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Polycarpe de Smyrne

Polycarpe, en grec Î ÎżÎ»ÏÎșÎ±ÏÏ€ÎżÏ‚, polykarpos (beaucoup de fruits), nĂ© vers 70 et mort (brĂ»lĂ© vif) en 155 ou en 167, Ă©tait un disciple direct de l'apĂŽtre Jean et second Ă©vĂȘque de Smyrne, aujourd'hui Izmir en Turquie. Mort martyr pour la foi, ce saint et PĂšre apostolique est commĂ©morĂ© le 23 fĂ©vrier selon le Martyrologe romain[1].

Polycarpe de Smyrne
Saint chrétien
Image illustrative de l’article Polycarpe de Smyrne
Ă©vĂȘque, martyr, PĂšre apostolique
Naissance v. 70
Empire parthe
DĂ©cĂšs 155 ou 167 (v. 85 ou 95 ans)
Smyrne, province romaine d'Asie, Empire romain
VĂ©nĂ©rĂ© par Église catholique,
Églises catholiques orientales,
Église orthodoxe
FĂȘte 23 fĂ©vrier
Attributs pallium et crosse d'Ă©vĂȘque, livre, palme du martyre, bĂ»cher

Données biographiques

D'aprĂšs Pionios, un prĂȘtre et martyr du IIIe siĂšcle, Polycarpe serait originaire de l'Empire parthe (Perse antique) avant d'ĂȘtre amenĂ© jeune garçon Ă  Smyrne par des marchands qui le vendent Ă  une femme noble, nommĂ©e Callista. Cette gĂ©nĂ©reuse chrĂ©tienne l'Ă©lĂšve dans la foi. HĂ©ritier des biens de sa mĂšre adoptive, Polycarpe les utilise pour mener une vie chaste, se perfectionner dans la connaissance des Écritures et s'avancer dans la pratique de la piĂ©tĂ© en prenant soin des malades, des infirmes et des vieillards.

Il a plusieurs visions et accomplit certains miracles. Un peu plus tard, il reçoit le diaconat des mains du premier Ă©vĂȘque de Smyrne, Boucolos, qui l'attache Ă  son Ă©glise et lui demande peu avant sa mort de prendre sa suite. De prĂȘtre, il est promu Ă©vĂȘque entre 113 et 117, et il remplit les fonctions de son ministĂšre de maniĂšre tout apostolique durant une cinquantaine d'annĂ©es.

Polycarpe est un disciple de l'apĂŽtre Jean qui, d'aprĂšs la tradition, se serait Ă©tabli vers la fin de sa vie Ă  ÉphĂšse aprĂšs son exil sur l'Ăźle de Patmos, et dont il aurait Ă©tĂ© libĂ©rĂ© aprĂšs la mort de Domitien. D'aprĂšs IrĂ©nĂ©e de Lyon, qui fut l'un des Ă©lĂšves de Polycarpe, ce dernier a connu directement l'apĂŽtre. Outre des entretiens avec lui et un encouragement Ă  devenir Ă©vĂȘque, il l'aurait accompagnĂ© lors d'un voyage apostolique.

Il devient l'un des Ă©vĂȘques les plus influents et les plus estimĂ©s de son temps, Ă  tel point qu'en 154 il est choisi comme reprĂ©sentant des Églises d'Asie puis envoyĂ© Ă  Rome vers 160 pour discuter avec le pape Anicet de plusieurs points de divergence dont la date de PĂąques, dĂ©jĂ  sujette Ă  tension entre les chrĂ©tiens d'Orient et d'Occident. Ils se sĂ©parent sans accord mais « dans l'amitiĂ© Â».

Polycarpe combat de nombreuses sectes jugĂ©es hĂ©rĂ©tiques, en particulier certains gnostiques et notamment Marcion. Il accueille en sa ville de Smyrne l'Ă©vĂȘque d'Antioche, Ignace, condamnĂ© ad bestias dans les arĂšnes de Rome. Les deux Ă©vĂȘques deviennent amis et Ignace d'Antioche lui Ă©crit de Troas une lettre le remerciant de son accueil et lui demandant d'envoyer des missionnaires affermir sa communautĂ© dans la foi chrĂ©tienne. D'Antioche, il lui en envoie une autre restĂ©e dans les annales, dans laquelle il Ă©crit : « Que votre baptĂȘme demeure comme votre bouclier, la foi comme votre casque, la charitĂ© comme votre lance, la patience comme votre armure. »

Il envoie en Gaule quatre chrĂ©tiens engagĂ©s : les prĂȘtres Andoche et BĂ©nigne, le diacre Thyrse, et le sous-diacre AndĂ©ol.

Lorsqu'Ă©clate la persĂ©cution commandĂ©e par l'empereur et philosophe Marc AurĂšle, Polycarpe est trĂšs ĂągĂ©. Il tient tĂȘte au proconsul qui l'interroge. Il est brĂ»lĂ© vif en 155 ou 167.

Dans sa Lettre à Florinus, Irénée de Lyon le reconnaßt comme étant celui dont il a reçu la foi et la tradition johannique.

L'Église de Smyrne a racontĂ© en quelles circonstances Polycarpe et ses compagnons endurĂšrent le martyre dans L'ÉpĂźtre des chrĂ©tiens de l'Église de Smyrne aux autres Ă©glises, l'un des plus anciens mĂ©moriaux de la littĂ©rature chrĂ©tienne.

Pour rĂ©pondre Ă  la demande de nombreux Philippiens, Polycarpe fait parvenir Ă  l'Église de Philippes des lettres d'Ignace d'Antioche qu'il accompagne d'une lettre d'exhortation personnelle inspirĂ©e des Ă©pitres de Pierre et de Paul, de Jean et de ClĂ©ment de Rome. C'est vraisemblablement grĂące Ă  Polycarpe que le corpus des sept lettres d'Ignace, qui ont circulĂ© dans les communautĂ©s d'Asie mineure, a Ă©tĂ© conservĂ©.

Martyre de saint Polycarpe

Saint Polycarpe myroblyte, détail d'une fresque du monastÚre de Dionysiou, mont Athos.

« À l'entrĂ©e de ce saint vieillard dans l'amphithĂ©Ăątre, tous les chrĂ©tiens prĂ©sents entendirent une voix mystĂ©rieuse qui lui disait : « Courage, Polycarpe, combats en homme de cƓur ! » Le proconsul lui demanda : « Es-tu Polycarpe ? - Oui, je le suis. - Aie pitiĂ© de tes cheveux blancs, maudis le Christ, et tu seras libre. - Il y a quatre-vingt-six ans que je Le sers et Il ne m'a fait que du bien; comment pourrais-je Le maudire ? Il est mon CrĂ©ateur, mon Roi et mon Sauveur. - Sais-tu que j'ai des lions et des ours tout prĂȘts Ă  te dĂ©vorer ? - Fais-les venir ! - Puisque tu te moques des bĂȘtes fĂ©roces, je te ferai brĂ»ler. - Je ne crains que le feu qui brĂ»le les impies et ne s'Ă©teint jamais. Fais venir tes bĂȘtes, allume le feu, je suis prĂȘt Ă  tout. » De toutes parts, dans l'amphithĂ©Ăątre, la foule sanguinaire s'Ă©crie : « Il est digne de mort. Polycarpe aux lions ! ». Mais les combats des bĂȘtes fĂ©roces Ă©taient achevĂ©s ; on arrĂȘta qu'il serait brĂ»lĂ© vif. Comme les bourreaux se prĂ©paraient Ă  l'attacher sur le bĂ»cher, il leur dit : « C'est inutile, laissez-moi libre, le ciel m'aidera. » Le saint lĂšve les yeux au ciel et prie. Tout Ă  coup la flamme l'environne et s'Ă©lĂšve par-dessus sa tĂȘte, mais sans lui faire aucun mal, pendant qu'un parfum dĂ©licieux embaume les spectateurs. À cette vue, les bourreaux lui percent le cƓur avec une Ă©pĂ©e. »

Le récit antique donne :

« Polycarpe a avouĂ© qu’il est chrĂ©tien ! ». La dĂ©claration du hĂ©raut mit en fureur toute la foule des paĂŻens et des Juifs qui rĂ©sidaient Ă  Smyrne. Les cris Ă©clatĂšrent : « C’est lui, le maĂźtre de l’Asie, le pĂšre des chrĂ©tiens, le fossoyeur de nos dieux, c’est lui qui incite les foules Ă  ne plus sacrifier ni adorer ! ». Au milieu de leurs hurlements, ils demandaient Ă  l’asiarque Philippe de lĂącher un lion sur Polycarpe. Mais il objecta qu’il n’en avait plus le droit, parce que les combats de fauves Ă©taient clos. Alors d’une seule voix, ils rĂ©clamĂšrent que Polycarpe pĂ©rĂźt par le feu. Il fallait en effet que s’accomplĂźt la vision qui lui avait montrĂ© son oreiller en flammes, tandis qu’il priait, et qui lui avait arrachĂ© devant ses amis ce mot prophĂ©tique : « Il faut que je sois brĂ»lĂ© vif ». Les Ă©vĂ©nements se prĂ©cipitĂšrent. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, la foule se rua dans les ateliers et dans les bains pour ramasser du bois et des fagots. Les Juifs s’acquittaient de la besogne avec leur zĂšle habituel. Quand le bĂ»cher fut prĂȘt, le martyr retira lui-mĂȘme tous ses vĂȘtements, il dĂ©tacha sa ceinture, puis commença Ă  se dĂ©chausser, geste dont les fidĂšles le dispensaient toujours : dans l’impatience oĂč ils Ă©taient de toucher son corps, tous se prĂ©cipitaient pour l’aider. Bien avant son martyre, la saintetĂ© de sa conduite inspirait cette unanime rĂ©vĂ©rence. - RĂ©cit du martyre de Polycarpe[2]. »

Date de sa mort

Statue du martyre, Ă©glise Saint-Polycarpe de Cabuyao, Philippines.

EusĂšbe de CĂ©sarĂ©e date sa mort de 166-167, sous le rĂšgne de Marc AurĂšle. D'autres datations ont Ă©tĂ© proposĂ©es qui sont comprises entre 155 et 169. Certains commentateurs Ă©voquent mĂȘme 177.

« Le bienheureux Polycarpe a rendu tĂ©moignage au dĂ©but du mois de Xanthique, le deuxiĂšme jour, le septiĂšme jour avant les calendes de mars, un jour de grand sabbat, Ă  la huitiĂšme heure. Il avait Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© par HĂ©rode, sous le pontificat de Philippe de Tralles, et le proconsulat de Statius Quadratus, mais sous le rĂšgne Ă©ternel de notre Seigneur JĂ©sus-Christ ; Ă  lui soit la gloire, l’honneur, la grandeur, le trĂŽne Ă©ternel de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration. »

— Martyre de Polycarpe, XXI.

Pour certains critiques, ces indications paraissent correspondre Ă  l’annĂ©e 155. En effet, il n’existe aucune autre date au IIe siĂšcle oĂč puissent coĂŻncider un samedi (sabbat), un (septiĂšme jour avant les calendes de mars) et le deuxiĂšme jour d’un mois lunaire (le 2 de Xanthique) ; de plus, de bons arguments montrent que Statius Quadratus Ă©tait trĂšs probablement proconsul en 155. Polycarpe aurait donc Ă©tĂ© baptisĂ© en 69, avant la ruine de JĂ©rusalem.

Toutefois, cette date de 155 présente une difficulté, Marc-AurÚle ayant régné de 161 à 180.

Selon les MĂ©moires pour servir Ă  l'Histoire EcclĂ©siastique des Six premiers siĂšcles de Louis-SĂ©bastien Le Nain de Tillemont page 305 ce "grand sabbat" est la veille de PĂąques, et une lecture possible est le 7e jour des calendes d'avril, ce qui donne comme date le . Mais le mĂȘme auteur souligne la difficultĂ© d'accorder le 2 d'un mois lunaire et la veille de PĂąques[3], qui tombe un 14 selon le calendrier juif (mais sans doute pas en usage chez les ChrĂ©tiens de ce temps).

Postérité

TrĂšs vite aprĂšs le martyre de Polycarpe, l’Église de Smyrne confie Ă  un fidĂšle nommĂ© Marcianus le soin de rĂ©diger un rĂ©cit circonstanciĂ© des faits pour l'envoyer Ă  l’Église de PhilomĂ©lium en Phrygie qui s'interrogeait sur les circonstances de sa mort. Sous le titre de Passio Polycarpi, le texte, qui fait un parallĂšle avec le martyre de JĂ©sus-Christ, se diffuse ensuite Ă  toutes les communautĂ©s chrĂ©tiennes des alentours. Un autre homme, Gaius, rĂ©dige un tĂ©moignage basĂ© sur les souvenirs de saint IrĂ©nĂ©e de Lyon qui a connu Polycarpe et qui l’estimait beaucoup. Plus tard, Ă  Corinthe, un certain Isocrate (ou Socrate) rĂ©dige une compilation des deux dont va s’inspirer le prĂȘtre Pionios pour la rĂ©daction de son livre Vita Polycarpi.

La figure apostolique de Polycarpe et sa Passio vont jouer un rĂŽle essentiel dans l’évolution de la littĂ©rature martyrologique associĂ©es Ă  la premiĂšre et la deuxiĂšme gĂ©nĂ©ration de disciplies[4].

Gustave Flaubert, en grand pourfendeur de la bĂȘtise, le cĂ©lĂ©brait ou l'invoquait Ă  chaque fois qu'un spectacle de la vie moderne le heurtait particuliĂšrement, le citant souvent dans sa correspondance, et fĂȘtant chaque annĂ©e son anniversaire avec ses amis, prĂ©texte Ă  d'amples libations.

Reliques

Tombeau présumé de Polycarpe à Izmir, photographie de 1895.

D’aprĂšs les rĂ©cits, voulant se prĂ©server d’un culte Ă©ventuel vouĂ© Ă  l’évĂȘque Polycarpe, les autoritĂ©s romaines refusent de cĂ©der les restes de son corps aux fidĂšles qui dĂ©sirent les rĂ©cupĂ©rer. Certains Juifs arguant mĂȘme avec ironie qu’ils seraient capable de le prĂ©fĂ©rer au RessuscitĂ©. Cependant, le garde en faction accepte de leur cĂ©der, soit par regret d’avoir participer au supplice, soit par admiration vis-Ă -vis du courage exemplaire du vieil homme, ou les deux.

Les chrĂ©tiens dĂ©posent alors dans un lieu secret et consacrĂ© les os calcinĂ©s du saint et dĂ©cident d’une inscription en son honneur : « Nous pĂ»mes plus tard cueillir ses ossements plus prĂ©cieux que des pierres de grand prix et plus prĂ©cieux que l'or, pour les dĂ©poser en un lieu convenable. C'est lĂ , autant que possible, que le Seigneur nous donnera de nous rĂ©unir dans l'allĂ©gresse et la joie, pour cĂ©lĂ©brer l'anniversaire de son martyre, de sa naissance, en mĂ©moire de ceux qui ont combattu avant nous, et pour exercer et prĂ©parer ceux qui doivent combattre Ă  l'avenir ».

C'est ainsi qu’ils prirent l’habitude de venir se recueillir Ă  son souvenir, et chaque annĂ©e cĂ©lĂ©brer sa mort. ApparaĂźt alors, en cette seconde moitiĂ© du IIe siĂšcle le culte des reliques vĂ©cu en assemblĂ©e, principalement Ă  la date anniversaire du martyre. Il n'y a pas lĂ  de superstition, mais du respect, de l'admiration, le dĂ©sir de conserver tout ce qu'il reste de l'homme martyrisĂ©, les cendres, le sang versĂ©, mĂȘme les instruments du martyre[5].

Le courage de Polycarpe frappa beaucoup les paĂŻens eux-mĂȘmes et l’autoritĂ© romaine arrĂȘta pour un temps les supplices. Le nom de Polycarpe resta cĂ©lĂšbre Ă  Smyrne et son martyr contribua Ă  servir d’exemple de la diffĂ©rence qu’il y a Ă  faire entre adoration (rĂ©servĂ©e Ă  Dieu, latrie) et vĂ©nĂ©ration (des saints et des reliques, dulie). À partir de cette pĂ©riode, les chrĂ©tiens de l’Église primitive vont considĂ©rer qu'il est profitable de prier, puis de se faire enterrer Ă  proximitĂ© de ces corps privilĂ©giĂ©s pour tirer parti de la communion des saints. C'est l'origine premiĂšre des basiliques construites gĂ©nĂ©ralement sur d'anciennes zones funĂ©raires, Ă  la pĂ©riphĂ©rie des villes antiques, puis abritant des reliques[6].

Églises Saint-Polycarpe

Bibliographie

ƒuvre

  • Clavis Patrum GrĂŠcorum 1040-1042
  • Polycarpe de Smyrne, Lettres aux Philippiens. Anonymes hagiographiques, Martyre de Polycarpe. Ignace d'Antioche, Lettre aux ÉphĂ©siens... Lettre Ă  Polycarpe, trad. Pierre Thomas Camelot, Cerf, coll. "Sources chrĂ©tiennes" (Textes grecs, n° 10 bis), 1945, 4° Ă©d. 2007.
  • Les Écrits des PĂšres apostoliques, Cerf, 2001.
  • Lettre aux Philippiens, in Premiers Ă©crits chrĂ©tiens, dir. B. Pouderon, J.-M. Salamito, V. Zarini, La PlĂ©iade, NRF, Gallimard, p. 220-226.
  • Lettre aux Philippiens, Ă©dition bilingue sur patristique.org : s'y trouve aussi le rĂ©cit du martyre de Polycarpe et une introduction Ă  ces documents.

Études

  • Source : Martyre de saint Polycarpe (vers 160), trad. du grec CĂ©cile Bost-Pouderon : Premiers Ă©crits chrĂ©tiens, Gallimard, coll. "La PlĂ©iade", 2016, p. 249-258.
  • Victor Saxer : « L'authenticitĂ© du Martyre de Polycarpe : Bilan de 25 ans de critique Â», dans MĂ©langes de l'École Française de Rome (SĂ©rie AntiquitĂ©), Rome, 1982, vol. 94, n° 2, p. 979-1001
  • Boudewijn Dehandschutter, Polycarpiana. Studies on Martyrdom and Persecution in Early Christianity, Louvain, Presses de l'UniversitĂ© de Louvain, 2007.
  • Atti e passioni dei martiri, introd. di A.A.R. Bastiaensen, testo critico e comm. a c. di A.A.R. Bastiaensen, A. Hilhorst, G.A.A. Kortekaas, A.P. OrbĂĄn, M.M. van Assendelft, tradd. di G. Chiarini, G.A.A. Kortekaas, G. Lanata, S. Ronchey, xlix-615 pp., Milano, Mondadori/Fondazione Lorenzo Valla, 1987

Notes et références

  1. « Saint Polycarpe », sur nominis.cef.fr (consulté le )
  2. cf. Bruno Chenu, Claude Prud’homme, France QuĂ©rĂ©, Jean-Claude Thomas, Le livre des martyrs chrĂ©tiens, Ă©d. Centurion, Paris, 1988, p. 42-49.
  3. PĂąques a lieu le premier dimanche qui suit la premiĂšre pleine lune de printemps
  4. L’évolution de la littĂ©rature martyrologique, hagiographie en recherches, le corpus hagiographique bourguignon, Eliana Magnani (2018), Bucema, Bulletin du centre d'Ă©tudes mĂ©diĂ©vales d'Auxerre.
  5. Le culte des reliques, Françoise le Bas.
  6. Les reliques Ă  l'origine des premiĂšres basiliques, histoire des reliques, IIe siĂšcle, ProphĂštes et Mystiques

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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