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Montautour

Montautour est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine, en rĂ©gion Bretagne, peuplĂ©e de 267 habitants[Note 1].

Montautour
Montautour
L'Ă©glise paroissiale Notre-Dame-du-Roc.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Ille-et-Vilaine
Arrondissement FougÚres-Vitré
Intercommunalité Vitré Communauté
Maire
Mandat
Thierry Mongodin
2020-2026
Code postal 35210
Code commune 35185
DĂ©mographie
Gentilé Montaltorien
Population
municipale
267 hab. (2020 en augmentation de 2,3 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 39 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 12â€Č 14″ nord, 1° 08â€Č 49″ ouest
Altitude Min. 105 m
Max. 194 m
Superficie 6,90 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Vitré
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vitré
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Montautour
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Montautour

    GĂ©ographie

    Situation

    Transports

    La commune est desservie par la ligne de bus n°4 de Vitré Communauté.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 896 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Launay-Villiers », sur la commune de Launay-Villiers, mise en service en 2001[7] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 858,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et Ă  45 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  12,1 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Montautour est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de VitrĂ©, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (99,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (67,9 %), terres arables (24 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Mont Altor en 1049[21] et de Mont-Auter ou Ecclesia SanctÊ MariÊ de Mont-Auter au XIIe siÚcle.

    Montautour est un toponyme mĂ©diĂ©val en Mont-, appellatif toponymique issu du gallo-roman MONTE « colline, Ă©lĂ©vation Â», lui-mĂȘme du latin montem, accusatif de mons « mont, montagne Â». En effet, Montautour est situĂ© sur une butte, sur laquelle, dĂšs le XIe siĂšcle au moins se trouvait un sanctuaire dĂ©jĂ  vĂ©nĂ©rĂ© de Notre-Dame-du-Roc[22].

    Le second élément -autour, représente probablement l'autour, du nom du rapace[23]. C'est une formation toponymique comparable aux nombreux Montfaucon. Dans l'hypothÚse alternative qui consiste à voir dans -autour, soit le réemploi d'un toponyme précédent, soit un autre appellatif, la terminaison -our est l'équivalent dans l'ouest de la terminaison -eur en français.

    La traduction du nom en breton est Menezaoter[24], qui signifie « mont de l'autel Â».

    Histoire

    Moyen Âge

    L'Ă©glise de Sainte-Marie de Montautour fut donnĂ©e en 1066 Ă  l'abbaye Saint-Sauveur de Redon avec l'agrĂ©ment de Main, Ă©vĂȘque de Rennes[25]. Mais l'abbĂ© bĂ©nĂ©dictin de cette abbaye unit par la suite le prieurĂ© de Montautour Ă  celui de ChĂąteaubourg et laissa au prieur de ces deux bĂ©nĂ©fices le droit de prĂ©senter Ă  l'Ă©vĂȘque le recteur de Montautour[22].

    Époque moderne

    Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Montautour en 1778 :

    « Montautour, sur une hauteur, Ă  neuf lieues Ă  l'est-nord-est de Rennes, son Ă©vĂȘchĂ© et son ressort et Ă  deux lieues de VitrĂ©, sa subdĂ©lĂ©gation. On y compte 450 communiants[26]. C'est le prieur rĂ©gulier de ChĂąteaubourg qui prĂ©sente la cure. La juridiction de l'endroit est une moyenne justice. (...) Ce territoire forme une plaine, oĂč l'on voit au nord une lande qui a plus de deux mille toises en tous sens ; de sorte que seule la partie du sud est habitĂ©e et cultivĂ©e[25]. »

    Au XVIIIe siÚcle, le prieur de Chùteaubourg, grand décimateur de Montautour, ne laissait au recteur de Montautour qu'une portion congrue de 700 livres par an[22].

    Révolution française

    Le , Ă  Montautour, on assassina un huissier rĂ©putĂ© patriote, et l'homme n'Ă©tait pas encore mort que les exĂ©cuteurs (des chouans) le recouvrirent de broussailles qu'ils enflammĂšrent aussitĂŽt. Le , des administrateurs du district de FougĂšres Ă©crivent : « Les cultivateurs sont dans un Ă©tat d'inquiĂ©tude et d'alarme. Les brigands sont Ă  BalazĂ©, 15 brigands de la Petite VendĂ©e Ă  la tĂȘte desquels sont les Chouans frĂšres. Il semble que ces hommes sont les mĂȘmes que ceux qui firent une incursion Ă  la mi-aoĂ»t dernier sur Montautour, ChĂątillon, ParcĂ© ». Dans la seconde quinzaine de , des rassemblements suspects sont signalĂ©s Ă  ArgentrĂ©, BalazĂ©, Champeaux, ChĂątillon, CornillĂ©, Étrelles, Montautour, Le Pertre, Taillis et VergĂ©al. Dans un rapport datĂ© du , les autoritĂ©s d'ErnĂ©e Ă©crivent que des paysans d'ArgentrĂ©, Le Pertre, Mondevert, ErbrĂ©e, La Chapelle-ErbrĂ©e, BrĂ©al, Saint-M'HervĂ©, Montautour et BalazĂ© avaient « portĂ© leurs grain aux insurgĂ©s pendant leur sĂ©jour Ă  Laval »[27].

    Montautour fait partie des communes dĂ©clarĂ©es totalement insurgĂ©es en 1793-1794[28]. Une compagnie chouanne exista Ă  PrincĂ© et Montautour ; elle Ă©tait membre de la « colonne d'IzĂ© Â», dirigĂ©e par Henri du Boishamon, qui elle-mĂȘme dĂ©pendait de la division de VitrĂ© de l'ArmĂ©e catholique et royale de Rennes et de FougĂšres. La « colonne d'IzĂ© Â» Ă©tait divisĂ©e en plusieurs compagnies : la compagnie de Champeaux et Taillis (dont les capitaines Ă©taient Picot l'AĂźnĂ© et Julien Picot), la compagnie de BalazĂ©, la compagnie de Montreuil-sous-PĂ©rouse et Saint-Christophe-des-Bois, la compagnie d'IzĂ©, la compagnie de Saint-Jean-sur-Vilaine, la compagnie de Champeaux et Taillis.

    XIXe siĂšcle

    En 1803, la paroisse de Montautour fut supprimée, réunie à celle de Princé, mais elle fut rétablie par ordonnance royale le .

    A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Montautour en 1845 :

    « Montautour (sous l'invocation de la Vierge ; Ă  la Visitation) : commune formĂ©e de l'ancienne paroisse du mĂȘme nom, aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : la GougeonniĂšre, le Haut et le Bas-Tertre, l'Épine, la PihourdiĂšre. Superficie totale 689 hectares dont (...) terres labourables 401 ha, prĂ©s et pĂątures 79 ha, bois 30 ha, vergers et jardins 7 ha, landes et incultes 141 ha (...). Moulin de la Foucherais, Ă  eau. (...) GĂ©ologie : quartzite, schistes Ă  100 mĂštres au sud du bourg. On parle le français [en fait le gallo][29]. »

    En 1856, la commune de Montautour demanda l'annexion Ă  son territoire de plusieurs villages et hameaux dĂ©pendant des communes de BalazĂ©, ChĂątillon-en-Vendelais et Saint-M'HervĂ© « afin de se crĂ©er des ressources pour ses services publics, et de procurer aux habitants de ces villages, Ă©loignĂ©s [du bourg] de leurs communes respectives, plus de facilitĂ© pour l'accomplissement de leurs devoirs civils et religieux Â». Les conseils municipaux de ces trois communes Ă©mirent un avis dĂ©favorable ainsi que le conseil gĂ©nĂ©ral d'Ille-et-Vilaine[30].

    PremiĂšre Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Montautour porte les noms de soldats morts pour la France pendant la PremiÚre Guerre mondiale ; parmi eux, six au moins (Jean Bilheude, Louis Bourgault, Jules Buffet, Jean Genouël, Joseph Lebreton, Joseph Olivier) sont morts en Belgique en 1914 ou 1915 ; un (Charles Planchet) est mort alors qu'il était prisonnier en Allemagne ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français (parmi eux Louis Dibon, qui fut décoré de la Croix de guerre)[31].

    Entre-deux-guerres

    La commune commence Ă  ĂȘtre Ă©lectrifiĂ©e en 1932[32].

    Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Montautour porte les noms de deux personnes (E. Akesson et J. Martin) mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[31].

    Un aviateur américain, le lieutenant Robert Smith, est tombé le au lieu-dit la Réhorie. Une stÚle a été érigée en son honneur[33].

    AprĂšs Seconde Guerre mondiale

    Emmanuel Halleux[34] est décédé le à Paris de faits liés à la Guerre d'Algérie[31].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    juin 1995[35] mars 2014 Paul Garrault Retraité
    avril 2014 juillet 2020 SĂ©bastien Fortin[36] SE Menuisier
    juillet 2020 En cours Thierry Mongodin[37] Responsable nettoyage
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[39].

    En 2020, la commune comptait 267 habitants[Note 8], en augmentation de 2,3 % par rapport Ă  2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    380328373411415414402425424
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    412408423354365401371391362
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    354338313299319304308280274
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    288255226240242240252255249
    2015 2020 - - - - - - -
    261267-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee Ă  partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame-du-Roc, de style nĂ©o-roman, Ă©difiĂ©e par l'architecte Albert BĂ©ziers-Lafosse : tour (1858), corps de l'Ă©difice (1867-1872).
    • Manoir de la RiviĂšre Rabault, XVe siĂšcle.

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020, légale en 2023.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Launay-Villiers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Montautour et Launay-Villiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Launay-Villiers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Montautour et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Site de KEROFIS Office public de la langue bretonne : Montautour (lire en ligne)
    22. AmĂ©dĂ©e Guillotin de Corson, "PouillĂ© historique de l'archevĂȘchĂ© de Rennes", volume 5, 1880, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k75001z/f263.image.r=Montautour?rk=42918;4
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 467b.
    24. ibidem
    25. Jean-Baptiste Ogée, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", 1778, consultable https://archive.org/details/dictionnairehist02og
    26. Personnes en Ăąge de communier
    27. Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, cité par Roger Dupuis, "De la Révolution à la Chouannerie", Nouvelle bibliothÚque scientifique, Flammarion, 1988,[ (ISBN 2-08-211173-3)]
    28. Jean-Baptiste Kléber et Henri Baguenier-Desormeaux, "Kléber en Vendée (1793-1794) / documents publiés, pour la Société d'histoire contemporaine", 1907, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k111939x/f461.image.r=Saint-Aubin-des-Landes
    29. A. Marteville et P. Varin, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", 185, consultable https://books.google.fr/books?id=9o8DAAAAYAAJ&printsec=frontcover&dq=bibliogroup:%22Dictionnaire+historique+et+g%C3%A9ographique+de+la+province+de+Bretagne%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiC_6yOk_3RAhUGxxQKHZiOCfIQ6AEIHDAA#v=onepage&q=Montautour&f=false
    30. Rapports et délibérations / Conseil général d'Ille-et-Vilaine, 1856, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5562911c/f316.image.r=Balaz%C3%A9
    31. ACAM-MEMORIAL, « Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
    32. Journal Ouest-Éclair no 13083 du , consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k659023q/f6.image.r=marpir%C3%A9?rk=4678134;4
    33. « Lt. Robert Smith - Montautour - AérostÚles », sur aerosteles.net (consulté le ).
    34. Emmanuel Halleux, né le .
    35. « Les derniers vƓux de Paul Garrault, aprĂšs 49 ans au conseil », La Chronique RĂ©publicaine,‎ (lire en ligne).
    36. « Municipales Ă  Montautour. SĂ©bastion Fortin est le nouveau maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    37. « Montautour. Le fauteuil de maire pour Thierry Mongodin », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Liens externes

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