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Rouans

Rouans ([ʁwɑ̃s] ) est une commune de l'Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Loire-Atlantique, en rĂ©gion Pays de la Loire. Ses habitants s'appellent les Rouansais et les Rouansaises[1].

Rouans
Rouans
La mairie
Blason de Rouans
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Loire-Atlantique
Arrondissement Nantes
Intercommunalité Pornic Agglo Pays de Retz
Maire
Mandat
Jacques Ripoche
2020-2026
Code postal 44640
Code commune 44145
DĂ©mographie
Gentilé Rouansais
Population
municipale
3 134 hab. (2020 en augmentation de 11,65 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 83 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 11â€Č 07″ nord, 1° 51â€Č 37″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 60 m
Superficie 37,73 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Machecoul
LĂ©gislatives NeuviĂšme circonscription
Localisation
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Rouans
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Rouans
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Rouans
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Rouans
Liens
Site web www.rouans.fr

    GĂ©ographie

    Situation de Rouans dans le département de la Loire-Atlantique.

    La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du Pays nantais. La commune de Rouans est situĂ©e prĂšs de la rive sud de l'estuaire de la Loire. Son bourg se trouve Ă  moins de 1,5 km de l'Acheneau, riviĂšre Ă©missaire du lac de Grand-Lieu, Ă  une trentaine de kilomĂštres Ă  l'ouest de Nantes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 2] : 829 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945[8] et qui se trouve Ă  18 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10], Ă  12,5 °C pour 1981-2010[11], puis Ă  12,7 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Rouans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [13] - [14] - [15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16] - [17].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (91,9 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (94 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (33,8 %), prairies (32,3 %), terres arables (25,8 %), zones urbanisĂ©es (4,3 %), forĂȘts (2,1 %), mines, dĂ©charges et chantiers (1,5 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,1 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[19].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes de Rodente et Rotohenge au XIe siÚcle (charte de la fondation d'un prieuré pour les moines de l'abbaye Saint-Serge d'Angers), Roem en 1134, Roene en 1269, Rouand en 1287[20].

    Le nom de Rouans est issu du gaulois Rotomagos ou Ratumagos signifiant « marchĂ© de la roue Â» ou « champ de course (de char) », le composĂ© Rotomagus / Ratumagos est aussi l’origine des noms des villes de Rouen, Ruan, etc.[21] - [22] - [23].

    Rouans se trouve en Haute-Bretagne, donc en pays gallo et elle possĂšde un nom en gallo : RĂłant selon l'Ă©criture ELG[24], ou ·Rouan selon l'Ă©criture MOGA. En gallo, le nom de la commune se prononce [əʁwɑ̃][25].

    Le nom de la commune est Rodent en breton. Le breton n'y a jamais été parlé[26].

    Durant la RĂ©volution, la commune porte le nom de Barra-les-Marais[27].

    Histoire

    Vers 400, la Notitia Dignitatum (document montrant l'Ă©tat des charges de l’Empire romain) indique que, dans le Tractus Armoricanus (zone littorale ouest, pas seulement l'Armorique), Ă  Rotomagus -Rouans en Retz- Ă©tait installĂ©e la Legio Ursariensis -LĂ©gion de l’Ours, recrutĂ©e en CalĂ©donie (ancien nom de l'Ecosse), c’est-Ă -dire composĂ©e de Bretons (i.e. des Britons insulaire), qui a inscrit des marques Ă©videntes de sa prĂ©sence.

    En 1026, un prieuré est fondé par les moines de l'abbaye Saint-Serge d'Angers. La paroisse est mentionnée sous le nom de Rotohenge, reposant certainement sur une erreur de transcription.

    En 1135, l'abbaye cistercienne de Buzay est fondée par Bernard de Clairvaux, à la demande d'Ermengarde d'Anjou, veuve d'Alain IV Fergent et mÚre de Conan III, dit le Gros, duc de Bretagne. Cette abbaye devint trÚs riche par son commerce du sel, par ses nombreux donateurs et les octrois perçus sur le trafic commercial. Pendant la Révolution française, lors des Guerres de Vendée, l'abbaye fut en partie détruite par le feu. Seule demeure la tour de l'abbaye reconstruite à la fin du XVIIIe siÚcle.

    En 1987, le film Le Grand Chemin de Jean-Loup Hubert est tourné principalement à Rouans.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mai 1953 mars 1983 Pierre Ripoche Ancien négociant
    mars 1983[28] juin 1995 Alfred Lucas
    juin 1995 mars 2008 Renée Ribalet DVD Agricultrice
    mars 2008 mai 2020 Jean-Pierre Lucas[Note 6] SE Agriculteur
    mai 2020 En cours Jacques Ripoche Ancien ingénieur conseil
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Rouans fait partie de l'aire urbaine, de la zone d'emploi et du bassin de vie de Nantes. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[29]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 90 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 10 % dans des zones « trÚs peu denses »[30].

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[32].

    En 2020, la commune comptait 3 134 habitants[Note 7], en augmentation de 11,65 % par rapport Ă  2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 1141 3971 7082 1641 9981 9912 4992 2452 227
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 1642 1372 1242 2582 3102 2562 3672 2652 183
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 1912 1372 0771 7841 6421 5431 5401 5141 550
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 5201 4431 4471 7101 8912 1312 4982 7212 913
    2020 - - - - - - - -
    3 134--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  37,0 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 19,9 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 23,8 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 1 505 hommes pour 1 510 femmes, soit un taux de 50,08 % de femmes, lĂ©gĂšrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,42 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2,3
    5,3
    75-89 ans
    8,4
    12,1
    60-74 ans
    11,0
    22,0
    45-59 ans
    20,4
    22,4
    30-44 ans
    21,3
    13,9
    15-29 ans
    14,1
    23,5
    0-14 ans
    22,6
    Pyramide des ùges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Culture et patrimoine

    Monuments civils

    De nombreux moulins se trouvent sur le site de la commune.

    Monuments religieux

    Tour de l'abbaye de Buzay.
    L'Ă©glise de Rouans.

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D'argent Ă  la roue d'horloge de sable.
    Commentaires : Armes du PrieurĂ© de Rouans concĂ©dĂ©es le (supplĂ©ment de l'Armorial GĂ©nĂ©ral le – enregistrĂ© payĂ© 40 livres). Blason (dĂ©libĂ©ration municipale du ) enregistrĂ© le .

    Personnalités liées à la commune

    MĂ©dias

    Le film Le Grand Chemin (avec Anémone et Richard Bohringer) de Jean-Loup Hubert a été tourné à Rouans en 1986.

    Internet

    Le Plan France trÚs haut débit prévoit le déploiement de la fibre optique sur Rouans à l'horizon 2020.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. RĂ©Ă©lu en 2014.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Les gentilés de la Loire-Atlantique
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « DĂ©finition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consultĂ© le )
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Nantes-Bouguenais - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Rouans et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    19. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    20. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    21. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 576a
    22. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et des anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 130
      Ouvrage publié avec le soutien du CNRS
      .
    23. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, Paris, Ă©ditions Errance, 2003, p. 213.
    24. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    25. « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consultĂ© le ).
    26. Atlas linguistique de la France, Gilliéron, Edmont, 1902-1910
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    28. « Élections de maires », Ouest-France,‎
      « Rouans. - M. Alfred Lucas, élu ».
    29. « Commune de Rouans (44145) », Insee (consulté le ).
    30. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Rouans (44145) », (consultĂ© le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la Loire-Atlantique (44) », (consultĂ© le ).
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