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Noyers-Auzécourt

Noyers-Auzécourt est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.

Noyers-Auzécourt
Noyers-Auzécourt
Voie romaine au hameau de Maison du Val.
Blason de Noyers-Auzécourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
DĂ©partement Meuse
Arrondissement Bar-le-Duc
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Revigny-sur-Ornain
Maire
Mandat
Mathieu Kimenau
2020-2026
Code postal 55800
Code commune 55388
DĂ©mographie
Gentilé Nussériens [1]
Population
municipale
276 hab. (2020 en diminution de 2,13 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 16 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 53â€Č 07″ nord, 4° 58â€Č 22″ est
Altitude Min. 140 m
Max. 191 m
Superficie 17,22 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bar-le-Duc
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Revigny-sur-Ornain
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Noyers-Auzécourt
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Noyers-Auzécourt

    Urbanisme

    Typologie

    Noyers-Auzécourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bar-le-Duc, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 86 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[5] - [6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (89,7 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (89,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (56,1 %), prairies (31,6 %), forĂȘts (8,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2 %), zones urbanisĂ©es (1,5 %), eaux continentales[Note 3] (0,4 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Noyers devient Noyers-le-Val par décret en 1919[9].

    Histoire

    Le , Noyers-le-Val devient Noyers-Auzécourt à la suite de sa fusion-association avec Auzécourt[10].

    L'église d'Auzécourt en 1916.

    L'abbaye de Montiers[11] - [12]

    L'abbaye de Montiers-en-Argonne fut fondĂ©e en 1134, par l'Ă©vĂȘque de ChĂąlons, Geoffroy Ier, sous l'invocation de la Vierge, entre Sommeilles et Laheycourt, en un lieu qui porte aujourd'hui le nom de Vieux-Monthiers (territoire de Noyers-AuzĂ©court). C'Ă©tait une communautĂ© de chanoines rĂ©guliers de l'ordre de saint Augustin, d’oĂč Ă©tait issu son premier abbĂ©, Eustache. Sous l'influence de l’abbaye cistercienne de Trois-Fontaines voisine, et aprĂšs l’abbaye de Cheminon en 1138, la nouvelle abbaye intĂ©gra elle aussi l'ordre de CĂźteaux en 1148 (bulle du pape EugĂšne III).

    Trop exposĂ© dans la plaine de la ChĂ©e, le site fut dĂ©laissĂ© au profit d’un nouvel emplacement, situĂ© 7 km Ă  l’ouest dans la forĂȘt de Tremblay (commune de Possesse) vers 1160, sur des terrains donnĂ©s par Gipuin de Dampierre en vue de la construction d'une nouvelle abbaye. Le site primitif fut transformĂ© en grange (qui signifie ferme Ă  l'Ă©poque) et pris le nom de Vieux-Monthier qui subsiste de nos jours.

    Le chemin de fer[13] - [14] - [15]

    Un programme national avait Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© par une loi de 1865 : les chemins de fer d'intĂ©rĂȘt local sur routes. L'idĂ©e est de crĂ©er des lignes Ă  moindre coĂ»t, en utilisant l'accotement des routes, ce qui facilite la construction tant pour l'emprise que pour l'approvisionnement en matĂ©riaux. À l'Ă©poque, les cultivateurs sont demandeurs pour transporter cĂ©rĂ©ales, lait, fromages, mais aussi les industries mĂ©tallurgiques en Meuse. C'est dans ce programme qu'une ligne de chemin de fer Ă  voie Ă©troite (m) est mise en service le entre Laheycourt et Revigny, soit 15 km. Elle est prolongĂ©e jusqu'Ă  Triaucourt soit 20 km en 1880 (mise en service le ). Elle Ă©tait surnommĂ©e le "tramway". Elle desservait les villages de : Triaucourt, Vaubecourt,  Lisle-en-Barrois, Villotte-devant-Louppy,  Laheycourt, AuzĂ©court,  Noyers, Brabant-le-Roy, Revigny (carte de la ligne[16] - [17]). La ligne fermera en 1936.

    La voie Ă©tait sur l'accotement de la D137 quand on vient de Laheycourt et la quittait Ă  l'entrĂ©e d'AuzĂ©court pour continuer tout droit entre les habitations et le ruisseau de Morival. Elle rejoignait la D137 Ă  la sortie du village[18]. La gare Ă©tait vers la sortie au niveau du confluent du ruisseau et de la ChĂ©e. Ensuite, elle quitte la route pour contourner Noyers par le nord puis rejoint la route, coupe la voie romaine Ă  la Maison du Val[19], continue sur la D137 puis la D994 vers Brabant-le-Roi[20]. Elle cĂŽtoie alors la ligne Ă  Ă©cartement normal Saint-Dizier-Vouziers. Il y avait une gare Ă  Noyers et Maison du Val (un petit bĂątiment tuilĂ© prĂšs de l'arrĂȘt de bus est un vestige de la gare) et une halte Ă  Nettancourt, au niveau de la ferme de Rennecourt. En 1914, il y avait trois trains dans chaque sens par jour. La durĂ©e du trajet depuis AuzĂ©court Ă©tait d'environ 40 min[20] jusqu'Ă  Revigny. La ligne Ă©tait mixte voyageurs-marchandises. Elle servait surtout au transport du bois de Laheycourt, et des phosphates extraits Ă  Laheycourt et Villotte-devant-Louppy, pour y ĂȘtre repris sur le rĂ©seau ferrĂ© Ă  Revigny pour expĂ©dition dans d'autres rĂ©gions. À AuzĂ©court, il n'y avait que des voyageurs.

    La construction et l'exploitation de la ligne fut confiĂ©e Ă  LĂ©on SouliĂ©, ingĂ©nieur, par convention avec le prĂ©fet de la Meuse du [13]. Toutefois, sa sociĂ©tĂ© Compagnie des chemins de fer d'intĂ©rĂȘt Local de la Meuse fit faillite le , aprĂšs sept ans d'exploitation. L'activitĂ© fut reprise par le dĂ©partement de la Meuse puis par la Compagnie Meusienne des Chemins de Fer (Compagnie Varinot) en 1892. Une petite locomotive 031T-C.M. no 26, de 14 tonnes Ă  vide, baptisĂ©e « La Suzanne » fut mise en service en sur la ligne[21]. Elle a Ă©tĂ© restaurĂ©e et se trouve Ă  Bar-Le-Duc (chemin du Varinot).

    Sur le territoire de Noyers passait aussi la ligne n°6 Saint-Dizier-Vouziers (qui desservait aussi par Revigny, Givry, Sainte-Menehould), ligne à écartement normal et à deux voies. Elle cÎtoyait la ligne de tramway (une voie) depuis Brabant et s'en écartait un peu avant la Maison du Val[19] et remontait alors le long de la D137B. La gare de Sommeille-Nettancourt (Sommeille sans "s" à cette époque) était à l'intersection avec la D27.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1945 Léon Courot DVD Propriétaire agricole
    Conseiller général du canton de Vaubecourt (1945-1979)
    avant 1981 ? Pierre Courot
    mars 2001 mars 2008 Ernest van Elsen
    mars 2008 septembre 2011 Antoine Thenot Décédé en cours de mandat
    septembre 2011 mai 2020 Jean-Claude Nycz
    3 juillet 2020 En cours Didier Kimeneau [22] Agent de maĂźtrise

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[24].

    En 2020, la commune comptait 276 habitants[Note 4], en diminution de 2,13 % par rapport à 2014 (Meuse : −4,45 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    467418382383378388396417403
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    376357346340329328336361343
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    323342354308327380398305347
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    349323346325247244242242280
    2018 2020 - - - - - - -
    279276-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee Ă  partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Martin, construite en 1625 d'AuzĂ©court.
    • L'Ă©glise Saint-Martin de Noyers-le-Val.
    • La chapelle Notre-Dame-du-Val, construite en 1876, ancien monastĂšre trappiste de la Maison du Val, inscrite au titre des monuments historiques depuis 1999[27].

    Maison du Val

    • Voie romaine au hameau de Maison du Val
    • Ancienne fromagerie : dans le hameau de Maison du Val se trouvait autrefois une importante fabrique de fromages, comme l'atteste toujours le nom de la « rue de la Fromagerie Â». Cette fromagerie, crĂ©Ă©e en 1856 par Louis Bailleux-Adrien, Ă©tait alors la premiĂšre fromagerie industrielle de France. Elle est aujourd'hui en ruines. Dans les dĂ©pendances de cet Ă©tablissement sont compris de vastes locaux construits au XIXe siĂšcle, pour servir de rĂ©sidence Ă  une communautĂ© de trappistes. Ce monastĂšre Ă©tait placĂ© sous le vocable de Notre-Dame-du-Val. Dans le parc se trouve une chapelle construite en 1874 qui fait partie du recensement des Monuments Historiques[27], mais malheureusement tous les vitraux ont Ă©tĂ© volĂ©s. En effet, Louis Bailleux va proposer aux moines trappistes de l'abbaye du Port-du-Salut Ă  Entrammes dans la Mayenne de venir Ă  Maison-du-Val pour y lancer la fabrication de Port-Salut, dont ils ont le secret, et va leur offrir une partie de ses propriĂ©tĂ©s pour y construire un monastĂšre. Mais les religieux ne resteront que peu de temps sur place. ArrivĂ©s en 1876, ils repartiront dĂšs l'annĂ©e suivante en . Sur la grille en fer forgĂ© du parc figurent les initiales LBC entrelacĂ©es.
    • Voie romaine au hameau de Maison du Val.
      Voie romaine au hameau de Maison du Val.
    • Les ruines de la fromagerie.
      Les ruines de la fromagerie.
    • Les bĂątiments monastiques.
      Les bĂątiments monastiques.
    • La chapelle Notre-Dame-du-Val.
      La chapelle Notre-Dame-du-Val.
    • La grille du parc.
      La grille du parc.

    HĂ©raldique

    Blason de Noyers-Auzécourt Blason
    ÉcartelĂ© en sautoir : au 1er de sinople Ă  l'oie volant d'argent allumĂ©e, becquĂ©e et membrĂ©e d'or posĂ©e en bande, au 2e de gueules Ă  la noix d'or, au 3e de gueules au besant d'or chargĂ© d'un masque de renard de gueules tenant un fromage d'argent, au 4e de sinople au diadĂšme d'or.
    DĂ©tails
    Création Robert André Louis. Adopté le 8 juillet 2016.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Le nom des habitants du 55 - Meuse - Habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    9. République française, « Table annuelle du Journal officiel de la République française Lois et décrets (page 20/420) », sur Gallica.bnf, (consulté le ).
    10. « GĂ©ographie administrative et d'Ă©tude / Insee », sur insee.fr (consultĂ© le ).
    11. Jackie Lusse, « Les limites dans les chartes de l'abbaye de Montiers-en-Argonne », Nouvelle revue d'onomastique,‎ , pp. 223-240 (lire en ligne).
    12. Christophe Wissenberg, « Ancienne abbaye de Montiers-en-Argonne », sur http://inventaire-patrimoine.cr-champagne-ardenne.fr (consulté le ).
    13. Ernest Chabrier, Les chemins de fer d'intĂ©rĂȘt local sur routes, Nancy, Berger-Levrault, (lire en ligne).
    14. Jean-Marc Dupuy, Gares et tortillards de Lorraine, Editions Cheminements, , 333 p., page 293.
    15. Fédération des amis des chemins de fer secondaires (FACS), « Liste des chemins de fer secondaires. Meuse », sur https://www.facs-patrimoine-ferroviaire.fr (consulté le ).
    16. Passions métrique et étroite, « Forum: le tacot meusien », sur https://www.passion-metrique.net (consulté le ).
    17. Atlas des lignes de chemins de fer disparues, « Lorraine/Meuse/Revigny Triaucourt », sur http://archeoferroviaire.free.fr (consulté le ).
    18. Jacquemin, « Monographie communale. Auzécourt (page 14/15) », sur http://archives.meuse.fr, (consulté le ).
    19. Marson, « Monographie Communale. Noyer (page 8/15) », sur http://archives.meuse.fr, (consulté le ).
    20. Passions métrique et étroite, « Forum: le meusien », sur https://www.passion-metrique.net/ (consulté le ).
    21. Chemin de Fer Historique de la Voie Sacré, « Histoire de la Suzanne », sur http://www.cfhvs.fr (consulté le ).
    22. « RĂ©pertoire national des Ă©lus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des donnĂ©es publiques de l'État (consultĂ© le ).
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    27. « La chapelle Notre-Dame-du-Val », notice no PA55000020, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
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