Accueil🇫🇷Chercher

Petit-Auverné

Petit-Auverné est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Petit-Auverné
Petit-Auverné
Blason de Petit-Auverné
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes Châteaubriant-Derval
Maire
Mandat
Jean-Pierre Desfosses
2020-2026
Code postal 44670
Code commune 44121
Démographie
Gentilé Alvernes
Population
municipale
427 hab. (2020 en augmentation de 0,95 % par rapport à 2014)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 36′ 39″ nord, 1° 17′ 21″ ouest
Altitude Min. 37 m
Max. 81 m
Superficie 22,53 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châteaubriant
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châteaubriant
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Petit-Auverné
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Petit-Auverné
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Voir sur la carte topographique de la Loire-Atlantique
Petit-Auverné
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
Petit-Auverné

    Commune issue de la scission de la commune d'Auverné, Petit-Auverné fait partie du Pays de Châteaubriant, dont l'histoire est liée à celle du royaume de Bretagne, qui devient par la suite duché. Village à caractère essentiellement rural, Petit-Auverné a connu un long épisode de déclin démographique commencé à la fin du XIXe siècle et qui semble s'achever au début du XXIe siècle. L'économie de la commune est dominée par l'agriculture.

    Géographie

    Situation

    Situation de la commune de Petit-Auverné dans le département de la Loire-Atlantique.

    Petit-Auverné est situé à 14 km au sud de Châteaubriant, à 48 km au nord-est de Nantes, à 58 km au nord-ouest d'Angers et à 63 km au sud-est de Rennes[1]. Les communes limitrophes sont Erbray, Saint-Julien-de-Vouvantes, Moisdon-la-Rivière, La Chapelle-Glain, Grand-Auverné et Vallons-de-l'Erdre (commune déléguée de Saint-Sulpice-des-Landes).

    Relief

    Le territoire de la commune a un profil légèrement vallonné, marqué par les vallées creusées par le Don et ses ruisseaux affluents[2].

    Hydrographie

    La commune est traversée par le Don, qui coule d'est en ouest. Plusieurs ruisseaux se jettent dans cette rivière : à l'est le ruisseau des Rivières, qui marque la délimitation avec Saint-Julien-de-Vouvantes, près du bourg le petit Don, traversant le bourg le Nilan et son affluent le Brêche, limite avec Grand-Auverné, et au nord-ouest la Mare[2].

    Rivière du Don (Petit-Auverné)
    Le Don au domaine des êtres

    Climat

    Avec sa façade océanique orientée vers l'Ouest et un relief peu accentué, le climat de la Loire-Atlantique est de type tempéré océanique[3]. Les hivers y sont doux (5 °C en moyenne), les étés faiblement chauds (18 °C en moyenne). Les précipitations sont fréquentes (surtout en hiver et au printemps) mais rarement violentes. Les données concernant le climat de Petit-Auverné qui suivent sont extraites d'une source basant le site de relevé des données météorologiques aux coordonnées 47°09'N - 1°37'O[4], ce qui correspond à la position de l'Aéroport Nantes-Atlantique situé sur la commune de Bouguenais, à 54 km de Petit-Auverné.

    Climatologie de Bouguenais sur la période 1961 - 1990 :
    Températures moyennes
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,4 2,8 4 5,9 9 11,9 13,9 13,5 11,8 8,9 5,1 3 7,7
    Température moyenne (°C) 5,4 6,2 8,1 10,4 13,6 16,9 19,1 18,7 16,8 13,1 8,6 6 11,9
    Température maximale moyenne (°C) 8,4 9,6 12,2 14,9 18,2 21,9 24,4 24 21,8 17,3 12 9 16,1
    Ensoleillement (h) 72 99 148 187 211 239 267 239 191 140 91 70 1 956
    Précipitations (mm) 86,6 70,2 69,1 49,9 64,1 45 46,4 44,8 62,2 79,2 86,9 84,1 788,5
    Source : Infoclimat, relevés 1961-1990[4]

    Urbanisme

    Typologie

    Petit-Auverné est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [5] - [6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteaubriant dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8] - [9].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,6 %), prairies (25,9 %), zones agricoles hétérogènes (18,5 %), zones urbanisées (1,9 %), forêts (1,1 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Alverniacum en 1135[12].

    Petit-Auverné pourrait venir du celtique ar vernes (« pays des Aulnes »)[13].

    En 1793, la scission de la commune en deux entités indépendantes portant le nom d'Auverné a entraîné l'ajout des préfixes Grand et Petit pour les distinguer. La commune est donc baptisée Petit Auverné[14], puis en 1801 le Bulletin des Lois la mentionne sous le nom d'Auverné-le-Petit ou Petit-Auverné[15]. La graphie « Le Petit-Auverné » est également utilisée (site de la communauté de communes), mais le code officiel géographique donne Petit-Auverné[16].

    En gallo, la langue d'oïl locale, ont appelle la commune « le petit bourg », en opposition au « grand bourg », c'est-à-dire Grand-Auverné. En écriture ELG, le nom de la commune s'écrit Petit-Auvernaé[17], mais l'écriture MOGA est fidèle au nom le plus courant : Le Ptit Bourr. En gallo, le nom de la commune se prononce [ləptibuʁ][18].

    La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Arwerneg-Vihan[19].

    Histoire

    Le territoire de Petit-Auverné recèle des traces d'occupation dès le Néolithique, puis il est occupé par les Celtes et les Gallo-romains. Au IXe siècle, comme toute la région, la paroisse passe sous domination bretonne.

    Au Moyen Âge, les seigneurs du lieu, les de La Rivière, deviennent au XIIIe siècle des gens très puissants, ont un rôle important dans le duché de Bretagne et combattent aux côtés de Du Guesclin[20]. La résidence des de La Rivière se trouve au sud du Petit-Bourg.

    Le bourg est constitué d'une seule paroisse[20], Saint-Pierre-d'Auverné, jusqu'à ce que Charles de Bourgneuf, évêque de Nantes, ordonne la création de la trêve paroissiale de Saint-Sulpice-d'Auverné, appelée également Saint-Sulpice-Feillette-d'Auverné[21].

    En 1793, durant la Révolution, trois ans après sa création, la commune de Grand-Auverné est scindée en deux, sa partie est devient la commune de Petit-Auverné[20]. La chapelle Saint-Sulpice, succursale de Saint-Pierre d'Auverné, devient église.

    En 1850 une nouvelle église est édifiée. En 1875 sa flèche est endommagée par une tempête, et est remplacée par un clocheton[20].

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, trois des otages fusillées à Châteaubriant sont enterrés au Petit-Auverné[22], dont Guy Môquet. Les corps sont récupérés par les familles après la guerre. Les victimes sont :

    • Jules Auffret : 39 ans, né à Trignac (Loire-Inférieure) conseiller général communiste de la Seine. Son corps a été transféré dans le cimetière parisien du Père Lachaise ;
    • Marc Bourhis : 44 ans, de Trégunc (Finistère), militant communiste. Son corps a été transféré dans le cimetière de Concarneau ;
    • Guy Moquet : 17 ans, de Paris, militant communiste. Son corps a été transféré dans le cimetière parisien du Père Lachaise.

    Jusqu'au XXIe siècle l'agriculture conserve une importance prépondérante dans l'économie de la commune[20].

    Politique et administration

    Petit-Auverné est située dans le canton et l'arrondissement de Châteaubriant, dans le département de la Loire-Atlantique (région Pays de la Loire)[23]. Comme pour toutes les communes françaises comptant entre 500 et 1 500 habitants, le Conseil municipal est constitué de quinze membres en 2011[24].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[25] - [26]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1971 Auguste Bossé
    avant 1981 ? Alexandre Barthélemy
    mars 2001 2020 Michelle Cochet[Note 3] agricultrice
    2020 En cours Jean-Pierre Desfosses

    Intercommunalité

    Petit-Auverné est membre de la communauté de communes du Castelbriantais, qui est constituée de dix-neuf communes regroupées autour de Châteaubriant[27].

    Population et société

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Petit-Auverné est une commune multipolarisée. Elle fait partie de la zone d'emploi et du bassin de vie de Châteaubriant. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[28]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « très peu dense » : 100 % des habitants résidaient dans des zones « très peu denses »[29].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

    En 2020, la commune comptait 427 habitants[Note 4], en augmentation de 0,95 % par rapport à 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    820838808900957892875903948
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9339379409961 0221 0391 0491 009978
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    860861870703687702687632630
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    601560508438414386383392433
    2014 2019 2020 - - - - - -
    423426427------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,0 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 222 hommes pour 205 femmes, soit un taux de 51,99 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,58 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,0
    5,0
    75-89 ans
    8,3
    16,7
    60-74 ans
    16,6
    28,5
    45-59 ans
    20,0
    16,7
    30-44 ans
    17,1
    11,8
    15-29 ans
    16,6
    20,8
    0-14 ans
    20,5
    Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Économie

    Le canton de Saint-Julien-de-Vouvantes, dont fait partie le Petit-Auverné, bénéficie du classement Zone de revitalisation rurale, ce qui permet aux entreprises qui y sont installées de bénéficier d’avantages fiscaux[35].

    En 2011, La Mairie recense 17 établissements actifs : deux entreprises de construction, un commerces et quatorze entreprises de services. La zone à vocation artisanale del’Abbé Thoreau, classée Zone de revitalisation rurale, s’étend sur 0,3 hectare[35].

    L'Insee recensait au 1er janvier 2009 12 établissements actifs : une industrie, deux entreprises de construction, six commerces ou services, et trois entités d'administration publique. Le nombre d'exploitations agricoles a décru entre 1988 et 2000, passant de 51 à 35. La surface cultivée a légèrement décru sur cette période, passant de 1 872 à 1 785 hectares. En ce qui concerne l'élevage, la quantité de bovins a décru entre 1988 et 2000, passant de 2 727 à 2 609, mais la quantité de volaille a doublé, atteignant 49 609 en 2000 contre 23 081 en 1988.

    Équipement et service

    Santé

    Il n'y a pas de médecin ou d'infirmier au Petit-Auverné, les plus proches sont situés à Saint-Julien-de-Vouvantes et Erbray[36]. Un centre hospitalier est installé à Châteaubriant[37]..

    Enseignement

    Le Petit-Auverné dépend de l'académie de Nantes. Il y a une école publique[38] dans la commune, située rue du Stade, et qui est gérée en regroupement pédagogique avec celle de Saint-Julien-de-Vouvantes[35] - [39]. Les collèges et les lycées se situent à Châteaubriant[40] - [41] - [42] - [43] - [44] - [45].

    Vie sociale

    Vie associative

    L’ACAPA, association culturelle et artistique du Petit-Auverné, organise la vie culturelle de la commune. Le Relais accueil proximité[46], association soutenue par la communauté de communes du castelbriantais, agit dans le domaine du service aux personnes (enfants, personnes seules, fragilisées ou isolées)[35].

    Manifestations festives et culturelles

    Les Alvernes peuvent assister à des représentations de théâtre et dîner-théâtre en mars, organisées par l'ACAPA, et à des spectacles western le premierer week-end de septembre, organisés par West Equi Libre[35].

    Patrimoine

    Lieux et monuments

    Manoir de la Renaudière

    Le patrimoine mégalithique de la commune a pratiquement été complètement détruit à la fin du XIXe siècle (dolmen de Couronne-Blanche, menhir de la Sauzaie, menhir dit Pierre-Sonnante). N'en demeure visible aujourd'hui que le menhir de Chapeneille et deux menhirs de l'ensemble du Moulin de Violette.

    La croix des Aulnes, faite en schiste, se situe sur la route de Saint-Sulpice. Elle porte la date de 1597 et un nom y figure : Guérinais[20].

    Le manoir de La Renaudière, propriété des Louvigné puis des Trébuchet, devient presbytère en 1831.

    Le manoir de La Heurtebise, acheté par Étienne Guinement de Keralio, procureur au parlement de Bretagne à Rennes et oncle des frères Keralio, vers 1720 puis propriété de la famille Le Maignan en 1751 avec le mariage de Joseph Le Maignan et Rose Guinement de Keralio.

    Le manoir de La Salmonaie, fut un refuge de Chouans vers 1794.

    Le manoir de La Rivière, construit au XVIIe siècle à l'emplacement où la famille de La Rivière de l'ancienne avait sa résidence, dont il ne subsiste qu'un mur et un conduit de cheminée. Certains membres de la famille de La Rivière ont été compagnons des ducs de Bretagne, ou de Du Guesclin[20].

    L'église paroissiale Saint-Sulpice, construite de 1845 à 1850 pour remplacer l'ancienne chapelle. En 1875, lors d'une tempête, la flèche est sérieusement endommagée et remplacée par un clocheton[20]. Cette église est aujourd'hui dans un état de grande dégradation qui nécessite de gros travaux, ce pour quoi la commune n'a pas les moyens. Les habitants excluent toutefois toute idée de détruire l'édifice[47].

    La forge située rue du Stade date du XIXe siècle. C'est une forge de maréchalerie. Elle fonctionne jusque dans les années 1970. Elle dispose toujours d'un bac à charbon et d'un bac à eau en état de fonctionnement[48], ainsi que d'un outillage (enclume, pinces, marteau et étampe)[22].

    Lieu dit La Pile, situé au nord ouest du bourg. Ancien moulin et four à pain dont il reste une tour en brique et le bâtiment des fours, les vestiges du moulin sont représentés par les murs et des pales présentes au fond du don qui y est gérés par 2 écluses manuelles et fonctionnelles. La rivière traverse le site de 7 hectares dominé par un manoir orné de pierre de tuf. Le site accueil aujourd'hui la compagnie théâtrale Adzel.cie qui organise ponctuellement des événements culturels théâtraux et musicaux.

    Héraldique

    Armes de Petit-Auverné

    De gueules au chevron d'hermine.

    L'hermine évoque le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne. Ce blason, inspiré de celui de la seigneurie de la Rivière, a été conçu par Georges Brisson sur demande de l'abbé Deniau (délibération municipale du )[49].

    Devise

    La devise de Petit-Auverné : Aunus Super Rivos Vernat[50].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article..

    • Jean-Luc Flohic (dir.), Raymond Pucel, Renée Pucel et Marcel Lepeintre, Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique, vol. 2, Charenton-le-pont, Flohic éditions, , 1383 p. (ISBN 2-84234-040-X), p. 1112-1114. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
    • Collectif, Canton de Saint-Julien-de-Vouvantes : souvenirs du passé, Saint-Julien de Vouvantes, Fédération cantonale des associations de retraités, , 127 p. (BNF 34775265). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Réélue en 2008.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Petit-Auverné », sur Localisation interactive, orthodromie et navigation (consulté le ).
    2. « Carte IGN de Petit-Auverné » sur Géoportail..
    3. « Carte France - Climat », sur site CartesFrance.fr (consulté le ).
    4. « Normale et records - Nantes, Loire-Atlantique (44), 26 m - 1961-1990 », sur site infoclimat, (consulté le ).
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    13. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Petit-Auverné ».
    14. « Registres d'état-civil 1793 du Petit Auverné », sur archinoë.fr (consulté le ).
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. « Code officiel géographique - Petit-Auverné », sur insee.fr (consulté le ).
    17. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    18. « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le ).
    19. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    20. Flohic, Pucel et Lepeintre 1999, p. 1112.
    21. Canton de Saint-Julien-de-Vouvantes, souvenirs du passé, 1984, p. 113.
    22. Flohic, Pucel et Lepeintre 1999, p. 1114.
    23. « Fiche de la commune de Petit-Auverné », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    24. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    25. Canton de Saint-Julien-de-Vouvantes, souvenirs du passé, 1984, p. 115.
    26. « Les maires de Petit-Auverné », sur MairesGenWeb (consulté le ).
    27. « Le Petit-Auverné », sur Communauté de communes du Castelbriantais (consulté le ).
    28. « Commune de Petit-Auverné (44121) », Insee (consulté le ).
    29. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Petit-Auverné (44121) », (consulté le ).
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
    35. « Petit-Auverné », sur communauté de communes du Castelbriantais (consulté le ).
    36. « Recherche », sur Les pages jaunes (consulté le ).
    37. « Liste des hôpitaux et cliniques de la Loire-Atlantique », sur Annuaire sanitaire et social (consulté le ).
    38. « École », sur [http://www.petit-auverne.fr mairie de Petit-Auverné (consulté le )]
    39. « Les écoles de l'académie » [archive du ], sur Académie de Nantes (consulté le ).
    40. « Les collèges publics de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    41. « Les collèges privés de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    42. « Les lycées publics de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    43. « Les lycées privés de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    44. « Les lycées publics professionnels publics de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    45. « Les lycées professionnels privés de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    46. « Le RAP-Accueil », sur Relais accueil proximité (consulté le ).
    47. « État d'urgence pou l'église du Petit-Auverné », sur Breizh journal (consulté le ).
    48. Flohic, Pucel et Lepeintre 1999, p. 1113.
    49. « Histoire et patrimoine », sur mairie de Petit-Auverné (consulté le ).
    50. Canton de Saint-Julien-de-Vouvantes, souvenirs du passé, 1984, p. 112.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.