Mûrs-Erigné
Mûrs-Erigné[Note 1] [myʁ eʁiɲe] est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Mûrs-Erigné | |||||
Le Louet à Mûrs-Erigné. | |||||
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Angers | ||||
Intercommunalité | Angers Loire Métropole | ||||
Maire Mandat |
Jérôme Foyer 2022-2026 |
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Code postal | 49610 | ||||
Code commune | 49223 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Éri-mûrois | ||||
Population municipale |
5 661 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 327 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
245 518 hab. (2020) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 23′ 46″ nord, 0° 33′ 07″ ouest | ||||
Altitude | Min. 12 m Max. 80 m |
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Superficie | 17,29 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Angers (banlieue) |
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Aire d'attraction | Angers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Ponts-de-Cé | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Ses habitants sont appelés les Érimurois ou Éri-mûrois.
Géographie
Localisation
Commune angevine, Mûrs-Erigné est située sur la rive gauche de la Loire, en périphérie sud d'Angers[1].
Hydrographie
La commune est bordée au nord par le bras principal de la Loire. Elle est traversée d'est en ouest, au nord de l'agglomération, par le Louet, bras de la Loire et, au sud de celle-ci, par l'Aubance.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Georges Gard », sur la commune de Sainte-Gemmes-sur-Loire, mise en service en 1950[8] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[9] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 817,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Le Mans », sur la commune du Mans, dans le département de la Sarthe, mise en service en 1944 et à 88 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[12], à 12 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,5 °C pour 1991-2020[14].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (36,5 %), terres arables (25,9 %), zones agricoles hétérogènes (17,2 %), zones urbanisées (14,9 %), forêts (3,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,4 %), eaux continentales[Note 6] (0,8 %), cultures permanentes (0,3 %)[15].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[16].
Urbanisme
Typologie
Mûrs-Erigné est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [17] - [18] - [19]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angers, une agglomération intra-départementale regroupant 12 communes[20] et 245 518 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[21] - [22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23] - [24].
Toponymie
Mûrs : Attestée sous les formes Ecclesia Sancti Venantii de Muris vers 1090, Meurs, Mûrs jusqu'en 1953 [25].
Erigné : Attestée sous les formes Sanctus Petrus de Adrinniaco en 1090, Arigniaco et Presbitero de Arignero en 1140, Aregneium en 1212, Arigné en 1240[25].
Le mot mur vient du latin murus qui désignait un rempart, un mur d'enceinte et de défense[25].
Erigné vient du nom d'homme Arenius ou Arinius, suivi du suffixe -acum[25].
Histoire
Antiquité
Des traces de vie préhistorique et gallo-romaine sont identifiées dans la commune.
Moyen Âge
L'église Saint-Pierre d'Érigné date du XVe siècle et se situe à proximité du parc Saint-Pierre et du parc du Jau.
Guerres de Vendée
Le , le camp de la Roche-de-Mûrs est pris d'assaut par les Vendéens lors de la bataille des Ponts-de-Cé[26]. Plusieurs volontaires parisiens se jettent alors dans le Louet et se noient en essayant de fuir[26]. La légende a retenu le bilan de 600 morts du côté des républicains, mais le nombre des tués est plus probablement de 88 d'après les historiens[27].
En 1887, Victor Jeanvrot, franc-maçon et conseiller à la Cour d'appel d'Angers, lance un appel à une souscription pour commémorer le sacrifice des volontaires parisiens et édifier sur « un des rares points culminants de la région qui aient échappé aux investigations » des cléricaux « resplendissant et radieux, le monument de la liberté »[28]. La ville de Paris s'associe à cette souscription à laquelle s'associe, sur le rapport fait par Alfred Lamouroux au cours de la session du Conseil général de la Seine[29]. Ce rapport affirme aussi que l'épouse du commandant Bourgeois préféra se jeter dans la Loire avec son enfant dans les bras plutôt que de se rendre aux Vendéens qui lui promettaient la vie sauve si elle criait « Vive le Roi ! »[29]. En 1891, un monument est élevé sur les hauteurs de la Roche-de-Mûrs[30].
Entre-deux-guerres
Dans les années 1930, le tramway Angers - Mûrs-Erigné permet aux Angevins de profiter des bords du Louet.
Seconde Guerre mondiale
Le 19 juin 1940, les forces allemandes arrivent aux Ponts-de-Cé sans pouvoir franchir la Loire dont le pont principal a été partiellement détruit. De la rive droite de la Loire, son artillerie tente d'affaiblir le dispositif de défense de l'autre rîve. Mûrs-Erigné n'échappe pas à ces bombardements. Ceux-ci font un soldat tué dans la commune[31].
Trente Glorieuses
Le , Mûrs devient Mûrs-Erigné[32].
Politique et administration
Administration municipale
Jumelages
Villes avec lesquelles la commune est jumelée :
Intercommunalité
La commune est intégrée à la communauté urbaine Angers Loire Métropole[43], elle-même membre du syndicat mixte Pôle métropolitain Loire Angers[44].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[46].
En 2020, la commune comptait 5 661 habitants[Note 9], en augmentation de 6,11 % par rapport à 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est plus âgée que celle du département. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,7 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 722 hommes pour 2 920 femmes, soit un taux de 51,75 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,37 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
En enseignement du premier degré, la commune dispose de trois groupes scolaires : le groupe Charles Perrault - Marie Curie et le groupe Bellevue, écoles publiques, et le groupe privé Saint-Pierre. Un accueil périscolaire est présent dans chacun des établissements[51].
Sports
On trouve sur la commune plusieurs sites d'équipements sportifs : le complexe des Grands Moulins comprenant un gymnase et une salle de musculation ; le complexe Myriam Charrier comprenant un gymnase, un dojo, une salle tennis de table, deux terrains de tennis extérieurs ; le stade des Varennes comprenant quatre terrains de football ; une salle de tennis comprenant deux terrains de tennis ; auxquels on peut ajouter le terrain de basket et le mini terrain de foot de Bellevue ainsi que le terrain de tennis Pierre Levesque[52].
Plusieurs activités sportives y sont pratiquées : des activités gérées par l'association ASI omnisports (basket, culturisme, badminton, football, judo, tennis, tennis de table, tir à l'arc, volley-ball), l'équitation, la gymnastique, le judo et le ju-jitsu, etc. On y trouve aussi une société dans laquelle on pratique la boule de fort, le billard, la pétanque et le palet[53].
Économie
Tissu économique
Sur 338 établissements présents sur la commune à fin 2010, 5 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 5 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 64 % de celui du commerce et des services et 18 % du secteur de l'administration et de la santé[54]. En 2013, sur 384 établissements, 4 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 4 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 68 % de celui du commerce et des services et 17 % du secteur de l'administration et de la santé[55]
Commerces
La ville accueille l'une des principales zones commerciales de l'agglomération d'Angers, baptisée Rive Sud.
Autour d'un centre commercial abritant un Hyper U (premier hypermarché du groupe Système U quant au chiffre d'affaires et second par la surface de vente) et une dizaine de boutiques, la zone compte dix moyennes surfaces (Feu Vert, La Halle, Chocolats Roland Réauté, Gifi...) ainsi qu'un restaurant Mc Donald's.
Tourisme
- Le camping des Varennes situé dans le parc du même nom est un camping 2 étoiles.
- Le gîte La Garenne
- L'Embarquement : base bucolique, comportant un restaurant, un bar, un salon de thé, et un lieu culturel autonome recevant des concerts, spectacles, expositions, etc[56].
La ville fait partie du Val de Loire inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour son paysage culturel depuis le .
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Centre culturel Jean-Carmet : le centre culturel de Mûrs-Erigné participe à l'action culturelle de l'agglomération d'Angers et propose des spectacles. Un certain nombre de salons et de festivals y sont organisés comme le festival Ça Chauffe, 9e édition en , ou le festival Couleurs Chansons[57].
- La médiathèque de Mûrs-Erigné est située dans le Centre Jean-Carmet.
- La Roche de Mûrs est situé derrière le centre Jean-Carmet.
- Église Saint-Venant de Mûrs, du XIXe siècle[58].
- Église Saint-Pierre d'Érigné, des XVIe, XVIIIe, XIXe et XXe siècles[59].
Personnalités liées à la commune
- Gustave Cordon (1854-1915), docteur en médecine et homme politique, né à Mûrs-Erigné.
- Maurice Brocco (1883-1965), cycliste sur route français décédé à Mûrs-Erigné.
- Cyril Soyer (1978-), judoka français formé au Judo Club de Mûrs-Erigné.
Voir aussi
Bibliographie
- Célestin Port, Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (BNF 34649310, lire en ligne)
- Charles-Louis Chassin, La Vendée Patriote 1793-1795, t. II, Paris, Imprimerie Paul Dupont, , 639 p. (lire en ligne).
- Émile Gabory, Les Guerres de Vendée, Éditions Robert Laffont, coll. « Bouquins », , 1504 p. (ISBN 978-2-221-11309-7).
- Jacques Hussenet (dir.), « Détruisez la Vendée ! » Regards croisés sur les victimes et destructions de la guerre de Vendée, La Roche-sur-Yon, Centre vendéen de recherches historiques, , 634 p.
- Jean-Clément Martin, La Vendée et la mémoire : 1800-2018, Perrin, , 350 p. (ISBN 978-2262081409).
- Jean Julien Michel Savary, Guerres des Vendéens et des Chouans contre la République, t. I, (lire en ligne).
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Le nom officiel dans le code officiel géographique est « Mûrs-Erigné », bien que la capitale d'imprimerie « É » soit utilisée dans le code officiel pour d'autres communes [lire en ligne].
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- IGN, Géoportail Mûrs-Erigné, consulté le 11 mai 2014.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Georges Gard - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Mûrs-Erigné et Sainte-Gemmes-sur-Loire », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Georges Gard - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Mûrs-Erigné et Le Mans », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Angers », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
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- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Cheminements, 2004, page 119.
- Savary, t. I, 1824, p. 419-423.
- Hussenet 2007, p. 538.
- Martin 2019, p. 141.
- Chassin, t. III, 1892, p. 527.
- Gabory 2009, p. 193.
- Étude du Souvenir Français (Benoît Roux, Docteur en histoire contemporaine) réalisée à partir de la base de données gouvernementale Mémoire des Hommes. Soldat tué : Camille Lucien Durand, soldat du Centre d'organisation des dragons portés d'Angers, né le 06/04/1904 à Césarville Dossainville (Loiret)
- Insee, Code officiel géographique, Historique des communes - Maine-et-Loire, consulté le 29 mai 2019.
- « Mûrs-Erigné : Un P.D.G. qui, dans sa mairie n'aura pas envie de jouer au patron ! », Ouest-France, .
- Maire en 1981. A apporté son parrainage à la candidature de Brice Lalonde en vue de l'élection présidentielle de 1981.
- « Mûrs-Erigné : Alphonse Morineau élu maire », Ouest-France, .
- « Mûrs-Érigné : Annie Fayaud élue maire », Ouest-France, .
- « Démission du maire et de dix conseillers : Mûrs-Érigné devra passer aux urnes », Ouest-France, .
- « Second tour des municipales à Mûrs-Erigné : La liste d'opposition l'emporte », Ouest-France, .
- « André Chevet nouveau maire de Mûrs-Érigné », Ouest-France, .
- « Sept adjoints autour du nouveau maire Damien Coiffard », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Mûrs-Erigné. Damien Coiffard a repris l’écharpe de maire », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- Bruno Jeoffroy, « Mûrs-Erigné. À l’unanimité, Jérôme Foyer est élu maire de la commune pour les quatre ans à venir », sur LE Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- « Composition de l'EPCI Angers Loire Métropole (244900015). », sur Insee (consulté le ).
- Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté DRCL no 879 du 13 décembre 2011, RAA spécial du 21 décembre 2011.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Mûrs-Erigné (49223) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
- « Enfance », sur Mairie de Mûrs-Erigné (murs-erigne.fr) (consulté le ).
- « Le sport à Mûrs-Érigné », sur Mairie de Mûrs-Erigné (consulté le ).
- « Sports et loisirs sportifs », sur Mairie de Mûrs-Erigné (consulté le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Mûrs-Erigné (données 2010), consultées le 28 avril 2013.
- « Statistiques locales - Commune de Mûrs-Erigné (49223) », sur Insee, données 2013 (consulté le ).
- Site de L'embarquement, consulté le 13 avril 2014.
- « La programmation culturelle du Centre Culturel Jean Carmet », sur Mairie de Mûrs-Erigné (murs-erigne.fr), saison 2016-2017 (consulté le ).
- « Église paroissiale Saint-Venant », notice no IA49003186, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA49003147, base Mérimée, ministère français de la Culture.