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Les Ponts-de-CĂ©

Les Ponts-de-Cé est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire en région Pays de la Loire.

Les Ponts-de-CĂ©
Les Ponts-de-CĂ©
Le pont de Dumnacus.
Blason de Les Ponts-de-CĂ©
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Angers Loire Métropole
Maire
Mandat
Jean-Paul Pavillon
2020-2026
Code postal 49130
Code commune 49246
DĂ©mographie
Gentilé Ponts-de-Céais
Population
municipale
12 589 hab. (2020 en augmentation de 2,03 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 644 hab./km2
Population
agglomération
245 518 hab. (2020)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 25â€Č 31″ nord, 0° 31â€Č 27″ ouest
Altitude Min. 15 m
Max. 36 m
Superficie 19,55 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Angers
(banlieue)
Aire d'attraction Angers
(commune du pĂŽle principal)
Élections
DĂ©partementales Canton des Ponts-de-CĂ©
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Les Ponts-de-CĂ©
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Les Ponts-de-CĂ©
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Les Ponts-de-CĂ©
Liens
Site web http://www.lespontsdece.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    Commune angevine, Les Ponts-de-Cé est traversée par la Loire et se trouve dans la premiÚre couronne Sud de l'agglomération d'Angers, En France[1].

    Communes limitrophes

    Les quartiers

    La Guillebotte : quartier rĂ©cent crĂ©Ă© dans les annĂ©es 1970 entre La Chesnaie et le canal de l’Authion.

    La Chesnaie : quartier qui s’est dĂ©veloppĂ© dans les annĂ©es 1960-1970 avec la construction de nombreux logements, construits principalement sur des terres maraĂźchĂšres.

    Saint-Aubin : quartier ancien au cƓur des Ponts-de-CĂ© oĂč se trouve l’église Saint-Aubin, classĂ©e monument historique.

    Saint-Maurille : quartier situĂ© sur la rive sud de la Loire, entre le Louet et le bras principal de la Loire. L’axe principal ancien de Saint-Maurille est la rue du Commandant-Bourgeois. C’est maintenant la rue Pasteur dans l’axe du pont Dumnacus qui relie le quartier Ă  celui de l’Île.

    L’Île : avec Saint-Aubin forme le centre historique des Ponts-de-CĂ© sur les terrains situĂ©s entre le bras principal de la Loire et le bras de Saint-Aubin. On y trouve la mairie et les rues les plus anciennes de la ville ainsi que le chĂąteau construit vers 850 sous Charles II le chauve.

    Sorges : quartier des Ponts-de-CĂ© situĂ© entre Gauthier et TrĂ©matĂ©. Village indĂ©pendant des Ponts-de-CĂ©, il lui est rattachĂ© Ă  la RĂ©volution. Ses habitants Ă©taient alors appelĂ©s les Sorgeais, nom qui apparaĂźt vers l’an mille dans les manuscrits de l’abbaye Saint-Aubin d'Angers.

    Hydrographie

    La commune est situĂ©e en bords du fleuve la Loire, qui traverse le territoire au centre, et de l'Authion canalisĂ© au nord, et par le Louet au sud. Ces cours d'eau sont enjambĂ©s Ă  l'origine par un pont unique. Au fil du dĂ©veloppement de la citĂ© mĂ©diĂ©vale, les arches ont Ă©tĂ© comblĂ©es tout en assurant la particularitĂ© de la commune des Ponts-de-CĂ©. Elle est situĂ©e Ă  environ 110 km de la mer en suivant la Loire. Limite de la Loire dite « navigable ».

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 627 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 5,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Georges Gard », sur la commune de Sainte-Gemmes-sur-Loire, mise en service en 1950[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 817,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Le Mans », sur la commune du Mans, dans le dĂ©partement de la Sarthe, mise en service en 1944 et Ă  84 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,6 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  12 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  12,5 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Les Ponts-de-CĂ© est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine d'Angers, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 12 communes[18] et 245 518 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune du pĂŽle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (56,1 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (52,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (25,1 %), zones urbanisĂ©es (21,3 %), prairies (20,3 %), terres arables (10,7 %), eaux continentales[Note 7] (7 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (6,2 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (3,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (2,4 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (1,9 %), forĂȘts (1,5 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[24].

    Toponymie

    Cé est attesté sous les formes [Castro] Seio en 889, Saiaco en 967, [Pon] Sigei en 1009, [In] Saiaco en 1036-1056, Saiaco 1060 - 1080, Saiacus en 1090, Seium en 1104, [Pons] Sagei en 1115, [Pons] Sagii en 1148, [Pons] Saeiien 1291, [Le Pont de] Sae (1293), [Les Ponts de] Sée en 1529[25], [Les Ponts de] Cé en 1793, [Pont-de-]Cé en 1801, puis [Les Ponts-de-]Cé[26] - [27]. Durant la Révolution, la commune porte le nom de Ponts-Libres[26].

    Selon une lĂ©gende locale, la ville, divisĂ©e en deux parties par la Loire enjambĂ©e par une multitude de ponts, aurait Ă©tĂ© construite par CĂ©sar. Quelqu'un voulut la baptiser « Les Ponts de CĂ©sar »[28]. D’aprĂšs une autre lĂ©gende, une attaque gauloise a permis d'enlever le sculpteur en plein travail, empĂȘchant d’inscrire sur le pont la derniĂšre syllabe du nom de CĂ©sar, expliquant ainsi le suffixe du nom de la ville[29]. Ce genre de lĂ©gende Ă©tymologique est caractĂ©ristique de la Renaissance et du classisme et n'a ni fondement linguistique, ni fondement historique.

    En réalité, l'élément Cé représente le nom primitif du village voisin[30], comme l'indiquent les formes les plus anciennes. La forme Seio de 889 s'accorde mal avec celles, plus réguliÚres, du Xe au XIe siÚcle du type Saiaco, bien qu'on ne puisse pas exclure un amuïssement régulier des consonnes intervocaliques dÚs cette époque. Il s'agit donc vraisemblablement d'un type toponymique gallo-romain en -(i)acum, suffixe d'origine gauloise marquant la localisation puis la propriété. Ce suffixe a réguliÚrement donné la finale -é dans l'ouest de la France, en domaine d'oïl. Le premier élément Sai- peut représenter le nom de personne latin (porté par un indigÚne) Sabius, d'ailleurs une villa rustica est mentionnée à cet endroit sous la forme Sabiacus dans une charte de Charles le Chauve (823 - 877), devenu plus tard paroisse de Saint-Aubin-des-Ponts-de-Cé[31]. Ce qui peut justifier les formes plus tardives du type Sigei, Sagei (évolution phonétique comparable à celle de rabia> rage ou rubeus> RUBIU> rouge) par déplacement de l'accent tonique de 'SABIACU en SA'BIACU.

    Histoire

    Moyen Âge

    En 869, le roi Charles le Chauve construit un pont fortifié aux Ponts-de-Cé, afin de bloquer la remontée de la Loire aux pillards vikings[32]. Il existe deux exemples de ponts similaires, à Pont-de-l'Arche sur la Seine, et à Trilbardou sur la Marne.

    Au XVe siÚcle, le roi Louis XI (1423-1483) demeurait fréquemment aux Ponts-de-Cé[33], quoique ce lieu fût situé en Anjou. En effet, à cette époque, le duc François II de Bretagne, afin de conserver son indépendance, s'était allié aux ennemis du royaume de France, notamment le duc de Bourgogne Charles le Téméraire. Pour le roi, le chùteau des Ponts-de-Cé était idéal à contrÎler ceux qui y passaient vers et dÚs la Bretagne. Ainsi, il y arriva le 29 août 1472 pour cet objectif, aprÚs avoir occupé Ancenis le 7 juillet ainsi que Pouancé le 21 juillet, villes frontiÚres, de sorte que François II renonce son intention d'attaquer le royaume[34].

    Ancien RĂ©gime

    Le 7 août 1620 eut lieu la bataille des Ponts-de-Cé, connue également sous le nom des « DrÎleries des Ponts-de-Cé », entre les partisans du roi Louis XIII et ceux de sa mÚre, Marie de Médicis, que son fils avait écartée de la Régence trois ans plus tÎt, et qui tentait de revenir au pouvoir. Par la défection de certains de ses alliés, les troupes de Marie de Médicis furent bientÎt sans commandement avant le combat. L'armée royale n'eut plus qu'à disperser ses fantassins dans une « drÎlerie » générale.

    Époque contemporaine

    Rame de l'ancien tramway d'Angers devant la mairie, vers 1908.

    Lors de la guerre de VendĂ©e, les rĂ©publicains fusillent 1 500 Ă  1 600 prisonniers entre Ă  la mi-janvier 1794[35].

    Les villages

    Une histoire riche accompagne ce quartier. Ses terres ont appartenu successivement à l'abbaye Saint-Aubin, aux vicomtes d'Anjou, puis au frÚre du roi Louis-Charles Ier duc d'Anjou et à Jean Bourré, célÚbre trésorier de Louis XI et bùtisseur du chùteau du Plessis-Bourré.

    En 1579, le temple protestant de la ville d'Angers s'installe Ă  Sorges (prĂšs de la poste actuelle), celui-ci devant ĂȘtre construit Ă  une lieue (km) au moins d'Angers. Aujourd'hui, il n'en reste que la cour dite du « prĂȘche », car ce temple fut dĂ©truit lors de la rĂ©vocation de l'Ă©dit de Nantes par Louis XIV en 1685.

    En 1661, au dĂ©but de son rĂšgne, Louis XIV, se rendant de Saumur Ă  Angers, s'arrĂȘte Ă  Sorges et y dĂźne dans une ferme-auberge. En effet, la route Saumur-Angers passait par Sorges oĂč il fallait emprunter un bac pour traverser l'Authion.

    À la RĂ©volution, en 1790, le village de Sorges devient une commune : son maire est Jacques Houtin. Un an plus tard, Sorges revient Ă  la commune de TrĂ©lazĂ©. Son rattachement dĂ©finitif Ă  la commune des Ponts-de-CĂ© date de 1796.

    Son église est dédiée à saint-Maurice depuis 1535 et elle a été agrandie en 1845. Elle est ouverte chaque année le dimanche le plus proche de la Saint-Maurice (22 septembre).

    Les inondations, surtout celle de 1856 avec le passage de Napoléon III et celle de 1910, ont inondé le quartier. Des plaques, sur le cÎté de la porte de l'église et sur la façade d'une maison (celle de Vignoble), indiquent les niveaux d'eau des crues : plus de deux mÚtres au-dessus du sol. Aujourd'hui, des levées et la station d'exhaure des eaux de l'Authion protÚgent le quartier.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs[36]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1892 Jean-Baptiste Bouton-LĂ©vĂȘque RĂ©publicain ralliĂ© Conseiller gĂ©nĂ©ral des Ponts-de-CĂ© (1885 → 1905)
    1892 Gustave Cordon
    Abel Boutin-Desvignes RG Conseiller gĂ©nĂ©ral des Ponts-de-CĂ© (1913 → 1937)
    mai 1929 Abel Boutin[37]
    Les données manquantes sont à compléter.
    19 mai 1945 5 octobre 1947 Georges Barritault
    1947 1961 Adolphe Girardeau Conseiller gĂ©nĂ©ral des Ponts-de-CĂ© (1945 → 1961)
    1961 1971 Maurice Joubert
    1971 1977 Paul Keryell
    mars 1977 mars 2001 Guy Poirier UDF Médecin, lieutenant de réserve
    Conseiller gĂ©nĂ©ral des Ponts-de-CĂ© (1973 → 1998)
    Conseiller régional des Pays-de-la-Loire (1979-1982)
    Vice-président du conseil général de Maine-et-Loire (1982-1998)
    mars 2001 mars 2008 Pierre-André Ferrand[38] UMP Médecin généraliste
    mars 2008 avril 2018[39] Joël Bigot[40] - [41] PS Enseignant retraité
    SĂ©nateur de Maine-et-Loire (2017 → )
    Vice-prĂ©sident d'Angers Loire MĂ©tropole ( ? → 2018)
    Démissionnaire à la suite de son élection comme sénateur
    avril 2018 En cours
    (au 3 juin 2020)
    Jean-Paul Pavillon[42] - [43] - [44] - [45] PS Professeur des écoles, conseiller départemental depuis 2015

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Angers du département de Maine-et-Loire. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1986 de la deuxiÚme circonscription de Maine-et-Loire.

    Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton des Ponts-de-Cé[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune désormais le bureau centralisateur, est modifié, passant de 16 à 17 communes.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes du secteur des Ponts-de-Cé. Celle-ci a été supprimée fin 2004, certaines de ses communes ayant rejoint la communauté de communes Loire Aubance ou la communauté de communes de la Vallée-Loire-Authion. Les Ponts-de-Cé intÚgrent, eux, la communauté d'agglomération d'Angers Loire Métropole. Celle-ci se transforme en communauté urbaine le sous le nom d'Angers Loire Métropole.

    Contrairement à ce que laisse entendre cette dénomination, l'intercommunalité ne dispose pas du statut de Métropole au sens de la réforme des collectivités territoriales françaises et de l'acte III de la décentralisation.

    La communauté urbaine, dont est désormais membre la commune, est organisée autour de la ville d'Angers et fait partie du syndicat mixte pÎle métropolitain Loire Angers, anciennement Pays Loire-Angers. Elle est également membre du pÎle métropolitain Loire-Bretagne.

    DĂ©mocratie participative

    La commune s'est dotée d'un conseil municipal d'enfants dont les membres sont élus par les élÚves des classes de CM1 et CM2. La derniÚre élection a eu lieu en [46].

    Distinctions et labels

    En 2017, la commune a obtenu le label « ville active et sportive »[47].

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă  la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[48] - [Note 8].

    En 2020, la commune comptait 12 589 habitants[Note 9], en augmentation de 2,03 % par rapport Ă  2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 6923 1083 5123 7403 6653 8643 8293 9243 839
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 8143 7393 5573 3973 4443 4833 6003 5683 530
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 5863 5733 2243 3793 5733 7713 9994 4795 293
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    5 9117 1759 58910 73911 03211 38711 44011 78012 708
    2020 - - - - - - - -
    12 589--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee Ă  partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  35,0 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 30,3 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 25,6 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 6 165 hommes pour 6 646 femmes, soit un taux de 51,88 % de femmes, lĂ©gĂšrement supĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,37 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[50]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,9
    90 ou +
    1,8
    7,8
    75-89 ans
    12,3
    18,5
    60-74 ans
    19,1
    17,7
    45-59 ans
    19,1
    16,6
    30-44 ans
    15,9
    19,0
    15-29 ans
    15,1
    19,5
    0-14 ans
    16,7
    Pyramide des ùges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[51]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2
    6,9
    75-89 ans
    9,5
    15,5
    60-74 ans
    16,3
    19,4
    45-59 ans
    18,8
    18,6
    30-44 ans
    17,7
    18,6
    15-29 ans
    17,5
    20,2
    0-14 ans
    18,2

    Enseignement

    La commune est située dans l'académie de Nantes.

    En 2014, la commune administre une école maternelle (Raymond-Renard) et quatre écoles élémentaires (André-Malraux, Jacques-Prévert, Raoul-Corbin, Raymond-Renard) communales et dispose de deux écoles élémentaires privées (Saint-Aubin, Saint-Maurille)[52].

    L'Ă©cole Ă©lĂ©mentaire Saint-Maurille comptait 127 Ă©lĂšves en 2012-2013[53]. Elle a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e au XIXe siĂšcle, dans un bĂątiment qui Ă©tait Ă  l'origine une tannerie[54]. Le 24 mai 1837, MĂ©dĂ©ric Lechalas, notaire, enregistre un legs fait par François Gazeau au profit du centre communal d’action sociale, d'un ensemble immobilier (ancienne tannerie du XVIIIe siĂšcle) situĂ© au 74, rue du Commandant-Bourgeois, aux pauvres les plus nĂ©cessiteux de la paroisse de Saint-Maurille[55]. Vers 1850, des religieuses crĂ©ent une Ă©cole de garçons au 78 et une Ă©cole de filles au 74 de cette mĂȘme rue. En 1982, ces deux Ă©coles sont unifiĂ©es, deviennent mixtes et s'associent Ă  la commune des Ponts-de-CĂ© via un contrat d'association.

    Le dĂ©partement gĂšre en 2014 deux collĂšges : le collĂšge public François-Villon comptant 764 Ă©lĂšves en 2012-2013[56] et le collĂšge privĂ© Saint-Laud comptant 275 Ă©lĂšves en 2012-2013[57].

    Toujours en 2014, la rĂ©gion Pays de la Loire gĂšre deux lycĂ©es : le lycĂ©e polyvalent du campus de PouillĂ©-Angers[58] et le lycĂ©e gĂ©nĂ©ral et technologique Jean-Bodin comptant 796 Ă©lĂšves en 2012-2013[59].

    Outre ces établissements, la commune accueille un institut médico-éducatif dispensant une éducation et un enseignement spécialisés pour des enfants et adolescents atteints de déficience à prédominance intellectuelle[60].

    Par sa proximité géographique avec Angers, c'est sur le territoire de la commune que sont installés les établissements suivants :

    Culture

    La commune comprend en 2015 plusieurs équipements culturels : le centre culturel Vincent-Malandrin, la médiathÚque Saint-Exupéry créée en 2008[63], le théùtre des Dames et une école de musique[64].

    Sports

    On trouve sur la commune un complexe sportif et des salles de sport : le complexe sportif François-Bernard, qui comprend un stade avec une tribune de 270 places, et les salles de sport annexe d’AthlĂ©tis et salle de sport Val-de-Louet[65].

    En 2017, L'office municipal des sports regroupe 23 clubs ou sections sportifs réunis au sein de l'association sportive des Ponts-de-Cé (ASPC) ou de l'amicale des anciens élÚves de l'école communale (AAEEC)[47].

    Le club de Kin-ball de la ville accueille la 10e coupe du monde de sport Kin-Ball Ă  l'automne 2019[66].

    Sont implantés dans la ville la Maison des sports, le comité départemental olympique et sportif et le District de Maine-et-Loire de football[47].

    Manifestations culturelles et festivités

    Se dĂ©roule dans la commune le festival les Traver’CĂ© musicales, dont la 16e Ă©dition a lieu le dimanche [67] - [68].

    Économie

    Tissu Ă©conomique

    Sur 793 établissements présents sur la commune à fin 2010, 3 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 12 % du secteur de la construction, 65 % de celui du commerce et des services et 14 % du secteur de l'administration et de la santé[69].

    Deux ans plus tard, en 2012, on y trouvaient 909 établissements, qui relevaient pour 2 % de l'agriculture (pour une moyenne de 15 % sur le département), 6 % de l'industrie, 11 % de la construction, 67 % du commerce et des services et 14 % du secteur de l'administration et de la santé[70].

    Commerces et entreprises

    La ville accueille en 2015 plusieurs zones industrielles et artisanales : des zones communautaires gĂ©rĂ©es par la communautĂ© d'agglomĂ©ration d'Angers Loire MĂ©tropole, la zone du Moulin-Marcille et la zone de Vernusson Pierre-Martine, et des zones communales, les zones d’activitĂ©s Jean-Boutton, de Saint-Aubin et de la Petite PerriĂšre[71].

    Le « village Oxylane », situĂ© sur la zone du Moulin-Marcille, a pour originalitĂ© de prĂ©senter des structures dĂ©diĂ©es Ă  la pratique sportive. On y trouve notamment un magasin DĂ©cathlon de 6 000 m2, ouvert en novembre 2009[72] - [73]. La zone est accessible depuis l'A87.

    À cĂŽtĂ© de ce complexe dĂ©diĂ© aux sports, au dĂ©but des annĂ©es 2010 apparait un projet d'un centre commercial, provisoirement baptisĂ© « l'ArĂ©na », comprenant 30 000 m2 de commerces, restaurants et Ă©quipements culturels et ludiques, avec ses six salles de cinĂ©ma sous enseigne MĂ©garama[74] - [75]. En 2014, le projet portĂ© par le groupe Idec est retoquĂ© par la commission dĂ©partementale d'amĂ©nagement commercial (CDAC)[76].

    La commune compte également une surface alimentaire, Intermarché et la société Technitoit[77].

    En 2023, l'Autre Usine, plus grand complexe de sport et loisir indoor de France installé à Cholet, annonce son projet de s'implanter aux Ponts-de-Cé d'ici 2025[78] - [79].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune compte trois monuments rĂ©pertoriĂ©s Ă  l'inventaire des monuments historiques[80] et 191 lieux et monuments rĂ©pertoriĂ©s Ă  l'inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel[81]. Par ailleurs, elle compte 15 objets rĂ©pertoriĂ©s Ă  l'inventaire des monuments historiques[82].

    Les trois monuments historiques sont :

    Les Ponts-de-Cé et la littérature

    Louis Aragon a Ă©crit le poĂšme C qui dĂ©bute ainsi : J'ai traversĂ© les Ponts-de-CĂ©, c'est lĂ  oĂč tout a commencĂ© ..., publiĂ© dans le recueil Les Yeux d'Elsa en 1942. Francis Poulenc l'a mis en musique l'annĂ©e suivante.

    Personnalités liées à la commune

    • Gustave Cordon (1854-1915), docteur en mĂ©decine et homme politique, dĂ©cĂ©dĂ© aux Ponts-de-CĂ©.
    • Jules QuĂ©lin (1835-1911), poĂšte et astronome français, nĂ© aux Ponts-de-CĂ©.
    • EugĂšne RaphaĂ«l Fontaine (1884-1933), grand industriel, manufacturier et marchand de bois Alençonnais et conseiller municipal Ponts-de-CĂ©ais, dĂ©cĂ©dĂ© aux Ponts-de-CĂ©.
    • Michel Sy (1930- ), homme politique, nĂ© aux Ponts-de-CĂ©.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

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    28. Jean-Louis Augereau, op. cit. , p. 132.
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