Revigny-sur-Ornain
Revigny-sur-Ornain est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.
Revigny-sur-Ornain | |
La mairie. | |
Héraldique |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Meuse |
Arrondissement | Bar-le-Duc |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Revigny-sur-Ornain (siège) |
Maire Mandat |
Pierre Burgain 2020-2026 |
Code postal | 55800 |
Code commune | 55427 |
Démographie | |
Gentilé | Revinéens [1] |
Population municipale |
2 794 hab. (2020 ) |
Densité | 145 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 49′ 44″ nord, 4° 59′ 17″ est |
Altitude | Min. 134 m Max. 182 m |
Superficie | 19,32 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Revigny-sur-Ornain (ville isolée) |
Aire d'attraction | Bar-le-Duc (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Revigny-sur-Ornain (bureau centralisateur) |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | revigny-sur-ornain.fr |
Géographie
Localisation
La commune de Revigny est située dans une vaste plaine, traversée de part en part par la rivière Ornain. Le sol est calcaire, sablonneux, légèrement limoneux, meuble et plat. Le territoire de la commune est limitrophe de 8 communes. Il y a quelques km à l'ouest qui sont en frontière du département de la Marne (commune de Vroil). La commune est sur la ligne de chemin de fer Paris-Strasbourg.
Communes limitrophes
- Carte de la commune.
- Entrée de Revigny-sur-Ornain.
- Pont sur l'Ornain.
Hydrographie
L'Ornain naît de la confluence de deux rivières qui sont l'Ognon et la Maldite au sud de Gondrecourt-le-Château. De 116 km de longueur, l'Ornain va se jeter dans la Saulx à Étrepy (en rive droite), à une quinzaine de km à vol d'oiseau de Revigny.
L'Ornain alimente deux canaux. Celui du nord, dit canal de l'Ornain, est très ancien. Au milieu de la ville, il y a le petit canal Martin. Au sud de la ville, il y a le canal de la Marne-au-Rhin, mis en service en 1853, suivant une ligne est-ouest, comportant six écluses sur le territoire de la commune.
Urbanisme
Typologie
Revigny-sur-Ornain est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Revigny-sur-Ornain, une unité urbaine monocommunale[5] de 2 794 habitants en 2020, constituant une ville isolée[6] - [7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bar-le-Duc, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 86 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8] - [9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,3 %), forêts (14,5 %), zones urbanisées (12 %), prairies (7,4 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,3 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].
Voies de communications et transports
Revigny-sur-Ornain est une gare de la ligne Paris-Strasbourg, commencée en 1846 et inaugurée à Strasbourg le . Sous l'occupation allemande, de 1870 à 1918, la ligne s'arrête à la frontière : Avricourt, commune de la Moselle. C'est pourquoi la ligne s'appelle à l'époque Paris-Avricourt. En outre, il existait autrefois trois autres lignes à Revigny[12] : les lignes à deux voies Revigny-Vouziers (1882) et Revigny-Saint-Dizier (1884), et le chemin de fer d'intérêt local à voie étroite (dit le "tramway") Triaucourt-Revigny-Haironville (1878), qui avait sa propre gare. La gare principale était importante pour l'époque avec plusieurs quais et bâtiments, un réservoir d'eau de 10 m3 pour les locomotives, une plaque tournante, une halle de réparation pour 12 locomotives. Il y avait aussi un quai militaire de près d'un km. Le canal de la Marne-au-Rhin traverse le territoire de la commune suivant un axe est-ouest.
Toponymie
Reviniacum, Ruviene (1106), Revigney, Ruvigney, Ruvigny (1321), Revigneyum (1402, 1580), Revigny (1682).
Registres paroissiaux depuis 1700: Revigny ou Revigni. Registres d'état-civil : Revigny jusque 1918. Le cadastre de 1824[13] et la monographie de l'instituteur[14] sur la commune (1888) indiquent Revigny. Cependant, on trouve Revigny-aux-Vaches dans d'autres documents "officiels", pourtant des mêmes époques : carte de Cassini de 1758[15], dictionnaire de 1834[16], carte d'état-major[17] 1820-1866 (date exacte inconnue). Revigny devient Revigny-sur-Ornain par décret paru au Journal Officiel en 1919[18].
Histoire
Ce bourg de l'ancienne province du Barrois est dénommé suivant les siècles « Reviniacum », « Ruvigney », « Ruvigny » et parfois « Revigny-aux-Vaches », vraisemblablement par corruption de « Revigny-aux-Vages » qui dans l'ancien langage du pays signifiait « landes »[19].
Revigny fut autrefois une ville fortifiée, dont son origine se rattache à l'existence d'une cité romaine appelée « Reviniacim », qui était situé sur le plateau entre Vassincourt, Neuville et Mussey, qui aurait été détruite durant les invasions barbares. Le bourg a été ensuite reconstruit sur les rives de l'Ornain, qui est devenu le Revigny actuel[19].
Le , le capitaine Eustache de Vernancourt est capturé par les hommes du duc de Bar, alors qu'il s'était retranché avec des aventuriers dans la maison forte de Revigny. Enfermé dans la geôle du château de Bar, il y périt après 84 jours de captivité[19] - [20].
Le le Roi de France, François Ier coucha dans le bourg et se rendit le lendemain à Bar-le-Duc ou l'attendait le Cardinal de Lorraine Louis de Lorraine et la duchesse de Guise Antoinette de Bourbon[19].
De 1636 à 1640, durant la guerre de Trente Ans, Revigny eut a soutenir plusieurs sièges et saccages de la part des Suédois.
Le village est détruit lors de la Première Guerre mondiale[21]. La Première Guerre mondiale à Revigny: voir la thèse de Mickaël Mathieu[22].
Du au eut lieu la bataille de Revigny au cours de la bataille de la Marne.
- Carte postale de 1914, Bibliothèque municipale de Nancy
- Canon de 75 modèle 1897 AA gun (en), 1915. Photographie de Raoul Berthelé, Archives municipales de Toulouse
- 1916, zeppelin abattu à Revigny-sur-Ornain, Bibliothèque nationale de France
La ligne chemin de fer Triaucourt-Revigny-Haironville[23] - [24] - [12]
Un programme national avait été décidé par une loi de 1865 : les chemins de fer d'intérêt local sur routes. L'idée est de créer des lignes à moindre coût, en utilisant l'accotement des routes, ce qui facilite la construction tant pour l'emprise que pour l'approvisionnement en matériaux. À l'époque, les cultivateurs sont demandeurs pour transporter céréales, lait, fromages, mais aussi les industriels du bois et de la métallurgie en Meuse. C'est dans ce programme qu'une ligne de chemin de fer à voie étroite (1 m) est construite entre Triaucourt et Haironville, passant par Revigny. La mise en service s'effectue par tronçons au fur et à mesure de l'avancement des travaux : 1878 : Revigny-Coulonges (11 km); 1879 : Couvonge - Lisle-en-Rigault (9 km); Revigny-Laheycourt (15 km); 1880 : Laheycourt – Triaucourt (20 km); 1881 : Lisle-en-Rigault – Haironville (7 km).
La branche au nord de Revigny desservait les villages de : Triaucourt, Vaubecourt, Lisle-en-Barrois, Villotte-devant-Louppy, Laheycourt, Auzécourt, Noyers, Brabant-le-Roy, Revigny (carte de la ligne[25] - [26]). Elle servait au transport des produits agricoles, mais surtout du bois de Laheycourt, et des phosphates extraits dans les environs, soit sous forme de nodules (grains de la taille d'une noisette/une pomme) pour y être pulvérisés dans les moulins de Revigny, soit sous forme de poudre en sacs, provenant des moulins de Laheycourt et Villotte-devant-Louppy, pour y être repris sur le réseau ferré à Revigny pour expédition dans d'autres régions. Cette branche fermera en 1936. La branche sud desservait : Revigny, Contrisson, Mognéville, Couvonges, Beurey, Robert-Espagne, Ville-sur-Saulx, Saudrupt, Haironville, soit au total 62 km. Elle transportait outre les produits agricoles, des produits de l'industrie métallurgique, scieries, papeteries, moulins. La branche sud fermera en 1929. Des cartes de la ligne plus ou moins détaillées indiquent le tracé. Ce chemin de fer était surnommé le "tramway" à cause de sa proximité à la route (et parfois sur la route) et de sa faible vitesse. La ligne entre dans Revigny par la Voie Saint-Jean (toujours sur l'accotement) puis emprunte l'actuelle Avenue du Général Leclerc jusqu'à la rue du Pâquis et continue tout droit vers l'Ornain. Elle franchit le canal Martin qui longe le quai des Gravières puis l'Ornain sur un pont métallique, appelé souvent sur les cartes postales "Pont du Tramway". Elle croise la grande ligne Paris-Avricourt (actuellement, Paris-Strasbourg. Avricourt, 50 km à l'est de Nancy, est alors la gare frontière avec l'Allemagne, jusqu'en 1918) à angle droit, probablement par un passage supérieur et arrive à la gare du tramway située presque en face de la gare actuelle.
En 1914, il y avait trois trains dans chaque sens par jour. La durée du trajet était d'environ 2,5-3 h entre Revigny et Triaucourt et 2 h entre Revigny et Haironville (voir Chaix 1914 sur Wikicommons). La ligne était mixte voyageurs-marchandises.
La construction et l'exploitation de la ligne fut confiée à Léon Soulié, ingénieur, par convention avec le préfet de la Meuse du [23]. Toutefois, sa société Compagnie des Chemins de Fer d'Intérêt Local de la Meuse fit faillite le , après sept ans d'exploitation. L'activité fut reprise par le département de la Meuse puis par la Compagnie Meusienne des Chemins de Fer (Compagnie Varinot) en 1892. Une petite locomotive 031T-C.M. n° 26, de 14 tonnes à vide, baptisée « La Suzanne » fut mise en service en sur la ligne[27]. Elle a été retrouvée puis restaurée et se trouve à Bar-Le-Duc (chemin du Varinot). Elle reprend du service le 1er mai 2022 pour un trajet commercial touristique de 4, 2 km (soit 8,4 km aller-retour) le long de la Voie Sacrée, avec quatre wagons et une centaine de voyageurs. Cette exploitation aura lieu tous les dimanches[28].
Le tracé de la voie complète en 1883 peut-être vu sur le site du patrimoine cartographique Cartomundi[29]
Politique et administration
Budget et fiscalité 2014
En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[30] :
- total des produits de fonctionnement : 2 664 000 €, soit 855 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 2 696 000 €, soit 865 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 1 859 000 €, soit 596 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 1 588 000 €, soit 510 € par habitant ;
- endettement : 1 561 000 €, soit 501 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 12,06 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 20,33 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 37,25 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].
En 2020, la commune comptait 2 794 habitants[Note 3], en diminution de 5,89 % par rapport à 2014 (Meuse : −4,45 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Activités industrielles
Les domaines actuels sont: métallurgie, aciers plats, barres. Construction mécanique, remorques, engins de traction et de levage. Équipements automobiles (suspensions). Électronique.
En 1888, il y avait des activités industrielles diversifiées à Revigny : fabrique de ressorts de montres, fabrique de chaussures, une tuilerie-briqueterie, un constructeur de machines agricoles (faneuse, râteaux, coupe-racines, hache-paille, rouleaux), une marbrerie, des fabricants d'engrais minéraux (phosphates) extraits dans la région (Bister, Desaux)[14].
Agriculture et maraichage
Asperges: Revigny, ainsi que plusieurs autres communes de la Meuse, est réputée pour ses asperges blanches (mai à début juin).
Phosphates
Une veine de phosphate de chaux existe dans la région et est exploitée de 1860 à 1900 environ, soit par prélèvement en surface soit avec des puits pouvant atteindre 20 m. Le produit se présente sous forme de nodules de 3 à 10 cm de diamètre appelés aussi "coquins". Ils sont utilisés comme engrais dans l'agriculture sous forme de poudre. L'exploitation avait lieu dans plusieurs villages an nord de Revigny, notamment Villotte-devant-Louppy et Laheycourt. Ils étaient transportés à Revigny par le train à voie étroite (tramway), soit déjà en poudre provenant des moulins de Villotte et Laheycourt, soit en grains pour être pulvérisés dans trois moulins de Revigny : moulin de la Ville et moulin des Bas-Prés alimentés par le canal de l'Ornain au nord de la ville (machines à vapeur ultérieurement), moulin des Gravières alimenté par le canal Martin (longeant l'actuel quai des Gravières). Alcide Bister, industriel et homme politique local, exploitait à la fois des mines à Villotte-devant-Louppy (une trentaine de puits) et des moulins. La poudre était ensuite expédiée dans la France par chemin de fer notamment en Bretagne.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Pierre et Saint-Paul (visioguide[37]) avec un chœur voûté d'ogives et un transept gothique flamboyant des XVIe – XVIe siècles Classé MH (1908)[38]. Le clocher a été détruit à 2 reprises. Orgues[39] - [40] - [41] - [42]: grand-orgue de Roethinger (1958), célèbre maison à Strasbourg et Schiltigheim et de Albin Unfer (1977), facteur d'orgue à Leutenheim (Bas-Rhin). Orgue néo-gothique de chœur (1893) de Jaquot-Jeanpierre, facteur d'orgue à Rambervillers (Vosges). Le buffet de l'orgue de chœur en chêne est classé MH[43]. Chemin de croix (1952-1953) de Lucien Lantier, peinture à l'huile sur bois taillé (classé MH).
- L'église Saint-Joseph, Quartier la Tuilerie (Moderne).
- La chapelle Notre-Dame de Grâce[44].
- La chapelle du cimetière.
- L'église Saint-Pierre et Saint-Paul.
- L'église Saint-Joseph à la Tuilerie.
- La chapelle Notre-Dame de Grâce.
- La chapelle du cimetière.
- Nécropole nationale, entrée.
- Nécropole nationale, le monument.
- Nécropole nationale, vue d'ensemble.
- Nécropole nationale, la fosse commune.
- Le monument aux morts sur la place Louis-Chenu,
- La statue d'André Maginot[46],
- La fontaine Notre-Dame-de-Grâce[47],
- Le parc François-Mitterrand (rénové), avec son kiosque à musique.
- L'hôtel de ville,
- Le cadran solaire près de l'église,
- La maison Dargent où se trouve la bibliothèque,
- Le quartier Maginot aussi nommé Escadron de Gendarmerie Mobile,
- Un circuit d'auto cross.
- Gare de Revigny.
- Monument à André Maginot.
Personnalités liées à la commune
- Jean-Louis-François Fauconnet (1750-1819, général des armées de la République et de l'Empire (nom gravé sous l'Arc de Triomphe).
- Florentin Ficatier (1765-1817), général des armées de la République et de l'Empire (nom gravé sous l'Arc de Triomphe) descendait d'une famille originaire de Revigny.
- Pierre Gaxotte (1895-1982), historien et journaliste français. Né le à Revigny, élu à l'Académie française au fauteuil de René Grousset le et reçu par le Général Weygand le . Décédé le et enterré au cimetière communal. Il a notamment écrit un livre de souvenirs sur Revigny qui a pour titre Mon village et moi[48].
- Gérard Longuet (1946- ), sénateur UMP de la Meuse y possèdait une maison.
- André Maginot (1877-1932) y est originaire et y est inhumé.
- Jacques de Révigny (1230-1296), évêque de Verdun
- Les 2 Justes parmi les Nations de la commune :
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Revigny-sur-Ornain sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la Région Lorraine
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Meuse », sur habitants.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Revigny-sur-Ornain », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Fédération des amis des chemins de fer secondaires (FACS), « Les chemins de fer secondaires en Meuse », sur http://www.trains-fr.org/ (consulté le ).
- Archives Départementales de la Meuse, « REVIGNY - Tableau d'assemblage feuille 01 (161 FI 96) », sur http://archives.meuse.fr (consulté le ).
- Jules Lepointe, Monographie de la commune de Revigny, , 18 p. (lire en ligne).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Navigation : cartes de Cassini », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Briand de Verzé, Dictionnaire complet, géographique, statistique et commercial de la France et de ses colonies, Paris, Langlois, , 671 p. (lire en ligne), page 254.
- « Fond de carte état-major 1820-1866 », sur https://www.geoportail.gouv.fr/, 1820-1866 (consulté le ).
- Bibliothèque nationale de France, département Collections numérisées, 2017-53797, Table annuelle du Journal officiel de la République française Lois et décrets, Paris, , 240 p. (lire en ligne), page 20.
- Monographie de Revigny-sur-Ornain
- Valérie Toureille : Deux Armagnacs aux confins du royaume : Robert de Sarrebrück et Robert de Baudricourt
- James Moore, Paul Nero, Pigeon-Guided Missiles: And 49 Other Ideas That Never Took Off, p. 45.
- Mickaël Mathieu, « « Doctorat d'histoire. Thèse "Revigny-sur-Ornain, Vaubécourt et la Première Guerre mondiale. Histoire et mémoire dans deux cantons ruraux de la Meuse (1914-1918) », sur http://www.theses.fr, (consulté le ).
- Ernest Chabrier, Les chemins de fer d'intérêt local sur routes, Nancy, Berger-Levrault, (lire en ligne), pages 25-26.
- Jean Marc Dupuy, Gares et tortillards de Lorraine, Cheminements, , 333 p., page 293.
- Passions métrique et étroite, « Forum. Le tacot meusien » (consulté le ).
- « Atlas des lignes de chemins de fer disparues ».
- « Chemin de Fer Historique de la Voie Sacré » (consulté le ).
- « La Suzanne Mémoire vivante du XIXème siècle », sur https://www.lasuzanne.com (consulté le )
- « Cartomundi, feuille Châlons-sur-Marne. Bar-le-Duc; 29; 1883 (collection 1881-1889, 141 feuilles) » (consulté le )
- Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 22 mars 2015 sur Internet Archive).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Mairie de Revigny-sur-Ornain, « Visioguide » (consulté le ).
- « Eglise Saint-Pierre », notice no PA00106608, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PM55002736, base Palissy, ministère français de la Culturebuffet d'orgue : buffet de l'orgue de chœur
- Orgue de chœur de l'église Saints Pierre et Paul
- Mérite diocésain : Odile Mathieu, organiste de Revigny-sur Ornain
- Inventaire du Grand orgue de l'église Saints Pierre et Paul
- « orgue de chœur : buffet d'orgue », sur https://www.pop.culture.gouv.fr/ (consulté le ).
- Chapelle Notre Dame de Grâce
- La nécropole nationale
- Le monument dédié à André Maginot
- Fontaine Notre Dame de Grâce
- Tombeaux des Immortels