AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Liste de saints catholiques

La liste des saints catholiques recense les disciples du Christ que l'Église catholique, sans prĂ©juger des autres, reconnaĂźt publiquement comme pouvant ĂȘtre prĂ©sentĂ©s aux autres croyants comme des modĂšles de vie chrĂ©tienne, de doctrine et comme intercesseurs auprĂšs de Dieu. La saintetĂ© chrĂ©tienne ne repose pas sur une perfection innĂ©e : si de nombreux saints ont menĂ© dĂšs leur jeunesse une vie trĂšs vertueuse (en conformitĂ© avec les prescriptions de l'Église), d'autres ont commencĂ© par une vie moins exemplaire voire totalement opposĂ©e aux principes chrĂ©tiens, des personnes qui prirent un tournant radical dans leur vie (conversion)[1].

Cette reconnaissance de la saintetĂ© d'une personne ne peut dĂ©buter qu'Ă  la mort du croyant ou de la croyante supposĂ© « mort en odeur de saintetĂ© ». En effet, dans la thĂ©ologie catholique et orthodoxe, le seul dĂ©tenteur de la saintetĂ©, le seul Saint est Dieu lui-mĂȘme (la TrinitĂ©, soit le PĂšre, le Fils et le Saint-Esprit). La personne dĂ©clarĂ©e sainte ou bienheureuse ne peut l'ĂȘtre que parce qu'elle se trouve dans le rayonnement du Christ, c'est-Ă -dire au Paradis. C'est parce que le saint se trouve dans l'intimitĂ© de la saintetĂ© de Dieu qu'il peut ĂȘtre dĂ©clarĂ© officiellement saint. Cette dĂ©claration, qui fait suite Ă  une longue procĂ©dure (procĂšs en canonisation), est ce qu'on appelle « porter sur les autels » pour les vĂ©nĂ©rables, la bĂ©atification pour les bienheureux, et la canonisation pour les saints.

Il existe en effet trois niveaux de saintetĂ© dans l'Église catholique : les vĂ©nĂ©rables (premier niveau), dont l'Église reconnaĂźt l'« hĂ©roĂŻcitĂ© des vertus » chrĂ©tiennes sans pour autant qu'un culte soit rendu Ă  sa personne ; les bienheureux (deuxiĂšme niveau), dont la vĂ©nĂ©ration est limitĂ©e Ă  une rĂ©gion, un pays ou un ordre religieux ; et les saints (troisiĂšme niveau), dont la vĂ©nĂ©ration est Ă©tendue Ă  toute l'Église catholique. À cette liste se rattachent Ă©galement des listes de saints rĂ©gionaux (comme celle des saints bretons, des saints de Lorraine ou de Suisse, comme saint Nicolas de Flue) ou particuliers (appartenant Ă  des ordres religieux comme saint Dominique, sainte Marie de l'Incarnation, sainte Louise de Marillac).

Les canonisations

Statue de saint Padre Pio dans une grotte en Uruguay).

Les premiers chrĂ©tiens, disciples de JĂ©sus, ont aussi trĂšs rapidement Ă©tĂ© considĂ©rĂ©s comme des saintes et des saints (comme sainte Marie la mĂšre de JĂ©sus, sainte Marie-Madeleine ou Marie de Magdala, saint Joseph l'Ă©poux de Marie, saint Thomas apĂŽtre, les deux apĂŽtres Jacques (saint Jacques fils de ZĂ©bĂ©dĂ©e et saint Jacques fils d'AlphĂ©e) tout comme les archanges (saint Gabriel, saint Michel, saint RaphaĂ«l) et les Ă©vangĂ©listes (saint Matthieu, saint Marc, saint Luc et saint Jean). Et dans les premiers siĂšcles de l'Ă©glise, ce sont les martyrs (soit les tĂ©moins de la foi, ceux et celles qui sont morts pour ne pas avoir reniĂ© leur foi chrĂ©tienne. Saint Étienne est considĂ©rĂ© comme le premier martyr chrĂ©tien) qui ont d'abord Ă©tĂ© considĂ©rĂ©s comme saintes et saints (comme les apĂŽtres saint Paul de Tarse et saint Pierre mais aussi sainte Blandine, saint Denis de Paris, sainte CĂ©cile de Rome, saint SĂ©bastien, sainte AgnĂšs de Rome). C'est autour de leurs dĂ©pouilles que leur culte va se dĂ©velopper comme dans la ville d'Agaune (actuelle ville suisse de Saint-Maurice) oĂč un important groupe de soldats romains - saint Maurice Ă  leur tĂȘte - auraient Ă©tĂ© mis Ă  mort sur ordre de l'empereur. Ensuite, ce sont les « confesseurs de la foi » (ceux qui ont souffert pour leur foi sans en ĂȘtre morts), les premiers thĂ©ologiens chrĂ©tiens (les PĂšres de l'Église comme saint Augustin d'Hippone, saint GrĂ©goire de Nazianze et saint IrĂ©nĂ©e de Lyon) ainsi que les premiers Ă©vĂȘques, prĂȘtres, ermites et moines (comme saint Ambroise de Milan, saint Patrick d'Irlande, saint Antoine le Grand, saint BenoĂźt de Nursie, sainte Scholastique) qui ont Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©s saints ou saintes.

Dans les premiers siÚcles de l'église, ces canonisations naissaient d'un élan populaire par acclamation de l'assemblée (vox populi, vox dei) ou alors par le développement d'une dévotion populaire spontanée liée à la qualité de vie chrétienne d'une personne, sa doctrine ou ses miracles.

Au Moyen Âge, dĂšs le XIIIe siĂšcle, l'Église catholique va peu Ă  peu organiser et encadrer la procĂ©dure de reconnaissance officielle de la saintetĂ© d'une dĂ©funte ou d'un dĂ©funt. C'est ce que l'on appelle le procĂšs en canonisation. Un des premiers saints qui fut soumis Ă  cet examen Ă©tait saint Dominique (canonisĂ© en 1234), le fondateur des Dominicains. La mĂȘme annĂ©e, le pape GrĂ©goire IX affirme son droit exclusif Ă  procĂ©der aux canonisations. Il faudra tout de mĂȘme attendre 1634 pour que le pape Urbain VIII prĂ©cise toute la procĂ©dure et les critĂšres nĂ©cessaires Ă  cet examen des candidats Ă  la canonisation. Les Ă©crits, paroles, actes, rĂ©putation, vertus, miracles des potentiels saintes et saints sont analysĂ©s. Au fil des siĂšcles, cette procĂ©dure s'est fortement alourdie et ce n'est qu'aprĂšs le Concile Vatican II, en 1969, que la procĂ©dure va ĂȘtre modifiĂ©e en vue d'une simplification. Sous le pontificat de Jean-Paul II, ce mouvement de simplification va encore se poursuivre notamment en diminuant l'accent portĂ© aux miracles (un seul devient nĂ©cessaire) pour centrer l'examen de la cause du candidat sur l'Ă©tude de la saintetĂ© de sa vie (constitution Divinus perfectionnis magister en 1983). Notons que la profusion de miracles du vivant du saint ou des phĂ©nomĂšnes extraordinaires comme l'apparition de stigmates ont tendance Ă  retarder considĂ©rablement les procĂ©dures des procĂšs en canonisation. Cela a Ă©tĂ© le cas pour le saint Padre Pio. La dĂ©cision de proclamation de la saintetĂ© d'une dĂ©funte ou d'un dĂ©funt revient finalement au pape.

Une derniĂšre forme de canonisation existe. Il s'agit d'une « canonisation Ă©quipollente[2] » qui permet Ă  une personne dont la saintetĂ© est attestĂ©e de longue date par une vĂ©nĂ©ration locale et dont le culte existe dĂ©jĂ , d'ĂȘtre dĂ©clarĂ©e sainte, mĂȘme si aucun miracle n'a Ă©tĂ© rapportĂ© et acceptĂ© comme tel par l'Église catholique. Cela a Ă©tĂ© le cas en 2012 pour sainte Hildegarde de Bingen[3] canonisĂ©e par BenoĂźt XVI puis, les canonisation Ă©quipollentes suivantes prononcĂ©es par le pape François comme dans le cas, le 12 octobre 2014, des deux saints canadiens[4] : sainte Marie de l'Incarnation[5] et saint François de Montmorency-Laval[6]. Mais le pape François a utilisĂ© la mĂȘme procĂ©dure de canonisation Ă©quipollente pour les cas de saint Pierre Favre[7], sainte AngĂšle de Foligno[8], saint JosĂ© de Anchieta[9], et sainte Catherine Tekakwitha[10]. Il faut encore prĂ©ciser que cette procĂ©dure de canonisation Ă©quipollente avait Ă©tĂ© quasi oubliĂ©e durant plusieurs siĂšcles (moins de 40 cas en 500 ans), mais le pape François[11] l'a remise au goĂ»t du jour puisqu'il l'a dĂ©jĂ  utilisĂ©e six fois[12] depuis le dĂ©but de son pontificat[13].

Calendrier et martyrologe romain

Depuis le Concile de Vatican II et surtout depuis le pontificat de Jean-Paul II, un certain nombre de saints ont Ă©tĂ© retirĂ©s du martyrologe romain et l'accent a Ă©tĂ© portĂ© sur une universalisation de la saintetĂ© soit des hommes et des femmes venant de tous les continents (comme la sainte amĂ©rindienne Kateri Tekakwita, la canadienne Marie de l'Incarnation, sainte Rose de Lima premiĂšre sainte du Nouveau monde, la sainte africaine JosĂ©phine Bakhita) et reprĂ©sentant tous les Ă©tats de vie et non pas seulement des prĂȘtres, thĂ©ologiens, religieux et religieuses. Des couples ont ainsi Ă©tĂ© canonisĂ©s comme les saints Louis et ZĂ©lie Martin ainsi que des cĂ©libataires comme la bienheureuse Marguerite Bays.

Saint François de Sales donnant à sainte Jeanne de Chantal la rÚgle de l'ordre de la Visitation, tableau de Noël Hallé (1711-1781).

On trouve dans ce qu'on appelle « le Propre de l'Ă©vĂȘchĂ© » ou le « Propre d'une congrĂ©gation religieuse », une liste des saints reconnus ou non par Rome, universels ou locaux, avec une biographie et la date de leur mort qui est, en principe, celle de leur fĂȘte[14], le tout formant un calendrier. Ces saints sont cĂ©lĂ©brĂ©s avec un degrĂ© variable d'obligation et de solennitĂ© selon le diocĂšse ou l'Ordre religieux : fĂȘte, mĂ©moire (obligatoire ou facultative) et parfois solennitĂ©. Notons encore qu'il existe dans l'Ă©glise catholique une fĂȘte de tous les saints, appelĂ©e la Toussaint qui prend place le 1er novembre. Elle est cĂ©lĂ©brĂ©e dans toute l'Église depuis le IXe siĂšcle et ne doit pas ĂȘtre confondue avec la CommĂ©moration de tous les fidĂšles dĂ©funts, cĂ©lĂ©brĂ©e le 2 novembre, qui est consacrĂ©e Ă  tous les fidĂšles dĂ©cĂ©dĂ©s dont les catholiques espĂšrent qu'ils vivent auprĂšs de Dieu, donc dans la lumiĂšre de la saintetĂ© de Dieu (certains pouvant ĂȘtre saints sans que l'Ă©glise catholique ne les connaisse et donc sans qu'elle les prĂ©sente individuellement Ă  la foi des fidĂšles). Pour trouver la liste complĂšte des vĂ©nĂ©rables, bienheureux et bienheureuses ainsi que des saintes et saints catholiques, il faut consulter le martyrologe romain qui compte plus de 10 000 saintes et saints.

Impact des saintes et des saints dans la société et la culture occidentale

Ville de Saint-Ursanne, Suisse, canton du Jura.

Du fait de leur omniprĂ©sence dans les sociĂ©tĂ©s chrĂ©tiennes catholiques et orthodoxes (dans le monde protestant, la saintetĂ© est rĂ©servĂ©e Ă  Dieu seul qui est le seul Saint, le seul Seigneur), l'importance des saintes et des saints dans la vie de tous les jours, mĂȘme la vie des non catholiques, se lit concrĂštement comme on peut le constater dans le nom des rues, des localitĂ©s, d'Ă©glises, de sanctuaires, de bateaux, de places de villes (comme Le Mont-Saint-Michel, la place Saint-Marc Ă  Venise, Saint-Jean-de-Maurienne, Saint-Ursanne, Saintes-Maries-de-la-Mer, Notre-Dame de Paris ou la Bonne-MĂšre de Marseille, la Basilique Saint-Denis, le sanctuaire de Notre-Dame de Lourdes ou de Notre-Dame de Lorette ou encore le pĂšlerinage Ă  Saint-Jacques-de-Compostelle) ainsi que dans les prĂ©noms donnĂ©s aux enfants afin de les placer sous la protection d'un saint, dit saint patron (Ă  une Ă©poque, dans certaines rĂ©gions ou certains pays, l'usage existait de donner Ă  un enfant le nom du saint fĂȘtĂ© le jour de sa naissance). Chaque Ă©glise est d'ailleurs placĂ©e sous le patronage d'une sainte ou d'un saint comme celui de Marie (voir toutes les Ă©glises, abbayes, couvents ou sanctuaires Notre-Dame) de Sainte-Sophie Ă  Constantinople ou encore de Saint-Pierre de Rome. Mais cette prĂ©sence touche aussi les mĂ©tiers (l'Ă©vangĂ©liste saint Luc patron des mĂ©decins, sainte Apolline patronne des dentistes, saint JĂ©rĂŽme de Stridon patron des bibliothĂ©caires et des archivistes), les maladies (comme saint Roch patron des pestifĂ©rĂ©s ou sainte Rita patronne des causes perdues, saint Damien dit le PĂšre Damien patron des lĂ©preux), les activitĂ©s comme la chasse (saint Hubert patron des chasseurs) ou le voyage (saint Christophe patron des voyageurs), les dictons (comme ceux qui concernent les saints de glace ou saint MĂ©dard), les rĂ©flexes parfois encore automatiques de certaines personnes qui invoquent saint Antoine de Padoue lorsqu'elles ont perdu quelque chose et qu'elles la recherchent, ou bien de « coiffer sainte Catherine », tout comme la tradition ancienne des feux de la Saint-Jean, la musique (comme en Ă©coutant un Stabat Mater), l'art de la peinture, de la sculpture (avec une Madone ou une Mater dolorosa), de l'icĂŽne, etc. La connaissance du fait religieux est alors nĂ©cessaire pour rendre accessible et intelligible une partie essentielle du patrimoine culturel de l'humanitĂ©. Elle permettant ainsi une lecture raisonnĂ©e d'un grand nombre d'Ɠuvres, notamment picturales du Moyen Âge et de la Renaissance en Occident, mais aussi une meilleure connaissance de l'architecture, de la toponymie, de l'histoire, de l'histoire des religions, de l'ƓcumĂ©nisme, de l'histoire des idĂ©es, 


Objectifs de la liste

La liste de saintes et de saints prĂ©sente ci-dessous permet ainsi d'accĂ©der Ă  la biographie rĂ©elle ou Ă  l'hagiographie (rĂ©cits lĂ©gendaires de vies de saints, l'ouvrage le plus important Ă©tant probablement la LĂ©gende dorĂ©e) ainsi qu'aux attributs d'un certain nombre de saints (comme la croix de l'apĂŽtre saint AndrĂ©, les roses de sainte ThĂ©rĂšse de Lisieux, la tĂȘte sur un plateau de saint Jean-Baptiste, l'aigle de saint Jean l'Ă©vangĂ©liste, les extases et la transverbĂ©ration de sainte ThĂ©rĂšse d'Avila), Soulignons que cette liste ne comprend qu'un nombre restreint de saintes et saints catholiques.

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

A

02 juillet : Sainte Charlotte 12 juillet : Sainte Cassandra

B

Sainte Bernadette Soubirous dans la grotte de Lourdes en 1863, trois ans aprÚs sa premiÚre vision de la Vierge Immaculée.
Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

C

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

D

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

E

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

F

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

G

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

H

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

I

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

J

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

K

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

L

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

M

Portrait de MĂšre Marie de l'Incarnation, attribuĂ© Ă  Hugues Pommier, huile, 100,0 x 77,0 cm. 1672. Archives des ursulines de QuĂ©bec.
Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

N

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

O

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

P

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

Q

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

R

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

S

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

T

Transverbération de sainte ThérÚse d'Avila, Chùtenay-Malabry, France.
Tombe de Saint Thomas Moore, Tour de Londres.
Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

U

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

V

Reliquaire de saint Vincent de Paul, Paris.
Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

W

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

X

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

Y

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

Z

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

Notes et références

  1. F. François Marie-Létel, « De la conversion à la sainteté », sur La Croix, (consulté le )
  2. « Equipollente: Définition », sur cardinal-balthasar.com (consulté le )
  3. « Radio Swiss Pop - Musiciens », sur www.radioswisspop.ch (consulté le )
  4. « Messe d'action de grùce pour la canonisation équipollente de deux saints canadiens (12 octobre 2014) | François », sur w2.vatican.va (consulté le )
  5. « Annonce de la canonisation de Marie de l'Incarnation - Ursulines de l'Union Romaine », sur ursulines.union.romaine.catholique.fr (consulté le )
  6. « Canonisation de François de Laval et de Marie de l’Incarnation: message de l'AECQ », sur ƒuvres Pontificales Missionnaires (consultĂ© le )
  7. « La canonisation de Pierre Favre, son contexte - Jésuites de Belgique francophone et du Luxembourg », sur www.jesuites.be (consulté le )
  8. « Audience gĂ©nĂ©rale du 13 octobre 2010: Bienheureuse AngĂšle de Foligno | BENOÎT XVI », sur w2.vatican.va (consultĂ© le )
  9. « Trois nouveaux saints, dont deux franco-québécois », sur www.la-croix.com (consulté le )
  10. « Canonisation de Kateri Tekakwitha: une Sainte ambiguë | Jean-Christophe Laurence | Actualités », sur La Presse (consulté le )
  11. « Le pape François brade-t-il la sainteté ? - Chrétiens en débat - La Vie », sur www.lavie.fr (consulté le )
  12. « ApĂŽtres de l’AmĂ©rique », sur www.osservatoreromano.va (consultĂ© le )
  13. « En quelques mois, six nouveaux saints par canonisation équipollente - Délit d'im@ges », sur Délit d'im@ges (consulté le )
  14. L'Église catholique parle de leur "naissance au ciel", cf. site du Vatican, La naissance au ciel de saint Etienne.
  15. Jean-Claude Petit, Jean-Claude Breton, Seul ou avec les autres ? Le salut chrĂ©tien Ă  l'Ă©preuve de la solidaritĂ©, Les Éditions Fides, , p. 154
  16. Saint-Ours est le nom d'un village sur les bords du Richelieu au Québec, Canada, selon http://www.operabaroque.fr/Saints.htm

Voir aussi

Ouvrages de références

  • De probatis sanctorum historiis, Surius (1576) ;
  • Flos sanctorum (Fleurs des vies des saints), Ribadeneira (1599-1601) ;
  • Acta Sanctorum (Actes des Saints), Bollandistes (1643-) ;
  • Les Nouvelles fleurs des vies des Saints, d'aprĂšs Ribadeneira, pĂšre Simon Martin (1650) ;
  • Vies de plusieurs saints illustres, Tillemont (1664) ;
  • Les Vies des Saints, d'aprĂšs Simon Martin, pĂšre Giry (1683) ;
  • Les vies des saints avec l'histoire de leur culte, Adrien Baillet (1701) ;
  • Les Vies des saints pour tous les jours de l'annĂ©e, pĂšre Croiset (1723) ;
  • Vie des pĂšres, martyrs, et autres principaux saints, Alban Butler (1759-1759), traduit en français par Godescard ;
  • Vies des Saints pour tous les jours de l'annĂ©e, Rohrbacher (1853) ;
  • Les Petits Bollandistes, Paul GuĂ©rin (1865).

Ouvrages en ligne en libre accĂšs Gallica

  • Les petits Bollandistes : vies des saints, d'aprĂšs les Bollandistes par Paul GuĂ©rin, vies des saints de l'ancien et du nouveau testament, Paris, 1870 - 17 volumes (voir surtout le volume 17 qui contient la table gĂ©nĂ©rale).
  • Dictionnaire hagiographique, ou Vie des saints et des bienheureux honorĂ©s en tout temps et en tous lieux depuis la naissance du christianisme jusqu'Ă  nos jours avec un SupplĂ©ment pour les saints personnages de l'Ancien et du Nouveau Testament et des divers Ăąges de l'Église par M. l'abbĂ© PĂ©tin, Paris, Migne, 1850
  • Dictionnaire d'hagiographie, mis Ă  jour Ă  l'aide des travaux les plus rĂ©cents par Dom Baudot, Paris, Bloud et Gay, 1925
  • Dictionnaire de patrologie, ou RĂ©pertoire historique, bibliographique, analytique et critique des saints pĂšres, des docteurs... par l'abbĂ© A. Sevestre, ... publ. par M. l'abbĂ© Migne, Petit-Montrouge, 1851-1855
  • Albert Dufourcq, Étude sur les Gesta Martyrum romains, Paris, Albert Fontemoing Ă©diteur, coll. « BibliothĂšque des Écoles françaises d'AthĂšnes et de Rome no 83 », , 441 p. (lire en ligne)

Ouvrages du commerce

  • Dictionnaire des Saints, pour chaque saint : son histoire, sa priĂšre, Émilie Bonvin, Ed. Exclusif 2005, (ISBN 978-2-84891-034-5)
  • Dictionnaire des dieux, des saints et des hommes, Pierre Chavot, Archipel, 2008, (ISBN 978-2-8098-0113-2)
  • La Fleur des Saints ou Vie des Saints pour chaque jour de l'annĂ©e, Omer Englebert, Albin Michel, 1980.
  • Guide des saints et de leurs attributs : reconnaĂźtre et identifier plus de 700 figures chrĂ©tiennes, Galimard Flavigny Bertrand, Nimes, De Vecchi, 2014, (ISBN 978-2-73289-744-8)

Articles connexes

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.