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Parcé

ParcĂ© est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine en rĂ©gion Bretagne, peuplĂ©e de 650 habitants[Note 1].

Parcé
Parcé
Panneau routier bilingue gallo-français à l'entrée de Parcé
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Ille-et-Vilaine
Arrondissement FougÚres-Vitré
Intercommunalité FougÚres Agglomération
Maire
Mandat
Laurent Legendre
2020-2026
Code postal 35210
Code commune 35214
DĂ©mographie
Population
municipale
650 hab. (2020 en augmentation de 0,31 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 39 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 16â€Č 23″ nord, 1° 12â€Č 01″ ouest
Altitude Min. 73 m
Max. 166 m
Superficie 16,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction FougĂšres
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de FougĂšres-1
LĂ©gislatives SixiĂšme circonscription
Localisation
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Parcé
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Parcé
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Parcé
Liens
Site web www.parce.fr

    GĂ©ographie

    Couvrant une superficie de 1 688 hectares, la commune est situĂ©e dans l'arrondissement de FougĂšres-VitrĂ© et dans le canton de FougĂšres-Sud.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 859 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Fougeres », sur la commune de FougĂšres, mise en service en 1966[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 923,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et Ă  45 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  12,1 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Parcé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de FougĂšres, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (98,1 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (98,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (49,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (34,4 %), prairies (14,5 %), zones urbanisĂ©es (1,7 %), forĂȘts (0,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Attestations anciennes[21] - [22] :

    de Parraceio (1254)

    Parciacum, Paeceyum (1513)

    Paracé (1579)

    Étymologie:

    Il s'agit d'un nom de domaine gallo-romain dérivé de l'anthroponyme latin Pa(t)rius[23].

    Le nom de la commune est Parczae en gallo.

    Histoire

    Révolution française

    Le , des Chouans commirent des vols Ă  BalazĂ© : le curĂ© constitutionnel de ParcĂ©, de la HubaudiĂšre, Ă©crit le aux administrateurs du district : « les cultivateurs des environs sont dans un Ă©tat d'inquiĂ©tude et d'alarme qui me paraĂźt assez fondĂ© (...). Vendredi dernier le bruit se rĂ©pandit que le tocsin avait sonnĂ© Ă  BalazĂ©, que les brigands s'Ă©taient jetĂ©s sur cette paroisse, qu'une partie des habitants de ChĂątillon allaient au secours de BalazĂ©, que les autres s'enfuyaient. Le premier officier de cette paroisse, faisant fonction de maire, s'empressa de me prĂ©venir pour que j'eusse Ă  me cacher ; un autre citoyen des confins de cette paroisse du cĂŽtĂ© de Dompierre m'envoya donner le mĂȘme avis. Je me bornai Ă  dĂ©placer quelques effets et Ă  quiiter ma maison Ă  dix heures du soir pour coucher ailleurs ; je rentrai chez moi vers sept heures et depuis j'y suis restĂ© sans interrompre les fonctions de mon ministĂšre »[24]. Le maire de ParcĂ© et ses deux parents furent tuĂ©s par une bande de chouans en reprĂ©sailles car celui-ci avait averti la garnison de FougĂšres de leur prĂ©sence[25].

    Le , des administrateurs du district de FougĂšres Ă©crivent : « Les cultivateurs sont dans un Ă©tat d'inquiĂ©tude et d'alarme. Les brigands sont Ă  BalazĂ©, 15 brigands de la Petite VendĂ©e Ă  la tĂȘte desquels sont les Chouans frĂšres. Il semble que ces hommes sont les mĂȘmes que ceux qui firent une incursion Ă  la mi-aoĂ»t dernier sur Montautour, ChĂątillon, ParcĂ© »[26].

    Parcé fait partie des communes déclarées totalement insurgées en 1793-1794[27]. La commune est acquise aux Chouans pendant la Révolution, malgré une minorité républicaine. Lors de l'insurrection de , trois patriotes de Parcé, dont le maire de la commune, sont fusillés le par des insurgés à Dompierre-du-Chemin[28]. Une compagnie chouanne est formée, commandée par le capitaine Joseph Bucheron. Quelques affrontements se déroulent sur son territoire comme le Combat de la Vilorais le [29].

    La population de la commune fut en partie favorable aux changements apportĂ©s par la RĂ©volution française, surtout aprĂšs la fin de la Terreur. La principale fĂȘte rĂ©volutionnaire est celle cĂ©lĂ©brant l’anniversaire de l’exĂ©cution de Louis XVI, accompagnĂ©e d’un serment de haine Ă  la royautĂ© et Ă  l’anarchie, fĂȘtĂ©e Ă  partir de 1795[30].

    L'insurrection légitimiste de 1832

    En , environ 800 chouans prirent les armes dans la région de Vitré, particuliÚrement aux environs de Parcé, Chùtillon et Izé. Plusieurs détachements de la garde nationale de Vitré, du 56e de ligne et du 16e léger les affrontÚrent. Le combat de Toucheneau, en date du , aurait fait 80 victimes parmi les Chouans et trois parmi la troupe selon la version officielle[31].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 1983 avril 2014 Lézin Gallais[32] DVG Agriculteur retraité, syndicaliste agricole
    avril 2014 En cours Laurent Legendre[33] SE Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[35].

    En 2020, la commune comptait 650 habitants[Note 8], en augmentation de 0,31 % par rapport Ă  2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9079649391 0621 0521 002965933974
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9671 005930889913932904941896
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    821868885764773761790750768
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    694622568546562602636646645
    2018 2020 - - - - - - -
    650650-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee Ă  partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L’église Saint-Pierre.

    Monuments et vestiges sur la commune

    La commune n'abrite pas de monument historique. Parmi les éléments marquants de son patrimoine, on peut noter :

    • Église Saint-Pierre du XVIe siĂšcle ; le transept et la sacristie ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s entre 1845 et 1849, le clocher a Ă©tĂ© Ă©difiĂ© entre 1878 et 1887 et la flĂšche du clocher fut posĂ©e en 1886[38].
    • Grotte religieuse.
    • Croix en pierre Ă  l'entrĂ©e du bourg (en direction de FougĂšres et LuitrĂ©).
    • Forge situĂ©e dans le centre-bourg Ă  cĂŽtĂ© de l'Ă©tang (visitable).

    Lieux de promenade ou de divertissement

    • Les Landes de Jaunousse : site naturel dĂ©partemental[39].
    • Circuit dĂ©couverte de la commune et de son passĂ© (chemin de 10 km).
    • L'Ă©tang : terrain Ă  boules, jeux, pĂȘche.
    • Terrain de football.
    • Terrain de bi-cross.

    Activité et manifestations

    Jumelages

    Culture

    • Prix Froger-Ferron : festival de musiques et danses traditionnelles, concours d'accordĂ©on et concerts, tous les ans en septembre depuis 1984, sur le site des Landes de Jaunousse.
    • FĂȘte du blĂ© noir.
    • La Granjagoul[40] : maison du patrimoine oral en Haute-Bretagne, centre de ressources et d'animations autour de la culture gallĂšse rĂ©alisĂ©e par FougĂšres communautĂ©[41]. InaugurĂ©e officiellement le .

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Fougeres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Parcé et FougÚres », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Fougeres - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Parcé et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Bossard (Abbé), Dictionnaire topographique du département d'Ille-et-Vilaine, AD35 (manuscrit).
    22. « Kerofis », sur Office public de la langue bretonne.
    23. Dauzat-Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Guénégaud (1963) ; NÚgre, Toponymie générale de la France, Droz (1990), no 8315.
    24. Théodore Lemas, "Un district breton pendant les guerres de l'Ouest et de la chouannerie : 1793-1800", 1895, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k61053305/f95.image.r=Balaz%C3%A9?rk=2489282;4 et https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k61053305/f62.image.r=Balaz%C3%A9
    25. Roger Dupuis, "De la RĂ©volution Ă  la Chouannerie", Nouvelle bibliothĂšque scientifique, Flammarion, 1988,[ (ISBN 2-08-211173-3)]
    26. Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, cité par Roger Dupuis, "De la Révolution à la Chouannerie", Nouvelle bibliothÚque scientifique, Flammarion, 1988,[ (ISBN 2-08-211173-3)]
    27. Jean-Baptiste Kléber et Henri Baguenier-Desormeaux, "Kléber en Vendée (1793-1794) / documents publiés, pour la Société d'histoire contemporaine", 1907, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k111939x/f461.image.r=Saint-Aubin-des-Landes
    28. Théodore Lemas, Le district de FougÚres pendant les Guerres de l'Ouest et de la Chouannerie', p. 32-37.
    29. Marcel Hodebert, Billé, Javené, Parcé dans la tourmente révolutionnaire, 1989.
    30. Louis Dubreuil, « FĂȘtes rĂ©volutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 398-399.
    31. Roger Dupuy, De la RĂ©volution Ă  la chouannerie paysans en Bretagne 1788-1794, Paris, Flammarion, , 363 p. (ISBN 2-08-211173-3 et 978-2-082-11173-7).
    32. Portail internet des services de l'État
    33. « Parcé : Laurent Legendre élu maire », La Chronique Républicaine, 4 avril 2014.
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. « Église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00006884, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
    39. Fiche de présentation sur le site du conseil général
    40. Site de la Granjagoul
    41. Nous Vous Ille, juillet-septembre 2008

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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