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Marcé

Marcé est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire, à proximité de la ville de Seiches-sur-le-Loir.

Marcé
Marcé
Le bourg depuis la peupleraie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Communauté de communes Anjou Loir et Sarthe
Maire
Mandat
Marc Soreau
2023-2026
Code postal 49140
Code commune 49188
DĂ©mographie
Gentilé Marcéen
Population
municipale
836 hab. (2020 en diminution de 1,88 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 40 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 34â€Č 51″ nord, 0° 19â€Č 30″ ouest
Altitude 33 m
Min. 32 m
Max. 97 m
Superficie 21,09 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Angers-6
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Marcé
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Marcé
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Marcé
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Marcé

    GĂ©ographie

    Localisation

    Commune angevine du Baugeois, Marcé se situe à l'est de Seiches-sur-le-Loir, sur la route D 109, Cheviré le Rouge - Seiches sur le Loir[1].

    Topographie, relief et géologie

    Son territoire se trouve sur l'unité paysagÚre du Plateau du Baugeois[2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 653 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1999 permet de connaĂźtre en continu l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[9]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.

    Statistiques 1981-2010 et records MARCE (49) - alt : 53 m 47° 33â€Č 42″ N, 0° 19â€Č 00″ O
    Statistiques établies sur la période 1999-2010 - Records établis sur la période du 01-03-1999 au 04-01-2022
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,9 2,1 3,7 5,7 9,3 12,4 13,7 13,5 10,7 8,7 4,7 1,7 7,4
    Température moyenne (°C) 5 6 8,3 11,1 14,6 18,3 19,6 19,4 16,5 13 8,2 4,9 12,1
    Température maximale moyenne (°C) 8 9,8 12,9 16,4 19,9 24,2 25,5 25,2 22,3 17,3 11,7 8,1 16,8
    Record de froid (°C)
    date du record
    −10,3
    07.01.09
    −13,8
    12.02.12
    −11,3
    01.03.05
    −4,8
    06.04.21
    −1,5
    06.05.19
    2,3
    01.06.06
    5,5
    10.07.04
    4,6
    21.08.14
    1,3
    29.09.07
    −3,2
    26.10.10
    −6,8
    30.11.10
    −9,5
    17.12.09
    −13,8
    2012
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    16,2
    24.01.16
    21,8
    27.02.19
    25
    30.03.21
    29
    30.04.05
    32
    27.05.05
    39,4
    29.06.19
    41,1
    23.07.19
    39,5
    10.08.03
    35,4
    14.09.20
    30,3
    02.10.11
    22
    07.11.15
    18,5
    07.12.00
    41,1
    2019
    Précipitations (mm) 64,5 48,4 58,4 53,7 53,2 36,4 65,4 47,3 49,2 79,7 72,4 74,6 703,2
    Source : « Fiche 49188001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Marcé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [10] - [11] - [12].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[13] - [14].

    Morphologie urbaine : le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.

    En 2013 on trouvait 341 logements sur la commune de Marcé, dont 89 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 84 % des ménages en étaient propriétaires[15].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (76,1 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (82,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (32,8 %), prairies (22,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (20,9 %), forĂȘts (12,6 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (8,6 %), zones urbanisĂ©es (1,7 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (1,1 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[17].

    Toponymie

    Parochia de Marce en 1142, Marceium en 1269[18] - [19].

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    On signale comme cromlech celtique l’entassement d’une douzaine de grosses pierres prĂšs de la mĂ©tairie de Rocherieux ; mais nul dolmen n’existe sur le territoire, malgrĂ© toute indication contraire. Existence inexpliquĂ©e d’antiques retranchements aux BlĂ©s et aux FossĂ©s (remparts de terre, dĂ©nommĂ©s FossĂ©s des Romains)[18].

    Origine de Marcé

    Le fief paraßt avoir fait partie au XVIIIe siÚcle et depuis de longues années du comté de Durtal. On voit résider sur la paroisse, dÚs les premiÚres années du XVIIe siÚcle de nombreuses familles de potiers, celles des Taveau, des Roger, des Nouchet, des Chevaliers et des Godin.

    Église

    L’église dĂ©diĂ©e Ă  saint Martin de Tours : la nef est lambrissĂ©e, le cƓur seulement voĂ»tĂ© en pierre (XIVe), avec deux chapelles de la Vierge et de saint Gilles (XVIe). Cette derniĂšre est parĂ©e de ses croix de consĂ©cration. On y consacre les statues de saint SĂ©bastien et de la Vierge, provenant de l’abbaye de ChalochĂ© (situĂ© derriĂšre l’aĂ©roport sur la commune de Chaumont), ainsi que les reliques de saint AndrĂ©, qui en furent apportĂ©es avec leur chĂąsse d’argent, par arrĂȘtĂ© du dĂ©partement du , malgrĂ© les rĂ©clamations des paroissiens de Chaumont d’Anjou. Il s’agissait surtout de s’approprier la foire importante qui s’y tenait Ă  l’abbaye le jour de la fĂȘte.
    Aucun titre trouvĂ© sur l’origine de la construction de l’église, qui datent sans doute du XIIe siĂšcle[18].

    Le presbytĂšre occupe l’ancienne cure, reconstruite en 1778-1779, vendue nationalement le 14 messidor an IV () et rachetĂ©e par la commune en 1819[18].

    Le cimetiĂšre, au centre et dans la principale rue du bourg (actuelle place Barbel), Ă  l’angle du chemin de la Chapelle-Saint-Laud, jusqu’en 1812, a Ă©tĂ© transfĂ©rĂ© sur un terrain acquis le [18].

    Mairie et Ă©coles

    Mairie avec Ă©cole de garçons, dans la maison de la SuardiĂšre, acquise le . École de filles dans une maison acquise le [18].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    juin 1995 juin 2023 Patrice Daviau[20] - [21] PCF
    juin 2023 En cours
    (au 27 juin 2023)
    Marc Soreau[22]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communautĂ© de communes Anjou Loir et Sarthe, elle-mĂȘme membre du syndicat mixte PĂŽle mĂ©tropolitain Loire Angers.

    Population et société

    DĂ©mographie avant la RĂ©volution

    • 217 feux, 980 habitants en 1720 (un feu = une famille) ;
    • 260 feux en 1788 ;
    • 1118 habitants en 1790 ;
    • 1094 habitants en 1831 ;
    • 1091 habitants en 1841 ;
    • 1067 habitants en 1851 ;
    • 1047 habitants en 1861 ;
    • 1019 habitants en 1866 ;
    • 937 habitants en 1872[18].

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[24].

    En 2020, la commune comptait 836 habitants[Note 6], en diminution de 1,88 % par rapport Ă  2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0061 0591 0901 0311 0941 0791 0911 1001 067
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0261 0471 019937879876891896808
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    805814785702676701685679720
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    582547526593619637805853844
    2018 2020 - - - - - - -
    840836-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee Ă  partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  38,4 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 19,8 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 25,6 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 417 hommes pour 423 femmes, soit un taux de 50,36 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,37 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,7
    90 ou +
    0,9
    4,3
    75-89 ans
    4,0
    14,9
    60-74 ans
    14,7
    23,5
    45-59 ans
    22,7
    18,7
    30-44 ans
    18,7
    16,8
    15-29 ans
    17,3
    21,1
    0-14 ans
    21,7
    Pyramide des ùges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2
    6,9
    75-89 ans
    9,5
    15,5
    60-74 ans
    16,3
    19,4
    45-59 ans
    18,8
    18,6
    30-44 ans
    17,7
    18,6
    15-29 ans
    17,5
    20,2
    0-14 ans
    18,2

    Économie

    Sur 72 établissements présents sur la commune à fin 2010, 31 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 46 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[29]. Trois en plus tard, en 2013, sur 53 établissements, 25 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 9 % du secteur de la construction, 49 % de celui du commerce et des services et 11 % du secteur de l'administration et de la santé[15].

    Lieux et monuments

    Monuments historiques

    Autres bĂątiments

    • Chapelle saint LĂ©onard ;
    • ChĂąteau et chapelle de PrincĂ© XVIe siĂšcle ;
    • ChĂąteau de la SouchardiĂšre XIXe siĂšcle ;
    • Lavoirs XIXe siĂšcle ;
    • Maison de maĂźtre, la Gautraie XVIe siĂšcle ;
    • Vestiges du manoir de SingĂ© XVe siĂšcle ;
    • PresbytĂšre XVIIIe siĂšcle ;
    • Usine de chaux, le Fourneau (SC).

    Autres lieux et monuments

    Galerie

    • Etang rue de la Fontaine.
      Etang rue de la Fontaine.
    • Manoir du Bois de l'Humeau.
      Manoir du Bois de l'Humeau.
    • Logis et dĂ©pendances sur la rue Principale.
      Logis et dépendances sur la rue Principale.
    • Lavoir de la rue de la Fontaine.
      Lavoir de la rue de la Fontaine.
    • Maison particuliĂšre rue Principale.
      Maison particuliĂšre rue Principale.
    • Chapelle Saint-LĂ©onard.
      Chapelle Saint-LĂ©onard.
    • L'Ă©glise.
      L'Ă©glise.
    • Vue gĂ©nĂ©rale intĂ©rieure de l'Ă©glise.
      Vue générale intérieure de l'église.
    • Manoir de la Brideraie Ă  MarcĂ© depuis le jardin.
      Manoir de la Brideraie à Marcé depuis le jardin.
    • MusĂ©e rĂ©gional de l'air.
      Musée régional de l'air.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • CĂ©lestin Port (Ă©dition rĂ©visĂ©e par Jacques Levron, Pierre d'HerbĂ©court, Robert Favreau et CĂ©cile Souchon), Dictionnaire historique, gĂ©ographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e Ă©d. (1re Ă©d. 1876) (BNF 34649310, lire en ligne), p. 407-408.
    • CĂ©lestin Port, Dictionnaire historique gĂ©ographique et biographique de Maine-et-Loire : D-M, t. 2, Angers, P. LachĂšse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re Ă©d. (BNF 34106676), p. 588-589.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. IGN et BRGM, Géoportail Marcé (49), consulté le 17 septembre 2012.
    2. DĂ©partement de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58 — DonnĂ©es consultables sur WikiAnjou.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Fiche du Poste 49188001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    15. Insee, Statistiques locales du territoire de Marcé (49188), consultées le 20 juillet 2016.
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
    17. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
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