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Bréal-sous-Vitré

Bréal-sous-Vitré est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 626 habitants[Note 1].

Bréal-sous-Vitré
Bréal-sous-Vitré
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères-Vitré
Intercommunalité Vitré Communauté
Maire
Mandat
Pascale Cartron
2020-2026
Code postal 35370
Code commune 35038
Démographie
Gentilé Bréalais
Population
municipale
626 hab. (2020 en diminution de 5,01 % par rapport à 2014)
Densité 109 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 06′ 11″ nord, 1° 03′ 40″ ouest
Altitude Min. 110 m
Max. 181 m
Superficie 5,75 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Vitré
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vitré
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Bréal-sous-Vitré
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Bréal-sous-Vitré
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Bréal-sous-Vitré
Liens
Site web brealsousvitre.fr

    Géographie

    Carte de la commune de Bréal-sous-Vitré

    Bréal-sous-Vitré est une commune située à l'extrême-est du département d'Ille-et-Vilaine, limitrophe de celui de la Mayenne (elle est toute proche de la grande carrière de Saint-Pierre-la-Cour qui appartient au groupe Lafarge) et à la lisière nord de la forêt du Pertre. À l'ouest, le ruisseau du Moulin du Bois (dénommé "ruisseau de Geslin" dans sa partie aval), affluent de rive gauche de la Valière, sert de limite communale avec Mondevert. La commune est située à l'est de Vitré.

    La commune présente un paysage rural traditionnel de bocage avec habitat dispersé en hameaux et fermes isolées

    La partie sud de la commune est traversée par l'ancienne route nationale 157 (déclassée désormais en RD 857) et désormais, plus au sud encore, par la voie express RN 157, qui prolonge en direction de Rennes l'autoroute A81 ; le péage de La Gravelle, situé plus à l'est, est tout proche.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Bréal-sous-Vitré
    Erbrée
    Mondevert Bréal-sous-Vitré Saint-Pierre-la-Cour
    (Mayenne)
    Le Pertre La Gravelle
    (Mayenne)

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 835 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Launay-Villiers », sur la commune de Launay-Villiers, mise en service en 2001[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 858,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 49 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Bréal-sous-Vitré est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vitré, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,2 %), zones agricoles hétérogènes (30,2 %), prairies (11,4 %), forêts (9,1 %), zones urbanisées (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    La paroisse est dénommée Capella de Braello (en 1090), Ecclesia de Brallo (en 1108), Breallum (en 1516)[21].

    François de Beaurepaire fait remarquer que la finale -al est commune à un certain nombre de toponymes de la France de l'Ouest (Croyal, Noyal, Sougeal, Tréal, Vergeal, en Ille-et-Vilaine), qu'il interprète par « une finale prélatine -allum » et rapproche de l'élément gaulois °-ialon (forme latinisée -ialum) « lieu défriché; clairière », puis simplement « lieu habité »[22].

    Le gentilé est Bréalais.

    Histoire

    Moyen Âge

    90 sépultures datant de la fin du VIe siècle jusqu'au XIe siècle ont été découvertes, entourant les fondations d'une probable chapelle ; ce cimetière aurait cessé d'être utilisé lors de la construction de l'église paroissiale remplaçant, sur le même site, cette chapelle antérieure, déjà dédiée à Notre-Dame[23].

    La chapelle Notre-Dame de Bréal (une contestation se produisit en 1078 entre les moines de Saint-Serge d'Angers et ceux de Saint-Jouin au sujet de la propriété de la chapelle de Bréal ; l'évêque de Rennes Sylvestre de La Guerche, et l'abbé de Saint-Melaine furent pris pour arbitres de ce différend[24]) était située à peu de distance de Vitré, dans la forêt du Pertre. Elle est à l'origine de la fondation au XIe siècle de la paroisse de Bréal-sous-Vitré, après les défrichements effectués. Bréal se trouvait alors dans la forêt du Pertre qui était territoire neutre et de marche commune, possédé en indivis par les seigneurs de Laval et de Vitré. Un prieuré est aussi fondé au XIe siècle, dépendant de l'abbaye Saint-Serge d'Angers et, jusqu'à la Révolution française, l'abbé de Saint-Serge d'Angers eût le privilège de présenter [de choisir] le prieur-recteur de Bréal à l'évêque de Rennes, la paroisse dépendant de l'évêché de Rennes[21].

    • Tombes-coffres en ardoise du cimetière médiéval de Bréal-sous-Vitré
      Tombes-coffres en ardoise du cimetière médiéval de Bréal-sous-Vitré

    Époque moderne

    Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Bréal en 1778 :

    « Bréal, à dix lieues un sixième à l'est de Rennes, son évêché et son ressort, et à deux lieues un tiers de Vitré, sa subdélégation. Ce territoire se termine à 300 toises à l'est, à la province du Maine, par une croix qui porte le nom de cette dernière province et qui sert de borne de séparation. On y compte 750 communiants[Note 8]. La cure de Notre-Dame-de-Bréal, prieuré dépendant de l'abbaye Saint-Serge d'Angers, qui la présente, a une moyenne et basse justice qui appartient au prieur. Cette paroisse dépend de la baronnie de Vitré[Note 9]. (...) Ce territoire est plus élevé que ceux qui le joignent ; il est bon, fertile en grains, abondant en fruits dont on fait du cidre ; il y a aussi quelques prairies, des pâturages et des landes. Les maisons nobles sont le Bois-Blin, les Bretonnières, le Bois-Briand, les Hayes, la Verrie, la Haye-du-Sac, la Rivière, le Champ du moulin de la Touche, la Roche, le petit Rocher et Longuenoc[24]. »

    La Révolution française

    Le , une trentaine de « brigands » (des chouans) bien armés pillent Bréal. Dans un rapport daté du , les autorités d'Ernée écrivent que des paysans d'Argentré, Le Pertre, Mondevert, Erbrée, La Chapelle-Erbrée, Bréal, Saint-M'Hervé, Montautour et Balazé avaient « porté leurs grain aux insurgés pendant leur séjour à Laval »[25].

    En février 1796, une embuscade est tendue par les Chouans contre les Républicains (période de la chouannerie). Le combat de Bréal est gagné par les Chouans.

    Le XIXe siècle

    A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Bréal en 1843 :

    « Bréal (sous l'invocation de la Sainte Vierge, fêtée le 15 août), commune formée de l'ancienne paroisse du même nom, aujourd'hui succursale ; brigade temporaire de gendarmerie. (...) Principaux villages : les Grandes-Haies, la Touche, la Motte. Superficie totale : 574 ha (...) dont terres labourables 355 ha, prés et pâtures 79 ha, bois 22 ha, vergers et jardins 10 ha, landes et incultes 76 ha (...). Un moulin (du Bois, à eau). La route royale n° 12, dite de Paris à Brest, traverse la commune de l'est au nord. Géologie: schiste argileux. (...). On parle le français[26]. »

    Le XXe siècle

    Le monument aux morts

    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Bréal-sous-Vitré porte les noms de 35 personnes mortes pour la France dont 32 soldats morts pendant la Première Guerre mondiale, dont quatre au moins (Auguste Chaplet et François Moreau[Note 10] en 1914, Amand Boutruche[Note 11] et Hippolyte Briand en 1918) sont morts en Belgique, un (Louis Lerouge) en Serbie dans le cadre de l'Expédition de Salonique, la plupart des autres étant décédés sur le sol français (parmi eux Jean Berthelot[Note 12] à la fois cité à l'ordre de la Nation, décoré de la Médaille militaire et de la Croix de guerre, Pierre Berthois[Note 13], décoré de la Médaille militaire et Joseph Hervagault[Note 14], décoré de la Croix de guerre et Marin Jouvin[Note 15], cité à l'ordre de la Nation. Les circonstances du décès des trois autres (Pascal Fournier, Jean Gadbois, Pierre Rocher) ne sont pas précisées[27].

    L'Entre-deux-guerres

    En 1922, la "Société de distribution d'électricité de l'Ouest" mena une enquête publique sur la commune et quelques communes voisines envisageant la création d'un réseau électrique desservant la commune[28].

    L'après Seconde Guerre mondiale

    En 1965, le nom de la commune de Bréal est modifié en Bréal-sous-Vitré[29].

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1989 1995 Thérèse Boisard[30]
    1989 mars 2008 Joseph Fontaine[31]
    mars 2008[32] En cours Pascale Cartron[33] SE Infirmière coordinatrice
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

    En 2020, la commune comptait 626 habitants[Note 16], en diminution de 5,01 % par rapport à 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    576460505530520599650653662
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    625634626577602524526506524
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    460496462355371339336362411
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    418424407409496530625634645
    2015 2020 - - - - - - -
    655626-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Transports

    La commune est desservie par la ligne de bus n°5 de Vitré Communauté.

    Lieux et monuments

    L'église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption.

    La commune ne compte pas de monument historique, on peut cependant noter :

    Activité et manifestations

    Cette commune dispose également de nombreuses associations : théâtre, comités des fêtes, associations de football.

    Voir aussi

    Lien externe

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020, légale en 2023.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Personnes en âge de communier.
    9. Un aveu en date du l'indique.
    10. François Moreau, né le à Bréal en 1914, soldat au 76e régiment d'infanterie territoriale, tué à l'ennemi le à Kortekeer en Maarkedal (Belgique)
    11. Amand Boutruche, né le à Bréal, soldat au 5e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Gand (Belgique), cité à l'Ordre de la nation et décoré de la Croix de guerre
    12. Jean Berthelot, né le à Bréal, soldat au 136e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le dans la forêt de Retz en Coyolles (Aisne)
    13. Pierre Berthois, né le à Vitré, soldat au 154e régiment d'infanterie, mort des suites de ses blessures le à Revigny (Meuse)
    14. Joseph Hervagault, né le à Bréal, soldat au 47e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Ronchères (Aisne)
    15. Marin Jouvin, né le à Bourgneuf-la-Forêt (Mayenne), soldat au 241e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Prosnes (Marne)
    16. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Launay-Villiers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Bréal-sous-Vitré et Launay-Villiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Launay-Villiers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Bréal-sous-Vitré et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. « Bréal-sous-Vitré : Histoire, Patrimoine, Noblesse (commune du canton de Vitré) », sur infobretagne.com (consulté le ).
    22. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 978-2-7084-0299-7, OCLC 15314425, présentation en ligne), p. 86.
    23. Françoise Le Boulanger, "Bréal-sous-Vitré, "Le Bourg" (Ille-et-Vilaine) : Rapport de fouilles : Approche d'un cimetière du haut Moyen Âge au début de l'époque Moderne", 2005, Cesson-Sévigné, voir http://dolia.inrap.fr/flora/jsp/portal/index.jsp?record=default:UNIMARC:946&action=opac_direct_view&success=/jsp/portal/index.jsp&profile=anonymous_fr
    24. Ogée 1778, p. 103.
    25. Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, cité par Roger Dupuy, De la Révolution à la chouannerie paysans en Bretagne 1788-1794, Paris, Flammarion, coll. « Nouvelle bibliothèque scientifique. », , 363 p. (ISBN 978-2-08-211173-7, OCLC 708297244).
    26. A. Marteville et P. Varin, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", tome 1, 1843, lire en ligne
    27. http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=37958
    28. Journal L'Ouest-Éclair no 7425 du 3 mars 1922, lire en ligne
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. https://www.ouest-france.fr/bretagne/breal-sous-vitre-35370/lancienne-maire-fete-ses-noces-de-diamant-2593837
    31. « Les premières élections de maires », sur municipales2001.ouestfrance.fr, Ouest-France (consulté le ).
    32. « Premier mandat de maire pour Pascale Cartron », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    33. « Municipales à Bréal-sous-Vitré. Second mandat pour Pascale Cartron », Ouest-France, 5 avril 2014.
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Bibliographie

    • Rozenn Colleter, Françoise Le Boulanger et Daniel Pichot, Eglise, cimetière et paroissiens Bréal-sous-Vitré (Ille-et-Vilaine) : étude historique, archéologique et anthropologique (VIIe-XVIIIe, Paris, Editions Errance, coll. « Collection Archéologie Aujourd'hui », , 279 p. (ISBN 978-2-87772-490-6)
    • Jean-Baptiste Ogée, « Bréal », dans Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 1, (lire en ligne).

    Liens externes

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