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Avrillé (Maine-et-Loire)

AvrillĂ© [avʁije] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Maine-et-Loire, en rĂ©gion Pays de la Loire.

Avrillé
Avrillé (Maine-et-Loire)
Le tramway à la station Bascule à Avrillé.
Blason de Avrillé
Blason
Avrillé (Maine-et-Loire)
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Angers Loire Métropole
Maire
Mandat
Caroline Houssin-Salvetat
2020-2026
Code postal 49240
Code commune 49015
DĂ©mographie
Gentilé Avrillais
Population
municipale
14 727 hab. (2020 en augmentation de 11,14 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 930 hab./km2
Population
agglomération
245 518 hab. (2020)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 30â€Č 28″ nord, 0° 35â€Č 16″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 62 m
Superficie 15,84 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Angers
(banlieue)
Aire d'attraction Angers
(commune du pĂŽle principal)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Angers-4
LĂ©gislatives SeptiĂšme circonscription
Localisation
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Avrillé
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Avrillé
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Avrillé
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Avrillé
Liens
Site web ville-avrille.fr

    Elle se trouve en périphérie nord-ouest de la ville d'Angers, et fait partie de la communauté urbaine Angers Loire Métropole.

    GĂ©ographie

    Localisation

    AvrillĂ© est situĂ©e dans la pĂ©riphĂ©rie nord-ouest d’Angers Ă  km de celle-ci sur un terrain relativement plat, avec un sol originellement boisĂ© et riche en schistes ardoisiers et grĂšs primaires.

    AvrillĂ© est desservie par deux sorties autoroutiĂšres du contournement nord d’Angers : AvrillĂ©-Centre et AvrillĂ©-Z.I.

    Communes Limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 670 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 5,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ© : une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « BeaucouzĂ© », sur la commune de BeaucouzĂ©, mise en service en 1937[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 693,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, dans le dĂ©partement de la Loire-Atlantique, mise en service en 1945 et Ă  86 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  12,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  12,7 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    AvrillĂ© est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine d'Angers, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 12 communes[17] et 245 518 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune du pĂŽle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[20] - [21].

    AvrillĂ©, situĂ©e dans la banlieue nord-ouest d'Angers, fait partie de la communautĂ© urbaine Angers-Loire MĂ©tropole regroupant trente communes et une population de 264 689 habitants (2009)[22].

    On y trouve plusieurs quartiers, dont :

    • Quartier rĂ©sidentiel du Parc de la Haye, proche de l'Ă©tang Saint Nicolas auquel on accĂšde par des chemins escarpĂ©s, d'oĂč le nom de Suisse angevine ;
    • RĂ©sidence du Val d'Or comportant 380 logements rĂ©partie en onze immeubles et douze pavillons en copropriĂ©tĂ©, entourĂ©s d'espaces boisĂ©s.

    Une importante opération d'urbanisme a eu lieu sur le plateau de la Mayenne et des Capucins, associant les villes d'Angers et d'Avrillé sur plusieurs années.

    La premiĂšre ligne de tramway, longue de 12 km du nord au sud de l'agglomĂ©ration, a son terminus Ă  AvrillĂ© et desservira une partie de la ville, crĂ©ant une urbanisation en cours ou en projet. À cĂŽtĂ© de ce terminus s'achĂšve la rĂ©alisation du nouveau quartier des Ardennes (400 logements[23] individuels et collectifs). Ce quartier devrait connaĂźtre une extension sur des terrains contigus proches de la Mayenne[23].

    Un contournement nord d'Angers a été réalisé sur le territoire d'Avrillé avec une partie en tranchée couverte de km.

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (50,7 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (33,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (27,5 %), terres arables (18,5 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (14,3 %), prairies (13,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (13,3 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (8,9 %), forĂȘts (3,8 %), eaux continentales[Note 7] (0,4 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[25].

    Environnement

    AvrillĂ© a fait l’objet de plusieurs Ă©tudes suggĂ©rant d’y conserver et dĂ©velopper une agriculture pĂ©riurbaine voire urbaine[26] - [27].

    Avrillé, Ville-Parc

    Ville fleurie (récompensée par 4 fleurs au concours national des villes et villages fleuris en 2015[28] et arborée, Avrillé dispose de nombreux espaces verts publics, soit 48 ha environ auxquels il faut ajouter 32 hectares autour de l'étang Saint-Nicolas :

    • le Parc de l'HĂŽtel de ville ;
    • le Parc des Poumons verts ;
    • le Bois des Assis ;
    • le Parc Georges Brassens, agrandi rĂ©cemment, d'une superficie de 29 hectares, avec extension sur la partie couverte de l'autoroute A11.

    La ceinture verte est un projet à long terme destiné à limiter l'urbanisation.

    Toponymie et héraldique

    Toponymie

    Dans l’AntiquitĂ© Aprilis Ă©tait le nom d’un propriĂ©taire romain (avril en latin) et, par extension, le nom de ses villas. Ce serait l’origine du nom AvrillĂ©[29].

    De Aprilis, le nom du site passe à Johannes de Avrilleio au XIe siÚcle, puis Auvrillé au XIIIe siÚcle, avant de devenir Avrillé aux XVIIIe et XIXe siÚcles[29] - [30] - [31].

    HĂ©raldique

    Blason d’AvrillĂ©.
    Blason d’AvrillĂ©.

    Le blason de la commune a été créé en 1981 à l'occasion du jumelage avec la ville allemande de Schwalbach, par Jacques Thomé, adjoint du maire de l'époque.

    Il reprĂ©sente les Ă©lĂ©ments de la vie d'autrefois : Les fleurs de lys reprĂ©sentent l'Anjou, les outils des fendeurs d’ardoises Ă©voquent son exploitation jusqu’à la fin du XIXe siĂšcle, le moulin symbolise les caviers dont deux subsistent, la grappe de raisin rappelle l'exploitation de la vigne jusqu’au XIXe[32].

    Histoire

    Préhistoire

    Des bifaces de type acheulĂ©en (palĂ©olithique) trouvĂ©s au bas de la PerriĂšre, une hache-marteau en diorite datant du nĂ©olithique dĂ©couverte parmi d’autres objets de pierre polie au Bois du Roy, des traces enfin d’une industrie mĂ©tallurgique primitive (-500) en divers endroits de la commune attestent la prĂ©sence ancienne, temporaire ou durable, des hommes sur la commune. Mais on ne peut encore pas parler vraiment de la naissance d’AvrillĂ©, car aucune trace ne laisse penser que s’y trouvait un quelconque village.

    Ancien RĂ©gime

    L’histoire d’AvrillĂ© est plus facile Ă  retracer Ă  partir du XIIe siĂšcle, quand la paroisse d'AuvrillĂ© fut crĂ©Ă©e. Jusque-lĂ , le territoire de l'actuelle commune appartenait au comte d'Anjou. En 1129, le comte Foulque le Jeune part en croisade et fait don d’une partie de ses terres Ă  l’abbesse du Ronceray et l’autorise Ă  y crĂ©er un bourg. L’église Saint-Gilles est alors construite.

    DÚs cette époque, et pour la premiÚre fois en Anjou, on commence à exploiter les ardoises à Avrillé.

    Pendant l’Ancien RĂ©gime, AvrillĂ© et ses habitants vivent des ardoisiĂšres, de la culture viticole, mais aussi du « nourrissage » (mise en nourrice d’enfants). C’est un petit village rural, assez pauvre. Ses limites territoriales deviennent les mĂȘmes qu’aujourd’hui dĂšs la fin du XVIIe siĂšcle.

    Époque contemporaine

    Avrillé devient une commune avec un maire et une municipalité en 1791.

    Entre janvier et avril 1794, durant les guerres de VendĂ©e, prĂšs de 863 Ă  3 000 personnes (hommes et femmes) sont fusillĂ©s en un lieu qu’on appellera trĂšs vite « Champ des Martyrs », lieu de pĂšlerinage en Anjou. Une chapelle est Ă©difiĂ©e au XIXe siĂšcle. Le pape Jean-Paul II a bĂ©atifiĂ© 99 des 2 000 massacrĂ©s, dont Odile Beaugard et Marie-Anne Voillot, deux religieuses de charitĂ© dont deux rues de la commune portent le nom.

    Au XIXe siĂšcle, AvrillĂ© est une petite commune rurale et ouvriĂšre de la banlieue d’Angers. Les carriĂšres Ă  ciel ouvert d’ardoises sont exploitĂ©es de façon industrielles. Le village se dĂ©veloppe trĂšs lentement. Pendant la PremiĂšre Guerre mondiale, 45 habitants perdent la vie[33].

    Pendant l’entre-deux-guerres, quelques travaux d’amĂ©nagement relativement importants sont mis en Ɠuvre : en 1925 on dĂ©friche le Bois du Roy pour construire un lotissement, l’électricitĂ© arrive en 1926 et on commence en 1929 les constructions au Parc de la Haye. En 1939, l’architecte Ernest Bricard construit pour la Compagnie française d'aviation, l’école d’aviation d’Angers-AvrillĂ©, le long de la route nationale 162.

    Les nazis utilisent ce site comme base de la Kriegsmarine et pour entreposer leurs chasseurs bombardiers. AvrillĂ© devient alors une cible militaire pour l’aviation alliĂ©e qui la bombarde en Ă©tĂ© 1944. Lors de la Seconde Guerre mondiale, 15 habitants sont tuĂ©s[33].

    Jusque dans les annĂ©es 1950, AvrillĂ© est une petite banlieue d’Angers, pauvre, Ă  la fois rurale et ouvriĂšre (respectivement 20 % et 60 % des habitants actifs). Seule la route principale est pavĂ©e, les autres rues sont toujours en terre.

    Dans les annĂ©es 1950 et 1960, sous l’impulsion de deux maires successifs (Emile Savigner de 1947 Ă  1959, puis Yves Besnier, de 1959 Ă  1977), la ville d’AvrillĂ© se dĂ©veloppe et se transforme pour devenir peu Ă  peu ce qu’elle est au dĂ©but du vingtiĂšme siĂšcle. Des logements modernes sont construits, les rues sont goudronnĂ©es, la population triple Ă  cette Ă©poque (en 1947 les Avrillais sont 1 604, en 1999 ils sont 13 267). Les CSP Plus s’installent dans la commune qui voit les origines sociales de sa population se diversifier.

    La ville fait l’objet d’une attention particuliĂšre en raison de sĂ©quelles particuliĂšres de guerre ; l’ArmĂ©e y ayant jetĂ© environ 7 000 tonnes de munitions non explosĂ©es[34] (provenant Ă  90 % de la pĂ©riode 1914-1918, dont 4 millions de grenades Ă  main) dans le lac situĂ© dans la commune, prĂšs de la dĂ©chĂšterie et Ă  proximitĂ© des habitations.

    AvrillĂ© est devenu la 13e ville de Maine-et-Loire, c’est une banlieue pavillonnaire, trĂšs verte qui est rĂ©compensĂ©e par quatre fleurs au concours des villes et villages fleuris[35] (cinq parcs et plus de 11 000 arbres selon la mairie) et assez dynamique (projet du parc vĂ©gĂ©tal Terra Botanica, tramway Arc-en-ciel, le contournement Nord de l'autoroute A11 ainsi que le quartier du Plateau de la Mayenne.

    L'aérodrome d'Avrillé a définitivement fermé en 1998 (transfert de l'aérodrome sur la commune de Marcé)[36].

    Faits historiques

    Il y a eu Ă  AvrillĂ© des ardoisiĂšres Ă  partir de 1815, mais cette exploitation n'a jamais Ă©tĂ© florissante, et plusieurs effondrements et mĂȘme une faillite ont fragilisĂ© l'entreprise. Un grave accident s'y produisit le 25 janvier 1905, la rupture d'un cĂąble remontant les ouvriers du puits entraĂźna de nombreux morts originaires d'Angers et d'AvrillĂ©. Cinq ouvriers avrillais victimes de cette catastrophe sont inhumĂ©s au cimetiĂšre.

    Le 17 juin 1944, le terrain d'aviation est bombardé, faisant 22 victimes. Le 8 août 1944, lors des combats pour la libération, on dénombre 5 morts.

    Politique et administration

    Administration municipale

    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1791 1800 François-René Coué
    1800 1804 Gastines
    1804 1813 Camille Boguay de la BoissiĂšre
    1813 1830
    1830 mars 1848 Victorin La ReveillĂšre
    mars 1848 août 1848 Alexandre Chiron
    août 1848 1852 Victorin La ReveillÚre
    1852 1860 Hector Boguay de la BoissiĂšre
    1860 1871 Richou-Durand
    1871 1904 Edmond Raffray
    1904 1942 Joseph Boguay de la BoissiĂšre
    1942 1945 Émile Savigner
    1945 1947 Auguste Blot
    1947 1959 Émile Savigner
    1959 1977 Yves Besnier
    1977 1983 Guy Pasquier PS Technicien Afpa
    1983 juillet 2020 Marc Laffineur[37] - [38] UDF
    puis UMP
    puis LR
    puis DVD
    Médecin anesthésiste-réanimateur
    Député de la 7e circonscription de Maine-et-Loire (1988-2011 puis 2012-2017)
    Ancien secrĂ©taire d'État auprĂšs du ministre de la DĂ©fense (2011-2012)
    juillet 2020 En cours
    (au 5 juillet 2020)
    Caroline Houssin-Salvetat[39] SE-DVD Directrice des ressources humaines

    En 2010, la commune d'Avrillé a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[40].

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communautĂ© urbaine Angers Loire MĂ©tropole[41], elle-mĂȘme membre du syndicat mixte Pays Loire-Angers[42].

    Autres circonscriptions

    Jusqu'en 2014, Avrillé fait partie du canton d'Angers-Nord-Ouest et de l'arrondissement d'Angers[43]. Ce canton compte alors Avrillé et une fraction d'Angers. C'est l'un des quarante-et-un cantons que compte le département ; circonscriptions électorales servant à l'élection des conseillers généraux, membres du conseil général du département. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. La commune est alors rattachée au canton d'Angers-4, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[44].

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1800. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă  la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[45] - [Note 8].

    En 2020, la commune comptait 14 727 habitants[Note 9], en augmentation de 11,14 % par rapport Ă  2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    4845917909201 0581 2731 2031 0551 064
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    9859889599641 0039429111 0181 163
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 0631 0478861 1041 4221 6401 6042 2183 034
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    4 6039 38610 81112 87812 99112 24212 80813 69914 727
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee Ă  partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  32,4 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 34,6 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 25,6 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 6 513 hommes pour 7 552 femmes, soit un taux de 53,69 % de femmes, largement supĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,37 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[47]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    1,4
    90 ou +
    2,0
    9,5
    75-89 ans
    12,1
    22,0
    60-74 ans
    22,0
    16,4
    45-59 ans
    18,4
    16,4
    30-44 ans
    14,6
    16,4
    15-29 ans
    15,9
    18,0
    0-14 ans
    14,9
    Pyramide des ùges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[48]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2
    6,9
    75-89 ans
    9,5
    15,5
    60-74 ans
    16,3
    19,4
    45-59 ans
    18,8
    18,6
    30-44 ans
    17,7
    18,6
    15-29 ans
    17,5
    20,2
    0-14 ans
    18,2

    Enseignement

    PrĂ©sence de plusieurs Ă©tablissements : groupes scolaires du Bois du Roy, Jean Piaget, de l'AĂ©rodrome, Saint-ExupĂ©ry, Ă©coles privĂ©es Sainte-Colombe et Notre-Dame de l'AdĂ©ziĂšre, collĂšge ClĂ©ment-Janequin et lycĂ©e professionnel Paul-Émile-Victor.

    Santé

    Établissements de santĂ© : clinique Saint-Didier (neuro-psychiatrique), rĂ©sidence la Fauvetterie (infirmes moteurs cĂ©rĂ©braux), foyer les Tournesols (handicapĂ©s moteurs), foyers-logements pour les personnes ĂągĂ©es.

    Sports

    Mi-2009, Avrillé compte plusieurs associations sportives regroupées au sein de la fédération des associations sportives d'Avrillé (ASA)[49] : arts martiaux (judo, karaté, kung fu
), athlétisme, badminton, basket-ball, BMX, cyclisme, équitation, escalade, football, golf, gymnastique, handball, natation, tennis et tennis de table.

    Cultes

    Lieux de culte : église protestante évangélique, église Saint-Gilles (catholique).
    AvrillĂ© a la particularitĂ© d’accueillir deux communautĂ©s dominicaines contemplatives et traditionalistes :

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage Ă©tait de 33 073 â‚Ź, ce qui plaçait AvrillĂ© au 9 088e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 mĂ©nages en mĂ©tropole[52].

    Secteurs d'activités

    Sur 772 établissements présents sur la commune à fin 2010, 2 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 64 % de celui du commerce et des services et 20 % du secteur de l'administration et de la santé[53]. En 2015, sur les 966 établissements présents sur la commune, 1 % relevaient de l'agriculture (pour une moyenne de 11 % sur le département), 6 % de l'industrie, 8 % de la construction, 65 % du commerce et des services et 21 % de l'administration et de la santé[54].

    Industries

    • Giffard, entreprise de fabrication de liqueurs dont la menthe-pastille et du guignolet.
    • Artus, filiale du groupe Meggitt, Ă©tablissement de fabrication de moteurs Ă©lectriques.

    Commerces

    • Un centre commercial en centre-ville regroupant un supermarchĂ© Carrefour Market et une dizaine de boutiques.
    • Un centre commercial de proximitĂ©, dans le quartier du Bois du Roy.
    • Un centre commercial de proximitĂ©, dans le quartier du Val d'Or.
    • Un hypermarchĂ© Auchan d'une surface de 5 800 m2, situĂ© Ă  l’entrĂ©e nord de la ville, comprenant une galerie marchande, quelques moyennes surfaces (Kiabi, Norauto, Electro DĂ©pĂŽt, Chauss Expo) et l’un des cinq restaurants Mc Donald's d’Angers.
    • Un magasin de hard discount Ă  l’enseigne Netto.

    Zones d'activités économiques

    PrĂ©sence de plusieurs zones d'activitĂ©s, dont le parc d'activitĂ©s Angers-AvrillĂ©, au nord-ouest de la commune, regroupant trois secteurs : La Croix Cadeau, Le FlĂ©chet, Les Landes I et II. Quelques entreprises implantĂ©es : Zach System, Atab, La Poste, Innodes Sa, Eurostranspharma, Soregor, Établissements Petit, Hormann, Ottofond, Man Camion & Bus, Foucteau, Sombat, VM MatĂ©riaux[55].

    Culture locale et patrimoine

    Structures culturelles

    • V.M.H-Anjou (VĂ©hicules Militaires Historiques), association de restaurations de vĂ©hicules militaires.
    • Centre culturel Georges-Brassens.

    RĂ©partie en deux secteurs adultes et jeunesse, la mĂ©diathĂšque propose en prĂȘt ou en consultation environ 25000 ouvrages, pĂ©riodiques, ainsi que des postes multimĂ©dia. Le fonds de la mĂ©diathĂšque est Ă©galement en ligne.

    Patrimoine architectural

    • Le chĂąteau de La BoissiĂšre (1860), propriĂ©tĂ© privĂ©e.
    • Le chĂąteau de La Garde (1858), centre de formation des maĂźtres de l'enseignement catholique.
    • Le chĂąteau La Plesse (du XVe au XXe siĂšcle), maison de retraite[56].
    • Le manoir dit chĂąteau de la PerriĂšre (classĂ© MH), construit au XVIIe siĂšcle, acquis par la ville d'AvrillĂ© et entiĂšrement restaurĂ©. EntourĂ© de jardins Ă  la française et d'un vaste espace s'Ă©tendant jusqu'Ă  la Mayenne comprenant un restaurant, des salles de rĂ©ception et un golf 18 trous[57].
    • L'Ă©glise paroissiale Saint-Gilles, construite en 1983 Ă  l'emplacement de l'ancienne Ă©glise dĂ©molie.
    • Deux moulins caviers, le moulin de la Croix Cadeau (1730) et le moulin de la Garde (XVIIe siĂšcle, inscrit MH)[58], et un moulin Ă  eau, dit la Minoterie[59].
    • L'ancien prieurĂ© de la Haie-aux-Bonshommes (XIIe siĂšcle, inscrit et classĂ© MH), avec chapelle du XVIIe [60].
    • Chapelle du Champ des Martyrs (XIXe s.) honorant la mĂ©moire des 2 000 personnes victimes des fusillades d'AvrillĂ© en 1794, dont 99 ont Ă©tĂ© bĂ©atifiĂ©es en 1984 par Jean-Paul II et sont connus le nom de Martyrs d'Angers.

    Patrimoine naturel

    Galerie

    • ChĂąteau de la PerriĂšre.
      ChĂąteau de la PerriĂšre.
    • Moulin Ă  vent de la Garde.
      Moulin Ă  vent de la Garde.
    • Tour du Val d'Or dans le quartier rĂ©sidentiel du Parc de la Haye.
      Tour du Val d'Or dans le quartier résidentiel du Parc de la Haye.

    Personnalités liées à la commune

    • Charles de Gondi : seigneur d’AvrillĂ© de 1520 Ă  1540, descendant d’une famille de banquiers florentins, il avait pour fief le domaine des Raffoux. Il a Ă©tĂ© le protecteur de ClĂ©ment Janequin et ce dernier fut parrain de ses enfants baptisĂ©s dans l’église d’AvrillĂ©.
    • Charles Goddes de Varennes : gentilhomme de la fauconnerie du roi, se rend acquĂ©reur en 1606 du chĂąteau de la PerriĂšre. Son fils François, nĂ© en 1593, fut Conseiller d’État, gentilhomme ordinaire de la Chambre en 1648, devint ambassadeur extraordinaire des rois Louis XIII et Louis XIV. Il fut chargĂ©, Ă  ce titre, de nombreuses missions qui le conduisirent, entre autres, Ă  Constantinople. Il est mort le 13 juillet 1680.
    • ClĂ©ment Janequin : nĂ© Ă  ChĂątellerault vers 1485. AprĂšs des Ă©tudes religieuses et musicales Ă  Bordeaux, il rejoint son frĂšre Simon Ă  Angers en 1531 et y devient chapelain, puis maistre de la psalette Ă  la cathĂ©drale Saint-Maurice. NommĂ© curĂ© d’AvrillĂ© en 1532, il laissa la charge de sa paroisse Ă  son vicaire Jehan Garande afin de se consacrer Ă  ses compositions musicales. ProtĂ©gĂ© de François de Gondi, seigneur d’AvrillĂ©. En 1540, il s’installa dĂ©finitivement Ă  Paris oĂč, en 1549, il obtient le titre de « compositeur ordinaire du Roi ». Il dĂ©cĂšde en 1558 ou 1559. Aujourd’hui, un collĂšge d’AvrillĂ© porte son nom.
    • RenĂ© Gasnier (1874-1913) : fut l’un des principaux promoteurs de l’aviation en France. En 1908, il rĂ©ussit son premier vol sur une distance d’environ 1 kilomĂštre Ă  une altitude
 de 6 Ă  7 mĂštres ! Participa activement Ă  la naissance de l’aĂ©rodrome d’Angers-AvrillĂ© et y organisa en 1910 la premiĂšre course d’aĂ©roplanes « Angers-Saumur ».
    • Roger Chupin, (1921-2002), cycliste sur route français y est nĂ©.
    • Famille Cointreau qui avait une propriĂ©tĂ© sur la commune et y rĂ©sidait.
    • Christian Raymond, (nĂ© en 1943), cycliste français y est nĂ©.
    • Eric Tabarly (1931-1998), dont les parents avaient une propriĂ©tĂ© sur la commune et y rĂ©sidaient.
    • Claude Bourrigault (1932-2021), footballeur français ayant Ă©voluĂ© au SCO y rĂ©sidait.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • CĂ©lestin Port (Ă©dition rĂ©visĂ©e par Jacques Levron et Pierre d'HerbĂ©court), Dictionnaire historique, gĂ©ographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e Ă©d. (1re Ă©d. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 212-215.
    • Jacques ThomĂ©, Douceur angevine ? naĂźtre, vivre et mourir Ă  AvrillĂ©, HĂ©rault-Éditions (MaulĂ©vrier), 1986.
    • AvrillĂ© au fil du temps, Ouvrage collectif rĂ©digĂ© par le groupe "vie sociale" du Conseil des Sages de la commune et Ă©ditĂ© par la ville d'AvrillĂ©, 2004.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Beaucouzé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Avrillé et Beaucouzé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Beaucouzé - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Avrillé et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 d'Angers », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    22. Insee, Chiffres clés de l'EPCI de la CA Angers Loire Métropole (244900015), consulté le 4 juillet 2013.
    23. « Avrillé, Les grands projets ».
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    26. Pascal FrĂšre, Agriculture pĂ©riurbaine d’AvrillĂ© (49), rapport d’études, Angers - École supĂ©rieure d’agriculture, MinistĂšre de l’agriculture, ENSP Versailles - ENSP, 1996, 52 p. et cartes.
    27. Christine Paillard, Écologie, paysage et dĂ©veloppement local sur l’espace rural d’AvrillĂ© (49), mĂ©moire de fin d’études de DESS, Angers : Institut d’écologie appliquĂ©e et CAUE/Versailles : ENSP, 1996, 47 pages et annexes.
    28. Conseil National des Villes et Villages Fleuris (CNVVF), Avrillé, consulté le 16 février 2015.
    29. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 23
    30. CĂ©lestin Port 1965, p. 212.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    32. « Le blason », sur Mairie d'Avrillé, 2004-2022 (consulté le ).
    33. Port 1965, p. 212.
    34. CRA 1re Séance du mardi 5 juin 2001, sur Assemblée nationale.
    35. PalmarÚs 2008 du 49e concours des villes et villages fleuris. Consulté le 23 septembre 2009.
    36. Décision Aviation Civile fermeture définitive Aérodrome Angers-Avrillé (code OACI (IACO code) : LFRA).
    37. Résultats officiels des élections municipales de mars 2008 à Avrillé sur le site officiel du ministÚre de l'Intérieur (France).
    38. Le Courrier de l'Ouest, Marc Laffineur réélu maire d'Avrillé, article du 29 mars 2014.
    39. « AvrillĂ©. Caroline Houssin-Salvetat Ă©lue, l’opposition vigilante », sur Ouest-France, (consultĂ© le ).
    40. Villes Internet, « PalmarĂšs 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?), consultĂ© le 18 dĂ©cembre 2009.
    41. Insee, Composition de la CU Angers Loire Métropole (244900015), consulté le 8 décembre 2017
    42. PrĂ©fecture de Maine-et-Loire, ArrĂȘtĂ© DRCL no 879 du 13 dĂ©cembre 2011, RAA spĂ©cial du 21 dĂ©cembre 2011.
    43. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Avrillé, consultée le 15 mars 2015.
    44. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
    45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    47. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'AvrillĂ© (49015) », (consultĂ© le ).
    48. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de Maine-et-Loire (49) », (consultĂ© le ).
    49. Mairie d'Avrillé, Associations sportives, consulté le 1er juin 2009.
    50. Ouest-France, Ă©dition (Angers) du dimanche 22 septembre 2019
    51. Le Courrier de l'Ouest, Ă©dition du dimanche 22 septembre 2019
    52. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
    53. Insee, Statistiques locales du territoire d'Avrillé (49), consultées le 29 novembre 2012.
    54. « Commune d’AvrillĂ© (49015) », sur Insee, .
    55. « Parc d'activités Angers Avrillé », sur Angers Loire Développement (consulté le ).
    56. « Chùteau de la Plesse », notice no IA49008743, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    57. « Chùteau de la PerriÚre », notice no PA00108953, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    58. « Moulin à vent de la Garde », notice no PA00108955, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    59. « Moulin à eau dit la Minoterie », notice no IA49008964, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    60. « Prieuré de la Haie aux Bonshommes (ancien) », notice no PA00108954, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
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