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Chlore

Le chlore est l'élément chimique de numéro atomique 17, de symbole Cl. C'est le plus commun des halogÚnes.

Chlore
Image illustrative de l’article Chlore
Chlore liquide dans une ampoule.
Position dans le tableau périodique
Symbole Cl
Nom Chlore
Numéro atomique 17
Groupe 17
Période 3e période
Bloc Bloc p
Famille d'éléments HalogÚne
Configuration Ă©lectronique [Ne] 3s2 3p5
Électrons par niveau d’énergie 2, 8, 7
Propriétés atomiques de l'élément
Masse atomique 35,453 ± 0,002 u[1]
Rayon atomique (calc) 100 pm (79 pm)
Rayon de covalence 102 ± 4 pm[2]
Rayon de van der Waals 180 pm[3]
État d’oxydation 0, ±1, +3, +5, +7
ÉlectronĂ©gativitĂ© (Pauling) 3,16
Oxyde Acide fort
Énergies d’ionisation[4]
1re : 12,967 63 eV 2e : 23,813 6 eV
3e : 39,61 eV 4e : 53,465 2 eV
5e : 67,8 eV 6e : 97,03 eV
7e : 114,195 8 eV 8e : 348,28 eV
9e : 400,06 eV 10e : 455,63 eV
11e : 529,28 eV 12e : 591,99 eV
13e : 656,71 eV 14e : 749,76 eV
15e : 809,40 eV 16e : 3 658,521 eV
17e : 3 946,296 0 eV
Isotopes les plus stables
Iso AN PĂ©riode MD Ed PD
MeV
35Cl75,77 %stable avec 18 neutrons
36Cltraces
{syn.}
301 000 ansÎČ-
—-—
Δ / ÎČ+
0,709
—-—
1,142
36Ar
—-—
36S
37Cl24,23 %stable avec 20 neutrons
Propriétés physiques du corps simple
État ordinaire Gaz (non-magnĂ©tique)
Allotrope Ă  l'Ă©tat standard Dichlore Cl2
Masse volumique 3,214 g·l-1,

1,56 g·cm-3 (−33,6 °C)[1]

SystĂšme cristallin Orthorhombique
Couleur Vert jaunĂątre
Point de fusion −101,5 °C[1]
Point d’ébullition −34,04 °C[1]
Énergie de fusion 3,203 kJ·mol-1
Énergie de vaporisation 10,2 kJ·mol-1
Température critique 143,8 °C
Volume molaire 22,062×10-3 m3·mol-1
Pression de vapeur > Patm. à 20 °C
Vitesse du son 206 m·s-1 à 20 °C
Chaleur massique 480 J·kg-1·K-1
ConductivitĂ© thermique 8,9×10-3 W·m-1·K-1
Divers
No CAS 7782-50-5[5]
Précautions
SGH[6]
Dichlore Cl2 :
SGH03 : ComburantSGH04 : Gaz sous pressionSGH06 : ToxiqueSGH09 : Danger pour le milieu aquatique
Danger
H270, H280, H315, H319, H330, H335, H400, EUH071, P220, P244, P260, P273, P280, P315, P302+P352, P304+P340, P305+P351+P338, P332+P313, P370+P376, P403 et P405
NFPA 704[7]
Transport[6]
Dichlore Cl2 :

Unités du SI & CNTP, sauf indication contraire.

Le chlore est abondant dans la nature, son dérivé le plus important est le sel de table ou chlorure de sodium (NaCl). Ce dernier est nécessaire à de nombreuses formes de vie.

Le chlore, Ă  l'Ă©tat de corps simple, se prĂ©sente sous la forme de la molĂ©cule de dichlore Cl2, qui est un gaz jaune-vert 2,5 fois plus dense que l'air, aux conditions normales de tempĂ©rature et de pression. Ce gaz a une odeur suffocante trĂšs dĂ©sagrĂ©able et est extrĂȘmement toxique.

L'ion hypochlorite de l'eau de Javel contenant un atome de chlore, on dit souvent d'une eau javellisée qu'elle est « chlorée ». Il s'agit toutefois d'un abus de langage, source fréquente de confusions entre l'élément chlore, le gaz dichlore et l'ion hypochlorite. C'est sous le nom de chlore que le dichlore est en effet répertorié pour le transport des matiÚres dangereuses par exemple.

Certains virus (norovirus par exemple[8]), certaines bactĂ©ries ou les biofilms peuvent dĂ©velopper une certaine rĂ©sistance au chlore. Ce phĂ©nomĂšne est d'intĂ©rĂȘt Ă©pidĂ©miologique[9] et Ă©coĂ©pidĂ©miologique.

DĂ©couverte

Le premier chimiste Ă  avoir isolĂ© le dichlore est rĂ©putĂ© ĂȘtre le SuĂ©dois Carl Wilhelm Scheele, en 1774. Il lui donna le nom d'acide muriatique dĂ©phlogistiquĂ©, car il pensait que c'Ă©tait un gaz composĂ©.

Avec l'abandon du phlogistique, on crut pendant quelques années que ce gaz contenait de l'oxygÚne, et ce n'est qu'en 1809 que le chimiste britannique Humphry Davy prouva qu'il n'en était pas ainsi, reconnut que c'était un corps simple, et lui donna son nom actuel de chlore.

Le nom de chlore vient du grec chloros qui signifie « vert pùle », en référence à la couleur de l'élément chimique pur.

Isotopes

Le chlore possĂšde 24 isotopes connus de nombre de masse variant entre 28 et 51, ainsi que deux isomĂšres, 34 mCl et 38 mCl. Seuls deux isotopes sont stables, 35Cl et 37Cl, et reprĂ©sentent la quasi-totalitĂ© du chlore naturellement prĂ©sent (respectivement 75,77 et 24,23 %), le reste Ă©tant le chlore 36, un radioisotope cosmogĂ©nique prĂ©sent Ă  l'Ă©tat de trace. La masse atomique standard du chlore est de 35,453(2) u. Trois isotopes du chlore (35, 36 et 37) ont des spins nuclĂ©aires, ce qui permet de les Ă©tudier par RMN[10].

Caractéristiques notables

Dichlore gazeux.
Dichlore liquide.

L'élément chimique pur a la forme d'un gaz jaune-verdùtre diatomique Cl2, le dichlore cité plus haut, dans les conditions normales de température et de pression. Le chlore est produit à partir des chlorures, par oxydation et principalement par électrolyse. Avec des métaux, il forme des sels appelés les chlorures.

Le chlore se liquĂ©fie aisĂ©ment, il bout Ă  −34 °C Ă  pression atmosphĂ©rique. Il est transportĂ© (ou conservĂ©) liquide, sous pression (vers 7 bars), aux tempĂ©ratures ambiantes : sous 6,95 bars Ă  21 °C[11].

Avec le fluor, le brome et l'iode, le chlore appartient Ă  la famille des halogĂšnes, dans le groupe 17 du tableau pĂ©riodique — groupe d'Ă©lĂ©ments trĂšs Ă©lectronĂ©gatifs, donc trĂšs rĂ©actifs. Il se combine aisĂ©ment avec presque tous les Ă©lĂ©ments. En effet, la liaison entre les deux atomes est relativement faible (seulement 242,580 Â± 0,004 kJ/mol), ce qui fait de Cl2 une molĂ©cule fortement rĂ©active.

Des composĂ©s avec l'oxygĂšne, l'azote, le xĂ©non et le krypton sont connus. Ils ne se forment pas par une rĂ©action directe entre ces Ă©lĂ©ments[12], mais qui doit ĂȘtre initiĂ©e par un agent externe, catalyseur ou ionisation. Bien que trĂšs rĂ©actif, le chlore n'est pas aussi rĂ©actif que le fluor. Le gaz de chlore pur, cependant, est (comme l'oxygĂšne) un comburant et peut soutenir la combustion des composĂ©s organiques tels que les hydrocarbures, bien que le carbone composant le carburant tende Ă  ne brĂ»ler qu'incomplĂštement, une grande partie demeurant sous forme de suie[13]. Ce qui montre l'affinitĂ© (relative) extrĂȘme du chlore pour l'hydrogĂšne (comme tous les halogĂšnes), produisant du chlorure d'hydrogĂšne, un corps mieux liĂ© que l'eau (l'oxyde d'hydrogĂšne).

À 10 °C et pression atmosphĂ©rique normale, 1 L d'eau dissout 3,10 L de chlore et 1,77 L Ă  30 °C[14].

En solution, le chlore se trouve gĂ©nĂ©ralement sous forme d'ion chlorure Cl−. Cet ion est le principal ion dissous dans l'eau de mer : environ 1,9 % de la masse de l'eau de mer est celle des ions chlorure.

Utilisations

Le chlore est un produit chimique important dans la purification de l'eau, dans les désinfectants, les agents de blanchissement ainsi que dans le gaz moutarde.

En raison de sa toxicité, le dichlore a été un des premiers gaz employés lors de la PremiÚre Guerre mondiale comme gaz de combat. Les premiers masques à gaz inventés pour s'en protéger étaient en fait des compresses ou des cagoules de toiles imbibées de thiosulfate de sodium.

Le dichlore est depuis largement utilisé pour fabriquer de nombreux objets et produits courants :

  • comme biocide, pour tuer les bactĂ©ries et autres microbes, donc pour la potabilisation de l'eau (dichlore, eau de Javel
). Le chlore a des propriĂ©tĂ©s rĂ©manentes, ce qui signifie que son action dĂ©sinfectante est valable sur tout le long du rĂ©seau de distribution d'eau. Pour purifier l'eau, on peut Ă©galement utiliser le dioxyde de chlore, gaz trĂšs oxydant qui prĂ©sente l'avantage de ne pas produire de chlorophĂ©nols lorsqu'il reste des traces de dĂ©rivĂ©s phĂ©noliques dans l'eau. Ce produit est en outre dĂ©colorant et dĂ©sodorisant ;
  • pour le traitement de l'eau des piscines comme biocide sous la forme de chloro-isocyanurates (par exemple le dichloroisocyanurate de sodium dihydrate pour le chlore choc) ou d'acide trichloroisocyanurique (par exemple pour le chlore lent) qui ont l'avantage de se prĂ©senter sous une forme solide[15] ;
  • pour le blanchissement du papier : autrefois on utilisait du chlore gazeux mais ce procĂ©dĂ© Ă©tait trĂšs polluant. Il a Ă©tĂ© remplacĂ© par un procĂ©dĂ© employant du dioxyde de chlore en combinaison avec du peroxyde d'hydrogĂšne ;
  • pour la production d'antiseptiques, de colorants, d'insecticides, de peintures, de produits pĂ©troliers, des plastiques (comme le PVC), des mĂ©dicaments, des textiles, des dissolvants, et de beaucoup d'autres produits de consommation.

La chimie organique emploie le chlore comme oxydant et en substitution de l'hydrogÚne, parce que cette substitution confÚre souvent des propriétés intéressantes aux composés organiques, par exemple au néoprÚne (un caoutchouc synthétique résistant aux hydrocarbures).

Il existe d'autres emplois dans la production des chlorates, chloroforme, tétrachlorure de carbone, et dans l'extraction de brome.

En géomorphologie et paléosismologie, l'isotope 36Cl, créé par les rayons cosmiques, est utilisé pour la datation d'une surface ou la détermination d'un taux d'érosion.

Historique

Le mot chlore vient du grec khlÎros signifiant « vert pùle ».

Le dichlore est découvert en 1774 par le chimiste Carl Wilhelm Scheele en versant quelques gouttes d'acide chlorhydrique sur du dioxyde de manganÚse. Scheele pense à tort qu'il contient de l'oxygÚne. C'est en 1810 que Humphry Davy lui attribue le nom de chlore, en insistant sur le fait que c'était en fait un élément chimique bien distinct.

À partir du XIXe siĂšcle, le chlore, notamment sous forme d'eau de Javel, est utilisĂ© comme dĂ©sinfectant et pour le traitement de l'eau potable. Il est Ă©galement utilisĂ© pour le blanchiment des tissus dans l'industrie textile.

DÚs la fin de la Seconde Guerre mondiale, le chlore est utilisé en prépondérance pour la désinfection des eaux de centres de remise en forme et de piscines publiques et privées. Le chlore est quelquefois associé à d'autres produits algicides, pour neutraliser le développement des algues dans les eaux de baignades chaudes et froides.

En 2010, le chlore intervient sous la forme du 5-chloro-uracile, remplaçant la thymine du code génétique d'une bactérie et formant un AXN (voir xénobiologie).

Sources

Dans la nature, on ne trouve le chlore que combiné avec d'autres éléments, en particulier du sodium, sous forme de sel (chlorure de sodium : NaCl), mais également avec la carnallite et la sylvine.

L'électrolyse chlore-soude est la principale méthode de production du chlore. Elle a lieu à partir d'une solution aqueuse de chlorure de sodium : le chlore se dégage à l'anode et l'eau est décomposée à la cathode en hydrogÚne (qui se dégage) et en ions hydroxyde formant progressivement une solution de soude. On peut aussi électrolyser directement le sel fondu.

En laboratoire, le chlore peut s'obtenir en chauffant un mélange de solution d'acide chlorhydrique et de dioxyde de manganÚse[16].

Composés

En analyse biologique

Le taux sanguin de chlore est appelĂ© chlorĂ©mie. Dans le sang d'un adulte de poids moyen Ă  jeun, il doit ĂȘtre compris entre 98 et 107 mEq/L.

Effets sur la santé

Des Ă©tudes ont montrĂ© une influence de la chloration des piscines sur le risque d'asthme et de rhinites allergiques[17], soit Ă  cause du chlore, soit Ă  cause des produits secondaires ou sous-produits que son usage gĂ©nĂšre[18] - [19], qui peuvent aussi en cas d'exposition chroniques affecter le personnel travaillant dans les piscines (trihalomĂ©thanes[20] ou autres[21]) qui peuvent ĂȘtre toxiques ou gĂ©notoxiques[22].

Le chlore irrite le systÚme respiratoire, spécialement chez les enfants et les personnes ùgées. Une forte exposition au chlore peut entraßner un asthme induit ou syndrome de Brooks. Cet asthme serait prédisposé par l'exposition chronique à l'air des piscines intérieures qui s'accompagne d'une destruction des cellules de Clara (cellules protectrices situées dans les poumons)[23].

Dans son Ă©tat gazeux, il irrite les membranes des muqueuses et dans son Ă©tat liquide, il brĂ»le la peau. Il suffit de 3,5 ppm pour distinguer son odeur, mais ce gaz est mortel Ă  partir de 1 000 ppm pour une bouffĂ©e d'environ une minute. L'exposition Ă  ce gaz ne devrait donc pas excĂ©der 0,5 ppm (valeur d'exposition moyenne pondĂ©rĂ©e sur 8 heures, 40 heures par semaine).

Sur les sites industriels, la détection du chlore est primordiale pour la sécurité des personnes, ainsi des détecteurs sont mis en place. L'Institut national de recherche et de sécurité (INERIS) a réalisé une étude indépendante sur cinq détecteurs de chlore à la demande de l'EXERA[24].

Son utilisation pour la désinfection de l'eau potable ou des piscines génÚre des sous-produits dangereux, dont certains gazeux comme les chloramines, particuliÚrement au contact de la sueur et de l'urine[23]. Certains sont toxiques, d'autres peuvent entraßner des défauts de naissance, d'autres encore sont génotoxiques et enfin certains sont des cancérigÚnes connus[25] - [26].

D'autres effets secondaire du chlore dans l'eau potable seraient lié à ses caractéristiques trÚs oxydantes avec pour conséquences des irritations de la peau et une sensation de sécheresse en bouche conduisant parfois à un défaut d'hydratation. La plupart des filtres à base de charbon actif éliminent facilement le chlore par adsorption, au risque toutefois d'entraßner alors dans le réservoir à température ambiante une prolifération microbienne[27].

Notes et références

  1. (en) David R. Lide, CRC Handbook of Chemistry and Physics, CRC Press Inc, , 90e Ă©d., 2804 p., ReliĂ© (ISBN 978-1-420-09084-0)
  2. (en) Beatriz Cordero, VerĂłnica GĂłmez, Ana E. Platero-Prats, Marc RevĂ©s, Jorge EcheverrĂ­a, Eduard Cremades, Flavia BarragĂĄn et Santiago Alvarez, « Covalent radii revisited », Dalton Transactions,‎ , p. 2832 - 2838 (DOI 10.1039/b801115j)
  3. Paul Arnaud, Brigitte Jamart, Jacques Bodiguel, Nicolas Brosse, Chimie organique 1er cycle/Licence, PCEM, Pharmacie, Cours, QCM et applications, Dunod, , 710 p., Broché (ISBN 2100070355)
  4. (en) David R. Lide, CRC Handbook of Chemistry and Physics, TF-CRC, , 87e Ă©d. (ISBN 0849304873), p. 10-202
  5. Base de donnĂ©es Chemical Abstracts interrogĂ©e via SciFinder Web le 15 dĂ©cembre 2009 (rĂ©sultats de la recherche)
  6. EntrĂ©e « Chlorine Â» dans la base de donnĂ©es de produits chimiques GESTIS de la IFA (organisme allemand responsable de la sĂ©curitĂ© et de la santĂ© au travail) (allemand, anglais), accĂšs le 21 aoĂ»t 2018 (JavaScript nĂ©cessaire)
  7. (en) « CHLORINE : Lung Damaging Agent », sur https://www.cdc.gov
  8. (en) L. J. Podewils et al., « Outbreak of norovirus illness associated with a swimming pool », Epidemiology and infection, vol. 135, no 5,‎ , p. 827-833 (ISSN 0950-2688, e-ISSN 1469-4409, OCLC 664251550, PMID 17076938, PMCID PMC2870624, DOI 10.1017/S0950268806007370, JSTOR 4621127, lire en ligne, consultĂ© le ).
  9. (en) Darla M. Goeres, T. Palys, B. B. Sandel et J. Geiger, « Evaluation of disinfectant efficacy against biofilm and suspended bacteria in a laboratory swimming pool model », Water research, vol. 38, no 13,‎ , p. 3103-3109 (ISSN 0043-1354, OCLC 111603748, PMID 15261549, DOI 10.1016/j.watres.2004.04.041).
  10. (en) Tarasov V.P., Guerman K.E., Simonoff G. et. all., 36Cl-NMR Parameters for Molten Salt Reprocessing Analyses:Quadrupole Moment, Spin-Lattice Relaxation and SternheimerAntishielding Factor for Chloride and Perchlorate Ion . Available from: https://www.researchgate.net/publication/358875334_Cl-NMR_Parameters_for_Molten_Salt_Reprocessing_Analyses_Quadrupole_Moment_Spin-Lattice_Relaxation_and_Sternheimer_Antishielding_Factor_for_Chloride_and_Perchlorate_Ions [accessed Jul 05 2023]., Pontresina, NRC, , 500 p. (lire en ligne), p. 641 - 644
  11. « L’encyclopĂ©die des gaz », Air Liquide.
  12. Merck Index of Chemicals and Drugs, 9e Ă©d.
  13. Lange's Handbook of Chemistry, 10th ed
  14. (en) « Chlorine », sur WebElements.com, Mark Winter [The University of Sheffield and WebElements Ltd, UK] (consulté le ).
  15. (en) Christian Zwiener, Susan D. Richardson, David M. De Marini, Tamara Grummt, Thomas Glauner et Fritz H. Frimmel, « Drowning in Disinfection Byproducts? Assessing Swimming Pool Water », Environmental Science & Technology, vol. 41, no 2,‎ , p. 363-372 (ISSN 0013-936X, e-ISSN 1520-5851, OCLC 110404049, PMID 17310693, DOI 10.1021/es062367v, lire en ligne).
  16. Collectif, MĂ©mento Larousse, Larousse, , 956 p., p. 682.
  17. Alfred Bernard, Catherine Voisin et Marc Nickmilder, « Risques d’asthme et d’allergie associĂ©s Ă  la frĂ©quentation des piscines dĂ©sinfectĂ©es au chlore », Louvain mĂ©dical, vol. 126, no 10,‎ , p. 212-216 (ISSN 0024-6956, OCLC 191667864, lire en ligne).
  18. (en) Ricardo CantĂș, Otis Evans, Fred K. Kawahara, Larry J. Wymer et Alfred P. Dufour, « HPLC Determination of Cyanuric Acid in Swimming Pool Waters Using Phenyl and Confirmatory Porous Graphitic Carbon Columns », Analytical Chemistry, vol. 73, no 14,‎ , p. 3358-3364 (ISSN 0003-2700, e-ISSN 1520-6882, OCLC 4666091663, PMID 11476236, DOI 10.1021/ac001412t).
  19. (en) Edmondo Canelli, « Chemical, Bacteriological, and Toxicological Properties of Cyanuric Acid and Chlorinated Isocyanurates as Applied to Swimming Pool Disinfection : A Review », American Journal of Public Health, vol. 64, no 2,‎ , p. 155-162 (ISSN 0090-0036, OCLC 4814008797, PMID 4594286, PMCID PMC1775396, DOI 10.2105/ajph.64.2.155, lire en ligne).
  20. (en) J. Caro et M. Gallego, « Assessment of Exposure of Workers and Swimmers to Trihalomethanes in an Indoor Swimming Pool », Environmental Science & Technology, vol. 41, no 13,‎ , p. 4793-4798 (ISSN 0013-936X, e-ISSN 1520-5851, OCLC 165211189, PMID 17695931, DOI 10.1021/es070084c).
  21. (en) Vasilios Sakkas, Dimosthenis L. Giokas, Dimitra A. Lambropoulou et Triantafyllos A. Albanis, « Aqueous photolysis of the sunscreen agent octyl-dimethyl-p-aminobenzoic acid: Formation of disinfection byproducts in chlorinated swimming pool water », Journal of Chromatography A, vol. 1016, no 2,‎ , p. 211-222 (OCLC 4923816800, PMID 14601840, DOI 10.1016/S0021-9673(03)01331-1).
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  23. Alfred Bernard de l'université de Louvain-la-Neuve cité dans GHI, 15-16 septembre 2010, Chlore dangereux pour les poumons des bébés, p. 23.
  24. INERIS, SĂ©curitĂ© industrielle : Évaluation des performances des dĂ©tecteurs fixes de fluorure d'hydrogĂšne (HF) (lire en ligne), p. 3
  25. (en) Debra Levey Larson, « What's in your Water?: Disinfectants Create Toxic By-products », sur ACES News, College of Agricultural, Consumer and Environmental Sciences - University of Illinois at Urbana-Champaign, (consulté le ).
  26. (en) Susan D. Richardson, Michael J. Plewa, Elizabeth D. Wagner, Rita Schoeny et David M. DeMarini, « Occurrence, genotoxicity, and carcinogenicity of regulated and emerging disinfection by-products in drinking water: a review and roadmap for research », Mutation research, vol. 636, nos 1-3,‎ , p. 178-242 (ISSN 1383-5742, OCLC 182544231, PMID 17980649, DOI 10.1016/j.mrrev.2007.09.001).
  27. Benoßt Saint Girons, La qualité de l'eau, Paris, Médicis, , 218 p., p. 24, 36, 63

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes



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