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Trignac

Trignac est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. La commune est créée en 1914 à partir d'un démembrement partiel de Montoir-de-Bretagne.

Trignac
Trignac
Poste et mairie de Trignac
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Saint-Nazaire
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Région Nazairienne et de l'Estuaire
Maire
Mandat
M. Claude Aufort
2020-2026
Code postal 44570
Code commune 44210
Démographie
Gentilé Trignacais
Population
municipale
8 101 hab. (2020 en augmentation de 8,86 % par rapport à 2014)
Densité 563 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 19′ 08″ nord, 2° 11′ 16″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 10 m
Superficie 14,38 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Nazaire
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Nazaire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Nazaire-2
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Trignac
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Trignac
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Trignac
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Trignac
Liens
Site web http://www.mairie-trignac.fr/

    Géographie

    Localisation de Trignac dans le département de la Loire-Atlantique.
    Situation

    Trignac est située entre l'estuaire de la Loire et les marais de la Brière, au nord-est de Saint-Nazaire.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 739 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne, mise en service en 1957[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,3 °C pour 1981-2010[10], puis à 12,6 °C pour 1991-2020[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Trignac est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [12] - [13] - [14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Nazaire, une agglomération intra-départementale regroupant 17 communes[15] et 184 837 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Nazaire dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (53 %), zones urbanisées (22,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (14,7 %), zones humides intérieures (10,2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Lieux-dits et villages

    La commune comprend plusieurs lieux-dits dont les principaux sont Aucard, Bert, Certé, Trembly et Savine.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Tiliniacum au xie siècle et Tyrriniacum au xiie siècle[22].

    La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Trinieg[22].

    Histoire

    Au sein de la commune de Montoir, Trignac s'est comporté longtemps comme un petit bourg à part. A la fin du xixe siècle Trignac possède déjà son école et son facteur. Ce qui montre déjà un début d'autonomie. Au conseil municipal un certain nombre de conseillers habitants Trignac défendent ses intérêts. Un bureau de vote y est créé en 1894. Le le dossier de séparation est remis par le percepteur à la sous préfecture. Au départ un petit hameau d'à peine plus de 300 habitants la commune se développe à partir de la fin du XIXe siècle autour des Forges de Saint-Nazaire fondées par la « Société des Mines de Fer de l’Anjou Â» en 1879. La commune de Trignac fut créée le [23].

    À la fin de la Seconde Guerre mondiale, à cause de l'existence de la Poche de Saint-Nazaire, l'occupation allemande se prolongea à Trignac comme sur l'ensemble des localités voisines de l'estuaire durant 9 mois de plus (d'août 1944 au ), la reddition effective de la poche intervenant 3 jours après la capitulation de l'Allemagne.

    Politique et administration

    Selon le découpage de la Bretagne fait par Erwan Vallerie, Trignac fait partie du pays traditionnel de la Brière et du pays historique du Pays Nantais.

    Administrativement, Trignac fait partie de la Communauté d'agglomération de la Région Nazairienne et de l'Estuaire (CARENE).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    octobre 1947 mars 1965 André Hazo SFIO Ajusteur
    mars 1965 mars 1971 Pierre Glotin SFIO
    mars 1971 mars 1977 Augustine Bihan app. PCF
    mars 1977 mars 2008 Jean-Louis Le Corre PCF Ajusteur ; secrétaire du syndicat CGT Sud-Aviation Saint-Nazaire (1964-1971)
    conseiller général du canton de Montoir-de-Bretagne (1973-1982 et 1994-2008)
    mars 2008 mars 2014 Sabine Mahé PCF employée
    mars 2014 mai 2017 David Pelon DVD responsable fonction publique
    28 mai 2017 En cours Claude Aufort[24] PS Directeur général de Enfance et Famille 2000-2013[25]

    Héraldique, logotype et devise

    Sur le logo de Trignac sont représentés ses anciennes forges, deux roseaux de Brière croisés et un canard colvert.

    Population et société

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee en 2010, Trignac est une commune urbaine, une des 11 communes de l'unité urbaine de Saint-Nazaire, qui s'étend de Donges au Croisic[26] ; elle fait donc partie de l'aire urbaine de Saint-Nazaire[27] et de l'espace urbain de Nantes-Saint-Nazaire[28].

    Évolution démographique

    La commune est créée en 1914 à partir d'un démembrement partiel de Montoir-de-Bretagne et compte en 2018 plus de 8 000 habitants.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1921. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

    En 2020, la commune comptait 8 101 habitants[Note 6], en augmentation de 8,86 % par rapport à 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    5 6795 9375 6715 3363 9476 2236 9177 0767 253
    1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2020
    7 1807 0206 9527 0927 2307 1927 4427 9838 101
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,6 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 3 895 hommes pour 4 031 femmes, soit un taux de 50,86 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    1,6
    5,8
    75-89 ans
    9,2
    16,3
    60-74 ans
    17,9
    21,0
    45-59 ans
    19,0
    19,1
    30-44 ans
    18,0
    18,0
    15-29 ans
    16,2
    19,4
    0-14 ans
    18,2
    Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Sports

    La ville est connue pour son club de Rugby, le Rugby Club de Trignac (br) (RCT)[35], fondé en 1912. Celui-ci fut, d'ailleurs la première école de Rugby de France[36].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Les Forges de Trignac, fondées au XIXe siècle, ont laissé quelques vestiges visibles. Le reste du site est réaménagé en zone industrielle[37].

    • Vestiges des Forges
      Vestiges des Forges
    • Mémorial des aviateurs anglais et canadiens abattus à Trignac le 28 mars 1943
      Mémorial des aviateurs anglais et canadiens abattus à Trignac le 28 mars 1943
    • Menhir de la Pierre Blanche
      Menhir de la Pierre Blanche
    • Église Saint-Éloi de Trignac
      Église Saint-Éloi de Trignac

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Saint-Nazaire-Montoir - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Trignac et Montoir-de-Bretagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Unité urbaine 2020 de Saint-Nazaire », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    16. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    23. Histoire de Trignac sur le site officiel de la commune. « Copie archivée » (version du 25 mars 2013 sur Internet Archive).
    24. « Trignac. Claude Aufort élu maire par le conseil municipal », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    25. « Création en 1928... », sur Enfance & Famille (consulté le ).
    26. « Unité urbaine 2010 de Saint-Nazaire (44601) », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
    27. « Zonage en aires urbaines 2010 de Saint-Nazaire (046) », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
    28. « Carte thématique » [archive du ], sur statistiques-locales.insee.fr, Insee (consulté le ) ; cheminement : sur la petite carte de France, onglet Départements, puis choisir le département, puis menu déroulant Couches d'aide à la sélection.
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Trignac (44210) », (consulté le ).
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
    35. Rugby Club de Trignac
    36. Christophe Turgis, « Trignac : la centenaire rouge s'offre un maire UMP », sur france3.fr, France 3 Pays de la Loire, (consulté le ).
    37. travail pédagogique sur le site de l'académie de Nantes
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