AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Sodium

Le sodium est l'Ă©lĂ©ment chimique de numĂ©ro atomique 11, de symbole Na (du latin natrium). Il fait partie du premier groupe du tableau pĂ©riodique et plus particuliĂšrement des mĂ©taux alcalins. Sur Terre et dans les autres corps telluriques il est gĂ©nĂ©ralement liĂ© Ă  d'autres Ă©lĂ©ments au sein de nombreux minĂ©raux. Il est abondant dans l'eau de mer (avec une teneur d'environ 10,8 g/kg), sous la forme d'ions libres. Le sel de cuisine, qui provient directement ou indirectement de l'eau de mer, est constituĂ© de chlorure de sodium.

Sodium
Image illustrative de l’article Sodium
Échantillon de sodium dans de l'huile minĂ©rale.
Position dans le tableau périodique
Symbole Na
Nom Sodium
Numéro atomique 11
Groupe 1
Période 3e période
Bloc Bloc s
Famille d'éléments Métal alcalin
Configuration Ă©lectronique [Ne] 3s1
Électrons par niveau d’énergie 2, 8, 1
Propriétés atomiques de l'élément
Masse atomique 22,989 769 28 ± 2 × 10−8 u[1]
Rayon atomique (calc) 180 pm (190 pm)
Rayon de covalence 166 ± 9 pm[2]
Rayon de van der Waals 227 pm
État d’oxydation +1
ÉlectronĂ©gativitĂ© (Pauling) 0,93
Oxyde Base forte
Énergies d’ionisation[3]
1re : 5,139 076 eV 2e : 47,286 4 eV
3e : 71,620 0 eV 4e : 98,91 eV
5e : 138,40 eV 6e : 172,18 eV
7e : 208,50 eV 8e : 264,25 eV
9e : 299,864 eV 10e : 1 465,121 eV
11e : 1 648,702 eV
Isotopes les plus stables
Iso AN PĂ©riode MD Ed PD
MeV
22Na{syn.}2,602 ansΔ0,5422Ne
23Na100 %stable avec 12 neutrons
24Na{syn.}15,03 hÎČ-1,3924Mg
Propriétés physiques du corps simple
État ordinaire Solide non magnĂ©tique
Masse volumique 0,968 g·cm-3 (20 °C)[1]
SystÚme cristallin Cubique centré
Dureté (Mohs) 0,5
Couleur Argenté blanc
Point de fusion 97,80 °C[1]
Point d’ébullition 883 °C[1]
Énergie de fusion 2,598 kJ·mol-1
Énergie de vaporisation 96,96 kJ·mol-1
Volume molaire 23,78×10-6 m3·mol-1
Pression de vapeur 1,43×10-5 Pa à −39,15 °C
Vitesse du son 3 200 m·s-1 Ă  20 °C
Chaleur massique 1 230 J·kg-1·K-1
ConductivitĂ© Ă©lectrique 21×106 S·m-1
Conductivité thermique 141 W·m-1·K-1 à 0°C (solide) 129,7 W/m/K à 25°C (solide) 83,7 W/m/K à 98 °C (liquide)
Divers
No CAS 7440-23-5[4]
No ECHA 100.028.302
No CE 231-132-9
Précautions
SGH[5] - [6]
SGH02 : InflammableSGH05 : Corrosif
Danger
H260, H314, EUH014, P223, P231, P232, P280, P305, P338, P351, P370, P378 et P422
SIMDUT[7]
B6 : MatiÚre réactive inflammableE : MatiÚre corrosive
B6, E,
NFPA 704
Transport

Unités du SI & CNTP, sauf indication contraire.

Dans les conditions normales de température et de pression, le corps simple est un métal mou, de couleur argentée. TrÚs réactif, il s'oxyde rapidement au contact de l'air et réagit violemment avec l'eau.

Histoire

Le sodium est depuis longtemps reconnu dans les composĂ©s, mais il ne fut pas isolĂ© avant 1807, lorsque Sir Humphry Davy rĂ©alisa l'Ă©lectrolyse de la soude caustique. Pendant le Moyen Âge, un composĂ© du sodium avec le nom latin de sodanum Ă©tait utilisĂ© pour le traitement des maux de tĂȘte. Le symbole du sodium, Na, vient du nom latin d'un composĂ© du sodium appelĂ© natrium, qui lui-mĂȘme vient du grec ÎœÎŻÏ„ÏÎżÎœ / nĂ­tron, un carbonate de sodium naturel (le natron). En allemand, en danois, en norvĂ©gien ou en nĂ©erlandais, sodium se dit natrium.

Isotopes

Le sodium possĂšde 22 isotopes connus, avec un nombre de masse variant entre 18 et 37. Seul le sodium 23 (23Na) est stable, ce qui fait du sodium un Ă©lĂ©ment monoisotopique. À part 22Na et 24Na, isotopes radioactifs cosmogĂ©niques de demi-vies 2,604 ans et 14,96 heures, les radioisotopes du sodium ont tous une demi-vie infĂ©rieure Ă  une minute, voire une seconde pour la majoritĂ© d'entre eux. En pratique, seul 23Na est trouvĂ© dans la nature et le sodium est donc considĂ©rĂ© comme un Ă©lĂ©ment mononuclĂ©idique.

Caractéristiques notables

Caractéristiques chimiques

Plusieurs blocs gris légÚrement brillants de sodium.
Sodium métallique.

Comme les autres métaux alcalins, le sodium a un aspect doux, blanc argenté, légÚrement rosé. C'est un élément trÚs réactif ; en particulier il s'oxyde lentement à l'air humide et réagit violemment avec l'eau : il libÚre une grande quantité d'hydrogÚne et produit une explosion, ce qui force à le conserver dans le pétrole ou sous une atmosphÚre inerte d'azote ou d'argon. Le sodium est léger, flotte sur l'eau et la décompose en libérant du dihydrogÚne et en formant de la soude (hydroxyde de sodium) :

Vue d'une réaction violente du sodium et de l'eau conduisant à la rupture du récipient contenant la réaction et à la combustion de l'hydrogÚne produit.
RĂ©action du sodium avec l'eau.
Na + H2O → Na+ + OH− + H2

La chaleur dégagée par la réaction exothermique de décomposition de l'eau suffit généralement, en présence d'oxygÚne, à faire détoner l'hydrogÚne produit.

Sa tempĂ©rature de fusion relativement basse, aux alentours de 97,81 °C, le rend facile Ă  manipuler, stocker et transporter (en citernes par exemple, dans lesquelles on le solidifie pour le refondre Ă  l'arrivĂ©e), Ă  condition d'ĂȘtre trĂšs vigilant Ă  bien le laisser toujours sous atmosphĂšre inerte et Ă  l'abri de l'eau ou de l'humiditĂ©, en raison de sa grande rĂ©activitĂ©.

Ce métal brûle dans l'air avec une flamme jaune (mais il ne s'enflamme qu'à des températures supérieures à 388 K, soit 115 °C).

Graphique présentant les raies spectrales du sodium.
Raies spectrales du sodium.

Le spectre du sodium possĂšde la particularitĂ© de prĂ©senter un doublet spectral trĂšs brillant dans le jaune. Ces deux raies, localisĂ©es Ă  589,00 et 589,59 nm sont gĂ©nĂ©ralement notĂ©es respectivement D2 et D1. Leur interfĂ©rence est responsable d'un phĂ©nomĂšne de battement en intensitĂ©.

À mesure que la pression augmente, le sodium devient isolant et prend l’aspect d’un matĂ©riau noir, puis celui d’un matĂ©riau translucide rouge avant de finalement devenir transparent sous une pression de 200 gigapascals[8].

Caractéristiques physiques

  • C'est un excellent conducteur Ă©lectrique.
  • Le sodium est utilisĂ© comme fluide caloporteur Ă  haute tempĂ©rature, seul, ou alliĂ© au potassium Ă  plus basse tempĂ©rature : le mĂ©lange NaK est liquide Ă  tempĂ©rature ambiante. L'alliage de 78 % K potassium et 22 % Na est liquide jusqu'Ă  −12,6 °C et bout Ă  785 °C.
  • Coefficient de dilatation Ă  25 °C = 70 Ă— 10−6 °C−1.
  • Formule pour la masse volumique du solide : ρ = 971 / (1+0,00007*(t-20))3 ; avec ρ en kg/m3 et t en °C.
  • CorrĂ©lation pour la masse volumique du liquide : ρ = 949 - 0,223 × t - 0,0000175 × t2 ; avec ρ en kg/m3 et t en °C ; applicable entre 100 et 800 °C[1].
  • CorrĂ©lation pour la valeur de Cp du solide : Cp = 1,02954 + 0,00059184 × t + 0,00000010528 × t2 ; avec Cp en kJ/(kg⋅K) et t en °C ; applicable entre 0 et 90 °C[1].
  • CorrĂ©lation pour la valeur de Cp du liquide : Cp = 1,62957 - 0,000832987 × T + 0,000000462265 × T2 ; avec Cp en kJ/(kg⋅K) et T en K ; applicable entre 100 et 800 °C[1].
  • CorrĂ©lation pour la viscositĂ© dynamique du liquide : ÎŒ = −3,759 Ă— 10−12 × t3 + 6,300 8 Ă— 10−9 × t2 - 3,729 Ă— 10−6 × t + 9,980 6 Ă— 10−4 ; avec ÎŒ en kg/(m⋅s) et t en °C ; applicable entre 100 et 700 °C.
  • CorrĂ©lation pour la conductivitĂ© thermique du liquide : λ = (2,442544 × (t + 273,15)) / (6,8393 + 0,033873 × t + 0,000017235 × t2) ; avec λ en W/(m⋅K) et t en °C ; applicable entre 100 et 700 °C[1].
  • CorrĂ©lation pour la pression de vapeur saturante : Ps = 4,216 Ă— 1013 × (t + 273,15)-1,18 × exp[−13 308,94 / (t + 273,15)] ; avec Ps en Pa et t en °C ; applicable entre 100 et 800 °C[9].
Quelques caractéristiques thermodynamiques du sodium[10] - [1]
Température
(°C)
Masse
volumique
ρ
(kg/m3)
Viscosité
dynamique
Ό
(10−3 kg/(m⋅s)
Conductivité
thermique
λ
(W/(m⋅K))
Capacité
calorifique
Ă  pression
constante
Cp
(kJ/(kg⋅K)
Commentaire
−173,15 1 011,5 0,9791 solide
0 975,1 141,0
(142,0)
1,0295 solide
20 971 142 1,0414 solide
25 970,0 1,2259
(1,0444)
solide
97,80 955,3
(solide)
927,0
(liquide)
0,690
(0,705)
83,7 1,5525 liquéfaction
200 903,7 0,450 81,5
(80,8)
1,4815 liquide
300 880,5 0,340
(0,345)
75,7
(75,5)
1,4213 liquide
400 857,0 0,278
(0,284)
71,2
(71,0)
1,3704 liquide
500 831,1 0,234
(0,239)
66,8
(67,2)
1,3704 liquide
600 808,9 0,212
(0,210)
63,9 1,2962 liquide
700 784,3 0,186
(0,193)
61,0 1,2730 liquide
800 759,4 0,179
(0,165)
58,3 1,2590 liquide
883 Ă©bullition

Utilisations du sodium

Le sodium sous sa forme métallique est utilisé dans la fabrication des esters ainsi que dans celle d'autres composés organiques, utilisés en particulier dans l'industrie pharmaceutique, les cosmétiques, les pesticides (métam-sodium), etc.

Il a été longtemps utilisé, sous forme d'alliage avec le plomb, pour la production de plomb tétraéthyle, additif antidétonant pour le carburant automobile.

Autres utilisations du sodium métal :

La vapeur de sodium (utilisĂ©e dans les lampes) est trĂšs rĂ©active : par exemple, Ă  1 400 °C, elle rĂ©agit avec l'alumine en formant de l'aluminate de sodium.

Industrie nucléaire

Le sodium liquide est un produit dangereux notamment du fait de risque de feux de sodium particuliĂšrement difficiles Ă  Ă©teindre. Mais il intĂ©resse l'industrie nuclĂ©aire comme fluide caloporteur dans les rĂ©acteurs nuclĂ©aires Ă  neutrons rapides, pour deux raisons : ses qualitĂ©s de conductivitĂ© thermique et de capacitĂ© calorifique Ă©levĂ©e, et le fait d'ĂȘtre peu capturant aux neutrons thermiques (0,4 barn de section efficace) et a fortiori aux neutrons rapides. Toutefois, un peu de sodium 24 est formĂ© au cours du fonctionnement (lorsque le sodium traverse le cƓur du rĂ©acteur). Le sodium 24 est radioactif, d'une demi-vie courte de 15 h en donnant du magnĂ©sium 24 stable. Cela empĂȘche l'approche des circuits jusqu'Ă  une semaine suivant l'arrĂȘt.

Les techniques de maĂźtrise de ce sodium font l'objet d'un travail continu par le CEA Ă  Cadarache, y compris pour le dĂ©mantĂšlement de SuperphĂ©nix, entamĂ© en 1998[11] et dans la perspective d'une Ă©ventuelle mise en Ɠuvre du projet de prototype de rĂ©acteur Ă  neutrons rapides « Astrid »[11].

Le rĂ©seau dit « Ă©cole internationale du sodium et des mĂ©taux liquides », a accueilli, depuis sa crĂ©ation en 1975, plus de 4 000 stagiaires[11] ; « L’essentiel des recherches s’applique au fonctionnement d’un gĂ©nĂ©rateur de vapeur chauffĂ© directement par une circulation de sodium, et vise au contrĂŽle du risque de contact entre le sodium et l’eau. Mais des expĂ©riences concernent aussi l’hypothĂšse d’un gĂ©nĂ©rateur de vapeur alimentĂ© par un circuit tertiaire au gaz, avec un circuit secondaire au sodium »[11]. Des travaux visent Ă  mieux neutraliser la vapeur de sodium (qui peut boucher certains filtres), Ă  mieux neutraliser le sodium en cas d'accident ou incident ou lors des vidanges ou dĂ©mantĂšlement d'installations (le procĂ©dĂ© actuel, procĂ©dĂ© NOAH, produit de l'hydrogĂšne et de la soude caustique, deux produits dangereux), ainsi qu'Ă  mieux utiliser l'acoustique pour dĂ©tecter des dĂ©buts d’ébullition ou un Ă©tat d’engazement du sodium, les ultrasons pour la mesure du dĂ©bit et de la tempĂ©rature du sodium fondu, et la chimie pour la mesure de la teneur en oxygĂšne, les courants de Foucault pour le repĂ©rage de dĂ©fauts dans les installations, la tĂ©lĂ©mĂ©trie, pour la mesure des distances ainsi que des capteurs pouvant ĂȘtre plus ou moins durablement immergĂ©s dans le sodium liquide[11]. Un procĂ©dĂ© de « carbonatation » permet par contact avec de la soude caustique sous exposition d'un flux de gaz carbonique de nettoyer des parois contaminĂ©es, en produisant des carbonates de sodium, inertes et solubles mais ce procĂ©dĂ© est lent (moins d'un millimĂštre/jour)[11].

Fabrication

Le sodium sous forme mĂ©tallique est fabriquĂ© par Ă©lectrolyse du chlorure de sodium fondu. Le chlorure de sodium fondant vers 800 °C, il est nĂ©cessaire pour des raisons techniques de l'utiliser en mĂ©lange avec du chlorure de calcium et du chlorure de baryum. Ce mĂ©lange permet de travailler Ă  environ 600 °C. Au cours de chimie, cette expĂ©rience peut ĂȘtre rĂ©alisĂ©e en utilisant comme creuset une pipe en terre, comme cathode (oĂč le sodium se dĂ©pose) une aiguille Ă  tricoter en acier, comme anode (oĂč le chlore se dĂ©gage) la mine en graphite d'un crayon noir taillĂ© aux deux extrĂ©mitĂ©s, et comme source de chaleur un bec Bunsen.

Les principaux producteurs de sodium sous forme métallique dans le monde sont :

Il est aussi possible d'obtenir du sodium métallique par électrolyse d'hydroxyde de sodium, NaOH, fondu c'est-à-dire vers 300 °C. Toutefois, comme il est plus difficile de récupérer le métal pur dans ce cas, l'industrie préfÚre l'électrolyse de NaCl.

Il est possible, et utilisé de maniÚre artisanale aussi, d'utiliser une oxydoréduction du mélange de magnésium et soude cristalline, le tout chauffé.

Composés du sodium

Les composĂ©s chimiques dans lesquels on trouve un ion sodium Na+ sont extrĂȘmement nombreux. Parmi les plus simples on peut citer :


On trouve également des composés du sodium :

Importance biologique

Le sodium est indispensable à la vie, par exemple au fonctionnement de l'activité électrique des cellules, faisant intervenir des échanges trans-membranaires d'ions Na+.

L'ion sodium est l'un des éléments indispensables à l'organisme, normalement présent dans le sang à une concentration comprise entre 133 et 143 mmol/L[12].

Lorsqu'il est présent en excÚs (hypernatrémie - généralement à cause d'un régime trop riche en sel), c'est un facteur qui favorise la survenue d'hypertension , d'insuffisance cardiaque et de dégradation de la fonction rénale (au niveau des tubules[13]).

Impacts environnementaux

Quand il provient du sel, NaCl, massivement utilisé pour le salage des routes (14 % de la production)[14], ou de remontées de sel à la suite d'un drainage ou à des arrosages excessifs, il contribue à la destruction et salinisation des sols et à l'intoxication de nombreuses espÚces animales, végétales, fongiques et microbiennes[15].

Il existe néanmoins des bactéries extrémophiles qui peuvent survivre dans des milieux hyper-salés.

Commerce

En 2014, la France est nette importatrice de sodium, d'aprĂšs les douanes françaises. Le prix moyen Ă  la tonne Ă  l'import Ă©tait de 2 000 €[16].

Notes et références

  1. (en) David R. Lide, CRC Handbook of Chemistry and Physics, CRC Press Inc, , 90e éd., 2804 p., Relié (ISBN 978-1-420-09084-0)
  2. (en) Beatriz Cordero, VerĂłnica GĂłmez, Ana E. Platero-Prats, Marc RevĂ©s, Jorge EcheverrĂ­a, Eduard Cremades, Flavia BarragĂĄn et Santiago Alvarez, « Covalent radii revisited », Dalton Transactions,‎ , p. 2832 - 2838 (DOI 10.1039/b801115j)
  3. (en) David R. Lide, CRC Handbook of Chemistry and Physics, TF-CRC, , 87e Ă©d. (ISBN 0849304873), p. 10-202
  4. Base de données Chemical Abstracts interrogée via SciFinder Web le 15 décembre 2009 (résultats de la recherche)
  5. Numéro index 011-001-00-0 dans le tableau 3.1 de l'annexe VI du rÚglement CE N° 1272/2008 (16 décembre 2008)
  6. Base de données Sigma-Aldrich
  7. « Sodium » dans la base de données de produits chimiques Reptox de la CSST (organisme québécois responsable de la sécurité et de la santé au travail), consulté le 25 avril 2009
  8. Laurent Sacco, Sous pression, le sodium métallique devient transparent !, futura-sciences, 17 mars 2009.
  9. Usuel de chimie générale et minérale- M.Bernard - F.Busnot
  10. Les valeurs entre parenthÚses correspondent à une autre détermination de la grandeur physique
  11. AssemblĂ©e nationale & SĂ©nat, OPECST, Rapport sur l'Ă©valuation du Plan national de gestion des matiĂšres et des dĂ©chets radioactifs 2010-2012 (19 janvier 2011), rapporteurs : Christian Bataille et Claude Birraux, PDF, 347 pages ; Voir chap III - « La plate-forme de recherche sur le sodium », chapitre intitulĂ© IV. Le “Tribunal de l'environnement ”, page 44/347 de la version PDF du rapport
  12. « Connaßtre les normes biologiques » (consulté le )
  13. Soleimani M, Singh G ; Physiologic and molecular aspects of the Na+/H+ exchangers in health and disease processes.; J Investig Med. 1995 Oct;43(5):419-30 ; PMID 8528753
  14. Jean-Claude HOCQUET, « SEL », sur universalis.fr (consulté le )
  15. (en) Jeremy Hinsdale, « How Road Salt Harms the Environment », sur blogs.ei.columbia.edu (consulté le )
  16. « Indicateur des échanges import/export », sur Direction générale des douanes. Indiquer NC8=28051100 (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes



Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.