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La Châtaigneraie

La Châtaigneraie est une commune française située dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire.

La Châtaigneraie
La Châtaigneraie
La mairie.
Blason de La Châtaigneraie
Blason
La Châtaigneraie
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement Fontenay-le-Comte
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de la Châtaigneraie
Maire
Mandat
Marie-Jeanne Benoit
2020-2026
Code postal 85120
Code commune 85059
DĂ©mographie
Gentilé Chataigneraisiens
Population
municipale
2 601 hab. (2020 en augmentation de 2,04 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 327 hab./km2
Population
agglomération
4 771 hab. (2020)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 39′ 00″ nord, 0° 44′ 21″ ouest
Altitude 123 m
Min. 77 m
Max. 177 m
Superficie 7,96 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine La Châtaigneraie
(ville-centre)
Aire d'attraction La Châtaigneraie
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de la Châtaigneraie
(bureau centralisateur)
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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La Châtaigneraie
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La Châtaigneraie
Liens
Site web lachataigneraie.eu

    GĂ©ographie

    Le territoire municipal de La Châtaigneraie s'Ă©tend sur 796 hectares. L'altitude moyenne de la commune est de 123 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 77 et 177 mètres[1] - [2].

    Localisation

    La commune est situĂ©e Ă  l'est de la VendĂ©e, Ă  22 km au nord de Fontenay-le-Comte, 42 km Ă  l'ouest de Parthenay, 30 km au sud-ouest de Bressuire et 50 km Ă  l'est de La Roche-sur-Yon.

    Communes limitrophes de La Châtaigneraie
    Terval
    Saint-Maurice-le-Girard La Châtaigneraie
    Antigny Loge-Fougereuse

    Relief et géologie

    La Châtaigneraie est situĂ©e Ă  la limite sud-est du Massif armoricain et du Bocage vendĂ©en, non loin des plaines de Luçon et de Niort. Le relief est assez vallonnĂ©. Le point culminant est Ă  182 m.

    Urbanisme

    Typologie

    La Châtaigneraie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de la Châtaigneraie, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[6] et 4 771 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de la Châtaigneraie, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,6 %), zones urbanisées (22 %), prairies (15,1 %), zones agricoles hétérogènes (13,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,3 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Voies de communication et transports

    La Châtaigneraie se trouve au croisement de deux axes routiers très fréquentés l'été :

    L'agglomération a été pourvue d'une rocade dont il ne manque que le quart nord-ouest.

    Toponymie

    Évolution du toponyme[13] - [14] :

    • Sancti Christofori de Castenearia (XIe siècle) ;
    • prioratus de Chatigneria (XIVe siècle) ;
    • cura Sancti Christofori de Chategneria, prioratus de Castegneria (1625) ;
    • La Châtaigneraye (1648) ;
    • La Chastaigneraye (RĂ©volution) ;
    • La Châteigneraie (1801) ;
    • La Châtaigneraie.

    En poitevin, la commune est appelée La Chategnerae[15].

    Histoire

    Le bourg de La Châtaigneraie doit son nom à la famille de ses premiers seigneurs, les Chasteigner. La seigneurie de La Châtaigneraie dépend de la baronnie de Mervent-Vouvant. La famille des Chasteigner fit construire un château fort et bientôt la paroisse qui était désignée jusqu’alors sous le nom de “Saint Christophe du bois” fut connue sous celui de Castaneria, forme originelle de notre actuelle “Châtaigneraie”.

    Du XIVe au XVIIe siècle elle sera aux mains de la famille de Vivonne avant d'être brièvement la possession de François de La Rochefoucauld, l'auteur des Maximes. En 1699 elle devient le siège du bailliage de Vouvant, créé par Louis XIV l'année précédente. Durant les Guerres de Religion, La Châtaigneraie eut beaucoup à souffrir des luttes fratricides. L'église Saint-Christophe du Bois fut pillée et en 1623, Charles de Vivonne fonda sur ses ruines un couvent de Jacobins. La chapelle du château dédiée à Saint-Jean devient une église paroissiale. L'église actuelle Saint-Jean est construite au siècle dernier sur l’emplacement de cette antique chapelle seigneuriale[16].

    En 1698, le roi créa un tribunal royal, le bailliage de Vouvant séant à La Châtaigneraie. Le bailliage amena dans nos murs de nombreux fonctionnaires tels que sénéchal, procureurs, conseillers, avocats, greffiers, sergents, huissiers, notaires, geôliers…[16]

    Au XVIe siècle, les tisserands étaient très nombreux à La Châtaigneraie. En effet, 800 métiers battaient alors aux environs. Le commerce d’étoffe qui se faisait alors avec le Canada, amena des populations au contact des négociants et armateurs protestants de La Rochelle. Nonobstant la défaite des protestants et surtout la révocation de l’Edit de Nantes qui provoqua le départ de beaucoup de maîtres tisserands porta un coup fatal à la région[16].

    En 1789 à l’aube de la Révolution, La Châtaigneraie se caractérisait par le nombre important de ses bourgeois, hommes de loi, mais aussi : marchands, chirurgiens, apothicaires et autres. Contrairement aux paysans du Bas-Poitou qui vivaient alors volontiers en autarcie, sans autre information que les sermons du dimanche, ces gens, relativement instruits, étaient ouverts aux idées nouvelles et avaient lu les philosophes. Durant tout le conflit, la population bourgeoise de La Châtaigneraie est plutôt républicaine, alors que la plupart des paysans soutient la cause catholique et royale. Chef-lieu de district de 1790 à 1795, elle est à cette époque le lieu de deux batailles de la guerre de Vendée : celle du 13 mai 1793 (victoire vendéenne) et celle du 12 juillet 1794 (victoire républicaine)[16].

    En 1815, lors de la guerre de Vendée, à la fin des « Cent Jours », le général Lamarque fut chargé de la pacification. De passage dans notre ville avec son état-major, il fut surpris de trouver La Châtaigneraie en fête. « Vous dansez ici et La Vendée est en feu », dit-il à un aubergiste. « Mais mon général, les oiseaux chantent bien entre les coups de fusils». Et Lamarque de conclure : « Cette Châtaigneraie, c’est un nid de rossignols sur un baril de poudre »[16].

    Au XIXe siècle, la commune changea de physionomie avec la création des routes principales en 1840, les halles en 1857 (démolies en 1973), l'église Saint-Jean-Baptiste en 1874, les châteaux Le Châtenay et Les Cèdres en 1875, l’hospice, la maison Lionnet en 1874, la gare, le train et le pont de Coquilleau en 1885 et le service d’eau, l’électricité, au début du XXème siècle.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[17]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Georges Avril MRP Vétérinaire
    Conseiller général du canton de La Châtaigneraie (1945 → 1952)
    Marcellin Pouponnot
    Claude Bonneau
    Bernard Gendrillon[20] DVD Chef d'entreprise
    Président du district de la Gâtine vendéenne puis du
    district de La Châtaigneraie (1991 → 1995)[21]
    Marie-Christine Herbouiller[22] DVD PĂ©diatre
    Bernard Boisramé[23] Directeur d’un centre de gestion retraité

    (démission)
    Joseph Bonneau[24] - [25] DVD Commerçant retraité
    Nicolas Maupetit[26] DVD Orthopédiste
    En cours Marie-Jeanne Benoit SE-DVD Infirmière retraitée
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

    En 2020, la commune comptait 2 601 habitants[Note 3], en augmentation de 2,04 % par rapport Ă  2014 (VendĂ©e : +4,62 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0009119611 4141 4371 3861 6021 6741 840
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8011 7771 7921 8781 9141 9842 2362 0471 944
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9022 0211 9651 7481 8521 8711 8271 8081 860
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    2 0562 3712 9063 0552 9042 7622 6632 6212 641
    2014 2019 2020 - - - - - -
    2 5492 5862 601------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee Ă  partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 42,3 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 189 hommes pour 1 376 femmes, soit un taux de 53,65 % de femmes, largement supĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,16 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,0
    90 ou +
    3,4
    11,8
    75-89 ans
    18,8
    24,2
    60-74 ans
    24,7
    19,9
    45-59 ans
    18,2
    14,3
    30-44 ans
    11,2
    14,7
    15-29 ans
    11,1
    14,1
    0-14 ans
    12,5
    Pyramide des âges du département de la Vendée en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2,1
    8,4
    75-89 ans
    11
    19,5
    60-74 ans
    20,4
    20
    45-59 ans
    19,4
    18
    30-44 ans
    17,1
    14,9
    15-29 ans
    13,2
    18,5
    0-14 ans
    16,8

    Manifestations culturelles et festivités

    • La folle semaine de l'Eurofestival
    • Les 30 du ComitĂ© de Jumelage
    • Changement de prĂ©sidence Ă  l'AeC

    Économie

    On peut signaler plusieurs entreprises et éléments présents dans la communes :

    • Bioporc
    • Charal
    • Couture S.A
    • Groupe Soulet (EGT)
    • Renault SARL
    • SIRF
    • SOFRILOG
    • SPORTIFRANCE

    Culture locale et patrimoine

    Clocher de l'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste.

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste, XIXe siècle de style nĂ©o-gothique.
    • La villa Lionnet, maison du peintre FĂ©lix Lionnet, rue du MarĂ©chal-de-Lattre, est inscrite au titre des monuments historiques en 2007[32].
    • Les lavoirs du Chatenay et de la Fontaine-du-Bois.
    • Le château du Châtenay (1870), de style nĂ©o-Louis XIII.
    • Le château des Cèdres (1871), de style nĂ©o-Renaissance.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D'argent au lion d'azur semé de fleurs de lys d'or[33].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Commune 11570 », Géofla, version 2.2, base de données de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
    2. « La Châtaigneraie », Répertoire géographique des communes, fichier de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de La Châtaigneraie », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de La Châtaigneraie », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. Eugène Aillery, Pouillé de l’évêché de Luçon, Fontenay-le-Comte, Robuchon, , 211 p. (BNF 30006044, lire en ligne), p. 176-177.
    15. Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions, coll. « Geste Poche » (no 14), , 3e éd. (1re éd. 1995), 443 p. (ISBN 2-84561-263-X), p. 93.
    16. « Histoire | La Chataigneraie – Site internet de la Mairie » (consulté le )
    17. « Historique des mairies », sur le site de la commune de La Châtaigneraie [lire en ligne].
    18. « Décrets nommant des maires et adjoints », Journal officiel de la République française, no 348,‎ (lire en ligne).
    19. « Petiteau, Léon-Calixte-Étienne », Dictionnaire des Vendéens, archives départementales de la Vendée et Société d’émulation de la Vendée,‎ (lire en ligne).
    20. « Médaille d’honneur de la Vendée pour B. Gendrillon », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    21. « L’historique », sur le site de la communauté de communes du Pays-de-la-Châtaigneraie [lire en ligne].
    22. « Un “bilan positif” pour Marie-Christine Herbouiller », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    23. « Bernard Boisramé est le nouveau maire, avec quatre adjoints », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    24. « Joseph Bonneau, nouveau maire, s’entoure de cinq adjoints », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    25. « Le maire Joseph Bonneau démissionne de son mandat », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    26. « Nicolas Maupetit, nouveau maire de La Châtaigneraie », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Châtaigneraie (85059) », (consulté le ).
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
    32. « Maison du peintre Félix Lionnet », notice no PA85000032, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « Francis Moreau - Armoiries des Seigneurs de La Châtaigneraie », sur fmoreau.recit.free.fr (consulté le ).
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