Châtillon-en-Vendelais
Châtillon-en-Vendelais, est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 1 664 habitants[Note 1] (les Châtillonnais).
Châtillon-en-Vendelais | |||||
Le tympan de l'église Saint-Georges. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Fougères-Vitré | ||||
Intercommunalité | Vitré Communauté | ||||
Maire Mandat |
Jean-Luc Duvel 2020-2026 |
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Code postal | 35210 | ||||
Code commune | 35072 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Châtillonnais | ||||
Population municipale |
1 664 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 52 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 13′ 33″ nord, 1° 10′ 39″ ouest | ||||
Altitude | Min. 87 m Max. 194 m |
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Superficie | 32,03 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Vitré (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Vitré | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
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Liens | |||||
Site web | www.chatillon-en-vendelais.fr | ||||
Géographie
Communes limitrophes
Montreuil-des-Landes | Parcé | Dompierre-du-Chemin | ||
Saint-Christophe-des-Bois | N | Princé | ||
O Châtillon-en-Vendelais E | ||||
S | ||||
Taillis | Balazé | Montautour |
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fougeres », sur la commune de Fougères, mise en service en 1966[7] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[8] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 923,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 44 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Châtillon-en-Vendelais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vitré, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,9 %), prairies (30,6 %), terres arables (30,2 %), eaux continentales[Note 8] (2,5 %), zones urbanisées (2,1 %), forêts (0,7 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Histoire
Le prieuré de Saint-Florent
Au milieu du XIe siècle, des chevaliers firent don de leurs biens à un certain Albaud prêtre devenu moine de l'abbaye Saint-Florent de Saumur. Ce dernier y fonda un prieuré avec les biens qu'il possédait complétés par d'autres biens donnés par les chevaliers cités précédemment[23]. Il semble que ce prieuré ait été supprimé par la suite et avant la Révolution mais l'abbé a conservé la présentation à la cure de la paroisse.
Moyen Âge
Un château fortifié y fut construit en 1040 et pris le nom de Plessis-Innoguen. Il fut donné au deuxième seigneur de Vitré, Tristan qui épousa Innoguen, la sœur de Main, seigneur de Fougères.
En 1270, la seigneurie de Châtillon appartenait à Guy VIII de Laval, sire de Laval, Vitré et Châtillon. En 1430, Michel de Malnoë était capitaine du château de Châtillon. Ce château supporta plusieurs sièges : en 1488, Louis II de la Trémoïlle y passa avec son armée.
En 1500, de nombreux manoirs existaient dans la paroisse : Bois-Morin, Daudrie et l'Ecoublère appartenaient au comte de Laval ; Bredotière, à Anne Houdry ; la Mazure, à Guillaume de Gesnes ; Haute et Basse Rouxière, à André Hardy ; Blairons, à Michel Le Bouteiller ; le Bois-Teuilleul[24].
Époque moderne
En 1591, pendant les Guerres de la Ligue, « Champeaux, Châtillon, Izé, Étrelles, La Guerche, Domagné, Châteaugiron furent dévastés par les marches et collision [combats] des deux partis »[25] et le château fut pris par les troupes du duc de Mercœur.
Thomas II de Guémadeuc, gouverneur de Fougères, fut craint pour son despotisme : il fit par exemple assassiner à Châtillon-en-Vendelais un jeune homme qui avait protesté contre le refus du gouverneur de donner une sépulture chrétienne à sa mère qui était protestante et dont le corps avait été jeté dans l'étang de Châtillon-en-Vendelais[26].
En 1593, les États de Bretagne refusèrent de participer à l'entretien de la garnison et demandèrent la démolition de cette forteresse. Richelieu leur donna satisfaction et la fit abattre en 1623. Les États de Bretagne accordèrent le 30 000 livres à M. le duc de la Trémouille [Trémoille] pour le dédommager de la démolition de son château[27].
L'emplacement du château fut affecté par les barons de Vitré aux chevaliers seigneurs de Clayes.
Une épidémie de dysenterie fit des ravages en 1756 : « les paroisses les plus affligées sont celles de Balazé, Châtillon-en-Vendelais, Étrelles, Erbrée, Teillé [en fait Taillis), Saint-Christophe-des-Bois, Saint-Jean-sur-Vilaine et les environs de Saint-Martin de Vitré. Il y a, à ce qu'on m'a assuré, dans ces paroisses, quatre, cinq ou six enterrements par jour et, ce qu'il y a de plus touchant dans une pareille désolation, c'est que la plupart des gens de campagne s'abandonnent, et qu'en quelques endroits on n'a pas pu faire la récolte de blé noir faute de monde » écrit le subdélégué Charil[28].
En 1778, Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Châtillon-en-Vendelais :
« Châtillon-en-Vendelais, à huit lieues et demie à l'Est-Nord-Est de Rennes, son évêché et son ressort ; à deux lieues un quart de Vitré, sa subdélégation. M. Philippe, duc de la Trimouille en est le seigneur ; on y compte 1280 communiants[29]. La Cure est présentée par l'abbé de Saint-Florent. Châtillon est une châtellenie de la baronnie de Vitré, située au bord d'un étang de son nom, qui peut avoir une lieue un quart de circonférence ; il y a neuf moulins à eau sur cet étang, qui se déverse dans la petite rivière de Cantache, et se jette à son tour dans la Vilaine. On dit dans le pays, qu'autrefois, dans les temps de sécheresse, les meuniers payaient, de concert au seigneur de Châtillon, une somme considérable, pour chaque pied d'eau qui sortait de cet étang pour faire tourner leurs moulins. On voit dans cette paroisse quelques terrains en labour assez bien cultivés et peuplés de hameaux, des prairies, beaucoup d'arbres à fruits, des coteaux, des vallons, des monticules et rois autres étangs, et des landes en quantité situées autour de l'étang de Châtillon. Ces landes renferment la majeure partie du territoire. (...) Il y a dans cette paroisse les moyennes et basses justices de Blemous et des Rouffières, à M.de La Rouffière-du-Châtelet ; et la moyenne et basse justice des Hurlières, à M. Gouyon-des-Hurlières[30] - [24] »
Révolution française
Le , des administrateurs du district de Fougères écrivent : « Les cultivateurs sont dans un état d'inquiétude et d'alarme. Les brigands sont à Balazé, 15 brigands de la Petite Vendée à la tête desquels sont les Chouans frères. Il semble que ces hommes sont les mêmes que ceux qui firent une incursion à la mi-août dernier sur Montautour, Châtillon, Parcé »[31].
Dans la seconde quinzaine de novembre 1793, des rassemblements suspects sont signalés à Argentré, Balazé, Champeaux, Châtillon, Cornillé, Étrelles, Montautour, Le Pertre, Taillis et Vergeal. Dans un rapport daté du , les autorités d'Ernée écrivent que des paysans d'Argentré, Le Pertre, Mondevert, Erbrée, La Chapelle-Erbrée, Bréal, Saint-M'Hervé, Montautour et Balazé avaient « porté leurs grain aux insurgés pendant leur séjour à Laval »[31].
Châtillon-en-Vendelais fait partie des communes déclarées totalement insurgées en 1793-1794[32].
L'insurrection légitimiste de 1832
En mai 1832, environ 800 chouans prirent les armes dans la région de Vitré, particulièrement aux environs de Parcé, Châtillon et Izé. Plusieurs détachements de la garde nationale de Vitré, du 56e de ligne et du 16e léger les affrontèrent. Le combat de Toucheneau, en date du , aurait fait 80 victimes parmi les Chouans et trois parmi la troupe selon la version officielle[33].
Châtillon-en-Vendelais vers le milieu du XIXe siècle
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Châtillon-en-Vendelais en 1843 :
« Châtillon-en-Vandelais (sous l'invocation de saint Georges), commune formée par l'ancienne paroisse du même nom, aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : Blairon, les Boderies, les Mazures, les Frenay, les Soudraies, Landemoux, la Massonnais, la Daudrerie, la Malinguère, la Galonnière, le Bois-Morin, Bois-Tilleul, la Loirie, Bonant. Superficie totale : 3204 hectares, dont (...) terres labourables 1513 ha, prés et pâtures 383 ha, bois 111 ha, vergers et jardins 30 ha, landes et incultes 902 ha, étang 131 ha (...). Moulins : 4 (on voit qu'il n'y en a plus neuf, comme le dit Ogée). (...) Il y a foire le mardi qui suit la fête de la Saint-Georges; les derniers mardi de mai, de juillet, de septembre ; le lendemain quand un de ces jours est férié. On parle le français [en fait le gallo][27]. »
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Châtillon-en-Vendelais porte les noms de 71 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[34]. La plaque commémorative située dans l'église, légèrement différente, porte 66 noms de soldats morts pour la France pendant ce même conflit[35].
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Châtillon-en-Vendelais porte les noms de 7 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[34]. Parmi elles Pierre Lemaître[36], décédé le à Heilbronn (Allemagne)[37].
L'après guerre
La vie reprendra à Châtillon en Vendelais tout comme sa reconstruction.
Héraldique
Blasonnement :
De gueules à un château de trois tours d’or. |
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40].
En 2020, la commune comptait 1 664 habitants[Note 9], en diminution de 2,75 % par rapport à 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Transports
La commune est desservie par la ligne de bus n°13 Vitré à Fougères sur le réseau régional BreizhGo. Comme les autres communes, Balazé et Châtillon-en-Vendelais appartenant à Vitré Communauté bénéficient de la gratuité de transport sur cette même ligne mais payant pour un arrêt à Dompierre-du-Chemin et Fougères.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'étang de Châtillon-en-Vendelais d'une superficie de 110 hectares est un espace naturel sensible du conseil général d'Ille-et-Vilaine[43]. Cet étang abrite une forte communauté d'oiseaux migrateurs et de canards sauvages, car il se situe sur un axe migratoire. Il a été vidangé en 2008, pour atténuer la prolifération de cyanobactéries[44].
- L'église Saint-Georges, de style néo-gothique, œuvre de l'architecte Arthur Regnault[45]. Elle a été construite à la fin du XIXe siècle autour d'un maître-autel du XVIIe siècle, classé au titre d'objet le 10 mars 1994[46].
- Le château des Hurlières : une partie, de style gothique, date du XVe siècle ; le grand logis date du XVIIIe siècle, le pavillon nord du XIXe siècle ; il possède un grand parc ainsi qu'un jardin d'hiver[47].
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Fougeres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Châtillon-en-Vendelais et Fougères », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Fougeres - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Châtillon-en-Vendelais et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Bossard (Abbé), Dictionnaire topographique du département d'Ille-et-Vilaine, AD35 (manuscrit).
- « Kerofis », sur Office public de la langue bretonne.
- Guillotin de Corson Amédée, Pouillé historique de l'archevêché de Rennes, 1880, p. 471-473.
- Jean Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne ..., Molliex, (lire en ligne).
- Édouard (1840-1921) Frain, Une terre, ses possesseurs catholiques et protestants, de 1200 à 1600 : pour faire suite aux «Familles de Vitré» : É. Frain, (lire en ligne).
- Joseph Chardonnet, "Rennes et la Haute-Bretagne', éditions France-Empire, 1980
- Jean Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, Mollies, (lire en ligne).
- Université de Rennes Faculté des lettres et sciences humaines, « Annales de Bretagne », sur Gallica, (consulté le ).
- Personnes en âge de communier
- En 1735, Armand-François de Goyon était seigneur des Hurlières ; son fils Louis-François de Goyon, né en 1750 à Nantes, avocat général à la Chambre des Comptes à Rennes, était aussi seigneur du Bois-Cornillé en Izé. Il émigra à Jersey pendant la Révolution française et décéda le au château du Bois-Cornillé, voir Théodore Courtaux, "Histoire généalogique de la maison de Lantivy", 1899, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55649006/f199.image.r=Cornill%C3%A9
- Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, cité par Roger Dupuy, De la Révolution à la chouannerie paysans en Bretagne 1788-1794, Paris, Flammarion, coll. « Nouvelle bibliothèque scientifique. », , 363 p. (ISBN 978-2-08-211173-7, OCLC 708297244).
- Jean-Baptiste Kléber, Kléber en Vendée (1793-1794) : documents publiés, pour la Société d'histoire contemporaine, par H. Baguenier-Desormeaux, (lire en ligne).
- Roger Dupuy, De la Révolution à la chouannerie paysans en Bretagne 1788-1794, Paris, Flammarion, coll. « Nouvelle bibliothèque scientifique. », , 363 p. (ISBN 978-2-08-211173-7, OCLC 708297244).
- (en) « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
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- Pierre Lemaître, né le à Châtillon-en-Vendelais
- http://www.lesmortsdanslescamps.com/general_fichiers/l.xml
- « Châtillon-en-Vendelais. Jean-Luc Duvel a été élu maire », Ouest-France, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- L'étang de Châtillon-en-Vendelais sur le site officiel du conseil général d'Ille-et-Vilaine.
- Marée basse pour l'étang de Châtillon-en-Vendelais sur le site rennes.maville.com (Ouest-France Multimédia).
- Église paroissiale Saint-Georges, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
- Notice no PM35000137, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Château des Hurlières (Châtillon-en-Vendelais) », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le )
Voir aussi
Article lié
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier complet de Châtillon-en-Vendelais sur le site de l'Insee