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Liste de massacres de la guerre de Vendée et de la Chouannerie

De nombreux massacres furent commis pendant la guerre de VendĂ©e et de la Chouannerie contre des prisonniers de guerre et des civils. L'ensemble des exactions fut, entre 1792 et 1801, de plusieurs dizaines de milliers Ă  peut-ĂŞtre plus de 100 000 victimes. La guerre fut particulièrement brutale et meurtrière de l'automne 1793 au printemps 1794 lors de la VirĂ©e de Galerne et des colonnes infernales.

Les Vendéens

Lorsque la révolte éclate en , de nombreuses violences sont commises par certains groupes d'insurgés. Celles-ci tendent cependant à se raréfier à mesure que s'établit de la discipline dans l'armée catholique et royale. À la suite des succès initiaux, les Vendéens font de nombreux prisonniers. Plusieurs d'entre eux sont utilisés en mars et en avril comme boucliers humains, notamment à la bataille de Jallais, à la bataille de Chemillé et à la bataille de Saumur. Cette tactique, inefficace car les prisonniers réussissent souvent à s'échapper, est cependant abandonnée par la suite[1].

Des chefs vendĂ©ens, comme Charette, proposent alors des Ă©changes de prisonniers, mais ces propositions sont rejetĂ©es par les rĂ©publicains qui refusent toute nĂ©gociation avec les rebelles[2] - [3]. Les prisonniers sont alors internĂ©s, cependant leur traitement varie beaucoup selon les chefs, ainsi d'après l'officier vendĂ©en Lucas de La Championnière, au printemps 1793, Ă  LegĂ©, dirigĂ©e par Charette, les exĂ©cutions sont rares tandis qu'Ă  Port-Saint-Père, les rebelles commandĂ©s par La Cathelinière exĂ©cutent tous leurs prisonniers[4]. Dans l'armĂ©e du bocage, les gĂ©nĂ©raux d'ElbĂ©e, Bonchamps, Lescure et Henri de La Rochejaquelein font preuve de clĂ©mence[5], (ainsi D'ElbĂ©e rĂ©ussit Ă  empĂŞcher ses hommes de massacrer 400 prisonniers après la bataille de ChemillĂ©[6], Lescure met fin Ă  un massacre et sauve plusieurs centaines de rĂ©publicains lors de la première bataille de Châtillon[7], tandis que Bonchamps, mortellement blessĂ© Ă  la bataille de Cholet, parvient, quelques heures avant sa mort, Ă  empĂŞcher ses hommes de massacrer 4 000 Ă  5 000 prisonniers rĂ©publicains qui sont ensuite relâchĂ©s[8]). En revanche le gĂ©nĂ©ral Marigny n'Ă©pargne presque jamais ses prisonniers[9]. Lucas de La Championnière, officier dans l'armĂ©e du Marais, rend Ă©galement compte, en septembre, des diffĂ©rences avec la Grande ArmĂ©e ou armĂ©e du bocage : « L'esprit des paysans qui composaient les dĂ©tachements de la grande ArmĂ©e, Ă©tait bien diffĂ©rent de celui qui rĂ©gnait parmi nous. Les nĂ´tres pillaient, battaient et juraient comme de vrais soldats ; les autres dans ce temps lĂ  revenaient du combat en disant leur chapelets, ils faisaient prisonniers tous ceux qu'ils pouvaient prendre sans les tuer et rarement s'emparaient de leurs dĂ©pouilles[10]. »

En Anjou et dans le Haut-Poitou, les habitants patriotes sont soumis Ă  une très Ă©troite surveillance tandis que les soldats rĂ©publicains sont maintenus en prison. D'après des tĂ©moignages de captifs rĂ©publicains, Ă  Mortagne-sur-Sèvre, les 2 000 prisonniers sont bien traitĂ©s par la population, les gardiens et le gĂ©nĂ©ral Sapinaud[11] - [5]. Ă€ Châtillon-sur-Sèvre cependant, oĂą sont enfermĂ©s 3 000 prisonniers, le gardien agit de manière brutale en faisant exĂ©cuter les captifs qui cherchent Ă  s'Ă©vader[5].

Après les victoires de , les VendĂ©ens font un nombre de prisonniers encore plus considĂ©rable mais ne sont pas en mesure de les garder. Une proposition du gĂ©nĂ©ral Donnissan est alors adoptĂ©e par l'Ă©tat-major vendĂ©en, les prisonniers sont relâchĂ©s contre le serment de ne plus prendre les armes contre les VendĂ©ens, ils sont ensuite tondus afin de pouvoir ĂŞtre reconnus s'ils trahissent leur serment, les tondus repris seront fusillĂ©s[5]. Ainsi 3 000 prisonniers rĂ©publicains sont relâchĂ©s après la bataille de Thouars[12], 3 250 après la bataille de Fontenay-le-Comte[13] et 3 000 Ă  11 000 après la bataille de Saumur[14]. Il y aurait eu peut-ĂŞtre jusqu'Ă  25 000 prisonniers rĂ©publicains tondus[5]. La Convention nationale refuse cependant de reconnaĂ®tre la validitĂ© de ce serment, les soldats tondus sont renvoyĂ©s au combat une fois leurs cheveux repoussĂ©s. Le , la Convention dĂ©crète que tout homme qui prĂŞtera ce serment Ă  partir de cette date sera « dĂ©clarĂ© lâche et dĂ©serteur de la libertĂ©, comme tel privĂ© du droit de citoyen pendant dix ans [...] mis en Ă©tat d'arrestation[15]. »

À partir de l'été 1793, le conflit devient plus brutal. En septembre l'armée de Mayence est envoyée dans l'Ouest. Celle-ci avait capitulé devant les Prussiens après le Siège de Mayence puis mise en liberté contre le serment de ne plus combattre la Première Coalition. Bien que les Vendéens n'aient pas été mentionnés dans les termes de la capitulation, l'état-major de l'armée catholique et royale les déclare traîtres à leur serment et proclame qu'il ne sera pas fait de prisonniers Mayençais[16]. Lors de la bataille du Pallet, les blessés de l'Armée de Mayence sont massacrés par les Vendéens, en représailles les Mayençais décident à leur tour de ne plus faire de prisonniers[17].

Pendant la Virée de Galerne, un certain nombre d'exécutions sommaires sont commises par les Vendéens, des blessés sont achevés à la bataille de Pontorson tandis qu'à la bataille de Dol les républicains qui se rendent sont aussitôt abattus. La plupart des républicains capturés par les Vendéens sont cependant épargnés. À Fougères, 400 à 800 prisonniers sont relâchés après avoir été tondus[18] - [15], ceux pris à Avranches sont également libérés[19], ainsi que les 200 soldats capturés lors la prise du Mans[20]. Le général en chef Henri de La Rochejaquelein libère également 150 blessés républicains à Antrain[21].

Contre les colonnes infernales, les Vendéens ne font plus de prisonniers, les républicains capturés sont presque toujours exécutés[22].

Lorsque la deuxième guerre de VendĂ©e Ă©clate en 1795, le gĂ©nĂ©ral Charette capture 200 Ă  400 rĂ©publicains lors de deux attaques surprises. Un Ă©change de prisonniers est proposĂ© aux rĂ©publicains mais il est refusĂ© par ces derniers[23]. En aoĂ»t, Charette ordonne l'exĂ©cution de tous ses prisonniers en reprĂ©sailles des massacres de Quiberon, six hommes seulement sont Ă©pargnĂ©s[24].

Le nombre total des victimes d'exactions vendĂ©ennes n'est pas connu, 1 000 Ă  3 000 sont tuĂ©s lors des principaux massacres (Machecoul, Châtillon, Le Pallet, Bouin, la route de Cholet et Belleville). Plus quelques milliers d'autres lors d'exactions de moindre ampleur.

Les républicains

Sous la Terreur

Le , quelques jours seulement après le début de l'insurrection vendéenne, la Convention nationale décrète la peine de mort pour tout insurgé pris les armes à la main ou porteur d'une cocarde blanche[25]. Ceux-ci doivent être jugés par une commission militaire ou le tribunal criminel du département et la sentence exécutée dans les 24 heures[26]. Le décret est modifié le , sur l'initiative de Danton, de manière à ne viser désormais que les chefs rebelles[27]. Néanmoins dans les mois qui suivent, plusieurs représentants en mission et commissions militaires continuent de prononcer des condamnations à mort au nom de la loi du [28]. Le 1er août, la Convention nationale planifie la répression en décrètant la loi d'anéantissement de la Vendée ; la politique de la terre brûlée devra être appliquée en Vendée, les « brigands » exterminés, les patriotes, les femmes et enfants conduits en dehors de la Vendée[29] - [30] - [31]. Dans un second décret, du , la Convention nationale renouvelle son ordre d'extermination des brigands[32].

Après la VirĂ©e de Galerne, la rĂ©pression est mise en place par les reprĂ©sentants en mission, lesquels Ă©tablissent des Commissions militaires rĂ©volutionnaires pour juger les prisonniers. L'armĂ©e est ensuite chargĂ©e de dĂ©truire les dernières rĂ©sistances en VendĂ©e. L'armĂ©e de l'Ouest passe sous la domination des Sans-culottes hĂ©bertistes aux premiers jours de 1794 Ă  la suite de l'arrivĂ©e du gĂ©nĂ©ral en chef Louis-Marie Turreau[33] et aux renforts de 10 000 hommes dĂ©tachĂ©s de l'ArmĂ©e du Nord[34].

Turreau met en place les colonnes infernales et donne l'ordre de massacrer les populations jugées royalistes, hommes, femmes et enfants, et de faire évacuer celles jugées neutres ou républicaines[35] - [36]. Les officiers et les troupes agissent cependant de manière très diverses, certaines commettent peu d'exactions, d'autres exterminent des populations entières sans distinctions d'aucune sorte[37] - [38] - [39]. Le plan du général en chef est d'abord approuvé par le Comité de salut public[40] - [41] avant que celui-ci ne dénonce les massacres commis contre des populations patriotes[42]. Le Comité de salut public n'intervient plus et laisse les colonnes agir de février à avril, il délègue ses pouvoirs dans l'Ouest aux représentants en mission[43], ceux-ci se montrent cependant partagés entre partisans et opposants à Turreau[44] - [45]. Ces derniers, d'abord minoritaires prennent de plus en plus d'importance à cause de l'incapacité du général en chef à achever la guerre de Vendée et du soutien des républicains de Vendée. Turreau est finalement destitué par le Comité de salut public en . Par la suite les généraux Vimeux et Dumas, partisans d'une politique plus clémente, lui succède.

Les exactions commises par les républicains lors des guerres de l'Ouest pendant la Terreur font des dizaines de milliers de victimes :

La Chouannerie

La Chouannerie ne fut pas aussi brutale que ne le fut la guerre de Vendée de l'automne 1793 à l'été 1794. Cependant de nombreuses exactions continuent d'être commises.

Avec le début de la deuxième chouannerie, la Convention nationale décrète le , la peine de mort pour tous les Chouans pris les armes à la main, ainsi que les embaucheurs et les instigateurs des rassemblements. Pour les habitants des campagnes pris sans armes dans les rassemblements, la peine est de quelques mois de détention. Selon le décret, les prisonniers pris lors de rassemblement doivent être jugés par un tribunal militaire, ceux pris sans armes et hors des rassemblements par un tribunal criminel[57].

Après l'expĂ©dition de Quiberon en , les rĂ©publicains capturent 2 662 soldats de l'armĂ©e des Ă©migrĂ©s, et environ 5 000 Chouans et 5 000 civils. Les civils sont rapidement relâchĂ©s et les 1 632 transfuges de l'armĂ©e des Ă©migrĂ©s, enrĂ´lĂ©s de forces par les Royalistes, sont rĂ©incorporĂ©s dans l'armĂ©e rĂ©publicaine. Lazare Hoche, gĂ©nĂ©ral en chef de l'ArmĂ©e de l'Ouest, Ă©crit Ă  la Convention nationale que selon les lois rĂ©publicaines en vigueur, les prisonniers royalistes pris les armes Ă  la main doivent ĂŞtre exĂ©cutĂ©s. Cependant Hoche demande et obtient de la Convention la grâce des prisonniers chouans. 2 000 d'entre eux sont relâchĂ©s contre une amende et 3 180 autres sont acquittĂ©s ou condamnĂ©s Ă  des peines d'emprisonnement. Le sort des Ă©migrĂ©s est plus sĂ©vère, 627 Ă©migrĂ©s ou ecclĂ©siastiques et 121 chouans sont condamnĂ©s Ă  mort et exĂ©cutĂ©s[58] - [59].

Le nombre des exactions diminuent lors de la troisième chouannerie (1799-1800). Dans ses mémoires, le général chouan Louis d'Andigné écrit que cette campagne « ne fut pas souillée d'autant d'actes de cruauté que l'avaient été les campagnes précédentes[60]. »

La guerre de 1815

Lors de l'insurrection de 1815, les Vendéens font 66 prisonniers lors de la guerre, lesquels sont relâchés contre la promesse de ne plus prendre les armes[61]. Les commandants impériaux Lamarque et Travot font également preuve de modération, Travot relâche notamment une vingtaine de prisonniers après le combat de L'Aiguillon[62]. Après la Restauration, l'ouest n'est pas touché par la Terreur blanche de 1815 et la répression reste modérée, quelques condamnations à mort sont prononcées lors des procès de bonapartistes, mais aucune n'est exécutée[63].

1792

Août 1792

Le 24
  • Bressuire : exĂ©cutions sommaires de paysans insurgĂ©s. Des colliers de nez et d'oreilles tranchĂ©es sont rapportĂ©s comme trophĂ©es par les gardes nationaux[64].

1793

Mars 1793

Le Massacre de Machecoul, huile sur toile de François Flameng, 1884, musée d'art et d'histoire de Cholet.
Mort de Sauveur, héros breton, peinture d'Edmond Louis Dupain, XIXe siècle, musée des beaux-arts de Bordeaux.
Le 11
Du au
  • Saint-Fiacre-sur-Maine: le maire est dĂ©coupĂ© en morceau par les insurgĂ©s.
  • Massacres de Machecoul : 180 Ă  200 patriotes sont fusillĂ©s sommairement ou massacrĂ©s Ă  coups de piques par les paysans insurgĂ©s sur ordre du comitĂ© royaliste prĂ©sidĂ© par RenĂ© Souchu. Seulement 20 captifs survivent dans les prisons[67] - [68].
Le 12
  • Savenay : quatre patriotes (le prĂŞtre constitutionnel, un administrateur et deux douaniers) sont lynchĂ©s Ă  mort par les paysans insurgĂ©s lors du combat de Savenay. La plupart des patriotes sont retenus prisonniers[69].
Les 12 au 14
Le 13
Le 16
Le 17
  • PaimbĹ“uf : trois insurgĂ©s, sont exĂ©cutĂ©s après jugement de la commission militaire car « pris les armes Ă  la main »[74].
Le 20
Le 23
  • Pornic : 11 habitants, dont deux officiers municipaux, sept vieillards et un « idiot » sont tuĂ©s par des paysans insurgĂ©s. Quelques heures plus tard, les rĂ©publicains reprennent la ville, 216 paysans sont tuĂ©s, tant par les combats que par les exĂ©cutions[77]
  • Bourgneuf-en-Retz : 3 ou 12 personnes sont fusillĂ©es par les insurgĂ©s lors de leur retraite[77].
Le 26
Le 29
  • Savenay : 12 prisonniers rĂ©publicains sont fusillĂ©s par les insurgĂ©s d'après le gĂ©nĂ©ral Beysser[78].
Les 29 et 30

Avril 1793

Le 2
Le 6
  • Les Sables-d'Olonne : 12 insurgĂ©s, âgĂ©s de 18 Ă  29 ans, « pris les armes Ă  la main » sont condamnĂ©s Ă  mort par la commission militaire des Sables d'Olonne et guillotinĂ©s[82] - [83].
Le 13
Du au
  • Les Sables-d'Olonne : 61 prisonniers, essentiellement « pris les armes Ă  la main » « agents des rebelles » « chefs de rebelles » ou « courrier des rebelles », dont deux femmes, sont condamnĂ©s Ă  mort par la commission militaire des Sables d'Olonne et guillotinĂ©s[82] - [83].
Du 23 au 28
  • Machecoul : 16 Ă  17 insurgĂ©s sont fusillĂ©s ou dĂ©capitĂ©s Ă  la hache, dont RenĂ© Souchu, après jugements de trois commissions militaires mises en place par le gĂ©nĂ©ral Beysser. 6 acquittements et 8 renvois sont Ă©galement prononcĂ©s[85].
Fin avril

Mai 1793

Le 13
Le 22

Juillet 1793

Le 1er
Le 5
  • MaulĂ©on : plusieurs centaines de prisonniers rĂ©publicains de l'armĂ©e de Westermann sont massacrĂ©s par des vendĂ©ens menĂ©s par le gĂ©nĂ©ral Marigny, lequel aurait Ă©gorgĂ© 75 hommes de sa main selon la marquise de La Rochejaquelein. L'intervention du gĂ©nĂ©ral Lescure met fin aux tueries[90].

Septembre 1793

Le 22
Du au

Octobre 1793

Le 11
Le 13
Les 16 et 17
  • De Cholet Ă  Saint-Florent-le-Vieil : les vendĂ©ens Ă©vacuent 5 000 prisonniers rĂ©publicains sur Saint-Florent. Au cours du trajet plusieurs captifs, trop blessĂ©s ou malades pour suivre ou cherchant Ă  s'Ă©vader, sont exĂ©cutĂ©s sommairement ou massacrĂ©s. Les estimations vont de 80 Ă  600 morts[94].
Le 17
Le 21
  • CandĂ© : environ 30 blessĂ©s vendĂ©ens laissĂ©s dans les hĂ´pitaux, sont massacrĂ©s par les rĂ©publicains lorsque ces derniers reprennent la ville[96].
  • Château-Gontier : 14 administrateurs rĂ©publicains sont fusillĂ©s par les VendĂ©ens[97].

Novembre 1793

Les Noyades de Nantes en 1793, huile sur toile de Joseph Aubert, 1882.
Le 3
  • Fougères : environ 10 Ă  60 administrateurs et soldats rĂ©publicains tondus sont fusillĂ©s par les vendĂ©ens. Les soldats prisonniers sont cependant relâchĂ©s[98] - [99].
Du Ă  mi-janvier
  • Rennes : 56 prisonniers sont condamnĂ©s Ă  mort par la commission Vaugeois, contre 17 peines de fers, 20 peines de prison et 37 acquittements[100].
Le 16
  • Avranches : 55 Ă  60 vendĂ©ens pris dans les hĂ´pitaux sont fusillĂ©s sur ordre de la municipalitĂ© de la ville[101] - [102].
  • Dinan : 14 vendĂ©ens, dont 3 femmes et 2 enfants, pris dans les environs de Dol-de-Bretagne, sont fusillĂ©s par une commission militaire en prĂ©sence du reprĂ©sentant Prieur de la Marne[81].
Le 17
Le 18
  • Fougères : les soldats des gĂ©nĂ©raux Canuel et Amey torturent et massacrent 200 vendĂ©ens dans les hĂ´pitaux, dont de nombreuses femmes[104].
Du 18 au 21
  • Laval : 12 prisonniers sont condamnĂ©s Ă  mort et exĂ©cutĂ©s après jugement de la commission Parein-FĂ©lix[105].
Le 19
  • Granville : 16 prisonniers vendĂ©ens, jugĂ©s par une commission militaire, sont condamnĂ©s Ă  mort et exĂ©cutĂ©s. Au moins 27 autres exĂ©cutions se dĂ©roulent dans la ville jusqu'au [106].
Le 21
Du au
Le 22
Le 25
  • Mayenne : 28 rebelles pris dans l'hĂ´pital de la ville sont jugĂ©s par le tribunal criminel sur ordre du reprĂ©sentant Le Tourneur et fusillĂ©s[111].
De fin novembre Ă  mi-janvier

DĂ©cembre 1793

L'exécution des sœurs La Métairie, huile sur toile de Auguste-Hyacinthe Debay, 1838, Château des ducs de Bretagne, Nantes.
Les fusillades de Nantes, aquarelle de BĂ©ricourt.
Mémorial situé au 7 rue des Martyrs, à Nantes
Plaque commémorative située sur la façade de l’ancienne prison de l'Entrepôt des cafés, au 2 rue Lamoricière à Nantes.
Le 1er
Le 2
Du au 1er mai
  • Saint-Malo : exĂ©cutions de prisonniers après jugements de la commission O'Brien. Le nombre des morts est inconnu, plus de 200 rebelles sont exĂ©cutĂ©s selon une lettre du reprĂ©sentant Laplanche en . 88 victimes sont identifiĂ©es[116] - [117]
Les 3 et 4
Le 6
Du 6 au 12
  • DouĂ©-la-Fontaine : 200 prisonniers vendĂ©ens sont fusillĂ©s et 11 guillotinĂ©s après jugement de la commission Parein-FĂ©lix, laquelle ne prononce que 15 acquittements[120].
Le 7
  • SablĂ©-sur-Sarthe : 12 prisonniers, dont 7 femmes, sont condamnĂ©s Ă  mort par la commission Thirion et exĂ©cutĂ©s pour « avoir suivi les brigands de la VendĂ©e[121]. »
Le 10
Le 11
Les 12 et 13
  • Bataille du Mans : 10 000 Ă  15 000 vendĂ©ens, hommes, femmes et enfants, sont tuĂ©s dans la ville et sur la route de Laval, tant par les combats que par les massacres. 600 prisonniers sont fusillĂ©s après le combat, 400 malades et blessĂ©s sont achevĂ©s dans les hĂ´pitaux[46] - [47] - [48].
Du au
  • Fontenay-le-Comte : 192 prisonniers sur 332 jugĂ©s, sont condamnĂ©s Ă  mort et fusillĂ©s après jugement de la commission militaire mise en place par le reprĂ©sentant Lequinio. Il y a au total 230 exĂ©cutions Ă  Fontenay, du au [124] - [125].
Du 13 au 23
  • Saumur : 29 prisonniers vendĂ©ens sont guillotinĂ©s et 16 fusillĂ©s[120]
Le 14
Le 15
Le 16
Le 17
  • Nantes : 24 vendĂ©ens, dont quatre enfants de 13 Ă  14 ans, sont guillotinĂ©s sans jugement[132].
Le 18
Le 19
  • Nantes : 27 vendĂ©ens et chouans du Morbihan, font 7 femmes parmi lesquelles les sĹ“urs La MĂ©tayrie, âgĂ©es de 17 Ă  28 ans, sont guillotinĂ©s sans jugement[132].
Le 21
  • Près de Fougères : 12 chouans sont capturĂ©s par les troupes du gĂ©nĂ©ral Beaufort, 6 d'entre eux pris les armes Ă  la main sont aussitĂ´t fusillĂ©s[111].
Du 22 au 29
  • Laval : 28 prisonniers sont condamnĂ©s Ă  mort et exĂ©cutĂ©s après jugement de la commission Proust, d'Angers[105].
Le 23
Les 23 et 24
Du 23 au 26
Le 25
Le 26
  • Savenay : 184 vendĂ©ens fusillĂ©s après jugement de la commission Bignon[134] - [135].
  • Prinquiau : 500 Ă  700 vendĂ©ens, dont des femmes et des enfants, sont fusillĂ©s Ă  la butte de Sem[137] - [138].
  • Saumur : 233 prisonniers vendĂ©ens sont fusillĂ©s aux buttes de Bournan après jugement devant la commission Parein-FĂ©lix[120].
Le 27
Le 29
Le 30
Le 31

1794

Janvier 1794

La mort du général D'Elbée, huile sur toile de Julien Le Blant, 1878, musée du Château, Noirmoutier-en-l'Île.
Le massacre du Carrefour-des-chats (vitrail de l'Ă©glise de La Salle-de-Vihiers, par R. Desjardins, 1931).
Vitrail martyrologe situé dans l'église de Chanzeaux.
Les fusillades d'Avrillé, vitrail de l'église d'Avrillé par Jean Clamens, 1894.
Ruines du château de Pouzauges dans lesquelles 30 femmes sont fusillées le 30 janvier 1794.
Ruines du château du parc Soubise à Mouchamps devant lequel 200 personnes sont fusillées le 31 janvier 1794[140].
Le 1er et 2
  • SablĂ©-sur-Sarthe : 31 prisonniers vendĂ©ens et chouans sont exĂ©cutĂ©s après jugement de la seconde commission de la Sarthe[141].
Le 1er
Le 2
Le 3
Le 4
Le 5
Les 5 et 6
Du au
  • Laval : 223 prisonniers, principalement vendĂ©ens et chouans, hommes et femmes, sont condamnĂ©s Ă  mort et guillotinĂ©s. 3 sont condamnĂ©s aux fers, 91 Ă  la dĂ©tention et 204 acquittĂ©s après jugement de la commission rĂ©volutionnaire de la Mayenne[105].
Le 6
Le 7
Du 7 au 16
  • Le Mans : 135 prisonniers vendĂ©ens et chouans du Maine sur 148 sont condamnĂ©s Ă  mort par le tribunal criminel de la Sarthe et exĂ©cutĂ©s, seuls des prisonniers âgĂ©s de 15 ans sont Ă©pargnĂ©s[141].
Le 8
Du 11 au 14
Du au
  • AvrillĂ© : entre 1 000 et 3 000 prisonniers, majoritairement vendĂ©ens, hommes et femmes, sont fusillĂ©s lors des fusillades d'AvrillĂ©. Certains après condamnations des commissions militaires Parein-FĂ©lix et Proust, d'autres sans jugement. 863 victimes sont identifiĂ©es[144] - [145].
Le 13
Le 15
  • La Gaubretière : environ 10 hommes sont surpris Ă  la ferme de la Petite Renaudière oĂą se dĂ©roule une messe tenue par un prĂŞtre rĂ©fractaire, ils sont fusillĂ©s Ă  cause de leur refus de crier « Vive la RĂ©publique ! »[148].
Le 17
Le 18
Le 19
Le 21
Le 22
Le 23
Le 25
Du au
  • VitrĂ© : 28 condamnations Ă  mort, 16 aux fers, 11 Ă  la dĂ©tention contre 354 acquittements prononcĂ©s par la commission Vaugeois[100].
Le 26
  • Châteaumur : 10 personnes tuĂ©es par la 3e colonne[160].
  • Saint-AndrĂ©-sur-Sèvre : massacre des habitants par la colonne de Lachenay[151].
  • Saint-Mesmin : bien que le bourg soit patriote, 6 habitants sont tuĂ©s par les hommes de Lachenay mais la plupart rĂ©ussissent Ă  s'enfuir[161].
  • Cerizay : massacre d'habitants, dont des femmes et des enfants par la colonne Grignon. Le bourg, patriote, est Ă©pargnĂ© mais les habitants des fermes et des villages de la commune sont massacrĂ©s. 300 morts selon le gĂ©nĂ©ral Grignon mais ce nombre est probablement exagĂ©rĂ©[160] - [162] - [163] - [164].
Le 27
  • La Caillère : 15 prisonniers VendĂ©ens fusillĂ©s par les rĂ©publicains des 1re et 2e colonnes infernales[151].
Du au
  • Nantes : 53 prisonniers fusillĂ©s après jugement de la commission Bignon[165].
Le 28
Le 30
Le 31

FĂ©vrier 1794

Assassinat d'une femme vendéenne et de sa fille par des soldats de la colonne Bonnaire (vitrail de l'église de La Salle-de-Vihiers, par R. Desjardins, 1931).
Le 1er
Le 4
  • La Gaubretière ; l'Ă©glise est prise d'assaut par la colonne Boucret, 32 dĂ©fenseurs sont tuĂ©s et 53 sont pris et fusillĂ©s, dont une vingtaine de femmes[171].
Le 5
Le 6
  • Tiffauges : le gĂ©nĂ©ral Cordellier Ă©crit que « indĂ©pendamment que tout brĂ»le encore, j'ai fait passer derrière la haie 600 particuliers des deux sexes[175]. »
Le 7
Le 8
Le 10
Le 18
  • Apremont : 75 hommes et 27 femmes sont fusillĂ©s par le 1er bataillon de Paris[178].
Le 22
Le 23
Le 24
Le 26
Le 27
  • Massacre de La Gaubretière : 107 Ă  128 habitants massacrĂ©s par la colonne du gĂ©nĂ©ral HuchĂ©[183] - [184].
  • La Verrie : HuchĂ© Ă©crit avoir fait « passer au fil de la baĂŻonnette tout ce que j'y ai trouvĂ©, Ă  la rĂ©serve des enfants »[184].
  • Baie de Bourgneuf : une noyade est ordonnĂ©e par l'adjudant-gĂ©nĂ©ral Lefebvre et le commandant Foucault, 41 personnes: 2 hommes, dont un vieillard aveugle de 78 ans, 12 femmes, 12 filles, 10 enfants âgĂ©s 6 Ă  10 ans et 5 nourrissons sont embarquĂ©s Ă  PaimbĹ“uf sur un navire, conduits au large et prĂ©cipitĂ©s dans les flots[185] - [186].
Le 28
  • Massacre des Lucs-sur-Boulogne : 500 Ă  590 habitants sont massacrĂ©s par la colonne infernale Cordellier Ă  la chapelle du Petit-Luc. 564 victimes sont recensĂ©es par l'abbĂ© Charles Vincent Barbedette, dont 109 enfants de moins de 7 ans[187].
  • Vezins : HuchĂ© Ă©crit : « Nous passâmes par Vezins oĂą nous tuâmes tout ce que nous y trouvâmes. J'ai incendiĂ© les villages et tuĂ© Ă  peu près 300 de ces scĂ©lĂ©rats par-ci par-lĂ [188]. »

Mars 1794

Les fusillades du Marillais, vitrail de la chapelle du Marillais.
Croix commémorative du massacre du Puiset-Doré.
Le 1er
Du 4 au 7
Le 5
  • La Remaudière : 5 personnes sont tuĂ©es dans les landes de Sainte-Catherine par la colonne Cordellier[191].
Le 10
  • La Chapelle-Basse-Mer : 26 personnes, dont 11 femmes, 9 enfants de moins de 11 ans, et trois nouveau-nĂ©s sont tuĂ©s par la colonne Cordellier dans le village de BeauchĂŞne[192].
Le 12
Du 12 au 20
Le 13
  • Le Fief-Sauvin : 178 personnes, dont 53 enfants de moins de 10 ans, sont massacrĂ©es par la colonne Cordellier.
  • La Chaussaire : 42 femmes et enfants sont tuĂ©s par la mĂŞme troupe.
Le 14
Les 16 et 17
Le 19
  • Vannes : 9 chouans sont fusillĂ©s sur la Garenne[202].
Du 24 au 29
Le 24
Le 25
Le 27
  • Vezins : la colonne Cordellier, dĂ©sormais commandĂ©e par Crouzat fouille la forĂŞt et trouve des blessĂ©s et « quelques femmes de brigands, cachĂ©es çà et lĂ , qui ont Ă©tĂ© exterminĂ©es[205]. »
Du au
Les 30 et 31
  • Château-Guibert : 80 hommes, femmes et enfants sont massacrĂ©s par une troupe de la colonne HuchĂ© menĂ©e par le capitaine Goy-Martinière[208] - [209].

Avril 1794

Le Château d'Aux
Massacre du Moulin-de-la-Reine, le (vitrail de l'Ă©glise de Montilliers, par Jean Clamens, 1901).
Le 2
Les 2 et 3
Le 3
  • Maisdon-sur-Sèvre : le gĂ©nĂ©ral Cambray Ă©crase un rassemblement, le massacre fait peut-ĂŞtre 300 Ă  400 morts, dont des femmes et des enfants[212].
Le 5
  • Torfou : des habitants sont massacrĂ©s par la colonne Cordellier, 141 au total sont tuĂ©s par les colonnes infernales[213].
  • Clisson : environ 30 personnes cachĂ©es dans les ruines du château sont massacrĂ©es par les mĂŞmes troupes[214].
  • CossĂ©-d'Anjou : 15 femmes et enfants sont tuĂ©s par les rĂ©publicains dans les bois de la Frappinière[215].
  • Montilliers : 22 femmes et enfants sont capturĂ©s dans le bois des Marchais par un dĂ©tachement du camp dit « du Moulin » ; vingt d'entre eux sont fusillĂ©s au Moulin de la Reine et seuls deux enfants sont Ă©pargnĂ©s[215].
Le 9
Du au
Le 19

Mai 1794

Le 17
  • Champtoceaux : 37 habitants sont tuĂ©s par les rĂ©publicains, dont 28 sont enfumĂ©s dans la grotte de Vau-Brunet, seuls une femme et un enfant en ressortent vivants[196] - [220].
Le 19

Juin 1794

Du au
  • ĂŽle de Noirmoutier : 25 prisonniers sont condamnĂ©s Ă  mort et fusillĂ©s après jugement de la commission FĂ©lix d'Angers. 18 accusĂ©s sont condamnĂ©s Ă  la dĂ©portation et 600 acquittĂ©s[222].

Juillet 1794

Du 13 au 24
Le 14
  • Rouans : 60 rĂ©fugiĂ©s sont tuĂ©s dans la forĂŞt de PrincĂ© par la troupe de l'adjudant-gĂ©nĂ©ral Lefebvre[223].
Le 18
  • LegĂ© : les hommes et les femmes du village de La BĂ©sillière sont massacrĂ©s par les troupes rĂ©publicaines du gĂ©nĂ©ral HuchĂ©[224].
Le 19
Du 26 au 30
Du au

Août 1794

Le 3
Du au

1795

Dates inconnues

Janvier 1795

Le 27
  • Melrand : plusieurs habitants, dont des femmes, des enfants et des vieillards sont massacrĂ©s par des soldats rĂ©publicains après un combat contre les chouans[229].

FĂ©vrier 1795

La Chapelle de La Madeleine à Malestroit - 15 nivose an III, huile sur toile d'Alexandre Bloch, 1886, musée des beaux-arts de Quimper.
Le 13
  • LandĂ©vant : 6 chouans, dont le chef Louis Calan sont fusillĂ©s après un combat, sur ordre du reprĂ©sentant Louis-Urbain BrĂĽe[230].

Avril 1795

Le 12

Mai 1795

Le 28

Juin 1795

Le 8
  • BrĂ©e : une vingtaine de soldats rĂ©publicains et quelques patriotes de la commune se rendent aux chouans mais ils sont fusillĂ©s malgrĂ© la promesse d'avoir la vie sauve[233].
Le 11
Le 26

Juillet 1795

Le 21
Le 24
Le 26
  • LandĂ©an : 13 soldats et gardes territoriaux rĂ©publicains sont exĂ©cutĂ©s sommairement lors du combat du Rocher de La Piochais sur ordre de du Boisguy qui sabre lui-mĂŞme plusieurs prisonniers. Quelques-uns survivent Ă  leurs blessures. Deux femmes sont Ă©galement assassinĂ©es, leurs deux assassins seront arrĂŞtĂ©s, jugĂ©s par un conseil de guerre chouan, et exĂ©cutĂ©s Ă  Saint-Brice-en-Coglès le [237] - [238] - [239].

Août 1795

Les fusillés de Vannes, peinture de R. de Coueson, 1895.
Le 1er
  • Saint-Gilles-du-MenĂ© : 18 personnes; des chouans blessĂ©s aux combats de Josselin et de CoĂ«tlogon, des domestiques et trois ouvriers, sont surpris par des rĂ©publicains Cents-Sols au château de Bocenit et fusillĂ©s sur place, un seul survit Ă  ses blessures[240] - [241].
Du 1er au 25
Le 9

Novembre 1795

Le 8

DĂ©cembre 1795

Le 2

1796

Janvier 1796

Le courrier des Bleus, huile sur toile de Julien Le Blant, 1882.
Le 23
  • Plumaugat : 10 habitants, dont une femme, sont massacrĂ©s par des soldats rĂ©publicains[252].
Le 24
  • En reprĂ©sailles du massacre de Plumaugat, le chef chouan Lantivy fait fusiller environ 20 prisonniers rĂ©publicains du bataillon de l'Ain[252].
Le 31
Du au 1er février

FĂ©vrier 1796

Le 20
Le 25

Mars 1796

Le 16
  • ArgentrĂ© : 11 personnes, hommes et femmes, chouans ou suspectĂ©s d'avoir des attaches avec eux, sont fusillĂ©s par des soldats rĂ©publicains d'une colonne mobile[259].
Le 29
  • Nantes : ExĂ©cution de François Athanase Charette de la Contrie sur la place des agriculteurs.

Avril 1796

début avril
  • LocminĂ© : 18 Chouans sont fusillĂ©s par les rĂ©publicains, sur ordre du gĂ©nĂ©ral Mermet[260].
Du 1er au 13
  • Bayeux : 18 chouans, âgĂ©s de 18 Ă  27 ans, sont condamnĂ©s Ă  mort et fusillĂ©s malgrĂ© une capitulation signĂ©e. Un autre est exĂ©cutĂ© Ă  Caen, un deuxième est dĂ©livrĂ©, le sort du troisième est inconnu[261].
Les 7 et 8
Le 14
Le 30

Mai 1796

Le 5
Le 15
  • Saint-Cornier-des-Landes : 11 soldats rĂ©publicains sont fusillĂ©s par les chouans. Quatre autres sont Ă©pargnĂ©s contre un enrĂ´lement chez les rebelles[261].

1798

DĂ©cembre 1798

Le 22 ou 23

1799

Juillet 1799

Le 24

Octobre 1799

Le 29

Novembre 1799

Le 4
  • BrĂ©melin, entre GuĂ©henno et Saint-Jean-BrĂ©velay : des soldats rĂ©publicains sont faits prisonniers par les Chouans de Cadoudal lors de la bataille du Mont-GuĂ©henno. Les tĂ©moignages divergent, selon des officiers chouans, tous les prisonniers, au nombre de 32, sont fusillĂ©s. Cependant d'après le rapport de la municipalitĂ© rĂ©publicaine de Pontivy, exceptĂ© les officiers, tous les prisonniers, au nombre de 22, ont Ă©tĂ© relâchĂ©s et conduits sur la ville contre la promesse de ne plus porter les armes[271].
Le 5
Le 24

1800

Janvier 1800

Le 25
Le 27
Le 28

FĂ©vrier 1800

Le 18
  • Verneuil-sur-Avre : le gĂ©nĂ©ral chouan Louis de FrottĂ© et six de ses officiers, venus nĂ©gocier leur capitulation, sont arrĂŞtĂ©s par les soldats du gĂ©nĂ©ral Guidal. Bien que porteurs d'un sauf-conduit, les officiers chouans sont condamnĂ©s Ă  mort et fusillĂ©s[278].

Références

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  2. Pierre-Suzanne Lucas de La Championnière, Mémoires d'un officier vendéen, p. 12-14.
  3. Émile Fournier, La Terreur bleue, p. 54-56.
  4. Pierre-Suzanne Lucas de La Championnière, Mémoires d'un officier vendéen, p. 37.
  5. Émile Gabory, Les Guerres de Vendée, p. 240
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  8. Émile Gabory, Les Guerres de Vendée, p. 282-283.
  9. MĂ©moires de Mme la marquise de La Rochejaquelein, p. 154
  10. Pierre-Suzanne Lucas de La Championnière, Mémoires d'un officier vendéen, p.51
  11. Émile Fournier, La Terreur bleue, p. 56-57.
  12. Yves Gras, La guerre de Vendée : 1793-1796, Paris, Economica, coll. « Campagnes et stratégies », , 184 p. (ISBN 978-2-7178-2600-5), p. 40-42
  13. Benjamin Fillon, Recherches historiques et archéologiques sur Fontenay, p. 388.
  14. Émile Gabory, Les Guerres de Vendée, p. 274.
  15. Émile Gabory, Les Guerres de Vendée, p. 241.
  16. MĂ©moires de Madame la marquise de La Rochejaquelein, seconde Ă©dition, p. 226.
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  20. André Lévy, Les batailles du Mans, le drame vendéen, éditions Bordessoules, 1993, p. 44.
  21. Jacques Crétineau-Joly, Histoire de la Vendée militaire, tome 1, p. 388.
  22. Émile Gabory, Les Guerres de Vendée, p. 386.
  23. Yves Gras, La Guerre de Vendée, p. 152.
  24. Pierre-Suzanne Lucas de La Championnière, Mémoires d'un officier vendéen, p. 127-128.
  25. Jean-Clément Martin, Blancs et Bleus dans la Vendée déchirée, p. 47.
  26. Jacques Hussenet (dir.), « Détruisez la Vendée ! », p. 32.
  27. Jacques Hussenet (dir.), « Détruisez la Vendée ! », p. 34.
  28. Charles Berriat-Saint-Prix, La justice révolutionnaire, p. 20-25.
  29. RĂ©impression de l'ancien moniteur, tome XVII, p. 339.
  30. Jean-Clément Martin, Blancs et Bleus dans la Vendée déchirée, p. 134-135.
  31. RĂ©impression de l'ancien moniteur, tome XVII, p. 228.
  32. Clénet 1993, p. 66-67.
  33. Louis-Marie Clénet, Les colonnes infernales, p. 100.
  34. Louis-Marie Clénet, Les colonnes infernales, p. 39-40 et 159.
  35. Collection des mémoires relatifs à la Révolution française, Volume 30, 1825, par Saint-Albin Berville, François Barrière, p. 56-57. 1
  36. Jacques Crétineau-Joly, Histoire de la Vendée militaire, Tome II, p. 173.
  37. Jean-Clément Martin, La Vendée et la Révolution, p. 102.
  38. Roger Dupuy, Nouvelle histoire de la France contemporaine, p. 267-268
  39. Hervé Coutau-Bégarie et Charles Doré-Graslin (dir.), Histoire militaire des guerres de Vendée, p. 480-486.
  40. Collection des mémoires relatifs à la Révolution française, volume 30, 1825, par Saint-Albin Berville et François Barrière, p. 151. 1
  41. Collection des mémoires relatifs à la Révolution française, volume 30, 1825, par Saint-Albin Berville et François Barrière, p. 151-152. 1
  42. Jean Tabeur, Paris contre la Province, les guerres de l'Ouest, p. 193.
  43. Jean-Clément Martin, La Vendée et la Révolution, p. 97.
  44. 2009, p. 340.
  45. Clénet 1993, p. 271
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  47. Henri Chardon, Les Vendéens dans la Sarthe, p. 109-114.
  48. Charles Berriat-Saint-Prix, La justice révolutionnaire, p. 183.
  49. Fernand Guériff, La bataille de Savenay, p. 159.
  50. Jacques Hussenet (dir.), « Détruisez la Vendée ! » Regards croisés sur les victimes et destructions de la guerre de Vendée, La Roche-sur-Yon, Centre vendéen de recherches historiques, , p. 450-468.
  51. Charles Berriat-Saint-Prix, La justice révolutionnaire, p. 1-290.
  52. Albert Soboul, Dictionnaire historique…, 2005, p. 1023.
  53. Jacques Hussenet (dir.), « Détruisez la Vendée ! » Regards croisés sur les victimes et destructions de la guerre de Vendée, La Roche-sur-Yon, Centre vendéen de recherches historiques, , p. 452-458.
  54. Roger Dupuy, La RĂ©publique jacobine, tome 3 de la Nouvelle histoire de la France contemporaine, p. 268-269. L'auteur Ă©voque un ordre de grandeur entre 20 000 et 40 000 morts.
  55. Jacques Hussenet (dir.), « Détruisez la Vendée ! », p. 140 et p. 466
  56. Louis-Marie Clénet, Les colonnes infernales, p. 221.
  57. Léon de La Sicotière, Louis de Frotté et les insurrections normandes, t. I, p. 302.
  58. Roger Garnier, Hoche, Payot, , p. 181 et 237.
  59. Jean Sibenaler, Quiberon, pour le Roi et l'Autel, Ă©ditions Cheminements, , p. 99 et 122-123.
  60. Louis d'Andigné, Mémoires du général d'Andigné, t. I, Plon, , p. 386-387. lire en ligne sur gallica.
  61. Hervé Coutau-Bégarie et Charles Doré-Graslin (dir.), Histoire militaire des guerres de Vendée, p. 577.
  62. Hervé Coutau-Bégarie et Charles Doré-Graslin (dir.), Histoire militaire des guerres de Vendée, p. 576.
  63. Émile Gabory, Les Guerres de Vendée, p. 867.
  64. Émile Gabory, Les Guerres de Vendée, p. 73.
  65. Hervé Coutau-Bégarie et Charles Doré-Graslin (dir.), Histoire militaire des guerres de Vendée, p. 207.
  66. Jacques Hussenet (dir.), « Détruisez la Vendée ! », p. 522..
  67. Joseph Le Clainche, Les massacres de Machecoul, Nantes, autoédition, 1972, 46 pages, p. 23.
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  82. Charles Berriat-Saint-Prix, La justice révolutionnaire, p. 263-264
  83. archives de la Vendée
  84. Théodore Lemas, Le district de Fougères pendant les Guerres de l'Ouest et de la Chouannerie, p. 32-37.
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