Marcé
Marcé est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire, à proximité de la ville de Seiches-sur-le-Loir.
Marcé | |||||
Le bourg depuis la peupleraie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Pays de la Loire | ||||
DĂ©partement | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Angers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Anjou Loir et Sarthe | ||||
Maire Mandat |
Marc Soreau 2023-2026 |
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Code postal | 49140 | ||||
Code commune | 49188 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Marcéen | ||||
Population municipale |
836 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 40 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 47° 34âČ 51âł nord, 0° 19âČ 30âł ouest | ||||
Altitude | 33 m Min. 32 m Max. 97 m |
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Superficie | 21,09 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Angers (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton d'Angers-6 | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
GĂ©olocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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GĂ©ographie
Localisation
Commune angevine du Baugeois, Marcé se situe à l'est de Seiches-sur-le-Loir, sur la route D 109, Cheviré le Rouge - Seiches sur le Loir[1].
Topographie, relief et géologie
Son territoire se trouve sur l'unité paysagÚre du Plateau du Baugeois[2].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1999 permet de connaĂźtre en continu l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[9]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,9 | 2,1 | 3,7 | 5,7 | 9,3 | 12,4 | 13,7 | 13,5 | 10,7 | 8,7 | 4,7 | 1,7 | 7,4 |
Température moyenne (°C) | 5 | 6 | 8,3 | 11,1 | 14,6 | 18,3 | 19,6 | 19,4 | 16,5 | 13 | 8,2 | 4,9 | 12,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 8 | 9,8 | 12,9 | 16,4 | 19,9 | 24,2 | 25,5 | 25,2 | 22,3 | 17,3 | 11,7 | 8,1 | 16,8 |
Record de froid (°C) date du record |
â10,3 07.01.09 |
â13,8 12.02.12 |
â11,3 01.03.05 |
â4,8 06.04.21 |
â1,5 06.05.19 |
2,3 01.06.06 |
5,5 10.07.04 |
4,6 21.08.14 |
1,3 29.09.07 |
â3,2 26.10.10 |
â6,8 30.11.10 |
â9,5 17.12.09 |
â13,8 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,2 24.01.16 |
21,8 27.02.19 |
25 30.03.21 |
29 30.04.05 |
32 27.05.05 |
39,4 29.06.19 |
41,1 23.07.19 |
39,5 10.08.03 |
35,4 14.09.20 |
30,3 02.10.11 |
22 07.11.15 |
18,5 07.12.00 |
41,1 2019 |
Précipitations (mm) | 64,5 | 48,4 | 58,4 | 53,7 | 53,2 | 36,4 | 65,4 | 47,3 | 49,2 | 79,7 | 72,4 | 74,6 | 703,2 |
Urbanisme
Typologie
Marcé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [10] - [11] - [12].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13] - [14].
Morphologie urbaine : le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.
En 2013 on trouvait 341 logements sur la commune de Marcé, dont 89 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 84 % des ménages en étaient propriétaires[15].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (76,1 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (82,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (32,8 %), prairies (22,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (20,9 %), forĂȘts (12,6 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (8,6 %), zones urbanisĂ©es (1,7 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (1,1 %)[16].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[17].
Histoire
Préhistoire et Antiquité
On signale comme cromlech celtique lâentassement dâune douzaine de grosses pierres prĂšs de la mĂ©tairie de Rocherieux ; mais nul dolmen nâexiste sur le territoire, malgrĂ© toute indication contraire. Existence inexpliquĂ©e dâantiques retranchements aux BlĂ©s et aux FossĂ©s (remparts de terre, dĂ©nommĂ©s FossĂ©s des Romains)[18].
Origine de Marcé
Le fief paraßt avoir fait partie au XVIIIe siÚcle et depuis de longues années du comté de Durtal. On voit résider sur la paroisse, dÚs les premiÚres années du XVIIe siÚcle de nombreuses familles de potiers, celles des Taveau, des Roger, des Nouchet, des Chevaliers et des Godin.
Ăglise
LâĂ©glise dĂ©diĂ©e Ă saint Martin de Tours : la nef est lambrissĂ©e, le cĆur seulement voĂ»tĂ© en pierre (XIVe), avec deux chapelles de la Vierge et de saint Gilles (XVIe). Cette derniĂšre est parĂ©e de ses croix de consĂ©cration. On y consacre les statues de saint SĂ©bastien et de la Vierge, provenant de lâabbaye de ChalochĂ© (situĂ© derriĂšre lâaĂ©roport sur la commune de Chaumont), ainsi que les reliques de saint AndrĂ©, qui en furent apportĂ©es avec leur chĂąsse dâargent, par arrĂȘtĂ© du dĂ©partement du , malgrĂ© les rĂ©clamations des paroissiens de Chaumont dâAnjou. Il sâagissait surtout de sâapproprier la foire importante qui sây tenait Ă lâabbaye le jour de la fĂȘte.
Aucun titre trouvĂ© sur lâorigine de la construction de lâĂ©glise, qui datent sans doute du XIIe siĂšcle[18].
Le presbytĂšre occupe lâancienne cure, reconstruite en 1778-1779, vendue nationalement le 14 messidor an IV () et rachetĂ©e par la commune en 1819[18].
Le cimetiĂšre, au centre et dans la principale rue du bourg (actuelle place Barbel), Ă lâangle du chemin de la Chapelle-Saint-Laud, jusquâen 1812, a Ă©tĂ© transfĂ©rĂ© sur un terrain acquis le [18].
Mairie et Ă©coles
Mairie avec Ă©cole de garçons, dans la maison de la SuardiĂšre, acquise le . Ăcole de filles dans une maison acquise le [18].
Politique et administration
Administration municipale
Intercommunalité
La commune est membre de la communautĂ© de communes Anjou Loir et Sarthe, elle-mĂȘme membre du syndicat mixte PĂŽle mĂ©tropolitain Loire Angers.
Population et société
DĂ©mographie avant la RĂ©volution
- 217 feux, 980 habitants en 1720 (un feu = une famille) ;
- 260 feux en 1788 ;
- 1118 habitants en 1790 ;
- 1094 habitants en 1831 ;
- 1091 habitants en 1841 ;
- 1067 habitants en 1851 ;
- 1047 habitants en 1861 ;
- 1019 habitants en 1866 ;
- 937 habitants en 1872[18].
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[24].
En 2020, la commune comptait 836 habitants[Note 6], en diminution de 1,88 % par rapport Ă 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 38,4 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (37,2 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 19,8 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 25,6 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 417 hommes pour 423 femmes, soit un taux de 50,36 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,37 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Ăconomie
Sur 72 établissements présents sur la commune à fin 2010, 31 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 46 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[29]. Trois en plus tard, en 2013, sur 53 établissements, 25 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 9 % du secteur de la construction, 49 % de celui du commerce et des services et 11 % du secteur de l'administration et de la santé[15].
Lieux et monuments
Monuments historiques
- Ăglise Saint-Martin-de-Tours, XIIe au XVIe siĂšcle (MH)[30] ;
- Ensemble fortifiĂ© : rempart de terre datant de lâantiquitĂ© (fossĂ©s des Romains) (MH) ;
- Manoir de la Brideraie XVIe siĂšcle (MH) ;
- Manoir du Bois-de-l'Humeau XVIIIe siĂšcle (MH).
Autres bĂątiments
- Chapelle saint LĂ©onard ;
- Chùteau et chapelle de Princé XVIe siÚcle ;
- ChĂąteau de la SouchardiĂšre XIXe siĂšcle ;
- Lavoirs XIXe siĂšcle ;
- Maison de maĂźtre, la Gautraie XVIe siĂšcle ;
- Vestiges du manoir de Singé XVe siÚcle ;
- PresbytĂšre XVIIIe siĂšcle ;
- Usine de chaux, le Fourneau (SC).
Autres lieux et monuments
- Musée régional de l'air d'Angers-Marcé ;
- Angers Loire Aéroport (précédemment Aéroport Angers-Marcé).
Galerie
- Etang rue de la Fontaine.
- Manoir du Bois de l'Humeau.
- Logis et dépendances sur la rue Principale.
- Lavoir de la rue de la Fontaine.
- Maison particuliĂšre rue Principale.
- Chapelle Saint-LĂ©onard.
- L'Ă©glise.
- Vue générale intérieure de l'église.
- Manoir de la Brideraie à Marcé depuis le jardin.
- Musée régional de l'air.
Voir aussi
Bibliographie
- Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1876) (BNF 34649310, lire en ligne), p. 407-408.
- Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire : D-M, t. 2, Angers, P. LachÚse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re éd. (BNF 34106676), p. 588-589.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- IGN et BRGM, Géoportail Marcé (49), consulté le 17 septembre 2012.
- DĂ©partement de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Ăditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58 â DonnĂ©es consultables sur WikiAnjou.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 49188001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Marcé (49188), consultées le 20 juillet 2016.
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- CĂ©lestin Port 1876, p. 588-589 â Informations sur MarcĂ© publiĂ©es entre 1874 et 1878 par CĂ©lestin Port (archiviste de Maine-et-Loire).
- Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 103.
- Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
- « Marcé. Les conseillers ont élu le maire et les adjoints », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- « Marcé. Marc Soreau nouveau maire de la commune », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de MarcĂ© (49188) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de Maine-et-Loire (49) », (consultĂ© le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Marcé (49), consultées le 20 avril 2013.
- « Eglise », notice no PA00109166, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.