AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

La Chapelle-Saint-Laud

La Chapelle-Saint-Laud est une commune française située dans le Nord-Est du département de Maine-et-Loire en région Pays de la Loire, à proximité de la ville de Seiches-sur-le-Loir.

La Chapelle-Saint-Laud
La Chapelle-Saint-Laud
Le chùteau de Princé.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Communauté de communes Anjou Loir et Sarthe
Maire
Mandat
Jean-Paul Bompas
2020-2026
Code postal 49140
Code commune 49076
DĂ©mographie
Gentilé Capellaudains
Population
municipale
782 hab. (2020 en augmentation de 7,12 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 74 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 36â€Č 38″ nord, 0° 18â€Č 33″ ouest
Altitude 85 m
Min. 28 m
Max. 98 m
Superficie 10,63 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Angers-6
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
La Chapelle-Saint-Laud
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
La Chapelle-Saint-Laud
GĂ©olocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Voir sur la carte topographique de Maine-et-Loire
La Chapelle-Saint-Laud
GĂ©olocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
La Chapelle-Saint-Laud

    GĂ©ographie

    Localisation

    Commune angevine du Baugeois, La Chapelle-Saint-Laud se situe au nord-est de Seiches-sur-le-loir, sur la route D 136, et à proximité de l'autoroute A11 (Angers - Le Mans)[1].

    Son territoire se trouve sur une colline boisĂ©e en bordure de la vallĂ©e du Loir culminant Ă  98 m[2], sur l'unitĂ© paysagĂšre du Plateau du Baugeois[3].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 659 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « MarcĂ© », sur la commune de MarcĂ©, mise en service en 1999[10] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 703,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Le Mans », sur la commune du Mans, dans le dĂ©partement de la Sarthe, mise en service en 1944 et Ă  58 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,6 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14], Ă  12 °C pour 1981-2010[15], puis Ă  12,5 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    La Chapelle-Saint-Laud est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (60,3 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (71,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (32,7 %), prairies (29,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (26,9 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (4,4 %), zones urbanisĂ©es (2,5 %), terres arables (2,3 %), cultures permanentes (1,8 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Ecclesia Beati Laudi juxta Novum Burgum en 1160, La parƓsse de La Chapelle-Saint-Lo en 1320. Durant la RĂ©volution, la commune porte le nom de La Montagne[24] - [25] - [26].

    Histoire

    Au Moyen Âge, Foulques IV d'Anjou donne la forĂȘt de Chambiers aux religieux de Saint-Laud d'Angers pour qu'ils la dĂ©frichent et crĂ©ent un petite agglomĂ©ration autour de l'Ă©glise alors existante. Ce qui explique la premiĂšre forme ancienne du nom[26] - [27].

    Pendant la PremiÚre Guerre mondiale, 16 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, aucun habitant n'est tué[28].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1977 En cours
    (au 31 mai 2020)
    Jean-Paul Bompas[29] - [30] DVD Enseignant retraité

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communautĂ© de communes Anjou Loir et Sarthe, aprĂšs disparition de la communautĂ© de communes du Loir, elle-mĂȘme membre du syndicat mixte PĂŽle mĂ©tropolitain Loire Angers.

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[32].

    En 2020, la commune comptait 782 habitants[Note 7], en augmentation de 7,12 % par rapport Ă  2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    516538540650644663647633655
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    634618650618600692564544517
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    460437466428410374374408341
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    341370285353404420583669743
    2020 - - - - - - - -
    782--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  41,2 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 15,6 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 25,6 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 376 hommes pour 389 femmes, soit un taux de 50,85 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,37 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    1,1
    3,7
    75-89 ans
    3,8
    11,8
    60-74 ans
    10,1
    16,6
    45-59 ans
    19,6
    27,8
    30-44 ans
    22,5
    14,2
    15-29 ans
    15,3
    25,1
    0-14 ans
    27,6
    Pyramide des ùges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2
    6,9
    75-89 ans
    9,5
    15,5
    60-74 ans
    16,3
    19,4
    45-59 ans
    18,8
    18,6
    30-44 ans
    17,7
    18,6
    15-29 ans
    17,5
    20,2
    0-14 ans
    18,2

    Économie

    Sur 32 établissements présents sur la commune à fin 2010, 16 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), aucun du secteur de l'industrie, 9 % du secteur de la construction, 59 % de celui du commerce et des services et 16 % du secteur de l'administration et de la santé[36].

    Culture locale et patrimoine

    Le chùteau de Princé
    Le chùteau de Princé.

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise situĂ©e en son centre, des XIIe au XIXe siĂšcles[37].
    • Le chĂąteau de PrincĂ©.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • CĂ©lestin Port (Ă©dition rĂ©visĂ©e par Jacques Levron et Pierre d'HerbĂ©court), Dictionnaire historique, gĂ©ographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e Ă©d. (1re Ă©d. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 657-659.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. IGN et BRGM, Géoportail La Chapelle-Saint-Laud (49), consulté le 2 septembre 2012.
    2. IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2011), consulté le 2 septembre 2012.
    3. DĂ©partement de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58 — DonnĂ©es consultables sur WikiAnjou.
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Marcé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre La Chapelle-Saint-Laud et Marcé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Marcé - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre La Chapelle-Saint-Laud et Le Mans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. CĂ©lestin Port 1965, p. 657.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    26. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 53-54.
    27. CĂ©lestin Port 1965, p. 657-658.
    28. Memorialgenweb.org - La Chapelle-Saint-Laud : monument aux morts
    29. Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
    30. « La Chapelle-Saint-Laud. Jean-Paul Bompas réélu pour un 8e mandat », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Chapelle-Saint-Laud (49076) », (consultĂ© le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de Maine-et-Loire (49) », (consultĂ© le ).
    36. Insee, Statistiques locales du territoire de La Chapelle-Saint-Laud (49), consultées le 18 décembre 2012
    37. « Église paroissiale Notre-Dame », notice no IA49008806, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.