Hilaire-les-Places
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes Pays de Nexon Monts de Chalus
Maire
Mandat
Sylvie Vallade
2020-2026
Code postal 87800
Code commune 87150
Démographie
Population
municipale
831 hab. (2020 en diminution de 6,1 % par rapport à 2014)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 38′ 45″ nord, 1° 09′ 35″ est
Altitude Min. 320 m
Max. 492 m
Superficie 23,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Yrieix-la-Perche
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.sainthilairelesplaces.fr

    La commune fait partie du parc naturel régional Périgord-Limousin, dont elle est la commune la plus orientale.

    Géographie

    Localisation

    Situation de la commune de Saint-Hilaire-les-Places en Haute-Vienne.

    Lors du renouvellement de sa charte, le parc naturel régional Périgord-Limousin a intégré la commune de Saint-Hilaire-les-Places, par décret no 2011-998 du [1].

    Communes limitrophes

    Saint-Hilaire-les-Places est limitrophe de cinq autres communes.

    Carte de Saint-Hilaire-les-Places et des communes avoisinantes.
    Communes limitrophes de Saint-Hilaire-les-Places[2]
    Rilhac-Lastours Nexon
    Bussière-Galant Saint-Hilaire-les-Places
    Ladignac-le-Long La Meyze

    Hydrographie

    La commune est arrosée par le Crassat, un affluent de l'Isle.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 114 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nexon », sur la commune de Nexon, mise en service en 1970[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 026 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et à 24 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Hilaire-les-Places est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34 %), forêts (33,9 %), prairies (25 %), terres arables (3,3 %), zones urbanisées (2,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Hilaire-les-Places est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Hilaire-les-Places.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[24]. 34,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Hilaire-les-Places est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[26].

    Histoire

    Les premières tuileries ont été recensées au XVIIe siècle. Le seul site de Puycheny en dénombrait une douzaine entre 1914 et 1945, mais sous l'effet de l'industrialisation et des transformations du monde rural, seules deux sont restées en activité fabriquant la tuile plate qui donne son caractère au bâti du pays. Afin de préserver ce savoir-faire l'association des Amis des tuileries du Limousin, créée en 1992, a restauré une ancienne tuilerie devenue aujourd'hui l'Atelier musée de la Terre. Ce dernier retrace de façon vivante la fabrication traditionnelle des tuiles par des ouvriers tuiliers l'été et des feuillardiers l'hiver.

    Le 25 juin 1940, Georges Pompidou, lieutenant au 141e régiment d infanterie alpine, stationne avec son unité à St Hilaire les Places. Démobilisé et rejoint par son épouse Claude, il rejoindra Paris et son poste d'enseignant le 15 août 1940[27].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1818 Antoine Delignat-Lavaud
    1818 1832 Jean-Baptiste Delignat-Lavaud
    1832 1854 Antoine Bourdichon-Lafarge
    1854 avril 1880 Louis Félix Gizardin
    janvier 1881 décembre 1891 Arsène Olivier
    janvier 1892 1896 Henri Tallet
    1896 Pierre Lamy
    2001 2008 William Colas Principal de collège
    mars 2008 avril 2014 Louis Puydenus[28]
    avril 2014 En cours Sylvie Vallade[29] LREM

    Jumelages

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué quatre fleurs à la commune[30].

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

    En 2020, la commune comptait 831 habitants[Note 9], en diminution de 6,1 % par rapport à 2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    879749665825860822799864858
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8259198959049451 0081 1081 1581 163
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2931 3011 2951 1471 1121 1151 1091 081990
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    968905790790785780841858909
    2018 2020 - - - - - - -
    858831-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Hilaire de Saint-Hilaire-les-Places. Au village du Vieux Saint-Hilaire, ancien centre de paroisse jusqu'au sortir de la Seconde Guerre mondiale, se trouve l'église Saint-Hilaire construite au XIIe siècle. Elle possède des fresques des XIVe et XVIIe siècles. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 1973[35].
    • Saint-Hilaire-les-Places possède un lac de plus de sept hectares avec une baignade aménagée, un village de gîtes et un terrain de camping.
    • Saint Hilaire
      Saint Hilaire
    • L'église et l'ancien presbytère de Saint Hilaire
      L'église et l'ancien presbytère de Saint Hilaire
    • Le cimetière de Saint Hilaire
      Le cimetière de Saint Hilaire
    • Ruisseau à l'entrée du village de Saint Hilaire
      Ruisseau à l'entrée du village de Saint Hilaire
    • La chapelle Notre-Dame des Places
      La chapelle Notre-Dame des Places

    Héraldique

    Blason de Saint-Hilaire-les-Places Blason
    D'argent à la tierce ondée d'azur accompagnée des lettres gothiques d'or S en chef dextre, H en chef senestre et P en pointe, cette dernière soutenue d'une burelle d'azur; au chef d'argent chargé d'une branche de pommier posée en barre et accostée de deux fleurs à quatre pétales, tigées et feuillées, le tout de sinople; sur le tout, brochant sur la tierce et le chef, de sinople au buste de saint Hilaire d'or mouvant de la pointe.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Décret no 2011-998 du 24 août 2011 sur Legifrance, consulté le 27 août 2011.
    2. Carte IGN sur Géoportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Nexon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Hilaire-les-Places et Nexon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Nexon - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Hilaire-les-Places et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Hilaire-les-Places », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    27. sylvain compère, « que faire à st hilaire les places été 1940 », le populaire du centre,‎ , p. 14
    28. [PDF] Communes du département de la Hte Vienne (201) sur le site de la préfecture de la Haute-Vienne, consulté le 14 octobre 2014.
    29. [PDF] Maires du département Haute-Vienne sur le site de la préfecture de la Haute-Vienne, consulté le 14 octobre 2014.
    30. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. « Ancienne église Saint-Hilaire », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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